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28 MILITAIRES FARDC ACCUSÉS DE PILLAGE

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Hiro-Hito
King David
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Message  King David 14/11/2008, 3:43 am

Alors que tous, nous attendons la mise en accusation des généraux détourneurs des salaires et rations des militaires au combat, voilà que le gouvernement Kabila nous présente 28 militaires accusés de viol et de pillage. Les faits se seront passés les 10 et 11 novembre derniers.

Vous remarquerez avec quelle précipitation et célérité le gouvernement congolais présidé par Joseph Kabila a passé aux arrestations des présumés pillards alors qu'il ne parvient pas à faire arrêter des ministres et généraux qui détournent les biens et salaires de nos valeureux soldats. Les généraux qui donnent l'ordre de s'arrêter alors que nous avons l'avantage sont toujours là. Bien entendu, il faut diminuer la force de l'armée en l'affaiblissant par l'élimination de ses meilleurs membres. Comment se fait-il qu'en moins d'une semaine, on est pu arrêter des soldats et les mettre en jugement? Quand a-t-on fait des enquêtes?


Lisez plutôt cet article du Potentiel
http://www.lepotentiel.com/afficher_art ... icle=73508

28 MILITAIRES FARDC ACCUSÉS DE PILLAGE

Accusés de pillage à Kanyabayonga Vingt-huit FARDC traduits en justice Par Louis-Paul Eyenga Sana Vingt-huit prévenus militaires ont ététraduits en justice devant la Cour militaire dont huit ont comparu, le mercredi 12 novembre 2008 à Goma (Nord-Kivu). Vingt-huit militaires de l'Armée régulière accusés d'avoir pillé les biens et commis d'autres abus à Kanyabayonga sont interpellés par la Cour militaire de Goma. Accusés de pillage,de viol et d'abandon de poste, ces soldats risquent d'écoper une peine allant de 5 ans de prisonà la peine capitale. Il s'agit des soldats des FARDC, auteurs des actes de pillage perpétrés dans le secteur de Kanyabayonga, au Nord-Kivu dans la nuit du lundi 10 novembre à mardi 11 novembre 2008. Tout avait commencé quand quelques militaires, en repli des zones des affrontements contre le CNDP dans la chefferie de Bwito, à Rutshuru, ont pillé tous les villages en lançant quelques tirs d'intimidation. Dans la foulée, des accrochages ont opposé les militaires pilleurs et les Maï-Maï qui sont intervenus pour tenter d'arrêter cette «agression » contre les civils. CONFIRMATION DES FAITS Le gouverneur de la province du Nord-Kivu, Julien Paluku, a confirmé les faits tout en condamnant ces actes. Il a, néanmoins, appelé la population au calme et à ne pas céder aux manipulations de certains groupes qui profitent du comportement des éléments indisciplinés pour commettre des actes de vandalisme, a-t-il déclaré. «Au moins, au niveau du gouvernement, nous réprimons tous ceux que nous attrapons dans des actions comme celles-là», a poursuivi Julien Paluku, avant «d'inviter la population de sa province à ne pas céder aux manipulations de certains groupes qui profitent de ce climat pour chercher à couvrir les affres qu'ils commettent ça et là, notamment, les massacres, les tueries et les viols sur les populations civiles». En tout état de cause, le gouverneur du Nord-Kivu considère que le pillage de Kanyabayonga «ne sont pas le fait des FARDC en tant qu'armée», mais de quelques éléments isolés. Certains de ces éléments ont d'ailleurs été arrêtés, a-t-il fait savoir. Le calme est revenu mardi après-midi dans les cités du Sud du territoire de Lubero, à plus de 150 km au Nord de Goma, après les scènes de pillage dans ce secteur. Certaines sources affirment qu'une grande partie de la population de Kanyabayonga, Bulotwa, Kayna, Kirumba et Bwatsinge est en fuite dans la brousse ainsi que tous les déplacés qu'ils hébergeaient. Interrogé par la presse, le commandant des forces de la Monuc, Babacar Gaye, à son retour de Kanyabayonga, a déclaré que la tension était encore perceptible dans cette cité. Il a affirmé que les renforts de la Monuc sont acheminés depuis mardi dernier sur le terrain pour secourir et protéger les populations.
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Message  Hiro-Hito 14/11/2008, 5:00 am

