ABBÉ MALU MALU toujours pareil, son scenario commence déjà, la majorité présidentielle allongée aux concertations en colère , LISANGA BONGANGA claque la porte car dupé. SUIVONS CA ÉPISODE PAR ÉPISODE
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Re: ABBÉ MALU MALU toujours pareil, son scenario commence déjà, la majorité présidentielle allongée aux concertations en colère , LISANGA BONGANGA claque la porte car dupé. SUIVONS CA ÉPISODE PAR ÉPISODE
NgongaEbeti a écrit:djino a écrit:La CENI rejette la signature de l'opposition, comme on devait s'y attendre !
Djino,
Heureusement que vous vous y attendiez. C'est deja mieux que Troll qui croyait que cette pétition allait faire long feux. Bon, il pense que le Vatican va se meler de cette histoire, alors l'espoire est toujours la!
Décidément nous sommes toujours avec vous en plein moyen-âge féodal et obscurantiste ou au comble du soviet suprême barbare tant je n’ai jamais vu "chien" aussi servile que buté qui se satisfasse sans scrupules de tous les parjures dans son pays pour honorer son gourou, sa vision imaginaire d'une révolution nationaliste…
Dites-moi, en quoi pensez-vous vous honorer à ne pas recevoir comme il se doit les doléances du peuple ??? Pour qui gouvernez-vous, pour votre nomenklatura corrompue ?
Si vous vous croyez si forts, pourquoi avez-vous tant peur à vouloir museler le peuple, il n’aurait donc droit de s’exprimer, ses volontés traduites dans des pétitions seraient interdites...?
Lokuta na bino, ce pays est et restera une république constitutionnellement démocratique pluraliste et non une dictature marxiste à parti unique, et si vous vous gargarisez aujourd’hui de régner par défi, de priver le peuple de ses droits et de ses richesses, vous payerez tôt ou tard votre arbitraire…
Compatriotiquement
ndonzwau
Re: ABBÉ MALU MALU toujours pareil, son scenario commence déjà, la majorité présidentielle allongée aux concertations en colère , LISANGA BONGANGA claque la porte car dupé. SUIVONS CA ÉPISODE PAR ÉPISODE
"Malumalu-Kerry : Toute la vérité sur le processus électoral !
° http://laprosperiteonline.net/affi_article.php?id=2458&rubrique=POLITIQUE
*Quel avenir pour les élections en RD. Congo ? John Kerry, le Secrétaire d’Etat américain, voulait en avoir le cœur net. Voilà pourquoi, il s’est entretenu avec Apollinaire Muholongu Malumalu, le Président de la Centrale électorale. Ce jour-là, en effet, c’était un dimanche 4 mai 2014, à Fleuve Congo Hôtel, à la lisière de la Gombe, lorsque les deux personnalités ont discuté autour du processus électoral. Concrètement, il en ressort qu’après des échanges, ils ont convenu de le faire avancer en vertu du calendrier que la CENI va, très prochainement, rendre public. Pour l’essentiel, Malumalu lui a décliné toute la situation, y compris celle des difficultés rencontrées notamment, sur la question d’hypothèses pour lesquelles il attend encore jusqu’aujourd’hui, les options du Parlement, pour la matérialisation de la feuille de route pour l’ensemble du cycle électoral 2013 – 2016. Néanmoins, le Président de la CENI, tout en prenant en compte des observations de son hôte sur l’épineuse problématique de la crédibilité et de la transparence des scrutins, s’est engagé à mettre la dernière main sur l’ébauche du calendrier, avant de le mettre à la portée des parties prenantes au processus électoral en RD. Congo. De son côté, John Kerry a promis l’appui des USA, pour une enveloppe chiffrée à 30 millions de dollars américains.
Que s’est-il passé ?
(...)"
Compatriotiquement!
ndonzwau
Re: ABBÉ MALU MALU toujours pareil, son scenario commence déjà, la majorité présidentielle allongée aux concertations en colère , LISANGA BONGANGA claque la porte car dupé. SUIVONS CA ÉPISODE PAR ÉPISODE
"RDC: une plateforme de la société civile propose une «alternative» à la feuille de route de la Ceni"
° http://radiookapi.net/actualite/2014/05/09/rdc-une-plateforme-de-la-societe-civile-propose-une-feuille-de-route-electorale-alternative/#.U24SFIF_sgc
Des participants au point de presse de l’Alternance pour des Elections Transparentes et Apaisées(AETA), une plate-forme des ONG de la société civile de la RDC le 09/05/2014 à Kinshasa. Radio Okapi
La plateforme de la société civile Agir pour des élections transparentes et apaisées (AETA) propose une « alternative » à la feuille de route électorale présentée par le président de la Commission électorale nationale indépendante (Ceni), l’abbé Malumalu. Au cours d’une conférence de presse organisée vendredi 9 mai à Kinshasa, elle a défendu l’idée d’organiser les élections provinciales, législatives et présidentielle en 2015 et 2016. Les élections municipales, urbaines et locales devraient être organisées après 2016.
Dans sa feuille de route électorale présentée en janvier dernier à l’Assemblée nationale, l’abbé Malumalu a proposé deux hypothèses pour la suite du processus électoral en RDC.
Dans la première hypothèse, l’Abbé Malumalu propose que la Ceni organise en premier les élections municipales et locales au suffrage direct avant de poursuivre avec des élections au suffrage indirect des députés provinciaux, sénateurs, bourgmestres, gouverneurs, maires et conseillers urbains. C’est après cette étape que pourront être organisées les élections au suffrage universel direct des députés nationaux et du président de la République en 2016.
Dans la seconde hypothèse, le président de la Ceni a souhaité d’abord d’organiser des élections au suffrage universel direct des députés provinciaux et nationaux ainsi que du président de la République en 2016. Les élections au suffrage indirect des sénateurs, gouverneurs et vice-gouverneurs seraient alors organisées en 2017.
« Des incohérences »
L’AETA dit avoir décelé dans les deux hypothèses de la Ceni « des incohérences, des contradictions et des contraintes flagrantes qui pourraient, si l’on ne prend garde, porter un coup dur au processus démocratique de notre pays ».
La plateforme de la société civile relève les inconvénients de la première hypothèse de la Ceni, évoquant notamment les conséquences de l’élection des députés provinciaux au suffrage indirect.
L’AETA indique notamment que cette disposition « énerve » l’article 197 de la constitution qui prévoit l’élection des députés provinciaux au suffrage universel. Pour cette plateforme de la société civile, la modification du mode de scrutin de ces députés risque de :
Couper les élus provinciaux de leur base naturelle
Priver les citoyennes et citoyens congolais de leur droit de vote reconnu par la constitution
L’AETA désapprouve une autre disposition de la première hypothèse de la feuille de route de la Ceni : l’organisation des élections municipales, urbaines et locales en 2015. Pour elle, la tenue de cette échéance est « difficile, voire impossible à cause du fait que les exigences que la Ceni érige en préalables dans sa feuille de route tardent encore d’être accomplies ».
« Quand la Ceni demande à l’Assemblée nationale de lui présenter un cadre légal et révisé avant fin mars, nous sommes au moins de mai, l’Assemblée nationale n’a rien fait. [Quand la Ceni demande, ndlr] au ministre de l’Intérieur de publier la liste de la limitation des chefferies et des groupements, le ministre de l’Intérieur n’a rien fait. Quand on sait que les élections locales doivent tenir compte du contexte de décentralisation, il n’y a pas encore autant de textes de lois liés au processus de décentralisation », explique Jérôme Bonso, secrétaire permanent de l’AETA.
Quant à la seconde hypothèse de la Ceni, l’AETA estime qu’elle fait un clin d’œil aux députés de la majorité et de l’opposition qui militent pour des élections au suffrage universel direct mais « irrite avec son report en 2017 des élections des sénateurs et gouverneurs ».
« Une alternative »
Dans son document publié pour présenter sa feuille de route électorale, l’AETA dit tenir compte les impératifs juridiques, techniques, financiers et temporels ainsi que politiques qui caractérisent le cycle électoral 2013-2016 en RDC.
La plateforme exige ainsi l’organisation prioritaire des élections provinciales, législatives et présidentielles en 2015-2016. Elle renvoie les élections municipales, urbaines et locales après 2016 et maintient le suffrage direct pour l’élection des députés provinciaux « selon l’esprit de l’article 197 de la constitution ».
° http://radiookapi.net/actualite/2014/01/30/rdc-labbe-malu-malu-presente-sa-feuille-de-route-electorale/#.U24VbYF_sgd
° http://radiookapi.net/actualite/2014/03/15/rdc-la-feuille-de-route-de-la-ceni-au-centre-de-la-session-parlementaire-de-mars/#.U24V4YF_sgd
° http://radiookapi.net/actualite/2014/02/02/rdc-lopposition-congolaise-rejette-la-feuille-de-route-electorale-de-la-ceni/#.U24WS4F_sgd
° http://radiookapi.net/actualite/2014/04/09/feuille-de-route-de-la-ceni-lasadho-craint-une-insecurite-constitutionnelle/#.U24WwIF_sgd
° http://radiookapi.net/actualite/2014/03/13/kinshasa-la-ceni-ouvre-debat-sur-la-feuille-de-route-electorale/#.U24WhYF_sgd
Compatriotiquement!
ndonzwau
Re: ABBÉ MALU MALU toujours pareil, son scenario commence déjà, la majorité présidentielle allongée aux concertations en colère , LISANGA BONGANGA claque la porte car dupé. SUIVONS CA ÉPISODE PAR ÉPISODE
RDC : Martin Kobler a discuté avec les membres de la Ceni du processus électoral
Le chef de la Monusco, Martin Kobler, a échangé mardi 13 mai avec les membres de la Commission électorale nationale indépendante (Ceni) du processus électoral en cours. Dans son allocution, il a réitéré le soutien de la Mission des Nations unies en RDC à cette organisation citoyenne.
« Nous sommes ici pour vous soutenir, pour vous assister avec la communauté internationale », a affirmé Martin Kobler.
Le Représentant Spécial du Secrétaire Général des Nations Unies en RDC a reconnu que « les élections, c’est quelque chose de souveraineté nationale ».
« On respecte cela mais le soutien technique et logistique est très important. J’ai [visité] le bâtiment parce que nous avons un groupe [d’agents] de la Monusco qui travaillent ici pour l’assistance technique», a souligné Martin Kobler.
Par ailleurs, le chef de la Monusco a précisé que la Mission onusienne et toute la communauté internationale attendent l’issue de l’examen du projet de loi électorale au parlement.
« On a un chronogramme des élections,on a la loi qui est maintenant au parlement, il faut une décision politique et nous de la communauté internationale nous attendons ces décisions parce que nous ne pouvons pas discuter de notre assistance si on n’a pas les décisions politiques. Ces décisions politiques doivent être prises par le parlement, par les autorités congolaises », a poursuivi le patron de la Monusco.
Lire aussi sur radiookapi.net:
◾RDC : la Ceni promet d’organiser des élections « crédibles et transparentes »
◾A Kinshasa, John Kerry discutera avec Joseph Kabila de la démocratie et des élections
◾RDC: Martin Kobler promet le soutien de la Monusco à l’organisation des élections
Le chef de la Monusco, Martin Kobler, a échangé mardi 13 mai avec les membres de la Commission électorale nationale indépendante (Ceni) du processus électoral en cours. Dans son allocution, il a réitéré le soutien de la Mission des Nations unies en RDC à cette organisation citoyenne.
« Nous sommes ici pour vous soutenir, pour vous assister avec la communauté internationale », a affirmé Martin Kobler.
Le Représentant Spécial du Secrétaire Général des Nations Unies en RDC a reconnu que « les élections, c’est quelque chose de souveraineté nationale ».
« On respecte cela mais le soutien technique et logistique est très important. J’ai [visité] le bâtiment parce que nous avons un groupe [d’agents] de la Monusco qui travaillent ici pour l’assistance technique», a souligné Martin Kobler.
Par ailleurs, le chef de la Monusco a précisé que la Mission onusienne et toute la communauté internationale attendent l’issue de l’examen du projet de loi électorale au parlement.
« On a un chronogramme des élections,on a la loi qui est maintenant au parlement, il faut une décision politique et nous de la communauté internationale nous attendons ces décisions parce que nous ne pouvons pas discuter de notre assistance si on n’a pas les décisions politiques. Ces décisions politiques doivent être prises par le parlement, par les autorités congolaises », a poursuivi le patron de la Monusco.
Lire aussi sur radiookapi.net:
◾RDC : la Ceni promet d’organiser des élections « crédibles et transparentes »
◾A Kinshasa, John Kerry discutera avec Joseph Kabila de la démocratie et des élections
◾RDC: Martin Kobler promet le soutien de la Monusco à l’organisation des élections
LORD MBAKAMA
Re: ABBÉ MALU MALU toujours pareil, son scenario commence déjà, la majorité présidentielle allongée aux concertations en colère , LISANGA BONGANGA claque la porte car dupé. SUIVONS CA ÉPISODE PAR ÉPISODE
PS
Compatriotiquement!
"Processus électoral en RDC:la communauté internationale s’engage, Malumalu fonce !
° http://laprosperiteonline.net/affi_article.php?id=2547
*Les navettes de Martin Kobler au siège de la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI) ne se font plus compter. Le Représentant Spécial du Secrétaire Général des Nations Unies en RD. Congo a été encore mardi 13 octobre 2013, aux installations de la centrale électorale, situées le long du boulevard du 30 juin, dans la commune de la Gombe. L’objet de la visite : rencontre avec l’Abbé- Président Malumalu, visites des différents Services et Directions techniques du Secrétariat Exécutif National de la CENI et les membres de l’Unité électorale de la Monusco. Enseignement à tirer de ces vas-et-viens : la communauté internationale présente des réels signes de son engagement à accompagner le processus électoral en cours en RD. Congo à bon port. Ce qui est de nature à renforcer la détermination de Malumalu à accélérer le train et à alerter les futurs compétiteurs qui semblent dormir encore sur leurs lauriers.
«Votre visite dans nos installations est une preuve que la MONUSCO est déterminée à accompagner le processus électoral en RD. Congo ». André Mpungwe, Vice-président de la CENI, n’a-t-il pas raison, dans son mot de bienvenue à Martin Kobler, de lire la détermination de la Monusco, et donc de la communauté internationale, à soutenir la Ceni dans le processus électoral 2013-2016 engagé ? Il y a des signes qui ne trompent pas. Le cas de la présence répétée du Représentant du Secrétaire général des Nations Unies dans les installations de la CENI. Ce, non pas pour des fins touristiques, mais pour réaffirmer la décision tranchée de la représentation onusienne en RD. Congo de soutenir le processus électoral dans trois fronts essentiels : logistique, technique et bons-offices. Autrement dit, la CENI doit compter sur la Monusco, par exemple, pour ses besoins de transport des kits électoraux, de formation des agents électoraux et facilitation des rencontres entre différents acteurs électoraux.
Kobler n’est pas le seul élément de la communauté internationale qui s’illustre. La semaine dernière, c’était le Secrétaire d’Etat Américain, John Kerry, qui a promis à Malumalu un soutien financier des USA à hauteur de 30 millions de dollars et insisté sur l’urgence d’accélérer le processus.
La bonne passe à Malumalu(...)"
"CENI : Martin Kobler de nouveau chez Malumalu !
