A` propos de l'election, le PNR dit: Le role de la Technologie?
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A` propos de l'election, le PNR dit: Le role de la Technologie?
Un Congo nouveau, fort et prospère: Rôle de la technologie?
A la veille des élections du 28 Novembre 2011 pour renouvellement de la classe dirigeante qui présidera sur la destinée de notre pays pour les cinq prochaines années, on n’entend presque rien de rêve des candidats à la magistrature suprême sur le rôle de la technologie dans le nouveau Congo de demain, fort et prospère. Pourtant, ce dernier temps, le monde entier assiste à une accélération spectaculaire d’adaptation et intégration des nouvelles technologies dans tous les secteurs de la vie publique et privée pour rendre l’action gouvernementale plus efficace. Nul n’est point de rappeler qu’aujourd’hui, rien ne semble échapper à l’intelligence de cette révolution technologique, devenue l’incontournable sans lequel rien ne peut être envisagé.
Dans les pays dits émergents et même dans certains pays africains, ces nouvelles technologies sont considérées comme un outil indispensable dans l'exécution de projet de société d’une part et comme le nouveau moteur du développement intégral et de la démocratie participative au 21 siècle, d’autre part. Mais la République Démocratie que Congo (RDC) semble de plus en plus s'enfoncer dans une nuit des temps empiriques caractérisés par l’absence totale d’une vision nationale de la technologie moderne et c’est dans presque tous les domaines la vie nationale.
Au Congo où peu d’efforts sont fournis pour intégrer et adapter les nouvelles technologies de l’information et de la communication (NTIC) dans le processus de réforme du secteur public, de la bonne gouvernance et promotion de la transparence dans la gestion, les malversations sont devenues monnaie courante dans les secteurs de la vie publique. C’est comme si personne n'a encore pris conscience qu'une révolution technologique doit être mise en marche dans la quête du progrès et du bien-être du peuple.
Dans un pays comme le nôtre où les défis de reconstruction et du développement sont énormes, cette innovation technologique aurait dû être bien articulée dans le projet d’une nouvelle société des candidats à la présidence. Le peuple congolais aspire, comme tant d'autres peuples au bonheur aussi bien qu'à des changements positifs opérés par l’intégration des nouvelles technologies dans tous les secteurs de la vie. Mais ces aspirations légitimes, butent toujours contre l’opacité de la volonté politique des dirigeants qui, dans tous les cas, ne semblent pas comprendre le rôle des technologies dans leur programme d’action. Bien souvent, ils se contentent de demeurer dans les vielles pratiques de conservatisme ou d’ignorance. Croyant peut être que l’ouverture des populations aux nouvelles technologies serait un outil de déstabilisation du régime et du pouvoir.
On dirait également que les leaders congolais pensent que la maîtrise de la révolution technologique permettrait à la population de découvrir les zones d’ombres dans la gestion des affaires publiques! S'imaginent-ils que cette révolution et développement restent une affaire des occidentaux? Contre toute attente, les responsables politiques congolais se refusent d’engager des moyens conséquents pour pouvoir offrir au peuple l’opportunité d’intégrer cette révolution technologique afin d’améliorer leurs conditions de vie. Pourtant, ils engagent des moyens financiers colossaux pour vivre avec leur clan politique, une vie de luxe sans pareil.
Comme preuve de cette attitude de résistance technologique au Congo, les secteurs publics sont demeurés à l’état rudimentaire, sans efficience et sans efficacité, et incapables de rendre un petit service public de qualité appréciée. Accentuant ainsi considérablement le mécontentement, le manque de confiance, et de communication entre les gouvernés et les gouvernants. Les annonces trop médiatisées de lancement des projets ou des efforts en cours du gouvernement, qui de fois ne se matérialisent pas comme à l’accoutumé, ne suffisent pas pour démontrer la volonté politique dans la quête d’adaptation et intégration technologique ainsi que de gestion efficace et responsable des projets publics.