C'est koi encore ces salades?
Ben, c coe s'ils n'avaient pas d'autres choix, apres tant des pub a la radio, internet, tv...on devait montrer au monde qu'on fait qlqch. Malheureusement, les gens de l'AMP ne comprennent rien, ils doivent apprendre a s'attaquer aux vrais problemes, a la racine.
D'une autre part, mm si on leur demande de faire qlqch, on risque de voir une autre episode NKULU ici
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Message  taty 18/11/2008, 12:54 am

http://www.lesoir.be/actualite/le_fil_info/index.shtml


Le président de la République démocratique du Congo (RDC), Joseph Kabila, a nommé un nouveau chef d'état-major des armées, après une série d'humiliants revers dans l'est du pays face à la rébellion, selon une ordonnance du chef de l'Etat lue à la télévision nationale lundi.

"Vu la nécessité et l'urgence, a été nommé chef d'état-major général Didier Etumba Longomba", en remplacement de Dieudonné Kayembe, selon la même source.
Le général de brigade Didier Etumba Longomba a en outre été promu au grade de lieutenant-général.
Ce changement à la tête des armées intervient alors que l'armée congolaise a subi ces dernières semaines plusieurs défaites dans la province du Nord-Kivu face à la rébellion de Laurent Nkunda, qui est positionnée depuis fin octobre aux portes de Goma, ville d'un demi-million d'habitants.
Des soldats de l'armée régulière se sont en outre livrés à de nombreux pillages et exactions fin octobre à Goma et la semaine dernière dans la région de Kanyabayonga (100 km au nord de Goma).


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Message  King David 18/11/2008, 1:20 am

RDC: Kabila nomme un nouveau chef d'état-major, la rébellion avance, l'ONU accuse
]28 MILITAIRES FARDC ACCUSÉS DE PILLAGE Afp4



Le président Joseph Kabila a nommé lundi un nouveau chef d'état-major à la tête des armées, après une nouvelle avancée de la rébellion dans l'est de la République démocratique du Congo (RDC) en violation de son propre cessez-le-feu selon l'ONU. Lire la suite l'article
Photos/Vidéos liées

"Vu la nécessité et l'urgence", le général Didier Etumba Longomba a été nommé chef d'état-major, en remplacement de Dieudonné Kayembe, selon une ordonnance du chef de l'Etat lue à la télévision nationale.


Le général Longomba, qui a servi dans les ex-Forces armées zaïroises (FAZ), est originaire de la province de l'Equateur (nord-ouest) et dirigeait jusqu'à présent la force navale.
Ce changement à la tête des armées intervient alors que l'armée congolaise a subi ces dernières semaines plusieurs défaites dans la province du Nord-Kivu face à la rébellion de Laurent Nkunda, qui est positionnée depuis fin octobre aux portes de Goma, la capitale provinciale.
Des soldats de l'armée régulière se sont en outre livrés à de nombreux pillages et exactions fin octobre à Goma et la semaine dernière dans la région de Kanyabayonga (100 km au nord de Goma).
Dimanche, la rébellion du Congrès national pour la défense du peuple (CNDP) avait enregistré un nouveau succès en s'emparant de plusieurs localités au sud-est de Kanyabayonga, dont le bourg de Rwindi.
La Mission de l'ONU en RDC (Monuc) a dénoncé ces attaques du CNDP comme "des violations du cessez-le-feu" alors que le même jour la rébellion réaffirmait, devant l'envoyé spécial de l'ONU Olusegun Obasanjo, respecter le cessez-le-feu qu'elle a décrété le 29 octobre.
De son côté, le CNDP a justifié son avancée par les "provocations" de l'armée régulière qui, en trois jours, aurait "multiplié les attaques sur le secteur" de Rwindi.
Lundi, ces "provocations" se seraient poursuivies à Vitshumbi, à une quinzaine de km au nord-est de Rwindi, selon le CDNP, mais la situation est restée calme toute la journée.
Le CNDP a assuré faire preuve "de retenue" et ne pas avoir "répondu aux tirs adverses, car il tient à respecter le cessez-le-feu afin de donner pour la énième fois une chance à la paix", au lendemain de la rencontre entre son chef Laurent Nkunda et M. Obasanjo.
A l'issue de l'entretien entre les deux hommes en zone rebelle, M. Nkunda avait affirmé vouloir négocier un cessez-le-feu avec le gouvernement. L'ancien président nigérian avait pour sa part annoncé être parvenu à un accord avec le chef du CNDP pour la création d'un comité tripartite de surveillance de la cessation des hostilités.
Aucun cessez-le-feu n'a encore été conclu entre armée et rebelles depuis la reprise des combats à grande échelle fin août dans la province du Nord-Kivu.
A Nairobi lundi, à l'issue de ses consultations en Angola, en RDC et au Rwanda, M. Obasanjo a assuré que l'ex-général Nkunda serait prêt à réintégrer l'armée congolaise en échange de garanties internationales.
Selon M. Obasanjo, le chef rebelle, qui a pris les armes notamment après l'échec de l'intégration de ses hommes au sein de l'armée congolaise, "discute" de nouveau "de l'intégration de ses soldats dans l'armée nationale".
Selon une note interne de la Monuc, Nkunda a plus précisément exposé huit principales revendications au médiateur de l'ONU, parmi lesquelles: des négociations directes avec le gouvernement, la neutralisation des rebelles hutus rwandais, la protection des minorités, l'intégration des combattants rebelles au sein de l'armée.
Il a également exigé la renégociation des contrats signés par Kinshasa avec la Chine, aujourd'hui l'un des principaux bailleurs de fonds de la RDC.
Curieuse coïncidence, dans son ordonnance lue lundi soir à la télévision, le président Kabila a ordonné la création de nouveaux organismes publics liés aux intérêts chinois: le Bureau de coordination et de suivi des accords entre la Chine et la RDC, et l'Agence congolaise pour les grands travaux.
Les Chinois investissent énormément en RDC, immense pays d'Afrique centrale qui regorge de ressources minières, où ils construisent des routes, des logements et des hôpitaux et sont très présents dans le secteur minier.
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Message  Hiro-Hito 18/11/2008, 3:38 pm