° http://laprosperiteonline.net/affi_article.php?id=2535
"« L’accompagnement des élections par la MONUSCO, c’est ma priorité ». Telle a été la phrase essentielle à retenir de la visite de Martin Kobler, ce mardi 13 mai, dans la matinée, au siège de la CENI, à la Gombe. Il a également reconnu « qu’à travers le monde, les élections ont toujours le potentiel d’être difficiles ». Voilà pourquoi, la MONUSCO, a-t-il dit, est prête à apporter son assistance à la CENI dans l’organisation des tables rondes avec les différentes parties prenantes en vue de les permettre de se dire la vérité en face, d’apaiser les esprits des uns et autres et de leur permettre de comprendre que la CENI est une Institution d’appui à la Démocratie. Il s’est exprimé ainsi en marge de ses entretiens avec Malumalu ainsi qu’avec quelques Membres du Secrétariat Exécutif National dont Flavien Misoni et Corneille Naanga, pour ne citer que ceux-là. Au passage, l’organigramme de la CENI lui a été présenté. "
"(...)« Le référendum s’annonce imminent » annonce Le Télégramme du Congo dans son n° 56.
« Décriée par l’Opposition et la Société civile, contestée par la communauté internationale, la révision de la Constitution en République démocratique du Congo aura finalement lieu. Ainsi en a décidé le Bureau politique de la Majorité présidentielle, qui joue le rôle « d’organe de conception, d’orientation et de décision » de cette famille politique du Chef de l’Etat, Joseph Kabila Kabange.
Selon les sources concordantes proches de la Majorité présidentielle, le Bureau politique aurait pris la décision d’organiser le référendum au cours de sa réunion du 25 avril dernier tenue à Procoki, à Kinshasa. L’objectif, à en croire ces sources, serait de « réviser les articles non verrouillés. » Il s’agirait, affirme-ton, de « rendre la constitution plus dynamique et plus adaptée au contexte actuel »
(...)
(L’idée du recours au référendum a été émise précisément à cause de l’hypothèse qu’il s’agirait de toucher aux « articles verrouillés ». Ce serait alors logique puisque, le verrouillage étant l’œuvre du Souverain Primaire qui l’a accepté avec le reste de la Constitution en 2005, celui-ci pourrait, tout aussi souverainement, défaire ce qu’il a fait. S’il ne s’agit que de modifications de détails non-verrouillés, recourir au référendum n’est pas indispensable et c’est une solution extrêmement longue et onéreuse par rapport à un simple vote du Parlement ! Ce serait donc le contraire de ce qu’il faut faire pour épargner le temps et l’argent dont on nous dit sans cesse qu’ils manquent. Par contre, le fait de faire à nouveau courir aux urnes le Souverain Primaire permettrait plus facilement de prétendre que l’on a affaire à une « Nouvelle Constitution » et que donc il faut « remettre à zéro » le compteur des mandats, selon la « formule Wade ». NdlR) (...)"
° http://www.congoforum.be/fr/nieuwsdetail.asp?subitem=1&newsid=198416&Actualiteit=selected
Compatriotiquement!
ndonzwau
Re: ABBÉ MALU MALU toujours pareil, son scenario commence déjà, la majorité présidentielle allongée aux concertations en colère , LISANGA BONGANGA claque la porte car dupé. SUIVONS CA ÉPISODE PAR ÉPISODE
"RDC : la fin de la fiabilisation du fichier électoral prévue d’ici fin 2014, assure la Ceni
° http://radiookapi.net/actualite/2014/05/17/rdc-la-fin-de-la-fiabilisation-du-fichier-electoral-prevue-dici-fin-2014-assure-la-ceni/#.U3nyDNJ_sgc
Les opérations de fiabilisation du fichier électoral et de stabilisation des cartographies électorales pourront se terminer d’ici la fin de l’année 2014, a assuré mai le président de la Commission électorale nationale indépendante (Ceni), l’Abbé Apollinaire Malu Malu. Il a fait cette déclaration à l’issue d’une réunion d’échange organisée vendredi 16 mai entre son bureau et les mandataires des partis politiques.
Dans sa communication le président de la Ceni a indiqué que ces opérations prennent un peu du temps à cause des problèmes de localisation des circonscriptions électorales avec la création des nouvelles entités administratives.(...)"[/i]
"Elections en RDC : l’APRODEC critique Didier REYNDERS
° http://www.lephareonline.net/elections-en-rdc-laprodec-critique-didier-reynders/
Notre Association a pris connaissance du communiqué de presse daté du 15 mai 2014 de Monsieur Didier REYNDERS, Ministre belge des Affaires étrangères, par lequel celui-ci affirme avoir pris contact avec l’Abbé Apollinaire MUHOLONGU MALU MALU, le président de la Commission électorale nationale indépendante (CENI), au sujet de l’état de préparation du cycle électoral.
(1) Il semble qu’au regard de sa déclaration du 17 septembre 2013 devant la Commission des Relations extérieures de la Chambre des Représentants : « S’agissant de la commission électorale, j’ai la plus grande confiance dans le président Malu Malu dont je sais qu’il garantira des élections correctes. (…) » que la confiance de Monsieur Didier REYNDERS envers le président de la Commission électorale nationale indépendante a été quelque peu ébranlée.
Notre Association s’étonne tout d’abord du fait que le précité communiqué de presse qui présente pourtant un caractère officiel, puisque y figurent les armoiries du ministère belge des Affaires étrangères, n’a pas été mis en ligne sur son site internet, mais uniquement sur le site internet privé de Monsieur Didier REYNDERS. Ensuite, nous tenons une fois encore à rappeler à l’ensemble de la Communauté internationale et plus particulièrement, au gouvernement belge ainsi qu’aux Nations unies que les préalables à l’organisation d’élections apaisées, crédibles et transparentes en République Démocratique du Congo, ne sont toujours pas réunis. En effet, nous nous référons d’une part, aux recommandations contenues dans le rapport du 29 mars 2012 de la Mission d’observation électorale de l’Union européenne laquelle avait entre autres recommandé ‘qu’en amont des prochaines élections provinciales et locales que soit réalisé l’audit du fichier électoral à court terme, afin d’en garantir la transparence et la crédibilité et d’autre part, à la résolution adoptée par le Parlement européen au terme de laquelle celui-ci engage la Commission et les Etats membres (et donc la Belgique !) à subordonner la contribution financière de l’Union au processus électoral en République Démocratique du Congo à la mise en œuvre effective des 22 recommandations formulées par la Mission d’observation des élections de l’UE. (2)
A cela s’ajoute encore le fait que l’opération dite de «fiabilisation du fichier électoral» conduite actuellement par la Commission électorale nationale indépendante dans les provinces du Bandundu et de l’Equateur se déroule en violation de l’article 21 alinéa 3 de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme, de la Constitution de la République Démocratique du Congo et de la Loi n° 04/028 du 24 décembre 2004 portant identification et enrôlement des électeurs en République Démocratique du Congo.
Revenant sur le contenu du communiqué de presse du ministère belge des Affaires étrangères, le Peuple congolais aurait été réellement convaincu de la volonté du gouvernement belge de voir se dérouler la révision du fichier électoral en République Démocratique du Congo de façon transparente et professionnelle, si celui-ci d’une part, avait invité la Commission Electorale Nationale Indépendante à publier le rapport final établi en 2011 par la société ZETES sur le nettoyage dudit fichier et d’autre part, avait saisi la justice au sujet de l’attribution le 17 juin 2010 par l’Abbé MALU MALU, alors président de l’ex-Commission électorale indépendante dans des conditions peu transparentes de deux contrats à la société ZETES relatifs à la fourniture de 9 500 kits biométriques d’identification des électeurs et à la fourniture du logiciel AFIS nécessaire au nettoyage du fichier électoral par cette même société.
A cet égard, notre Association ne peut que rappeler à Monsieur Didier REYNDERS les termes du courrier – resté sans suite à ce jour – qu’elle lui a adressé en date du 11 février 2014 au sujet de la criminalité économique affectant le processus électoral ayant conduit aux élections très peu crédibles du 28 novembre 2011 en République Démocratique du Congo. Considérant que Monsieur le Ministre des Affaires étrangères avait déclaré le 17 septembre 2013 devant la Commission des Relations extérieures de la Chambre des Représentants : « S’agissant de la commission électorale, j’ai la plus grande confiance dans le président Malu Malu dont je sais qu’il garantira des élections correctes.
(…) », nous Lui avons demandé de confirmer ou d’infirmer le fait que l’ex-Commission électorale indépendante (CEI) dirigée par l’Abbé MALUMALU était partie aux deux contrats mentionnés par la société SA ZETES, dans sa plainte du 31 mars 2011 contre notre Association. Dans l’hypothèse selon laquelle la Commission électorale indépendante aurait effectivement attribué le 17 juin 2010 le marché litigieux de fourniture de 9 500 kits d’enrôlement des électeurs à la SA ZETES il convient de souligner tout d’abord que la Commission électorale indépendante (CEI) avait été dissoute de plein droit depuis le 3 février 2007 conformément à l’article 222 al. 2 de la Constitution de la République Démocratique du Congo et d’autre part, de s’interroger sur les raisons pour lesquelles la CEI n’a pas suivi les conclusions de la commission d’analyse des offres composée de membres du BCECO et de la CEI proposant l’attribution du marché litigieux à la société sud-africaine Face Technologies.(3)
Finalement, eu égard à l’ensemble des faits susmentionnés sous peine de cautionner une énième mascarade électorale, notre Association recommande au gouvernement belge de ne pas soutenir ni financièrement ni matériellement le processus pré-électoral tel qu’il se déroule actuellement en République Démocratique du Congo.
Fait à Halle (BELGIQUE), le 16 mai 2014
Pour l’APRODEC asbl
Didier NKINGU
Vice-Président
Administrateur chargé des Affaires juridiques""Communiqué de presse du ministère belge des Affaires étrangères du 15.05.2014
Le 29 mars 2012, la Mission d’observation des élections de l’Union européenne – bien que n’ayant pas mentionné le nom du fournisseur du logiciel AFIS et chargé du nettoyage du fichier électoral à savoir : la société belge ZETES – a recommandé dans son rapport final qu’en amont des prochaines élections provinciales et locales que soit réalisé l’audit du fichier électoral à court terme, afin d’en garantir la transparence et la crédibilité.
Le Parlement européen a voté une résolution au terme de laquelle elle engage la Commission et les Etats membres à subordonner la contribution financière de l’Union au processus électoral en République Démocratique du Congo à la mise en œuvre effective des 22 recommandations formulées par la Mission d’observation des élections de l’UE dans son rapport publié le 29 mars 2012 notamment l’audit du fichier électoral à court terme."
"Elections de 2016 : le passé et le futur
Par Guy De Boeck
° http://www.congoforum.be/fr/nieuwsdetail.asp?subitem=1&newsid=198470&Actualiteit=selected
La RDC a, en matière de contentieux électoral un passé qui est bref, mais qui est déjà lourd.
Et, par moment, on s’emmêle un peu les pinceaux entre ce qui concerne les contestations du passé et les inquiétudes qui concernent l’avenir. En disant cela, je n’insinue nullement que ce qui appartient désormais à l’histoire soit dépourvu d’intérêt. Il faut au contraire s’y intéresser, et de près. Si possible, pour éviter de commettre les mêmes erreurs à l’avenir. Mais le passé, c'est-à-dire les élections de 2006 et de 2013 est le passé, et il est définitivement hors de notre portée. Le matin du jour où j’écris ces lignes est aussi inaccessible pour moi que l’époque de Jules César. Le passé peut faire l’objet d’un travail d’historien : comprendre comment les choses se sont passées. Il peut aussi faire l’objet d’un travail judiciaire : lorsque des fautes ou des tricheries ont été commises, il convient d’enquêter sur les responsabilités et de punir les coupables. Mais la pendaison de l’assassin n’a jamais rendu la vie à sa victime. Ce qui est fait, est fait. Au contraire, le futur, qui se prépare aujourd’hui, est lui encore à notre portée, et peut être influencé par ce que nous faisons maintenant.
Les élections de 2006, déjà, auraient mérité d’être rejetées si l’on avait appliqué le seul principe de bon sens en matière d’élections : elles doivent être impeccables, sinon, elles sont nulles, et il n’y a pas de milieu. Les élections de 2006 avaient été organisées en faisant voter un « corps électoral inconnu », faute de recensement préalable de la population. Ce fait à lui seul suffirait à en « plomber » gravement la crédibilité. Malumalu, principal responsable de cette absurdité d’élections sans recensement préalable de la population, a été remis à la Présidence de la CENI, ce qui promet encore de beaux jours à l’avenir !
En réalité, la racine de tout le mal se situe là : dans la prétention du curé de campagne électorale d’enregistrer les électeurs à l’aide du RAPTA, c'est-à-dire d’un système de mise à jour de données, qui ne peut fonctionner que s’il y a une base de données existante[1]. C’est l’absence de recensement qui permet la fraude et, fait qui est peut-être pire, fait peser dès le départ sur le processus les plus graves soupçons.
En fait, les élections de 2006 ont été acceptées parce que c’était la « Grande Première », parce que lles opérations patronnées par l’ONU sont censées ne jamais échouer, parce que l’on était persuadé que les choses ne pourraient qu’aller de mieux en mieux, parce que les bailleurs de fonds auraient fait la grimace devant de nouvelles factures et sans doute encore une foule d’autres mauvaises raisons… Quoi qu’il en soit, il y eut un consensus général du monde politique congolais pour rengainer griefs et soupçons et attendre des élections de 2011 « qui sans doute seraient meilleures » la correction du tir…
Ce qui fait la valeur de la démocratie élective, c’est la répétition des élections, la possibilité pour les électeurs de sanctionner les dirigeants qui les ont déçus, et la possibilité d’en changer pacifiquement. Pour toutes ces raisons, l’on devrait donc considérer que l’élection la plus cruciale est celle où ce système va fonctionner pour la première fois : à la DEUXIEME élection, et non pas à la première. Celles de 2011 en RDC , qui se firent sans Malu Malu, remplacé par Ngoy Mulunda, mais également chargées de l’hypothèque du « corps électoral inconnu », ont, par-dessus le marché, été entachées de fraudes et de manipulations à un point tel qu’elles ont donné des résultats qui, en réalité, sont encore inconnus.
Les fraudes les plus importantes ayant eu lieu au niveau des centres de compilation, on ne pourrait se rapprocher de la « vérité des urnes » qu’en se référant aux PV des bureaux de vote, dernière opération publique et vérifiée par des témoins. Les chiffres de la CENI ne s’accompagnaient pas de ces PV, les chiffres publiés par l’UDPS, non plus. L’Eglise n’a jamais publié les résultats partiels constatés par ses observateurs malgré cette déclaration du Cardinal Laurent Monsengwo, archevêque de Kinshasa : « Les résultats publiés ne sont conformes ni à la justice ni à la vérité “. On n’a donc que des résultats dont la crédibilité est nulle. Les législatives ont été dignes de la présidentielle, sinon pires. Mais la CSJ a entériné les résultats de la présidentielle et des législatives. Le temps s’est écoulé, les résultats des élections demeureront à jamais inconnus.
Toute autorité prétendue, en RDC, ne relève plus que de la force, de l’intimidation, d’un coup d’état de fait. Le principal ressort de ce coup d’état consiste à progresser, comme si de rien n’était, dans les tâches qui suivent normalement une élection et à mettre le pays et le monde devant le fait accompli.
