La Classe politique Congolaise ...
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Re: La Classe politique Congolaise ...
Alerte dépêche : la république en partance vers des scissions ▲ Puis GABRIEL MOKIA chante KING KESTER EMENEYA
http://likambonamabele.skyrock.com/3207854857-ALERTE-URGENCE-URGENCE-LE-RWANDA-EN-VOIE-D-OBTENIR-300-KM-DES-TERRES.html
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LORD MBAKAMA
Re: La Classe politique Congolaise ...
Goma, Tutshuru, Masisi territoires Rwandais
Merci mister Lord...mais to zo lala too boni Maintenant que le Rwanda ne se cache plus et peut se permettre de reclamer une portion du territoire congolais devant un Parlement PanAfricain Nous devons faire extremement attention pour ces deux ans où Kanambe dirige la RDC..Il est capable de signer un cession du territoire congolais en faveur du Rwanda
Sur Voice of Congo Il ya une video d´une rencontre dans la bilbliothèque du Congres aux USA où les resistants congolais..en compagnie de l´ambassadrice de la RDC á Washington ont rencontrés des congresistes US
Pendant cette rencontre, Russ Feingold a eu une question sur cette reclamation du Rwanda...et il nie d´avoir affirmé sur RFI que lui soutenait cette idée
Le journal Le Potentiel met en garde..et annonce le deplacement du GG de la MONUSCO á Goma et Goma est la ville que le Rwanda reclame Selon Le Potentiel, nous risquons de revoir le scènario du Soudan du Sud...où l´ONU avait commencée par placer ses casques bleus..á Juba..avant la scission du Soudan
ACCORD DE LEMERA
Ceux qui disaient que cette histoire est une invention de Ngbanda ne peuvent plus accuser Nbganda Ekomi polele-polele Eza lisusu ya ko bomba te..
Merci mister Lord...mais to zo lala too boni Maintenant que le Rwanda ne se cache plus et peut se permettre de reclamer une portion du territoire congolais devant un Parlement PanAfricain Nous devons faire extremement attention pour ces deux ans où Kanambe dirige la RDC..Il est capable de signer un cession du territoire congolais en faveur du Rwanda
Sur Voice of Congo Il ya une video d´une rencontre dans la bilbliothèque du Congres aux USA où les resistants congolais..en compagnie de l´ambassadrice de la RDC á Washington ont rencontrés des congresistes US
Pendant cette rencontre, Russ Feingold a eu une question sur cette reclamation du Rwanda...et il nie d´avoir affirmé sur RFI que lui soutenait cette idée
Le journal Le Potentiel met en garde..et annonce le deplacement du GG de la MONUSCO á Goma et Goma est la ville que le Rwanda reclame Selon Le Potentiel, nous risquons de revoir le scènario du Soudan du Sud...où l´ONU avait commencée par placer ses casques bleus..á Juba..avant la scission du Soudan
ACCORD DE LEMERA
Ceux qui disaient que cette histoire est une invention de Ngbanda ne peuvent plus accuser Nbganda Ekomi polele-polele Eza lisusu ya ko bomba te..
GHOST
Re: La Classe politique Congolaise ...
Kie kie kie, cette histoire je dis kie kie kie oui restons prudent mais c'est comme ci aujourd'hui on oublie la sustance même de cette guerre, comme si aujourd'hui toute notre population sacriée est ignoré. Les Rwandais peuvent le dire au parlement panafricains, on oublie que leur ancien président qui en prison l'avait dit, la bande à Clinton et à blair l'ont proclammé haut et fort., mais à la difference de sud soudan, ce n'est pas l'onu ni Kabila ni autre qui parle mais le peuple lui même. Je vois encore les images de l'entrée du feu colonel Ndala dans bunagana, la joie de la population et le nombre de drapeau de la RDC qui flottait, et on pense que on peut changer ces gens là de jour au lendemain en Rwandais. J'étais encore jeune de secondaire à Kalemie lorsque cette ville est passé sous le control de RCD goma, nous cherchons comment fuir, surtout les jeunes filles et arçons car enroler de force, i y a une maman qui était avec nous lorsqu'on parti chercher refuge chez les prêtres et MONUC, cette maman interpelle les gens de croix rouge pour leur dire pourquoi elle elle ne va pas fuir, elle disait si les rwandais n'ont pas compris que le congo ne leur appartiendra pas alors il y a encore des enfants, des femmes, des hommes et de viellars à tuer et il y a encore assez de mabolo ya ko violer mais le congo n'appartiendra jamais au Rwanda. Veut dire aussi on peut nous tuer tant qu'on veut on peut nous violer tant qu'on veux mais on restera à jamais des congolais. D'où la situation du congo est different de celle de sud soudan ou de l'erythrée avec l'ethiopie.
piélé de dongo
Re: La Classe politique Congolaise ...
Piélé tu fais exprès de ne rien comprendre où oza kosala distraction?
Le représentait rwandais alobi polele et toi tu racontes quoi?
Depuis le temps que ses rwandais nous tuent nous pillent nous violent disposition nini kabila azua? Sécurisation ya frontière osi oyoka? Convoquer ambassadeur ya Rwanda asala? Mais il peut rencontrer sans témoin le président rwandais. Il peut signer des accords sans que l'on sache de quoi il s'agit..,
Et toi tu te permets d'écrire c'est le peuple qui décide???
Relis les accords de Lemara... Kabila est là pour ça.
Boza certains kofinga NGWANDA akebisa biso Awa rwandais alobi MENDE alobi nini?
Le représentait rwandais alobi polele et toi tu racontes quoi?
Depuis le temps que ses rwandais nous tuent nous pillent nous violent disposition nini kabila azua? Sécurisation ya frontière osi oyoka? Convoquer ambassadeur ya Rwanda asala? Mais il peut rencontrer sans témoin le président rwandais. Il peut signer des accords sans que l'on sache de quoi il s'agit..,
Et toi tu te permets d'écrire c'est le peuple qui décide???
Relis les accords de Lemara... Kabila est là pour ça.
Boza certains kofinga NGWANDA akebisa biso Awa rwandais alobi MENDE alobi nini?
mongo elombe
Re: La Classe politique Congolaise ...
Mende est fatiguant...,
http://www.digitalcongo.net/article/98075
http://www.digitalcongo.net/article/98075
mongo elombe
Re: La Classe politique Congolaise ...
Et tu Mfumu Toto? Pourquoi ne suis-je pas surprise? Atiki 3eme voix alandi nzela ya lifelo. Bazela, peuple ako sabola bango J'imagine que Kengo financera leurs campagnes en 2016....
Mathilde a écrit:Les prostituées politiques, en tout cas...
LISANGA BONGANGA, MFUMUNTOTO ETC… REJOIGNENT KENGO WA DONDO
Tsippora
Re: La Classe politique Congolaise ...
Gouvernement : Quand Mende "tarife" ses conférences et points de presse
Lambert Mende Omalanga, ministre congolais des Médias et porte-parole du gouvernement
Quarante-cinq mille dollars américains, c’est le montant que perçoit le ministre congolais des Médias et porte-parole du gouvernement, Lambert Mende Omalanga. Cette somme lui est remise par le Premier ministre Augustin Matata Ponyo à la veille de chaque conférence ou point de presse. Et pourtant, les réunions du conseil des ministres sont rarissimes au Congo démocratique.
