Le gouvernement annonce la construction de nouveaux caniveaux
2 participants
Page 1 sur 1
Le gouvernement annonce la construction de nouveaux caniveaux
Le ministre Kasweshi annonce la construction de nouveaux caniveaux
Le ministre de l’Aménagement du Territoire, Urbanisme, Habitat,
Infrastructures, Travaux publics et reconstruction, Fridolin Kasweshi
Musoka, a répondu, le samedi 4 mai 2013, aux préoccupations des
sénateurs soulevées à la suite de la question orale de leur collègue
Michel Bongongo. Celle-ci, faudrait-il rappeler, concernait
principalement la gestion du Fonds National d’Entretien
Routier(FONER), les mécanismes de collecte des fonds dans les
provinces et leur affectation. A la suite du débat engagé le 2 mai
2013, il a été enregistré environ 21 intervenants avec une moyenne de
4 questions par intervenant liées non seulement à la gestion du Foner,
mais aussi aux routes nationales, à la concession Kinshasa-Matadi et
aux questions ayant trait aux voiries.
Dans le lot des questions qui ont retenu l’attention de l’auditoire,
Fridolin Kasweshi a fourni des explications liées aux inondations sur
le Boulevard du 30 juin après chaque pluie. D’après lui, de nouvelles
constructions de plus en plus croissantes dans la ville, combinées aux
problèmes récurrents d’urbanisation (gestion des déchets,
constructions anarchiques), font que le réseau d’assainissement du
boulevard du 30 juin ainsi que d’autres avenues de Kinshasa
est devenu inadapté. « A cela, on peut ajouter le fait qu’une partie
majeure du réseau d’égouts soit bouchée par des constructions
anarchiques », a-t-il complété.
Rassuré pourtant d’avoir résolu le problème de la circulation lié à
l’état et à la largeur de la chaussée, le ministre a révélé la
planification et l’entame, à travers l’Office des Voiries et Drainage,
ainsi que la construction de nouveaux caniveaux adaptés,
l’élargissement de ceux existant et le débouchage des égouts.
Dans le même registre, Fridolin Kasweshi a expliqué que les
inondations récurrentes dans la ville basse de Kikwit (Bandundu) est
la conséquence des constructions anarchiques et de l’absence du réseau
d’assainissement comme c’est le cas de Kisenso-Matete à Kinshasa.
Pour remédier à ce problème, il faut construire un réseau
d’assainissement afin de drainer les eaux et éviter les éboulements de
terres. Tâche qui pour une agglomération de plus d’un million
d’habitants est plus recommandée. « Cela nécessite une préparation
technique et financière. Cependant, pour mettre un terme à ce problème
des constructions anarchiques, nous avons initié la mise en place des
commissions de lotissement à travers toutes les provinces, de manière
à minimiser l’impact du désordre foncier sur les infrastructures
routières», a-t-il conclu, tout en faisant noter qu’il est évident que
le problème de Mbanza-Ngungu résulte du même fait.
FONER : 2012, 238.232.708 USD de recettes
Concernant essentiellement le Foner, établissement public créé par la
loi 08/006-A du 07 juillet 2008 pour financer les travaux d’entretien
et de protection des routes et de la voirie d’intérêt national,
Fridolin Kasweshi a tenu d’entrée de jeu à souligner que cette
structure n’exécute pas les travaux. « Ce rôle est réservé aux agences
routières que sont l’Office des Routes, l’Office des Voiries et
Drainage et la Direction des Voiries de Desserte Agricole. Le Foner ne
peut financer que les travaux d’entretien et non les travaux de
construction de nouvelles routes, ni la réhabilitation des anciennes
routes devenues impraticables. Ainsi, pour qu’il finance les travaux
sur une route, il faut que celle-ci ait été au préalable réhabilitée
ou construite», a appuyé le ministre.
Tout en affirmant que les agences routières et le Foner travaillent
en synergie, le ministre Kasweshi a indiqué que le dernier cité agit
comme une banque d’investissement ayant pu mobiliser, entre septembre
2009 et 31 décembre 2012, 238.232.708 USD.
Il convient de signaler que la source principale des recettes du
Foner est actuellement la redevance sur les carburants terrestres
(98%).
