Scandal: Tous les détails sur les 21 étudiants congolais arrêtés et sauvagement battus par la police Indienne
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Mathilde
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Scandal: Tous les détails sur les 21 étudiants congolais arrêtés et sauvagement battus par la police Indienne
SOS Racisme en Inde, le 15/06/2013 a 15heure 21 congolais et une Angolaise SOUZANNA COCA DOMINGOS ont été arrêté puis sauvagement battu par la police Indienne, dont 1 hospitalisé due a une torture exorbitante. Les vies de ces jeunes étudiants sont en danger, car ils sont sous une torture en ce moment.
La société indienne semble être face aux horreurs de viol – à l’exception des «viols qui ont eu lieu et de garder arrive aux femmes en quelque sorte pas considéré comme« filles de la nation « agressions brutales contre les Africains restent largement non déclarées dans la nation avec la presse plus prospère dans le fichier monde.
L’incident a eu lieu dans la cite de Jalandhar (Jalandhar City, Bus Stand)
Tout a commencé avec l’étudiant nommer EDDY KABENGELE lorsqu’il se dirigeait vers le bus stand pour prendre son bus au environ de 15heure, une voiture des indiens essaie de le tamponner, de ce fait les indiens descendus et Eddy leurs demanda pourquoi ils ont fait cela, ils se moquer de lui et sortir des battes de cricket, se sentant menacer EDDY prit fuite jusqu’a Dashmesh Nagar (a 500 mètres du bus stand) dans la maison de ces amis, AURRY et GOMMY, Comme dans la maison il n’y avait personne, Eddy se retrouve seul et sans choix, Il se fait battre lui même, par 7 Indiens, pendant une quinzaine de minute, par chance.
Une fille congolaise du nom de NAOMIE KABINDA passait son chemin et aperçue, qu’un noir se faisait battre, elle s’arrêta et appela son frère, DAMIEN MUPEPE qui arriva et repoussa les indiens dehors, Damien confirme avoir trouvé Eddy en sang et abattu, malgré la police qui était sur place SANS RIEN FAIRE, Damien confirme et reconnait bien le visage des ces officiers, La presse Indienne était présent ils ont pris des vidéos et des photos qu’ils refusent de nous montrer.
Damien appelle les congolais en urgence, 21 étudiants congolais arrivèrent y compris le président des congolais GIRESSE MBUYAMBA, Ils trouvèrent une foule des gens, mais la bagarre était déjà finit et la police faisait fuir Ces Indiens, six d’entre eux se sont échapper, un seul fut saisit avant d’être relâcher par la police, De ce fait les congolais se mirent en colère, criant et hurlant partout, essayent de s’expliquer avec la police.
Sous ce tiraillement nul ne sait comment, un camera man affirme avoir était bousculer et casser sa camera, nous ne connaissons pas l’auteur de cette acte. Sous la pression des indiens la police furent obliger de nous amené au poste de police le plus proche (Bus stand Jalandhar), Nous étions 21 étudiants dans les jeeps de la police poursuivit par une foule indienne, la police décida de nous déplacer encor cette fois-ci a DISTRICT 7.
Une fois arriver, les policier nous confisque nos téléphones portable et nous oblige a entrer dans les cellules de détention. Et en essayé de comprendre le pourquoi de cette acte, puisque nous étions allez pour trouvé une solution, ils retourner la situation contre nous, en contestant ils prirent leurs battons et commencer à nous battre comme des animaux, refusant toute violence, nous nous sommes rendus et nous entrâmes dans les cellules un haut placer nous accuse de lui avoir bousculé.
Moi seul réussit a m’échapper sous des coups des battons je me suis retrouver dehors, alertant ainsi les autres Compatriote du fait.
Nos frères ont confirmé d’avoir été tabassé, torturer dans la cellule a coup de battons, FRIDOLAIN MUKEBA a perdu connaissance durant la nuit mais ils l’on garder dans la cellule sans aucun traitement, aujourd’hui ils ont été embarqué pour la courts de Jalandhar (JURIDICIAL COURTS JALANDHAR)
Nos frères ont confirmé d’avoir été tabassé, torturer dans la cellule a coup de battons, FRIDOLAIN MUKEBA a perdu connaissance durant la nuit mais ils l’on garder dans la cellule sans aucun traitement, aujourd’hui ils ont été embarqué pour la courts de Jalandhar (JURIDICIAL COURTS JALANDHAR)
Qui leurs transférera a la prison centrale de Shiarpur (le nom n’est pas sur) l’endroit se trouve a 2 heure de route de Jalandhar.
La police refuse de nous donner des précisions, nous ignorons le pourquoi. Voila ou nous en somme a l’heure actuel. Les détenus ont tous été vus cet après midi, ils sont tous en sang, je le dit et le confirme. La presse rédige des faits absolument accusatrice et fausse, absolument fausse.
La police refuse de nous donner des précisions, nous ignorons le pourquoi. Voila ou nous en somme a l’heure actuel. Les détenus ont tous été vus cet après midi, ils sont tous en sang, je le dit et le confirme. La presse rédige des faits absolument accusatrice et fausse, absolument fausse.
Monsieur, nous fréquentons ici 2 universités dont LOVELY PROFESSIONAL UNIVERSITY(L.P.U) et PUNJAB TECHNICAL UNIVERSITY (P.T.U). Actuellement toutes les personnes qui ont été arrêtes ont été déplacé pour être incarcérer dans une prison a environ 2 heures de la ville ou nous habitons et les filles ont été aussi battu par les policiers alors qu’elles réclamaient a voir leurs frères, et il y avait aussi une angolaise dont le nom est SOUZANNA COCA DOMINGOS…
Source: The Association of African Students in India (AASI) News Rapport
CONTACT: 0091-9910782193
https://www.facebook.com/photo.php?v=380257468740838
Oh Seigneur why why pasi ya boye ?????
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[b]“Le deuil, c’est pour la vie. Ca ne s’en va jamais, ça fait progressivement partie de vous, à chaque pas, à chaque souffle.”
Mathilde
Re: Scandal: Tous les détails sur les 21 étudiants congolais arrêtés et sauvagement battus par la police Indienne
NOUS DEVONS AU PLUS VITE CONTACTER LES AMBASSADES INDIENNES DE PARTOUT...que chacun publie les coordonnées de l'ambassade indienne de l'endroit où il se trouve afin que nous accentuons la pression,nous ne pouvons laisser nos frères se faire maltraiter ainsi. Nous ne pouvons compter que sur nous même vu que ce pseudo gouvernement est parfaitement incompétent et démissionnaire! A vos claviers,voici les coordonnées de l'ambassade indienne à Paris:
Adresse : 15, rue Alfred Dehodencq
75016 Paris
Tél : 01.40.50.70.70
Fax : 01.40.50.09.96
Internet : http://www.ambinde.fr/
The embassy of India in Paris / L'ambassade de l'Inde à Paris - France
www.ambinde.fr
the embassy of India in Paris, France /L'ambassade de l'Inde à Paris, France
Merci maman YYMM
Adresse : 15, rue Alfred Dehodencq
75016 Paris
Tél : 01.40.50.70.70
Fax : 01.40.50.09.96
Internet : http://www.ambinde.fr/
The embassy of India in Paris / L'ambassade de l'Inde à Paris - France
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Merci maman YYMM
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Mathilde
Re: Scandal: Tous les détails sur les 21 étudiants congolais arrêtés et sauvagement battus par la police Indienne
Le gouvernement congolais exige la libération « immédiate » et « sans condition » des étudiants arrêtés en Inde
Le gouvernement de la République démocratique du Congo (RDC) exige la libération « immédiate » et « sans condition » des étudiants congolais arrêtés en Inde depuis samedi 15 juin. Le vice-ministre des Affaires Etrangères s’est ainsi exprimé dans une lettre de protestation qu’il a remise mardi 18 juin à l’ambassadeur indien à Kinshasa, Sem Manohar Ram. Les Congolais arrêtés sont accusés par la Police indienne d’avoir violé des indiennes et profané des dieux indiens. Une version contestée par la sœur de l’un des étudiants arrêtés.
« Le gouvernement congolais demande aussi le contrôle médical devant certifier l’état de santé de ces étudiants, la poursuite en justice de tous les auteurs desdites agressions, le dédommagement pur et simple au cas où nos enfants auraient perdu des biens, et les excuses officielles du gouvernement indien au gouvernement congolais », peut-on lire dans ce même document remis au diplomate indien, à l’issue d’une audience que le vice-ministre Célestin Tunda lui a accordée.
Le vice-ministre Célestin Tunda a indiqué que depuis que le gouvernement congolais a été informé « de cette malheureuse situation », l’ambassadeur de la RDC en Inde a aussi saisi le ministère indien des Affaires Etrangères, pour lui déposer « une note exhaustive de protestation ».
« Notre ambassadeur, mais cette fois-ci avec d’autres ambassadeurs africains, sont aussi allés voir le ministre indien des Affaires Etrangères pour réitérer les mêmes protestations », a précisé Célestin Tunda.
L’ambassadeur indien en RDC dit avoir pris bonne note et a promis de transmettre la note verbale de protestation à son gouvernement en général et à celui local de l’Etat du Pendjab, en particulier, où se sont déroulés les événements pour une solution rapide, a souligné le vice-ministre.
Par ailleurs, Célestin Tunda a reçu une délégation des parents des étudiants congolais arrêtés. Il leur a demandé de rester calme « étant donné que la situation est prise en main par l’autorité compétente ».
