L'autonomie ou la DEUXIÈME INDÉPENDANCE DU CONGO.

UNE VOITURE EN BOIS MADE IN MUGUNGA

Uu homme d'un quartier pauvre de Goma vient d'inventer une voiture en bois.A MUGUNGA,toute la population était en admiration devant le savoir d'un homme sans pareil.BABA MANU a construit sa voiture en bois pendant plusieurs semaines sans rien dire a personne.Sa voiturette peut rouler jusque 30km/h.Elle est faite en Triplex et bois,en frein,pédale,rétroviseur…et tout en bois.
Les rétroviseurs sont aussi en bois mais les amortisseurs en fer tout comme le volant.
Il lui manque un peu d'encadrement pour que génie de Mugunga rentre dans l'histoire.
– à MUGUNGA AU NORD KIVU EN RDC.

Dossier Le Congo sera rural ou ne sera pas

L’agriculture congolaise à réinventer



Les grands paradoxes de la RDC
Plus de 70 % de la population vivent sous le seuil de pauvreté et ne mangent pas à leur faim, alors que :
Seulement 10 % du potentiel agricole du pays sont exploités.
Les données éco-climatiques sont partout favorables à l’agriculture.
Pour nourrir Kinshasa, sa périphérie et la province du Bas-Congo, chaque année, la RDC importe, via le port de Matadi, 640 000 tonnes de denrées produites par l’agriculture,l’élevage et la pêche (poisson congelé,poulets et abats congelés, céréales, huile de palme, lait en poudre).
Et les bateaux repartent à vide !
Toutes les grandes villes de la RDC dépendent ainsi d’importations massives pour se nourrir !
Source : livret de présentation
du Code agricole de la RDC

La RDC n’est autosuffisante que pour quelques rares produits alimentaires : le manioc, les légumes, la banane, la banane plantain et le haricot.
Les grandes villes comme Kinshasa importent d’Europe,d’Asie, d’Amérique, du riz, du blé, de la viande congelée, du poisson.
L’importation de certaines denrées paraît incompréhensible tant leur production pourrait être assurée par la RDC.
C’est notamment le cas des céréales.
La plupart du riz consommé dans les villes grandes ou intermédiaires de la RDC est d’origine asiatique (Inde, Vietnam,Pakistan, Chine, Thaïlande).
Au terme de certaines récoltes, le riz paddy produit dans la région de Bumba (province de l’équateur) pourrit sur place, faute de preneurs ou de possibilités d’évacuation.
Le marché de Kinshasa achète annuellement 200 000 tonnes de riz en provenance du Vietnam alors que les provinces riveraines du fleuve pourraient l’approvisionner.

http://www.sosfaim.be/pdf/publications/defis_sud/91/agriculture_congolaise_rdc.pdf

lino a écrit:

Dossier Le Congo sera rural ou ne sera pas

L’agriculture congolaise à réinventer



Les grands paradoxes de la RDC
Plus de 70 % de la population vivent sous le seuil de pauvreté et ne mangent pas à leur faim, alors que :
Seulement 10 % du potentiel agricole du pays sont exploités.
Les données éco-climatiques sont partout favorables à l’agriculture.
Pour nourrir Kinshasa, sa périphérie et la province du Bas-Congo, chaque année, la RDC importe, via le port de Matadi, 640 000 tonnes de denrées produites par l’agriculture,l’élevage et la pêche (poisson congelé,poulets et abats congelés, céréales, huile de palme, lait en poudre).
Et les bateaux repartent à vide !
Toutes les grandes villes de la RDC dépendent ainsi d’importations massives pour se nourrir !
Source : livret de présentation
du Code agricole de la RDC

La RDC n’est autosuffisante que pour quelques rares produits alimentaires : le manioc, les légumes, la banane, la banane plantain et le haricot.
Les grandes villes comme Kinshasa importent d’Europe,d’Asie, d’Amérique, du riz, du blé, de la viande congelée, du poisson.
L’importation de certaines denrées paraît incompréhensible tant leur production pourrait être assurée par la RDC.
C’est notamment le cas des céréales.
La plupart du riz consommé dans les villes grandes ou intermédiaires de la RDC est d’origine asiatique (Inde, Vietnam,Pakistan, Chine, Thaïlande).
Au terme de certaines récoltes, le riz paddy produit dans la région de Bumba (province de l’équateur) pourrit sur place, faute de preneurs ou de possibilités d’évacuation.
Le marché de Kinshasa achète annuellement 200 000 tonnes de riz en provenance du Vietnam alors que les provinces riveraines du fleuve pourraient l’approvisionner.

