ELECTIONS: ECHOS DU CONGO

Présidentielle congolaise: dramatisation à deux jours des résultats




Jacques Lhuillery
Agence France-Presse
Kinshasa

À 48 heures de l'annonce du résultat complet de la présidentielle en RD Congo, la Commission électorale (Céni) devait livrer dimanche de nouveaux chiffres partiels dans un climat de crispation croissante après le rejet par l'opposition du décompte plaçant le sortant Joseph Kabila devant son rival Étienne Tshisekedi.

Sans attendre les résultats totaux provisoires prévus le 6 décembre, Tshisekedi a lancé samedi une mise en garde à Joseph Kabila et dénoncé les premiers décomptes portant sur 33,3% des quelque 64 000 bureaux de vote.

Samedi soir, Kabila était crédité de 3 275 125 voix (51%) et Tshisekedi de 2 233 447 (34%), mais quasiment sans Kinshasa où le décompte ne porte que sur 3,33% des bureaux.

Or, avec ses 3,3 millions d'électeurs inscrits, la capitale, favorable à Tshisekedi, pourrait prendre des allures de «swing state» à l'américaine, ces états qui font basculer une élection.

Dans le détail, Kabila est en tête dans 6 provinces (Bandundu, Katanga, Maniema, Province orientale, Nord et Sud Kivu) et Tshisekedi dans les 5 autres (Bas Congo, Équateur, Kasaï occidental et oriental, et Kinshasa).

Si la Majorité présidentielle (MP) a rapidement salué l'attitude «responsable» de la Céni, M. Tshisekedi a incendié le pouvoir: «l'UDPS (Union pour la démocratie et le progrès social, son parti) rejette ces résultats, et met en garde M. Ngoy Mulunda (le président de la Céni) et (le président) Kabila pour qu'ils respectent la volonté du peuple congolais».

«Dans le cas contraire, ils (Mulunda et Kabila) risquent de commettre des actes suicidaires», a averti le dirigeant de l'UDPS depuis son domicile, sous les applaudissements de cadres et militants de son parti.

M. Tshisekedi, 78 ans, a appelé les Congolais à «rester vigilants» et annoncé qu'«en cas de besoin» il lancera un «mot d'ordre», sans toutefois donner davantage de précisions.

Face à cette dramatisation et ce raidissement, la Conférence épiscopale nationale du Congo (Cenco) s'est alarmée dimanche: «l'image que nous avons c'est celle d'un train à grande vitesse qui va tout droit contre le mur», a déclaré Mgr Nicolas Djombo, le président de la Cenco, lors d'une conférence de presse.

Malgré des «irrégularités, des tentatives de fraudes et des scènes de violences», relevés lors des scrutins présidentiel et législatif, «globalement», nous pouvons accepter comme crédibles» ces élections, a estimé la Cenco, qui avait déployé 30 000 observateurs présents dans 24% des bureaux de vote.

Samedi, un autre candidat d'opposition, Vital Kamerhe, a apporté clairement son soutien à Tshisekedi, et n'a pas mâché ses mots pour dénoncer le camp présidentiel.

«Cette blague a trop duré et nous devons mettre fin à cette prédation des ressources de notre pays. Le peuple d'abord!», a lâché le président du parti UNC (Union pour la nation congolaise), reprenant le slogan de campagne d'Étienne Tshisekedi.

«Nous avons vu ce qui s'est passé au Kenya, au Zimbabwe, en Côte d'Ivoire», a-t-il encore déclaré, en référence aux violences postélectorales qui ont secoué ces pays.

Dans une déclaration commune lue dans un hôtel de la capitale par M. Kamerhe, «l'opposition politique congolaise», qui regroupe aussi l'UDPS et le parti du président du Sénat Léon Kengo, autre candidat à la présidence, a rejeté «tout résultat partiel» et le considère comme «nul».