Voici les noms des étudiants arrêtés :
Bienfait Kazadi
Eddy Kabengele
Paulin Nduba
Christian Nduba
Fridolin Mukeba
John Kalamba
Audrey Kanku
Patrick Mbwete
Gustave Betofe
Péguy Lobo
Alain Mubembe
Daniel Maboso
Diego Bobo
Jenny Kokopa
Patou Pwela
Joël Vumi
Andy Loko
Mike Mayunga
Emilia Mayunga
Merveilles Lume
Manu Tshibuyi
http://radiookapi.net/actualite/2013/06/18/le-gouvernement-congolais-exige-la-liberation-immediate-sans-condition-des-etudiants-arretes-en-inde/
CE GOUVERNEMENT D'INCOMPETENTS VIENT ENFIN DE REAGIR...IL A FALLUT POUR CELA QU'ON MARTELE LE MESSAGE ENCORE ET ENCORE, VENEZ ENCORE NOUS DIRE QUE LA VOIX DE LA RESISTANCE N'EST PAS ENTENDUE HEIN? INGETAAAAA...mais nous nous continuons notre actions sans tenir compte de leur progression,ne comptons que sur nous DONC JUSQU'A LA LIBERATION TOTALE DE NOS COMPATRIOTES ET NOUS EXIGEONS DES EXCUSES OFFICIELLES DU GOUVERNEMENT INDIEN, LE BOYCOTT DES COMMERCES INDIENS PARTOUT DANS LE MONDE EST MAINTENU! YYMM
Le gouvernement de la République démocratique du Congo (RDC) exige la libération « immédiate » et « sans condition » des étudiants congolais arrêtés en Inde depuis samedi 15 juin. Le vice-ministre des Affaires Etrangères s’est ainsi exprimé dans une lettre de protestation qu’il a remise mardi 18 juin à l’ambassadeur indien à Kinshasa, Sem Manohar Ram. Les Congolais arrêtés sont accusés par la Police indienne d’avoir violé des indiennes et profané des dieux indiens. Une version contestée par la sœur de l’un des étudiants arrêtés.
« Le gouvernement congolais demande aussi le contrôle médical devant certifier l’état de santé de ces étudiants, la poursuite en justice de tous les auteurs desdites agressions, le dédommagement pur et simple au cas où nos enfants auraient perdu des biens, et les excuses officielles du gouvernement indien au gouvernement congolais », peut-on lire dans ce même document remis au diplomate indien, à l’issue d’une audience que le vice-ministre Célestin Tunda lui a accordée.
Le vice-ministre Célestin Tunda a indiqué que depuis que le gouvernement congolais a été informé « de cette malheureuse situation », l’ambassadeur de la RDC en Inde a aussi saisi le ministère indien des Affaires Etrangères, pour lui déposer « une note exhaustive de protestation ».
« Notre ambassadeur, mais cette fois-ci avec d’autres ambassadeurs africains, sont aussi allés voir le ministre indien des Affaires Etrangères pour réitérer les mêmes protestations », a précisé Célestin Tunda.
L’ambassadeur indien en RDC dit avoir pris bonne note et a promis de transmettre la note verbale de protestation à son gouvernement en général et à celui local de l’Etat du Pendjab, en particulier, où se sont déroulés les événements pour une solution rapide, a souligné le vice-ministre.
Par ailleurs, Célestin Tunda a reçu une délégation des parents des étudiants congolais arrêtés. Il leur a demandé de rester calme « étant donné que la situation est prise en main par l’autorité compétente ».
Voici les noms des étudiants arrêtés :
Bienfait Kazadi
Eddy Kabengele
Paulin Nduba
Christian Nduba
Fridolin Mukeba
John Kalamba
Audrey Kanku
Patrick Mbwete
Gustave Betofe
Péguy Lobo
Alain Mubembe
Daniel Maboso
Diego Bobo
Jenny Kokopa
Patou Pwela
Joël Vumi
Andy Loko
Mike Mayunga
Emilia Mayunga
Merveilles Lume
Manu Tshibuyi
http://radiookapi.net/actualite/2013/06/18/le-gouvernement-congolais-exige-la-liberation-immediate-sans-condition-des-etudiants-arretes-en-inde/
CE GOUVERNEMENT D'INCOMPETENTS VIENT ENFIN DE REAGIR...IL A FALLUT POUR CELA QU'ON MARTELE LE MESSAGE ENCORE ET ENCORE, VENEZ ENCORE NOUS DIRE QUE LA VOIX DE LA RESISTANCE N'EST PAS ENTENDUE HEIN? INGETAAAAA...mais nous nous continuons notre actions sans tenir compte de leur progression,ne comptons que sur nous DONC JUSQU'A LA LIBERATION TOTALE DE NOS COMPATRIOTES ET NOUS EXIGEONS DES EXCUSES OFFICIELLES DU GOUVERNEMENT INDIEN, LE BOYCOTT DES COMMERCES INDIENS PARTOUT DANS LE MONDE EST MAINTENU! YYMM
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Mathilde
Re: Scandal: Tous les détails sur les 21 étudiants congolais arrêtés et sauvagement battus par la police Indienne
Suite aux arrestations arbitraires,aux actes de racismes et de barbarie lancés contre des étudiants congolais et des membres de la communauté congolaise établis en Inde.
Les patriotes congolais de France conseillent vivement à tous les africains et aux amis de l'Afrique soucieux des droits de l'homme et épris de justice, d'entamer des aujourd'hui le BOYCOTT DE TOUS LES COMMERCES INDIENS JUSQU'A LA LIBERATION TOTALE ET SANS CONDITIONS DE NOS FRERES ET AMIS CONGOLAIS INJUSTEMENT ARRÊTES APRES UN PASSAGE A TABAC EN REGLE PERPETRE PAR DES CITOYENS INDIENS AIDES PAR LA POLICE DE leur PAYS!
VOUS TROUVEREZ SUR CETTE PAGE LES INFORMATIONS RELATIVES A L'ARRESTATION DE CES JEUNES CONGOLAIS,QUI N'ONT D'AUTRES TORTS QUE CEUX D'ÊTRE NOIRS ET ETRANGERS DANS UN PAYS DANS LEQUEL ILS SE SONT POURTANT INTEGRES ET OU ILS POURSUIVENT DES ETUDES SANS HISTOIRES!
Nous en appelons à la solidarité africaine et humaine,ces actes de barbarie d'un autre âge n'ont qu'assez duré,ceci est surtout le résultat de l'incompétence du gouvernement congolais,qui est non seulement incapable de défendre ses ressortissants à l'étranger et leur apporter le soutien et la protection nécessaire,mais qui plus est perpétue à leur égard des sévices,des tortures,des arrestations arbitraire,des viols,des assassinats sur le sol congolais...quand nous sommes la proie de la barbarie dans notre propre pays,comment espérer que ceux qui nous tuent puissent nous défendre? Alors nous ne pouvons compter que sur nous même,mobilisons nous pour faire entendre les voix de nos frères si injustement arrêtés et molestés en Inde!
NOUS COMPTONS SUR VOUS,MERCI D'AVANCE POUR VOTRE SOUTIEN ET QUE DIEU VOUS BENISSE.
Cordialement.
Youyou Muntu-Mosi.
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[b]“Le deuil, c’est pour la vie. Ca ne s’en va jamais, ça fait progressivement partie de vous, à chaque pas, à chaque souffle.”
Mathilde
Re: Scandal: Tous les détails sur les 21 étudiants congolais arrêtés et sauvagement battus par la police Indienne
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Mathilde
Re: Scandal: Tous les détails sur les 21 étudiants congolais arrêtés et sauvagement battus par la police Indienne
Arrestation de Congolais au Pendjab, "l’enfer des Noirs africains"
L’arrestation de 21 étudiants congolais par la police du Jalandhar, une ville du nord-ouest de l’Inde, provoque depuis lundi l’indignation de la communauté noire-africaine de l’État du Pendjab. Sur place, les Congolais dénoncent un climat de racisme insupportable.
Le groupe d’étudiants congolais a été interpellé, samedi 15 juin, à un arrêt de bus de Jalandhar, près de l’université Lovely Professional où ils étudient.
Les causes de ces interpellations restent floues : selon le représentant de la police de Jalandhar, les forces de l’ordre enquêtaient sur un vol de bagages survenu la veille à cet arrêt de bus et étaient en train de vérifier l’identité de ressortissants congolais. Ces derniers auraient refusé d’obtempérer, donné des coups et, selon le rapport, cassé la caméra d’un journaliste présent sur les lieux. Une version relayée par les médias indiens.
Dans un rapport transmis à l’ambassade du Congo à New Delhi, la Communauté congolaise d’Inde (CCI) évoque, quant-à-elle, des provocations racistes et des menaces d’un groupe d’Indiens envers un étudiant congolais. Ce dernier aurait ensuite appelé ses amis et une bagarre aurait éclaté. La police a alors interpellé les Indiens et les Congolais impliqués dans la bagarre. Pourtant, à l'issue de la garde à vue, aucun Indien n'a été retenu, contrairement aux Congolais.
Ils nous provoquent car ils savent que, quoi qu’il arrive, c’est le Noir qui sera interpellé"
Keita (pseudonyme) est étudiant en informatique à l’université Lovely Professional de Jahlandar. Il faisait partie des Congolais interpellés mais a réussi à s’enfuir du commissariat où les policiers les interrogeaient.
Le Congolais qui a été pris a parti par des Indiens, à l’origine de la bagarre, est un de mes amis. Alors qu’il retirait de l’argent, une voiture s’est dirigé vers lui et l’a "tamponné". Ces "tamponnages" en voiture sur des Noirs africains sont très fréquents dans le Pendjab, c’est une façon d’intimider et de provoquer pour pousser à la faute car ils savent que, quoi qu’il arrive, c’est le Noir qui sera interpellé.
Mon ami a alors demandé des explications, et les Indiens sont descendus de voiture avec des battes de cricket en lui disant qu’ils allaient lui faire la peau. C’est à ce moment qu’il nous a appelés, que nous l’avons rejoint pour le défendre et que ça a dégénéré. [Cette version n’a pu être vérifiée indépendamment par FRANCE 24, NDLR]
Lorsque les policiers nous ont arrêtés, ils n’ont pas été agressifs. Mais une fois dans le commissariat, ils ont été de plus en plus menaçant. J’ai réussi à m’enfuir en courant, en échappant à la vigilance de l’un d’entre eux. J’ai entendu à ce moment-là mes amis crier et aperçu de loin les policiers les frapper.