Sur instruction, semble-t-il, de "la haute hiérarchie" (entendez : "Joseph Kabila), le Premier ministre Augustin Matata Ponyo est tenu de remettre au ministre des Médias et porte-parole du gouvernement, Lambert Mende Omalanga, un montant de 45.000$ US à l’occasion de chaque conférence ou point de presse. "Relevant du fond secret, commente un haut fonctionnaire, cet argent est géré de manière discrétionnaire par le porte-parole du gouvernement".
En plus donc de son traitement perçu en tant que membre du gouvernement, le ministre Mende, telle une star du showbiz, exige un "cachet" à chacune de ses prestations devant la presse congolaise. Que fait-il avec cette cagnotte? Selon des confrères kinois, une infime partie de cette somme sert à "défrayer" les journalistes présents. C’est le fameux "coupage". Le tarif serait respectivement de 200 et 500 $US selon qu’on représente un "petit" ou un "grand" organe de presse. Les bénéficiaires de cette "obole" prennent l’engagement non écrit de rapporter les déclarations de ce ministre sans y ajouter le moindre commentaire. Les Kinois appellent ça une "neutralité positive". C’est tout simplement inimaginable que le ministre de l’Information se mette à soudoyer les journalistes.
Porte-parole d’un gouvernement qui ne se réunit que très rarement, le ministre Mende ne se croit guère tenu d’attendre les délibérations du conseil des ministres pour exercer le ministère de la parole. Il intervient sur tout et sur rien. Le drame? Il a tendance à emmêler les pinceaux en disant une chose et son contraire. Aussi, a-t-il perdu toute crédibilité aux yeux de l’opinion congolaise. Cette dernière lui a accolé le surnom peu avantageux de "Vuvuzéla", cette petite trompette rendue célèbre par les Sud Africains lors de la Coupe du monde de 2010.
Depuis le 1er janvier 2014 à ce jour, l’exécutif national congolais a tenu une seule réunion du conseil des ministres sous la présidence du Premier ministre. Mende, lui, a animé plusieurs conférences et points de presse sur quelques sujets brûlants : les attaques du 30 décembre 2013 à Kinshasa, Lubumbashi et Kindu imputés aux adeptes du "prophète" Joseph Mukungubila; l’assassinat du colonel Mamadou Ndala à Beni et les tracasseries politico-policières subies par Vital Kamerhe et la réaction de la délégation de l’Union européenne à Kinshasa. Le vendredi 14 février, Mende donnait, au cours d’une conférence de presse, le "bilan" des combats qui opposent, dans la partie orientale du pays, l’armée congolaise aux rebelles ougandais de l’ADF-Nalu.
Il faut refuser de voir pour ne pas constater que la loquacité de l’actuel porte-parole du gouvernement est motivée par les espèces sonnantes et trébuchantes perçues à la Primature. Il y a un réel problème de cohérence dans le chef de ce politicien qui a par ailleurs été un ancien opposant "pur et dur" au régime de Mobutu. Après avoir fustigé la dictature de la IIème République, "Lambert" sert aujourd’hui "avec la même conviction" la dictature kabiliste. Et pourtant, il avait combattu celle-ci en militant dans les rangs du mouvement pro-rwandais du RCD-Goma dans lequel il avait en charge le département de l’Information et presse avant de rejoindre Antipas Mbusa Nyamwisi dans le RCD-ML.
A travers le parcours de Lambert Mende Omalanga, une question mérite d’être posée : Qu’est ce qui fait courir l’homme politique congolais? Un confrère kinois de répondre : "Il n’y a que deux choses : l’argent et les postes. Il n’y a aucune place pour des convictions en des valeurs ou un projet pour changer la société congolaise...".
Congoindépendant.
Lambert Mende Omalanga, ministre congolais des Médias et porte-parole du gouvernement
Quarante-cinq mille dollars américains, c’est le montant que perçoit le ministre congolais des Médias et porte-parole du gouvernement, Lambert Mende Omalanga. Cette somme lui est remise par le Premier ministre Augustin Matata Ponyo à la veille de chaque conférence ou point de presse. Et pourtant, les réunions du conseil des ministres sont rarissimes au Congo démocratique.
Sur instruction, semble-t-il, de "la haute hiérarchie" (entendez : "Joseph Kabila), le Premier ministre Augustin Matata Ponyo est tenu de remettre au ministre des Médias et porte-parole du gouvernement, Lambert Mende Omalanga, un montant de 45.000$ US à l’occasion de chaque conférence ou point de presse. "Relevant du fond secret, commente un haut fonctionnaire, cet argent est géré de manière discrétionnaire par le porte-parole du gouvernement".
En plus donc de son traitement perçu en tant que membre du gouvernement, le ministre Mende, telle une star du showbiz, exige un "cachet" à chacune de ses prestations devant la presse congolaise. Que fait-il avec cette cagnotte? Selon des confrères kinois, une infime partie de cette somme sert à "défrayer" les journalistes présents. C’est le fameux "coupage". Le tarif serait respectivement de 200 et 500 $US selon qu’on représente un "petit" ou un "grand" organe de presse. Les bénéficiaires de cette "obole" prennent l’engagement non écrit de rapporter les déclarations de ce ministre sans y ajouter le moindre commentaire. Les Kinois appellent ça une "neutralité positive". C’est tout simplement inimaginable que le ministre de l’Information se mette à soudoyer les journalistes.
Porte-parole d’un gouvernement qui ne se réunit que très rarement, le ministre Mende ne se croit guère tenu d’attendre les délibérations du conseil des ministres pour exercer le ministère de la parole. Il intervient sur tout et sur rien. Le drame? Il a tendance à emmêler les pinceaux en disant une chose et son contraire. Aussi, a-t-il perdu toute crédibilité aux yeux de l’opinion congolaise. Cette dernière lui a accolé le surnom peu avantageux de "Vuvuzéla", cette petite trompette rendue célèbre par les Sud Africains lors de la Coupe du monde de 2010.
Depuis le 1er janvier 2014 à ce jour, l’exécutif national congolais a tenu une seule réunion du conseil des ministres sous la présidence du Premier ministre. Mende, lui, a animé plusieurs conférences et points de presse sur quelques sujets brûlants : les attaques du 30 décembre 2013 à Kinshasa, Lubumbashi et Kindu imputés aux adeptes du "prophète" Joseph Mukungubila; l’assassinat du colonel Mamadou Ndala à Beni et les tracasseries politico-policières subies par Vital Kamerhe et la réaction de la délégation de l’Union européenne à Kinshasa. Le vendredi 14 février, Mende donnait, au cours d’une conférence de presse, le "bilan" des combats qui opposent, dans la partie orientale du pays, l’armée congolaise aux rebelles ougandais de l’ADF-Nalu.
Il faut refuser de voir pour ne pas constater que la loquacité de l’actuel porte-parole du gouvernement est motivée par les espèces sonnantes et trébuchantes perçues à la Primature. Il y a un réel problème de cohérence dans le chef de ce politicien qui a par ailleurs été un ancien opposant "pur et dur" au régime de Mobutu. Après avoir fustigé la dictature de la IIème République, "Lambert" sert aujourd’hui "avec la même conviction" la dictature kabiliste. Et pourtant, il avait combattu celle-ci en militant dans les rangs du mouvement pro-rwandais du RCD-Goma dans lequel il avait en charge le département de l’Information et presse avant de rejoindre Antipas Mbusa Nyamwisi dans le RCD-ML.
A travers le parcours de Lambert Mende Omalanga, une question mérite d’être posée : Qu’est ce qui fait courir l’homme politique congolais? Un confrère kinois de répondre : "Il n’y a que deux choses : l’argent et les postes. Il n’y a aucune place pour des convictions en des valeurs ou un projet pour changer la société congolaise...".