A titre d’exemple, le projet de connexion au câble de fibre optique demeure un chantier inachevé parmi tant d’autres. Faut-il rappeler que la fibre optique offre d’énormes avantages, tels que non seulement l’internet de haute vitesse mais aussi le bon réseau de connection, la baisse des prix des communications ou la réduction de la tarification téléphonique et d’autres. Sans prétendre donner une liste exhaustive de ses avantages, les médecins, les infirmiers, les agronomes, les enseignants, les étudiants et les professeurs au Congo peuvent désormais bénéficier de l’accès facile aux bibliothèques étrangères, recherches et publications, et au partage des connaissances avec différentes institutions du monde pour approfondir leurs connaissances.
Même dans la caisse de l’Etat, on peut aussi noter un manque à gagner qui peut s’élever mensuellement en millions de dollars américains. Car le contrôle de la fibre optique mettrait un terme à l’actuelle fraude à grande échelle impliquant même certains opérateurs privés œuvrant en RDC qui contournent de fois le contrôle de l’autorité de régulation. Bref, la connexion au câble de fibre optique, c’est un investissement public qui vaut sa peine parce qu’il constitue également un atout pour accroitre les recettes publiques et montrer l’autorité de l’Etat dans ce secteur de communication qui peut compromettre les services de renseignement et sécurité nationale.
Au 21e siècle, tout leader qui a une vision large, un souci de s’engager dans le vrai processus de développement et modernisation de son pays, ne peut pas manquer d'articuler le rôle des nouvelles technologies dans son projet de société. L’efficacité de sa gouvernance ou l’action de son gouvernement dépend de l’amélioration des conditions de vie du peuple, la qualité des services publics, la transparence dans la gestion publique en vue de combattre la corruption et la malversation financière. La simplification de la bureaucratie ainsi que la participation de la population à la vie de la société dépendent également de l’utilisation efficiente des technologies modernes. Pour autant affirmer que le rôle de cette révolution technologique dans la reconstruction et le développement de la RDC est indispensable pour un future Congo fort, prospère, libre et vraiment souverain.
Les pays dits émergents comme l’Inde, la Chine, La Corée du Sud, le Brésil, le Pakistan ou l’Afrique du Sud, ont vu leur développement socio-économique se révolutionner par l’intégration efficiente des nouvelles technologies. Les conditions de vie des populations de ces pays s’améliorent au fur et à mesure que ces technologies prennent de plus en plus des dimensions populaires. Cette réussite est à attribuer à une vision de bonne politique de gestion de la révolution technologique qui a contribuée d’une manière ou d’une autre à la réduction du taux de chômage, de l’augmentation des capacités et de compétences dans la production. Par exemple, dans le domaine de l’éducation, les études se font à distance grâce aux services de réseau informatique à haute vitesse, juste pour ne citer qu’un secteur.
Aujourd’hui, bon nombre de pays africains offre des programmes de formation à distance sur le net bien pour les enseignants, les étudiants comme les professionnels qui veulent améliorer leurs bagages intellectuels pour acquérir des nouvelles connaissances de manière à faire face aux réalités actuelles du marché d’emploi. C’est le résultat de l’engagement de leurs gouvernements qui ne serait pas possible avec l’absence de politique nationale de technologie moderne. Un défi national facilement contournable car n’exige aucune formule magique pour réaliser, mais seulement une volonté politique et une vision technique du sens du développement dans le contexte actuel de la globalisation économique compétitive.
Quand on parle des élections dans un pays, tel qu'il en est le cas en RDC actuellement, il faudrait entendre également de projet d’une nouvelle société et des technologies de pointe pour permettre aux futurs gouvernants de maximiser toutes les potentialités du pays. Où en sommes-nous dans ce domaine dans notre pays? A la place de projet de société, ce sont plutôt des images de tel ou tel politicien en promenade en occident qui préoccupe les medias et forums Congolais au lieu d’un programme de gouvernement pour réduire le taux de chômage et augmenter la production de nos matières premières ainsi que leur demande à travers le monde.
Pour reformer l’actuel système en vue de rendre l’action du gouvernement plus efficace et efficiente, l’apport des nouvelles technologies est non négligeable. Les dirigeants du Congo de demain se doivent de prendre des bonnes initiatives et des mesures concrètes pour faire sortir le pays de son enclavement technologique. La nouvelle classe politique qui sera élue le 28 Novembre, est invitée de doter le pays d’une politique innovatrice pour l’intégration de cette révolution technologie socle de la modernité et de prospérité pour le plus de soixante-dix millions des congolais qui comptent sur sa bonne volonté politique après les élections plutôt que s’arrêter au discours démagogues des campagnes.