"On nous interpelle en faisant des bruits de singe"
Dans l’esprit des Indiens, et même des policiers, le Noir est suspect. Nous sommes régulièrement accusés d’être des dealers ou des alcooliques. Je ne peux pas aller chez le médecin sans que celui-ci ne demande si je prends de la drogue.
Il est fréquent que des Indiens nous interpellent en disant "kalou" ["nègre" en hindi, NDLR] en faisant des bruits de singe. N’importe quelle action quotidienne est plus compliquée pour nous. Lorsque l’on fait des démarches administratives, on tombe souvent sur des gens qui nous parlent en hindi et se moquent de nous. D’autres nous disent que l’Inde est déjà surpeuplé et qu’on n’a rien à faire ici.
Keita India
"On a l’impression que pour eux, le Noir est maudit des dieux"
Christophe Okito est président de l’Association des étudiants Africains en Inde.
Les Africains viennent en Inde parce que les visas étudiants sont facile à avoir notamment dans le domaine de l’informatique et des technologies. Nous sommes entre 500 et 600 Noirs africains à Jalandhar dont une cinquantaine de Congolais. Le Pendjab est un État très religieux [60% des Pendjabis sont sikhs et l’État abrite le principal lieu saint du sikhisme, le Temple d’Or, NDLR], et de façon générale, les étrangers sont très mal perçus. Il y a une sorte de repli identitaire plus important qu’ailleurs en Inde.
On a vraiment l’impression que, pour eux, le Noir est maudit des dieux, qu’il est voué à être un esclave, alors que le Blanc est signe de réussite. Ici, l’intolérance et le racisme transforme le Pendjab en enfer des Noirs africains. C’est moins le cas à New Delhi, où la population est beaucoup plus multiculturelle.
Mais ce n’est pas la première fois qu’un Noir est pris à partie par des Indiens dans le Pendjab. En avril 2012, un jeune burundais avait été tabassé et est resté neuf mois dans le coma. Mais la situation est telle qu’on envisage en ce moment que les étudiants congolais qui ne sont pas en dernière année d’étude soient transférés dans des universités à New Delhi pour leur sécurité.
Cette nouvelle injustice a poussé tous les Noirs africains de Jalandhar à se réunir et nous planifions d’organiser prochainement des actions pour dénoncer ce que nous vivons.
http://observers.france24.com/fr/content/20130618-arrestation-congolais-pendjab-inde-jahlandor-congo
Yesssssssssss France 24 viens de relayer l'info, enfin :flower:un grand bravo a tous !! Eyokani.... !
L’arrestation de 21 étudiants congolais par la police du Jalandhar, une ville du nord-ouest de l’Inde, provoque depuis lundi l’indignation de la communauté noire-africaine de l’État du Pendjab. Sur place, les Congolais dénoncent un climat de racisme insupportable.
Le groupe d’étudiants congolais a été interpellé, samedi 15 juin, à un arrêt de bus de Jalandhar, près de l’université Lovely Professional où ils étudient.
Les causes de ces interpellations restent floues : selon le représentant de la police de Jalandhar, les forces de l’ordre enquêtaient sur un vol de bagages survenu la veille à cet arrêt de bus et étaient en train de vérifier l’identité de ressortissants congolais. Ces derniers auraient refusé d’obtempérer, donné des coups et, selon le rapport, cassé la caméra d’un journaliste présent sur les lieux. Une version relayée par les médias indiens.
Dans un rapport transmis à l’ambassade du Congo à New Delhi, la Communauté congolaise d’Inde (CCI) évoque, quant-à-elle, des provocations racistes et des menaces d’un groupe d’Indiens envers un étudiant congolais. Ce dernier aurait ensuite appelé ses amis et une bagarre aurait éclaté. La police a alors interpellé les Indiens et les Congolais impliqués dans la bagarre. Pourtant, à l'issue de la garde à vue, aucun Indien n'a été retenu, contrairement aux Congolais.
Ils nous provoquent car ils savent que, quoi qu’il arrive, c’est le Noir qui sera interpellé"
Keita (pseudonyme) est étudiant en informatique à l’université Lovely Professional de Jahlandar. Il faisait partie des Congolais interpellés mais a réussi à s’enfuir du commissariat où les policiers les interrogeaient.
Le Congolais qui a été pris a parti par des Indiens, à l’origine de la bagarre, est un de mes amis. Alors qu’il retirait de l’argent, une voiture s’est dirigé vers lui et l’a "tamponné". Ces "tamponnages" en voiture sur des Noirs africains sont très fréquents dans le Pendjab, c’est une façon d’intimider et de provoquer pour pousser à la faute car ils savent que, quoi qu’il arrive, c’est le Noir qui sera interpellé.
Mon ami a alors demandé des explications, et les Indiens sont descendus de voiture avec des battes de cricket en lui disant qu’ils allaient lui faire la peau. C’est à ce moment qu’il nous a appelés, que nous l’avons rejoint pour le défendre et que ça a dégénéré. [Cette version n’a pu être vérifiée indépendamment par FRANCE 24, NDLR]
Lorsque les policiers nous ont arrêtés, ils n’ont pas été agressifs. Mais une fois dans le commissariat, ils ont été de plus en plus menaçant. J’ai réussi à m’enfuir en courant, en échappant à la vigilance de l’un d’entre eux. J’ai entendu à ce moment-là mes amis crier et aperçu de loin les policiers les frapper.
"On nous interpelle en faisant des bruits de singe"
Dans l’esprit des Indiens, et même des policiers, le Noir est suspect. Nous sommes régulièrement accusés d’être des dealers ou des alcooliques. Je ne peux pas aller chez le médecin sans que celui-ci ne demande si je prends de la drogue.
Il est fréquent que des Indiens nous interpellent en disant "kalou" ["nègre" en hindi, NDLR] en faisant des bruits de singe. N’importe quelle action quotidienne est plus compliquée pour nous. Lorsque l’on fait des démarches administratives, on tombe souvent sur des gens qui nous parlent en hindi et se moquent de nous. D’autres nous disent que l’Inde est déjà surpeuplé et qu’on n’a rien à faire ici.
Keita India
"On a l’impression que pour eux, le Noir est maudit des dieux"
Christophe Okito est président de l’Association des étudiants Africains en Inde.
Les Africains viennent en Inde parce que les visas étudiants sont facile à avoir notamment dans le domaine de l’informatique et des technologies. Nous sommes entre 500 et 600 Noirs africains à Jalandhar dont une cinquantaine de Congolais. Le Pendjab est un État très religieux [60% des Pendjabis sont sikhs et l’État abrite le principal lieu saint du sikhisme, le Temple d’Or, NDLR], et de façon générale, les étrangers sont très mal perçus. Il y a une sorte de repli identitaire plus important qu’ailleurs en Inde.
On a vraiment l’impression que, pour eux, le Noir est maudit des dieux, qu’il est voué à être un esclave, alors que le Blanc est signe de réussite. Ici, l’intolérance et le racisme transforme le Pendjab en enfer des Noirs africains. C’est moins le cas à New Delhi, où la population est beaucoup plus multiculturelle.
Mais ce n’est pas la première fois qu’un Noir est pris à partie par des Indiens dans le Pendjab. En avril 2012, un jeune burundais avait été tabassé et est resté neuf mois dans le coma. Mais la situation est telle qu’on envisage en ce moment que les étudiants congolais qui ne sont pas en dernière année d’étude soient transférés dans des universités à New Delhi pour leur sécurité.
Cette nouvelle injustice a poussé tous les Noirs africains de Jalandhar à se réunir et nous planifions d’organiser prochainement des actions pour dénoncer ce que nous vivons.
http://observers.france24.com/fr/content/20130618-arrestation-congolais-pendjab-inde-jahlandor-congo
Yesssssssssss France 24 viens de relayer l'info, enfin :flower:un grand bravo a tous !! Eyokani.... !
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Mathilde
Re: Scandal: Tous les détails sur les 21 étudiants congolais arrêtés et sauvagement battus par la police Indienne
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Mathilde
Re: Scandal: Tous les détails sur les 21 étudiants congolais arrêtés et sauvagement battus par la police Indienne
Ce sujet est d'une très grande importance! Je la mets dans la rubrique "Actualités"
Admin- Admin
Re: Scandal: Tous les détails sur les 21 étudiants congolais arrêtés et sauvagement battus par la police Indienne
L'Etat congolais réagit....
http://tele24live.com/?p=2146
..Et sa ce venge déjà à kin!!!
http://radiookapi.net/actualite/2013/06/19/rdc-les-commerces-des-indiens-pakistanais-nont-pas-ouvert-au-centre-daffaires-de-kinshasa/
http://tele24live.com/?p=2146
..Et sa ce venge déjà à kin!!!
http://radiookapi.net/actualite/2013/06/19/rdc-les-commerces-des-indiens-pakistanais-nont-pas-ouvert-au-centre-daffaires-de-kinshasa/
Logique
Re: Scandal: Tous les détails sur les 21 étudiants congolais arrêtés et sauvagement battus par la police Indienne
siaaaaaaa soki bongo il faut kobengana bango na kin ces sous chinois. N'importe quoi
Ice cream- Moderatrice
Re: Scandal: Tous les détails sur les 21 étudiants congolais arrêtés et sauvagement battus par la police Indienne
Suite aux arrestations arbitraires,aux actes de racismes et de barbarie lancés contre des étudiants congolais et des membres de la communauté congolaise établis en Inde.
Les patriotes congolais de France conseillent vivement à tous les africains et aux amis de l'Afrique soucieux des droits de l'homme et épris de justice, d'entamer des aujourd'hui le BOYCOTT DE TOUS LES COMMERCES INDIENS JUSQU'A LA LIBERATION TOTALE ET SANS CONDITIONS DE NOS FRERES ET AMIS CONGOLAIS INJUSTEMENT ARRÊTES APRES UN PASSAGE A TABAC EN REGLE PERPETRE PAR DES CITOYENS INDIENS AIDES PAR LA POLICE DE leur PAYS!