Directions provinciales : le processus toujours
en cours
Préoccupé par l’existence de 7 Directions provinciales au lieu de 11,
le sénateur Michel Bongongo a sollicité du ministre des explications
sur le critère de
leur création. En guise de réponse, Fridolin Kasweshi a signalé que le
déploiement du Foner est en train de s’opérer progressivement à
travers toute l’étendue de la République.
Au départ, en 2009, le Foner avait une structure centralisée avec 5
Directions à Kinshasa. En décembre 2010, la structure du Foner a été
décentralisée en créant trois grandes directions régionales Est
(Nord-Kivu, Sud-Kivu, du Maniema et Province Orientale), Ouest
(Bas-Congo, Bandundu et Equateur) et (Katanga, Kasaï-Oriental et
Kasaï-Occidental). C’est en décembre 2012 que la structure a été
encore décentralisée en créant 7 directions provinciales dont celle du
Bas-Congo ; Bandundu & Equateur ; Katanga ; Nord-Kivu ; Sud-Kivu &
Maniema ; Province Orientale ; Kasaï Oriental & Kasaï-Oriental.
Le critère de décentralisation, a précisé le ministre, a été
essentiellement l’importance des activités du Foner en termes de
potentiel des recettes à mobiliser et du suivi des travaux exécutés
sous son financement à travers toutes les provinces de la République.
«La démarche étant progressive, la décentralisation va se poursuivre
dans d’autres provinces », a-t-il promis.
Péage : la co-gestion comme solution
S’agissant de la préoccupation relative aux critères d’installation
des postes de péage sur des routes non réhabilitées, Fridolin Kasweshi
a rappelé qu’avant l’avènement du Foner, les Exécutifs provinciaux
exploitaient des postes de péage sur les routes de leurs provinces
respectives. La loi n°08/06-A du 07 juillet 2008 ayant confié au Foner
la mission de collecter les droits de péage, il s’est posé le problème
de transfert de cette activité. Après plusieurs tractations, le
partenariat public-privé prôné par la loi a permis de trouver une voie
de sortie en concluant des protocoles d’accord tripartites
Foner-Gouvernements provinciaux-Fédération des Entreprises du Congo
(FEC) pour la co-gestion des postes de péage.
Par ces protocoles d’accord entrés en vigueur en janvier 2011 pour la
plupart, indique-t-il, les activités de péage sont gérées par une
Coordination comprenant des membres désignés par les gouvernements
provinciaux, les FEC provinciales et le Foner. Cette Coordination est
présidée par les représentants des gouvernements provinciaux. La
désignation des agents de péage se fait aussi de la même manière, ce
qui permet une gestion transparente des recettes qui sont générées par
ces postes de péage.
Le ministre de l’Aménagement du Territoire, Urbanisme, Habitat,
Infrastructures, Travaux publics et reconstruction, Fridolin Kasweshi
Musoka, a répondu, le samedi 4 mai 2013, aux préoccupations des
sénateurs soulevées à la suite de la question orale de leur collègue
Michel Bongongo. Celle-ci, faudrait-il rappeler, concernait
principalement la gestion du Fonds National d’Entretien
Routier(FONER), les mécanismes de collecte des fonds dans les
provinces et leur affectation. A la suite du débat engagé le 2 mai
2013, il a été enregistré environ 21 intervenants avec une moyenne de
4 questions par intervenant liées non seulement à la gestion du Foner,
mais aussi aux routes nationales, à la concession Kinshasa-Matadi et
aux questions ayant trait aux voiries.
Dans le lot des questions qui ont retenu l’attention de l’auditoire,
Fridolin Kasweshi a fourni des explications liées aux inondations sur
le Boulevard du 30 juin après chaque pluie. D’après lui, de nouvelles
constructions de plus en plus croissantes dans la ville, combinées aux
problèmes récurrents d’urbanisation (gestion des déchets,
constructions anarchiques), font que le réseau d’assainissement du
boulevard du 30 juin ainsi que d’autres avenues de Kinshasa
est devenu inadapté. « A cela, on peut ajouter le fait qu’une partie
majeure du réseau d’égouts soit bouchée par des constructions
anarchiques », a-t-il complété.