Il faut donc rappeler inlassablement que les élections de novembre-décembre 2011 ont donné des résultats qu'une personne avisée, réfléchie, d’esprit libre et critique devrait considérer comme nuls, donc sans gagnant. La suite aurait dû être l'annulation pure et simple, des enquêtes sérieuses pour déterminer les causes et origines des irrégularités, qu’on en tire les conséquences quant aux futures élections et que l’on sanctionne les fraudeurs. Il aurait dû y avoir une protestation générale des démocrates de tous les partis, car un démocrate ne saurait accepter que son candidat gagne par la fraude, la corruption et le mensonge. Au lieu de quoi on n’a assisté qu’à des élucubrations pour défendre la victoire « officielle » de JKK, et à d’autres élucubrations pour défendre celle, tout aussi hypothétique, de Tshisekedi.
Il faut ici bien garder à l’esprit deux choses. Premièrement, les élections sont une institution qu’il faut défendre comme telle, et non en fonction d’un résultat attendu. Et l’on ne peut les défendre qu’en appliquant le seul principe acceptable : elles doivent être impeccables, sinon, elles sont nulles, et il n’y a pas de milieu. Deuxièmement, la fraude est possible, principalement, non parce que Pierre ou Paul préside la CENI, mais parce que le recensement de la population n’a pas eu lieu. Tand que cette situation persistera, qui est béante comme une porte cochère à toutes les fraudes, savoir qui a les clés de cette porte ouverte sera un problème secondaire.
Malu Malu chez Reynders : le banquet des fraudeurs ?..." (...)
COMMUNIQUE DE PRESSE de l’APRODEC[2]
(...)
Tout cela est très intéressant et se situe dans la ligne d’une action de longue haleine soutenue depuis longtemps, entre autres à travers tout un feuilleton d’actions judiciaires entre Aprodec et la société Zetes. Cette action est un peu donquichottesque, mais cela ne me dérange pas, en vertu d’une grande sympathie que j’ai toujours eue pour les Don Quichotte et les pourfendeurs de moulins à vent.
Ce qui me dérange, par contre, c’est que cette « croisade contre Zetes » finit par être l’arbre qui cache la forêt, en ce sens que cela concerne les élections de 2011 alors que le communiqué concerne des entretiens Reynders/Malu Malu dans la perspective de celles de 2016.
Quelles raisons a-t-on de se méfier de Malu Malu ? Aucune raison qui soit liée à l’affaire Zetes, qui concerne les élections de 2011 et la CENI de Ngoy Mulunda. La principale raison, c’est que le « curé de campagne électorale » a, en connaissance de cause puisqu’il est porteur d’un diplôme universitaire en organisation des élections, prétendu mensongèrement qu’il était possible d’organiser des élections sans recensement préalable de la population, en bricolant un fichier électoral à l’aide du RAPTA, qu’il a ainsi ouvert la porte à toutes les fraudes et que ses propos sur la "fiabilisation du fichier électoral" qui serait actuellement conduite par la Commission électorale nationale indépendante montrent clairement qu’il s’agit de continuer ce même tour de charlatan.
Il y a au Congo une collection suffisante de curés à la conscience élastique, de pasteurs pratiquant une morale très souple, et même quelques prophètes, autoproclamés et plus ou moins cinglés, pour que (puisqu’il semble acquis que c’est à un ecclésiastique – on se demande pourquoi - qu’il faut confier cette charge) l’on puisse organiser une très longue partie de chaises musicales en les mettant les uns après les autres à la Présidence de la CENI. Cette polarisation sur le président rendra les choses très faciles parce que, pendant que l’on conspuera président, l’on ne s’en prendra pas à la racine du mal, c'est-à-dire à la nécessité ABSOLUE de recenser d’abord et de ne faire des fichiers électoraux qu’après.
Est-ce à dire qu’Aprodec perd son temps ? Pas du tout !
Les questions relatives au fichier électoral, à sa mise à jour, à son toilettage, sont des questions d’un grand intérêt. Y compris, mais ce n’est qu’un petit aspect de la question, celles de ces questions qui concernent la société Zetes. Cela permettra de transmettre à la postérité le compte-rendu précis de a manière dont les manipulations des résultats électoraux ont eu lieu au début du XXI° siècle. Cela permettra aussi, du moins il faut l’espérer, de mettre à leur place, c’est à dire derrière les barreaux, ceux qui ont commandité ou exécuté cette opération. Le passé, je l’ai dit, concerne l’histoire ou la justice.
En ce qui concerne les élections à venir, il est surtout urgent de ne rien garder des fichiers, listings, bases de données et tutti quanti qui ont été réalisés par des bricolages au RAPTA, sinon à titre d’archives mortes ou de pièces à conviction. La seule base admissible pour des élections impeccables, c’est le recensement de la population qui a déjà commencé.
Le seul appui véritable au processus électoral congolais, de la part de la Belgique comme de n’importe quel intervenant extérieur, public ou privé, c’est l’aide à la réalisation, le plus rapidement possible, de ce recensement… (...)" [/i]
Compatriotiquement!
ndonzwau
Re: ABBÉ MALU MALU toujours pareil, son scenario commence déjà, la majorité présidentielle allongée aux concertations en colère , LISANGA BONGANGA claque la porte car dupé. SUIVONS CA ÉPISODE PAR ÉPISODE
RDC : l’opposition et la société civile menacent de traduire l’Abbé Malumalu en justice
Plusieurs partis politiques de l’opposition ainsi que des membres de la société civile menacent de traduire en justice le président de la Commission électorale nationale indépendante (Ceni), l’Abbé Apollinaire Malumalu. Dans une déclaration commune, lue jeudi 5 juin à Kinshasa par le secrétaire général de l’UDPS, Bruno Mavungu, ils l’accusent « d’atteinte aux droits garantis aux particuliers et violations des lois de la République ».
« [Nous comptons] un, retirer nos délégués siégeant au bureau de la Ceni. Deux, traduire monsieur l’Abbé Malu malu en justice pour atteinte aux droits garantis aux particuliers et violation des lois de la République. Trois, mobiliser notre peuple afin de se prendre en charge », a affirmé Bruno Mavungu.
Pour le secrétaire général des Forces novatrices pour l’union et la solidarité (Fonus), le député national Emery Okundji, il faut respecter la Constitution de la République dans l’organisation des élections :
« Le peuple n’a plus confiance au processus électoral. Et donc, pour redonner cette confiance, il faudrait que les choses fonctionnent de manière sérieuse. Il faudrait qu’on respecte la constitution, qu’on respecte les lois de la République démocratique du Congo », a ajouté Emery Okundji.
Pour lui, le processus électoral tel qu’engagé par le bureau de la Ceni risque d’entamer la confiance de la population congolaise en ce processus.
L’opposition et la société civile rejettent par ailleurs le calendrier de la Ceni annonçant l’organisation des élections urbaines, locales et municipales en 2015. Elles exigent le parachèvement du processus électoral entamé en 2011 en organisant les élections provinciales et sénatoriales, ainsi que celles des gouverneurs de provinces.
L’opposition et la société civile demandent un calendrier issu d’un consensus politique.
Le calendrier electoral publié par la Ceni le 26 mai contient trois grandes dates: le 14 juin 2015, jour du scrutin des conseillers des communes, des secteurs et des chefferies ; le 29 août 2015, jour du vote des conseillers urbains, des bourgmestres et des chef des secteurs, et enfin le 15 octobre 2015, prévu pour le scrutin des maires et maires adjoints.
Deux jours après, il a été qualifié de «provocation» le député Martin Fayulu, le coordonnateur de la plate-forme «Sauvons la RDC» de l’opposition politique congolaise. Et moins d’une semaine après sa publication, le Mouvement de libération du Congo (MLC) a demandé sa suspension. Ils reprochaient tous au calendrier l’organisation des locales en lieu et place des provinciales pousse à s’interroger sur son independence et sa publication décidée de manière unilatérale.
Parmi les partis et les regroupements politiques représentés à cette réunion, on a compté :
l’Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS) ;
l’Union pour la nation congolaise (UNC) ;
les Forces acquises au changement (Fac) ;
les Forces novatrices pour l’union et la solidarité (Fonus) ;
le Parti travailliste ;
le Rassemblement congolais pour la démocratie/Kisangani mouvement de libération (RCD/KML) pour ne citer que ceux-là.
Les membres de la Société civile du Congo et des affiliés aux syndicats des agents et fonctionnaires de l’Etat ont eux aussi pris part à cette réunion.
http://radiookapi.net/actualite/2014/06/05/rdc-lopposition-la-societe-civile-menacent-de-traduire-labbe-malumalu-en-justice/#.U5C1pfldVch
Plusieurs partis politiques de l’opposition ainsi que des membres de la société civile menacent de traduire en justice le président de la Commission électorale nationale indépendante (Ceni), l’Abbé Apollinaire Malumalu. Dans une déclaration commune, lue jeudi 5 juin à Kinshasa par le secrétaire général de l’UDPS, Bruno Mavungu, ils l’accusent « d’atteinte aux droits garantis aux particuliers et violations des lois de la République ».
« [Nous comptons] un, retirer nos délégués siégeant au bureau de la Ceni. Deux, traduire monsieur l’Abbé Malu malu en justice pour atteinte aux droits garantis aux particuliers et violation des lois de la République. Trois, mobiliser notre peuple afin de se prendre en charge », a affirmé Bruno Mavungu.
Pour le secrétaire général des Forces novatrices pour l’union et la solidarité (Fonus), le député national Emery Okundji, il faut respecter la Constitution de la République dans l’organisation des élections :
« Le peuple n’a plus confiance au processus électoral. Et donc, pour redonner cette confiance, il faudrait que les choses fonctionnent de manière sérieuse. Il faudrait qu’on respecte la constitution, qu’on respecte les lois de la République démocratique du Congo », a ajouté Emery Okundji.
Pour lui, le processus électoral tel qu’engagé par le bureau de la Ceni risque d’entamer la confiance de la population congolaise en ce processus.
L’opposition et la société civile rejettent par ailleurs le calendrier de la Ceni annonçant l’organisation des élections urbaines, locales et municipales en 2015. Elles exigent le parachèvement du processus électoral entamé en 2011 en organisant les élections provinciales et sénatoriales, ainsi que celles des gouverneurs de provinces.
L’opposition et la société civile demandent un calendrier issu d’un consensus politique.
Le calendrier electoral publié par la Ceni le 26 mai contient trois grandes dates: le 14 juin 2015, jour du scrutin des conseillers des communes, des secteurs et des chefferies ; le 29 août 2015, jour du vote des conseillers urbains, des bourgmestres et des chef des secteurs, et enfin le 15 octobre 2015, prévu pour le scrutin des maires et maires adjoints.
Deux jours après, il a été qualifié de «provocation» le député Martin Fayulu, le coordonnateur de la plate-forme «Sauvons la RDC» de l’opposition politique congolaise. Et moins d’une semaine après sa publication, le Mouvement de libération du Congo (MLC) a demandé sa suspension. Ils reprochaient tous au calendrier l’organisation des locales en lieu et place des provinciales pousse à s’interroger sur son independence et sa publication décidée de manière unilatérale.
Parmi les partis et les regroupements politiques représentés à cette réunion, on a compté :
l’Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS) ;
l’Union pour la nation congolaise (UNC) ;
les Forces acquises au changement (Fac) ;
les Forces novatrices pour l’union et la solidarité (Fonus) ;
le Parti travailliste ;
le Rassemblement congolais pour la démocratie/Kisangani mouvement de libération (RCD/KML) pour ne citer que ceux-là.
Les membres de la Société civile du Congo et des affiliés aux syndicats des agents et fonctionnaires de l’Etat ont eux aussi pris part à cette réunion.
http://radiookapi.net/actualite/2014/06/05/rdc-lopposition-la-societe-civile-menacent-de-traduire-labbe-malumalu-en-justice/#.U5C1pfldVch
Mathilde
Re: ABBÉ MALU MALU toujours pareil, son scenario commence déjà, la majorité présidentielle allongée aux concertations en colère , LISANGA BONGANGA claque la porte car dupé. SUIVONS CA ÉPISODE PAR ÉPISODE
Mathilde a écrit:RDC : l’opposition et la société civile menacent de traduire l’Abbé Malumalu en justice
Plusieurs partis politiques de l’opposition ainsi que des membres de la société civile menacent de traduire en justice le président de la Commission électorale nationale indépendante (Ceni), l’Abbé Apollinaire Malumalu. Dans une déclaration commune, lue jeudi 5 juin à Kinshasa par le secrétaire général de l’UDPS, Bruno Mavungu, ils l’accusent « d’atteinte aux droits garantis aux particuliers et violations des lois de la République ».
« [Nous comptons] un, retirer nos délégués siégeant au bureau de la Ceni. Deux, traduire monsieur l’Abbé Malu malu en justice pour atteinte aux droits garantis aux particuliers et violation des lois de la République. Trois, mobiliser notre peuple afin de se prendre en charge », a affirmé Bruno Mavungu.
Pour le secrétaire général des Forces novatrices pour l’union et la solidarité (Fonus), le député national Emery Okundji, il faut respecter la Constitution de la République dans l’organisation des élections :
« Le peuple n’a plus confiance au processus électoral. Et donc, pour redonner cette confiance, il faudrait que les choses fonctionnent de manière sérieuse. Il faudrait qu’on respecte la constitution, qu’on respecte les lois de la République démocratique du Congo », a ajouté Emery Okundji.
Pour lui, le processus électoral tel qu’engagé par le bureau de la Ceni risque d’entamer la confiance de la population congolaise en ce processus.
L’opposition et la société civile rejettent par ailleurs le calendrier de la Ceni annonçant l’organisation des élections urbaines, locales et municipales en 2015. Elles exigent le parachèvement du processus électoral entamé en 2011 en organisant les élections provinciales et sénatoriales, ainsi que celles des gouverneurs de provinces.
L’opposition et la société civile demandent un calendrier issu d’un consensus politique.
Le calendrier electoral publié par la Ceni le 26 mai contient trois grandes dates: le 14 juin 2015, jour du scrutin des conseillers des communes, des secteurs et des chefferies ; le 29 août 2015, jour du vote des conseillers urbains, des bourgmestres et des chef des secteurs, et enfin le 15 octobre 2015, prévu pour le scrutin des maires et maires adjoints.
Deux jours après, il a été qualifié de «provocation» le député Martin Fayulu, le coordonnateur de la plate-forme «Sauvons la RDC» de l’opposition politique congolaise. Et moins d’une semaine après sa publication, le Mouvement de libération du Congo (MLC) a demandé sa suspension. Ils reprochaient tous au calendrier l’organisation des locales en lieu et place des provinciales pousse à s’interroger sur son independence et sa publication décidée de manière unilatérale.
Parmi les partis et les regroupements politiques représentés à cette réunion, on a compté :
l’Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS) ;
l’Union pour la nation congolaise (UNC) ;
les Forces acquises au changement (Fac) ;
les Forces novatrices pour l’union et la solidarité (Fonus) ;
le Parti travailliste ;
le Rassemblement congolais pour la démocratie/Kisangani mouvement de libération (RCD/KML) pour ne citer que ceux-là.
Les membres de la Société civile du Congo et des affiliés aux syndicats des agents et fonctionnaires de l’Etat ont eux aussi pris part à cette réunion.
http://radiookapi.net/actualite/2014/06/05/rdc-lopposition-la-societe-civile-menacent-de-traduire-labbe-malumalu-en-justice/#.U5C1pfldVch
ça c'est bien il faut faire passer le message à Malu-Malu et les autres faucons de Kabila que leur chef appartient déjà au passé.