On accuse les FARDC de pillage a Kirumba, au Sud de Lubero

Lubero : nouveaux pillages et poursuite des combats à Kirumba
Nord-Kivu | 18 Novembre 2008 à 12:19:27

La cité de Kirumba, au sud du territoire de Lubero, à plus de 200 kilomètres au nord de Goma, est à nouveau pillée ce mardi par des hommes armés. Selon la population locale, il s’agit, encore une fois, des militaires FARDC basés dans ce secteur. Par ailleurs, l’interposition des combattants du mouvement Pareco a provoqué des affrontements armés qui ont, à leur tour, occasionné de nouveaux déplacements des populations locales dans la brousse ou vers la cité de Lubero voisine, rapporte radiookapi.net

http://www.radiookapi.net/index.php?i=53&l=0&c=0&a=21108&da=&hi=0&of=2&s=&m=2&k=0&r=all&sc=0&id_a=0&ar=0&br=qst
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Message  Tonton Ricos 18/11/2008, 3:50 pm

La où moi je m'insurges,ce que la presse internationale met beaucoup plus d'accent sur les forfaits de nos soldats que sur les assasinats des hommes de Nkunda.C'est comme si Nkunda venait au secours des populations meurtris par la presence des FARDC,alors que ce desastre humanitaire,c'est lui qui l'a provoqué.
Pourquoi,on n'a jamais mis sur le meme pieds d'égalité les FARC en Colombie,avec l'armée regulière de ce pays,car eux aussi revendique des droits pour les Indiens?

Tonton Ricos


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Message  Tsippora 18/11/2008, 4:55 pm

C'est surement parce qu'il n'y a aucun doute sur l'engagement du gouvernement Colombien a combattre les FARC. Ca ne fait que demontrer le peu de credibilite de ce gvt qui, rappelons-le, est issu d'une rebellion. Certes l'AMP s'est mute en un parti plus ou moins coherent, il n'en est pas moins le descendant legitime de l'AFDL...

Personnellement je n'ai pas constate une plus grande attention des medias sur ces exactions. si oui, qui en est le responsable direct??? Que fait-il (notre rais national), quelles mesures concretes sont prises pour faire face au probleme, et surtout, qu'a t-il a dire pour sa defense? Silence radio. Ce n'est pas comme ca qu'on gagnera! Pcq au 21e siecle, la guerre se fait avant tout dans les medias!!!