http://www.sosfaim.be/pdf/publications/defis_sud/91/agriculture_congolaise_rdc.pdf

Jim KK a écrit:

lino a écrit:

Dossier Le Congo sera rural ou ne sera pas

L’agriculture congolaise à réinventer



Les grands paradoxes de la RDC
Plus de 70 % de la population vivent sous le seuil de pauvreté et ne mangent pas à leur faim, alors que :
Seulement 10 % du potentiel agricole du pays sont exploités.
Les données éco-climatiques sont partout favorables à l’agriculture.
Pour nourrir Kinshasa, sa périphérie et la province du Bas-Congo, chaque année, la RDC importe, via le port de Matadi, 640 000 tonnes de denrées produites par l’agriculture,l’élevage et la pêche (poisson congelé,poulets et abats congelés, céréales, huile de palme, lait en poudre).
Et les bateaux repartent à vide !
Toutes les grandes villes de la RDC dépendent ainsi d’importations massives pour se nourrir !
Source : livret de présentation
du Code agricole de la RDC

La RDC n’est autosuffisante que pour quelques rares produits alimentaires : le manioc, les légumes, la banane, la banane plantain et le haricot.
Les grandes villes comme Kinshasa importent d’Europe,d’Asie, d’Amérique, du riz, du blé, de la viande congelée, du poisson.
L’importation de certaines denrées paraît incompréhensible tant leur production pourrait être assurée par la RDC.
C’est notamment le cas des céréales.
La plupart du riz consommé dans les villes grandes ou intermédiaires de la RDC est d’origine asiatique (Inde, Vietnam,Pakistan, Chine, Thaïlande).
Au terme de certaines récoltes, le riz paddy produit dans la région de Bumba (province de l’équateur) pourrit sur place, faute de preneurs ou de possibilités d’évacuation.
Le marché de Kinshasa achète annuellement 200 000 tonnes de riz en provenance du Vietnam alors que les provinces riveraines du fleuve pourraient l’approvisionner.

http://www.sosfaim.be/pdf/publications/defis_sud/91/agriculture_congolaise_rdc.pdf

L’agriculture a toujours été reléguée au dernier rang des activités humaines au Congo. Le paysan est considéré comme un citoyen de seconde zone. C’est le moins que rien. La plupart des congolais veulent s´ils ont étudié être des politiciens. Aussi paradoxal que cela puisse paraître, presque tous les gouvernements que le Congo a connus font de l’agriculture la base du développement de ce pays. Mais ils ne font absolument rien pour développer cette agriculture. Et ce n’est qu’un euphémisme.

Le Congo a beaucoup de terres et souffre pourtant de malnutrition à grande échelle. Notre pays est vaste, on y trouve des rivières partout. Il se situe à l´équateur et il y pleut abondamment. Pourquoi n´arrivons nous pas nous congolais à développer ce secteur clé ???

Nous devrions avoir plusieurs écoles ou mêmes des universités pour former des agronomes. Le gouvernement congolais devrait avoir une bonne politique agricole : former les agriculteurs, mécaniser l´agriculture, maintenir ces agriculteurs sur place à faire des produits consommés sur place, les protéger par des barrières douanières, augmenter leurs rendements par des meilleures semences et créer des marchés régionaux. Signer des contrats de coopération avec les grandes puissances dans ce domaine (Afrique du sud, chine, brésil…) pour espérer ainsi obtenir un transfert de compétences, la création d'infrastructures et d'emplois. L´état congolais devrait avoir un fond spécial pour inciter des investissements dans ce domaine vital !!!!!!!!!!!!

Il faut bien le dire, ce n’est pas avec la houe que le Congo peut se rendre autosuffisant pour beaucoup de produits alimentaires avant de parler de développer son agriculture à des fins de commercialisation ou de transformation. Comme les résultats d’investissements dans ce secteur ne s’obtiennent qu’à moyen ou long terme, cela intéresse peu les investisseurs congolais et le gouvernement même.
Pourtant, cela concerne la presque totalité de la population de notre beau pays. Avec une démographie galopante, les moyens agricoles traditionnels ne peuvent plus nourrir les nombreuses bouches du Congo tant qu’ils n’évolueront pas. Et nous savons tous qu´un homme qui a faim est un homme qui ne pense pas, et par conséquent ne se donne pas les moyens de son développement.