La réforme fondamentale prônée par le Parti National pour la Réforme (PNR) est de rigueur non seulement dans le domaine d’application des nouvelles technologies mais dans tous les secteurs de la vie. Pour une forte classe moyenne congolaise, le rôle des nouvelles technologies pour ouvrir ou mieux faciliter l’accès du peuple à cette innovation technologique de manière à leur permettre d’acquérir des nouvelles connaissances et des nouvelles techniques de gestion des affaires est d’importance capitale. Car, c’est cette classe moyenne qui est partout au monde créatrice des richesses, des emploies et de progrès. Les leaders de demain se doivent de doter la RDC d’une vision riche pour la politique nationale de technologie moderne capable en tout état de cause, propulser le bonheur du peuple qui aspire toujours à un changement.
Ensemble la Réforme est possible en RDC.
Delphin Kyubwa
Président national
A la veille des élections du 28 Novembre 2011 pour renouvellement de la classe dirigeante qui présidera sur la destinée de notre pays pour les cinq prochaines années, on n’entend presque rien de rêve des candidats à la magistrature suprême sur le rôle de la technologie dans le nouveau Congo de demain, fort et prospère. Pourtant, ce dernier temps, le monde entier assiste à une accélération spectaculaire d’adaptation et intégration des nouvelles technologies dans tous les secteurs de la vie publique et privée pour rendre l’action gouvernementale plus efficace. Nul n’est point de rappeler qu’aujourd’hui, rien ne semble échapper à l’intelligence de cette révolution technologique, devenue l’incontournable sans lequel rien ne peut être envisagé.
Dans les pays dits émergents et même dans certains pays africains, ces nouvelles technologies sont considérées comme un outil indispensable dans l'exécution de projet de société d’une part et comme le nouveau moteur du développement intégral et de la démocratie participative au 21 siècle, d’autre part. Mais la République Démocratie que Congo (RDC) semble de plus en plus s'enfoncer dans une nuit des temps empiriques caractérisés par l’absence totale d’une vision nationale de la technologie moderne et c’est dans presque tous les domaines la vie nationale.
Au Congo où peu d’efforts sont fournis pour intégrer et adapter les nouvelles technologies de l’information et de la communication (NTIC) dans le processus de réforme du secteur public, de la bonne gouvernance et promotion de la transparence dans la gestion, les malversations sont devenues monnaie courante dans les secteurs de la vie publique. C’est comme si personne n'a encore pris conscience qu'une révolution technologique doit être mise en marche dans la quête du progrès et du bien-être du peuple.
Dans un pays comme le nôtre où les défis de reconstruction et du développement sont énormes, cette innovation technologique aurait dû être bien articulée dans le projet d’une nouvelle société des candidats à la présidence. Le peuple congolais aspire, comme tant d'autres peuples au bonheur aussi bien qu'à des changements positifs opérés par l’intégration des nouvelles technologies dans tous les secteurs de la vie. Mais ces aspirations légitimes, butent toujours contre l’opacité de la volonté politique des dirigeants qui, dans tous les cas, ne semblent pas comprendre le rôle des technologies dans leur programme d’action. Bien souvent, ils se contentent de demeurer dans les vielles pratiques de conservatisme ou d’ignorance. Croyant peut être que l’ouverture des populations aux nouvelles technologies serait un outil de déstabilisation du régime et du pouvoir.
On dirait également que les leaders congolais pensent que la maîtrise de la révolution technologique permettrait à la population de découvrir les zones d’ombres dans la gestion des affaires publiques! S'imaginent-ils que cette révolution et développement restent une affaire des occidentaux? Contre toute attente, les responsables politiques congolais se refusent d’engager des moyens conséquents pour pouvoir offrir au peuple l’opportunité d’intégrer cette révolution technologique afin d’améliorer leurs conditions de vie. Pourtant, ils engagent des moyens financiers colossaux pour vivre avec leur clan politique, une vie de luxe sans pareil.