Dimanche en fin de journée, la Céni devait donner de nouveaux résultats partiels de la présidentielle, qui pourraient porter cette fois sur environ 50% des bureaux de vote.


http://www.cyberpresse.ca/international/afrique/201112/04/01-4474426-presidentielle-congolaise-dramatisation-a-deux-jours-des-resultats.php

Les résultats des élections parallèles différeraient de ceux de PV des observateurs
http://radiotvtshiondo.com/2011/12/les-resultats-des-elections-paralleles-differeraient-de-ceux-des-pv-des-observateurs/

<p>A phone call from Barack Obama to Joseph Kabila saying, “It’s over; you lost; time to step down,” could probably stop a bloodbath in the heart of Africa.


http://fsddc.wordpress.com/2011/12/04/a-phone-call-from-barack-obama-to-joseph-kabila-saying-its-over-you-lost-time-to-step-down-could-probably-stop-a-bloodbath-in-the-heart-of-africa/





ARTICLE 64

http://sfbayview.com/2011/congo-deserves-a-leader-who-cares-about-the-congolese-people/



Congo deserves a leader who cares about the Congolese people | San Francisco Bay View
sfbayview.comWhy are the international community and U.N. not calling out irregularities in the elections in the Democratic Republic of the Congo? Why are they pretending to ignore this election in the world’s most resource rich nation, with the world’s lowest standard of living and the highest death toll due to...

Présidentielle-RDC: le candidat Kakese conteste les résultats partiels publiés par la Ceni

http://radiookapi.net/actualite/2011/12/04/presidentielle-rdc-le-candidat-kakese-conteste-les-resultats-partiels-publies-par-la-ceni/

Il a déclaré à Radio Okapi ce dimanche 4 décembre que les résultats de la Ceni diffèrent beaucoup trop de ceux dont il dispose «pour refléter la réalité».
Kakese Malela a affirmé avoir les preuves de ses allégations et a promis de les présenter «le moment venu».

SUIVEZ PAR VIDÉO PAR VIDEO L'OPPOSITION

http://lord-mbakam.skyrock.com/

Exalt-news Web
ALERTE: LA RESIDENCE D'ETIENNE TSHISEKEDI ASSIEGEE PAR DES POLICIERS ET DES MILITAIRES LOURDEMENT ARMES EN CE MOMENT.

Batika mba jeux wana............Balingi kaka mba congolais bakufa, que fait la monuc HEIN????????????

http://radiookapi.net/actualite/2011/12/04/rdc-la-fidh-demande-la-levee-de-la-suspension-du-service-des-sms/

Qui a le numéro de ce ministre???Tricherie eyebani mokili mobimba, basila nsoni.

http://radiookapi.net/actualite/2011/12/04/presidentielle-rdc-le-candidat-kakese-conteste-les-resultats-partiels-publies-par-la-ceni/

La Céni a déclaré ce samedi que le président sortant Joseph Kabila avait obtenu 51% des voix et son principal rival Etienne Tshisekedi 34%.

???????????? MULUNDA MALU MALU MEME COMBAT.

http://www.oraotv.com/tv4u/index.php?option=com_content&view=article&id=87&Itemid=121

sikoyo na RTNC pour la 3 eme fois CENI ezo publier resul;tats partiels KABILA PRESIDENT KK namoni tozela

Alerte!!
Nous venons d'avoir plus de précisions sur ce qui se passe dans la commune de la Katuba à Lubumbashi en ce moment: les jeunes de l'UNAFEC attaquent en ce moment-même les partisans de l'opposition et ciblent particulièrement les kasaiens, nous demandons instamment à la Monusco de verifier cette situation. Large diffusion. (D.S)

ARTICLE 64
http://www.afrik.com/article24182.html

RDC : "Le peuple pourrait être tenté de ne pas se laisser voler la victoire" - Afrik.com : l'actuali
www.afrik.comJean-Paul Mopo Kobanda, juriste, chercheur et analyste politique, revient pour afrik.com sur les enjeux des élections présidentielles du 28 novembre 2011 en RD-Congo. Il analyse notamment le cas d'Etienne Tshisekedi et la politique du pouvoir en place pour l'écarter de la course à la victoire...





http://www.afrik.com/article24182.html

APPEL AU SOULEMENT DU PEUPLE CONGOLAIS. (source apareco.. par NGWANDA)

veuillez bolanda message ya soulement na site ya apareco par honore ngwanda. URGENT.. FLASH..