Admin- Admin
Re: ABBÉ MALU MALU toujours pareil, son scenario commence déjà, la majorité présidentielle allongée aux concertations en colère , LISANGA BONGANGA claque la porte car dupé. SUIVONS CA ÉPISODE PAR ÉPISODE
LOKOLA BATO OYO BAZO YOKA KAKA TE, YO Russ Feingold KENDE SUR PLACE O PANZA MPOKE NA CONFERENCE DE PRESSE. DITES TOUT HAUT CE QUE KERRY A DIT TOUT BAS :
Les Etats-Unis insistent sur la nécessité pour la République démocratique du Congo d’organiser l’élection présidentielle avant fin 2016 dans le respect de l’actuelle Constitution. L’Envoyé spécial des Etats-Unis pour la région de Grands lacs et de la RDC, Russ Feingold, l’a affirmé jeudi 5 juin au cours d’une conférence de presse qu’il a organisée à Kinshasa.
Pour Russ Feingold, le président Joseph Kabila a déjà joué un rôle important dans l’histoire de la RDC en organisant en 2006 des élections acceptées par toute la communauté internationale comme étant démocratiques.
Il est donc impérieux de pérenniser ces acquis démocratiques en évitant toute tentative de violation de l’article 220 de la Constitution, en vue de donner au président Kabila un troisième mandat, ajoute le sénateur américain.
L’article de la Constitution de la RDC stipule:
« la forme républicaine de l’Etat, le principe du suffrage universel, la forme représentative du gouvernement, le nombre et la durée des mandats du Président de la République, l’indépendance du pouvoir judiciaire, le pluralisme politique et syndical, ne peuvent faire l’objet d’aucune révision constitutionnelle ».
Vous pouvez écouter les propos de Russ Feingold dans cet extrait (11’44”)
Télécharger
En visite les 3 et 4 juin derniers, les envoyés spéciaux de la communauté internationale dans les Grands lacs ont plaidé pour la tenue des élections dans le délai constitutionnel, soit entre 2014 et 2016 et ont demandé à la Ceni de publier un calendrier global.
La Ceni a publié lundi 26 mai le calendrier des élections municipales, urbaines et locales. La Majorité présidentielle a salué cette publication alors qu’une frange importante de l’opposition estime que l’exécution de ce calendrier pourrait entrainer une prolongation de la présidentielle au-delà de 2016.
Par ailleurs, Russ Feingold dit soutenir l’initiative du chef de la Monusco, Martin Kobler, d’organiser des réunions avec des partis politiques et la société civile.
Selon lui, l’objectif est de trouver un consensus en rapport avec le processus électoral. Cela ne porte atteinte nullement à la souveraineté de la RDC comme le prétendent les autorités congolaises.
Reddition des FDLR
Concernant la question des rebelles rwandais des Forces démocratiques pour la libération du Rwanda (FDLR), opérant dans l’Est de la RDC, Russ Feingold estime qu’il est temps pour que ce groupe armé fasse sa reddition.
À défaut d’une reddition volontaire, ces rebelles se verront traqués par des opérations militaires, insiste le sénateur américain.
La Monusco avait placé la traque des FDLR comme sa priorité en 2014, après la défaite militaire du M23, et la traque des rebelles ougandais de l’ADF.
Martin Kobler, le chef de la Monusco, a lancé mercredi 4 juin un dernier appel aux combattants des FDLR, au risque d’y être contraints par les forces de la Mission onusienne en RDC et l’armée congolaise.
Les Etats-Unis insistent sur la nécessité pour la République démocratique du Congo d’organiser l’élection présidentielle avant fin 2016 dans le respect de l’actuelle Constitution. L’Envoyé spécial des Etats-Unis pour la région de Grands lacs et de la RDC, Russ Feingold, l’a affirmé jeudi 5 juin au cours d’une conférence de presse qu’il a organisée à Kinshasa.
Pour Russ Feingold, le président Joseph Kabila a déjà joué un rôle important dans l’histoire de la RDC en organisant en 2006 des élections acceptées par toute la communauté internationale comme étant démocratiques.
Il est donc impérieux de pérenniser ces acquis démocratiques en évitant toute tentative de violation de l’article 220 de la Constitution, en vue de donner au président Kabila un troisième mandat, ajoute le sénateur américain.
L’article de la Constitution de la RDC stipule:
« la forme républicaine de l’Etat, le principe du suffrage universel, la forme représentative du gouvernement, le nombre et la durée des mandats du Président de la République, l’indépendance du pouvoir judiciaire, le pluralisme politique et syndical, ne peuvent faire l’objet d’aucune révision constitutionnelle ».
Vous pouvez écouter les propos de Russ Feingold dans cet extrait (11’44”)
Télécharger
En visite les 3 et 4 juin derniers, les envoyés spéciaux de la communauté internationale dans les Grands lacs ont plaidé pour la tenue des élections dans le délai constitutionnel, soit entre 2014 et 2016 et ont demandé à la Ceni de publier un calendrier global.
La Ceni a publié lundi 26 mai le calendrier des élections municipales, urbaines et locales. La Majorité présidentielle a salué cette publication alors qu’une frange importante de l’opposition estime que l’exécution de ce calendrier pourrait entrainer une prolongation de la présidentielle au-delà de 2016.
Par ailleurs, Russ Feingold dit soutenir l’initiative du chef de la Monusco, Martin Kobler, d’organiser des réunions avec des partis politiques et la société civile.
Selon lui, l’objectif est de trouver un consensus en rapport avec le processus électoral. Cela ne porte atteinte nullement à la souveraineté de la RDC comme le prétendent les autorités congolaises.
Reddition des FDLR
Concernant la question des rebelles rwandais des Forces démocratiques pour la libération du Rwanda (FDLR), opérant dans l’Est de la RDC, Russ Feingold estime qu’il est temps pour que ce groupe armé fasse sa reddition.
À défaut d’une reddition volontaire, ces rebelles se verront traqués par des opérations militaires, insiste le sénateur américain.
La Monusco avait placé la traque des FDLR comme sa priorité en 2014, après la défaite militaire du M23, et la traque des rebelles ougandais de l’ADF.
Martin Kobler, le chef de la Monusco, a lancé mercredi 4 juin un dernier appel aux combattants des FDLR, au risque d’y être contraints par les forces de la Mission onusienne en RDC et l’armée congolaise.
LORD MBAKAMA
Re: ABBÉ MALU MALU toujours pareil, son scenario commence déjà, la majorité présidentielle allongée aux concertations en colère , LISANGA BONGANGA claque la porte car dupé. SUIVONS CA ÉPISODE PAR ÉPISODE
L'opposition doit faire du concret biloba loba trop s'ils ne sont pas d'accord qu'ils quittent la CENI et laisse MALU MALU seul baza kolia mbongo puisqu'ils sont payés.
Appeller où être plusieurs à envoyer des mails au patron de cette escroc.
ublique ».
« [Nous comptons] un, retirer nos délégués siégeant au bureau de la Ceni. Deux, traduire monsieur l’Abbé Malu malu en justice pour atteinte aux droits garantis aux particuliers et violation des lois de la République. Trois, mobiliser notre peuple afin de se prendre en charge », a affirmé Bruno Mavungu.
PASSER DES PAROLES AUX ACTES boni makele AGISSEZ...
Appeller où être plusieurs à envoyer des mails au patron de cette escroc.
ublique ».
« [Nous comptons] un, retirer nos délégués siégeant au bureau de la Ceni. Deux, traduire monsieur l’Abbé Malu malu en justice pour atteinte aux droits garantis aux particuliers et violation des lois de la République. Trois, mobiliser notre peuple afin de se prendre en charge », a affirmé Bruno Mavungu.
PASSER DES PAROLES AUX ACTES boni makele AGISSEZ...
mongo elombe
Re: ABBÉ MALU MALU toujours pareil, son scenario commence déjà, la majorité présidentielle allongée aux concertations en colère , LISANGA BONGANGA claque la porte car dupé. SUIVONS CA ÉPISODE PAR ÉPISODE
Ndenge ezali mama Mongo
Ba banda nanu ko retirer ba membres na bango...na CENI Eza nde ebandeli, soki ba zwi courage ya ko longola participation na bango na CENI...ensuite, ko contester Malu Malu e ko zala facile
Objectif ya liboso, ba longola Malu Malu...comme USA ia Feingold Russ a boyi calendrier ya Malu Malu suite logik ezali Malu Malu a longwa tout simplement
Ba banda nanu ko retirer ba membres na bango...na CENI Eza nde ebandeli, soki ba zwi courage ya ko longola participation na bango na CENI...ensuite, ko contester Malu Malu e ko zala facile
Objectif ya liboso, ba longola Malu Malu...comme USA ia Feingold Russ a boyi calendrier ya Malu Malu suite logik ezali Malu Malu a longwa tout simplement
GHOST
Re: ABBÉ MALU MALU toujours pareil, son scenario commence déjà, la majorité présidentielle allongée aux concertations en colère , LISANGA BONGANGA claque la porte car dupé. SUIVONS CA ÉPISODE PAR ÉPISODE
LA FIN DE L'AVENTURE ( misère e yeyeyeyeee mokili etelemeli yooo)
Malu-Malu : ".... le processus électoral doit d'abord être une affaire des congolais et congolaises...."
Malu-Malu : ".... le processus électoral doit d'abord être une affaire des congolais et congolaises...."
LORD MBAKAMA
Re: ABBÉ MALU MALU toujours pareil, son scenario commence déjà, la majorité présidentielle allongée aux concertations en colère , LISANGA BONGANGA claque la porte car dupé. SUIVONS CA ÉPISODE PAR ÉPISODE
LORD MBAKAMA a écrit:LA FIN DE L'AVENTURE ( misère e yeyeyeyeee mokili etelemeli yooo)
Malu-Malu : ".... le processus électoral doit d'abord être une affaire des congolais et congolaises...."
A LOBI POLELE..
Plan na ye na Kanambe? Recensement et cartes d´identités pour les électeurs
Stratégie ya liboso ...eza si simple JAMAIS RDC e ko koka ko salisa recensement pendant 2 ans..Impossible Preuve eza na ngo si simple: Banda ministre de l´Interieur a loba likambo ya recensemen, tiiii lelo oyo eleki combien des mois
To zwa lisolo ya ba cartes d´identité..Ba lobaka ete,batu nionso oyo ba zalaka na cartes d´électeurs ba ko zwa ba cartes d´identité automatiquemen...depuis premières élections eleki combien des années
LOKUTA tout simplemet, stratégie oyo ezali lokuta po na ko gagner temps..
Entre les lignes, peut-être Malu Malu a zo loba indirectement que Chine e ko financer ba élections soki USA eboyi?
GHOST
Re: ABBÉ MALU MALU toujours pareil, son scenario commence déjà, la majorité présidentielle allongée aux concertations en colère , LISANGA BONGANGA claque la porte car dupé. SUIVONS CA ÉPISODE PAR ÉPISODE
Malumalu continue sa propagande et sa planification pernicieuses !
Vite il faut arrêter ce dangereux apprenti-sorcier !
Il est plus que temps pour tous les Congolais de comprendre à cet instant Malu² est même plus néfaste que son commanditaire !
A bon entendeur...
Compatriotiquement!
PS
Ivre de sa gloire dans sa mégalomanie et vu la place capitale que lui accorde la croisade kanambiste, il en est carrément devenu fou et se met à déclarer n'importe quoi : une Commission électorale siégerait ainsi selon partout dans le monde... On croit rêver !
Je n'en connais aucune en Occident (Usa, France, UK, Allemagne, Belgique...); ce sont là des prérogatives du Ministère de l'Intérieur ou son équivalent, donc de l'exécutif normal et non d'une quelconque organe dont on devrait à l'occasion statuer sur son indépendance et de son impartialité...
Il faut arrêter nette la cavalcade folle et maléfique de ce petit homme, Kimalumalu !
Vite il faut arrêter ce dangereux apprenti-sorcier !
Il est plus que temps pour tous les Congolais de comprendre à cet instant Malu² est même plus néfaste que son commanditaire !
A bon entendeur...
"(...)Elections locales
La Prospérité titre « Eglise catholique, Malumalu s’explique devant les Responsables des Commissions Diocésaines Justice et Paix ! »(° http://laprosperiteonline.net/affi_article.php?id=2811 ). Voici ce qu’en dit ce journal :
« La Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI) vient de terminer une session spéciale de formation en faveur des Présidents des Commissions Diocésaines Justice et Paix (CDJP) de 47 diocèses de l’Eglise Catholique de la République Démocratique du Congo (RDC). Pendant deux jours, au Centre Saint Clément de Kintambo, 60 membres de la CDJP ont été outillés sur les techniques de communication et de formation en éducation civique électorale en rapport avec le processus électoral 2013-2016.
Dans la première journée du jeudi 5 juin 2014, les participants ont visionné le film « An african élections » de Jarreth Merz sur les élections présidentielles de 2008 au Ghana avant d’en tirer les leçons pour notre pays. Dans la soirée, le Président de la CENI a brossé le processus électoral en RDC, enjeux, défis et perspectives. Il a rappelé l’histoire politique des élections de la RDC, en passant aux options de la feuille de route de la CENI et sur les enjeux et défis de l’acte de vote qui regorge plusieurs dimensions : acte civique, démocratique, rituel social, inscrit dans l’histoire et dans un espace culturel, de civilité et de régularité. Avant de recommander aux participants de contribuer à la vulgarisation des textes légaux et à la mobilisation de la population par une formation et information électorale efficiente.
Au cours de la deuxième journée d’échanges avec les experts de la CENI, ce vendredi 6 juin, les participants à ce séminaire spécial ont eu droit à une série d’exposé portant notamment sur l’état des lieux du processus électoral, le défi de la fiabilisation du fichier électoral, le serveur central de la CENI et à une visite guidée au siège de l’institution de gestion des élections (OGE).
C’est ici que l’Abbé Président Apollinaire Malumalu a choisi de s’adresser à ses confrères sous forme de questions-réponses dans la salle de presse de la CENI.
Les questions soulevées par les participants ont tourné notamment autour des garanties d’indépendance de la CENI vis-à-vis des institutions partenaires comme le Gouvernement qui doit pourvoir en financement du processus électoral, le Parlement qui est appelé à voter les lois essentielles dans le délai, les Cours et tribunaux qui traitent des contentieux électoraux ainsi que les autres partenaires nationaux et internationaux actifs dans le processus électoral. Répondant aux préoccupations des uns et des autres, l’Abbé Malumalu a expliqué, en présence de ses collègues membres du bureau et de l’Assemblée Plénière, les trois dimensions de l’indépendance institutionnelle de la CENI.
Premièrement, il s’agit de l’indépendance structurelle qui repose essentiellement sur les textes fondateurs de l’OGE, les lois et la règlementation à la matière. Dans cette optique, le Président de la CENI a développé les valeurs légales garantissant l’indépendance consacrée de la CENI, en ce qui concerne notamment son autonomie administrative et financière, et sa force constitutionnelle d’action.
Deuxièmement : l’indépendance d’esprit qui doit caractériser chaque membre de la CENI, après la prestation de serment à la Cour Suprême de Justice. A ce niveau, les membres de la CENI sont tenus d’observer une attitude et un comportement de nature à préserver la hauteur de l’indépendance. C’est ainsi que le Président de la CENI a invité la communauté chrétienne Catholique à évaluer les faits et gestes de la CENI et de le juger sur le résultat.
Il a expliqué entre autre qu’après la prestation des serments, les membres de la CENI rompent automatiquement toute appartenance à son entité d’origine. Cette réalité se vit matériellement lors des réunions à l’Assemblée Plénière à travers lesquelles tous les débats sont ouverts sans jamais tenir compte d’une quelconque ingérence extérieure.