Congoindépendant.
mongo elombe
Re: La Classe politique Congolaise ...
On dirait qu'on est dans un pays pauvre, miyibi toujours attendre des autres ors baza koyiba sans fin.
Justice : La Monusco offre le bâtiment du tribunal de jeunesse à Kalemie
Wivine Mumba Matipa, ministre congolais de la Justice
Grâce à un financement de l’Unicef (Agence de l’Onu pour l’enfance), Alessandra Triabattoni, chef de bureau de la Mission onusienne au Congo a remis, samedi 22 février, aux autorités judiciaires du district du Tanganyika, le bâtiment construit par la Monusco pour abriter le tribunal de la Jeunesse à Kalemie. Coût : 24.000 $ US (vingt-quatre mille dollars américains).
Comme à l’accoutumée en pareille occasion, le fonctionnaire onusien et le représentant des pouvoirs publics en l’occurrence le commissaire de district assistant du Tanganika chargé des questions économiques et financières, Adèle Kafwama, ont procédé à la coupure du ruban symbolique.
Selon une dépêche de l’ACP, dans leurs mots de circonstances, Adèle Kafwama et Alessandra Trabattoni ont recommandé la préservation de ce bâtiment et l’usage rationnel des équipements pour bureaux et matériels informatiques. Pour la petite histoire, ce bâtiment a été construit par des Casques bleus du contingent béninois. Durée : trois mois. On peut gager que les "frères du Bénin" n’ont pas manqué de s’étonner que le "Grand Congo" accepte des "aides" aussi dérisoires voire humiliantes pendant que les gouvernants en place roulent carrosse. En réalité, ce cas n’est pas le premier du genre. Des exemples pullulent.
En 2005, le Congo-Kinshasa est sous l’empire du régime de transition "1+4". Le ministre des Transports et communications d’alors, Heva Mwakasa, vient à Bruxelles. Objectif : signer un "accord de coopération" avec le ministre belge des Affaires étrangères Karel De Gucht en vue d’obtenir un financement destiné aux travaux de réhabilitation du Port de Kinshasa et de Matadi. Montant : un million d’euros. Dans la même circonstance de temps, les autorités de Kinshasa demandaient au ministère belge de la Coopération au développement de prendre en charge l’impression de billets de francs congolais à valeur faciale élevée pour une somme de... 1,4 million d’euros.
En décembre 2007, l’organisme public belge "Siamu" (Service d’incendie et d’aide médicale d’urgence), a offert trois ambulances, du matériel sanitaire et de radiocommunication aux villes de Kinshasa et de Goma. Il s’agissait d’un
«don». Combien ont pu coûter ces engins? Cent mille euros ? Deux cents mille? A l’époque, le traitement mensuel de "Joseph Kabila" était estimé à 500.000 $ US.
Depuis l’accession du Congo-Kinshasa à l’indépendance, les dirigeants politiques affichent le plus grand mépris à l’égard des secteurs ayant un impact direct sur le bien-être collectif : santé, éducation, agriculture, infrastructures etc. L’essentiel du budget de l’Etat est affecté aux dépenses à caractère politique et sécuritaire. Le social est "laissé" aux bons soins des organisations non gouvernementales subsidiées par des "partenaires extérieures". Les mauvaises habitudes ont la vie dure.
Comble d’incohérence, au lendemain du terrible tremblement de terre qui dévasta Haïti en janvier 2010, "Joseph Kabila", décida d’envoyer au peuple haïtien une aide d’urgence d’un import de 2,5 millions $US.
Revenons à Kalemie. Fallait-il franchement laisser l’Unicef débourser la modique somme de 24.000$ US pour permettre à la justice congolaise de disposer d’un "abri" pour juger la jeunesse ou les enfants? Où est passé la dignité de toute une nation? Ancien commissaire européen au développement, l’Italienne Emma Bonino aimait qualifier les dirigeants africains de "mendiants arrogants". A tort?
B.A.W
© Congoindépendant 2003-2014
Justice : La Monusco offre le bâtiment du tribunal de jeunesse à Kalemie
Wivine Mumba Matipa, ministre congolais de la Justice
Grâce à un financement de l’Unicef (Agence de l’Onu pour l’enfance), Alessandra Triabattoni, chef de bureau de la Mission onusienne au Congo a remis, samedi 22 février, aux autorités judiciaires du district du Tanganyika, le bâtiment construit par la Monusco pour abriter le tribunal de la Jeunesse à Kalemie. Coût : 24.000 $ US (vingt-quatre mille dollars américains).
Comme à l’accoutumée en pareille occasion, le fonctionnaire onusien et le représentant des pouvoirs publics en l’occurrence le commissaire de district assistant du Tanganika chargé des questions économiques et financières, Adèle Kafwama, ont procédé à la coupure du ruban symbolique.
Selon une dépêche de l’ACP, dans leurs mots de circonstances, Adèle Kafwama et Alessandra Trabattoni ont recommandé la préservation de ce bâtiment et l’usage rationnel des équipements pour bureaux et matériels informatiques. Pour la petite histoire, ce bâtiment a été construit par des Casques bleus du contingent béninois. Durée : trois mois. On peut gager que les "frères du Bénin" n’ont pas manqué de s’étonner que le "Grand Congo" accepte des "aides" aussi dérisoires voire humiliantes pendant que les gouvernants en place roulent carrosse. En réalité, ce cas n’est pas le premier du genre. Des exemples pullulent.
En 2005, le Congo-Kinshasa est sous l’empire du régime de transition "1+4". Le ministre des Transports et communications d’alors, Heva Mwakasa, vient à Bruxelles. Objectif : signer un "accord de coopération" avec le ministre belge des Affaires étrangères Karel De Gucht en vue d’obtenir un financement destiné aux travaux de réhabilitation du Port de Kinshasa et de Matadi. Montant : un million d’euros. Dans la même circonstance de temps, les autorités de Kinshasa demandaient au ministère belge de la Coopération au développement de prendre en charge l’impression de billets de francs congolais à valeur faciale élevée pour une somme de... 1,4 million d’euros.
En décembre 2007, l’organisme public belge "Siamu" (Service d’incendie et d’aide médicale d’urgence), a offert trois ambulances, du matériel sanitaire et de radiocommunication aux villes de Kinshasa et de Goma. Il s’agissait d’un
«don». Combien ont pu coûter ces engins? Cent mille euros ? Deux cents mille? A l’époque, le traitement mensuel de "Joseph Kabila" était estimé à 500.000 $ US.
Depuis l’accession du Congo-Kinshasa à l’indépendance, les dirigeants politiques affichent le plus grand mépris à l’égard des secteurs ayant un impact direct sur le bien-être collectif : santé, éducation, agriculture, infrastructures etc. L’essentiel du budget de l’Etat est affecté aux dépenses à caractère politique et sécuritaire. Le social est "laissé" aux bons soins des organisations non gouvernementales subsidiées par des "partenaires extérieures". Les mauvaises habitudes ont la vie dure.
Comble d’incohérence, au lendemain du terrible tremblement de terre qui dévasta Haïti en janvier 2010, "Joseph Kabila", décida d’envoyer au peuple haïtien une aide d’urgence d’un import de 2,5 millions $US.
Revenons à Kalemie. Fallait-il franchement laisser l’Unicef débourser la modique somme de 24.000$ US pour permettre à la justice congolaise de disposer d’un "abri" pour juger la jeunesse ou les enfants? Où est passé la dignité de toute une nation? Ancien commissaire européen au développement, l’Italienne Emma Bonino aimait qualifier les dirigeants africains de "mendiants arrogants". A tort?