2lys

http://www.apareco-rdc.com/

Mathy sait ce qu'elle doit faire.

Ye moko aza wapi?????????

mongo elombe a écrit:http://www.apareco-rdc.com/

Mathy sait ce qu'elle doit faire.

Ye moko aza wapi?????????

tata muasi,

machine eza en marche.. le prochain 24 ou 48heure eza decisif. y a rien a faire ma chere sauf k konionga le fameux petit bonhomme hypolite kanambe. keba po eza maseki lisusu te. eko yinda tata muasi, vigilance ma chere. 2lys

Fleur de lys, mba Myriam MAKEBA babunda à l'extérieur kaka ndenge toza kobelela mba mosusu na mba marches, mba mosusu mba téléphones, mba mails, na internet, mba pétitions, na mba radios mpe internet eza mpe eza armes.

Tala lelo mba russes mba défier POUTINE la cominter sans commentaires tokobunda chacun avec ses armes.

papa Fololo tozala serein.

link a écrit:

Kabila est une malediction

LA VALIDATION DES RESULTATS DES ELECTIONS REVIENT AU PEUPLE: DIXIT LE CHEF DES OBSERVATEURS UE

Posted on 4 décembre 2011by http://dc-kin.net


Devoir de transparence



Par Le Potentiel



La commission électorale nationale indépendante publie depuis quelques jours les résultats de la présidentielle, au fur et à mesure qu’ils sortent des bureaux de compilation. Les interprétations divergent selon l’appartenance et la sensibilité politique de ceux qui en prennent connaissance.

Ce mécanisme vise, à en croire la Ceni, à instaurer davantage de transparence, contribuant ainsi à faire baisser la tension. Cependant, une opinion voudrait que la Ceni aille jusqu’au bout de cette logique de transparence. Cette frange importante de l’opinion tiendrait à ce que la Ceni publie ces résultats partiels en indiquant leur provenance. Procéder autrement comme présentement s’apparenterait à la manipulation pure et simple. Vital Kamerhe, candidat à la présidentielle l’a qualifié de «ballon d’essai». A l’UDPS, cette manière d’opérer des choix des bureaux dans ces publications partielles des résultats est considérée comme pure «provocation».



Cette escalade verbale n’est pas de nature à rencontrer l’objectif visé, en décidant de procéder à des publications des résultats par paliers.



Aussi, serait-il plus responsable et équitable pour la Commission électorale nationale électorale de jouer jusqu’au bout la partition de la transparence. Publier des résultats partiels en indiquant clairement les sites où les résultats étaient enregistrés permettrait à tout le monde de constater que la Ceni ne verse pas dans la manipulation.



La tâche de la Ceni est délicate, immense et voire décisive sur l’avenir de la nation congolaise. . La crédibilité de l’ensemble du processus démocratique perdrait en qualité et en éclat, dans la mesure des acteurs impliqués directement dans le processus n’accepteraient pas le travail abattuCe serait faire fausse route que d’ignorer l’acteur majeur et principal, l’électeur appelé, lui aussi à se rendre compte de l’adéquation des résultats avec son vote.

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La cheffe de la mission d’observation électorale de l’Union européenne l’a d’ailleurs déclaré. Pour Mariya Nedelcheva : «La validation des résultats se fait par le peuple et les acteurs politiques qui se retrouvent dans ces résultats. La Mission n’a pas pour mission de valider les résultats. Nous, nous ne sommes pas là ni pour soutenir des candidats, ni pour influencer le processus, ni pour valider un quelconque résultat.»

</BLOCKQUOTE>
La Ceni qui doit se confiner dans son étroite mission d’organe technique doit avoir constamment à l’esprit que le processus ne lui appartient pas. Elle est donc astreinte à ce devoir de transparence tous azimuts.