VOUS TROUVEREZ SUR CETTE PAGE LES INFORMATIONS RELATIVES A L'ARRESTATION DE CES JEUNES CONGOLAIS,QUI N'ONT D'AUTRES TORTS QUE CEUX D'ÊTRE NOIRS ET ETRANGERS DANS UN PAYS DANS LEQUEL ILS SE SONT POURTANT INTEGRES ET OU ILS POURSUIVENT DES ETUDES SANS HISTOIRES!
Nous en appelons à la solidarité africaine et humaine,ces actes de barbarie d'un autre âge n'ont qu'assez duré,ceci est surtout le résultat de l'incompétence du gouvernement congolais,qui est non seulement incapable de défendre ses ressortissants à l'étranger et leur apporter le soutien et la protection nécessaire,mais qui plus est perpétue à leur égard des sévices,des tortures,des arrestations arbitraire,des viols,des assassinats sur le sol congolais...quand nous sommes la proie de la barbarie dans notre propre pays,comment espérer que ceux qui nous tuent puissent nous défendre? Alors nous ne pouvons compter que sur nous même,mobilisons nous pour faire entendre les voix de nos frères si injustement arrêtés et molestés en Inde!
NOUS COMPTONS SUR VOUS,MERCI D'AVANCE POUR VOTRE SOUTIEN ET QUE DIEU VOUS BENISSE.
Cordialement.
Youyou Muntu-Mosi.[/quote]
http://radiookapi.net/actualite/2013/06/19/rdc-les-commerces-des-indiens-pakistanais-nont-pas-ouvert-au-centre-daffaires-de-kinshasa/
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[b]“Le deuil, c’est pour la vie. Ca ne s’en va jamais, ça fait progressivement partie de vous, à chaque pas, à chaque souffle.”
Mathilde
Re: Scandal: Tous les détails sur les 21 étudiants congolais arrêtés et sauvagement battus par la police Indienne
ah ben voilà, c'est très bien comme ça. Efunguama te ti ba étudiants bakobima! Oeil pour œil dent pour dent. Molimo ya victime ezo bima na Congo malembe malembe
Ice cream- Moderatrice
Re: Scandal: Tous les détails sur les 21 étudiants congolais arrêtés et sauvagement battus par la police Indienne
Ice cream a écrit:ah ben voilà, c'est très bien comme ça. Efunguama te ti ba étudiants bakobima! Oeil pour œil dent pour dent. Molimo ya victime ezo bima na Congo malembe malembe
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[b]“Le deuil, c’est pour la vie. Ca ne s’en va jamais, ça fait progressivement partie de vous, à chaque pas, à chaque souffle.”
Mathilde
Re: Scandal: Tous les détails sur les 21 étudiants congolais arrêtés et sauvagement battus par la police Indienne
Enfin un Etat qui tente d'exister ?
Et nos "amis" lés Chinetok ???
Nous les avons importés nombreux, "à l'insu de notre plein gré... kiekiekie ,dans les fourgons de notre contrat du siècle...kiekiekiekiekiekieeeeeeeh
Pas en Chine donc mais en plein territoire national : ils ne se comportent pas mieux...
Que leur dit-on ???
Compatriotiquement!
Et nos "amis" lés Chinetok ???
Nous les avons importés nombreux, "à l'insu de notre plein gré... kiekiekie ,dans les fourgons de notre contrat du siècle...kiekiekiekiekiekieeeeeeeh
Pas en Chine donc mais en plein territoire national : ils ne se comportent pas mieux...
Que leur dit-on ???
"«Joseph Kabila» baisse «le froc» devant la Chine
° http://www.congoindependant.com/article.php?articleid=8079Le rôle premier de tout Etat digne de ce nom est de garantir à ses citoyens la sécurité tant pour les personnes que pour les biens. Il va sans dire que la vie est le bien le plus précieux pour tout être humain. Qu’il soit Noir, Blanc ou Jaune, l’être humain ne cherche que deux choses essentielles : la paix et le bonheur. Le bonheur pour lui-même et les siens.
Le rôle protecteur de l’Etat ne s’arrête guère aux frontières de son espace territorial. C’est ainsi qu’en dehors de leur rôle de "représentation" et d’"observation", les missions diplomatiques sont chargées de protéger les ressortissants de l’Etat d’envoi dans le pays d’accueil. C’est un droit universel inscrit dans la Convention de Vienne de 1815 sur les relations diplomatiques.
Depuis la "libération" du 17 mai 1997, les nouveaux maîtres du "Congo libéré" ne cessent de "baisser le froc" face à l’arrogance de certains pays voisins dont le concours, au plan militaire, a été précieux pour le renversement du régime du président Mobutu Sese Seko. Osons citer ces pays : l’Angola, le Burundi, l’Ouganda et le Rwanda. L’instabilité qui continue à régner dans les deux provinces du Kivu ainsi que dans la Province Orientale en témoigne. Au Bas-Congo, l’Angola siphonne impunément les hydrocarbures dans l’espace maritime congolais.
Faute d’un leadership visionnaire et intransigeant sur l’indépendance et la fierté nationales, le "Grand Congo" est devenu une sorte d’"idiot du village Afrique centrale". Un idiot qui passe le temps à tendre la joue gauche après avoir été giflé sur la joue droite. Des bandes armées violent, tuent et pillent? Les autorités compétentes se taisent. Le chef de l’Etat en tête. L’ordre public est menacé par les maï maï ici et là? C’est la Monusco qui doit intervenir. Des Congolais sont expulsés d’Angola dans des conditions inhumaines? Les détenteurs du pouvoir d’Etat se taisent non seulement en français mais aussi dans les quatre langues nationales. Les médias d’Etat ne pipent pas un mot. Les citoyens du pays ne savent plus à quel saint se vouer. Ils n’ont plus de recours. L’Etat a démissionné!
Cette "démission" vient de prendre une dimension préoccupante.
Le lundi 10 juin dernier, un sous-officier congolais a été abattu, à bout portant, par son instructeur chinois. Cet acte, frisant autant le racisme que la barbarie primitive, s’est produit à la base militaire de Kamina, dans la province du Katanga. L’histoire se décline comme une mauvaise blague : le Congolais n’a pas pu retrouver l’écureuil que le Chinois élevait. Rien que ça?
En droit pénal, ce qui s’est passé à Kamina a un nom : homicide. Pire, il s’agit d’un crime commis en toute connaissance de cause. Autrement dit, le Chinois a violé sciemment les lois congolaises. D’où la nécessité de faire preuve de fermeté.
En vertu du principe de la territorialité de la loi - lequel impose que tous les crimes et délits commis sur le territoire d’un Etat relèvent de la compétence des cours et tribunaux du pays concerné -, les autorités judiciaires congolaises doivent ouvrir une enquête. Celle-ci doit aboutir par des poursuites judiciaires à charge de l’auteur du fait incriminé, conformément à la loi nationale. Toute démarche contraire est constitutive de trahison! La trahison à la cause nationale.
On apprenait avec stupeur et indignation, qu’au nom de la "raison d’Etat" ou plutôt de "tas de raisons", le magistrat suprême du "Congo libéré", en l’occurrence "Joseph Kabila", a instruit le très falot Alexandre Luba Ntambo afin de passer ce crime inqualifiable par "pertes et profits". Et ce au nom d’une prétendue "amitié congolo-chinoise".
Le samedi 15 juin, le ministre congolais de la Défense a reçu une délégation chinoise conduite par un certain général Wu Chang, lequel serait un "haut responsable" du ministère chinois de la Défense. "Vu sa gravité, indique une dépêche de l’ACP, la partie chinoise a promis de sévères sanctions contre l’auteur de cet incident malheureux conformément à la discipline militaire et aux lois de la Chine dans toutes leur rigueur". Incident malheureux? "La partie congolaise a constaté la bonne volonté du gouvernement chinois qui, aussitôt après avoir appris cet incident, a dépêché cette mission militaire de haut rang pour traiter de cette affaire", conclut la dépêche.
Au nom de ses intérêts et paralysé par sa couardise, devenue légendaire face aux autres nations, "Joseph Kabila" s’est déculotté devant la puissante Chine.Question : Que se serait-il passé si un Congolais avait tué un Chinois en Chine? Le gouvernement chinois se serait-il contenté de "la bonne volonté" du gouvernement congolais? C’est quoi donc un chef de l’Etat qui reste les bras croisés "au balcon" pendant que "son" peuple se fait massacrer, au quotidien, par des voyous venus des pays voisins et d’ailleurs? N’est-il pas criminel, comme a pu dire Napoléon, qu’un individu ait l’ambition de diriger un Etat alors qu’il n’a ni la compétence encore moins les ressources morales et intellectuelles pour assumer une telle charge?"Chine / RDC
L’"arrangement" du genre que le ministre Luba a conclu avec la délégation chinoise trouve sa cause dans la concentration des trois pouvoirs d’Etat (Judiciaire, législatif et exécutif) entre les mains d’un seul homme qui se prend pour l’Etat incarné. Le Congo-Kinshasa est malade d’une justice inféodée au pouvoir politique et d’argent.
Jusqu’à quand le peuple congolais va-t-il courber l’échine devant un leadership aussi corrompu, minable qu’anti-national? Jusqu’à quand ce Peuple restera paralysé par la peur de mourir face à un tyranneau qui conduit le destin collectif vers un désastre?"
L'INDUSTRIE MINIÈRE CHINOISE COMMET DES ATTEINTES AUX DROITS HUMAINS
° http://www.amnesty.ch/fr/pays/afrique/rdc/docs/2013/chine-rdc-industrie-miniere
Les conditions de travail des mineurs ont encore empiré.
Les compagnies minières chinoises qui opèrent en République démocratique du Congo (RDC) doivent faire davantage pour empêcher que leurs activités ne donnent lieu à des atteintes aux droits humains, déclare Amnesty International dans un nouveau rapport intitulé Pertes et profits. Exploitation minière et droits humains dans le Katanga, en République démocratique du Congo, qui étudie les conséquences de l'industrie minière dans le sud-est de la RDC.
Ce document rassemble des informations sur un certain nombre d'atteintes graves aux droits humains dans lesquelles sont impliquées des entreprises locales et étrangères, notamment des expulsions forcées – prohibées par le droit international – et l'imposition de conditions de travail dangereuses et constituant des formes d'exploitation.
Il accorde une attention particulière au rôle des compagnies chinoises, qui sont en passe de devenir les acteurs économiques étrangers les plus puissants et les plus influents du secteur de l'extraction minière en RDC, pays qui possède une partie des réserves minières les plus importantes au monde.
La Chine importe en outre de gros volumes de cobalt et de cuivre de la RDC, dont une grande partie est toujours extraite par des petits exploitants artisanaux - également appelés creuseurs - qui travaillent avec des outils manuels et dans des conditions souvent extrêmement difficiles.(...)"
"RDC : les commerces des Indiens et Pakistanais n’ont pas ouvert au centre d’affaires de Kinshasa
° http://radiookapi.net/actualite/2013/06/19/rdc-les-commerces-des-indiens-pakistanais-nont-pas-ouvert-au-centre-daffaires-de-kinshasa/
Les commerces appartenant aux ressortissants indiens et pakistanais n’ont pas ouvert ce mercredi 19 juin dans la matinée à Kinshasa. De nombreux jeunes ont pris d’assaut l’avenue du commerce et les rues commerciales alentours dans le centre d’affaires de Kinshasa pour protester contre l’arrestation de 21 étudiants congolais dans l’État du Pendjab en Inde.(...)"
http://observers.france24.com/fr/content/20130618-arrestation-congolais-pendjab-inde-jahlandor-congo
° http://radiookapi.net/actualite/2013/06/18/21-etudiants-congolais-arretes-en-inde/
° http://radiookapi.net/actualite/2013/06/18/le-gouvernement-congolais-exige-la-liberation-immediate-sans-condition-des-etudiants-arretes-en-inde/#more-153753
° http://www.rfi.fr/afrique/20130618-rdc-inde-vingt-etudiants-congolais-arretes-police-indienne
° http://lepotentielonline.com/site2/index.php?option=com_content&view=article&id=735:rdc-indiens-et-pakistanais-ferment-leurs-magasins-a-kinshsa-a-cause-des-manifestants-contre-l-arrestation-de-21-etudiants-congolais-au-pendjab&catid=90:online-depeches&Itemid=468
Compatriotiquement!
Dernière édition par ndonzwau le 26/6/2013, 11:17 pm, édité 1 fois
ndonzwau
Re: Scandal: Tous les détails sur les 21 étudiants congolais arrêtés et sauvagement battus par la police Indienne
NO COMMENT,SUIVONS...
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Mathilde
Re: Scandal: Tous les détails sur les 21 étudiants congolais arrêtés et sauvagement battus par la police Indienne
FLASH FLASH FLASHHHHHHHH!!!
Selon Téle 50...17 prisonniers parmi nos compatriotes arrêtés en Inde auraient été relâchés! LE MESSAGE SERAIT DONC PASSE,MAIS NOUS EXIGEONS LA LIBERATION DE TOUS LES ETUDIANTS ET NOUS VOULONS DES EXCUSES OFFICIELLES DE LA PART DU GOUVERNEMENT INDIEN! Ingetaaaaaaaaaaaaaaaa
Selon Téle 50...17 prisonniers parmi nos compatriotes arrêtés en Inde auraient été relâchés! LE MESSAGE SERAIT DONC PASSE,MAIS NOUS EXIGEONS LA LIBERATION DE TOUS LES ETUDIANTS ET NOUS VOULONS DES EXCUSES OFFICIELLES DE LA PART DU GOUVERNEMENT INDIEN! Ingetaaaaaaaaaaaaaaaa
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Mathilde
Re: Scandal: Tous les détails sur les 21 étudiants congolais arrêtés et sauvagement battus par la police Indienne
17 des 21 étudiants congolais arrêtés en Inde libérés
http://radiookapi.net/actualite/2013/06/19/17-des-21-etudiants-congolais-arretes-en-inde-liberes/
Dix-sept des étudiants congolais arrêtés en Inde ont déjà été libérés dans la soirée de mercredi 19 juin, a affirmé le même jour l’ambassadeur de l’Inde en République démocratique du Congo (RDC), Manohar Ram. Peu avant cette annonce, son homologue de la RDC avait annoncé qu’ils « pourront être mis en liberté provisoire demain [jeudi], en attendant la procédure judiciaire pour faire classer cette affaire ».
Manohar Ram a ajouté que les quatre autres le seront « dans peu de temps ». Il appelle par ailleurs la population de Kinshasa au calme et au respect de l’autre et demande à la communauté indienne d’être vigilante et d’avoir confiance aux autorités locales.
La sœur de l’un des étudiants arrêté avait indiqué que ces Congolais sont accusés d’avoir violé des indiennes et profané des dieux indiens.
http://radiookapi.net/actualite/2013/06/19/17-des-21-etudiants-congolais-arretes-en-inde-liberes/
Dix-sept des étudiants congolais arrêtés en Inde ont déjà été libérés dans la soirée de mercredi 19 juin, a affirmé le même jour l’ambassadeur de l’Inde en République démocratique du Congo (RDC), Manohar Ram. Peu avant cette annonce, son homologue de la RDC avait annoncé qu’ils « pourront être mis en liberté provisoire demain [jeudi], en attendant la procédure judiciaire pour faire classer cette affaire ».
Manohar Ram a ajouté que les quatre autres le seront « dans peu de temps ». Il appelle par ailleurs la population de Kinshasa au calme et au respect de l’autre et demande à la communauté indienne d’être vigilante et d’avoir confiance aux autorités locales.
La sœur de l’un des étudiants arrêté avait indiqué que ces Congolais sont accusés d’avoir violé des indiennes et profané des dieux indiens.
Jim KK
Re: Scandal: Tous les détails sur les 21 étudiants congolais arrêtés et sauvagement battus par la police Indienne
DIGITAL CONGO ORGANE DE PRESSE GOUVERNEMENTAL PAR EXCELLENCE BLÂME L'INERTIE DE L'ETAT CONGOLAIS ET CRITIQUE SON INCAPACITE A PROTEGER DES CITOYENS CONGOLAIS HORS DE LA RDC......
Chasse aux sujets congolais en Inde : le gouvernement interpellé !
Kinshasa, 18/06/2013 / Politique
Perçue jusqu’il y a encore peu comme le nouvel eldorado de la jeunesse congolaise en quête du bien-être, loin de la mère-patrie, et cotée comme une des destinations de rêve des Congolais en délicatesse de santé ou versés dans les affaires, l’Inde commence à donner des cauchemars à nos compatriotes.
Les nouvelles en provenance de ce pays du Sud-Est Asiatique font état d’une véritable chasse à l’homme à laquelle est désormais soumise la diaspora congolaise, surtout celle qui se recrute parmi les étudiants.
Diabolisés déjà dans plusieurs pays d’Afrique, d’Europe, d’Amérique du Nord et du Sud, les immigrés congolais croyaient être épargnés par le virus de la « Congolophobie » dans cette partie du monde. Hélas, ils sont rattrapés aujourd’hui par l’étiquette de « Ngulu », parfois leur colle injustement, même lorsqu’ils remplissent les conditions d’un séjour régulier à l’étranger.
L’image du Congolais clandestin a tellement fait le tour de la planète que les autres ne voient en lui que le clandestin, le menteur, le truand, le mendiant, le profiteur, le miséreux, l’escroc, l’incivique, le jouisseur, le paresseux.
Les situations rocambolesques que vivent les étudiants congolais dans plusieurs villes du pays de Ghandi étonnent et révoltent plus d’un observateur. Il est scandaleux d’apprendre que nos compatriotes sont systématiquement transformés en « accusés » dès qu’ils cherchent la protection de la police pour des cas de menaces, d’insultes, d’agressions physiques, de vols, de viols et autres atteintes à leur liberté de la part des citoyens indiens ou ceux d’autres nationalités, parfois sur des sites universitaires.
Diplomates sans voix et sans moyens
En principe, tout citoyen étranger en difficulté en territoire étranger compte d’abord et avant tout sur la protection de son Ambassade, de son Consulat ou de ceux des pays amis chargés de représenter son pays auprès de celui d’accueil. Bien que disposant d’une chancellerie en Inde, le Congo démocratique se montre, jusque-là, incapable de voler au secours de ses citoyens présentement placés dans des situations d’insécurité en Inde.
Les diplomates congolais installés dans ce pays demeurent totalement aphones depuis qu’a démarré la chasse à leurs compatriotes. Les membres de la communauté congolaise imputent le mutisme des fonctionnaires de leur mission diplomatique au fait qu’ils vivent eux-mêmes dans une précarité financière et logistique permanente. Sans moyens financiers et logistiques, ils ont du mal à faire le monitoring des faits et méfaits touchant des Congolais résidant dans les différentes villes indiennes et de leur porter éventuellement secours.
Arriver sur les lieux où sont signalés les injustices dont sont victimes des membres de la communauté congolaise à New Delhi ou ailleurs est déjà un problème. Défendre un Congolais arrêté par la police ou jeté en prison en est un autre. Bref, dans l’impossibilité de faire quelque chose, on croise les bras. Ensuite, les rapports de force entre l’Inde et la RDC sont tels qu’ils préfèrent fermer les yeux sur le calvaire de leurs compatriotes plutôt que d’élever une protestation et provoquer un incident diplomatique à l’issue incertaine. L’aveu d’impuissance étant là, la diaspora congolaise se trouve à la merci de ses tortionnaires.
Regards tournés vers Kinshasa
Face à l’aveu d’impuissance de ceux qui devaient les défendre en terre indienne, les compatriotes victimes des tracasseries policières et autres ont les regards tournés vers Kinshasa. Dans leur détresse, ils attendent un signal du gouvernement, à travers le ministère des Affaires Etrangères et de la Coopération internationale, pour l’amorce d’actions de protestation devant aboutir à l’amélioration de leurs conditions de sécurité individuelle et collective ainsi qu’au respect de leurs droits.
Ils sont impatients de savoir si Kinshasa est au courant de leurs misères et si des constats diplomatiques utiles ont été pris à cet effet ou en voie de l’être avec les autorités indiennes. Un certain pessimisme a tendance à gagner les esprits, au vu du silence et de l’immobilisme de la diplomatie congolaise face aux traitements inhumains et dégradants que subissent les immigrés congolais à travers le monde. Pour ne prendre que le cas de la Libye, où plusieurs pays avaient organisé des ponts aériens pour évacuer leurs citoyens en danger de mort l’année dernière, la communauté congolaise, abandonné à elle-même, était la dernière à quitter ce pays.
Le feuilleton des Congolais arrêtés et jetés en prison
Tout a commencé avec l’étudiant nommé Eddy Kabengele, qui se dirigeait vers le bus stand. Une voiture des indiens a failli le renverser. De ce fait les indiens sont descendus du véhicule. Eddy leur demande pourquoi ils ont fait cela. Les Indiens sortent de la voiture et se moquent de lui. Se sentant menacé, Eddy prend fuite jusqu’à Dashmesh Nagar, à 500 mètres du bus stand, dans la maison de ses amis, Horry et Gommy. Comme il n’y avait personne, Eddy se retrouve seul et sans choix.
Il se fait battre par 7 Indiens, pendant une quinzaine de minutes. Par chance, une fille congolaise du nom de Naomie Kabinda passe son chemin et constate qu’un homme de race noire, se fait battre. Elle s’arrête et appelle son frère, Damien Mupepe, qui arrive et repousse les agresseurs.
Damien confirme avoir trouvé Eddy en sang, malgré la présence de la police sur le lieu. La presse indienne est présente. Elle prend des vidéos et des photos mais refuse de les présenter. Damien appelle les Congolais en urgence, 21 étudiants congolais arrivent, y compris le président de la communauté congolaise Giresse Mbuyamba. Ils trouvent une foule des gens, mais la bagarre était déjà finie et la police faisait fuir les Indiens. Six d’entre eux se sont échappés. Un seul est saisi avant d’être relâché par la police. De ce fait les Congolais se mettent en colère, criant et hurlant, et essayent de s’expliquer avec la police.
Un cameraman affirme avoir été bousculé et cassé sa camera, et ne connaît pas l’auteur de cet acte. Sous la pression des Indiens, les policiers sont obligés de l’emmener au poste de police le plus proche (Bus stand Jalandar). Ils étaient 21 étudiants dans les jeeps de la police.
Poursuivie par une foule indienne, la police décide de se déplacer au DISTRICT 7, Une fois arrivés, les policiers confisquent leurs téléphones et les obligent à entrer dans les cellules de détention. Un haut placé de la police, les accuse de l’avoir bousculé, un seul étudiant réussit à s’échapper sous des coups des bâtons, alertant ainsi les autres compatriotes.
Les détenus confirment avoir été tabassés, torturés dans les cellules, Fridolain Mukeba a perdu connaissance. Durant la nuit, ils l’ont garde dans la cellule sans aucun traitement. Tous sont transférés à la prison centrale de Shiarpur.
L’endroit se trouve à 2 heures de route de Jalandhar. La police refuse de donner des précisions. Ces étudiants fréquentent deux universités dont LOVELY PROFESSIONAL UNIVERSITY (L.P.U) et PUN-JAB TECHNICAL UNIVERSITY (P.T.U). Les filles ont été aussi battues par les policiers alors qu’elles réclamaient la libération de leurs compatriotes. Parmi ces personnes, une Angolaise dont le nom est SOUZANNA COCA DOMINGOS était du nombre.
http://www.digitalcongo.net/article/92730
Chasse aux sujets congolais en Inde : le gouvernement interpellé !
Kinshasa, 18/06/2013 / Politique
Perçue jusqu’il y a encore peu comme le nouvel eldorado de la jeunesse congolaise en quête du bien-être, loin de la mère-patrie, et cotée comme une des destinations de rêve des Congolais en délicatesse de santé ou versés dans les affaires, l’Inde commence à donner des cauchemars à nos compatriotes.
Les nouvelles en provenance de ce pays du Sud-Est Asiatique font état d’une véritable chasse à l’homme à laquelle est désormais soumise la diaspora congolaise, surtout celle qui se recrute parmi les étudiants.
Diabolisés déjà dans plusieurs pays d’Afrique, d’Europe, d’Amérique du Nord et du Sud, les immigrés congolais croyaient être épargnés par le virus de la « Congolophobie » dans cette partie du monde. Hélas, ils sont rattrapés aujourd’hui par l’étiquette de « Ngulu », parfois leur colle injustement, même lorsqu’ils remplissent les conditions d’un séjour régulier à l’étranger.
L’image du Congolais clandestin a tellement fait le tour de la planète que les autres ne voient en lui que le clandestin, le menteur, le truand, le mendiant, le profiteur, le miséreux, l’escroc, l’incivique, le jouisseur, le paresseux.
Les situations rocambolesques que vivent les étudiants congolais dans plusieurs villes du pays de Ghandi étonnent et révoltent plus d’un observateur. Il est scandaleux d’apprendre que nos compatriotes sont systématiquement transformés en « accusés » dès qu’ils cherchent la protection de la police pour des cas de menaces, d’insultes, d’agressions physiques, de vols, de viols et autres atteintes à leur liberté de la part des citoyens indiens ou ceux d’autres nationalités, parfois sur des sites universitaires.
Diplomates sans voix et sans moyens
En principe, tout citoyen étranger en difficulté en territoire étranger compte d’abord et avant tout sur la protection de son Ambassade, de son Consulat ou de ceux des pays amis chargés de représenter son pays auprès de celui d’accueil. Bien que disposant d’une chancellerie en Inde, le Congo démocratique se montre, jusque-là, incapable de voler au secours de ses citoyens présentement placés dans des situations d’insécurité en Inde.
Les diplomates congolais installés dans ce pays demeurent totalement aphones depuis qu’a démarré la chasse à leurs compatriotes. Les membres de la communauté congolaise imputent le mutisme des fonctionnaires de leur mission diplomatique au fait qu’ils vivent eux-mêmes dans une précarité financière et logistique permanente. Sans moyens financiers et logistiques, ils ont du mal à faire le monitoring des faits et méfaits touchant des Congolais résidant dans les différentes villes indiennes et de leur porter éventuellement secours.
Arriver sur les lieux où sont signalés les injustices dont sont victimes des membres de la communauté congolaise à New Delhi ou ailleurs est déjà un problème. Défendre un Congolais arrêté par la police ou jeté en prison en est un autre. Bref, dans l’impossibilité de faire quelque chose, on croise les bras. Ensuite, les rapports de force entre l’Inde et la RDC sont tels qu’ils préfèrent fermer les yeux sur le calvaire de leurs compatriotes plutôt que d’élever une protestation et provoquer un incident diplomatique à l’issue incertaine. L’aveu d’impuissance étant là, la diaspora congolaise se trouve à la merci de ses tortionnaires.
Regards tournés vers Kinshasa
Face à l’aveu d’impuissance de ceux qui devaient les défendre en terre indienne, les compatriotes victimes des tracasseries policières et autres ont les regards tournés vers Kinshasa. Dans leur détresse, ils attendent un signal du gouvernement, à travers le ministère des Affaires Etrangères et de la Coopération internationale, pour l’amorce d’actions de protestation devant aboutir à l’amélioration de leurs conditions de sécurité individuelle et collective ainsi qu’au respect de leurs droits.
Ils sont impatients de savoir si Kinshasa est au courant de leurs misères et si des constats diplomatiques utiles ont été pris à cet effet ou en voie de l’être avec les autorités indiennes. Un certain pessimisme a tendance à gagner les esprits, au vu du silence et de l’immobilisme de la diplomatie congolaise face aux traitements inhumains et dégradants que subissent les immigrés congolais à travers le monde. Pour ne prendre que le cas de la Libye, où plusieurs pays avaient organisé des ponts aériens pour évacuer leurs citoyens en danger de mort l’année dernière, la communauté congolaise, abandonné à elle-même, était la dernière à quitter ce pays.
Le feuilleton des Congolais arrêtés et jetés en prison
Tout a commencé avec l’étudiant nommé Eddy Kabengele, qui se dirigeait vers le bus stand. Une voiture des indiens a failli le renverser. De ce fait les indiens sont descendus du véhicule. Eddy leur demande pourquoi ils ont fait cela. Les Indiens sortent de la voiture et se moquent de lui. Se sentant menacé, Eddy prend fuite jusqu’à Dashmesh Nagar, à 500 mètres du bus stand, dans la maison de ses amis, Horry et Gommy. Comme il n’y avait personne, Eddy se retrouve seul et sans choix.
Il se fait battre par 7 Indiens, pendant une quinzaine de minutes. Par chance, une fille congolaise du nom de Naomie Kabinda passe son chemin et constate qu’un homme de race noire, se fait battre. Elle s’arrête et appelle son frère, Damien Mupepe, qui arrive et repousse les agresseurs.
Damien confirme avoir trouvé Eddy en sang, malgré la présence de la police sur le lieu. La presse indienne est présente. Elle prend des vidéos et des photos mais refuse de les présenter. Damien appelle les Congolais en urgence, 21 étudiants congolais arrivent, y compris le président de la communauté congolaise Giresse Mbuyamba. Ils trouvent une foule des gens, mais la bagarre était déjà finie et la police faisait fuir les Indiens. Six d’entre eux se sont échappés. Un seul est saisi avant d’être relâché par la police. De ce fait les Congolais se mettent en colère, criant et hurlant, et essayent de s’expliquer avec la police.
Un cameraman affirme avoir été bousculé et cassé sa camera, et ne connaît pas l’auteur de cet acte. Sous la pression des Indiens, les policiers sont obligés de l’emmener au poste de police le plus proche (Bus stand Jalandar). Ils étaient 21 étudiants dans les jeeps de la police.
Poursuivie par une foule indienne, la police décide de se déplacer au DISTRICT 7, Une fois arrivés, les policiers confisquent leurs téléphones et les obligent à entrer dans les cellules de détention. Un haut placé de la police, les accuse de l’avoir bousculé, un seul étudiant réussit à s’échapper sous des coups des bâtons, alertant ainsi les autres compatriotes.
Les détenus confirment avoir été tabassés, torturés dans les cellules, Fridolain Mukeba a perdu connaissance. Durant la nuit, ils l’ont garde dans la cellule sans aucun traitement. Tous sont transférés à la prison centrale de Shiarpur.
L’endroit se trouve à 2 heures de route de Jalandhar. La police refuse de donner des précisions. Ces étudiants fréquentent deux universités dont LOVELY PROFESSIONAL UNIVERSITY (L.P.U) et PUN-JAB TECHNICAL UNIVERSITY (P.T.U). Les filles ont été aussi battues par les policiers alors qu’elles réclamaient la libération de leurs compatriotes. Parmi ces personnes, une Angolaise dont le nom est SOUZANNA COCA DOMINGOS était du nombre.
http://www.digitalcongo.net/article/92730
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[b]“Le deuil, c’est pour la vie. Ca ne s’en va jamais, ça fait progressivement partie de vous, à chaque pas, à chaque souffle.”
Mathilde
Re: Scandal: Tous les détails sur les 21 étudiants congolais arrêtés et sauvagement battus par la police Indienne
undefined a écrit:Mathilde a écrit:DIGITAL CONGO ORGANE DE PRESSE GOUVERNEMENTAL PAR EXCELLENCE BLÂME L'INERTIE DE L'ETAT CONGOLAIS ET CRITIQUE SON INCAPACITE A PROTEGER DES CITOYENS CONGOLAIS HORS DE LA RDC......
Chasse aux sujets congolais en Inde : le gouvernement interpellé !
Kinshasa, 18/06/2013 / Politique
Perçue jusqu’il y a encore peu comme le nouvel eldorado de la jeunesse congolaise en quête du bien-être, loin de la mère-patrie, et cotée comme une des destinations de rêve des Congolais en délicatesse de santé ou versés dans les affaires, l’Inde commence à donner des cauchemars à nos compatriotes.
Les nouvelles en provenance de ce pays du Sud-Est Asiatique font état d’une véritable chasse à l’homme à laquelle est désormais soumise la diaspora congolaise, surtout celle qui se recrute parmi les étudiants.
Diabolisés déjà dans plusieurs pays d’Afrique, d’Europe, d’Amérique du Nord et du Sud, les immigrés congolais croyaient être épargnés par le virus de la « Congolophobie » dans cette partie du monde. Hélas, ils sont rattrapés aujourd’hui par l’étiquette de « Ngulu », parfois leur colle injustement, même lorsqu’ils remplissent les conditions d’un séjour régulier à l’étranger.
L’image du Congolais clandestin a tellement fait le tour de la planète que les autres ne voient en lui que le clandestin, le menteur, le truand, le mendiant, le profiteur, le miséreux, l’escroc, l’incivique, le jouisseur, le paresseux.
Les situations rocambolesques que vivent les étudiants congolais dans plusieurs villes du pays de Ghandi étonnent et révoltent plus d’un observateur. Il est scandaleux d’apprendre que nos compatriotes sont systématiquement transformés en « accusés » dès qu’ils cherchent la protection de la police pour des cas de menaces, d’insultes, d’agressions physiques, de vols, de viols et autres atteintes à leur liberté de la part des citoyens indiens ou ceux d’autres nationalités, parfois sur des sites universitaires.
Diplomates sans voix et sans moyens
En principe, tout citoyen étranger en difficulté en territoire étranger compte d’abord et avant tout sur la protection de son Ambassade, de son Consulat ou de ceux des pays amis chargés de représenter son pays auprès de celui d’accueil. Bien que disposant d’une chancellerie en Inde, le Congo démocratique se montre, jusque-là, incapable de voler au secours de ses citoyens présentement placés dans des situations d’insécurité en Inde.
Les diplomates congolais installés dans ce pays demeurent totalement aphones depuis qu’a démarré la chasse à leurs compatriotes. Les membres de la communauté congolaise imputent le mutisme des fonctionnaires de leur mission diplomatique au fait qu’ils vivent eux-mêmes dans une précarité financière et logistique permanente. Sans moyens financiers et logistiques, ils ont du mal à faire le monitoring des faits et méfaits touchant des Congolais résidant dans les différentes villes indiennes et de leur porter éventuellement secours.
Arriver sur les lieux où sont signalés les injustices dont sont victimes des membres de la communauté congolaise à New Delhi ou ailleurs est déjà un problème. Défendre un Congolais arrêté par la police ou jeté en prison en est un autre. Bref, dans l’impossibilité de faire quelque chose, on croise les bras. Ensuite, les rapports de force entre l’Inde et la RDC sont tels qu’ils préfèrent fermer les yeux sur le calvaire de leurs compatriotes plutôt que d’élever une protestation et provoquer un incident diplomatique à l’issue incertaine. L’aveu d’impuissance étant là, la diaspora congolaise se trouve à la merci de ses tortionnaires.
Regards tournés vers Kinshasa
Face à l’aveu d’impuissance de ceux qui devaient les défendre en terre indienne, les compatriotes victimes des tracasseries policières et autres ont les regards tournés vers Kinshasa. Dans leur détresse, ils attendent un signal du gouvernement, à travers le ministère des Affaires Etrangères et de la Coopération internationale, pour l’amorce d’actions de protestation devant aboutir à l’amélioration de leurs conditions de sécurité individuelle et collective ainsi qu’au respect de leurs droits.
Ils sont impatients de savoir si Kinshasa est au courant de leurs misères et si des constats diplomatiques utiles ont été pris à cet effet ou en voie de l’être avec les autorités indiennes. Un certain pessimisme a tendance à gagner les esprits, au vu du silence et de l’immobilisme de la diplomatie congolaise face aux traitements inhumains et dégradants que subissent les immigrés congolais à travers le monde. Pour ne prendre que le cas de la Libye, où plusieurs pays avaient organisé des ponts aériens pour évacuer leurs citoyens en danger de mort l’année dernière, la communauté congolaise, abandonné à elle-même, était la dernière à quitter ce pays.
Le feuilleton des Congolais arrêtés et jetés en prison
Tout a commencé avec l’étudiant nommé Eddy Kabengele, qui se dirigeait vers le bus stand. Une voiture des indiens a failli le renverser. De ce fait les indiens sont descendus du véhicule. Eddy leur demande pourquoi ils ont fait cela. Les Indiens sortent de la voiture et se moquent de lui. Se sentant menacé, Eddy prend fuite jusqu’à Dashmesh Nagar, à 500 mètres du bus stand, dans la maison de ses amis, Horry et Gommy. Comme il n’y avait personne, Eddy se retrouve seul et sans choix.
Il se fait battre par 7 Indiens, pendant une quinzaine de minutes. Par chance, une fille congolaise du nom de Naomie Kabinda passe son chemin et constate qu’un homme de race noire, se fait battre. Elle s’arrête et appelle son frère, Damien Mupepe, qui arrive et repousse les agresseurs.
Damien confirme avoir trouvé Eddy en sang, malgré la présence de la police sur le lieu. La presse indienne est présente. Elle prend des vidéos et des photos mais refuse de les présenter. Damien appelle les Congolais en urgence, 21 étudiants congolais arrivent, y compris le président de la communauté congolaise Giresse Mbuyamba. Ils trouvent une foule des gens, mais la bagarre était déjà finie et la police faisait fuir les Indiens. Six d’entre eux se sont échappés. Un seul est saisi avant d’être relâché par la police. De ce fait les Congolais se mettent en colère, criant et hurlant, et essayent de s’expliquer avec la police.
Un cameraman affirme avoir été bousculé et cassé sa camera, et ne connaît pas l’auteur de cet acte. Sous la pression des Indiens, les policiers sont obligés de l’emmener au poste de police le plus proche (Bus stand Jalandar). Ils étaient 21 étudiants dans les jeeps de la police.
Poursuivie par une foule indienne, la police décide de se déplacer au DISTRICT 7, Une fois arrivés, les policiers confisquent leurs téléphones et les obligent à entrer dans les cellules de détention. Un haut placé de la police, les accuse de l’avoir bousculé, un seul étudiant réussit à s’échapper sous des coups des bâtons, alertant ainsi les autres compatriotes.
Les détenus confirment avoir été tabassés, torturés dans les cellules, Fridolain Mukeba a perdu connaissance. Durant la nuit, ils l’ont garde dans la cellule sans aucun traitement. Tous sont transférés à la prison centrale de Shiarpur.
L’endroit se trouve à 2 heures de route de Jalandhar. La police refuse de donner des précisions. Ces étudiants fréquentent deux universités dont LOVELY PROFESSIONAL UNIVERSITY (L.P.U) et PUN-JAB TECHNICAL UNIVERSITY (P.T.U). Les filles ont été aussi battues par les policiers alors qu’elles réclamaient la libération de leurs compatriotes. Parmi ces personnes, une Angolaise dont le nom est SOUZANNA COCA DOMINGOS était du nombre.
http://www.digitalcongo.net/article/92730
Petit bémol, Ma Mathy : ce n'est pas un papier du 200% kanambiste DigitalCongo, il reprend un article de l'excellent et combattant Le Phare ! Il le publie; c'est déjà ça !