Troisièmement, l’indépendance d’action qui se concrétise au vu et au su de tout le monde à travers les faits et gestes des animateurs de la CENI. A ce sujet, les actions tout comme les décisions prises par cette dernière ne doivent souffrir d’aucune pesanteur politique, économique ou autre. Le cas de la publication du calendrier des élections urbaines, municipales et locales, illustre le plus clairement combien l’acte posé par la CENI peut à la fois engendrer des adhésions tout comme susciter des débats dans tous les sens. Et on ne doit pas se faire d’illusion, a indiqué l’Abbé Président, le calendrier est un résumé d’un plan opérationnel très détaillé qui est un ensemble des contraintes techniques et opérationnelles.
L’une des questions sensibles posées au Président de la CENI aurait été ce souci des participants d’en savoir davantage quant à la procédure de désignation des membres de la CENI, notamment à ce qui concerne l’élection du Président de l’OGE par les confessions religieuses de la RDC. A ce sujet, et sans détours, le Président de la CENI a éclairé la lanterne de ses hôtes en expliquant toute la procédure mise en place dan la désignation du représentant des confessions religieuses à la CENI. Il a rappelé que cette approche n’avait aucunement fait mention de candidature et que les huit confessions religieuses avaient défini elle-même les règles de jeu, le mode de désignation et la liberté accordée à chacune des confessions de designer une personnalité de son choix. En conclusion, et sans allez dans les détails, il a confirmé que le choix du Président de la CENI avait été soutenu par 7 des huit représentants des confessions religieuses réunis. Et, de rassurer les responsables des CDJP, qu’il reste et demeure prêtre Catholique dont la nomination a été renouvelée en septembre 2015 par l’autorité diocésaine de Butembo-Beni.
Enfin, clôturant son propos, tout en rappelant la pensée de Saint Pape Jean XXIII que l’Eglise est Mère et éducatrice (Mater et Magistra), l’Abbé Président de la CENI, a invité les CDJP a collaboré avec la CENI dans le cadre de la sensibilisation, de l’éducation civique et électorale, de la communication, observation et médiation électorale. Il a encouragé les CDJP de suivre le schéma de l’intégrité en développant leur esprit prophétique et en collaborant avec la Commission d’Intégrité et Médiation Electorale (CIME) instituée par les confessions religieuses en Mai 2014 pour ainsi participer à la consolidation de la démocratie et par ricochet le développement de notre cher et beau pays, la RDC ».
(On croit rêver et l’on se demande de qui on se paye la tête !
Confier à la CENI la responsabilité d’informer les membres des CDJP sur le processus électoral, cela revient à eu près à organiser une journée d’étude sur la question « Est-il sain de manger de la viande ? » et de confier la tâche d’informer les participants à la Fédération des bouchers-charcutiers.
D’autre part, Malu Malu n’a rien perdu du culot monumental avec lequel il assène, sur un ton d’orgueilleuse suffisance, les pires énormités. Chacun sait que la politisation excessive de la CENI est sa principale tare. Dès lors, l’abbé proclame que par une opération miraculeuse le fait de prêter serment libère chacun de ses attaches politiques ! Voilà une interprétation fort aventureuse de l’efficacité sacramentelle !
Il faut rappeler que les élections de novembre-décembre 2011 ont donné des résultats qu'une personne avisée, réfléchie, d’esprit libre et critique devrait considérer comme nuls, donc sans gagnant. La suite aurait dû être l'annulation pure et simple, des enquêtes sérieuses pour déterminer les causes et origines des irrégularités, qu’on en tire les conséquences quant aux futures élections.(...)
Malumalu, principal responsable de cette absurdité d’élections sans recensement préalable de la population, a été remis à la Présidence de la CENI, ce qui promet encore de beaux jours à l’avenir ! NdlR)"
° http://www.congoforum.be/fr/nieuwsdetail.asp?subitem=1&newsid=198689&Actualiteit=selected
Compatriotiquement!
PS
Ivre de sa gloire dans sa mégalomanie et vu la place capitale que lui accorde la croisade kanambiste, il en est carrément devenu fou et se met à déclarer n'importe quoi : une Commission électorale siégerait ainsi selon partout dans le monde... On croit rêver !
Je n'en connais aucune en Occident (Usa, France, UK, Allemagne, Belgique...); ce sont là des prérogatives du Ministère de l'Intérieur ou son équivalent, donc de l'exécutif normal et non d'une quelconque organe dont on devrait à l'occasion statuer sur son indépendance et de son impartialité...
Il faut arrêter nette la cavalcade folle et maléfique de ce petit homme, Kimalumalu !
"RDC: le calendrier électoral relève des «prérogatives de la Ceni», affirme Malumalu
° http://radiookapi.net/actualite/2014/06/08/rdc-le-calendrier-electoral-releve-des-prerogatives-de-la-ceni-affirme-malumalu/#.U5S4-tJ_sgc
«L’établissement du calendrier, ce sont les prérogatives de la Ceni. Et il en est ainsi partout au monde » a affirmé samedi 7 juin le président de la Commission électorale nationale indépendante (Ceni), abbé Apollinaire Malumalu, au sortir du bureau de l’Assemblée nationale où il est allé déposer le rapport annuel de son institution. Il a fait cette déclaration au moment où des voix s’élèvent au sein de la classe politique congolaise et de la communauté internationale pour dénoncer la publication du calendrier des élections municipales, urbaines et locales. Ces scrutins ont fixés pour 2015.(...)"
Dernière édition par ndonzwau le 8/6/2014, 10:50 pm, édité 1 fois
ndonzwau
Re: ABBÉ MALU MALU toujours pareil, son scenario commence déjà, la majorité présidentielle allongée aux concertations en colère , LISANGA BONGANGA claque la porte car dupé. SUIVONS CA ÉPISODE PAR ÉPISODE
En 2012 la présidente bis de la RDC aka Zanet demandait le recensement depuis 2012 tiii lelo rien et MALU MALU veut quoi? Il faut le faire partir bopesa adresse ya Vatican ya mba supérieurs na ye écrivons, téléphonons il faut le dégager...
http://www.rdcongoinfos.com/?p=1431
Ils vont faire des cartes pour les travailleurs étrangers et trouve normal que le congolais n'ait pas de pièce d'identité tout le monde ne peut pas acheter un passeport.
http://www.rdcongoinfos.com/?p=1431
Ils vont faire des cartes pour les travailleurs étrangers et trouve normal que le congolais n'ait pas de pièce d'identité tout le monde ne peut pas acheter un passeport.
mongo elombe
Re: ABBÉ MALU MALU toujours pareil, son scenario commence déjà, la majorité présidentielle allongée aux concertations en colère , LISANGA BONGANGA claque la porte car dupé. SUIVONS CA ÉPISODE PAR ÉPISODE
..INDEPENDANCE DE MALU MALU
Chaque fois qu´il s´exprime notre "pape" de la CENI ne manque jamais de souligner que...la CENI est une "institution independante" ..Toute fois, les lecteurs peuvent toujours se demander comment une ]b]"admnistration électorale"[/b]..peut devenir une "institution"..une 4 è au Congo où nous possedons 1. le Parlement (senat et assemblée) 2. La Présidence (et le gouvernement forment l´executif) 3. La Justice
Malu Malu tente de s´inventir une sorte d´institutionalité qui frise un "Pouvoir" comme les 3 qui sont constitutionels et universels
Sur Radio Okapi on peut lire ses dernières declarations quand il a deposé son calendrier au Parlement samedi passé Il affirme ceci ]b]" Le calendrier électoral relève des prérogatives de la Ceni...et il en est ainsi partout au monde..."[/b]
Au "monde"? dans les vielle démocraties, il n´existe pas de "CENI"..ce que l´admnistration électorale fait partie du ministère de l´Interieur ou de la Justice...Le "gouvernement" organise tout simplement les élections dans les vielles démocraties et non une "institution independante" composée..des partis politiques et de la soscieté civile
Dans les propos de Malu Malu..nous decouvrons une sorte d´arrogance et de defi où il semble dire que le Parlement ou le Gouvernement n´ont rien á dire sur le calendrier électoral Alors que ces "deux pouvoirs" decident en principe sur le financement, l´organisation pratique et des dates des élections..La Ceni n´est qu´une admnistration et non un "pouvoir" constitutionel
Chaque fois qu´il s´exprime notre "pape" de la CENI ne manque jamais de souligner que...la CENI est une "institution independante" ..Toute fois, les lecteurs peuvent toujours se demander comment une ]b]"admnistration électorale"[/b]..peut devenir une "institution"..une 4 è au Congo où nous possedons 1. le Parlement (senat et assemblée) 2. La Présidence (et le gouvernement forment l´executif) 3. La Justice
Malu Malu tente de s´inventir une sorte d´institutionalité qui frise un "Pouvoir" comme les 3 qui sont constitutionels et universels
Sur Radio Okapi on peut lire ses dernières declarations quand il a deposé son calendrier au Parlement samedi passé Il affirme ceci ]b]" Le calendrier électoral relève des prérogatives de la Ceni...et il en est ainsi partout au monde..."[/b]
Au "monde"? dans les vielle démocraties, il n´existe pas de "CENI"..ce que l´admnistration électorale fait partie du ministère de l´Interieur ou de la Justice...Le "gouvernement" organise tout simplement les élections dans les vielles démocraties et non une "institution independante" composée..des partis politiques et de la soscieté civile
Dans les propos de Malu Malu..nous decouvrons une sorte d´arrogance et de defi où il semble dire que le Parlement ou le Gouvernement n´ont rien á dire sur le calendrier électoral Alors que ces "deux pouvoirs" decident en principe sur le financement, l´organisation pratique et des dates des élections..La Ceni n´est qu´une admnistration et non un "pouvoir" constitutionel
GHOST
Re: ABBÉ MALU MALU toujours pareil, son scenario commence déjà, la majorité présidentielle allongée aux concertations en colère , LISANGA BONGANGA claque la porte car dupé. SUIVONS CA ÉPISODE PAR ÉPISODE
RDC: l'abbé Apollinaire Malu Malu pris la main dans le sac! Le président de la CENI serait-il l'homme par qui le Congo connaîtra le grand saut dans l'inconnu?
Calendrier Electoral: Malu Malu pris la main dans le sac!
Il y a quelques années le Congo-Zaïre côtoyait la grandeur! La grandeur était même congolaise(zaïroise). Aujourd'hui, le seul pays en Afrique si pas dans le monde, à avoir une frontière commune avec neuf États différents, ne peut même plus prétendre jouer ne fut-ce que dans la cour des grands des pays africains tellement que tous les secteurs de la vie nationale ont été plombés au fil des années. La faute à ses propres fils au premier rang desquels ceux qui se disent être investis de la mission de représenter Dieu et de parler en son nom ici sur terre.
De ces zèlés hommes de Dieu, on ne voit, dans la majorité des cas, rien qui puisse donner crédit à leur appréhension et prétention. Les mêmes vices qu'ils ne cessent de dénoncer à longueur des journées dans leurs prêches et homélies se trouvent être ce qui les caractérisent au premier degré. Ainsi il n'est donc pas rare et étonnant de voir un diacre, un pasteur, un bishop ou Archibishop sapeur, arrogant, orgueilleux, tricheur, escroc, receleur, cupide, coureur des jupons, fétichiste, militant et propagandiste d'un parti politique, agent double,...Rien donc ne les distingue de ces citoyens qu'ils ont pour habitude de vilipender et de qualifier comme des vulgaires et pervers mondains adonnés aux choses du monde pire des serviteurs de Satan. Même les abbés et prêtres de l'église catholique romaine à qui le peuple reconnaissait une certaine probité morale et leur témoignait une certaine estime ne semblent plus être à l'aise dans leur peau. Ils se sont carrément décidés à descendre de leur hauteur et à se jeter dans l'arène pour faire comme Monsieur tout le monde. Ils ne se démarquent plus de ces loups aux peaux d'agneau qui polluent l'atmosphère sur l'ensemble du territoire national.
L'abbé Apollinaire Malu Malu, celui qui a la baraka de se voir de nouveau confier les rênes de la structure habilitée à organiser des élections libres, transparentes et démocratiques à tous les niveaux d'ici 2016, vient d'être pris en flagrant délit de collusion avec les forces obscures dans l'exercice de ses fonctions par la communauté internationale. Celle-là même qui, à n'en point douter, s'est activée pour son retour aux affaires après les gribouillis que venait de nous gratifier un autre serviteur de Dieu aussi sinistre au nom de Daniel Ngoy Mulunda. Ainsi, point n'est besoin de rappeler que le prélat a, depuis son apparition sur la scène publique, pour habitude de narguer une bonne partie de l'opinion nationale par sa désinvolture et son arrogance qui ne cadrent nullement avec son sacerdoce. Jamais il n'a fait montre d'une humilité et d'une volonté de se constituer en église au milieu du village. Il passe le plus claire de son temps à imposer des choix qui trahissent la connivence avec un camp donné. Pourtant dans sa posture tout comme en politique d'ailleurs, s'aligner sur une pensée unique constituerait une faute grave. Une telle attitude de la part de quelqu'un supposé être impartial et au-dessus de la mêlée ne pourrait qu'à la longue entraîner le pays dans un cul-de-sac indescriptible.
Déjà lors des élections de 2006, l'abbé Malu Malu par sa façon de conduire la barque CEI, était à deux pas d'entrer dans l'histoire comme étant le catalyseur et instigateur de la somalisation du pays. N'eut été l'intervention énergique de cette même communauté internationale sur qui on semble tirer à boulets rouges aujourd'hui, la République n'allait que s'affairer à constater les dégâts et à recoller les morceaux après le passage d'un tsunami qui commençait déjà à montrer son visage dans la ville province de Kinshasa.
Alors qu'on se disait que la leçon tirée des dernières joutes électorales de 2011 allait finalement astreindre la CENI à élaguer une fois pour toute, les compromissions, les calculs politiciens qui ont toujours brillé en son sein, voici que notre cher expert aux affaires électorales vient de rappeler au bon savoir de tous qu'en RDC, Satan n'aurait été aussi proche que des serviteurs de Dieu. On croyait notre abbé parvenu à maîtriser ses désirs pour être sage après les quelques années sabbatiques passées loin du tourbillon électoral hélas... les choses semblent indiquer le contraire. Le contraire jusqu'à mettre la puce dans l'oreille de la Communauté internationale pour se souvenir du rôle qui devrait être le sien dans ce processus qui engage l'une de sa composante.
Le calendrier présenté par Malu Malu, qualifié de provocation et de machiavélique par l'opposition et une bonne frange de la population, vient d'être officiellement recalé par la communauté internationale par la bouche de ses envoyés spéciaux dont le représentant du gouvernement américain dans la région des Grands lacs, Russ Feingold. L'envoyé de l'administration Obama ne s'est pas économisé pour rappeler à l'ordre la CENI et son président tout en mettant en gardant le pouvoir contre toute tentative de sabordement de l'actuelle constitution. Le constat est d'aucune complaisance : un calendrier électoral biaisé sur toute la ligne avec comme soubassement la volonté de plaire à un groupe et d'atteindre un objectif inavoué. Devant toutes ces élucubrations, la question est de savoir pourquoi et comment l'opposition s'est-elle laissée aller jusqu'à cautionner le retour de ce prélat qui s'est toujours illustré en labourant dans son champ? Se pliait-elle à un diktat des puissances étrangères? Que font ses représentants au sein de cette commission? Des interrogations qui ne trouveront pas preneurs quand on sait la qualité des gens qui composent cette opposition dite institutionnelle. On ne peut donc hésiter d'insinuer avec la main sur le coeur que si les choses n'arrivent pas à bouger positivement de la manière que l'on souhaite dans ce pays c'est en partie à cause de cette opposition. Une opposition qui ne sait pas ce qu'elle veut, et qui veut une chose et son contraire à la fois. Comment avaliser le come back de Malu Malu et initier quelques jours après une pétition appelant à son départ ? L'opposition ne serait-elle pas un panier à crabes?
