Histoire inspirante
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congodiaspora :: DIVERS :: Divers
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Histoire inspirante
Une histoire vraie !!! (Auteur Xavier).
Dans une petite ville de l'Indiana, Tom, un garçon de 15 ans, fut atteint d'une tumeur au cerveau.
La chimiothérapie lui fit perdre tous ses cheveux, et il appréhendait beaucoup de revenir au lycée… chauve.
Il imaginait déjà le regard des autres, les filles qui le montraient du doigt, les moqueries.
Ses parents l'accompagnèrent jusqu'au lycée en voiture.
En s'approchant, il vit un de ses copains qui arrivait, lui aussi… chauve.
Puis un autre. Et encore un autre.
En arrivant au lycée, il finit par comprendre :
Tous les élèves de sa classe s'étaient fait tondre!
D'un coup, l'appréhension, la honte, la peur s'envolèrent comme par enchantement. Des larmes de joie et de bonheur lui vinrent aux yeux.
.o0o.
Ceci est une histoire vraie.
Et vous?
Qu'allez-vous faire aujourd'hui pour donner du bonheur à une autre personne?
Les camarades de Tom lui ont fait un cadeau qui valait bien plus que tous les « cadeaux » habituels possibles.
Pourquoi?
Parce que la gêne et la honte sont des émotions très lourdes à porter. Et que plus le poids est lourd, plus il est agréable d'en être soulagé.
Mais ce cadeau demandait une qualité rare : la faculté de se mettre à la place de l'autre, l'empathie.
Il est toujours agréable de faire des cadeaux, mais difficile de les réussir.
Cela demande comme le dit un dicton indien, de "mettre les mocassins de l'autre", de s'imaginer ce qui lui fera plaisir.
Il ne suffit pas d'entrer dans un magasin de cadeaux.
Souvent, nous offrons un cadeau qui nous ferait plaisir à nous-mêmes, mais dont l'autre n'a que faire.
"On ne voit bien qu'avec le cœur. L'essentiel est invisible pour les yeux" dit le Petit Prince. C'est avec le cœur qu'il faut choisir ses cadeaux.
Un "merci" est un cadeau. Un compliment sincère est un cadeau. Un encouragement est un cadeau. Et la bonne nouvelle est que plus vous donnerez de cadeaux, plus vous en recevrez!
Tous ces cadeaux demandent d'ouvrir notre esprit aux autres de manière positive. Pour dire merci, il faut se rendre compte que l'autre a fait quelque chose pour vous alors qu'il n'y était nullement obligé. Pour complimenter, il faut poser un regard positif sur l'autre, voire un regard d'amour.
Pour encourager, il faut apprécier ce que l'autre a fait de positif et écarter le négatif de notre vision.
Le meilleur cadeau: offrir du bonheur. Partager son bonheur. Rendre l'autre heureux. Cela demande de se rendre disponible, en se sortant de nos préoccupations, de ressentir, au risque d'être blessé, d'aimer, en prenant le risque d'être rejeté.
Xavier
Hmmm ! Merci Xavier, Na teyami !..
Dans une petite ville de l'Indiana, Tom, un garçon de 15 ans, fut atteint d'une tumeur au cerveau.
La chimiothérapie lui fit perdre tous ses cheveux, et il appréhendait beaucoup de revenir au lycée… chauve.
Il imaginait déjà le regard des autres, les filles qui le montraient du doigt, les moqueries.
Ses parents l'accompagnèrent jusqu'au lycée en voiture.
En s'approchant, il vit un de ses copains qui arrivait, lui aussi… chauve.
Puis un autre. Et encore un autre.
En arrivant au lycée, il finit par comprendre :
Tous les élèves de sa classe s'étaient fait tondre!
D'un coup, l'appréhension, la honte, la peur s'envolèrent comme par enchantement. Des larmes de joie et de bonheur lui vinrent aux yeux.
.o0o.
Ceci est une histoire vraie.
Et vous?
Qu'allez-vous faire aujourd'hui pour donner du bonheur à une autre personne?
Les camarades de Tom lui ont fait un cadeau qui valait bien plus que tous les « cadeaux » habituels possibles.
Pourquoi?
Parce que la gêne et la honte sont des émotions très lourdes à porter. Et que plus le poids est lourd, plus il est agréable d'en être soulagé.
Mais ce cadeau demandait une qualité rare : la faculté de se mettre à la place de l'autre, l'empathie.
Il est toujours agréable de faire des cadeaux, mais difficile de les réussir.