Ah nzambe osali biso ba congolais ndenge nini ??
Tozali na nyonso mais to zangi pe nyonso !
Congo na nga mawa. Ce n´est pas possible .

Jim KK a écrit:


L’agriculture a toujours été reléguée au dernier rang des activités humaines au Congo. Le paysan est considéré comme un citoyen de seconde zone. C’est le moins que rien. La plupart des congolais veulent s´ils ont étudié être des politiciens. Aussi paradoxal que cela puisse paraître, presque tous les gouvernements que le Congo a connus font de l’agriculture la base du développement de ce pays. Mais ils ne font absolument rien pour développer cette agriculture. Et ce n’est qu’un euphémisme.

Le Congo a beaucoup de terres et souffre pourtant de malnutrition à grande échelle. Notre pays est vaste, on y trouve des rivières partout. Il se situe à l´équateur et il y pleut abondamment. Pourquoi n´arrivons nous pas nous congolais à développer ce secteur clé ???

Nous devrions avoir plusieurs écoles ou mêmes des universités pour former des agronomes. Le gouvernement congolais devrait avoir une bonne politique agricole : former les agriculteurs, mécaniser l´agriculture, maintenir ces agriculteurs sur place à faire des produits consommés sur place, les protéger par des barrières douanières, augmenter leurs rendements par des meilleures semences et créer des marchés régionaux. Signer des contrats de coopération avec les grandes puissances dans ce domaine (Afrique du sud, chine, brésil…) pour espérer ainsi obtenir un transfert de compétences, la création d'infrastructures et d'emplois. L´état congolais devrait avoir un fond spécial pour inciter des investissements dans ce domaine vital !!!!!!!!!!!!

Il faut bien le dire, ce n’est pas avec la houe que le Congo peut se rendre autosuffisant pour beaucoup de produits alimentaires avant de parler de développer son agriculture à des fins de commercialisation ou de transformation. Comme les résultats d’investissements dans ce secteur ne s’obtiennent qu’à moyen ou long terme, cela intéresse peu les investisseurs congolais et le gouvernement même.
Pourtant, cela concerne la presque totalité de la population de notre beau pays. Avec une démographie galopante, les moyens agricoles traditionnels ne peuvent plus nourrir les nombreuses bouches du Congo tant qu’ils n’évolueront pas. Et nous savons tous qu´un homme qui a faim est un homme qui ne pense pas, et par conséquent ne se donne pas les moyens de son développement.

Ah nzambe osali biso ba congolais ndenge nini ??
Tozali na nyonso mais to zangi pe nyonso !
Congo na nga mawa. Ce n´est pas possible .

Kasaï-Oriental: la production agricole demeure faible

Les tracteurs que le gouvernement congolais a donnés à la province du Kasaï-Oriental n’ont pas produit les résultats attendus. Le ministre provincial de l’Agriculture, Pêche et Elevage, Roger Tshilombo, l’a constaté lors d’une tournée d’inspection dans les différents territoires de la province. Il affirme que la mauvaise utilisation des engins a eu un impact négatif sur la production agricole.


Pour le ministre, plusieurs raisons seraient à la base de la faible production agricole. Il cite notamment le coût élevé exigé aux agriculteurs pour louer les tracteurs et l’appropriation de ces engins par certaines organisations.

Ces tracteurs ont été octroyés aux différentes provinces de la RDC en 2010 par le gouvernement central. Le Kasaï-Oriental avait bénéficié de plus d’une centaine de tracteurs agricoles livrés en deux temps.

Le premier lot de plus de soixante engins était complet. Mais le deuxième, avait été livré sans accessoires. Ce manque d’accessoires a aussi pénalisé les agriculteurs de la province dans l’utilisation des tracteurs.

Roger Tshilombo l’a confirmé: «certains accusent le manque d’accessoires de certains tracteurs ; mais d’une façon générale, on a remarqué que les gens ont manqué de suivi de notre part».

Pour booster les résultats des récoltes, le ministère provincial envisage de réaffecter ces engins agricoles dans les contrées où le besoin se fait réellement sentir.

C’est le cas des territoires de Ngandajika, Luputa et Miabi. Le ministre de l’agriculture du Kasaï-Oriental a affirmé que la province s’est également résolue d’acheter des accessoires pour les engins qui en manquent.

http://radiookapi.net/actualite/2012/05/03/kasai-oriental-la-production-agricole-demeure-faible/#more-120776