Comme preuve de cette attitude de résistance technologique au Congo, les secteurs publics sont demeurés à l’état rudimentaire, sans efficience et sans efficacité, et incapables de rendre un petit service public de qualité appréciée. Accentuant ainsi considérablement le mécontentement, le manque de confiance, et de communication entre les gouvernés et les gouvernants. Les annonces trop médiatisées de lancement des projets ou des efforts en cours du gouvernement, qui de fois ne se matérialisent pas comme à l’accoutumé, ne suffisent pas pour démontrer la volonté politique dans la quête d’adaptation et intégration technologique ainsi que de gestion efficace et responsable des projets publics.
A titre d’exemple, le projet de connexion au câble de fibre optique demeure un chantier inachevé parmi tant d’autres. Faut-il rappeler que la fibre optique offre d’énormes avantages, tels que non seulement l’internet de haute vitesse mais aussi le bon réseau de connection, la baisse des prix des communications ou la réduction de la tarification téléphonique et d’autres. Sans prétendre donner une liste exhaustive de ses avantages, les médecins, les infirmiers, les agronomes, les enseignants, les étudiants et les professeurs au Congo peuvent désormais bénéficier de l’accès facile aux bibliothèques étrangères, recherches et publications, et au partage des connaissances avec différentes institutions du monde pour approfondir leurs connaissances.
Même dans la caisse de l’Etat, on peut aussi noter un manque à gagner qui peut s’élever mensuellement en millions de dollars américains. Car le contrôle de la fibre optique mettrait un terme à l’actuelle fraude à grande échelle impliquant même certains opérateurs privés œuvrant en RDC qui contournent de fois le contrôle de l’autorité de régulation. Bref, la connexion au câble de fibre optique, c’est un investissement public qui vaut sa peine parce qu’il constitue également un atout pour accroitre les recettes publiques et montrer l’autorité de l’Etat dans ce secteur de communication qui peut compromettre les services de renseignement et sécurité nationale.
Au 21e siècle, tout leader qui a une vision large, un souci de s’engager dans le vrai processus de développement et modernisation de son pays, ne peut pas manquer d'articuler le rôle des nouvelles technologies dans son projet de société. L’efficacité de sa gouvernance ou l’action de son gouvernement dépend de l’amélioration des conditions de vie du peuple, la qualité des services publics, la transparence dans la gestion publique en vue de combattre la corruption et la malversation financière. La simplification de la bureaucratie ainsi que la participation de la population à la vie de la société dépendent également de l’utilisation efficiente des technologies modernes. Pour autant affirmer que le rôle de cette révolution technologique dans la reconstruction et le développement de la RDC est indispensable pour un future Congo fort, prospère, libre et vraiment souverain.
Les pays dits émergents comme l’Inde, la Chine, La Corée du Sud, le Brésil, le Pakistan ou l’Afrique du Sud, ont vu leur développement socio-économique se révolutionner par l’intégration efficiente des nouvelles technologies. Les conditions de vie des populations de ces pays s’améliorent au fur et à mesure que ces technologies prennent de plus en plus des dimensions populaires. Cette réussite est à attribuer à une vision de bonne politique de gestion de la révolution technologique qui a contribuée d’une manière ou d’une autre à la réduction du taux de chômage, de l’augmentation des capacités et de compétences dans la production. Par exemple, dans le domaine de l’éducation, les études se font à distance grâce aux services de réseau informatique à haute vitesse, juste pour ne citer qu’un secteur.
Aujourd’hui, bon nombre de pays africains offre des programmes de formation à distance sur le net bien pour les enseignants, les étudiants comme les professionnels qui veulent améliorer leurs bagages intellectuels pour acquérir des nouvelles connaissances de manière à faire face aux réalités actuelles du marché d’emploi. C’est le résultat de l’engagement de leurs gouvernements qui ne serait pas possible avec l’absence de politique nationale de technologie moderne. Un défi national facilement contournable car n’exige aucune formule magique pour réaliser, mais seulement une volonté politique et une vision technique du sens du développement dans le contexte actuel de la globalisation économique compétitive.
Quand on parle des élections dans un pays, tel qu'il en est le cas en RDC actuellement, il faudrait entendre également de projet d’une nouvelle société et des technologies de pointe pour permettre aux futurs gouvernants de maximiser toutes les potentialités du pays. Où en sommes-nous dans ce domaine dans notre pays? A la place de projet de société, ce sont plutôt des images de tel ou tel politicien en promenade en occident qui préoccupe les medias et forums Congolais au lieu d’un programme de gouvernement pour réduire le taux de chômage et augmenter la production de nos matières premières ainsi que leur demande à travers le monde.