B.A.W
© Congoindépendant 2003-2014
mongo elombe
Re: La Classe politique Congolaise ...
Des faits graves au Palais de la Nation, des arrestations chez Kabila -
”.
Le directeur de la presse présidentielle croupit depuis le week-end dernier au pavillon 8 du CPRK pour “faux et usage de faux “et “détournement”.
Des informations circulant dans la ville de Kinshasa font état d’arrestations, depuis la semaine passée, dans l’entourage du chef de l’Etat, pour des faits très graves que, la justice doit encore confirmer. En effet, le directeur de la presse présidentielle, journaliste à la télévision nationale, André Ngwej Katot, a été arrêté le vendredi 21 février dernier, avec un de ses collaborateurs, tous deux conduits directement à la Prison centrale de Makala (PCM). La nouvelle a été répandue le weekend sur les réseaux sociaux, mais aux allures d’une rumeur. Car rien d’officiel n’était annoncé dans ce sens, ni par la présidence de la République, encore moins par le porte-parole du gouvernement, Lambert Mende Omalanga.
Finalement, la rumeur qui a pris forme, a été confirmée hier lundi 24 février par des sources proches de la société civile, plus précisément quelques Organisations non gouvernementales des droits de l’homme. Ces institutions ont certifié la détention du confrère André Ngwej Katot au pavillon 8 du Centre pénitentiaire de rééducation de Makala (CPRK), attestant qu’il a été effectivement arrêté avec un de ses collaborateurs.
Des sources affirment que les griefs retenus à sa charge seraient liés au “ faux et usage de faux” et « détournement ». Ce responsable de la presse présidentielle aurait fait main basse sur les frais destinés à la confection et impression des calendriers frappés à l’effigie du chef de l’Etat. Il aurait détourné cette bagatelle pour en faire un autre usage, ce qui l’a conduit derrière les barreaux.
Lors de son procès organisé au CPRK, apprend-t-on, ses avocats auraient demandé la liberté provisoire, demande aussitôt rejetée par les juges. Pour l’instant donc, en attendant que la justice le condamne, Ngwej se trouve au CPRK, contrairement à des rumeurs selon lesquelles il serait déjà libéré. C’est de là qu’il comparaîtra chaque fois que le tribunal aura besoin de’ lui.
Mais il faut également souligner que malgré qu’il soit incarcéré, il jouit encore pleinement de la présomption d’innocence, jusqu’à ce que tous les griefs mis à sa charge soient établis par la justice.
Ce fait rappelle à l’opinion les circonstances quasi analogues dans lesquelles un ancien porte-parole du chef de l’Etat avait été chassé de son bureau du Palais de la Nation. Ancien journaliste à la télévision nationale comme Ngwej, l’ex porte-parole de Joseph Kabila était lui aussi accusé de détournement d’une importante somme d’argent destinée à l’achat de matériel de la presse présidentielle. Heureusement pour lui, il n’a pas pris la direction du CPRK. Il a purement et simplement été viré de son poste, sans autre forme de procès.
Aujourd’hui, il fait partie d’une branche de l’opposition en combattant le régime en place qu’il a pourtant défendu bec et ongles durant de longues années.
Cela devra servir d’exemple à d’autres inciviques, proches du chef de l’Etat, qui se prennent pour des intouchables, qui tenteraient de se compromettre dans pareilles mésaventures.
LM
La Tempête des Tropiques
Mathilde
Re: La Classe politique Congolaise ...
Bampangi il y a de l'espoir, nos déshonorables n'ont pas suivi le djaleliste procureur. Le gouverneur un traître comme certains des nôtres...Maintenant qu'ils se battent pour DIOMI et les autres.
http://www.jeuneafrique.com/Article/ARTJAWEB20140403150414/joseph-kabila-rdc-bas-congo-matadi-parlement-de-rdc-rdc-accuses-d-offenses-envers-kabila-trois-deputes-echappent-a-la-levee-de-leur-immunite.html
http://www.jeuneafrique.com/Article/ARTJAWEB20140403150414/joseph-kabila-rdc-bas-congo-matadi-parlement-de-rdc-rdc-accuses-d-offenses-envers-kabila-trois-deputes-echappent-a-la-levee-de-leur-immunite.html
mongo elombe
Re: La Classe politique Congolaise ...
Dieu leurs donnent un avertissement ses opportunistes ne voient rien. Déplacer tout se monde pourquoi?
Il y a d'autres urgences n'est ce pas???
- RDC: déplacement mouvementé pour les assises du PPRD
Accédez à l'article : http://www.rfi.fr/afrique/20140413-rdc-assises-pprd-kabila-katumbi-kinshasa-mbandaka-elections-congres
Il y a d'autres urgences n'est ce pas???
- RDC: déplacement mouvementé pour les assises du PPRD
Accédez à l'article : http://www.rfi.fr/afrique/20140413-rdc-assises-pprd-kabila-katumbi-kinshasa-mbandaka-elections-congres
mongo elombe
Re: La Classe politique Congolaise ...
....Modifier les dispositions intangibles de la Constitution en vigueur n’est-ce pas une tentative de miner les fondations de l’Accord Politique Global qui est reconnu par toutes les forces politiques réunie après la chute de Mobutu ?
Le Congo –Kinshasa aurait-il assisté à la mort de plus de 8.000.000 de ses ressortissants tout simplement pour revenir à la case de départ, avec une dictature à vie en gestation, maquillée et soutenue par les mêmes cerveaux pervertis mobutistes qui avaient entêté le Marechal à ne pas céder à la pleine démocratisation du pays ? Ils sont toujours là, toujours les mêmes, prêts à tout pour ramasser les miettes tombées de la table de leur nouveau patron.
Certes Mobutu, s’il ne nous avait pas assuré la démocratie, il nous avait assuré, au moins, jusqu’en 1996, la sécurité et le respect de nos voisins.
Maintenant, à nous, peuple congolais, il nous ne reste plus rien :
ni le respect de nos voisin, ni la sécurité et encore moins le développement économique, impossible dans un pays où la patrimonialisation des biens de l’Etat et la corruption sont le règles de base de la gestion économique du pays, des antivaleurs auxquels s’ajoute le manque absolu de sécurité juridique...http://wp.me/p18AQh-2bd
KOTA
Re: La Classe politique Congolaise ...
http://radiookapi.net/actualite/2014/04/12/mini-congres-du-pprd-les-participants-reflechissent-sur-la-perennisation-des-acquis-de-joseph-kabila/
Maintenant qu'ils confirment leurs intentions l'opposition doit s'unir et combattre pprd sur son bilan,
Faire le tour de la RDC et conscientiser le peuple.
Maintenant qu'ils confirment leurs intentions l'opposition doit s'unir et combattre pprd sur son bilan,
Faire le tour de la RDC et conscientiser le peuple.
mongo elombe
Re: La Classe politique Congolaise ...
RDC: PLUS DE 17 ANS SANS CARTE D'IDENTITÉ, LES ETRANGERS SONT CONFONDUS AVEC LES NATIONAUX
Shame .
Shame .
Mathilde
Re: La Classe politique Congolaise ...
Heureusement que le ridicule ne tue pas .
http://www.mediacongo.net/show.asp?doc=56532#.U3YN7Hgayc0
http://www.mediacongo.net/show.asp?doc=56532#.U3YN7Hgayc0
mongo elombe
Re: La Classe politique Congolaise ...