A la communauté internationale de prendre ses responsabilités si elle ne veut pas apparaître comme complice dans les différents drames que ne cesse de connaître le pays.
L'abbé Malu Malu a troqué depuis belle lurette son habit de serviteur de Dieu pour celui de factotum à la solde d'une organisation donnée. Sur ces entrefaites, les congolais devraient commencer à s'appesantir longuement sur le comportement de chacun de leurs acteurs politiques et sociaux sur la scène nationale. Le pays est à la dérive et cela commence à faire trop. La déculottée subie dernièrement par nos compatriotes au Congo - Brazzaville ne serait que la suite logique de notre propre nonchalance. Ne faudrait-il donc pas chercher à administrer au pays un traitement de choc pour essayer de le tirer vers le haut, de le débarrasser des pétrins voire de la voie de la balkanisation que l'abbé Apollinaire Malu Malu semble le précipiter? Qu'à cela ne tienne, loin d'en appeler à un quelconque tribalisme, régionalisme ou séparatisme, nous pensons que chaque tribu, chaque ethnie, chaque province devrait, devant l'ampleur de cette déliquescence morale, sociale et économique que nous connaissons, s'atteler à s'occuper à discipliner les siens et à prononcer le cas échéant, un anathème contre eux si jamais ils s'avèrent être ceux par qui le pays est mis en coupe réglée. Cela étant, nos compatriotes Nande devraient se désolidariser de l'abbé Malu Malu car son action à la tête de la CENI va à contre-courant des valeurs reconnues aux peuples Nande. La triche dans le chef du controversé président de la Céni ne plus à démontrer. De même toute la province martyre du Nord-Kivu devrait se charger de lui. Laisser le pouvoir actuel oeuvrer comme bon lui semble par l'entremise de l'abbé président de la Céni ne serait qu'une faute grave à laquelle aucun congolais de bonne foi ne pourrait ni se permettre ni pardonner à la communauté internationale. On sait comment s'installe et fonctionne le pouvoir en Afrique, un effort de la communauté internationale allant dans le sens d'imposer l'observation de l'impartialité à la Céni et le respect de la constitution actuelle ne serait que salué par toutes les populations rd congolaises lassées par une misère qui ne fait que les tenailler du jour au jour.
Compte tenu des divers avatars des hommes de Dieu, le peuple devrait cesser de leur confier son destin pour ne pas se voir berner et abuser au moment où il s'y attend le moins. Peut - être qu'un laïc se tirera mieux de l'affaire que nos burlesques serviteurs de Dieu. L'abbé Apollinaire Malu Malu s'apprêtant à asseoir la tricherie chercherait-il à justifier l'adage selon lequel il n'y a pas deux sans trois? A deux reprises le pays a connu des fortes convulsions de suite 《des prouesses》 des hommes de Dieu, la troisième ne le conduirait- il pas dans l'inconnu? Dans l'inconnu du genre hécatombe voire balkanisation?
Monsieur l'abbé président, en africains que nous sommes, on ne vous demande pas grand-chose! Juste un petit rien à l'instar de ce que le cadavre d'un être humain demande à un palmier : une simple feuille de rameau pour faire signaler sa présence. De même, le peuple vous demande simplement de l'impartialité dans la conduite de la commission électorale indépendante. Quoi de plus normal que la communauté internationale vous exhorte dans cette voie, elle qui est toujours venue à la rescousse quand le pays s'embrase. La lucidité vous aurait-elle quitté à cause de la gloire terrestre et des intérêts personnels? Voyez-vous comment votre pays est dans les mauvais draps? Même le farfelu Capitaine Haddock dans les aventures de Tintin réussit à retrouver de la lucidité quand le danger se profile à l'horizon. Serez-vous donc incapable de nous proposer autres choses que des pitreries? En retrouvant la raison, vous contribuerez pour une fois au bien de votre peuple longtemps meurtri et aiderez le pays à faire un pas de géant. Abstenez-vous donc de lui parler en charabia car le pays est dans le gouffre. L'amour de la patrie devrait donc l'emporter sur tout au risque de voir le pays sombrer demain. A moins que vous ne soyiez l'un de ceux qui complotent contre la République dans sa forme actuelle pour ne pas s'y résoudre. Monsieur l'abbé, n'avez-vous pas choisi de porter la croix comme Christ votre maître pour le bonheur de son peuple, de votre peuple? Vos ouailles et concitoyens vous attendent à l'oeuvre. Un sursaut d'orgueil de votre part sera suffisant pour mettre le Congo sur les rails. Allez-y donc!
Jean D. Bambale/ Congo24.net
Calendrier Electoral: Malu Malu pris la main dans le sac!
Il y a quelques années le Congo-Zaïre côtoyait la grandeur! La grandeur était même congolaise(zaïroise). Aujourd'hui, le seul pays en Afrique si pas dans le monde, à avoir une frontière commune avec neuf États différents, ne peut même plus prétendre jouer ne fut-ce que dans la cour des grands des pays africains tellement que tous les secteurs de la vie nationale ont été plombés au fil des années. La faute à ses propres fils au premier rang desquels ceux qui se disent être investis de la mission de représenter Dieu et de parler en son nom ici sur terre.
De ces zèlés hommes de Dieu, on ne voit, dans la majorité des cas, rien qui puisse donner crédit à leur appréhension et prétention. Les mêmes vices qu'ils ne cessent de dénoncer à longueur des journées dans leurs prêches et homélies se trouvent être ce qui les caractérisent au premier degré. Ainsi il n'est donc pas rare et étonnant de voir un diacre, un pasteur, un bishop ou Archibishop sapeur, arrogant, orgueilleux, tricheur, escroc, receleur, cupide, coureur des jupons, fétichiste, militant et propagandiste d'un parti politique, agent double,...Rien donc ne les distingue de ces citoyens qu'ils ont pour habitude de vilipender et de qualifier comme des vulgaires et pervers mondains adonnés aux choses du monde pire des serviteurs de Satan. Même les abbés et prêtres de l'église catholique romaine à qui le peuple reconnaissait une certaine probité morale et leur témoignait une certaine estime ne semblent plus être à l'aise dans leur peau. Ils se sont carrément décidés à descendre de leur hauteur et à se jeter dans l'arène pour faire comme Monsieur tout le monde. Ils ne se démarquent plus de ces loups aux peaux d'agneau qui polluent l'atmosphère sur l'ensemble du territoire national.
L'abbé Apollinaire Malu Malu, celui qui a la baraka de se voir de nouveau confier les rênes de la structure habilitée à organiser des élections libres, transparentes et démocratiques à tous les niveaux d'ici 2016, vient d'être pris en flagrant délit de collusion avec les forces obscures dans l'exercice de ses fonctions par la communauté internationale. Celle-là même qui, à n'en point douter, s'est activée pour son retour aux affaires après les gribouillis que venait de nous gratifier un autre serviteur de Dieu aussi sinistre au nom de Daniel Ngoy Mulunda. Ainsi, point n'est besoin de rappeler que le prélat a, depuis son apparition sur la scène publique, pour habitude de narguer une bonne partie de l'opinion nationale par sa désinvolture et son arrogance qui ne cadrent nullement avec son sacerdoce. Jamais il n'a fait montre d'une humilité et d'une volonté de se constituer en église au milieu du village. Il passe le plus claire de son temps à imposer des choix qui trahissent la connivence avec un camp donné. Pourtant dans sa posture tout comme en politique d'ailleurs, s'aligner sur une pensée unique constituerait une faute grave. Une telle attitude de la part de quelqu'un supposé être impartial et au-dessus de la mêlée ne pourrait qu'à la longue entraîner le pays dans un cul-de-sac indescriptible.
Déjà lors des élections de 2006, l'abbé Malu Malu par sa façon de conduire la barque CEI, était à deux pas d'entrer dans l'histoire comme étant le catalyseur et instigateur de la somalisation du pays. N'eut été l'intervention énergique de cette même communauté internationale sur qui on semble tirer à boulets rouges aujourd'hui, la République n'allait que s'affairer à constater les dégâts et à recoller les morceaux après le passage d'un tsunami qui commençait déjà à montrer son visage dans la ville province de Kinshasa.
Alors qu'on se disait que la leçon tirée des dernières joutes électorales de 2011 allait finalement astreindre la CENI à élaguer une fois pour toute, les compromissions, les calculs politiciens qui ont toujours brillé en son sein, voici que notre cher expert aux affaires électorales vient de rappeler au bon savoir de tous qu'en RDC, Satan n'aurait été aussi proche que des serviteurs de Dieu. On croyait notre abbé parvenu à maîtriser ses désirs pour être sage après les quelques années sabbatiques passées loin du tourbillon électoral hélas... les choses semblent indiquer le contraire. Le contraire jusqu'à mettre la puce dans l'oreille de la Communauté internationale pour se souvenir du rôle qui devrait être le sien dans ce processus qui engage l'une de sa composante.
Le calendrier présenté par Malu Malu, qualifié de provocation et de machiavélique par l'opposition et une bonne frange de la population, vient d'être officiellement recalé par la communauté internationale par la bouche de ses envoyés spéciaux dont le représentant du gouvernement américain dans la région des Grands lacs, Russ Feingold. L'envoyé de l'administration Obama ne s'est pas économisé pour rappeler à l'ordre la CENI et son président tout en mettant en gardant le pouvoir contre toute tentative de sabordement de l'actuelle constitution. Le constat est d'aucune complaisance : un calendrier électoral biaisé sur toute la ligne avec comme soubassement la volonté de plaire à un groupe et d'atteindre un objectif inavoué. Devant toutes ces élucubrations, la question est de savoir pourquoi et comment l'opposition s'est-elle laissée aller jusqu'à cautionner le retour de ce prélat qui s'est toujours illustré en labourant dans son champ? Se pliait-elle à un diktat des puissances étrangères? Que font ses représentants au sein de cette commission? Des interrogations qui ne trouveront pas preneurs quand on sait la qualité des gens qui composent cette opposition dite institutionnelle. On ne peut donc hésiter d'insinuer avec la main sur le coeur que si les choses n'arrivent pas à bouger positivement de la manière que l'on souhaite dans ce pays c'est en partie à cause de cette opposition. Une opposition qui ne sait pas ce qu'elle veut, et qui veut une chose et son contraire à la fois. Comment avaliser le come back de Malu Malu et initier quelques jours après une pétition appelant à son départ ? L'opposition ne serait-elle pas un panier à crabes?
A la communauté internationale de prendre ses responsabilités si elle ne veut pas apparaître comme complice dans les différents drames que ne cesse de connaître le pays.
L'abbé Malu Malu a troqué depuis belle lurette son habit de serviteur de Dieu pour celui de factotum à la solde d'une organisation donnée. Sur ces entrefaites, les congolais devraient commencer à s'appesantir longuement sur le comportement de chacun de leurs acteurs politiques et sociaux sur la scène nationale. Le pays est à la dérive et cela commence à faire trop. La déculottée subie dernièrement par nos compatriotes au Congo - Brazzaville ne serait que la suite logique de notre propre nonchalance. Ne faudrait-il donc pas chercher à administrer au pays un traitement de choc pour essayer de le tirer vers le haut, de le débarrasser des pétrins voire de la voie de la balkanisation que l'abbé Apollinaire Malu Malu semble le précipiter? Qu'à cela ne tienne, loin d'en appeler à un quelconque tribalisme, régionalisme ou séparatisme, nous pensons que chaque tribu, chaque ethnie, chaque province devrait, devant l'ampleur de cette déliquescence morale, sociale et économique que nous connaissons, s'atteler à s'occuper à discipliner les siens et à prononcer le cas échéant, un anathème contre eux si jamais ils s'avèrent être ceux par qui le pays est mis en coupe réglée. Cela étant, nos compatriotes Nande devraient se désolidariser de l'abbé Malu Malu car son action à la tête de la CENI va à contre-courant des valeurs reconnues aux peuples Nande. La triche dans le chef du controversé président de la Céni ne plus à démontrer. De même toute la province martyre du Nord-Kivu devrait se charger de lui. Laisser le pouvoir actuel oeuvrer comme bon lui semble par l'entremise de l'abbé président de la Céni ne serait qu'une faute grave à laquelle aucun congolais de bonne foi ne pourrait ni se permettre ni pardonner à la communauté internationale. On sait comment s'installe et fonctionne le pouvoir en Afrique, un effort de la communauté internationale allant dans le sens d'imposer l'observation de l'impartialité à la Céni et le respect de la constitution actuelle ne serait que salué par toutes les populations rd congolaises lassées par une misère qui ne fait que les tenailler du jour au jour.
Compte tenu des divers avatars des hommes de Dieu, le peuple devrait cesser de leur confier son destin pour ne pas se voir berner et abuser au moment où il s'y attend le moins. Peut - être qu'un laïc se tirera mieux de l'affaire que nos burlesques serviteurs de Dieu. L'abbé Apollinaire Malu Malu s'apprêtant à asseoir la tricherie chercherait-il à justifier l'adage selon lequel il n'y a pas deux sans trois? A deux reprises le pays a connu des fortes convulsions de suite 《des prouesses》 des hommes de Dieu, la troisième ne le conduirait- il pas dans l'inconnu? Dans l'inconnu du genre hécatombe voire balkanisation?
Monsieur l'abbé président, en africains que nous sommes, on ne vous demande pas grand-chose! Juste un petit rien à l'instar de ce que le cadavre d'un être humain demande à un palmier : une simple feuille de rameau pour faire signaler sa présence. De même, le peuple vous demande simplement de l'impartialité dans la conduite de la commission électorale indépendante. Quoi de plus normal que la communauté internationale vous exhorte dans cette voie, elle qui est toujours venue à la rescousse quand le pays s'embrase. La lucidité vous aurait-elle quitté à cause de la gloire terrestre et des intérêts personnels? Voyez-vous comment votre pays est dans les mauvais draps? Même le farfelu Capitaine Haddock dans les aventures de Tintin réussit à retrouver de la lucidité quand le danger se profile à l'horizon. Serez-vous donc incapable de nous proposer autres choses que des pitreries? En retrouvant la raison, vous contribuerez pour une fois au bien de votre peuple longtemps meurtri et aiderez le pays à faire un pas de géant. Abstenez-vous donc de lui parler en charabia car le pays est dans le gouffre. L'amour de la patrie devrait donc l'emporter sur tout au risque de voir le pays sombrer demain. A moins que vous ne soyiez l'un de ceux qui complotent contre la République dans sa forme actuelle pour ne pas s'y résoudre. Monsieur l'abbé, n'avez-vous pas choisi de porter la croix comme Christ votre maître pour le bonheur de son peuple, de votre peuple? Vos ouailles et concitoyens vous attendent à l'oeuvre. Un sursaut d'orgueil de votre part sera suffisant pour mettre le Congo sur les rails. Allez-y donc!
Jean D. Bambale/ Congo24.net
Mathilde
Re: ABBÉ MALU MALU toujours pareil, son scenario commence déjà, la majorité présidentielle allongée aux concertations en colère , LISANGA BONGANGA claque la porte car dupé. SUIVONS CA ÉPISODE PAR ÉPISODE
Des brigands invétérés :
Guerre de leadership à l’opposition républicaine : Lisanga Bonganga chasse Kengo
(KINSHASA)- Le mariage est définitivement rompu entre les deux leaders de l’opposition pro-concertation Léon Kengo wa Dondo et Jean Pierre Lisanga Bonganga.