Rassuré pourtant d’avoir résolu le problème de la circulation lié à
l’état et à la largeur de la chaussée, le ministre a révélé la
planification et l’entame, à travers l’Office des Voiries et Drainage,
ainsi que la construction de nouveaux caniveaux adaptés,
l’élargissement de ceux existant et le débouchage des égouts.
Dans le même registre, Fridolin Kasweshi a expliqué que les
inondations récurrentes dans la ville basse de Kikwit (Bandundu) est
la conséquence des constructions anarchiques et de l’absence du réseau
d’assainissement comme c’est le cas de Kisenso-Matete à Kinshasa.
Pour remédier à ce problème, il faut construire un réseau
d’assainissement afin de drainer les eaux et éviter les éboulements de
terres. Tâche qui pour une agglomération de plus d’un million
d’habitants est plus recommandée. « Cela nécessite une préparation
technique et financière. Cependant, pour mettre un terme à ce problème
des constructions anarchiques, nous avons initié la mise en place des
commissions de lotissement à travers toutes les provinces, de manière
à minimiser l’impact du désordre foncier sur les infrastructures
routières», a-t-il conclu, tout en faisant noter qu’il est évident que
le problème de Mbanza-Ngungu résulte du même fait.
FONER : 2012, 238.232.708 USD de recettes
Concernant essentiellement le Foner, établissement public créé par la
loi 08/006-A du 07 juillet 2008 pour financer les travaux d’entretien
et de protection des routes et de la voirie d’intérêt national,
Fridolin Kasweshi a tenu d’entrée de jeu à souligner que cette
structure n’exécute pas les travaux. « Ce rôle est réservé aux agences
routières que sont l’Office des Routes, l’Office des Voiries et
Drainage et la Direction des Voiries de Desserte Agricole. Le Foner ne
peut financer que les travaux d’entretien et non les travaux de
construction de nouvelles routes, ni la réhabilitation des anciennes
routes devenues impraticables. Ainsi, pour qu’il finance les travaux
sur une route, il faut que celle-ci ait été au préalable réhabilitée
ou construite», a appuyé le ministre.
Tout en affirmant que les agences routières et le Foner travaillent
en synergie, le ministre Kasweshi a indiqué que le dernier cité agit
comme une banque d’investissement ayant pu mobiliser, entre septembre
2009 et 31 décembre 2012, 238.232.708 USD.
Il convient de signaler que la source principale des recettes du
Foner est actuellement la redevance sur les carburants terrestres
(98%).
Directions provinciales : le processus toujours
en cours
Préoccupé par l’existence de 7 Directions provinciales au lieu de 11,
le sénateur Michel Bongongo a sollicité du ministre des explications
sur le critère de
leur création. En guise de réponse, Fridolin Kasweshi a signalé que le
déploiement du Foner est en train de s’opérer progressivement à
travers toute l’étendue de la République.
Au départ, en 2009, le Foner avait une structure centralisée avec 5
Directions à Kinshasa. En décembre 2010, la structure du Foner a été
décentralisée en créant trois grandes directions régionales Est
(Nord-Kivu, Sud-Kivu, du Maniema et Province Orientale), Ouest
(Bas-Congo, Bandundu et Equateur) et (Katanga, Kasaï-Oriental et
Kasaï-Occidental). C’est en décembre 2012 que la structure a été
encore décentralisée en créant 7 directions provinciales dont celle du
Bas-Congo ; Bandundu & Equateur ; Katanga ; Nord-Kivu ; Sud-Kivu &
Maniema ; Province Orientale ; Kasaï Oriental & Kasaï-Oriental.
Le critère de décentralisation, a précisé le ministre, a été
essentiellement l’importance des activités du Foner en termes de
potentiel des recettes à mobiliser et du suivi des travaux exécutés
sous son financement à travers toutes les provinces de la République.
«La démarche étant progressive, la décentralisation va se poursuivre
dans d’autres provinces », a-t-il promis.