Des cartes biométriques pour les travailleurs étrangers et le congolais n'a pas de pièce d'identité bakoboma nga vraiment..
http://radiookapi.net/actualite/2014/05/24/rdc-le-gouvernement-instaure-une-carte-biometrique-pour-les-travailleurs-etrangers/?utm_source=Feednanga&utm_medium=Share%20stats%20widget&utm_campaign=Feednanga%3A%20Most%20shared%20links#.U4DNWXgayc0
mongo elombe
Re: La Classe politique Congolaise ...
Mba opposants bakomi kowela mpifo kie 280 candidatures pour certains... KABILA na KENGO baza kosakana na congolais et ça marche que feront t'ils qui n'a pas été fait en 2 ans? Mawa...
opposition républicaine : encore 41 noms rayés sur la liste des ministrables
Quarante et un dossiers des opposants concertateurs manquent des CV- curriculum vitae au cabinet du chef de l’Etat. L’officine d’étude chargé de traiter au cas par cas les dossiers des ministrables, issue des différentes obédiences appelés à composer le gouvernement de cohésion nationale, a curieusement remarqué dans le camp de l’opposition Kengiste quarante et un dossiers incomplets.
Cette absence risque de coûter très cher aux opposants et les disqualifier dans la course. Eux qui ont répondu favorable à l’appel de Joseph Kabila lors des concertations nationales tenues à Kinshasa aux mois de septembre et octobre de l’année passée. La source présidentielle estime que ce manque des dossiers est un coup politique imaginé par un des routiniers politiques, un félin calculateur, mieux tireur d’élite qui a l’art de cibler sa proie dans toutes ses facettes. Congo News a pris soin de vérifier chez certains opposants-concertateurs qui effectivement reconnaissent qu’ils avaient remis leurs CV à la commission qui était chargée de réceptionner les dossiers des ambitieux concertateurs.
Pour l’aile dirigée par Jean Pierre Lisanga, la commission géré par Delly Sessanga, qui les recevait dans son cabinet d’avocat dans l’immeuble ex-OGEDEP, derrière la cour suprême de justice. L’autre aile des révoltés contre Lisanga qui ont accepté à la première heure l’adhésion du RCD à l’opposition républicaine gérée par Michel Bongongo et Hubert Efole. Les deux ailes réunies avaient totalisé deux cents quatre vingt candidatures remis à Kengo. L’autorité morale de l’opposition républicaine, pour éviter toute frustration, avait remis au Palais de la nation une seule liste de dix candidats ministrables accompagnés de ces deux cents quatre vingt dossiers des prétentieux. La source souligne que ce n’est pas, selon le bon vouloir de Kengo, mais plutôt une exigence de la Présidence de la République.
Le félin Kengo avait présenté cet impératif présidentiel comme sa manière de maximiser les chances pour tous les opposants- concertateurs. Faux et archifaux rétorque la source présidentielle. Le chef de l’Etat tient à être reconnaissant à ceux qui ont répondu à son appel, lors des assises du Palais du peuple, en tenant compte de deux critères principaux, à savoir la compétence et la probité morale. C’est cette logique fondamentale qui a amené le chef de l’Etat à biffer sept noms sur le dix présenté avant son voyage en France.
De tout ce qui précède, la question qui hante l’esprit des avertis est que les quarante et un dossiers incomplets, est-il un fait commis par inadvertance ou a été soustrait à un certain niveau. Dans l’une ou l’autre hypothèse, l’absence des quarante et un CV, parait comme une sanction avant la désignation des animateurs appelés à accéder dans la chambre des saints.
Dans ces attractions tumultueuses, des consultations accélérés, tous les coups semblent être permis. Un cas similaire a été observé dans le gouvernement Gizenga avec un fantôme ministre Ilunga Kasongo qui n’existait pas et à la place, l’autorité morale de ce parti, Kisimba Ngoy était en deuxième position pour occuper le poste en remplacement du fictif. Malheureusement, Gizenga a raillé le nom du Président de ce parti. D'où est sorti le sobriquet « Yandi Ve- Yandi Kaka ». L’histoire se répète devant nous avec les composantes appelées à constituer le gouvernement de cohésion nationale.
Gerard Lemba
Kinshasa, 30/05/2014 (Congo News, via mediacongo.net)
opposition républicaine : encore 41 noms rayés sur la liste des ministrables
Quarante et un dossiers des opposants concertateurs manquent des CV- curriculum vitae au cabinet du chef de l’Etat. L’officine d’étude chargé de traiter au cas par cas les dossiers des ministrables, issue des différentes obédiences appelés à composer le gouvernement de cohésion nationale, a curieusement remarqué dans le camp de l’opposition Kengiste quarante et un dossiers incomplets.
Cette absence risque de coûter très cher aux opposants et les disqualifier dans la course. Eux qui ont répondu favorable à l’appel de Joseph Kabila lors des concertations nationales tenues à Kinshasa aux mois de septembre et octobre de l’année passée. La source présidentielle estime que ce manque des dossiers est un coup politique imaginé par un des routiniers politiques, un félin calculateur, mieux tireur d’élite qui a l’art de cibler sa proie dans toutes ses facettes. Congo News a pris soin de vérifier chez certains opposants-concertateurs qui effectivement reconnaissent qu’ils avaient remis leurs CV à la commission qui était chargée de réceptionner les dossiers des ambitieux concertateurs.
Pour l’aile dirigée par Jean Pierre Lisanga, la commission géré par Delly Sessanga, qui les recevait dans son cabinet d’avocat dans l’immeuble ex-OGEDEP, derrière la cour suprême de justice. L’autre aile des révoltés contre Lisanga qui ont accepté à la première heure l’adhésion du RCD à l’opposition républicaine gérée par Michel Bongongo et Hubert Efole. Les deux ailes réunies avaient totalisé deux cents quatre vingt candidatures remis à Kengo. L’autorité morale de l’opposition républicaine, pour éviter toute frustration, avait remis au Palais de la nation une seule liste de dix candidats ministrables accompagnés de ces deux cents quatre vingt dossiers des prétentieux. La source souligne que ce n’est pas, selon le bon vouloir de Kengo, mais plutôt une exigence de la Présidence de la République.
Le félin Kengo avait présenté cet impératif présidentiel comme sa manière de maximiser les chances pour tous les opposants- concertateurs. Faux et archifaux rétorque la source présidentielle. Le chef de l’Etat tient à être reconnaissant à ceux qui ont répondu à son appel, lors des assises du Palais du peuple, en tenant compte de deux critères principaux, à savoir la compétence et la probité morale. C’est cette logique fondamentale qui a amené le chef de l’Etat à biffer sept noms sur le dix présenté avant son voyage en France.
De tout ce qui précède, la question qui hante l’esprit des avertis est que les quarante et un dossiers incomplets, est-il un fait commis par inadvertance ou a été soustrait à un certain niveau. Dans l’une ou l’autre hypothèse, l’absence des quarante et un CV, parait comme une sanction avant la désignation des animateurs appelés à accéder dans la chambre des saints.
Dans ces attractions tumultueuses, des consultations accélérés, tous les coups semblent être permis. Un cas similaire a été observé dans le gouvernement Gizenga avec un fantôme ministre Ilunga Kasongo qui n’existait pas et à la place, l’autorité morale de ce parti, Kisimba Ngoy était en deuxième position pour occuper le poste en remplacement du fictif. Malheureusement, Gizenga a raillé le nom du Président de ce parti. D'où est sorti le sobriquet « Yandi Ve- Yandi Kaka ». L’histoire se répète devant nous avec les composantes appelées à constituer le gouvernement de cohésion nationale.