Lisanga a annoncé dimanche à la presse la décision prise par la convention de leur plateforme de supprimer l’organe autorité morale. En supprimant cet organe, Léon Kengo disparait également, a-t-il dit. Nous avons décidé de ne plus ajouter cet organe parce qu’il n’a pas sa raison d’être, a déclaré le leader des Fac/opposition et coordonnateur de l’opposition républicaine. Il a ajouté que tous les responsables des partis qui ont été à la base de la création de cette plateforme, ont décidé à l’unanimité de maintenir seulement la plénière, le conseil national et la coordination sauf l’organe autorité morale. ‘‘Au moment où cet organe n’existe plus, automatiquement la personne qui incarnait cet organe, ne peut plus se prévaloir être autorité morale. Ce n’est pas un problème personnel avec Kengo pour qui nous avons beaucoup de respects mais c’est la décision de la convention’’, a précisé Jean Pierre Lisanga Bonganga. Pour lui, Kengo et ses amis ont quitté la plateforme de lors qu’ils ont opté pour la révision constitutionnelle. Nous avons dit non à la révision constitutionnelle mais Kengo pensait nous embarquer dans cette voie, a rappelé un proche de Lisanga Bonganga. Le leader des Fac/Opposition insiste partout que la priorité de son regroupement en participant aux concertations nationales n’était pas d’intégrer le gouvernement de cohésion nationale annoncé loin après par le président Kabila mais plutôt obtenir l’amnistie pour les opposants emprisonnés injustement.
Il cite les cas Kuthino, Diomi, Lumbala, Mbonekube, Willy Mishiki dont les dossiers pourrissent dans les tiroirs. Le coordonnateur de l’opposition républicaine se plaint de la mauvaise foi de la majorité présidentielle qui foule aux pieds les recommandations des concertations. ‘‘Notre priorité n’était pas le gouvernement de cohésion nationale mais plutôt la libération de nos collègues de l’opposition. Mais, nous avons constaté la mauvaise foi manifeste de la majorité au pouvoir pour la non matérialisation et la non réalisation des recommandations des concertations nationales’’, a-t-il affirmé. Il dit savoir désormais à quel interlocuteur ils ont à faire. Jean Pierre Lisanga indique qu’à la convention, la résolution pour la libération des opposants a été adressée une fois de plus au pouvoir en place pour qu’il tienne compte de ça. Pourquoi l’application de la loi d’amnistie est sélective et ne concerne que les gens du M23, s’est interrogé Lisanga. Lors de la même convention, a fait savoir Lisanga Bonganga, le calendrier de Malu malu a été rejeté. L’opposition républicaine milite pour qu’on commence d’abord par la présidentielle et les législatives nationales en 2016 pour éviter des manœuvres toute prolongation de l’actuel président. ‘‘Si nous avons des élections en 2015, on risque d’avancer des prétextes fallacieux pour renvoyer la présidentielle dans deux ou trois ans’’, s’est dit inquiet le coordonnateur de l’opposition républicaine. Dans les prochains, le leadership de cette plateforme de l’opposition politique annonce qu’il va constituer un front républicain et populaire pour qu’on ne touche à aucun article de la constitution. Le slogan créé d’ailleurs à la fin de cette convention est éloquent. - Révision constitutionnelle, Non, non, non et non, - Présidence à vie, non, non et non, a entonné le leader des Fac/ Opposition. L’opposition républicaine envisage mobiliser la population, comme l’ont recommandé les évêques, pour barrer la route aux caciques du pouvoir qui veulent prolonger le mandat du président Kabila.
Guerre de leadership à l’opposition républicaine : Lisanga Bonganga chasse Kengo
(KINSHASA)- Le mariage est définitivement rompu entre les deux leaders de l’opposition pro-concertation Léon Kengo wa Dondo et Jean Pierre Lisanga Bonganga.
Lisanga a annoncé dimanche à la presse la décision prise par la convention de leur plateforme de supprimer l’organe autorité morale. En supprimant cet organe, Léon Kengo disparait également, a-t-il dit. Nous avons décidé de ne plus ajouter cet organe parce qu’il n’a pas sa raison d’être, a déclaré le leader des Fac/opposition et coordonnateur de l’opposition républicaine. Il a ajouté que tous les responsables des partis qui ont été à la base de la création de cette plateforme, ont décidé à l’unanimité de maintenir seulement la plénière, le conseil national et la coordination sauf l’organe autorité morale. ‘‘Au moment où cet organe n’existe plus, automatiquement la personne qui incarnait cet organe, ne peut plus se prévaloir être autorité morale. Ce n’est pas un problème personnel avec Kengo pour qui nous avons beaucoup de respects mais c’est la décision de la convention’’, a précisé Jean Pierre Lisanga Bonganga. Pour lui, Kengo et ses amis ont quitté la plateforme de lors qu’ils ont opté pour la révision constitutionnelle. Nous avons dit non à la révision constitutionnelle mais Kengo pensait nous embarquer dans cette voie, a rappelé un proche de Lisanga Bonganga. Le leader des Fac/Opposition insiste partout que la priorité de son regroupement en participant aux concertations nationales n’était pas d’intégrer le gouvernement de cohésion nationale annoncé loin après par le président Kabila mais plutôt obtenir l’amnistie pour les opposants emprisonnés injustement.
Il cite les cas Kuthino, Diomi, Lumbala, Mbonekube, Willy Mishiki dont les dossiers pourrissent dans les tiroirs. Le coordonnateur de l’opposition républicaine se plaint de la mauvaise foi de la majorité présidentielle qui foule aux pieds les recommandations des concertations. ‘‘Notre priorité n’était pas le gouvernement de cohésion nationale mais plutôt la libération de nos collègues de l’opposition. Mais, nous avons constaté la mauvaise foi manifeste de la majorité au pouvoir pour la non matérialisation et la non réalisation des recommandations des concertations nationales’’, a-t-il affirmé. Il dit savoir désormais à quel interlocuteur ils ont à faire. Jean Pierre Lisanga indique qu’à la convention, la résolution pour la libération des opposants a été adressée une fois de plus au pouvoir en place pour qu’il tienne compte de ça. Pourquoi l’application de la loi d’amnistie est sélective et ne concerne que les gens du M23, s’est interrogé Lisanga. Lors de la même convention, a fait savoir Lisanga Bonganga, le calendrier de Malu malu a été rejeté. L’opposition républicaine milite pour qu’on commence d’abord par la présidentielle et les législatives nationales en 2016 pour éviter des manœuvres toute prolongation de l’actuel président. ‘‘Si nous avons des élections en 2015, on risque d’avancer des prétextes fallacieux pour renvoyer la présidentielle dans deux ou trois ans’’, s’est dit inquiet le coordonnateur de l’opposition républicaine. Dans les prochains, le leadership de cette plateforme de l’opposition politique annonce qu’il va constituer un front républicain et populaire pour qu’on ne touche à aucun article de la constitution. Le slogan créé d’ailleurs à la fin de cette convention est éloquent. - Révision constitutionnelle, Non, non, non et non, - Présidence à vie, non, non et non, a entonné le leader des Fac/ Opposition. L’opposition républicaine envisage mobiliser la population, comme l’ont recommandé les évêques, pour barrer la route aux caciques du pouvoir qui veulent prolonger le mandat du président Kabila.
LORD MBAKAMA
Re: ABBÉ MALU MALU toujours pareil, son scenario commence déjà, la majorité présidentielle allongée aux concertations en colère , LISANGA BONGANGA claque la porte car dupé. SUIVONS CA ÉPISODE PAR ÉPISODE
..CENI, VERS L`EXCUSE....
Sous un visage de l´intransigeance où ceux de la CENI continuent á insister qu´il faut modifier la Constitution en privant les congolais du droit de voter les Gouverneurs des provinces et même que les élections seraient conditionées au "recensement"..la CENI est en réalité entrain de ..reculer et prepare le terrain mediatique pour sa defaite
Dans le Potentiel et Radio Okapi, un membre de la CENI annonce qu´il sera impossible d´organiser les élections locales et urbaines sans un budget En clair, la CENI ne possede pas les ressources financières pour appliquer ce plan que Malu Malu impose avec une modification de la Constitution..
E la CENI ajoute qu´elle ne peut pas "publier" un calendrier global sans...posseder un financement... Malu Malu semble au bord de la défaite ce qu´une grande portion du financement doit venir de l´exterieur..les USA et l´UE où on exige que la CENI laisse tomber les élections locales et urbaines...et surtout laisse tomber cette histoire de la modification de la Constitution...en se concentrant en priorité sur les élections législatives et présidentielles
Intransigeance de Malu Malu WAIT AND SEE.. La pression de l opposition continue et doit s´intensifier quand on approche du mois d´août où Joé Kanambe devra Voyager aux USA
Sous un visage de l´intransigeance où ceux de la CENI continuent á insister qu´il faut modifier la Constitution en privant les congolais du droit de voter les Gouverneurs des provinces et même que les élections seraient conditionées au "recensement"..la CENI est en réalité entrain de ..reculer et prepare le terrain mediatique pour sa defaite
Dans le Potentiel et Radio Okapi, un membre de la CENI annonce qu´il sera impossible d´organiser les élections locales et urbaines sans un budget En clair, la CENI ne possede pas les ressources financières pour appliquer ce plan que Malu Malu impose avec une modification de la Constitution..
E la CENI ajoute qu´elle ne peut pas "publier" un calendrier global sans...posseder un financement... Malu Malu semble au bord de la défaite ce qu´une grande portion du financement doit venir de l´exterieur..les USA et l´UE où on exige que la CENI laisse tomber les élections locales et urbaines...et surtout laisse tomber cette histoire de la modification de la Constitution...en se concentrant en priorité sur les élections législatives et présidentielles
Intransigeance de Malu Malu WAIT AND SEE.. La pression de l opposition continue et doit s´intensifier quand on approche du mois d´août où Joé Kanambe devra Voyager aux USA
GHOST
Re: ABBÉ MALU MALU toujours pareil, son scenario commence déjà, la majorité présidentielle allongée aux concertations en colère , LISANGA BONGANGA claque la porte car dupé. SUIVONS CA ÉPISODE PAR ÉPISODE
Exclusif! Affaire LISANGA BONGANGA - KENGO WA DONDO : MFUMU NTOTO tranche
Mathilde
Re: ABBÉ MALU MALU toujours pareil, son scenario commence déjà, la majorité présidentielle allongée aux concertations en colère , LISANGA BONGANGA claque la porte car dupé. SUIVONS CA ÉPISODE PAR ÉPISODE
"(...)Processus électoral
Politique encore à la Une du Phare qui s’intéresse à ce qu’il qualifie de bras de fer entre la Ceni et les opposants sous le titre « Ceni – Opposition: l’heure de vérité». (° http://www.lephareonline.net/ceni-opposition-lheure-de-verite/ )
Il faut rappeler que les élections de novembre-décembre 2011 ont donné des résultats qu'une personne avisée, réfléchie, d’esprit libre et critique devrait considérer comme nuls, donc sans gagnant. La suite aurait dû être l'annulation pure et simple, des enquêtes sérieuses pour déterminer les causes et origines des irrégularités, qu’on en tire les conséquences quant aux futures élections. Il aurait dû y avoir une protestation générale des démocrates de tous les partis, car un démocrate ne saurait accepter que son candidat gagne par la fraude, la corruption et le mensonge. Au lieu de quoi on n’a assisté qu’à des élucubrations pour défendre la victoire « officielle » de JKK, et à d’autres élucubrations pour défendre celle, tout aussi hypothétique, de Tshisekedi.
Les élections de 2011 avaient été organisées, tout comme celles de 2006, en faisant voter un « corps électoral inconnu », faute de recensement préalable de la population. Ce fait à lui seul suffirait à en « plomber » gravement la crédibilité. Elles ont, par-dessus le marché, été entachées de fraudes et de manipulations à un point tel qu’elles ont donné des résultats qui, en réalité, sont encore inconnus[1]. Toute autorité prétendue ne relève plus que de la force, de l’intimidation, d’un coup d’état de fait. Le principal ressort de ce coup d’état consiste à progresser, comme si de rien n’était, dans les tâches qui suivent normalement une élection et à mettre le pays et le monde devant le fait accompli. Malumalu, principal responsable de cette absurdité d’élections sans recensement préalable de la population, a été remis à la Présidence de la CENI, ce qui promet encore de beaux jours à l’avenir !
Et c’est précisément l’inquiétude engendrée par cette « CENI sauce Malu Malu » qui est à base des faits décrits par Le Phare. Ce journal écrit
« Les partis de l’Opposition regroupés au sein de la plate-forme « Forces Politiques et Sociales pour l’Unité d’Actions » étaient face à la presse hier à la paroisse Notre Dame de Fatima, dans la commune de la Gombe. C’était pour annoncer des actions à mener dans un proche avenir en vue de la « lutter pour la résolution de la crise de légitimité née des élections chaotiques du 28 novembre 2011 ; contrer tout changement ou révision de la Constitution avant les élections de 2016 ; Obtenir la convocation d’un Dialogue inclusif conformément à l’Accord-cadre d’Addis-Abeba ainsi que la Résolution 2098 du Conseil de Sécurité des Nations Unies ; restructurer la CENI et arrêter par consensus un calendrier électoral ; arracher la libération sans conditions de tous les détenus politiques et d’opinions».
Dans le lot de ces pressions, ils parlent de la « saisine de la justice contre monsieur l’abbé Malumalu pour atteinte aux droits garantis aux particuliers, violation de la Constitution et des lois de la République ; retrait des délégués des Forces Politiques et Sociales de l’Opposition siégeant à la CENI ; tenue des meetings populaires, l’organisation des marches pacifiques et d’autres actions jugées salutaires pour mobiliser notre peuple conformément à l’article 64 de la Constitution ».
Ainsi qu’on le voit, les hostilités restent ouvertes entre l’Opposition et la CENI. Et pour confirmer la rupture avec cette institution d’appui à la démocratie, Bruno Mavungu (UDPS), Martin Fayulu (Fac/Ecide) et Jean-Bertrand Ewanga (UNC/CVD) ont fait savoir, à travers un document signé de commun accord, avoir écrit aux partis de leur plate-forme ayant des délégués à la CENI de « prendre toutes les dispositions qui s’imposent afin d’obtenir de leurs groupes parlementaires respectifs le retrait des membres de l’Opposition qu’ils ont mandatés à la CENI ».
L’heure de vérité vient par conséquent de sonner entre la Ceni et l’Opposition, à charge pour cette dernière de démontrer à l’opinion tant nationale qu’internationale qu’elle est capable de s’assumer dans son bras de fer avec la première citée. L’attention de la majorité silencieuse va se porter particulièrement sur ce qui apparaît, jusque-là, comme une simple menace de retrait de ses délégués du Bureau de la CENI. La grande interrogation reste de savoir si, cette fois, les représentants de cette famille politique au sein du bureau que pilote l’abbé Apollinaire Malumalu vont accepter de renoncer à leurs plantureux émoluments et à leurs honneurs.
La « rébellion » de certains députés de l’UDPS, qui étaient passés outre la décision de leur hiérarchie leur interdisant de siéger à l’Assemblée Nationale pour le compte de la législature en cours, est si fraîche dans les mémoires que l’on doute fort de voir Gustave Omba (UNC), Kalamba (UDPS) et Micheline Ilemba (MLC) rendre leurs tabliers.