Péage : la co-gestion comme solution
S’agissant de la préoccupation relative aux critères d’installation
des postes de péage sur des routes non réhabilitées, Fridolin Kasweshi
a rappelé qu’avant l’avènement du Foner, les Exécutifs provinciaux
exploitaient des postes de péage sur les routes de leurs provinces
respectives. La loi n°08/06-A du 07 juillet 2008 ayant confié au Foner
la mission de collecter les droits de péage, il s’est posé le problème
de transfert de cette activité. Après plusieurs tractations, le
partenariat public-privé prôné par la loi a permis de trouver une voie
de sortie en concluant des protocoles d’accord tripartites
Foner-Gouvernements provinciaux-Fédération des Entreprises du Congo
(FEC) pour la co-gestion des postes de péage.
Par ces protocoles d’accord entrés en vigueur en janvier 2011 pour la
plupart, indique-t-il, les activités de péage sont gérées par une
Coordination comprenant des membres désignés par les gouvernements
provinciaux, les FEC provinciales et le Foner. Cette Coordination est
présidée par les représentants des gouvernements provinciaux. La
désignation des agents de péage se fait aussi de la même manière, ce
qui permet une gestion transparente des recettes qui sont générées par
ces postes de péage.
regarder et bien voir
Re: Le gouvernement annonce la construction de nouveaux caniveaux
Premierement, les deputes' ont bien fait de s'enquerir sur les activites de FONER. Parmi les solutions l'aspect technique a du sens mais ce n'est pas tout. Je crois que comme il est dit, le grand probleme se trouve que la ville de Kinshasa et d'autres villes doivent etre urbanisees' ou re-urbanisees'. Une condition qui exige de grandes resources. Mais en attendant ce qu'il faut faire pour remedier certains problemes au quotidien est qu'il faut imposer premierement une seule direction de coulement d'eau(et non dans une route l'eau coule du nord au sud et dans les avenues adjacentes de sud au nord ou a` l'ouest). Cela est aussi l'une des causes de blocaque et innondation d'eau. Apres chaque route construite ou rehabilite'e doit etre accompagnee' de son canniveau et tous les cannivaux allant une meme direction et non des directions contraires. Ceci aidera un peu les choses en attendant les grands remedes de l'urbanisation des villes.
Regarder et bien voir
Technologie-polytechnique
Regarder et bien voir
Technologie-polytechnique
regarder et bien voir
Re: Le gouvernement annonce la construction de nouveaux caniveaux
Il existe un réseau d'écoulement mais qui n'est malheureusement pas entretenu.regarder et bien voir a écrit:Premierement, les deputes' ont bien fait de s'enquerir sur les activites de FONER. Parmi les solutions l'aspect technique a du sens mais ce n'est pas tout. Je crois que comme il est dit, le grand probleme se trouve que la ville de Kinshasa et d'autres villes doivent etre urbanisees' ou re-urbanisees'. Une condition qui exige de grandes resources. Mais en attendant ce qu'il faut faire pour remedier certains problemes au quotidien est qu'il faut imposer premierement une seule direction de coulement d'eau(et non dans une route l'eau coule du nord au sud et dans les avenues adjacentes de sud au nord ou a` l'ouest). Cela est aussi l'une des causes de blocaque et innondation d'eau. Apres chaque route construite ou rehabilite'e doit etre accompagnee' de son canniveau et tous les cannivaux allant une meme direction et non des directions contraires. Ceci aidera un peu les choses en attendant les grands remedes de l'urbanisation des villes.
Regarder et bien voir
Technologie-polytechnique
Il y a aussi un problème criant d'insalubrité qui vient du manque de savoir vivre. Les autorités doivent imposer certaines mesures peut être revenir au Salongo des samedi après-midi que Mobutu avait imposé dans les années 80.
Le gouverneur Paul kabaidi faisait aussi taxer les compagnies pour leur participation dans le nettoyage et l'embellissement des certains secteurs de la ville.
Enfin il y a que Kin est surpeuplé ... Il faut désengorger cette ville en faisant développer un autre centre d' affaire..