Gerard Lemba
Kinshasa, 30/05/2014 (Congo News, via mediacongo.net)
mongo elombe
Re: La Classe politique Congolaise ...
RDC : Un député piégé pour 100.000 dollars
05/06/2014 16:42:00KongoTimes!
Font size:
Albert Fabrice Puela
C’est depuis longtemps que le député Albert Fabrice Puela a pris la sale habitude de tordre le cou aux bonnes mœurs, surtout les mœurs politiques où il excellerait en coups tordus. Il en a encore donné la preuve, cette fois dans un épisode où il s’est fait piéger pour une « promesse » de 100.000 dollars américains qu’on lui aurait fait miroiter. Et en échange, il devrait retirer la question orale qu’il aurait adressée à un membre du gouvernement central, ministre de son état. Dossier à découvrir dans ces quelques lignes.
D’entrée, il faut noter que briguer et exercer une responsabilité politique n’est pas donné à n’importe qui. Ce qui revient à dire que tout celui qui exprime cette ambition, doit préalablement faire l’objet d’une enquête minutieuse sur sa vie, depuis son enfance jusqu’à sa maturité. Malheureusement, il n’en est pas le cas dans certains de nos pays où les choses se font souvent sans un minimum de précautions. Des choses inacceptables dans un pays où des personnes au passé nébuleux siègent dans des institutions pourtant républicaines.
Un petit coup d’oeil sur le député Albert Fabrice Puela – de son vrai nom Khoto Phuela - permet quand même de se faire une idée sur la personne et ce, sur la base des témoignages de ses anciens collègues de l’école primaire, du secondaire et de l’université, ainsi que de ses confrères avocats et de ses collègues députés nationaux. Les résultats de cette investigation sont en effet plus que révélateurs sur la personne, sur sa carrière politique qui ne tient qu’à des béquilles et à la ruse ; l’homme se faisant passer tantôt fils du grand commerçant connu dans le Mayombe, feu Phuela Bindele, tantôt chauffeur de Tshisekedi il n’y a pas longtemps.
CAFOUILLAGES, CAMOUFLAGES
Tous ceux qui l’ont connu, depuis son enfance jusqu’aujourd’hui, le considèrent comme étant un homme « paranoïaque, haineux, intrigant, opportuniste et démagogue, infirme politique... »
Depuis la nuit des temps de son enfance, tout son entourage savait qu’il serait incorrect dès les premières années de sa scolarité. Il trompait toujours ses parents. Pour preuves, aux humanités, très instable, il changeait des écoles sans même informer ses parents. Ceux qui le connaissent conviendront qu’il ne serait pas de bonnes mœurs.
2006. Pendant la campagne des législatives nationales du premier tour, alors qu’il était de l’ARC, un parti de la majorité présidentielle, il se présente auprès de la base de Matadi comme un opposant d’où son élection à la députation nationale. Encore une fois, roublardise.
2010. L’homme se présente comme « candidat Président de la République » alors qu’il n’a ni les moyens et ne remplit aucun critère sérieux pour prétendre devenir président de la République.
2011. Aux élections de 2011, alors que l’homme était déjà fini politiquement à Matadi, député national de son état, il usera de tous les subterfuges pour se faire passer chauffeur du candidat président de la République Etienne Tshisekedi et utilisera subtilement son fameux « carton rouge » pour gagner la sympathie des Matadiens. Grâce à ces cafouillages et camouflages, il est élu député national.
En 2012, il mène une campagne tambour battant contre le candidat Déo Nkusu pour l’avènement de Jacques Mbadu à la tête de la province du Bas-Congo espérant ainsi devenir la pièce maîtresse lors de la composition du Gouvernement provincial.
Malheureusement, mal lui en prit, car le gouverneur Jacques Mbadu ne tiendra pas compte de ses ambitions. Lui qui se trouve à l’étroit à l’hémicycle du Palais du Peuple, rêvait devenir soit ministre de la Justice du gouvernement provincial, soit ministre de l’Administration provinciale, à défaut d’un poulain présenté par lui.
Voilà ce qui fait de lui un aigri éternel. Et quels que soient les résultats que Jacques Mbadu réalisera dans le Bas-Congo, ils seront toujours négatifs pour celui que, dans certains milieux, on présente comme un infirme politique.
A l’Assemblée nationale, lors de la session budgétaire de septembre 2013, alors qu’il venait d’initier lui-même une question orale adressée au ministre des Affaires étrangères, Raymond Tshibanda. Le jour du débat autour de cette question, notre député national a brillé délibérément par son absence sans présenter aucune excuse. Irresponsabilité qui lui a valu 3 mois de suspension de paiement de ses émoluments et tous les autres avantages dus à son rang de député national. Ceux qui sont au courant de cet impair, savent que Puela avait exigé 100.000 USD à un ministre du gouvernement central afin qu’il retire sa question.
Un conseiller de ce ministre, chargé de négocier cette transaction, l’avait roulé dans la farine en lui fixant rendez-vous à un lieu qui était tenu secret dans le Bas-Congo à 80 km de Kinshasa, entre Luila et Kisantu.
Puela attendra plusieurs heures sans voir ni l’ombre du conseiller, ni empocher les espèces sonnantes et trébuchantes qu’il a exigées. Et Puela sera seulement surpris le soir quand il apprendra, par la voie des ondes, la sanction que la Majorité à l’Assemblée nationale avait prise à son endroit. Cupidité, quand tu nous tiens !
IL NE TIENT QU’A SES INTERETS
Contrairement à ses collègues députés nationaux élus de Matadi qui posent des actions à impact visible, lui n’excelle que dans des discours démagogiques et populistes ne contribuant en rien au développement communautaire de la ville de Matadi en particulier et de la province du Bas-Congo en général.
La personne est connue pour son penchant à inciter inutilement les jeunes de Matadi à la désobéissance civique en troublant l’ordre public, alors que son épouse et ses enfants sont à l’abri très loin aux Etats-Unis d’Amérique. L’honorable Puela ne pense donc qu’à ses intérêts égoïstes, l’intérêt supérieur des Matadiens étant le cadet de ses soucis.
05/06/2014 16:42:00KongoTimes!
Font size:
Albert Fabrice Puela
C’est depuis longtemps que le député Albert Fabrice Puela a pris la sale habitude de tordre le cou aux bonnes mœurs, surtout les mœurs politiques où il excellerait en coups tordus. Il en a encore donné la preuve, cette fois dans un épisode où il s’est fait piéger pour une « promesse » de 100.000 dollars américains qu’on lui aurait fait miroiter. Et en échange, il devrait retirer la question orale qu’il aurait adressée à un membre du gouvernement central, ministre de son état. Dossier à découvrir dans ces quelques lignes.
D’entrée, il faut noter que briguer et exercer une responsabilité politique n’est pas donné à n’importe qui. Ce qui revient à dire que tout celui qui exprime cette ambition, doit préalablement faire l’objet d’une enquête minutieuse sur sa vie, depuis son enfance jusqu’à sa maturité. Malheureusement, il n’en est pas le cas dans certains de nos pays où les choses se font souvent sans un minimum de précautions. Des choses inacceptables dans un pays où des personnes au passé nébuleux siègent dans des institutions pourtant républicaines.