Pour reformer l’actuel système en vue de rendre l’action du gouvernement plus efficace et efficiente, l’apport des nouvelles technologies est non négligeable. Les dirigeants du Congo de demain se doivent de prendre des bonnes initiatives et des mesures concrètes pour faire sortir le pays de son enclavement technologique. La nouvelle classe politique qui sera élue le 28 Novembre, est invitée de doter le pays d’une politique innovatrice pour l’intégration de cette révolution technologie socle de la modernité et de prospérité pour le plus de soixante-dix millions des congolais qui comptent sur sa bonne volonté politique après les élections plutôt que s’arrêter au discours démagogues des campagnes.
La réforme fondamentale prônée par le Parti National pour la Réforme (PNR) est de rigueur non seulement dans le domaine d’application des nouvelles technologies mais dans tous les secteurs de la vie. Pour une forte classe moyenne congolaise, le rôle des nouvelles technologies pour ouvrir ou mieux faciliter l’accès du peuple à cette innovation technologique de manière à leur permettre d’acquérir des nouvelles connaissances et des nouvelles techniques de gestion des affaires est d’importance capitale. Car, c’est cette classe moyenne qui est partout au monde créatrice des richesses, des emploies et de progrès. Les leaders de demain se doivent de doter la RDC d’une vision riche pour la politique nationale de technologie moderne capable en tout état de cause, propulser le bonheur du peuple qui aspire toujours à un changement.
Ensemble la Réforme est possible en RDC.
Delphin Kyubwa
Président national
regarder et bien voir.
Re: A` propos de l'election, le PNR dit: Le role de la Technologie?
Premierement aucun candidat presidentiel actuel est dans les sciences pures ou applique'es, c'est aussi une raison pourquoi aucun d'eux n'a place' les nouvelles technologies au centre de ses preoccupations, la formation professionnelle d'une personne aussi joue beaucoup sur qu'est ce qui est priorite' et qu'est ce qui n'est pas ou qu'est ce qui doit attendre. Preuve en est l'auteur de cet article le president national du PNR est un ingenieur.
Quand meme du point de vue economique, les nouvelles technologies peuvent etre considere'es comme achat des capitaux pour mieux produire, mais ce n'est pas suffisant. Elles doivent etre considere'es en ce 21 ieme siecle comme un programme a` part.
Les gens doivent savoir que le monde s'est revolu par la mecanique et les machines, mais il est devenu moderne par l'electricte' et l'electromagnetisme en d'autres termes par la telecommunication et l'information, appele'es technologies. Les nouvelles technologies permettent des multiples taches en grande vitesse et en grande repetition. Par cette definition, elles maximisent la production economique et l'efficience des administrations.
je crois que si tel est le cas, l'Etat peut aussi etablir un climat des affaires, comme ca ce secteur sera propulse' par les prive's. Il y a des stimulations et incentives economiques que l'Etat doit administrer a` ce secteur prive' pour encourager les induvidus a` investir et a` batir dans ce sens.
Regarder et bien voir
Technologie-polytechnique
Quand meme du point de vue economique, les nouvelles technologies peuvent etre considere'es comme achat des capitaux pour mieux produire, mais ce n'est pas suffisant. Elles doivent etre considere'es en ce 21 ieme siecle comme un programme a` part.
Les gens doivent savoir que le monde s'est revolu par la mecanique et les machines, mais il est devenu moderne par l'electricte' et l'electromagnetisme en d'autres termes par la telecommunication et l'information, appele'es technologies. Les nouvelles technologies permettent des multiples taches en grande vitesse et en grande repetition. Par cette definition, elles maximisent la production economique et l'efficience des administrations.
je crois que si tel est le cas, l'Etat peut aussi etablir un climat des affaires, comme ca ce secteur sera propulse' par les prive's. Il y a des stimulations et incentives economiques que l'Etat doit administrer a` ce secteur prive' pour encourager les induvidus a` investir et a` batir dans ce sens.
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