Cela demande comme le dit un dicton indien, de "mettre les mocassins de l'autre", de s'imaginer ce qui lui fera plaisir.
Il ne suffit pas d'entrer dans un magasin de cadeaux.
Souvent, nous offrons un cadeau qui nous ferait plaisir à nous-mêmes, mais dont l'autre n'a que faire.
"On ne voit bien qu'avec le cœur. L'essentiel est invisible pour les yeux" dit le Petit Prince. C'est avec le cœur qu'il faut choisir ses cadeaux.
Un "merci" est un cadeau. Un compliment sincère est un cadeau. Un encouragement est un cadeau. Et la bonne nouvelle est que plus vous donnerez de cadeaux, plus vous en recevrez!
Tous ces cadeaux demandent d'ouvrir notre esprit aux autres de manière positive. Pour dire merci, il faut se rendre compte que l'autre a fait quelque chose pour vous alors qu'il n'y était nullement obligé. Pour complimenter, il faut poser un regard positif sur l'autre, voire un regard d'amour.
Pour encourager, il faut apprécier ce que l'autre a fait de positif et écarter le négatif de notre vision.
Le meilleur cadeau: offrir du bonheur. Partager son bonheur. Rendre l'autre heureux. Cela demande de se rendre disponible, en se sortant de nos préoccupations, de ressentir, au risque d'être blessé, d'aimer, en prenant le risque d'être rejeté.
Xavier
Hmmm ! Merci Xavier, Na teyami !..
Zik
Re: Histoire inspirante
Zik a écrit: Une histoire vraie !!! (Auteur Xavier).
Dans une petite ville de l'Indiana, Tom, un garçon de 15 ans, fut atteint d'une tumeur au cerveau.
La chimiothérapie lui fit perdre tous ses cheveux, et il appréhendait beaucoup de revenir au lycée… chauve.
Il imaginait déjà le regard des autres, les filles qui le montraient du doigt, les moqueries.
Ses parents l'accompagnèrent jusqu'au lycée en voiture.
En s'approchant, il vit un de ses copains qui arrivait, lui aussi… chauve.
Puis un autre. Et encore un autre.
En arrivant au lycée, il finit par comprendre :
Tous les élèves de sa classe s'étaient fait tondre!
D'un coup, l'appréhension, la honte, la peur s'envolèrent comme par enchantement. Des larmes de joie et de bonheur lui vinrent aux yeux.
.o0o.
Ceci est une histoire vraie.
Et vous?
Qu'allez-vous faire aujourd'hui pour donner du bonheur à une autre personne?
Les camarades de Tom lui ont fait un cadeau qui valait bien plus que tous les « cadeaux » habituels possibles.
Pourquoi?
Parce que la gêne et la honte sont des émotions très lourdes à porter. Et que plus le poids est lourd, plus il est agréable d'en être soulagé.
Mais ce cadeau demandait une qualité rare : la faculté de se mettre à la place de l'autre, l'empathie.
Il est toujours agréable de faire des cadeaux, mais difficile de les réussir.
Cela demande comme le dit un dicton indien, de "mettre les mocassins de l'autre", de s'imaginer ce qui lui fera plaisir.
Il ne suffit pas d'entrer dans un magasin de cadeaux.
Souvent, nous offrons un cadeau qui nous ferait plaisir à nous-mêmes, mais dont l'autre n'a que faire.
"On ne voit bien qu'avec le cœur. L'essentiel est invisible pour les yeux" dit le Petit Prince. C'est avec le cœur qu'il faut choisir ses cadeaux.
Un "merci" est un cadeau. Un compliment sincère est un cadeau. Un encouragement est un cadeau. Et la bonne nouvelle est que plus vous donnerez de cadeaux, plus vous en recevrez!
Tous ces cadeaux demandent d'ouvrir notre esprit aux autres de manière positive. Pour dire merci, il faut se rendre compte que l'autre a fait quelque chose pour vous alors qu'il n'y était nullement obligé. Pour complimenter, il faut poser un regard positif sur l'autre, voire un regard d'amour.
Pour encourager, il faut apprécier ce que l'autre a fait de positif et écarter le négatif de notre vision.
Le meilleur cadeau: offrir du bonheur. Partager son bonheur. Rendre l'autre heureux. Cela demande de se rendre disponible, en se sortant de nos préoccupations, de ressentir, au risque d'être blessé, d'aimer, en prenant le risque d'être rejeté.
Xavier
Hmmm ! Merci Xavier, Na teyami !..