LE POTENTIEL, 05/12/2011











http://fsddc.wordpress.com/2011/12/04/la-validation-des-resultats-des-elections-revient-au-peuple-dixit-le-chef-des-observateurs-ue/

Hiro-Hito a écrit: selon tante moko, masasi ezo lela makasi na limete lelo

Ezali ya solo .... nawuti ko solola na soeur masasi ebandaki na 17h ti 19h na Limete......

It's now or never for DR Congo
As Congo prepares for elections, the people must reject corrupt leaders and elect one who shares their aspirations.



Contrary to what ill-informed international media keep repeating, the general elections of 2011 in the Democratic Republic of the Congo (DRC) are the third, and not the second, democratic elections held in this country since its independence in 1960.

The first post-independence elections took place in May 1965. They were organised by the Congolese state, and they were free and fair. There was no violence, and the verdict of the ballot box was widely accepted by the electorate and the candidates. Election results were disputed in only five of the 137 parliamentary constituencies.

This historical reference is all the more important today, in light of the democracy deficit of the DRC and most African countries, where the reluctance of incumbents to leave office leads them to resort to intimidation, violence and electoral fraud for purposes of retaining state power. This is what is happening in the DRC today, as the country prepares to vote for the president and members of the national and provincial assemblies on Monday, November 28.

The Independent National Electoral Commission (CENI) has no autonomy, as it works closely with the government of President Joseph Kabila, who is seeking re-election. Pastor Daniel Ngoy Mulunda, the Methodist minister who heads the commission, is a relative of the president and a founding member of the ruling party, the People's Party for Reconstruction and Democracy (PPRD). His performance so far has not shown any signs of impartiality.

The electoral commission has refused to allow for an independent audit of the voters' roll, which is known to include minors, Rwandan citizens and ghost voters, while real voters have in many instances found their names deleted from it. The commission did belatedly release a map of polling stations, but many of these have been found to be non-existent.

Unfair advantages

In areas favourable to the opposition, polling stations have been reduced in number so as to compel voters to go further away from their homes to a polling place, which is likely to discourage some of them from voting. Laws requiring that managers of state enterprises and other public officials running for the national and provincial assemblies must resign before being recognised as candidates have not been enforced, thus allowing President Kabila's allies to use state resources for campaign purposes. This is not only illegal, but an unfair advantage for the president's camp over the opposition.

In this regard, and given the huge crowds that have greeted opposition presidential candidate Etienne Tshisekedi all over the country, there is no doubt that he would win a free, fair, transparent and non-fraudulent election. Of the ten candidates running against Kabila for the presidency, Tshisekedi is the only one capable of beating him decisively, even in a single-round election, because of his standing as the foremost leader of the Congolese democracy movement since 1980.


As the leader of the oldest opposition party in postcolonial DRC, the Union for Democracy and Social Progress (UDPS), which was established in 1982, Tshisekedi is popularly referred to as Ya Tshitshi ["Big Brother Tshitshi"] and "the people's candidate". He is the one candidate who incarnates the deepest aspirations of the Congolese people for freedom and material prosperity, and epitomises their determination to get rid of the current regime, which has kept the Mobutu legacy of corruption and repression alive.

Since coming to power following his father's assassination in January 2001, Joseph Kabila has little to show for his nearly 11 years of rule. He won the 2006 election partly on the claim of having ended the Second Congo War, which ravaged much of the eastern part of the country between 1998 and 2003.

However, northeastern Congo remains a zone of turbulence, in which a succession of armies and militia groups, both foreign and national, have plundered the land, subjected women and girls to horrific acts of sexual violence, and used forced and child labour to amass wealth through the illegal exploitation of minerals and other resources. According to reports by the United Nations Group of Experts on the Illegal Exploitation of the Natural Resources and Other Forms of Wealth of the DRC, prominent members of President Kabila's entourage are among the beneficiaries of this plunder.