Dernière édition par Admin le 7/5/2013, 10:44 pm, édité 1 fois
Admin- Admin
Re: Le gouvernement annonce la construction de nouveaux caniveaux
Admin a écrit:Il existe un réseau d'écoulement mais qui n'est malheureusement pas entretenu.regarder et bien voir a écrit:Premierement, les deputes' ont bien fait de s'enquerir sur les activites de FONER. Parmi les solutions l'aspect technique a du sens mais ce n'est pas tout. Je crois que comme il est dit, le grand probleme se trouve que la ville de Kinshasa et d'autres villes doivent etre urbanisees' ou re-urbanisees'. Une condition qui exige de grandes resources. Mais en attendant ce qu'il faut faire pour remedier certains problemes au quotidien est qu'il faut imposer premierement une seule direction de coulement d'eau(et non dans une route l'eau coule du nord au sud et dans les avenues adjacentes de sud au nord ou a` l'ouest). Cela est aussi l'une des causes de blocaque et innondation d'eau. Apres chaque route construite ou rehabilite'e doit etre accompagnee' de son canniveau et tous les cannivaux allant une meme direction et non des directions contraires. Ceci aidera un peu les choses en attendant les grands remedes de l'urbanisation des villes.
Regarder et bien voir
Technologie-polytechnique
Il y a aussi un problème criant d'insalubrité qui vient du manque de savoir vivre. Les autorités doivent imposer certaines mesures peut être revenu au Salongo des samedi après que Mobutu avait imposé dans les années 80.
Le gouverneur Paul Kabidi faisait aussi taxer les compagnies pour leur participation dans le nettoyage et l'embellissement des certains secteurs de la ville.
Enfin il y a que Kin est surpeuplé ... Il faut désengorger cette ville en faisant développer un autre centre d' affaire..
C'est aussi de bonnes idees a` ajouter sur la liste des solutions au ministere. C'est pourquoi on a toujours dit pour qu'il y ait un changement effectif en RDC il faut qu'il y ait changement radical dans plusieurs secteurs parce que dans la vie tout est liee'. J'ai crois qu'avoir deja un reseau d'ecoulement c'est tres bien mais nous voulons aussi se rendre compte que ca permet l'eau d'ecouler dans une seule direction, car c'est ca le point important. Dans plusieurs communes jusque la` les gens se plaignent que les constructions adjacentes bloquent le conduit d'eau de leur coin. Decider sur une seule direction d'ecoulement d'eau est tres important. Aussi ce n'est pas tout, ceci veut dire que certaines routes (comme c'est reel) ne permettent pas l'eau de couler dans une direction imposee' ainsi pendant la construction de la route, on la penche dans un sens pour permettre la direction imposee' de la circulation d'eau.
Ensuite batir ou rehabiliter des canniveaux meme de petits arteres(routes non principales) est tres important au meme niveau que batir ou rehabiliter des canniveaux de routes principales. Laisser l'une ou l'autre, engendrerait les memes problemes de circulation et a` la fin affectant tout le reseau de deplacement
regarder et bien voir
Re: Le gouvernement annonce la construction de nouveaux caniveaux
Deuxiemement, concernant le FONER Fond national d'entretien routier, il n y a pas trop a` dire. C'est un mecanisme necessaire dont j'ai toujours voulu voir dans presque tous les secteurs de fonctionnement du pays (le management et maintien). La seule idee selon moi, c'est de multiplier des activites techniques surtout. Car avec plusieurs activites, on apprend vite, on appercoit facilement, on decouvre vite et on devient prudent, la` dans un sens general.
Les activites' a` multiplier et a` elargir sont celles de prevention de delabrement des routes, de correction de mauvaise tendance ou direction de travail, de reparation des routes, de collection des lessons apprises de differents travaux, d'implementation des methodes et normes a` employer, formation des techniciens, et de mesure et control de performance sur terrain, et d'autres activites' ayant trait a` l'administration. Multiplier et elargir toutes ces activites, sont le seul moyen de rendre ce mecanisme tres effectif pour maintenir les routes existantes en ordre et en bon etat, a` mon avis.
Il y a deja a` faire, la grande partie de la population continue a` se plaindre sur les conditions des routes. Donc le FONER a du travail a` faire et pas n'importe quel travail, celui effectif qui lui est demande'.