Une tres belle histoire !! Ngai pe na teyami !
_________________
[b]“Le deuil, c’est pour la vie. Ca ne s’en va jamais, ça fait progressivement partie de vous, à chaque pas, à chaque souffle.”
Mathilde
Re: Histoire inspirante
L'ADIEU DE WINNIE MANDELA A SON "HOMME"
" Seule, je te revois dans ce township d’Alexandra où, au détour d’une ruelle, j’aperçus ta longue silhouette au milieu d’une bande de jeunes. Seule, je pense à ce jour où tu m’as proposé de devenir ta femme. Seule, je pense à ces petits rares moments d’évasion dont nous pouvions profiter. Seule, je pense à ce jour où tu as rencontré mon père pour demander ma main. Seule, je pense à cette phrase de mon père « Nelson est un garçon charmant, tu peux l’épouser mais le choisir c’est épouser un combat et non un homme ».
J’ai compris aujourd’hui que j’ai épousé le combat, ton combat, le combat de ta bande avec les BUTHELEZI, SISULU Walter, Oliver Tambo et autres. J’ai appris à lutter à vos côtés. J’ai intégré le système très tôt. J’ai, inconsciemment peut-être, décidé de jouer ma partition. J’ai, peut-être pour prouver à tes compagnons que tu avais choisi la femme qu’il fallait, opté pour l’incarnation de l’aile dure. Puis arriva ce jour sombre de ton arrestation. Jour sombre, ai-je dit ! Il l’était pour moi or c’était le jour de gloire puisque tu me disais lors de mes visites bien surveillées à Roben Island que « ta victoire a commencé le jour de ton arrestation ». Plus tard, après plus de quinze années de bagne, tu n’as pas hésité à me dire « Winnie, tu te bats bien pour ma libération mais tu m’abats avec ton comportement. Je suis au courant pour le jeune avocat et je te comprends : la solitude peut être le lit de la débauche pour une femme qui n’a jamais pu savourer son mariage. Je ne t’en voudrai jamais. Je te porte dans ma chair Winnie ». Oui, Nelson, tu avais vu juste. Tu me comprenais seulement la compréhension ne doit pas être une légitimation et c’est ce que je n’ai pas pu comprendre assez tôt d’où mon escapade nocturne le jour de ta sortie de prison devant les caméras du monde entier. A ta libération, j’étais fière de toi, fière de ton endurance, fière de ta victoire et indigne voire indignée d’autant que je ne méritai plus d’être à tes côtés ou de te prendre la main. J’étais une étrangère à tes côtés. Je te sentais plus comme un père.
Ta décision de partir, de t’éloigner de moi, de divorcer ne m’a point surpris. Je voulais ce divorce. Je n’osais pas prendre l’initiative par peur de te faire souffrir encore. J’ai applaudi lorsque tu as choisi MACHEL. Pleine de grâce, de douceur, dévouée, câline, discrète, profondément amoureuse de toi, fidèle et généreuse avec notre progéniture, j’ai tout de suite compris qu’elle allait t’offrir toute cette affection qui t’a tant manquée.
Mon cher époux,
Je ne prie pas pour toi, Dieu a donné des signaux rassurants quant à ta place dans l’au-delà. Je veux ici et pour toujours te dire combien je t’aime. Je n’aurai pas la chance de prononcer un discours devant ces 80 milles personnes réunies à Sowéto pour te rendre hommage. Si cette chance m’était offerte, je t’aurai simplement demandé pardon car tu avais choisi Winnie pour gagner à tous les niveaux. Tu avais choisi Winnie pour réussir ta vie. Malheureusement, la femme que je suis a confondu « la victoire du bonheur » et « le bonheur de la victoire ». Tu as eu le second par ton propre combat et je n’ai pas su t’offrir le premier. Mea culpa, Nelson. Je te demanderai simplement dans les cieux de ne pas penser à ce jour où tu m’as dit « nous ne vieillirons pas ensemble ».
Pense plutôt Nelson à ce jour où tu m’as dit « je veux mourir tout contre toi ». C’est vrai Nelson, le bonheur se conjugue souvent au passé. Bon voyage. Love you, my husband.
" Seule, je te revois dans ce township d’Alexandra où, au détour d’une ruelle, j’aperçus ta longue silhouette au milieu d’une bande de jeunes. Seule, je pense à ce jour où tu m’as proposé de devenir ta femme. Seule, je pense à ces petits rares moments d’évasion dont nous pouvions profiter. Seule, je pense à ce jour où tu as rencontré mon père pour demander ma main. Seule, je pense à cette phrase de mon père « Nelson est un garçon charmant, tu peux l’épouser mais le choisir c’est épouser un combat et non un homme ».