Plundering Congo

The regime has participated in the plunder either actively, as through mining contracts overwhelmingly favourable to foreign interests, or by acts of omission, for example in doing nothing about the plunder of Congolese resources by Angola, Rwanda and Uganda. Estimates of money lost by the DRC in mineral concessions by self-serving Congolese officials, including the president, are as high as $5.5bn.

In addition to Rwanda and Uganda, which have been plundering the Congo either directly or through proxies since 1996, Angola has occupied land rich in diamonds in the Bandundu province of the DRC and exploits petroleum in Congolese territorial waters. These challenges to national security do not seem to provoke the kind of patriotic response that one would expect from a government whose first priority is to defend the national interest. The president, his cabinet, senior army and police officers as well other high-ranking state officials have done nothing but enrich themselves to the detriment of the mass of the people.

Consequently, the DRC has earned the distinction of being the poorest country on the earth when it is probably the first in terms of its wealth in natural resources. In the 2011 Human Development Report of the United Nations Development Programme (UNDP), the DRC is the last of 187 nations surveyed in terms of its Human Development Index (HDI), a measure of wellbeing based on life expectancy, personal income, health and education. It is therefore beyond comprehension why Joseph Kabila should pretend to be "100 per cent" sure that the Congolese people will give him another five-year term in office.

This is both a manifestation of utter contempt for the electorate and an expression of confidence in the electoral fraud machine being organised and managed by Pastor Ngoy Mulunda. For there is widespread belief among African leaders that it is stupid to lose an election that you organise. Thus, even when so-called independent electoral commissions are established, incumbents will use all the means at their disposal, both legal and illegal, to cling to power.

Now or never

In the DRC, the genuine political opposition and civil society are determined to do all that is necessary to defeat this machine of electoral fraud so that the final results would be consistent with the wishes of the people. This will not be easy, not only for the support that the Kabila regime enjoys from neighboring states such as Angola, Rwanda and Uganda, but also in the face of the hostility of the international community toward the veteran democracy leader Etienne Tshisekedi.

The major powers, in particular, do not like to be faced with a leader like him who enjoys a popular base of support in a strategically important country like the DRC. They prefer leaders with no strong national constituency, who can therefore be counted upon to execute orders from the major world capitals. As ongoing developments in the Arab Spring do clearly show, the Western powers' supposed support for democracy is a sham, given the hypocrisy and double standards shown in their actions. For if democracy is good for Tunisians, Egyptians and Libyans, it also ought to be good for the peoples of Yemen, Bahrain, Syria and Palestine.

For the Congolese people, this is the third time that our country faces a critical choice concerning its destiny. The first was in 1960, when Patrice Lumumba, the hero of the independence struggle and the first democratically elected prime minister, was wrongfully removed from power and eventually assassinated on orders from the US and Belgian governments. This crime was so profoundly felt by our people that it gave rise to a popular social movement for a "second independence".

The second time occurred during the African Spring of the early 1990s, as country after country rose up against one-party rule in favour of multiparty democracy. In the DRC, Tshisekedi was democratically elected as prime minister in 1992 by the sovereign national conference with a mandate to bring about radical change in the way in which the country and its resources were managed.

Unfortunately, the international community gave him lukewarm support and did nothing to prevent the restoration of the Mobutu regime after a few months. After losing 20 precious years and after 50 years of seeing their country fall to the bottom because of corrupt leaders, the Congolese people are determined to put in power a person whose vision of the future reflects their own aspirations. For them, it is now or never.

Georges Nzongola-Ntalaja is Professor of African Studies at the University of North Carolina at Chapel Hill.

The views expressed in this article are the author's own and do not necessarily reflect Al Jazeera's editorial policy.

http://www.aljazeera.com/indepth/opinion/2011/11/2011112610948222355.html

http://www.congoone.net/one/index.php?option=com_content&view=article&id=720:les-pasteurs-et-theologiens-congolais-invitent-ngoy-mulunda-a-se-raviser

Les traîtres de catholique babendani complice de la terreur pour ne pas changer.