Regarder et bien voir
Technology-polytechnique
Les activites' a` multiplier et a` elargir sont celles de prevention de delabrement des routes, de correction de mauvaise tendance ou direction de travail, de reparation des routes, de collection des lessons apprises de differents travaux, d'implementation des methodes et normes a` employer, formation des techniciens, et de mesure et control de performance sur terrain, et d'autres activites' ayant trait a` l'administration. Multiplier et elargir toutes ces activites, sont le seul moyen de rendre ce mecanisme tres effectif pour maintenir les routes existantes en ordre et en bon etat, a` mon avis.
Il y a deja a` faire, la grande partie de la population continue a` se plaindre sur les conditions des routes. Donc le FONER a du travail a` faire et pas n'importe quel travail, celui effectif qui lui est demande'.
Regarder et bien voir
Technology-polytechnique
regarder et bien voir
Re: Le gouvernement annonce la construction de nouveaux caniveaux
Merci REBV,
c bien beau tout ces projets pourvu que sa avance en bien,
je me demande que ce passera t-il avec les caniveaux qui existait dejà ? une bonne chose c de chercher comment recicler dans ce pays.
bref,voyons voir.
c bien beau tout ces projets pourvu que sa avance en bien,
je me demande que ce passera t-il avec les caniveaux qui existait dejà ? une bonne chose c de chercher comment recicler dans ce pays.
bref,voyons voir.
Invité- Invité
Re: Le gouvernement annonce la construction de nouveaux caniveaux
laelce_luz del Cielo a écrit:Merci REBV,
c bien beau tout ces projets pourvu que sa avance en bien,
je me demande que ce passera t-il avec les caniveaux qui existait dejà ? une bonne chose c de chercher comment recicler dans ce pays.
bref,voyons voir.
La metiola, tosala boni? La seule chose est de souhaiter seulement le bien pour ce pays. Souvent ils savent mais ils ne font pas ou font moins. Mais biso pe tokolemba te de leur dire ce que nous pensons.
Idee na yo eza tres bien. Les canniveaux qui existent deja sont encore bouches' pour la plus part. Ils seront oblige's de les deboucher pour donner une longue vie aux routes correspondantes. Baza na mbongo te ya kotonga ba canniveaux nioso sur la ville de Kinshasa, alors ils ont tout interet d'emprunter ton idee selon laquelle il faut remettre a` l'usage les anciens canniveaux deja existants.
Mayi soki ezangi esika ya kokende, etondaka et puis ezali kokota kati na goudron pe pavement ti na se. Avec le mouvement ya circulation + mayi wana, ba graviers, mabanga, pe ba goudron ebandaka kolongua moko-moko. Ekosala mua lidusu, ti ndenge ekokoma libulu. Donc la circulation d'eau pendant la construction des routes est tres importante. Les chinois basali musala penza te cote' canniveau, mais yoka montant l'Etat congolais adepenser na contrat chinois. To-souhaiter kaka bonne chance pour cete fois ci.
regarder et bien voir
Sujets similaires
» Kinshasa: le gouvernement receptionne 90 nouveaux bus pour le Transport en Commun
» ET VOICI LE GOUVERNEMENT SUMINWA, LE PREMIER DU DEUXIÈME MANDAT DE TSHISEKEDI, 54 MEMBRES AU LIEU DE 57 DONT 24 DE L'ANCIEN GOUVERNEMENT, TOUJOURS DE TRÈS PROCHES DU PR. DU NOUVEAU ? ATTENDONS-LE A L'ACTION...
» Construction des maisons en bois en RDC....
» LES CINQ CHANTIERS DE LA RDC
» DES BATEAUX CONSTRUITS AUX CHANTIERS NAVALS DU CONGO
» ET VOICI LE GOUVERNEMENT SUMINWA, LE PREMIER DU DEUXIÈME MANDAT DE TSHISEKEDI, 54 MEMBRES AU LIEU DE 57 DONT 24 DE L'ANCIEN GOUVERNEMENT, TOUJOURS DE TRÈS PROCHES DU PR. DU NOUVEAU ? ATTENDONS-LE A L'ACTION...
» Construction des maisons en bois en RDC....
» LES CINQ CHANTIERS DE LA RDC
» DES BATEAUX CONSTRUITS AUX CHANTIERS NAVALS DU CONGO
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum