ABBÉ MALU MALU toujours pareil, son scenario commence déjà, la majorité présidentielle allongée aux concertations en colère , LISANGA BONGANGA claque la porte car dupé. SUIVONS CA ÉPISODE PAR ÉPISODE
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Re: ABBÉ MALU MALU toujours pareil, son scenario commence déjà, la majorité présidentielle allongée aux concertations en colère , LISANGA BONGANGA claque la porte car dupé. SUIVONS CA ÉPISODE PAR ÉPISODE
S.O.S L'HONORABLE MARTIN FAYULU VIENT D'ÊTRE ARRÊTER AVEC CERTAINS MEMBRES DES FAC ET DE LA SOCIETE CIVILE PAR LES HOMMES DE KANIAMA AU RONT POINT NGABA PENDANT QU'ILS FAISAIENT SIGNER LA PÉTITION MALU MALU DÉGAGE. A FAIRE SUIVRE
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Mathilde
Re: ABBÉ MALU MALU toujours pareil, son scenario commence déjà, la majorité présidentielle allongée aux concertations en colère , LISANGA BONGANGA claque la porte car dupé. SUIVONS CA ÉPISODE PAR ÉPISODE
IL EST DEJA LIBRE. IL A ETE BRIEVEMENT ARRETE PAR KANYAMA ESPRIT DE MPORT AVEC 8 COLLABORATEUR AU ROND POINT NGABA. IL A ETE PAR LA SUITE LIBERES AVEC LES AUTRES 8 INFORTUNES. IL N Y A PAS DE LIBERTE EN RDC. STOP A LA REPRESSION POLITIQUE CONTRE L OPPOSITION
KOTA
Re: ABBÉ MALU MALU toujours pareil, son scenario commence déjà, la majorité présidentielle allongée aux concertations en colère , LISANGA BONGANGA claque la porte car dupé. SUIVONS CA ÉPISODE PAR ÉPISODE
Il n'est pas encore bien blasé le con de Malu Malu.
Blasé par les répugnances des acteurs politiques, le président de la CENI s’en remet aux jeunes qu’il appelle à s’impliquer dans le processus électoral
Kinshasa, 24/02/2014 / Politique
La présidence de la Commission électorale nationale indépendante (CENI) a convié le week-end dernier les représentants des associations des jeunes pour la sensibilisation de cette dynamique frange sociale à s’impliquer dans le processus de l’organisation des élections
Les cadres de concertation avec toutes les parties prenantes au processus électoral continuent son bonhomme de chemin, à la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI). Samedi 22 février dernier, à la Maison des Elections à la Gombe, c’était le tour des représentants des organisations de jeunes à être reçus par la grande équipe chapeautée par l’Abbé Président Apollinaire Malumalu. Plus de cinq heures de réunion ont permis à ces jeunes de s’informer sur la feuille de route du processus électoral. Il s’en est suivi un échange d’idées susceptibles de contribuer à la réussite de ce processus.
Face à un projet de grande envergure qu’est le cycle électoral 2013-2016, la nouvelle équipe de la CENI, depuis son installation, reste convaincue que l’implication des uns et des autres vaut tout son pesant d’or. C’est tout le sens à donner à l’ouverture, depuis octobre 2013, des cadres de concertation des parties prenantes au processus électoral (société civile, confessions religieuses, partis politiques, autorités coutumières, organisations des femmes et jeunes). Représentant la couche majoritaire de la population, les jeunes occupent une place de choix dans la démarche.
La CENI, indique Jean-Baptiste Ndundu, membre de l’Assemblée Plénière, tient à s’assurer que cette jeunesse, en tant que partie prenante importante, puisse avoir des informations vraies et des outils nécessaires. Ce, pour qu’ils s’approprient correctement et s’impliquent en toute responsabilité dans le processus électoral en RD. Congo ». Informations vraies ? Les représentants des organisations des jeunes, présents à la Maison des Elections, le samedi 22 février, les ont reçues de l’Abbé Président, Apollinaire Malumalu. Elles ont concerné plus, particulièrement, la feuille de route du cycle électoral qui, depuis sa présentation, fin janvier à l’Assemblée Nationale, alimente des controverses notamment, dans les milieux politiques.
Intimidation
Le Président de la CENI a saisi cette opportunité, pour nettoyer toutes les confusions installées autour de cette question de feuille de route. Il a tenu à préciser, avant tout, que la feuille de route n’est pas à confondre avec le calendrier électoral. Cette dernière présente, dit-il, les conditions et les moyens pour parvenir a l’organisation des élections. Invite, le 30 janvier dernier, à l’Assemblée Nationale pour la présentation de cette feuille de route qui propose, entre autres, deux hypothèses d’organisation des élections, Malumalu a récolté des critiques acerbes. Certains politiques vont jusqu’à réclamer sa démission, à l’instar de la plate-forme « Sauvons le Congo » qui fait déjà circuler une pétition quant à ce.
Devant toutes ces agitations, Malumalu se veut serein et imperturbable. « Il faut amener un argument de raison et non d’autorité. II ne faut pas nous intimider. Nous sommes une institution indépendante... La CENI ne tient pas compte des intérêts particuliers », a-t-il lâché. Devant les jeunes, il a réaffirmé que la Ceni prendra toutes ses responsabilités, le moment venu, pour décider de l’option de l’organisation des élections. Cette tâche, ajoute-t-il, incombe à son organe de décision l’Assemblée Plénière.
« La CENI ne va pas recevoir d’injonctions externes pour prendre des décisions », martèle-t-il, tout en n’écartant pas la possibilité d’intégrer certaines propositions extérieures. Comme pour prouver l’indépendance de son institution, Malumalu a indiqué qu’une décision est déjà prise par l’Assemblée Plénière. C’est celle de commencer le cycle par des élections urbaines, municipales et locales. Et, c’est irréversible.
Socrate Nsimba/La Prospérité
(DN/TH/GW/Yes)
Last edited: 24/02/2014 15:51:25
Blasé par les répugnances des acteurs politiques, le président de la CENI s’en remet aux jeunes qu’il appelle à s’impliquer dans le processus électoral
Kinshasa, 24/02/2014 / Politique
La présidence de la Commission électorale nationale indépendante (CENI) a convié le week-end dernier les représentants des associations des jeunes pour la sensibilisation de cette dynamique frange sociale à s’impliquer dans le processus de l’organisation des élections
Les cadres de concertation avec toutes les parties prenantes au processus électoral continuent son bonhomme de chemin, à la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI). Samedi 22 février dernier, à la Maison des Elections à la Gombe, c’était le tour des représentants des organisations de jeunes à être reçus par la grande équipe chapeautée par l’Abbé Président Apollinaire Malumalu. Plus de cinq heures de réunion ont permis à ces jeunes de s’informer sur la feuille de route du processus électoral. Il s’en est suivi un échange d’idées susceptibles de contribuer à la réussite de ce processus.
Face à un projet de grande envergure qu’est le cycle électoral 2013-2016, la nouvelle équipe de la CENI, depuis son installation, reste convaincue que l’implication des uns et des autres vaut tout son pesant d’or. C’est tout le sens à donner à l’ouverture, depuis octobre 2013, des cadres de concertation des parties prenantes au processus électoral (société civile, confessions religieuses, partis politiques, autorités coutumières, organisations des femmes et jeunes). Représentant la couche majoritaire de la population, les jeunes occupent une place de choix dans la démarche.
La CENI, indique Jean-Baptiste Ndundu, membre de l’Assemblée Plénière, tient à s’assurer que cette jeunesse, en tant que partie prenante importante, puisse avoir des informations vraies et des outils nécessaires. Ce, pour qu’ils s’approprient correctement et s’impliquent en toute responsabilité dans le processus électoral en RD. Congo ». Informations vraies ? Les représentants des organisations des jeunes, présents à la Maison des Elections, le samedi 22 février, les ont reçues de l’Abbé Président, Apollinaire Malumalu. Elles ont concerné plus, particulièrement, la feuille de route du cycle électoral qui, depuis sa présentation, fin janvier à l’Assemblée Nationale, alimente des controverses notamment, dans les milieux politiques.
Intimidation
Le Président de la CENI a saisi cette opportunité, pour nettoyer toutes les confusions installées autour de cette question de feuille de route. Il a tenu à préciser, avant tout, que la feuille de route n’est pas à confondre avec le calendrier électoral. Cette dernière présente, dit-il, les conditions et les moyens pour parvenir a l’organisation des élections. Invite, le 30 janvier dernier, à l’Assemblée Nationale pour la présentation de cette feuille de route qui propose, entre autres, deux hypothèses d’organisation des élections, Malumalu a récolté des critiques acerbes. Certains politiques vont jusqu’à réclamer sa démission, à l’instar de la plate-forme « Sauvons le Congo » qui fait déjà circuler une pétition quant à ce.
Devant toutes ces agitations, Malumalu se veut serein et imperturbable. « Il faut amener un argument de raison et non d’autorité. II ne faut pas nous intimider. Nous sommes une institution indépendante... La CENI ne tient pas compte des intérêts particuliers », a-t-il lâché. Devant les jeunes, il a réaffirmé que la Ceni prendra toutes ses responsabilités, le moment venu, pour décider de l’option de l’organisation des élections. Cette tâche, ajoute-t-il, incombe à son organe de décision l’Assemblée Plénière.
« La CENI ne va pas recevoir d’injonctions externes pour prendre des décisions », martèle-t-il, tout en n’écartant pas la possibilité d’intégrer certaines propositions extérieures. Comme pour prouver l’indépendance de son institution, Malumalu a indiqué qu’une décision est déjà prise par l’Assemblée Plénière. C’est celle de commencer le cycle par des élections urbaines, municipales et locales. Et, c’est irréversible.
Socrate Nsimba/La Prospérité
(DN/TH/GW/Yes)
Last edited: 24/02/2014 15:51:25
mongo elombe
Re: ABBÉ MALU MALU toujours pareil, son scenario commence déjà, la majorité présidentielle allongée aux concertations en colère , LISANGA BONGANGA claque la porte car dupé. SUIVONS CA ÉPISODE PAR ÉPISODE
Ca promet deh loooool debout congolais !!!!!! Kie kie kie kie
RDC: la société civile désapprouve la révision constitutionnelle proposée par la Ceni
Des organisations de la société civile de la RDC ont rejeté la révision constitutionnelle proposée par la Commission électorale nationale indépendante (Ceni) en vue d’appliquer le mode de scrutin indirect pour les élections provinciales. Ils l’ont fait savoir au cours d’une rencontre avec le président de la Ceni, Apollinaire Malumalu, lundi 24 février à Kinshasa. Le moment n’est pas propice pour une telle reforme, selon la société civile, qui redoute le risque de corruption de «grands électeurs ».
A l’issue de cette matinée d’échange, la Nouvelle société civile congolaise (NSCC) basée à Kinshasa a purement et simplement rejeté ce scrutin indirect, au regard du degré de corruption qui prévaut en RDC.
«Cette option-là ne donne pas la possibilité aux pauvres d’émerger et de participer au processus comme candidat, parce qu’il sera aussi question de grands électeurs qui seront facilement corruptibles», a estimé le coordonnateur de la NSCC, Jonas Tshiombela.
Le délégué de la société civile de la province de l’Equateur, Fabien Mongwenza, a pour sa part estimé que le mode de scrutin proposé par la Ceni était inopportun:
«Pour préserver la quiétude dans la pays, je proposerais que l’ancien système continue, et qu’à la fin de ce cycle électoral on puisse entrevoir une révision qui ferait que les députés provinciaux puissent être élus au suffrage indirect pour nous permettre de gagner du temps.»
Lors de cet échange, le président de la Ceni a passé en revue la feuille de route de la poursuite du processus électoral en République démocratique du Congo qu’il avait présentée jeudi 30 janvier à l’Assemblée nationale. Il s’est plus appesanti sur la possibilité de reformer la loi électorale en vue d’appliquer le mode de scrutin indirect pour les élections provinciales et sénatoriales, ainsi que celle des gouverneurs.
«Les conseillers des communes, des chefferies et des secteurs élus pourront élire, en un même jour, députés provinciaux, gouverneurs et vice-gouverneurs, sénateurs, conseillers urbains, bourgmestres et bourgmestres adjoints», a-t-il expliqué.
Pour y arriver, l’abbé Malumalu juge indispensable la révision de quelques articles de la constitution. «On devrait, dans ce cas là [réviser] au niveau de la constitution un article qui concerne [le scrutin des] sénateurs et deux articles qui concernent les institutions provinciales: 197 et 198», a précisé la président de la Ceni.
Aux dires de certains participants à cette rencontre, il appartient aux députés tant de la majorité que de l’opposition de traiter avec délicatesse de la révision de la constitution telle que proposée par la Ceni.
radiookapi.net
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Mathilde
Re: ABBÉ MALU MALU toujours pareil, son scenario commence déjà, la majorité présidentielle allongée aux concertations en colère , LISANGA BONGANGA claque la porte car dupé. SUIVONS CA ÉPISODE PAR ÉPISODE
Malu Malu doit dègager un point un trait.
mongo elombe
Re: ABBÉ MALU MALU toujours pareil, son scenario commence déjà, la majorité présidentielle allongée aux concertations en colère , LISANGA BONGANGA claque la porte car dupé. SUIVONS CA ÉPISODE PAR ÉPISODE
Malumalu: la CENI est pour des élections appaisées mais n'accepte pas de subir la loi du Chantage
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Mathilde
Re: ABBÉ MALU MALU toujours pareil, son scenario commence déjà, la majorité présidentielle allongée aux concertations en colère , LISANGA BONGANGA claque la porte car dupé. SUIVONS CA ÉPISODE PAR ÉPISODE
"RDC - Ceni : campagne anti-Malumalu, le vrai du faux
° http://www.jeuneafrique.com/Article/ARTJAWEB20140225171031/rdc-ceni-rdc-opposition-rdc-martin-fayulu-vrai-faux-rdc-ceni-campagne-anti-malumalu-le-vrai-du-faux.html
La campagne "Malumalu dégage" se poursuit à Kinshasa. À l'initiative de la plateforme "Sauvons la RDC" qui regroupe plusieurs partis d'opposition et des associations de la société civile, une pétition circule depuis le 18 février dans les rues de la capitale congolaise pour réclamer la démission du président de la Ceni. À tort ou à raison ? Décryptage.
"Malumalu dégage". La plateforme "Sauvons la RDC" ne va pas par quatre chemins. Depuis le 18 février, ce regroupement de partis d'opposition exige, à travers une pétition, la démission du président de la Commission électorale nationale indépendante (Ceni). Mais que reproche-t-on à l'abbé Apollinaire Malumalu ? Six principaux griefs. Nous les passons au peigne fin pour tenter de démêler le vrai du faux.
1. "L'abbé Malumalu ne jouit pas de la confiance de la classe politique" : FAUX
Pour Martin Fayulu, député d'opposition et initiateur de la pétition, le président de la Ceni occupe son poste "par effraction". "L'église catholique ne l'avait pas désigné, car la Conférence épiscopale nationale du Congo (Cenco) avait à l'époque soutenu la candidature d'un laïc pour occuper la fonction, explique-t-il à Jeune Afrique. Mais l'abbé Malumalu nous a été imposé par la majorité mécanique à l'Assemblée nationale mais ne jouit pas de la confiance de la classe politique".
Seulement voilà, l'abbé Malumalu ne travaille pas seul. Au sein du bureau de la Ceni, il est entouré des autres personnalités issues des partis politiques de la majorité, mais aussi de l'opposition. Même la plénière de la Ceni comprend des délégués issus de cette dernière, lesquels ne se sont pas encore désolidarisés de l'abbé Malumalu. Il paraît donc inexact de prétendre que "l'abbé Malumalu ne jouit pas de la confiance de la classe politique", alors que, au même moment, les délégués de la majorité, de l'opposition et de la société civile l'accompagnent encore dans sa mission d'organisation des prochains scrutins.
Martin Fayulu répond à nos arguments par une pirouette. Pour le député, il est difficile d'envisager que les autres membres de la Ceni ne soutiennent pas Malumalu, car si ce dernier devait être éjecté, ils connaîtraient le même sort et perdraient donc leurs "indemnités"...
"Martin Fayulu : « Au Congo, les gens veulent s’accrocher à leurs indemnités. »"° https://soundcloud.com/jeune-afrique/martin-fayulu-abb-malumalu2. Violation de la consigne de la Cenco : VRAI
La plateforme "Sauvons la RDC" reproche également à l'abbé Malumalu de "ne pas respecter le code de bonne conduite de l'Église catholique". À la mi-mai 2013, en effet, lorsque des rumeurs sur un éventuel retour aux affaires de Malumalu se propageaient à Kinshasa, la Conférence épiscopale nationale du Congo (Cenco) avait tenu à rappeler une disposition commune des évêques sur la présence des ecclésiastiques – prêtres, religieux, frères, sœurs – dans l'organe chargé d'organiser les élections. "Sauf dérogation exceptionnelle d'un supérieur, il est interdit de prendre part à la Ceni, un statut de membre électoral étant incompatible avec leur vocation d'être au dessus des clivages politiques", confiait alors à Jeune Afrique l'abbé Félicien Mwanama, secrétaire général adjoint de la Cenco.
Et à en croire plusieurs sources proches de la Cenco, Malumalu n'a jamais reçu cette autorisation expresse de son supérieur hiérarchique. En principe donc, ce dernier aurait déjà dû en tirer les conséquences et le sanctionner. Mais "celui-ci est un corrompu (...), accuse Martin Fayulu. C'est pourquoi il n'arrive à ne rien dire à Malumalu".
3. Volonté de rompre le "cycle électoral de 2011" : VRAI
Dans sa "feuille de route du cycle électoral 2013 - 2016", la Ceni prévoit d'organiser en premier lieu les élections municipales, urbaines et locales d'ici février 2015. Une façon de "vider dès le départ quelques arriérés électoraux" pour pouvoir tenir la présidentielle de 2016 en toute quiétude, se justifie l'abbé Malumalu.
Mais ses détracteurs y voient plutôt une tentative de "rompre le cycle électoral de 2011". Un processus qui a commencé le 28 novembre 2011 avec la présidentielle et les législatives. "Il devait donc se poursuivre par l'organisation de l'élection des sénateurs et des députés provinciaux", estime Martin Fayulu. Le sénat congolais et les assemblées provinciales n'ont, en effet, pas été renouvelés depuis 2006, alors que les élus qui les composent n'avaient qu'un mandat de cinq ans ! Initialement, ce sont donc les sénatoriales et les élections provinciales qui devaient précéder les scrutins locaux.
Des élections locales risquent d'entraîner des troubles énormes dans le pays.
Martin Fayulu, coordonnateur de "Sauvons la RDC"
Pour le coordonnateur de "Sauvons la RDC", vouloir "à tout prix" organiser les élections locales avant tous les autres scrutins constitue une "manœuvre pour prolonger en douceur le mandat de Joseph Kabila", dans la mesure où "ces élections vont entraîner des troubles énormes dans le pays, lesquelles ne permettront pas la tenue de l'élection présidentielle en 2016".
"Martin Fayulu : « Abbé Malumalu veut permettre à Kabila de faire deux mandats en un. »"° https://soundcloud.com/jeune-afrique/martin-fayulu-abb-malumalu4. En proposant l'élection des députés provinciaux au suffrage indirect, Malumalu viole la Constitution : FAUX
Les détracteurs de l'abbé Malumalu accusent aussi ce dernier de violer la Constitution en suggérant dans sa "feuille de route" l'organisation de l'élection des députés provinciaux au scrutin indirect. Seulement, le président de la Ceni ne compte pas imposer un scrutin indirect : il n'en a pas le pouvoir. Il appartiendra donc au Parlement de modifier, ou non, l'article 197 de la Constitution qui consacre, pour l'instant, le suffrage direct pour l'élection des députés provinciaux. "La Ceni n'exclut pas l'hypothèse du maintien du suffrage direct", confie un proche du président de l'institution électorale.
5. Opacité dans l'audit du fichier électoral : VRAI/FAUX
La Ceni a prévu par ailleurs d'organiser les élections locales "sur base d'un fichier électoral corrigé". Elle dit avoir déjà effectué l'audit en interne de ce fichier. Si l'on considère que toutes les composantes – majorité, opposition, société civile – ont voix au chapitre au sein de l'institution électorale, on peut en déduire que l'audit a eu lieu en présence de toutes les parties prenantes. Mais un tel audit est encore loin de satisfaire les recommandations des observateurs nationaux et internationaux des scrutins de 2011 qui le souhaitaient "indépendant".
Par ailleurs, pour les élections de 2016 - présidentielle et législatives -, la Ceni projette de les organiser "sur la base des résultats du recensement administratif" qui doit être lancé dans les prochains mois.
6. Recrutement du personnel de la Ceni sans procéder à un appel à candidature : VRAI
Le dernier grief reproché à l'abbé Malumalu, c'est son "clientélisme". Le président de la Ceni est accusé d'avoir recruté le secrétaire exécutif national de l'institution électorale et son adjoint en violation des dispositions légales. Pour la défense de Malumalu, son entourage argue que la décision a été prise en plénière - en présence de tous les autres membres de la Ceni issues de toutes les composantes - et qu'il ne s'agit là que d'une "mesure provisoire"."
Compatriotiquement!
ndonzwau
Re: ABBÉ MALU MALU toujours pareil, son scenario commence déjà, la majorité présidentielle allongée aux concertations en colère , LISANGA BONGANGA claque la porte car dupé. SUIVONS CA ÉPISODE PAR ÉPISODE
"RDC : la loi sur l’amnistie passe mal
° http://afrikarabia.com/wordpress/rdc-la-loi-sur-lamnistie-passe-mal/
La loi d’amnistie sur les groupes armés, adoptée début février, est fortement décriée par les ONG qui dénoncent une « prime à l’impunité » alors que les rebelles attendent une « amnistie totale« .(...)"
Compatriotiquement!
ndonzwau
Re: ABBÉ MALU MALU toujours pareil, son scenario commence déjà, la majorité présidentielle allongée aux concertations en colère , LISANGA BONGANGA claque la porte car dupé. SUIVONS CA ÉPISODE PAR ÉPISODE
"04/03/14/ REVUE DE LA PRESSE CONGOLAISE DE CE MARDI (CongoForum)
° http://www.congoforum.be/fr/nieuwsdetail.asp?subitem=1&newsid=197637&Actualiteit=selected
En ce Mardi Gras, les projecteurs de la presse congolaise sont braqués sur deux principaux sujets, la déclaration des évêques catholiques sur la feuille de route du cycle électoral de la CENI et l’ouverture du Forum mondial des femmes francophones. Cet intérêt tient essentiellement ) ‘avis négatif des rélats concernant le suffrage indirect et à la présence au Forum des Femmes de Mme Samba anza de RCA.
La CENCO et les Elections
Et tout d’abord, puisqu’il s’gait de commenter un texte, voici, ci-dessous, le communiqué de la CENCO.
1. Réunis en Comité permanent du 24 au 27 février 2014, les Archevêques et Evêques membres de la Conférence Episcopale Nationale du Congo (CENCO) se sont penchés entre autres sur la situation de notre pays. lls ont rendu grâce à Dieu pour tant d’événements heureux survenus dans notre pays, notamment la tenue des concertations nationales et la mise sur pied d’un Comité de suivi des résolutions issues de ces concertations, l’accalmie observée dans les zones jadis occupées par le M23, les efforts qui se poursuivent pour rétablir la sécurité dans le pays, en particulier dans le Nord et Sud-Kivu ainsi que dans le Katanga.
2. lls ont également examiné les options de la feuille de route du cycle électoral 2013-2016 présentée par la Commission Electorale Nationale lndépendante (CENI) ainsi que sa planification pour la fiabilisation du fichier électoral et la stabilisation des cartographies opérationnelles.
3. Considérant que le cycle électoral en cours constitue un enjeu fondamental et décisif pour la construction d’un Congo réellement démocratique, apaisé et porteur des nouvelles possibilités de développement et, préoccupés par le dépassement du mandat des députés provinciaux et des sénateurs ainsi que par le dysfonctionnement institutionnel et la crise de légitimité dans les entités territoriales et urbaines de base :
4. Les Evêques recommandent l’apurement des arriérés électoraux comme gage de l’assise de la démocratie et du renforcement de la cohésion nationale
5. Ils demandent à cet effet, la tenue des élections provinciales au premier trimestre 2015 afin de mettre en place des institutions légitimes.
6. Ils recommandent que les opérations de fiabilisation du fichier électoral en cours et la stabilisation des cartographies opérationnelles s’effectuent de manière transparente et consensuelle afin de rassurer tout le peuple congolais.
7. Ils estiment que l’hypothèse des élections des Conseillers urbains, bourgmestres, Chefs des secteurs, Maires ainsi que des Députés provinciaux au suffrage indirect est de nature à compromettre le processus de consolidation de notre jeune démocratie. Car, le Souverain primaire se verrait ainsi mis en marge du processus de désignation de ses gouvernants et son droit de participer directement à la vie publique s’amenuiserait. Dans l’hypothèse d’un suffrage indirect, la crainte de manipulation et de corruption des électeurs est beaucoup plus grande.
8. Ainsi, conformément aux prescrits de la Constitution en son article 197, les Evêques demandent avec empressement que les élections au niveau provincial tout comme les élections municipales, urbaines et locales soient au suffrage universel direct, afin de promouvoir la démocratie à la base en renforçant le contrôle du peuple sur ses représentants.
9. Tenant compte du coût que ces élections entraînent, les Evêques estiment qu’il est avantageux de coupler les élections provinciales et locales. Dans la perspective de garantir la souveraineté de notre Etat, le Gouvernement de la République devrait prévoir, dans son budget, les dépenses inhérentes à ces élections avant de compter sur l’appui financier de ses partenaires traditionnels.
10. Les Evêques en appellent à la volonté politique de nos gouvernants et à la mobilisation de toute la population congolaise pour que le processus électoral se passe dans la paix et la vérité, dans la transparence et le respect des délais constitutionnels.
11. Afin de garantir la réussite totale du processus électoral en cours, les Evêques invitent la communauté internationale, en particulier la Monusco, à s’impliquer davantage dans l’appui financier et logistique de prochaines élections.
12. L’Eglise catholique, fidèle à sa mission évangélisatrice, accompagnera par la prière, la formation à l’éducation civique ce processus électoral dont dépend l’avenir de la nation congolaise.
13. En cette année du cinquantenaire du martyre de la Bienheureuse Anuarite, les Evêques élèvent leurs prières au Dieu Tout-puissant pour que les prochaines élections consolident notre démocratie et inscrivent notre pays dans le registre des nations respectables et dignes. »
Dans ses commentaires, la presse retient essentiellement un double « non » : pas de recours au suffrage indirect, pas de révision de la Constitution.
Le Potentiel (° http://www.lepotentielonline.com/index.php?option=com_content&view=article&id=6130:le-schema-des-eveques&catid=85&Itemid=472 ) estime que la feuille de route du cycle électoral 2014-2016 de la CENI a fait l’objet d’une analyse approfondie des évêques membres du Comité permanent de la Conférence épiscopale nationale du Congo (CENCO).
Les princes de l’Eglise catholique estiment qu’il est possible de relever le défi du cycle électoral 2014-2016 sans devoir réviser la Constitution. Ils sont convaincus qu’avec un peu de bonne volonté - surtout politique - toutes les contraintes matérielles, financières et techniques peuvent être éludées. Ils offrent là un schéma dont la CENI peut se servir utilement.
Forum des As titre « Scrutin indirect : les évêques catholiques disent non à l’abbé Malu Malu » (° http://www.forumdesas.org/spip.php?article517 ) Il rapporte que les évêques catholiques estiment que les élections aux niveaux local, municipal et urbain doivent se dérouler au suffrage direct. Ils se sont prononcés, lundi 3 mars à Kinshasa, sur le scrutin indirect proposé par le président de la Commission électorale nationale indépendante (Ceni), l’abbé Apollinaire Malu Malu dans sa feuille de route électorale. Dans leur argumentation, les évêques, au nom de la Conférence épiscopale nationale du Congo (Cenco), redoutent plutôt un danger contre la démocratie. Pour eux, « l’option ou l’hypothèse des élections au niveau provincial ou même au niveau municipal, urbain ou local au suffrage indirect n’est pas de nature à consolider notre démocratie », note Forum des As.
La Prospérité note que les projecteurs des évêques catholiques sont désormais orientés vers la CENI. Ils réservent, en effet, une fin de non recevoir à l’idée d’organiser les élections provinciales, municipales, urbaines, voire locales au suffrage indirect.
Ce mode de scrutin, arguent-ils, ouvre clairement la voie à la manipulation et à la corruption. Il accroit, selon les évêques, le risque d’effriter le pouvoir du souverain primaire quant à l’exercice de son droit constitutionnel.
De plus, note La Prospérité, ils exigent un budget conséquent. Les évêques ont invité le gouvernement à prévoir dans son budget, les dépenses inhérentes à ces élections, avant de compter, par exemple, sur l’appui financier de ses partenaires traditionnels, a écrit le quotidien. Les évêques catholiques ont aussi demandé à la Monusco et la communauté internationale de s’impliquer totalement dans l’appui financier et logistique pour une bonne réussite du processus. Ils ont aussi réitéré la volonté de l’Eglise catholique d’accompagner, par la prière, la formation à l’éducation civique, le processus électoral dont dépend l’avenir de la nation congolaise, conclut La Prospérité.
Sous le titre : « La CENCO dit non au suffrage indirect », Le Phare note que la CENI s’emploie à sensibiliser les forces vives de la Nation autour des avantages du suffrage indirect pour certains scrutins, dont celui des députés provinciaux, l’Eglise catholique vient d’y opposer un refus catégorique. Dans une déclaration rendue publique lundi 03 mars 2014, la CENCO en appelle au respect strict du droit du souverain primaire d’élire ses dirigeants à tous les niveaux. Les évêques catholiques pensent que le non respect des prescrits de la Constitution pour les élections des mandataires et gestionnaires des entités de base risque de porter un coup dur à la démocratie congolaise.
A leur avis, des élections libres, démocratiques et transparentes sont impossibles en RDC si un corps électoral inapproprié se substitue au souverain primaire.
Le Guide y va d’un titre énergique et écrit que « La CENCO désavoue Malu Malu ».
Il souligne que la CENCO met en cause les options de la feuille de route du cycle électorale en cours telles que présentées par la CENI.
Contrairement au calendrier élaboré par la centrale des élections, les prélats catholiques recommandent notamment la tenue des élections provinciales au premier trimestre 2015.
Ils estiment que l’hypothèse des élections des conseillers urbains, bourgmestres, chefs des secteurs, maires ainsi que des députés provinciaux au suffrage indirect comme proposé par la CENI est de nature à compromettre le processus de consolidation de la jeune démocratie congolaise. Ce, dans la mesure où le souverain primaire se verrait mis en marge du processus.
(Si « désavouer » est un terme un peu fort, les évêques ne doivent pas être fâchés de taper sur les doigts de l’indiscipliné Malumalu qui a accepté son poste à la CENI en s’asseyant sur une directive de sa hiérarchie. L’on peut donc s’attendre entre eux à un de ces entretiens ecclésiastiques, d’une modération parfaite, où les paroles édifiantes, maniées par des hommes subtils, ont l’acuité d’une lame de poignard et laissent à l’intérieur des plaies un poison dont les effets se font sentir longtemps, duel d’intelligence et d’autorité religieuse entre des casuistes consommés, qui savent trouver le point faible d’un orgueil et y porter des coups fulgurants, toujours irréprochables quant aux termes. NdlR)
Sur L’Info en Ligne des Congolais de Belgique, Cheik Fita (° http://www.cheikfitanews.net/2014/03/le-%C2%AB-non-%C2%BB-de-la-cenco-au-suffrage-indirect-propos%C3%A9-par-malu-malu.html ) surenchérit encore en écrivant: « Dans un communiqué rendu public le 28 février 2014, la CENCO,Conférence Episcopale Nationale du Congo vient de dire « Non » à l’organisation des élections locales, municipales, urbaines, provinciales au suffrage indirect, tel que l’avait proposé l’abbé Malu Malu, pour la premier fois devant la commission des affaires étrangères du parlement belge à Bruxelles, puis devant ce qui sert de parlement en RD Congo. Voici l’argument principal de la CENCO : « L’hypothèse des élections des Conseillers urbains, bourgmestres, Chefs des secteurs, Maires ainsi que des Députés provinciaux au suffrage indirect est de nature à compromettre le processus de consolidation de notre jeune démocratie. Car, le Souverain primaire se verrait ainsi mis en marge du processus de désignation de ses gouvernants et son droit de participer directement à la vie publique s’amenuiserait. Dans l’hypothèse d’un suffrage indirect, la crainte de manipulation et de corruption des électeurs est beaucoup plus grande. » Avec toute l’intelligence qu’on lui connaît, monsieur l’abbé Malu Malu ignore-t-il cela ? Ne cherche-t-il pas un prétexte pour piéger le parlement congolais afin de programmer une révision constitutionnelle et par la même occasion, ouvrir la boite de pandore en offrant à la majorité kabiliste l’occasion de tenter une révision de l’article 220, quoique bétonné ? En 2011, la majorité kabiliste avait révisé à la hussarde la constitution pour imposer un tour unique pour la présidentielle. Ce n’est pas aujourd’hui qu’elle se gênerait si des enveloppes d’argent été mises en jeu. Les gesticulations de l’abbé Malu Malu ces derniers temps auprès de différents groupes sociaux sont plus que suspectes. Une grande mobilisation s’imposeau pays et à l'étranger, pour ramener l’abbé Malu Malu sur le droit chemin. A voir son jusqu’auboutisme, « l’homme de Dieu » est disposé à créer une fracture dans la société congolaise et même mettre le feu au pays, pour imposer son fameux scénario d’élections indirectes, un véritable mépris pour le souverain primaire qu’est le peuple congolais ».
(A ceux qui seraient étonnés d’une certaine véhémence langage, il faut sans doute rappeler que les élections du 28/11/11 ont été organisées, tout comme celles de 2006, en faisant voter un « corps électoral inconnu », faute de recensement préalable de la population. Ce fait à lui seul suffirait à en « plomber » gravement la crédibilité. Elles ont, par-dessus le marché, été entachées de fraudes et de manipulations à un point tel qu’elles ont donné des résultats qui, en réalité, sont encore inconnus[1]. Toute autorité prétendue ne relève plus que de la force, de l’intimidation, d’un coup d’état de fait. Le principal ressort de ce coup d’état consiste à progresser, comme si de rien n’était, dans les tâches qui suivent normalement une élection et à mettre le pays et le monde devant le fait accompli. NdlR)"
"Pétition contre Malumalu : déjà 12 300 signatures à Kinshasa"
° http://www.lephareonline.net/petition-contre-malumalu-deja-12-300-signatures-a-kinshasa/
"Etat d’avancement de la pétition «Malumalu dégage» de la Ceni
° http://www.lephareonline.net/etat-davancement-de-la-petition-malumalu-degage-de-la-ceni/
Martin Fayulu
Mes dames, Mes demoiselles et Messieurs,
Nous, membres de Sauvons la RDC, tenons à vous présenter aujourd’hui l’état d’avancement de la pétition « Malumalu dégage de la CENI ».
La campagne a été lancée sur le terrain le 18 février 2014 à Kinshasa, après le point de presse tenu le lundi 17 février. A ce jour, nous avons déjà récolté 12.300 signatures.
Le 18 février lors de la descente sur le terrain à la place Kintambo magasin, la police est venue nous déranger et a emporté plus de 600 signatures. Malgré cette intimidation, nous avons continué I’action en allant tour à tour au marché Bayaka à Ngiri- Ngiri, Delvaux à Ngaliema, Rond-point Ngaba, Ndjili Ste Thérèse, Super Lemba et Terminus Lemba, DGC Ozone et aux alentours de I’hôtel Memling au centre-ville.
Au Rond-point Ngaba, le lundi 24 février les policiers sont venus nous interpeler en nous signifiant qu’ils devaient nous conduire chez le Commissaire provincial de la police. Arrivés sur place, nous n’avons pas vu le commissaire de police en question.
Deux de nos membres, Jean Félix Senga et Jean Bosco Puna, étaient mis au cachot arbitrairement. Et deux heures plus tard, ils nous ont priés de partir avec nos deux membres relâchés. Il faut savoir qu’au même moment, notre délégation conduite par le Président Vital Kamerhe pour la caravane de la paix subissait les affres de la même police à Bukavu.
Nous voulons dire aux Congolais que la campagne continue. Elle a été lancée au Nord-Kivu le vendredi 28 février et elle sera lancée au Katanga, au Sud-Kivu et au Bas-Congo le mardi 4 mars. A I’extérieur du pays la signature de la pétition a déjà commencé en Afrique du Sud, en Europe et aux Etats-Unis.
Comme l’a dit un professeur congolais : « Nous comptons sur tous les patriotes pour faire bouger les choses car seuls des hommes et des femmes, des Congolais et des Congolaises qui osent, changeront ce système avilissant qui nous tue. Ensemble, menons le combat pour une CENI réellement indépendante afin que les générations futures soient fières de nous ».
Que Dieu bénisse la RDC ! La victoire appartient au peuple congolais I
Martin M. Fayulu
FAC
Société Civile de la RDC
Christophe Ngoyi Mutamba
Jean-Bertrand Ewanga"
° http://radiookapi.net/actualite/2014/03/03/rdc-les-eveques-catholiques-opposes-au-scrutin-indirect-pour-les-prochaines-elections/
° http://radiookapi.net/actualite/2014/02/24/rdc-la-societe-civile-desapprouve-la-revision-constitutionnelle-proposee-par-la-ceni-2/
° http://radiookapi.net/actualite/2014/02/02/rdc-lopposition-congolaise-rejette-la-feuille-de-route-electorale-de-la-ceni/
Compatriotiquement!
ndonzwau
Re: ABBÉ MALU MALU toujours pareil, son scenario commence déjà, la majorité présidentielle allongée aux concertations en colère , LISANGA BONGANGA claque la porte car dupé. SUIVONS CA ÉPISODE PAR ÉPISODE
EYINDI: LA MACHINE À CHASSER MALU MALU PAR FAYULU ET LA PLATE FORME SAUVONS LA RDC EST MARCHE
La Coalition politique «Sauvons la RDC» affirme avoir déjà récolté 12 000 signatures dans le cadre de sa campagne pour réclamer la démission de l’abbé Apollinaire Malu-Malu, président de la Commission électorale nationale indépendante (Ceni). Au cours d’un point de presse lundi 3 mars à Kinshasa, le coordonnateur de cette plate-forme, le député Martin Fayulu, a dénoncé l’interpellation dont ses collaborateurs et lui avaient fait l’objet de la part de la police il ya trois semaines. Quelques 300 signatures avaient été confisquées par les forces de l’ordre à cette occasion, a-t-il affirmé. Le député Fayulu promet que l’opération va s’étendre dans d’autres provinces du pays.
«Nous continuions la campagne. Elle a été lancée au Nord-Kivu le vendredi 29 février, et elle sera lancée simultanément au Katanga, au Sud-Kivu et au Bas-Congo demain. À l’extérieur du pays, la signature de la pétition a déjà commencé en Afrique du Sud, en Europe et aux Etats-Unis», a-t-il révélé.
Martin Fayulu invite «tous les patriotes» à s’impliquer dans ce combat car seuls «des Congolais et des Congolaises qui osent changerons ce système avilissant».
«Ensemble, menons le combat de la Ceni pour que les générations futures soient fier de nous», a-t-il appelé.
«A un moment donné», affirme l’opposant politique, la plateforme «Sauvons la RDC» ira voir l’abbé Malu-Malu pour lui dire de quitter la présidence de la Ceni conformément à la volonté du peuple exprimée dans les signatures qui seront recueillies.
La plate-forme «Sauvons le Congo» accuse l’abbé Malu-Malu d’être inféodé au pouvoir actuel. Le prélat catholique avait dirigé l’ancienne commission électorale indépendante (Cei) lors de l’élection présidentielle de 2006 remportée au second tour par Joseph Kabila.
Alors qu’ils recueillaient des signatures le 24 février dernier au rond-point Ngaba, à Kinshasa, le député Martin Fayulu et ses collaborateurs ont été interpellés par la police, avant d’être relâchés quelques heures plus tard.
La police avait parlé de simple contact alors que les collègues du député avaient dénoncé une privation de la liberté de ces gens.
La Coalition politique «Sauvons la RDC» affirme avoir déjà récolté 12 000 signatures dans le cadre de sa campagne pour réclamer la démission de l’abbé Apollinaire Malu-Malu, président de la Commission électorale nationale indépendante (Ceni). Au cours d’un point de presse lundi 3 mars à Kinshasa, le coordonnateur de cette plate-forme, le député Martin Fayulu, a dénoncé l’interpellation dont ses collaborateurs et lui avaient fait l’objet de la part de la police il ya trois semaines. Quelques 300 signatures avaient été confisquées par les forces de l’ordre à cette occasion, a-t-il affirmé. Le député Fayulu promet que l’opération va s’étendre dans d’autres provinces du pays.
«Nous continuions la campagne. Elle a été lancée au Nord-Kivu le vendredi 29 février, et elle sera lancée simultanément au Katanga, au Sud-Kivu et au Bas-Congo demain. À l’extérieur du pays, la signature de la pétition a déjà commencé en Afrique du Sud, en Europe et aux Etats-Unis», a-t-il révélé.
Martin Fayulu invite «tous les patriotes» à s’impliquer dans ce combat car seuls «des Congolais et des Congolaises qui osent changerons ce système avilissant».
«Ensemble, menons le combat de la Ceni pour que les générations futures soient fier de nous», a-t-il appelé.
«A un moment donné», affirme l’opposant politique, la plateforme «Sauvons la RDC» ira voir l’abbé Malu-Malu pour lui dire de quitter la présidence de la Ceni conformément à la volonté du peuple exprimée dans les signatures qui seront recueillies.
La plate-forme «Sauvons le Congo» accuse l’abbé Malu-Malu d’être inféodé au pouvoir actuel. Le prélat catholique avait dirigé l’ancienne commission électorale indépendante (Cei) lors de l’élection présidentielle de 2006 remportée au second tour par Joseph Kabila.
Alors qu’ils recueillaient des signatures le 24 février dernier au rond-point Ngaba, à Kinshasa, le député Martin Fayulu et ses collaborateurs ont été interpellés par la police, avant d’être relâchés quelques heures plus tard.
La police avait parlé de simple contact alors que les collègues du député avaient dénoncé une privation de la liberté de ces gens.
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[b]“Le deuil, c’est pour la vie. Ca ne s’en va jamais, ça fait progressivement partie de vous, à chaque pas, à chaque souffle.”
Mathilde
Re: ABBÉ MALU MALU toujours pareil, son scenario commence déjà, la majorité présidentielle allongée aux concertations en colère , LISANGA BONGANGA claque la porte car dupé. SUIVONS CA ÉPISODE PAR ÉPISODE
"« Sauvons la RDC » : Pétition contre « l’Abbé Malumalu», Président de la CENI - Ce que cachent les assurances du ministre des Médias et de «l‘Abbé Malumalu»
° http://www.congoindependant.com/article.php?articleid=8737
La carte du Congo-Kinshasa aux couleurs de l’emblème national
La dernière sortie médiatique du ministre des Médias, particulièrement son coup de gueule contre la pétition « Sauvons le Congo » (voir annexes 1et 2) exigeant la démission immédiate de « l’Abbé Malumalu », est plein d’enseignements sur le type de pouvoir qui s’exerce dans notre pays.
Pour tous ceux qui, au pays comme à l’étranger, s’acharnent à nous faire croire que la RDC est une démocratie naissante au sortir des élections de façade de 2006 et 2011, la dernière « tragi-comédie-satirique » que propose la récente conférence de presse du ministre des Médias est intéressante à plusieurs niveaux.
Pour comprendre mon propos, il faut aller au-delà du rire et du désintéressement que provoquent souvent ces conférences de presses où désinformation rime avec manipulation dans des scénarii de pauvre qualité qui ne peuvent avoir comme meilleur acteur que le porte-parole du gouvernement.
Contrairement à ce que l’on peut penser, ces shows mal articulés ont des effets souvent inattendus même pour l’acteur. En effet, pour ne prendre que la dernière prestation, il est intéressant de revisiter ses propos concernant la pétition « Sauvons le Congo » contre le Président de la CENI.
Au-delà du cynisme, du sarcasme et surtout du caractère menaçant, à peine voilé, de sa petite phrase adressée aux auteurs de la pétition, il est utile de la décortiquer afin de montrer au grand public ce que cache cette fébrile fermeté du ministre des Médias : « Vous pouvez rassembler un milliard de signatures, votre pétition ne sera suivi d’aucun effet. « l’Abbé Malumalu » ne démissionnera pas ! »
C’est en ces termes que le ministre des Médias d’un régime qui se proclame «démocratique» communique avec ses concitoyens ou avec les auteurs de la pétition, acte constitutionnel de participation citoyenne que lui n’est pas censé ignorer ! Fait plus grave, en s’adressant ainsi aux auteurs de la pétition, le ministre a oublié qu’il s’adressait aussi à une frange importante de notre population. Il s’en rendra sans doute compte lorsque la pétition aura récolté des millions de signatures !
1. Une phrase, expression du mépris des dirigeants pour le peuple congolais
Les propos du ministre des Médias éclairent sur la nature du pouvoir qui gouverne en RDC. Menaces, et mépris du peuple sont des stratégies d’obstruction des libertés citoyennes qui se manifestent étrangement au travers de ces quelques mots du ministre. Pour tous ceux qui ne veulent pas comprendre, le pouvoir se charge d’allier paroles aux menaces et autres arrestations arbitraires poliment qualifiées « d’invitation de la police » ! Les initiateurs de la pétition ainsi que des responsables de partis politiques de l’opposition en savent quelque chose à chaque fois qu’ils désirent entrer en contact avec la population.
Cette phrase est aussi l’expression manifeste d’un régime qui dirige par défi ! Quelle que soit la position de la population sur un sujet d’intérêt public, les dirigeants répondront par un « non » révélateur tant que leurs intérêts égoïstes seront en danger. C’est, sans doute, ce qui explique ce sarcasme concernant le résultat de cette pétition : « bolinga bolinga te tokochanger Malumalu te ! ». « Que vous le vouliez ou pas, Malumalu ne démissionnera pas ! ».
2. Une phrase, expression de la peur des dirigeants congolais
Contrairement à ce que plus d’une personne peuvent penser, l’arrogance du ministre des Médias voile à peine sa peur de voir cette pétition récolter des millions de signatures. Pour comprendre cette peur, il faut analyser la suite que pourraient prendre les évènements, une fois que le peuple se sera massivement exprimé à travers cette pétition aux allures de consultations populaires qui pourraient aboutir à un désaveu cinglant du régime.
• La peur des hommes et femmes politiques
Des millions de signatures récoltées contre le Président de la CENI ; des millions de signatures, toutes expressions du refus de la fraude dans la désignation des responsables d’une institution aussi importante que la CENI, auront un effet imprévisible sur la réaction des représentants du peuple au Parlement.
Le ministre des Médias le sait. « L’Abbé Malumalu » en politologue averti le sait. Ils ne pourront pas empêcher le dépôt de cette pétition au Parlement. Les députés et autres Sénateurs, toutes tendances confondues creuseront leurs tombes si, à répétition, ils continuent à braver leurs électeurs. Bien plus, les enjeux des échéances électorales prochaines peuvent pousser certains responsables des partis de la majorité à trouver Malumalu gênant et encombrant. En effet, beaucoup seront tentés par le refus de tout acte de corruption suicidaire qui hypothéquerait leur avenir politique. A l’aube des élections locales, provinciales et sénatoriales, très peu de politiciens se feront hara-kiri pour sauver « l’Abbé ».
• La peur de la hiérarchie de l’Eglise catholique
C’est un secret de polichinelle. Notre Eglise hiérarchique est régulièrement divisée lorsqu’il s’agit de prendre position pour peuple souffrant du Congo. Souvenons-nous de la parole métaphorique ambigüe de cette hiérarchie après la marche du 16 février 1992 : « plus jamais de 16 février ! ». Souvenons-nous de l’abandon de ce peuple alors qu’ensemble, on avait déclenché le combat non violent pour la vérité des urnes ! Souvenons-nous du débat indécent et des prises de position d’une partie de cette hiérarchie après la frauduleuse désignation de « l’Abbé Malumalu » à la tête de la CENI !
Une pétition massivement signée contre « un Abbé » et déposée à la Conférence Episcopale du Congo, à la Nonciature Apostolique du Congo, auprès de l’évêque de « l’Abbé» et à Rome, va certainement faire bouger les choses dans le sens de l’exigence de la démission de notre « Abbé ». Pour l’Eglise catholique, il sera question de redorer l’image d’une hiérarchie de l’Eglise de Saint Pierre en terre congolaise, une institution qui, chaque jour, place étrangement le pouvoir, l’avoir et le valoir au cœur d’un évangile mercantiliste qui crucifie le Christ.
Un homme politique averti comme le Ministre de la communication et un « Abbé » au courant des coulisses romaines savent pertinemment bien qu’une pétition réussie peut avoir un impact inattendu sur la position de la hiérarchie de l’Eglise catholique. Quant à l’évêque de « l’abbé Malumalu », des pressions venues de la Nonciature, à Kinshasa, et de la curie romaine, à la suite de cette pétition, le feraient certainement réfléchir lorsqu’il sera question de choisir entre la perte de son pouvoir d’évêque par suspension ou retraite anticipée et la protection de son « Abbé » qui a perdu la vertu sacerdotale de l’obéissance !
• La peur de l’homme Malumalu
A ce stade, je ne parle pas de « l’Abbé Malumalu », lui a choisi son camp. La pétition massivement signée parlera à « l’homme Malumalu », du moins ce qu’il en reste encore. Je n’en doute point, le politologue Malumalu le réalise chaque jour qu’il apprend le nombre grandissant de signatures. C’est sans doute ce qui explique son agitation actuelle. On l’a entendu affirmer que son institution était indépendante et que la pétition n’aurait aucun effet sur lui ! Qu’il laisse faire et on verra bien ce que la pétition produira comme effet. C’est juste une première tentative pour notre peuple.
Visiblement, « l’homme Malumalu » est ébranlé de savoir ce qu’il sait déjà mais que des millions de signatures confirmeront dans un avenir proche: « des millions de Congolaises et Congolais ne veulent pas de lui à la tête de la CENI ». L’homme saura que tous, fils et filles du pays et partenaires étrangers, savons désormais qu’il est désavoué par les siens. Malumalu sait déjà qu’il ne bénéficie plus du crédit confiance de 2006. Même parmi les partenaires étrangers, l’idée de composer avec « un homme d’église » qui refuse d’obéir à la volonté populaire va faire étrange auprès de leurs opinions si celles-ci venaient à être correctement informées.
Tout refus d’obtempérer à pareille pétition condamnera « l’homme Malumalu » à une vie cachée, fuyant constamment les regards des autres. Il perdra progressivement le peu d’estime que quelques personnes lui témoignent encore. La pétition le placera entre le marteau et l’enclume. Malumalu sera obligé de choisir entre « l’homme », créé à l’image de Dieu et fruit de la noble éducation de ses parents et « l’Abbé » fonctionnaire du pouvoir, de l’avoir et du valoir!
• La peur de certains partenaires étrangers
Aussi étrange que cela puisse paraître, il existe bel et bien une catégorie de partenaires étrangers qui ont peur de la pétition contre Malumalu. Il s’agit entre autre de ces partenaires (individus et gouvernements) qui ont fait de l’organisation des élections en RDCongo, un business comme l’humanitaire. Ces partenaires ne se cachent pas. Ils demandent s’ils n’ordonnent pas aux uns et aux autres de soutenir Malumalu afin qu’eux atteignent leurs objectifs. La fraude électorale a besoin d’une grande machine dans un pays aussi vaste comme le Congo. C’est un secret pour personne. Les élections offrent des emplois à de nombreux expatriés jeunes sans emplois comme vieux, devenus des spécialistes des questions électorales, le temps de la retraite dans leurs pays d’origine. Les élections truquées et non crédibles dans les pays « post-conflits » sont des marchés avec des affaires juteuses financièrement. Personne n’est dupe !
Pour bon nombre de ces partenaires, la pétition contre « l’Abbé Malumalu » marquerait la fin d’un rêve. Il suffit de voir l’enthousiasme de tous ceux qui avaient été mis à l’écart par le Pasteur Ngoy Mulunda, de triste mémoire et qui ont repris du service à travers multiples missions internationales d’appui aux élections. Pour eux donc, une pétition massivement signée représenterait un danger, car elle les mettrait dans une situation embarrassante vis-à-vis de l’opinion publique dans leur pays. Et puis, que signifierait pareil désaveux pour certains parmi ces partenaires internationaux qui ont gardé un peu d’éthique dans ce Congo booster par les intérêts égoïstes des uns et des autres. Comment justifier la collaboration avec un « Abbé » désavoué par son peuple auprès d’une opinion internationale de plus en plus exigeante quant à la politique extérieure des gouvernants ?
3. Une phrase, expression de la peur d’une grande mobilisation autour de la pétition
Derrière l’assurance de la prestation du Ministre de la communication, sa petite phrase exprime sa peur de voir une grande mobilisation autour de la pétition contre « l’Abbé Malumalu ». Ce qu’il ne sait pas, c’est que sa sortie médiatique a été une grosse publicité gratuite offerte à cette pétition. Beaucoup de nos concitoyens qui l’ignoraient, cherchent à connaître cette pétition et les endroits où elle se signe. Le Ministre a, malgré lui, déclenché la ruée vers les points de signatures. Ce coup de pouce imprévu va certainement déclencher une meilleure redistribution de l’information et une cartographie des lieux de signatures dont les points focaux seraient :
• Nos paroisses
Les croyants, toutes confessions religieuses confondues peuvent, en toute liberté organiser la collecte des signatures. Au cas où les hiérarchies de nos différentes confessions religieuses refuseraient, les laïcs peuvent et doivent s’engager, au nom de leur foi, en transformant leurs CVB et autres cellules en points de collecte de signatures. Ils peuvent aussi réaliser ce travail en s’appuyant sur les structures d’Eglise que nous animons. Je fais allusion, ici, aux différentes commissions. Il est temps de faire comprendre aux hiérarchies de nos Eglises que ces structures n’ont pas étés créées dans le seul but de servir de pool de collecte d’argent pour célébrer les 5, 10, 15, 20, 25, 50 ans de vie sacerdotale des Abbés, prêtres et autres Princes de l’Eglise !
Les laïcs doivent comprendre qu’il leur revient de s’engager politiquement s’ils veulent voir les choses changer pour le bien de tous et même de cette hiérarchie qui, aujourd’hui, a tendance à devenir complice des animateurs de cet odieux système qui exploite l’homme et la femme de ce pays.
• Notre maison, notre parcelle, notre rue, notre quartier, notre rond point, notre marché, notre terrasse, etc.
Que chacun de nous, dans ces milieux, structures citoyennes par excellence, prenne une copie de cette pétition et la fasse signée. Nous pouvons la faire signer par famille, avec tous nos enfants, nos amis rapprochés et les membres de notre clan à Kinshasa comme en provinces. Pour nos enfants, cette pétition sera leur premier acte citoyen responsable dans le combat qui les attend pour l’instauration de la démocratie dans notre pays. La pétition leur fera comprendre que leur avenir sera tributaire de leur engagement individuel et collectif en faveur des valeurs républicaines.
• Les sièges de nos partis, syndicats et autres associations
Les sièges de ces institutions sont des lieux appropriés pour pareille mobilisation. La signature de cette pétition offre une opportunité de rappel des troupes. C’est l’occasion de se compter au sein du parti, des syndicats et autres associations. Pour les partis politiques, la collecte des signatures au siège est un recensement intéressant des membres du parti à l’aube des élections locales !
• Les Congolaises et Congolais de l’étranger
Pour les Congolaises et Congolais de l’étranger, la présente pétition résonne comme un chant de ralliement. La pétition est dans la ligne de cette mobilisation pour un Congo meilleur. Si elle aboutit, elle permettra aux fils et filles de la RDC d’entonner l’hymne de l’espoir que résume ci bien la chanson fétiche de Lokwa Nkanza : « Nakei kasi loobi nakozonga ».
La contribution des Congolaises et Congolais de l’étranger sera triple :
Primo, la diaspora congolaise facilitera la collecte des signatures à travers l’Europe, l’Amérique du Nord, le Canada et l’Afrique. Cette activité via les réseaux sociaux va souder le combat qui se poursuit pour plus de transparence dans la gestion de notre pays. Si tous vos différents réseaux se mobilisent autour de cette pétition, le monde entier comprendra le sens de votre combat. La pétition deviendra alors cette puissante action qui permettra de contredire l’action des dirigeants actuels qui s’acharnent à présenter la diaspora congolaise comme un ensemble de casseurs et de fauteurs de troubles.
Secundo, les Congolaises et Congolais de l’étranger seront, dans la non-violence, le relais, à l’étranger, de la voix de notre peuple, une fois que l’on aura rassemblé suffisamment de signatures. Ils pourront utiliser cette pétition comme un puissant outil de lobbying dans les milieux officiels et privés des pays où ils résident. Ils pourront ainsi, si cela est toujours nécessaire, montrer, preuve à l’appui, que notre peuple n’est pas silencieux. Que ce peuple s’exprime et qu’il est temps que tous ceux qui soutiennent l’actuelle démocratie de façade lui tournent le dos pour donner espoir au peuple souffrant du Congo.
Tertio, la diaspora congolaise aidera à répertorier et à mobiliser les partenaires étrangers, alliés du peuple souffrant du Congo. Ils existent et se recrutent parmi tous ceux qui, aujourd’hui de plus en plus nombreux, refusent de jouer le rôle de spectateurs devant le drame que vit ce peuple à qui sa terre réserve une vie radieuse. Dans le cadre de cette action et des actions futures, il faut cesser de mettre tous les partenaires étrangers dans le même sac. Il revient aux Congolaises et Congolais de l’étranger d’aider, dans ce sens, tous ceux et toutes celles d’entre nous que des années de souffrances ont rendu aveugles au point de ne plus voir ceux qui, manifestement, désirent nous accompagner dans notre action.
Pour conclure : la grande mobilisation autour de la pétition est possible
La grande mobilisation est donc possible si nous considérons cette pétition comme une affaire de tous et non des seuls signataires et si ces derniers comprennent que l’enjeu de cette pétition dépasse les dividendes politiques égoïstes que les uns et les autres espèrent en tirer. La présente pétition n’est rien d’autre qu’une consultation populaire qui va certainement aboutir au désaveu de « l’Abbé Malumalu » et, à travers lui, du régime. C’est l’enjeu démocratique de cette pétition qui explique l’agitation de « l’Abbé » et des animateurs du régime qu’il sert.
Nous devons multiplier cette pétition. Ensemble, nous pouvons rassembler ces signatures qui changeront notre avenir. Il ne faut pas baisser les bras en nous laissant décourager par des dirigeants qui ont peur et qui nous font croire que notre action n’aboutira pas. Il ne faut cesser d’avoir peur, car la peur est en train de changer de camp. Personne ne nous tirera dessus parce que nous avons signé une pétition. Et puis cet acte est constitutionnel. Bien plus, qu’on se le dise, le monde actuel est très sensible aux actions des peuples qui luttent pour leur libération. Et contrairement aux impressions d’autorité que dégagent nos dirigeants, elles ont de plus en plus peur de se faire indexer comme
«bourreaux» de leur propre peuple. Epée de Damoclès CPI oblige !
Thierry Nlandu Mayamba, professeur Unikin (facultés lettres), e-mail : thierrynlandu@yahoo.fr"
Compatriotiquement!
ndonzwau
Re: ABBÉ MALU MALU toujours pareil, son scenario commence déjà, la majorité présidentielle allongée aux concertations en colère , LISANGA BONGANGA claque la porte car dupé. SUIVONS CA ÉPISODE PAR ÉPISODE
SOUS LE MANGUIER AVEC MARTIN FAYULU PETITION MALU MALU DEGAGE DEJA 30 000 SIGNATURE
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Mathilde
Re: ABBÉ MALU MALU toujours pareil, son scenario commence déjà, la majorité présidentielle allongée aux concertations en colère , LISANGA BONGANGA claque la porte car dupé. SUIVONS CA ÉPISODE PAR ÉPISODE
Mosala ya Maloba : Martin Fayulu parle de la pétition "Malu Malu dégage". CONGOMIKILI.COM
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Re: ABBÉ MALU MALU toujours pareil, son scenario commence déjà, la majorité présidentielle allongée aux concertations en colère , LISANGA BONGANGA claque la porte car dupé. SUIVONS CA ÉPISODE PAR ÉPISODE
La suite au Vatican
Même quand Mende se moque ouvertement de cette petition en disant que 1 milliards des congolais peuvent signer la petition, Malu Malu ne va pas demissioner
L´autre stratégie de Fayulu serait d´atteindre le Vatican où les congolais disposent d´un allié important qu´est Monsengwo
Presenter la petition devant la Curia en demendant que le Vatican s´implique pour exiger la demission d´un "prêtre catholique" de la CENI selon la volonté d´une majorité..est un objectif possible..même si le prêtre Malu Malu est le conseiller de Kanambe
Session de mois de Mars, un test
Hautement politik, la session du Parlement de ce mois de Mars..va trancher..definitivement sur la tentative de la violation de la Constitution proposée par Malu Malu En effet, les parlementaires devront se prononcer sur la fameuse proposition de Malu Malu qui compte imposer un calendrier électoral visant á allonger le mandat de Kanambe Si la question de l´élection "indirecte" des parlementaires des provinces est "anti-constitutionnelle", commencer par des élections locales qui peuvent plonger le Congo dans une nouvelle crise des légitimités des élus..pouvant faire retarder l´élection présidentielle, Malu Malu était le "stratège" de Kanambe a le vent en poupe Son plan va soit se realiser soit subir un echec qui va entrainer sa propre fin á la tête de la CENI
Nous sommes le 15 mars..et WAIT AND SEE .SOON
Même quand Mende se moque ouvertement de cette petition en disant que 1 milliards des congolais peuvent signer la petition, Malu Malu ne va pas demissioner
L´autre stratégie de Fayulu serait d´atteindre le Vatican où les congolais disposent d´un allié important qu´est Monsengwo
Presenter la petition devant la Curia en demendant que le Vatican s´implique pour exiger la demission d´un "prêtre catholique" de la CENI selon la volonté d´une majorité..est un objectif possible..même si le prêtre Malu Malu est le conseiller de Kanambe
Session de mois de Mars, un test
Hautement politik, la session du Parlement de ce mois de Mars..va trancher..definitivement sur la tentative de la violation de la Constitution proposée par Malu Malu En effet, les parlementaires devront se prononcer sur la fameuse proposition de Malu Malu qui compte imposer un calendrier électoral visant á allonger le mandat de Kanambe Si la question de l´élection "indirecte" des parlementaires des provinces est "anti-constitutionnelle", commencer par des élections locales qui peuvent plonger le Congo dans une nouvelle crise des légitimités des élus..pouvant faire retarder l´élection présidentielle, Malu Malu était le "stratège" de Kanambe a le vent en poupe Son plan va soit se realiser soit subir un echec qui va entrainer sa propre fin á la tête de la CENI
Nous sommes le 15 mars..et WAIT AND SEE .SOON
GHOST
Re: ABBÉ MALU MALU toujours pareil, son scenario commence déjà, la majorité présidentielle allongée aux concertations en colère , LISANGA BONGANGA claque la porte car dupé. SUIVONS CA ÉPISODE PAR ÉPISODE
RDC: Léon Kengo appelle à la mise en place d’une «nouvelle administration électorale»
L’Assemblée nationale et le Sénat ont ouvert samedi 15 mars leur session ordinaire de mars au palais du peuple de Kinshasa. A cette occasion, le président du Sénat, Léon Kengo, et de l’Assemblée nationale, Aubin Minaku, ont plaidé pour le renforcement de la cohésion nationale par la mise en oeuvre des recommandations des concertations nationales. Le premier a plaidé pour la mise en place d’une « nouvelle administration électorale » concertée pour avoir des élections apaisées en RDC.
Dans son mot de circonstance, le président du Sénat a rappelé notamment l’engagement pris par les participants aux concertations nationales d’organiser le recensement général de la population et de l’habitat ainsi que l’identification de la population avant toute élection. A ce sujet, Léon Kengo a appelé à la création d’une administration électorale concertée:
«La mise en place d’une véritable administration électorale, apte à conduire le pays à un nouveau système électoral plus transparent et plus crédible, apparaît comme une exigence majeure dans la construction de la cohésion nationale. A l’issue de cette mise en place concertée de la nouvelle administration électorale, la Ceni peut enfin envisager la fixation d’un calendrier électoral tout autant accepté, pour permettre que les élections à tous les niveaux se déroulent dans un climat apaisé.»
Léon Kengo wa Dondo a souligné la nécessité de poursuivre l’élan de la cohésion nationale suscitée par la tenue de concertations nationales. Selon lui, le pays doit poursuivre les réformes institutionnelles dans tous les domaines de la vie nationale, qui sont préconisées par les quelque huit cents recommandations de ces assises tenues en septembre dernier à Kinshasa.
Sur le plan politique, le président du Sénat a rappelé l’engagement renouvelé de la classe politique de respecter le pacte républicain par le refus de procéder à la révision de la Constitution, particulièrement à celle de ses dispositions déclarées intangibles. Il s’agit ici de l’article 220, portant sur la limitation du mandat présidentiel, ainsi que de tous ceux qui y sont liés.
Kengo a également évoqué le gouvernement de cohésion nationale promis depuis octobre dernier par le président de la République. Cette équipe devrait être constituée des représentants de la majorité, de l’opposition et de la société civile.
Pour sa part, le président de la chambre basse a souligné la nécessité d’élaborer un agenda législatif nécessaire à la consolidation de la démocratie, à la poursuite du processus de décentralisation et des reformes judiciaires ainsi qu’a la mise en œuvre des recommandations des concertations nationales.
http://radiookapi.net/actualite/2014/03/15/rdc-leon-kengo-appelle-la-mise-en-place-dune-nouvelle-administration-electorale/
L’Assemblée nationale et le Sénat ont ouvert samedi 15 mars leur session ordinaire de mars au palais du peuple de Kinshasa. A cette occasion, le président du Sénat, Léon Kengo, et de l’Assemblée nationale, Aubin Minaku, ont plaidé pour le renforcement de la cohésion nationale par la mise en oeuvre des recommandations des concertations nationales. Le premier a plaidé pour la mise en place d’une « nouvelle administration électorale » concertée pour avoir des élections apaisées en RDC.
Dans son mot de circonstance, le président du Sénat a rappelé notamment l’engagement pris par les participants aux concertations nationales d’organiser le recensement général de la population et de l’habitat ainsi que l’identification de la population avant toute élection. A ce sujet, Léon Kengo a appelé à la création d’une administration électorale concertée:
«La mise en place d’une véritable administration électorale, apte à conduire le pays à un nouveau système électoral plus transparent et plus crédible, apparaît comme une exigence majeure dans la construction de la cohésion nationale. A l’issue de cette mise en place concertée de la nouvelle administration électorale, la Ceni peut enfin envisager la fixation d’un calendrier électoral tout autant accepté, pour permettre que les élections à tous les niveaux se déroulent dans un climat apaisé.»
Léon Kengo wa Dondo a souligné la nécessité de poursuivre l’élan de la cohésion nationale suscitée par la tenue de concertations nationales. Selon lui, le pays doit poursuivre les réformes institutionnelles dans tous les domaines de la vie nationale, qui sont préconisées par les quelque huit cents recommandations de ces assises tenues en septembre dernier à Kinshasa.
Sur le plan politique, le président du Sénat a rappelé l’engagement renouvelé de la classe politique de respecter le pacte républicain par le refus de procéder à la révision de la Constitution, particulièrement à celle de ses dispositions déclarées intangibles. Il s’agit ici de l’article 220, portant sur la limitation du mandat présidentiel, ainsi que de tous ceux qui y sont liés.
Kengo a également évoqué le gouvernement de cohésion nationale promis depuis octobre dernier par le président de la République. Cette équipe devrait être constituée des représentants de la majorité, de l’opposition et de la société civile.
Pour sa part, le président de la chambre basse a souligné la nécessité d’élaborer un agenda législatif nécessaire à la consolidation de la démocratie, à la poursuite du processus de décentralisation et des reformes judiciaires ainsi qu’a la mise en œuvre des recommandations des concertations nationales.
http://radiookapi.net/actualite/2014/03/15/rdc-leon-kengo-appelle-la-mise-en-place-dune-nouvelle-administration-electorale/
_________________
[b]“Le deuil, c’est pour la vie. Ca ne s’en va jamais, ça fait progressivement partie de vous, à chaque pas, à chaque souffle.”
Mathilde
Re: ABBÉ MALU MALU toujours pareil, son scenario commence déjà, la majorité présidentielle allongée aux concertations en colère , LISANGA BONGANGA claque la porte car dupé. SUIVONS CA ÉPISODE PAR ÉPISODE
[quote="Mathilde"]RDC: Léon Kengo appelle à la mise en place d’une «nouvelle administration électorale»
[b]
Dans son mot de circonstance, le président du Sénat a rappelé notamment l’engagement pris par les participants aux concertations nationales d’organiser le recensement général de la population et de l’habitat ainsi que l’identification de la population avant toute élection. A ce sujet, Léon Kengo a appelé à la création d’une administration électorale concertée:
«La mise en place d’une véritable administration électorale, apte à conduire le pays à un nouveau système électoral plus transparent et plus crédible, apparaît comme une exigence majeure dans la construction de la cohésion nationale. A l’issue de cette mise en place concertée de la nouvelle administration électorale, la Ceni peut enfin envisager la fixation d’un calendrier électoral tout autant accepté, pour permettre que les élections à tous les niveaux se déroulent dans un climat apaisé.»
KENGO SUPER STAR ?
Kengo dit tout simplement entre les lignes que Malu Malu doit degager Quelle est cette nouvelle [b]"admnistration électorale crédible" dont parle si bien Kengo sinon une admnistration epurée de Malu Malu..l´homme qui fache et tente de tordre la Constitution
En tout cas, ceux du PPRD/AMP vont devoir apporter une réponse á Kengo très prochainement, car l´avenir de Malu Malu depend plus de leur determination le proteger et defendre face á tous ceux qui souhaitent des élections sans le prêtre conseiller de Kanambe
[b]
Dans son mot de circonstance, le président du Sénat a rappelé notamment l’engagement pris par les participants aux concertations nationales d’organiser le recensement général de la population et de l’habitat ainsi que l’identification de la population avant toute élection. A ce sujet, Léon Kengo a appelé à la création d’une administration électorale concertée:
«La mise en place d’une véritable administration électorale, apte à conduire le pays à un nouveau système électoral plus transparent et plus crédible, apparaît comme une exigence majeure dans la construction de la cohésion nationale. A l’issue de cette mise en place concertée de la nouvelle administration électorale, la Ceni peut enfin envisager la fixation d’un calendrier électoral tout autant accepté, pour permettre que les élections à tous les niveaux se déroulent dans un climat apaisé.»
KENGO SUPER STAR ?
Kengo dit tout simplement entre les lignes que Malu Malu doit degager Quelle est cette nouvelle [b]"admnistration électorale crédible" dont parle si bien Kengo sinon une admnistration epurée de Malu Malu..l´homme qui fache et tente de tordre la Constitution
En tout cas, ceux du PPRD/AMP vont devoir apporter une réponse á Kengo très prochainement, car l´avenir de Malu Malu depend plus de leur determination le proteger et defendre face á tous ceux qui souhaitent des élections sans le prêtre conseiller de Kanambe
GHOST
Re: ABBÉ MALU MALU toujours pareil, son scenario commence déjà, la majorité présidentielle allongée aux concertations en colère , LISANGA BONGANGA claque la porte car dupé. SUIVONS CA ÉPISODE PAR ÉPISODE
Cycle électoral 2014-2016 : les préalables de Kengo
Après les évêques
La Commission électorale nationale indépendante (CENI) a encore du chemin à parcourir et devrait multiplier des réflexions pour arriver finalement à imposer son schéma. Après les évêques (Conférence épiscopale nationale du Congo) qui se sont montrés très critiques sur la feuille de route de la CENI, le président du Sénat, Léon Kengo wa Dondo, vient, à son tour, de soulever des préalables pour permettre, selon lui, que « les élections à tous les niveaux se déroulent dans un climat apaisé ».
Le Parlement a ouvert le samedi 15 mars 2014 sa session ordinaire de mars. Comme à l’accoutumée, pareille situation donne l’occasion aux deux Chambres du Parlement de se prononcer sur de grandes questions d’intérêt national. Au Sénat, le président Léon Kengo wa Dondo n’a pas raté l’occasion pour exprimer son point de vue sur un certain nombre de sujets. Aucun secteur n’a donc été laissé de côté. De la politique à l’économie en passant par le social, le président du Sénat n’est pas allé par le dos de la cuillère.
C’est en se penchant sur la feuille de route proposée par la CENI pour le cycle électoral 2014-2016 que Léon Kengo s’est montré davantage critique.
Attaché au schéma convenu de commun accord au terme des concertations nationales, le président du Sénat a tiré la sonnette d’alarme, appelant l’ensemble des forces vives de la nation à demeurer dans la logique tracée au cours de ce grand forum national. Selon lui, le forum national a tracé la voie à suivre. S’en écarter serait, note Kengo, compliquer davantage la marche vers la cohésion nationale.
« Les concertations nationales ont débouché sur près de 800 recommandations qui engagent le pays à poursuivre des réformes institutionnelles dans tous les domaines de la vie nationale », a le président du Sénat. Auparavant, il avait fait observer que « la cohésion nationale implique, pour les fils et filles de ce pays, de rechercher à tout prix, dans le respect de la Constitution et des lois de la République, le consensus sur toutes les questions qui se posent, afin de maintenir la paix et la concorde ainsi que l’élan de la croissance économique ».
Léon Kengo estime que la relance du processus électoral implique des préalables sans lesquels la CENI ne saurait jamais garantir un climat électoral apaisé. Se référant toujours à la dynamique dégagée à l’issue des concertations nationales, il a rappelé « l’engagement renouvelé de la classe politique de respecter le pacte républicain par le refus de procéder à la révision de la Constitution, particulièrement à celle de ses dispositions intangibles », spécialement l’article 220 qui limite le mandat présidentiel.
Dans son discours, le président du Sénat s’est totalement écarté du schéma de la CENI. Il a, à cet effet, relevé la nécessité de se plier aux exigences posées au terme de concertations nationales. Il s’agit, notamment, du recensement de la population et de l’habitat ainsi que de l’identification de la population qu’il considère comme étapes primordiales « avant toute élection ». Ces préalables devaient, de l’avis de Kengo, permettre autant à la CENI qu’à tous les partenaires au processus de « disposer des statistiques démographiques et d’un fichier électoral fiables, ainsi que d’une carte d’identité infalsifiable pour tous les citoyens ».
Crédibiliser le processus
Mesurant la pertinence de ces préalables, Léon Kengo pense qu’« il est temps de crédibiliser notre système représentatif par une répartition aussi juste que possible des circonscriptions électorales et par une détermination plus ou moins sûre du corps électoral ».
Sans le dire ouvertement, Léon Kengo n’accorde pas de crédit à l’actuelle administration de la CENI. Est-ce donc une marque de désaveu à l’actuel bureau de la CENI que dirige M. l’Abbé Malumalu ? Les jours à venir nous fixeront. Cependant, il a posé le problème de « la mise en place d’une véritable administration électorale, apte à conduire le pays à un nouveau système électoral plus transparent et plus crédible ».
Il considère ce préalable comme « une exigence majeure dans la construction de la cohésion nationale ». Ce n’est qu’à l’issue de cette mise en place que Kengo souhaite par ailleurs « concertée », que « la CENI peut enfin envisager la fixation d’un calendrier électoral tout aussi apaisé ».
S’alignant au vœu exprimé par les délégués aux Concertations nationales, il est d’avis que « le calendrier électoral devrait programmer en priorité les élections locales, municipales et urbaines avant celles provinciales, sénatoriales, législatives et présidentielle ». Le but étant, note-t-il, de « consolider les équilibres politiques nécessaires au développement de notre jeune démocratie, dans un climat de cohésion nationale ».
C’est dire que pour le président du Sénat aucun consensus politique ne peut encore se substituer à celui qui a prévalu au terme des concertations nationales. Des grandes directives ayant été données en marge de ce grand forum national, il est indispensable, pense Kengo wa Dondo, de s’y attacher pour décrisper davantage le climat sur la scène politique nationale.
Aussi est-il revenu sur la promesse du chef de l’Etat, celle de la mise en place d’un gouvernement de cohésion nationale devant comprendre les membres de la Majorité, ceux de l’Opposition et de la Société civile. Un message qu’il a subtilement destiné au président de la République, qui avait fait solennellement la promesse devant les délégués aux concertations nationales ainsi que le Parlement réuni en Congrès.
http://lepotentielonline.com/index.php?option=com_content&view=article&id=6382%3Acycle-electoral-2014-2016-les-prealables-de-kengo&catid=85%3Aa-la-une&Itemid=472
Après les évêques
La Commission électorale nationale indépendante (CENI) a encore du chemin à parcourir et devrait multiplier des réflexions pour arriver finalement à imposer son schéma. Après les évêques (Conférence épiscopale nationale du Congo) qui se sont montrés très critiques sur la feuille de route de la CENI, le président du Sénat, Léon Kengo wa Dondo, vient, à son tour, de soulever des préalables pour permettre, selon lui, que « les élections à tous les niveaux se déroulent dans un climat apaisé ».
Le Parlement a ouvert le samedi 15 mars 2014 sa session ordinaire de mars. Comme à l’accoutumée, pareille situation donne l’occasion aux deux Chambres du Parlement de se prononcer sur de grandes questions d’intérêt national. Au Sénat, le président Léon Kengo wa Dondo n’a pas raté l’occasion pour exprimer son point de vue sur un certain nombre de sujets. Aucun secteur n’a donc été laissé de côté. De la politique à l’économie en passant par le social, le président du Sénat n’est pas allé par le dos de la cuillère.
C’est en se penchant sur la feuille de route proposée par la CENI pour le cycle électoral 2014-2016 que Léon Kengo s’est montré davantage critique.
Attaché au schéma convenu de commun accord au terme des concertations nationales, le président du Sénat a tiré la sonnette d’alarme, appelant l’ensemble des forces vives de la nation à demeurer dans la logique tracée au cours de ce grand forum national. Selon lui, le forum national a tracé la voie à suivre. S’en écarter serait, note Kengo, compliquer davantage la marche vers la cohésion nationale.
« Les concertations nationales ont débouché sur près de 800 recommandations qui engagent le pays à poursuivre des réformes institutionnelles dans tous les domaines de la vie nationale », a le président du Sénat. Auparavant, il avait fait observer que « la cohésion nationale implique, pour les fils et filles de ce pays, de rechercher à tout prix, dans le respect de la Constitution et des lois de la République, le consensus sur toutes les questions qui se posent, afin de maintenir la paix et la concorde ainsi que l’élan de la croissance économique ».
Léon Kengo estime que la relance du processus électoral implique des préalables sans lesquels la CENI ne saurait jamais garantir un climat électoral apaisé. Se référant toujours à la dynamique dégagée à l’issue des concertations nationales, il a rappelé « l’engagement renouvelé de la classe politique de respecter le pacte républicain par le refus de procéder à la révision de la Constitution, particulièrement à celle de ses dispositions intangibles », spécialement l’article 220 qui limite le mandat présidentiel.
Dans son discours, le président du Sénat s’est totalement écarté du schéma de la CENI. Il a, à cet effet, relevé la nécessité de se plier aux exigences posées au terme de concertations nationales. Il s’agit, notamment, du recensement de la population et de l’habitat ainsi que de l’identification de la population qu’il considère comme étapes primordiales « avant toute élection ». Ces préalables devaient, de l’avis de Kengo, permettre autant à la CENI qu’à tous les partenaires au processus de « disposer des statistiques démographiques et d’un fichier électoral fiables, ainsi que d’une carte d’identité infalsifiable pour tous les citoyens ».
Crédibiliser le processus
Mesurant la pertinence de ces préalables, Léon Kengo pense qu’« il est temps de crédibiliser notre système représentatif par une répartition aussi juste que possible des circonscriptions électorales et par une détermination plus ou moins sûre du corps électoral ».
Sans le dire ouvertement, Léon Kengo n’accorde pas de crédit à l’actuelle administration de la CENI. Est-ce donc une marque de désaveu à l’actuel bureau de la CENI que dirige M. l’Abbé Malumalu ? Les jours à venir nous fixeront. Cependant, il a posé le problème de « la mise en place d’une véritable administration électorale, apte à conduire le pays à un nouveau système électoral plus transparent et plus crédible ».
Il considère ce préalable comme « une exigence majeure dans la construction de la cohésion nationale ». Ce n’est qu’à l’issue de cette mise en place que Kengo souhaite par ailleurs « concertée », que « la CENI peut enfin envisager la fixation d’un calendrier électoral tout aussi apaisé ».
S’alignant au vœu exprimé par les délégués aux Concertations nationales, il est d’avis que « le calendrier électoral devrait programmer en priorité les élections locales, municipales et urbaines avant celles provinciales, sénatoriales, législatives et présidentielle ». Le but étant, note-t-il, de « consolider les équilibres politiques nécessaires au développement de notre jeune démocratie, dans un climat de cohésion nationale ».
C’est dire que pour le président du Sénat aucun consensus politique ne peut encore se substituer à celui qui a prévalu au terme des concertations nationales. Des grandes directives ayant été données en marge de ce grand forum national, il est indispensable, pense Kengo wa Dondo, de s’y attacher pour décrisper davantage le climat sur la scène politique nationale.
Aussi est-il revenu sur la promesse du chef de l’Etat, celle de la mise en place d’un gouvernement de cohésion nationale devant comprendre les membres de la Majorité, ceux de l’Opposition et de la Société civile. Un message qu’il a subtilement destiné au président de la République, qui avait fait solennellement la promesse devant les délégués aux concertations nationales ainsi que le Parlement réuni en Congrès.
http://lepotentielonline.com/index.php?option=com_content&view=article&id=6382%3Acycle-electoral-2014-2016-les-prealables-de-kengo&catid=85%3Aa-la-une&Itemid=472
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[b]“Le deuil, c’est pour la vie. Ca ne s’en va jamais, ça fait progressivement partie de vous, à chaque pas, à chaque souffle.”
Mathilde
Re: ABBÉ MALU MALU toujours pareil, son scenario commence déjà, la majorité présidentielle allongée aux concertations en colère , LISANGA BONGANGA claque la porte car dupé. SUIVONS CA ÉPISODE PAR ÉPISODE
Alors vous qui residez aux USA..et surtout á Washington...
C´était aujourd´hui que Malu Malu devait tenir une conférence...esuki ndenge nini
C´était aujourd´hui que Malu Malu devait tenir une conférence...esuki ndenge nini
GHOST
Re: ABBÉ MALU MALU toujours pareil, son scenario commence déjà, la majorité présidentielle allongée aux concertations en colère , LISANGA BONGANGA claque la porte car dupé. SUIVONS CA ÉPISODE PAR ÉPISODE
CHAUDES REACTIONS DES CONGOLAIS A LA CONFERENCE DE L'ABBE MALU MALU A WASHINGTON
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[b]“Le deuil, c’est pour la vie. Ca ne s’en va jamais, ça fait progressivement partie de vous, à chaque pas, à chaque souffle.”
Mathilde
Re: ABBÉ MALU MALU toujours pareil, son scenario commence déjà, la majorité présidentielle allongée aux concertations en colère , LISANGA BONGANGA claque la porte car dupé. SUIVONS CA ÉPISODE PAR ÉPISODE
J'aimerais bien savoir comment ont ete recrutes les membres de l'opposition qui siegent a la Ceni. Au lieu de focaliser sur des personnes (meme si Malumalu doit etre disqualifie d'office a cause de son role dans la tricherie en 2006) il faudrait s'assurer que le processus soit non seulement transparent, mais exiger un audit externe du fichier electoral. La vraie opposition, melee avec les participants aux concertations du ventre, n'arrive pas a cerner ses priorites et a se donner tous les moyens possibles et necessaires pour verouiller le systeme electorral.
Un autre grand chantier, la mobilisation d'observateurs pour tous les bureaux de vote. Il y a bcp de membres de la diaspora qui seraient plus qu'heureux de donner un coup de mains aux partis d'opposition, a leur propres frais. Une bonne organisation sur le terrain des maintenant permettra egalement de mobiliser les electeurs. C'est malheureux que Kamerhe prefere se donner en spectacle et mousser sa popularite plutot que de s'attaquer aux dysfonctionnements qui permettent a ce regime de se maintenir au pouvoir. Ca ne fait qu'ajouter au doute qui planne sur son statut d'opposant.
Quand on sait qu'en 2011 le vice-president de la Ceni etait membre du Mlc, il y a lieu de s'inquieter que le nouveau vice-president de l'actuelle Ceni soit du Pprd!!!
Attardons-nous a la gouvernance, aux systemes plutot qu'aux personnalites car c'est comme ca qu'ils arrivent a nous distraire.
Membres de la Ceni actuelle
Président : abbé Apollinaire Malumalu, de la Société civile
vice-président : André Pungwe, de la majorité (PPRD)
Rapporteur: Jean Pierre Kalamba, de l’opposition (UDPS)
Rapporteur adjoint: Onésime Kukatula, de la majorité (Palu)
Questeur : Chantal Ngoy, de la majorité (MSR).
Questeur adjoint: Micheline Biye Bongenge, de l’opposition (MLC).
Un autre grand chantier, la mobilisation d'observateurs pour tous les bureaux de vote. Il y a bcp de membres de la diaspora qui seraient plus qu'heureux de donner un coup de mains aux partis d'opposition, a leur propres frais. Une bonne organisation sur le terrain des maintenant permettra egalement de mobiliser les electeurs. C'est malheureux que Kamerhe prefere se donner en spectacle et mousser sa popularite plutot que de s'attaquer aux dysfonctionnements qui permettent a ce regime de se maintenir au pouvoir. Ca ne fait qu'ajouter au doute qui planne sur son statut d'opposant.
Quand on sait qu'en 2011 le vice-president de la Ceni etait membre du Mlc, il y a lieu de s'inquieter que le nouveau vice-president de l'actuelle Ceni soit du Pprd!!!
Attardons-nous a la gouvernance, aux systemes plutot qu'aux personnalites car c'est comme ca qu'ils arrivent a nous distraire.
Membres de la Ceni actuelle
Président : abbé Apollinaire Malumalu, de la Société civile
vice-président : André Pungwe, de la majorité (PPRD)
Rapporteur: Jean Pierre Kalamba, de l’opposition (UDPS)
Rapporteur adjoint: Onésime Kukatula, de la majorité (Palu)
Questeur : Chantal Ngoy, de la majorité (MSR).
Questeur adjoint: Micheline Biye Bongenge, de l’opposition (MLC).
Tsippora
Re: ABBÉ MALU MALU toujours pareil, son scenario commence déjà, la majorité présidentielle allongée aux concertations en colère , LISANGA BONGANGA claque la porte car dupé. SUIVONS CA ÉPISODE PAR ÉPISODE
Mama Tsipo
Vous vous souvenez de l´histoire du serveur central de la CENI la dernière fois En effet, Tshitshi avait posé pour condition primordiale l´acces á ce serveur Mais on ne sait par quel miracle, cette condition n´était plus necessaire et il est allé aux élections sans accéder au serveur
La même chose risque de revenir très prochainement si l´opposition et la societé civile ne se focalisent pas sur le ficher électoral C´est l´une des causes du conflit entre Malu Malu et l´opposition actuellement..
Malu Malu pretend avoir fait l´AUDIT du ficher électoral..sans preuve et sans transparence
Vous vous souvenez de l´histoire du serveur central de la CENI la dernière fois En effet, Tshitshi avait posé pour condition primordiale l´acces á ce serveur Mais on ne sait par quel miracle, cette condition n´était plus necessaire et il est allé aux élections sans accéder au serveur
La même chose risque de revenir très prochainement si l´opposition et la societé civile ne se focalisent pas sur le ficher électoral C´est l´une des causes du conflit entre Malu Malu et l´opposition actuellement..
Malu Malu pretend avoir fait l´AUDIT du ficher électoral..sans preuve et sans transparence
GHOST
Re: ABBÉ MALU MALU toujours pareil, son scenario commence déjà, la majorité présidentielle allongée aux concertations en colère , LISANGA BONGANGA claque la porte car dupé. SUIVONS CA ÉPISODE PAR ÉPISODE
Sir Troll, je me souviens surtout que nous avions applaudis l'Udps d'avoir accepte de prendre part aux elections malgre tout. Cette position pragmatique leur a permis de gagner les elections, n'est-ce pas?
Malgre la corruption du fichier electoral, les vrais resultats n'auraient pas permis une victoire du boucher de Kingakati donc, a mon avis, la priorite de l'Udps et tous les partis d'opposition devrait etre de se rassembler maintenant pour s'attaquer au plan macabre de changement du mode de scrutin. Modifier l'article 220 est beaucoup trop risque donc le changement de la loi electorale est une alternative qui leur permet de respecter la constitution tout en s'assurant une victoire facile et surtout propre.
Malgre la corruption du fichier electoral, les vrais resultats n'auraient pas permis une victoire du boucher de Kingakati donc, a mon avis, la priorite de l'Udps et tous les partis d'opposition devrait etre de se rassembler maintenant pour s'attaquer au plan macabre de changement du mode de scrutin. Modifier l'article 220 est beaucoup trop risque donc le changement de la loi electorale est une alternative qui leur permet de respecter la constitution tout en s'assurant une victoire facile et surtout propre.
Troll a écrit: Mama Tsipo
Vous vous souvenez de l´histoire du serveur central de la CENI la dernière fois En effet, Tshitshi avait posé pour condition primordiale l´acces á ce serveur Mais on ne sait par quel miracle, cette condition n´était plus necessaire et il est allé aux élections sans accéder au serveur
La même chose risque de revenir très prochainement si l´opposition et la societé civile ne se focalisent pas sur le ficher électoral C´est l´une des causes du conflit entre Malu Malu et l´opposition actuellement..
Malu Malu pretend avoir fait l´AUDIT du ficher électoral..sans preuve et sans transparence
Tsippora
Re: ABBÉ MALU MALU toujours pareil, son scenario commence déjà, la majorité présidentielle allongée aux concertations en colère , LISANGA BONGANGA claque la porte car dupé. SUIVONS CA ÉPISODE PAR ÉPISODE
L' Abbe MaluMalu déclare aux USA:"Jugez nous par nos actions,les élections 2016 seront libres..."/GI
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[b]“Le deuil, c’est pour la vie. Ca ne s’en va jamais, ça fait progressivement partie de vous, à chaque pas, à chaque souffle.”
Mathilde
Re: ABBÉ MALU MALU toujours pareil, son scenario commence déjà, la majorité présidentielle allongée aux concertations en colère , LISANGA BONGANGA claque la porte car dupé. SUIVONS CA ÉPISODE PAR ÉPISODE
La CENI rejette la signature de l'opposition, comme on devait s'y attendre !
djino
Re: ABBÉ MALU MALU toujours pareil, son scenario commence déjà, la majorité présidentielle allongée aux concertations en colère , LISANGA BONGANGA claque la porte car dupé. SUIVONS CA ÉPISODE PAR ÉPISODE
djino a écrit:La CENI rejette la signature de l'opposition, comme on devait s'y attendre !
Djino,
Heureusement que vous vous y attendiez. C'est deja mieux que Troll qui croyait que cette pétition allait faire long feux. Bon, il pense que le Vatican va se meler de cette histoire, alors l'espoire est toujours la!
NgongaEbeti
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