Le boycott des activités du bureau souhaité
Une certaine opinion pense qu’au lieu d’aller au-devant d’un échec, en forçant un retrait incertain, l’Opposition ferait mieux de maintenir ses délégués au bureau de la CENI mais de leur donner plutôt la consigne de boycotter toute possibilité de réalisation d’un consensus autour des décisions à adopter. L’absence de consensus devrait en principe bloquer l’abbé Malumalu et les autres membres du Bureau soupçonnés de vouloir faire charcuter la Constitution en vue de tripatouiller le cycle électoral de 2014 à 2016.
En cas de violation du principe du consensus consigné dans le Règlement intérieur de la CENI, les délégués de l’Opposition devraient à chaque fois donner l’alerte afin que l’opinion tant nationale qu’internationale soit largement informée des passages en force des tenants de la révision constitutionnelle, du suffrage indirect pour les scrutins des députés provinciaux et de la modification du nombre des mandats du Chef de l’Etat.
Leur refus de cautionner les actes contraires à la Constitution et à la loi électorale devrait être exprimé à visages découverts et non en circuit fermé, comme cela aurait été le cas lors de la publication du calendrier électoral. En effet, après trois mois de silence, des langues commencent à se délier pour soutenir que les délégués de l’Opposition au bureau de la CENI n’auraient pas signé le procès-verbal de l’Assemblée plénière ayant avalisé un calendrier électoral partiel. Comment croire pareille chose dès lors que les intéressés avaient préféré se taire, pour des raisons inavouées ?
S’agissant des actions de rue et autres pétitions, leur réussite va dépendre de la capacité de l’UDPS, des FAC, de l’Ecide, de l’UNC et de la CVD d’assurer la cohésion de leur front commun et à résister aux entreprises de débauchage, très courante sur la scène politique congolaise, où la politique du ventre fait des ravages dans le cercle de faux « chauves ».(...)"
° http://www.congoforum.be/fr/nieuwsdetail.asp?subitem=1&newsid=199030&Actualiteit=selected
Compatriotiquement!
ndonzwau
Re: ABBÉ MALU MALU toujours pareil, son scenario commence déjà, la majorité présidentielle allongée aux concertations en colère , LISANGA BONGANGA claque la porte car dupé. SUIVONS CA ÉPISODE PAR ÉPISODE
FLASH: APOLLINAIRE MALU MALU, PRESIDENT DE LA CENI, INTERROGE DEPUIS CE MATIN AU PARQUET GENERAL
par FreeDiomi le 11 août 2014
L ABBE MALU MALU A RECU UNE CONVOCATION CE MATIN CHEZ-LUI PAR DES INSPECTEURS DU PARQUET ET IL S EST RENDUI PAR LA SUITE AU PARQUET GENERAL DE LA REPUBLIQUE.
SELON LA TV TELE 50 IL SERAIT DEJA PLACE EN ETAT D ARRESTATION MAIS L INFO RESTE A CONFIRMER
IL EST INTERROGE PAR RAPPORT A LA PLAINTE DEPOSEE PAR LES FORCES POLITIQUES ET SOCIALES POUR L UNITE D ACTION CONTRE LE TOUT PUISSANT PRESIDENT DE LA CENI ENTRE AUTRE POUR ABUS DE POUVOIR.
EN CE MOMENT IL EST TOUJOURS AU PARQUET GENERAL.
AFFAIRE A SUIVRE
MISE A JOUR A 13H46
EN ANNEXE, LA PLAINTE DE L OPPOSITION POLITIQUE CONTRE MALU MALU:
http://democratiechretienne.org/2014/06/26/plainte-de-lopposition-contre-labbe-malu-malu-dc-mpp/
http://democratiechretienne.org/2014/08/11/flash-apollinaire-malu-malu-arrete-depuis-ce-matin/
par FreeDiomi le 11 août 2014
L ABBE MALU MALU A RECU UNE CONVOCATION CE MATIN CHEZ-LUI PAR DES INSPECTEURS DU PARQUET ET IL S EST RENDUI PAR LA SUITE AU PARQUET GENERAL DE LA REPUBLIQUE.
SELON LA TV TELE 50 IL SERAIT DEJA PLACE EN ETAT D ARRESTATION MAIS L INFO RESTE A CONFIRMER
IL EST INTERROGE PAR RAPPORT A LA PLAINTE DEPOSEE PAR LES FORCES POLITIQUES ET SOCIALES POUR L UNITE D ACTION CONTRE LE TOUT PUISSANT PRESIDENT DE LA CENI ENTRE AUTRE POUR ABUS DE POUVOIR.
EN CE MOMENT IL EST TOUJOURS AU PARQUET GENERAL.
AFFAIRE A SUIVRE
MISE A JOUR A 13H46
EN ANNEXE, LA PLAINTE DE L OPPOSITION POLITIQUE CONTRE MALU MALU:
http://democratiechretienne.org/2014/06/26/plainte-de-lopposition-contre-labbe-malu-malu-dc-mpp/
http://democratiechretienne.org/2014/08/11/flash-apollinaire-malu-malu-arrete-depuis-ce-matin/
KOTA
Re: ABBÉ MALU MALU toujours pareil, son scenario commence déjà, la majorité présidentielle allongée aux concertations en colère , LISANGA BONGANGA claque la porte car dupé. SUIVONS CA ÉPISODE PAR ÉPISODE
http://democratiechretienne.org/2014/06/26/plainte-de-lopposition-contre-labbe-malu-malu-dc-mpp/
KOTA
Re: ABBÉ MALU MALU toujours pareil, son scenario commence déjà, la majorité présidentielle allongée aux concertations en colère , LISANGA BONGANGA claque la porte car dupé. SUIVONS CA ÉPISODE PAR ÉPISODE
"Malumalu auditionné : Une farce judiciaire signée «Joseph Kabila»
° http://www.congoindependant.com/article.php?articleid=9185
C’est la "nouvelle" du jour : "Malumalu auditionné au parquet général de la République". A Kinshasa, la "nouvelle" était diffusée en boucle...sur la très kabiliste "Télé50" que dirige le très kabiliste Jean-Marie Kassamba. Motif : une plainte déposée contre le président de la Céni (Commission électorale nationale indépendante) par des partis de l’opposition. La plainte date du 26 juin dernier. Interdiction de rire.
Bruxelles. Lundi 11 août. Il est 15h00. Le téléphone retentit à la rédaction de Congo Indépendant. C’est un appel "00243". "Avez-vous suivi l’annonce qui passe en boucle sur Télé50?", interroge le correspondant kinois. "Il semble que l’abbé Malumalu a été auditionné au parquet général de la République et mis aux arrêts", ajoute-t-il. Que lui reproche-t-on? "Il semble que c’est en rapport avec la plainte que des représentants des forces politiques et sociales avaient déposé contre lui le 26 juin dernier accusant le président de la Céni d’atteinte aux droits garantis aux particuliers et violation des lois de la République".
Dans la capitale congolaise, aucune source sérieuse n’accordait la moindre crédibilité à cette histoire qualifiée au demeurant de "farce judiciaire" par les uns et de "grande comédie du pouvoir" par d’autres. A tort? "Nullement, commente un observateur du système kabiliste. Le seul fait que la nouvelle ait été lancée par le média de Jean-Marie Kassamba trahi la supercherie. Kassamba fait partie du premier cercle du pouvoir kabiliste au même titre que Malumalu". Notre interlocuteur d’ajouter :"Je ne vois pas Joseph Kabila livrer en pâture un Apollinaire Malumalu qui lui a rendu d’éminents services : l’élection présidentielle de 2006, le pilotage de plusieurs réunions de paix dont le programme Amani et les négociations de Kampala entre le gouvernement de Kinshasa avec les rebelles du M23".
Quid?
Une source non-autrement identifiée de confier à l’AFP qu’elle a bel et bien vu Apollinaire Malumalu se faire auditionner par un inspecteur judiciaire au parquet général de la République. Pour quel fait? Mystère. Ayant rang de ministre, le président de la Céni ne devait-il pas être "interrogé" par un des avocats généraux de la république? Abordé par l’Agence française, Georges Kapiamba, président de l’Association pour l’accès à la justice (Acaj), se fondant sur des sources judiciaires, assure que le président de la Céni "a reçu une invitation pour aller répondre suite à une plainte que des partis de l’opposition avaient déposée contre lui".
L’avocat Kapiamba de lancer une hypothèse qui se murmure tout bas dans le Tout-Kinshasa. A savoir que l’arrestation et l’incarcération à Makala de Jean-Bertrand Ewanga, secrétaire général de l’UNC (Union pour la nation Congolaise), la justice congolaise en général et le procureur général de la République (PGR) en particulier a provoqué une vive émotion au sein de l’opinion tant nationale qu’internationale. En cause, l’inféodation de l’appareil judiciaire à l’institution président de la République. Selon Kapiamba, en auditionnant Malumalu, l’objectif poursuivi par le PGR est d’"atténuer le choc provoqué par l’arrestation de Jean-Bertrand Ewanga". Celui-ci, qui est député national, a été accusé d’"offense au chef de l’Etat" à l’issue d’un meeting organisé le 4 août.
Un analyste de conclure : "Depuis l’arrestation d’Ewanga, Joseph Kabila et les durs de son régime font face à des pressions diplomatiques accrues. Cette affaire Malumalu n’est qu’une opération de diversion. D’ailleurs, la plainte déposée contre le président de la Céni avait provoqué des éclats de rire dans les milieux de la majorité présidentielle. De qui se moque-t-on? En réalité, le raïs ne sait comment faire relâcher le secrétaire général de l’UNC sans perdre la face et surtout sans confirmer l’instrumentalisation de la justice..."."
"RDC: le président de la Ceni auditionné au Parquet général de la République
° http://radiookapi.net/actualite/2014/08/11/rdc-le-president-de-la-ceni-auditionne-au-parquet-general-de-la-republique/
Le président de la Commission électorale nationale indépendante (Ceni), Abbé Apollinaire Malumalu a été auditionné au Parquet général de la République ce lundi 11 août dans la matinée à Kinshasa. Il a ensuite été relâché après cette audition dans le cadre d’une procédure pré-juridictionnelle à la suite d’une plainte de l’opposition, ont indiqué en début d’après-midi des sources proches du Parquet, sans préciser les faits qui lui sont reprochés. Mais, le conseiller en communication de l’abbé Malumalu a fait savoir que ce dernier répondait à «une invitation lui adressé en bonne et due forme par le Parquet général de la République.»
D’après les sources proches du Parquet général de la République, il s’agit d’une procédure ordinaire. Apollinaire Malumalu ayant rang de ministre, son arrestation implique la levée des immunités dont il est couvert. Pour cela, le Parquet devra écrire à l’Assemblée nationale pour obtenir cette levée d’immunités.
S’exprimant sous le sceau de l’anonymat, les mêmes sources indiquent qu’Apollinaire Malumalu devait répondre à une invitation dans le cadre d’une instruction pré-juridictionnelle déjà amorcée à la suite d’une plainte de l’opposition. Celle-ci l’accuse d’atteinte aux droits garantis aux particuliers et de délit d’initié. Des infractions punissables au regard du code pénal congolais et de la loi du 27 avril 2010 relative aux marchés publics.
Une centaine d’opposants avaient déposé leur plainte au parquet le 26 juin dernier pour solliciter l’arrestation d’Apollinaire Malumalu pour ces allégations.
«Une invitation en bonne et due forme»
Pour sa part, le conseiller en communication de l’abbé Malumalu, Delion Kimbulungu, a confirmé cette audition, précisant que le président de la Ceni répondait à une invitation du pouvoir justicière pour parler des questions relatives au processus électoral:
«Ce qui l’a passé à aller répondre à cette invitation lui adressé en bonne et due forme par le Parquet général de la République, c’était de pouvoir éclairer la justice congolaise sur un certain nombre de dossiers qui touche au processus électoral. C’est de sa responsabilité. […] Il y a quelques mois, il a été au Parlement pour éclairer la lanterne des députés sur le déroulement [de ce processus].»
Ecoutez Délion Kimbulungu:"Télécharger
"RDC : pourquoi l'abbé Malumalu, président de la Ceni, a été entendu par la justice
° http://www.jeuneafrique.com/Article/ARTJAWEB20140811165109/justice-ceni-rdc-apollinaire-malumalu-justice-congolaise-rdc-pourquoi-l-abbe-malumalu-president-de-la-ceni-a-ete-entendu-par-la-justice.html
Selon plusieurs sources concordantes, l'abbé Apollinaire Malumalu, président de la Commission électorale nationale indépendante (Ceni) de la RDC, a été convoqué lundi au bureau du procureur général de la République à Kinshasa. Pour quel motif ?
L'information est partie de Télé 50, une chaîne réputée proche du pouvoir congolais, mais qui pourtant n'y est pas allé de main morte. "Mise aux arrêts ce matin [11 août] à Kinshasa de l'abbé Apollinaire Malumalu, président de la Ceni [Commission nationale électorale indépendante, NDRL]", a-t-elle annoncé sur son site internet. Quelques minutes plus tard, la nouvelle s'est répandue sur les réseaux sociaux.
"Affaire privée" ou "violation de la Constitution" ?
Qu'en est-il réellement ? En fait, l'abbé Malumalu n'a pas été arrêté, comme annoncé sur Télé 50. "Il a été convoqué auprès d'un inspecteur du parquet général de la République où il a été brièvement entendu", selon une source proche du dossier. "Rien de très grave", souligne-t-elle. Après l'interrogatoire, le président de la Ceni se serait d'ailleurs mis en route pour le Bas-Congo, à l'ouest de Kinshasa, pour une mission de sensibilisation.
Il s'agirait donc d'une "affaire privée", dit-on dans l'entourage du ministère congolais en charge de la Communication. Rien à voir avec la récente organisation de l'élection législative unique dans la circonscription de Befale, en Équateur, comme le laissaient déjà entendre certaines rumeurs.
Il s'agirait d'une audition concernant la plainte de plusieurs partis d'opposition contre la Ceni devant la Cour suprême de justice.
Contacté par Jeune Afrique, Délion Kimpulumpu, un des conseillers de l'abbé Malumalu, n'a pas souhaité commenté le fond de l'affaire. Il n'a ni confirmé ni infirmé la convocation du président de la Ceni devant la justice. "Nous nous s'apprêtons à faire une mise au point sur la question", s'est-il contenté de répondre.
Mais à en croire certaines indiscrétions au sein du bureau même de la Ceni à Kinshasa, un litige oppose l'institution électorale et les partis politiques d'opposition regroupés au sein de la plateforme "Sauvons la RDC". Ces derniers ont déposé une plainte devant la Cour suprême de justice contre la Ceni, accusée de violation de la Constitution pour avoir proposé notamment le suffrage indirect aux prochaines élections provinciales. On le soupçonnerait également de délit d'initiés pour violation de la loi électorale, qui exige que les agents responsables de la Céni soient engagés après un appel d'offre. Après avoir entendu les membres de l'opposition, c'était au tour de la Ceni d'être interrogée sur le dossier...
Au sortir de son audition, l'abbé Malumalu a tenu à rassurer tout le monde. "Je n'ai pas été arrêté (...) Je suis venu éclaircir le procureur (...) sur ce dont il avait besoin et puis j'ai rencontré l'inspecteur général de la République", a-t-il expliqué, sans donner plus de détails sur le fond de l'affaire. "C'est une procédure normale, qu'il ne faut pas dramatiser, ni transformer. Il y a des gens qui attendent (...) que je sois arrêté : je voudrais leur dire qu'ils se trompent lourdement", a martelé le président de la Ceni."
Compatriotiquement!
ndonzwau
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