Tonton Ricos a écrit:La où moi je m'insurges,ce que la presse internationale met beaucoup plus d'accent sur les forfaits de nos soldats que sur les assasinats des hommes de Nkunda.C'est comme si Nkunda venait au secours des populations meurtris par la presence des FARDC,alors que ce desastre humanitaire,c'est lui qui l'a provoqué.
Pourquoi,on n'a jamais mis sur le meme pieds d'égalité les FARC en Colombie,avec l'armée regulière de ce pays,car eux aussi revendique des droits pour les Indiens?
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Message  taty 20/11/2008, 10:45 am

28 MILITAIRES FARDC ACCUSÉS DE PILLAGE Rue89_logo
Publié sur Rue89 (http://www.rue89.com)
Pillages et vengeances dans la débandade de l'armée congolaise
Par Lucie Vérinque
Créé 11/19/2008 - 18:39

28 MILITAIRES FARDC ACCUSÉS DE PILLAGE 20081119Congoarmee
(De Kanyabayonga) Les rebelles du CNDP se trouvent toujours à quelques kilomètres de la ville de Kanyabayonga, à 140 kilomètres au nord de Goma, dans le Nord Kivu.
L'armée congolaise (les FARDC), en fuite, pille tout ce qu'elle peut sur son passage, entraînant des règlements de compte avec ses alliés traditionnels, les Mai Mai, issus de la région, qui refusent d'abandonner la ville, et les Pareco (Patriotes résistants congolais), une milice anti-tutsis créée en 2007 et alliée aux FDLR, les extrémistes hutus, qui ont fui au Congo après le génocide rwandais de 1994.
Dans la rage de la défaite, face à l'avancée des rebelles du CNDP, les soldats de l'armée congolaise ravissent tout dans leur fuite, brûlant des maisons de civils après les avoir vidées de tout, nourriture, argent, téléphones portables.
Rafales de mitrailleuses
A Kayna, à une dizaine de kilomètres au nord de Kanyabayonga, des Mai Mai, des adolescents, coiffés de couronnes de feuilles de palmier, portant différents grigris, hurlent et se dirigent en courant pour attaquer les FARDC vers l'hôpital du village.
Soudain, des rafales de mitrailleuses retentissent. Deux grenades sont successivement jetées vers l'hôpital et durant plus d'une heure, les deux camps s'affrontent dans la plus grande confusion, faisant fuir les civils qui se jettent, paniqués, dans les fossés, les caniveaux ou se dissimulent derrière des maisons en banco.
Les soldats tirent dans tous les sens, la plupart des balles n'atteignant pas leur cible. Sur une route en contrebas, une vingtaine de Pareco, RPG ou kalachnikov sur l'épaule, marchent à vive allure en direction des affrontements pour venir en renfort des Mai Mai. Pour le commandant des Mai Mai de Kanyabayonga, posté à l'entrée de la ville:
« L'armée pille nos gens, nous ne pouvons pas laisser faire ça. Ils nous ont dit de quitter ici, qu'ils nous feraient partir par la force, mais nous resterons quoi qu'il arrive et nous nous battrons contre les CNDP! »
A ces mots, un enfant d'une dizaine d'années, portant un collier auquel sont accrochées deux cartouches de balles en guise de médaillon, et vêtu d'un treillis râpe, brandit son arme pour approuver son chef.
Vengeance aveugle
Ce groupe a fui de Kiwanja, à 70 km plus au sud, après la reprise de la ville par le CNDP, qui a opéré des représailles contre tous les hommes, surtout les jeunes, considérés comme alliés ou membres des Mai Mai.
« Il y a quinze Fardc qui ont été faits prisonniers par les rebelles, là-haut hier », poursuit le commandant Mai Mai en montrant du doigt le sommet arboré de la montagne. Si le nombre de prisonniers et de morts militaires reste inconnu, résister au front semble désormais un pari impossible à tenir pour les FARDC, sous équipés, dont l'amertume semble les pousser à se venger sur n'importe qui, agressant des civils et violant des femmes.
Certains, atteints de paludisme ou de dysenterie, ne trouvent même pas de véhicules pour se faire rapatrier. Comme ce soldat, qui gît sur la route, en gémissant et en se tenant le ventre. Quelques hommes de sa compagnie sont parvenus à lui trouver une bicyclette, mais il n'a pas pu marcher.
« Nous n'avons rien pour nous faire soigner »
A l'hôpital de Kayna, le médecin a fui, seuls deux infirmiers sont restés, mais il n'y a plus aucun médicament, ni d'eau. « Nous avons un homme qui est mort hier, il avait la diarrhée. Nous n'avons rien pour nous faire soigner », soupire un FARDC, accoudé sur la rambarde à l'entrée de l'hôpital.
Pour certains, l'ultime protection consiste à se mêler à la population qui s'est réfugiée tout autour du camp de la Monuc [1], dans des abris de fortune:
« Nous essayons depuis plusieurs jours de négocier avec les hommes de la Monuc pour qu'ils demandent aux militaires de s'éloigner, raconte un déplacé. Nous avons peur des représailles des groupes armés, qui n'hésiteront pas à nous tuer s'ils nous voient avec eux. »