Un petit coup d’oeil sur le député Albert Fabrice Puela – de son vrai nom Khoto Phuela - permet quand même de se faire une idée sur la personne et ce, sur la base des témoignages de ses anciens collègues de l’école primaire, du secondaire et de l’université, ainsi que de ses confrères avocats et de ses collègues députés nationaux. Les résultats de cette investigation sont en effet plus que révélateurs sur la personne, sur sa carrière politique qui ne tient qu’à des béquilles et à la ruse ; l’homme se faisant passer tantôt fils du grand commerçant connu dans le Mayombe, feu Phuela Bindele, tantôt chauffeur de Tshisekedi il n’y a pas longtemps.
CAFOUILLAGES, CAMOUFLAGES
Tous ceux qui l’ont connu, depuis son enfance jusqu’aujourd’hui, le considèrent comme étant un homme « paranoïaque, haineux, intrigant, opportuniste et démagogue, infirme politique... »
Depuis la nuit des temps de son enfance, tout son entourage savait qu’il serait incorrect dès les premières années de sa scolarité. Il trompait toujours ses parents. Pour preuves, aux humanités, très instable, il changeait des écoles sans même informer ses parents. Ceux qui le connaissent conviendront qu’il ne serait pas de bonnes mœurs.
2006. Pendant la campagne des législatives nationales du premier tour, alors qu’il était de l’ARC, un parti de la majorité présidentielle, il se présente auprès de la base de Matadi comme un opposant d’où son élection à la députation nationale. Encore une fois, roublardise.
2010. L’homme se présente comme « candidat Président de la République » alors qu’il n’a ni les moyens et ne remplit aucun critère sérieux pour prétendre devenir président de la République.
2011. Aux élections de 2011, alors que l’homme était déjà fini politiquement à Matadi, député national de son état, il usera de tous les subterfuges pour se faire passer chauffeur du candidat président de la République Etienne Tshisekedi et utilisera subtilement son fameux « carton rouge » pour gagner la sympathie des Matadiens. Grâce à ces cafouillages et camouflages, il est élu député national.
En 2012, il mène une campagne tambour battant contre le candidat Déo Nkusu pour l’avènement de Jacques Mbadu à la tête de la province du Bas-Congo espérant ainsi devenir la pièce maîtresse lors de la composition du Gouvernement provincial.
Malheureusement, mal lui en prit, car le gouverneur Jacques Mbadu ne tiendra pas compte de ses ambitions. Lui qui se trouve à l’étroit à l’hémicycle du Palais du Peuple, rêvait devenir soit ministre de la Justice du gouvernement provincial, soit ministre de l’Administration provinciale, à défaut d’un poulain présenté par lui.
Voilà ce qui fait de lui un aigri éternel. Et quels que soient les résultats que Jacques Mbadu réalisera dans le Bas-Congo, ils seront toujours négatifs pour celui que, dans certains milieux, on présente comme un infirme politique.
A l’Assemblée nationale, lors de la session budgétaire de septembre 2013, alors qu’il venait d’initier lui-même une question orale adressée au ministre des Affaires étrangères, Raymond Tshibanda. Le jour du débat autour de cette question, notre député national a brillé délibérément par son absence sans présenter aucune excuse. Irresponsabilité qui lui a valu 3 mois de suspension de paiement de ses émoluments et tous les autres avantages dus à son rang de député national. Ceux qui sont au courant de cet impair, savent que Puela avait exigé 100.000 USD à un ministre du gouvernement central afin qu’il retire sa question.
Un conseiller de ce ministre, chargé de négocier cette transaction, l’avait roulé dans la farine en lui fixant rendez-vous à un lieu qui était tenu secret dans le Bas-Congo à 80 km de Kinshasa, entre Luila et Kisantu.
Puela attendra plusieurs heures sans voir ni l’ombre du conseiller, ni empocher les espèces sonnantes et trébuchantes qu’il a exigées. Et Puela sera seulement surpris le soir quand il apprendra, par la voie des ondes, la sanction que la Majorité à l’Assemblée nationale avait prise à son endroit. Cupidité, quand tu nous tiens !
IL NE TIENT QU’A SES INTERETS
Contrairement à ses collègues députés nationaux élus de Matadi qui posent des actions à impact visible, lui n’excelle que dans des discours démagogiques et populistes ne contribuant en rien au développement communautaire de la ville de Matadi en particulier et de la province du Bas-Congo en général.
La personne est connue pour son penchant à inciter inutilement les jeunes de Matadi à la désobéissance civique en troublant l’ordre public, alors que son épouse et ses enfants sont à l’abri très loin aux Etats-Unis d’Amérique. L’honorable Puela ne pense donc qu’à ses intérêts égoïstes, l’intérêt supérieur des Matadiens étant le cadet de ses soucis.
mongo elombe
Re: La Classe politique Congolaise ...
Des partis de l’opposition exigent un «vrai dialogue» sur le calendrier électoral
http://radiookapi.net/actualite/2014/06/10/rdc-des-partis-de-lopposition-exigent-vrai-dialogue-sur-le-calendrier-electoral/#.U5iZYM7NzVE
«Nous exigeons l’acceptation du calendrier électoral par consensus, lequel calendrier doit prendre absolument en compte toutes les échéances jusqu’en 2016, conformément à l’article 9 de la loi organique de la Ceni», a déclaré Samy Badibanga.
C´est malheureux pour notre pays avec ces opposants. Ces gens n´ont rien à proposer !!!
L´opposition a des membres à la CENI. Toutes les décisions de la CENI sont soutenues par l´opposition et cette opposition est bel et bien présente au sein de la CENI. Ils veulent actuellement un vrai dialogue !!!
Mais avec qui ? Et pourquoi ?
Une opposition pourrie.
Na 2016 bakolela lisusu na munoko ya mboka
http://radiookapi.net/actualite/2014/06/10/rdc-des-partis-de-lopposition-exigent-vrai-dialogue-sur-le-calendrier-electoral/#.U5iZYM7NzVE
«Nous exigeons l’acceptation du calendrier électoral par consensus, lequel calendrier doit prendre absolument en compte toutes les échéances jusqu’en 2016, conformément à l’article 9 de la loi organique de la Ceni», a déclaré Samy Badibanga.
C´est malheureux pour notre pays avec ces opposants. Ces gens n´ont rien à proposer !!!
L´opposition a des membres à la CENI. Toutes les décisions de la CENI sont soutenues par l´opposition et cette opposition est bel et bien présente au sein de la CENI. Ils veulent actuellement un vrai dialogue !!!
Mais avec qui ? Et pourquoi ?
Une opposition pourrie.
Na 2016 bakolela lisusu na munoko ya mboka
Jim KK
Re: La Classe politique Congolaise ...
JMkk,
Jsuis d'accord avec vous que l'opposition a des membres a la CENI.
Pouvez-vous nous dire:
combien sont-ils?
Comment est-ce que les decisions sont prises a la CENI (reglement interieur)?
Jsuis d'accord avec vous que l'opposition a des membres a la CENI.
Pouvez-vous nous dire:
combien sont-ils?
Comment est-ce que les decisions sont prises a la CENI (reglement interieur)?
Cour Supreme
Re: La Classe politique Congolaise ...
Cour Supreme a écrit:JMkk,
Jsuis d'accord avec vous que l'opposition a des membres a la CENI.
Pouvez-vous nous dire:
combien sont-ils?
Comment est-ce que les decisions sont prises a la CENI (reglement interieur)?
Je n´ai pas le règlement intérieur de la CENI. Voici sa composition sur le lien ci-dessous :
http://www.rdctube.com/congonews/rd-congo-les-membres-de-la-nouvelle-ceni-pretent-serment/
Les membres de la CENI ne sollicitent ni ne reçoivent d’instructions d’aucune autorité extérieure.