J’ai compris aujourd’hui que j’ai épousé le combat, ton combat, le combat de ta bande avec les BUTHELEZI, SISULU Walter, Oliver Tambo et autres. J’ai appris à lutter à vos côtés. J’ai intégré le système très tôt. J’ai, inconsciemment peut-être, décidé de jouer ma partition. J’ai, peut-être pour prouver à tes compagnons que tu avais choisi la femme qu’il fallait, opté pour l’incarnation de l’aile dure. Puis arriva ce jour sombre de ton arrestation. Jour sombre, ai-je dit ! Il l’était pour moi or c’était le jour de gloire puisque tu me disais lors de mes visites bien surveillées à Roben Island que « ta victoire a commencé le jour de ton arrestation ». Plus tard, après plus de quinze années de bagne, tu n’as pas hésité à me dire « Winnie, tu te bats bien pour ma libération mais tu m’abats avec ton comportement. Je suis au courant pour le jeune avocat et je te comprends : la solitude peut être le lit de la débauche pour une femme qui n’a jamais pu savourer son mariage. Je ne t’en voudrai jamais. Je te porte dans ma chair Winnie ». Oui, Nelson, tu avais vu juste. Tu me comprenais seulement la compréhension ne doit pas être une légitimation et c’est ce que je n’ai pas pu comprendre assez tôt d’où mon escapade nocturne le jour de ta sortie de prison devant les caméras du monde entier. A ta libération, j’étais fière de toi, fière de ton endurance, fière de ta victoire et indigne voire indignée d’autant que je ne méritai plus d’être à tes côtés ou de te prendre la main. J’étais une étrangère à tes côtés. Je te sentais plus comme un père.
Ta décision de partir, de t’éloigner de moi, de divorcer ne m’a point surpris. Je voulais ce divorce. Je n’osais pas prendre l’initiative par peur de te faire souffrir encore. J’ai applaudi lorsque tu as choisi MACHEL. Pleine de grâce, de douceur, dévouée, câline, discrète, profondément amoureuse de toi, fidèle et généreuse avec notre progéniture, j’ai tout de suite compris qu’elle allait t’offrir toute cette affection qui t’a tant manquée.
Mon cher époux,
Je ne prie pas pour toi, Dieu a donné des signaux rassurants quant à ta place dans l’au-delà. Je veux ici et pour toujours te dire combien je t’aime. Je n’aurai pas la chance de prononcer un discours devant ces 80 milles personnes réunies à Sowéto pour te rendre hommage. Si cette chance m’était offerte, je t’aurai simplement demandé pardon car tu avais choisi Winnie pour gagner à tous les niveaux. Tu avais choisi Winnie pour réussir ta vie. Malheureusement, la femme que je suis a confondu « la victoire du bonheur » et « le bonheur de la victoire ». Tu as eu le second par ton propre combat et je n’ai pas su t’offrir le premier. Mea culpa, Nelson. Je te demanderai simplement dans les cieux de ne pas penser à ce jour où tu m’as dit « nous ne vieillirons pas ensemble ».
Pense plutôt Nelson à ce jour où tu m’as dit « je veux mourir tout contre toi ». C’est vrai Nelson, le bonheur se conjugue souvent au passé. Bon voyage. Love you, my husband.
Zik
Re: Histoire inspirante
Zik a écrit:L'ADIEU DE WINNIE MANDELA A SON "HOMME"
" Seule, je te revois dans ce township d’Alexandra où, au détour d’une ruelle, j’aperçus ta longue silhouette au milieu d’une bande de jeunes. Seule, je pense à ce jour où tu m’as proposé de devenir ta femme. Seule, je pense à ces petits rares moments d’évasion dont nous pouvions profiter. Seule, je pense à ce jour où tu as rencontré mon père pour demander ma main. Seule, je pense à cette phrase de mon père « Nelson est un garçon charmant, tu peux l’épouser mais le choisir c’est épouser un combat et non un homme ».