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Message  taty 24/11/2008, 11:34 am

28 MILITAIRES FARDC ACCUSÉS DE PILLAGE Fardc015

Government soldiers and women walk through the looted village of Kayna after a day of fighting in eastern Congo, November 18, 2008.REUTERS/Finbarr O'Reilly (DEMOCRATIC REPUBLIC OF CONGO)


28 MILITAIRES FARDC ACCUSÉS DE PILLAGE Fardc014

Government soldiers transport looted goods on a wooden bicycle after a day of fighting in the village of Kayna in eastern Congo, November 18, 2008. Demoralised Congolese government troops, retreating before eastern rebels, clashed on Tuesday with their own local militia allies who tried to make them stand and fight after the armed forces chief was replaced.REUTERS/Finbarr O'Reilly (DEMOCRATIC REPUBLIC OF CONGO

28 MILITAIRES FARDC ACCUSÉS DE PILLAGE Fardc013

A government soldier walks through the looted village of Kayna after a day of fighting in eastern Congo, November 18, 2008. Rebels in east Democratic Republic of Congo announced a military pullback on Tuesday to support a U.N. peace initiative and the government sacked its armed forces chief following a string of defeats. Rebel leader Laurent Nkunda's National Congress for the Defence of the People (CNDP) said it was withdrawing its Tutsi fighters 40 km (25 miles) back from two fronts in North Kivu province to create zones separating them and government troops.REUTERS/Finbarr O'Reilly (DEMOCRATIC REPUBLIC OF CONGO)

28 MILITAIRES FARDC ACCUSÉS DE PILLAGE Fardc012

Congolese Army soldiers load up before leaving the North Kivu town of Kayna, hours after they had engaged in a fierce firefight with local militia known as the Mai-Mai. Rebels announced Tuesday they would withdraw from two fronts to give peace a "new chance" in strife-torn eastern Democratic Republic of Congo as government forces faced new charges of looting.(AFP/Roberto Schmidt)

28 MILITAIRES FARDC ACCUSÉS DE PILLAGE Fardc011

A Congolese Army soldier looks on as others cook a meal in the North Kivu town of Kayna, hours after they had engaged in a fierce firefight with local militia known as the Mai-Mai. Rebels announced Tuesday they would withdraw from two fronts to give peace a "new chance" in strife-torn eastern Democratic Republic of Congo as government forces faced new charges of looting.(AFP/Roberto Schmidt


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Message  Libre Examen 24/11/2008, 8:47 pm

Peut-on vraiment en attendre autre chose. Il s'agit d'une culture inscrite depuis lontemps en eux. S'attaquer et vivre aux dépens de la population ! C'est pour ça qu'ils sont formés. Quoi de plus naturel. Triste et honteux. Na mawa, na soni.

http://news.yahoo.com/s/ap/20081124/ap_on_re_af/af_congo_fighting
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Message  Tsippora 26/11/2008, 12:45 am

A qui profite cette situation? C'est un moyen comme un autre qu'ont trouve nos traitres nationaux pour nous enlever toute credibilite sur la scene internationale! Quand j'entends des gens continuer a defendre Joseph et pretendre qu'un alignement avec celui qui torture et execute des congolais et est incapable de trouver une solution durable sera notre voie de sortie et un signe de patriotisme, j'en fais de l'urticaire. Il faut etre soit inconscient, ennemi du Congo et sadique, ou avoir ete dans un etat vegetatif depuis les 10 dernieres annees, et surtout les dernieres semaines pour tenir ce genre de discours. Dites-moi un peu en quoi ca nous avancerait, si nous nous mettions tous derriere Joseph? C'est surement ce qu'il attend pour en decoudre avec Nkundabatware... Evil or Very Mad Evil or Very Mad Evil or Very Mad
Tsippora
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