Compatriotiquement!
ndonzwau
Re: Scandal: Tous les détails sur les 21 étudiants congolais arrêtés et sauvagement battus par la police Indienne
Etudiants congolais détenus en Inde: la RDC va porter plainte pour racisme
Les autorités de République démocratique du Congo accroissent leur pression sur le gouvernement indien pour exiger la libération des vingt étudiants congolais et d'une Angolaise, arrêtés dans des conditions douteuses dimanche 16 juin dans le nord du pays. Après avoir été reçu ce mardi par le ministre indien des Affaires étrangères, l'ambassadeur congolais a pu rencontrer ce mercredi matin les amis des étudiants emprisonnés, ainsi que les policiers. Pour rappel, ces étudiants sont accusés par la police de cette région du Pendjab d'avoir volé et frappé des Indiens, ainsi que des policiers. Depuis, ils sont en détention provisoire.
http://www.rfi.fr/afrique/20130619-etudiants-rdc-congo-arrestation-inde-plainte-racisme
Les autorités de République démocratique du Congo accroissent leur pression sur le gouvernement indien pour exiger la libération des vingt étudiants congolais et d'une Angolaise, arrêtés dans des conditions douteuses dimanche 16 juin dans le nord du pays. Après avoir été reçu ce mardi par le ministre indien des Affaires étrangères, l'ambassadeur congolais a pu rencontrer ce mercredi matin les amis des étudiants emprisonnés, ainsi que les policiers. Pour rappel, ces étudiants sont accusés par la police de cette région du Pendjab d'avoir volé et frappé des Indiens, ainsi que des policiers. Depuis, ils sont en détention provisoire.
http://www.rfi.fr/afrique/20130619-etudiants-rdc-congo-arrestation-inde-plainte-racisme
Jim KK
Re: Scandal: Tous les détails sur les 21 étudiants congolais arrêtés et sauvagement battus par la police Indienne
Autant Je compatis pour ces Jeunes Etudiants Congolais, autant Je trouve que c'est plus ou moins une bonne experience pour eux. It's wake up call for some of them. Welcome to Reality!!!...Oyo botalaka na TV, to oyo bo vivaka na KIN worshiping indians and paki...Bo vivre sik'oyo comment ca se passe na monde reel.
J'attend les soit-disant ambassadeurs & representants de la race humaine de venir ns parler de leur theorie de l' unite raciale a la mambo jambo.
J'attend les soit-disant ambassadeurs & representants de la race humaine de venir ns parler de leur theorie de l' unite raciale a la mambo jambo.
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L'originalité est un des grands principes du romantisme.
ALPHA DOG
Cavalier
Re: Scandal: Tous les détails sur les 21 étudiants congolais arrêtés et sauvagement battus par la police Indienne
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[b]“Le deuil, c’est pour la vie. Ca ne s’en va jamais, ça fait progressivement partie de vous, à chaque pas, à chaque souffle.”
Mathilde
Re: Scandal: Tous les détails sur les 21 étudiants congolais arrêtés et sauvagement battus par la police Indienne
Youyou Muntu-mosi
SIGNONS CETTE PETITION SVP...LE BOYCOTT CONTINUE!
Nos frères ont été libérés oui...mais nous voulons des excuses officielles de la part du gouvernement indien et la garantie que les congolais ne seront plus jamais traités de la sorte par la police indienne!
Qu'ils soient confrontés au racisme d'indiens stupides ça on y peut rien,on est pas là pour éduquer ces sauvages ni leur apprendre le respect,mais il est inadmissible que les autorités indiennes prêtent mains fortes à ces barbares en torturant et en arrêtant abusivement des citoyens congolais,ou africains juste parce qu'ils sont noirs et étrangers!
Donc svp partagez cette page et comme pour Kagame...SIGNONS CAR ENSEMBLE NOUS SOMMES FORTS!
Notre problème c'est que nous baissons vite les bras et n'allons jamais jusqu'au bout de nos entreprises,nous l'avons déjà fait et nous allons le refaire! Ils les ont libéré mais nous voulons des excuses publiques et officielles et LE BOYCOTT CONTINUE ceci jusqu'à ce que nous obtenions satisfaction! Ingetaaaa
http://www.change.org/en-GB/petitions/boycott-indian-products-in-neighborhood-shops-and-supermarkets-after-mistreatment-of-21-congolese-students-in-india?utm_campaign=twitter_link&utm_medium=twitter&utm_source=share_petition
SIGNONS CETTE PETITION SVP...LE BOYCOTT CONTINUE!
Nos frères ont été libérés oui...mais nous voulons des excuses officielles de la part du gouvernement indien et la garantie que les congolais ne seront plus jamais traités de la sorte par la police indienne!
Qu'ils soient confrontés au racisme d'indiens stupides ça on y peut rien,on est pas là pour éduquer ces sauvages ni leur apprendre le respect,mais il est inadmissible que les autorités indiennes prêtent mains fortes à ces barbares en torturant et en arrêtant abusivement des citoyens congolais,ou africains juste parce qu'ils sont noirs et étrangers!
Donc svp partagez cette page et comme pour Kagame...SIGNONS CAR ENSEMBLE NOUS SOMMES FORTS!
Notre problème c'est que nous baissons vite les bras et n'allons jamais jusqu'au bout de nos entreprises,nous l'avons déjà fait et nous allons le refaire! Ils les ont libéré mais nous voulons des excuses publiques et officielles et LE BOYCOTT CONTINUE ceci jusqu'à ce que nous obtenions satisfaction! Ingetaaaa
http://www.change.org/en-GB/petitions/boycott-indian-products-in-neighborhood-shops-and-supermarkets-after-mistreatment-of-21-congolese-students-in-india?utm_campaign=twitter_link&utm_medium=twitter&utm_source=share_petition
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[b]“Le deuil, c’est pour la vie. Ca ne s’en va jamais, ça fait progressivement partie de vous, à chaque pas, à chaque souffle.”
Mathilde
Re: Scandal: Tous les détails sur les 21 étudiants congolais arrêtés et sauvagement battus par la police Indienne
Épisode indien, ce n'est nullement Bollywood mais plutot Kongollywood ! Le gouvernement avait menti !
Quand il avait annoncé que 17 étudiants étaient libérés sur les 21, c'était simplement pour calmer, tout d'abord les parents des victimes, mais surtout, la montée d 'une mini révolution, non seulement contre les Indiens, mais aussi contre l'imposture érigé en pouvoir à Kinshasa et gouverne par défi...
Les familles de ces étudiants ont été sommés de la fermer, et accepter le mensonge que 17 de leurs enfants étaient dehors, il n'en était rien ! C'était de la fumée nauséabonde que deux parents ont refusé d'avaler pour mourir d'intoxication.
Ces deux parents récalcitrants ont fini, la journée à l'ANR pour intimidation suivie des menaces contre leurs personnes...
Entretemps, le ministre des affaires étrangères, Me Célestin le menteur confectionnait un discours qui devrait le faire sur RNTC, un discours décousu truffé d'hésitation sur la connaissance de la situation.
D'après les proches de ces prisonniers de circonstance, en Inde, la pression de cette est venue pas du gouvernement, mais de la diaspora qui a été un acteur incontournable dans l'avancée de cette affaire, qu'on a aujourd'hui le dénouement...
L'Amnesty International, a été aussi de la partie grâce à la demande des plusieurs congolais qui sont membres de cette organisation non gouvernementale, qui également a pesé de son influence sur cette tragique affaire raciste et répréhensible au yeux de la loi internationale.
Sans compter, l'élan de solidarité de la presse africaine et internationale, RFI, JEUNE AFRIQUE, AFRICA 24 et plusieurs journaux en ligne, radios communautaires...
Tout cela, le mérite ne revient pas au gouvernement fantoche, congolais mais à la pression tous-azimuts de nos compatriotes de la diaspora disséminés partout dans le monde qui ont utilisé un réseau puissant, " Facebook" pour faire passer le message.
Cela étant dit, tous ces étudiants d'après la confirmation d'un des leurs, sont tous libres. Sans exception, mais l'annonce faite hier par radiookapi n'était qu'un tissu de mensonge, émanant non de la radio okapi, mais de ceux ont transmis ces informations à cet organe de presse, à l’occurrence l'ANR
Roger BONGOS
Quand il avait annoncé que 17 étudiants étaient libérés sur les 21, c'était simplement pour calmer, tout d'abord les parents des victimes, mais surtout, la montée d 'une mini révolution, non seulement contre les Indiens, mais aussi contre l'imposture érigé en pouvoir à Kinshasa et gouverne par défi...
Les familles de ces étudiants ont été sommés de la fermer, et accepter le mensonge que 17 de leurs enfants étaient dehors, il n'en était rien ! C'était de la fumée nauséabonde que deux parents ont refusé d'avaler pour mourir d'intoxication.
Ces deux parents récalcitrants ont fini, la journée à l'ANR pour intimidation suivie des menaces contre leurs personnes...
Entretemps, le ministre des affaires étrangères, Me Célestin le menteur confectionnait un discours qui devrait le faire sur RNTC, un discours décousu truffé d'hésitation sur la connaissance de la situation.
D'après les proches de ces prisonniers de circonstance, en Inde, la pression de cette est venue pas du gouvernement, mais de la diaspora qui a été un acteur incontournable dans l'avancée de cette affaire, qu'on a aujourd'hui le dénouement...
L'Amnesty International, a été aussi de la partie grâce à la demande des plusieurs congolais qui sont membres de cette organisation non gouvernementale, qui également a pesé de son influence sur cette tragique affaire raciste et répréhensible au yeux de la loi internationale.
Sans compter, l'élan de solidarité de la presse africaine et internationale, RFI, JEUNE AFRIQUE, AFRICA 24 et plusieurs journaux en ligne, radios communautaires...
Tout cela, le mérite ne revient pas au gouvernement fantoche, congolais mais à la pression tous-azimuts de nos compatriotes de la diaspora disséminés partout dans le monde qui ont utilisé un réseau puissant, " Facebook" pour faire passer le message.
Cela étant dit, tous ces étudiants d'après la confirmation d'un des leurs, sont tous libres. Sans exception, mais l'annonce faite hier par radiookapi n'était qu'un tissu de mensonge, émanant non de la radio okapi, mais de ceux ont transmis ces informations à cet organe de presse, à l’occurrence l'ANR
Roger BONGOS
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[b]“Le deuil, c’est pour la vie. Ca ne s’en va jamais, ça fait progressivement partie de vous, à chaque pas, à chaque souffle.”
Mathilde
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