J’ai compris aujourd’hui que j’ai épousé le combat, ton combat, le combat de ta bande avec les BUTHELEZI, SISULU Walter, Oliver Tambo et autres. J’ai appris à lutter à vos côtés. J’ai intégré le système très tôt. J’ai, inconsciemment peut-être, décidé de jouer ma partition. J’ai, peut-être pour prouver à tes compagnons que tu avais choisi la femme qu’il fallait, opté pour l’incarnation de l’aile dure. Puis arriva ce jour sombre de ton arrestation. Jour sombre, ai-je dit ! Il l’était pour moi or c’était le jour de gloire puisque tu me disais lors de mes visites bien surveillées à Roben Island que « ta victoire a commencé le jour de ton arrestation ». Plus tard, après plus de quinze années de bagne, tu n’as pas hésité à me dire « Winnie, tu te bats bien pour ma libération mais tu m’abats avec ton comportement. Je suis au courant pour le jeune avocat et je te comprends : la solitude peut être le lit de la débauche pour une femme qui n’a jamais pu savourer son mariage. Je ne t’en voudrai jamais. Je te porte dans ma chair Winnie ». Oui, Nelson, tu avais vu juste. Tu me comprenais seulement la compréhension ne doit pas être une légitimation et c’est ce que je n’ai pas pu comprendre assez tôt d’où mon escapade nocturne le jour de ta sortie de prison devant les caméras du monde entier. A ta libération, j’étais fière de toi, fière de ton endurance, fière de ta victoire et indigne voire indignée d’autant que je ne méritai plus d’être à tes côtés ou de te prendre la main. J’étais une étrangère à tes côtés. Je te sentais plus comme un père.
Ta décision de partir, de t’éloigner de moi, de divorcer ne m’a point surpris. Je voulais ce divorce. Je n’osais pas prendre l’initiative par peur de te faire souffrir encore. J’ai applaudi lorsque tu as choisi MACHEL. Pleine de grâce, de douceur, dévouée, câline, discrète, profondément amoureuse de toi, fidèle et généreuse avec notre progéniture, j’ai tout de suite compris qu’elle allait t’offrir toute cette affection qui t’a tant manquée.
Mon cher époux,
Je ne prie pas pour toi, Dieu a donné des signaux rassurants quant à ta place dans l’au-delà. Je veux ici et pour toujours te dire combien je t’aime. Je n’aurai pas la chance de prononcer un discours devant ces 80 milles personnes réunies à Sowéto pour te rendre hommage. Si cette chance m’était offerte, je t’aurai simplement demandé pardon car tu avais choisi Winnie pour gagner à tous les niveaux. Tu avais choisi Winnie pour réussir ta vie. Malheureusement, la femme que je suis a confondu « la victoire du bonheur » et « le bonheur de la victoire ». Tu as eu le second par ton propre combat et je n’ai pas su t’offrir le premier. Mea culpa, Nelson. Je te demanderai simplement dans les cieux de ne pas penser à ce jour où tu m’as dit « nous ne vieillirons pas ensemble ».
Pense plutôt Nelson à ce jour où tu m’as dit « je veux mourir tout contre toi ». C’est vrai Nelson, le bonheur se conjugue souvent au passé. Bon voyage. Love you, my husband.
whaoow......tres emouvant,respect a toi Winnie Mandela,grande dame!!
_________________
[b]“Le deuil, c’est pour la vie. Ca ne s’en va jamais, ça fait progressivement partie de vous, à chaque pas, à chaque souffle.”
Mathilde
Re: Histoire inspirante
Une histoire publiée par CYRIL G.
Il était une fois, au pays des mille et une nuits, un roi très critiqué pour ses actes de guerre. Une fois qu'il avait
fait prisonniers tous ses ennemis, il les conviait dans une grande salle.
Le roi criait :
- je vais vous donner une dernière chance. Regardez tous à droite.
Tous tournaient la tête vers une rangée de soldats armés d'arcs et de flèches,
prêts à leur tirer dessus.
- Maintenant, disait le roi, regardez tous à gauche.
Dans cette direction, les prisonniers pouvaient apercevoir une gigantesque porte noire d'aspect dantesque
incrustée de crânes humains sanguinolents, de mains décharnées, de morceaux de cadavre
en putréfaction. Une porte d'aspect infernal...qui les faisait frissonner d'horreur.
Le roi se positionnait au centre de la salle.
- Ecoutez moi tous. Que désirez-vous le plus ? Mourir transpercés par les flèches de mes archers ou bien
tenter votre chance et passer le seuil de la porte noire ? Décidez-vous, je respecterai le choix de votre libre
arbitre...
Tous les prisonniers adoptaient le même comportement : au moment de se décider, ils approchaient de la porte
géante, lui jetait un regard tourmenté et se prononçaient en tremblant :
- Nous préférons mourir sous tes flèches !