Ils jouissent de la totale indépendance par rapport aux forces politiques qui les ont désignés.
Jim KK
Re: La Classe politique Congolaise ...
Le bon sens devrait vous guider dans votre demarche...Au lieu d'insulter l'opposition de 'pourrie', il fallait plutot faire une analyse de la composition meme de la CENI et realiser que cette institution n'est qu'une caisse de resonnance de la majorité. Je le dis par experience car les membres representants la Societe Civile, je les connais et se rallient a la majorité présidentielle, sans mentionner le prelat lui-mm!
Merci quand meme d'avoir fait la recherche...
Merci quand meme d'avoir fait la recherche...
Cour Supreme
Re: La Classe politique Congolaise ...
Le mieux serait que tous les membres de la CENI viennent de l´opposition et qu´on confie même à cette opposition la direction de la CENI.
S´il ya des membres de la société civile au sein de la CENI c´est aussi par ce que l´opposition en avait montré le désir. Vous savez, la société civile a désigné ses membres dans l´indépendance totale. Le nombre des membres de l´opposition et la société civile réuni dépasse le nombre des membres de la majorité au sein de la CENI. Alors il y a une possibilité de bloquer les décisions de la CENI.
L´opposition n´est pas organisée dans notre pays. Pourtant, notre pays a besoin d´une opposition forte. Elle ne propose rien, elle crie seulement, elle refuse tout.
On ne comprend pas le travail de cette opposition. D’autant qu’elle a des corollaires comme : qui peut-on appeler opposant ou membre de l’opposition.
Le nœud du problème reste sans nul doute la divergence sur la notion de l’opposition institutionnelle ou parlementaire et l’opposition dite non institutionnelle. Je suggère une concertation de toute l’opposition, soit-elle parlementaire ou extraparlementaire, afin de dégager un consensus qui apaiserait le processus électoral.
S´il ya des membres de la société civile au sein de la CENI c´est aussi par ce que l´opposition en avait montré le désir. Vous savez, la société civile a désigné ses membres dans l´indépendance totale. Le nombre des membres de l´opposition et la société civile réuni dépasse le nombre des membres de la majorité au sein de la CENI. Alors il y a une possibilité de bloquer les décisions de la CENI.
L´opposition n´est pas organisée dans notre pays. Pourtant, notre pays a besoin d´une opposition forte. Elle ne propose rien, elle crie seulement, elle refuse tout.
On ne comprend pas le travail de cette opposition. D’autant qu’elle a des corollaires comme : qui peut-on appeler opposant ou membre de l’opposition.
Le nœud du problème reste sans nul doute la divergence sur la notion de l’opposition institutionnelle ou parlementaire et l’opposition dite non institutionnelle. Je suggère une concertation de toute l’opposition, soit-elle parlementaire ou extraparlementaire, afin de dégager un consensus qui apaiserait le processus électoral.
Jim KK
Re: La Classe politique Congolaise ...
Mister JIM,,
Les "oppositions" sur place á Kin ont trouvées un consensus grâce aux rencontres organisées par Kobler de la MONUSCO.
La question de la CENI .. en RFA ou en Suède...il n´existe pas de "CENI"..ce que l´admnistration électorale est une instutition de l´État tout simplement comme toute autre admnistration.. Nous souhaitons qu´après 2016, la CENI cesse d´exister et que la RDC puisse se doter d´une admnistration électorale et surtout d´une [b]Cours Constitutionelle[/b]
Les "oppositions" sur place á Kin ont trouvées un consensus grâce aux rencontres organisées par Kobler de la MONUSCO.
La question de la CENI .. en RFA ou en Suède...il n´existe pas de "CENI"..ce que l´admnistration électorale est une instutition de l´État tout simplement comme toute autre admnistration.. Nous souhaitons qu´après 2016, la CENI cesse d´exister et que la RDC puisse se doter d´une admnistration électorale et surtout d´une [b]Cours Constitutionelle[/b]
GHOST
Re: La Classe politique Congolaise ...
Jim KK a écrit:Le mieux serait que tous les membres de la CENI viennent de l´opposition et qu´on confie même à cette opposition la direction de la CENI.
S´il ya des membres de la société civile au sein de la CENI c´est aussi par ce que l´opposition en avait montré le désir. Vous savez, la société civile a désigné ses membres dans l´indépendance totale. Le nombre des membres de l´opposition et la société civile réuni dépasse le nombre des membres de la majorité au sein de la CENI. Alors il y a une possibilité de bloquer les décisions de la CENI.
L´opposition n´est pas organisée dans notre pays. Pourtant, notre pays a besoin d´une opposition forte. Elle ne propose rien, elle crie seulement, elle refuse tout.
On ne comprend pas le travail de cette opposition. D’autant qu’elle a des corollaires comme : qui peut-on appeler opposant ou membre de l’opposition.
Le nœud du problème reste sans nul doute la divergence sur la notion de l’opposition institutionnelle ou parlementaire et l’opposition dite non institutionnelle. Je suggère une concertation de toute l’opposition, soit-elle parlementaire ou extraparlementaire, afin de dégager un consensus qui apaiserait le processus électoral.
Je peux vous avouer aujourd'hui que j'ai la mal(chance) de connaître un peu la Ceni de l'intérieur : dans la dernière j'avais un vieil ami qui y siégeait en tant que membre éminent de l'opposition et dans l'actuelle un jeune-frère qui y est en tant que société civile (pour qui me connait un peu, il est facile de retrouver leurs noms, passons !)...
J'ai eu plus d'une fois l'occasion de leur parler à eux deux de leur travail :je crois l'avoir dit une fois ici, la mort dans l'âme, j'ai constaté que rapidement les membres de la Ceni constituaient un bloc qui s'autoprotégeait bien au delà de leurs origines ou de leurs opinions plus personnelles !
Votre décompte majorité/opposition/société civile, cher JKK, ne tient pas déjà compte de la réalité formelle (sauf à reconnaître alors ouvertement que seul le squelette des actifs politiques et sympathisants défend ce pouvoir, ce qui serait pour vous une bonne avancée...) mais il ignore aussi la réalité effective !
Alors, désolé de vous dire que malheureusement c'est peut-être l'institution elle-même, produit d'une République bananière qui veut en faire de gré ou de force un organe indépendant, qu'il faut regretter : il ne le sera presque jamais aussi longtemps que l'Etat d'où elle émarge n'est ni transparent ni impartial... C'est d'ailleurs peut-être pour ça qu'il n'existe pas de Commission électorale dans les Républiques confirmées...
Cela signifie-t-il qu'il ne faut rien en attendre ? Pas exactement : il faut seulement la soumettre aux critiques et pressions de la société (politiques, société civile, populations)... C'est ce qui se fait mais encore avec des résultats mitigés...
Si l'opposition n'est pas organisée comme vous dites, JKK, soyez gentil de regarder en face : sans la garantie du pouvoir qu'ils ont et les moyens qui vont avec leur désorganisation et pire leur perversion effectives éclateront davantage aux yeux de tous, soyez-en rassuré ! Opposition institutionnelle ou non, dans nos "démocratures" elles resteront toujours cahotantes à notre image pas moins et peut-être même plus vu leurs moyens financiers bien faibles et leurs droits mégotés !
Bon, continuons nos regards et nos actions sur la Ceni; c'est la seule voie d'en obtenir davantage aujourd'hui et surtout pas de n'en fustiger que les membres de l'opposition !
Compatriotiquement!
ndonzwau
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