Aucun d'entre eux n'osait ouvrir la porte, imaginant quelle insoutenable destin il trouverait là derrière.
Mais un jour, la guerre fut terminée. Et un soldat qui faisait partie autrefois du peloton d'exécution des
archers, osa interroger le roi :
- Tu sais, grand roi, je me suis toujours demandé ce qu'il y avait derrière la porte noire.
Le roi répondit :
- Tu te souviens que je donnais le choix aux prisonniers ? Ils pouvaient pousser la porte ou opter pour une mort certaine.
Eh bien, toi, vas ouvrir la porte noire !
Le soldat, frémissant, s'exécuta et la porte tourna sur ses énormes gonds grinçant. Un pur rayon soleil balaya
le sol dallé. Alors le soldat ouvrit la porte en grand. La lumière inonda la salle. Elle provenait d'un paysage
verdoyant. Le soldat vit un chemin qui montait au milieu des arbres. Et il comprit : ce chemin, c'était
celui de la liberté !
.........................................................
Nous avons tous une porte noire dans l'esprit. Pour les uns c'est la peur de l'inconnu, pour les autres, un client
difficile, la frustration, la crainte du ridicule, celle du risque, celle d'être rejeté, d'innover, de changer...
Mais s'il est vrai qu'on peut perdre, il est également vrai qu'on peut gagner !
Derrière la peur, se trouve le rayon de soleil. Derrière le chaos apparent, il y a peut être une nouvelle étape de
votre vie, plus heureuse, plus sereine. Ne vous désespérez pas en temps de crise... avancez sans peur. Décidez de
triompher !
Il était une fois, au pays des mille et une nuits, un roi très critiqué pour ses actes de guerre. Une fois qu'il avait
fait prisonniers tous ses ennemis, il les conviait dans une grande salle.
Le roi criait :
- je vais vous donner une dernière chance. Regardez tous à droite.
Tous tournaient la tête vers une rangée de soldats armés d'arcs et de flèches,
prêts à leur tirer dessus.
- Maintenant, disait le roi, regardez tous à gauche.
Dans cette direction, les prisonniers pouvaient apercevoir une gigantesque porte noire d'aspect dantesque
incrustée de crânes humains sanguinolents, de mains décharnées, de morceaux de cadavre
en putréfaction. Une porte d'aspect infernal...qui les faisait frissonner d'horreur.
Le roi se positionnait au centre de la salle.
- Ecoutez moi tous. Que désirez-vous le plus ? Mourir transpercés par les flèches de mes archers ou bien
tenter votre chance et passer le seuil de la porte noire ? Décidez-vous, je respecterai le choix de votre libre
arbitre...
Tous les prisonniers adoptaient le même comportement : au moment de se décider, ils approchaient de la porte
géante, lui jetait un regard tourmenté et se prononçaient en tremblant :
- Nous préférons mourir sous tes flèches !
Aucun d'entre eux n'osait ouvrir la porte, imaginant quelle insoutenable destin il trouverait là derrière.
Mais un jour, la guerre fut terminée. Et un soldat qui faisait partie autrefois du peloton d'exécution des
archers, osa interroger le roi :
- Tu sais, grand roi, je me suis toujours demandé ce qu'il y avait derrière la porte noire.
Le roi répondit :
- Tu te souviens que je donnais le choix aux prisonniers ? Ils pouvaient pousser la porte ou opter pour une mort certaine.
Eh bien, toi, vas ouvrir la porte noire !
Le soldat, frémissant, s'exécuta et la porte tourna sur ses énormes gonds grinçant. Un pur rayon soleil balaya
le sol dallé. Alors le soldat ouvrit la porte en grand. La lumière inonda la salle. Elle provenait d'un paysage
verdoyant. Le soldat vit un chemin qui montait au milieu des arbres. Et il comprit : ce chemin, c'était
celui de la liberté !
.........................................................
Nous avons tous une porte noire dans l'esprit. Pour les uns c'est la peur de l'inconnu, pour les autres, un client
difficile, la frustration, la crainte du ridicule, celle du risque, celle d'être rejeté, d'innover, de changer...
Mais s'il est vrai qu'on peut perdre, il est également vrai qu'on peut gagner !
Derrière la peur, se trouve le rayon de soleil. Derrière le chaos apparent, il y a peut être une nouvelle étape de
votre vie, plus heureuse, plus sereine. Ne vous désespérez pas en temps de crise... avancez sans peur. Décidez de
triompher !
Zik
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