Lambert Mende se taira-t-il un jour?
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Lambert Mende se taira-t-il un jour?
Les turpitudes de Lambert Mende: Aura-t-il honte un jour? Se taira-t-il un jour?
https://www.facebook.com/photo.php?v=10152603246410664&fref=nf
Quel manque de classe!
Lambert Mende : « Criminaliser toute révision constitutionnelle est un non sens »
Le ministre des Médias de la RD Congo, Lambert Mende Omalanga, s’est inscrit en faux vendredi 08 août 2014 à Kinshasa contre les antirévisionnistes de la Constitution en affirmant que « criminaliser toute révision constitutionnelle est un non sens » à son « avis ».
« Car dans tous les pays, un texte constitutionnel est toujours le reflet d’une situation ou de circonstances qui évoluent. La RDC rejette les prétentions de l’Envoyé spécial des Etats Unis à se substituer aux institutions nationales dans la définition et la conduite de la politique générale de notre pays dans quelque domaine que ce soit », a-t-il déclaré au cours d’un point de presse.
Il a souligné que « l’Envoyé d’un gouvernement ami dans notre région n’a pas pour vocation de prendre des actes dérogeant aux lois en vigueur comme le fait M. Feingold qui prétend exiger la convocation de l’élection présidentielle 2 ans et demi avant l’expiration du mandat du président en exercice au lieu des 90 jours avant cette échéance fixés expressis verbis par l’article 102 de la Constitution ».
« Il ne lui appartient pas non plus d’interdire la révision de la Constitution qui est bel et bien prévue par la constitution elle-même en son article 218 ou d’interdire tout débat sur l’article 220 de la constitution qui prévoit des exceptions à la règle instituée par l’articlé 218 », a insisté Lambert Mende.
Une révision constitutionnelle « est parfaitement justifiée »
Dans une posture plus positive, l’agence américaine National Endowment for Democracy (NED) a organisé un Forum sur la démocratisation dans les pays africains en marge du Sommet USA-Afrique à Washington DC.
Le ministre Mende a noté à cette occasion que « la lourde insistance des uns et des autres sur l’importance du respect de notre Constitution donne à croire qu’ils considèrent la démocratie en RDC comme une sorte de denrée rare offerte à des bénéficiaires inconscients et dont il faut que les donateurs (eux-mêmes) assurent le service après- vente ».
« Nous nous inscrivons naturellement en faux contre cette conception néocoloniale. Cinquante quatre ans après leur accession à la souveraineté nationale et internationale, les Congolais n’ont certainement pas besoin d’être cornaqués pour démocratiser leurs institutions publiques. Notre volonté à ce sujet ne s’est jamais démentie depuis la Conférence nationale des années ‘90 et aucun recul n’a été enregistré depuis lors, malgré les épreuves auxquelles nous avons été soumis », a-t-il martelé.
A son avis, « les donneurs de leçons de démocratie doivent savoir que la plupart des hommes et des femmes qui sont aujourd’hui dans la majorité au pouvoir en RDC se sont battus, certains, dont le Président Joseph Kabila, au risque de leur vie pour l’instauration de la démocratie portée aujourd’hui par la Constitution du 18 février 2006 ».
« Grâce aux efforts combinés de tous, les institutions sont à ce jour fonctionnelle aux niveaux national et provincial. Les Congolais jouissent de leurs droits démocratiques, en tout cas un peu mieux que d’autres peuples dans la même situation. La vivacité, voire la virulence du débat politique dans notre vie quotidienne l’atteste. Certes, la RDC n’est pas encore à ce jour un paradis sur terre. Mais, affirmer que ce pays est resté un enfer serait en totale contradiction avec la vérité », a dit Lambert Mende.
Il a indiqué avoir, au cours du forum de NED, « questionné le pessimisme de composition qui entoure le discours et les analyses en Occident sur la RDC, un pessimisme qui transparaissait comme un véritable postulat dans l’ordre du jour dudit forum ».
« Nous nous sommes insurgés contre le fait que des acteurs étrangers prennent ainsi l’habitude de se comporter comme un vendeur de béquilles essayant de vendre sa marchandise à une personne qui n’a aucun problème à marcher sur ses pieds », a-t-il ajouté.
Selon le gouvernement rd-congolais, « une révision constitutionnelle est parfaitement justifiée dès lors qu’elle se destine à faire rimer démocratie, facilitations institutionnelles (en ce comprises les économies de moyens) et stabilité dans le pays et qu’elle respecte les mécanismes prévus à cet effet ».
« Du reste, en 2006, quelques jours après le référendum constitutionnel, la Conférence épiscopale de l’Eglise catholique de RDC, qui remettait en cause le fait que ce texte était le fruit d’un consensus entre belligérants, avait engagé les assemblées parlementaires à élire par la suite à le revisiter », a rappelé son porte-parole.
.
Le ministre des Médias a dit avoir « attaqué le principe selon lequel on ne change pas les règles d’un jeu en plein match », au motif qu’« un principe que nos collègues de l’opposition ont l’habitude de convoquer dans le débat qu’ils ont suscité sur la révision constitutionnelle ».
« Dans notre entendement, le match électoral pour l’élection présidentielle qui hante ceux qui craigne la popularité de Joseph Kabila commence avec la convocation des électeurs par la CENI. Il se termine avec la proclamation des résultats définitifs par la Cour constitutionnelle », a expliqué Lambert Mende.
Pour lui, « l’argument selon lequel une révision initiée plus de deux ans avant la convocation du scrutin présidentiel de 2016 (fixée par l’article 102 de la loi électorale à 90 jours avant l’expiration du mandat du président en exercice) serait faite ‘in tempore suspecto’ est donc dénué de tout fondement ».
« Nous avons déclaré de manière très claire aux participants que nous ne reconnaissions ni à un Gouvernement ami ni à des ONG, ni à nos collègues de l’opposition le droit d’interdire aux Congolais ce que leur Constitution autorise. Aucune fraction du peuple n’a le droit de se substituer au peuple. Et, s’agissant de l’article 220, il n’est pas interdit aux Congolais d’en débattre, étant entendu qu’en démocratie, il n’existe pas de sujets tabous », a encore insisté Mende.
http://www.lepotentielonline.com/index.php?option=com_content&view=article&id=9709:lambert-mende-criminaliser-toute-revision-constitutionnelle-est-un-non-sens&catid=90:online-depeches&Itemid=472
RDC : Kinshasa - Washington polémique au sujet de la révision constitutionnelle
La RDC rejette les prétentions de l’Envoyé spécial des Etats Unis à se substituer aux institutions nationales dans la définition et la conduite de la politique générale de notre pays dans quelque domaine que ce soit.
Le ministre des Médias de la RD Congo, Lambert Mende Omalanga, s’est inscrit en faux vendredi 08 août 2014 à Kinshasa contre les antirévisionnistes de la Constitution en affirmant que « criminaliser toute révision constitutionnelle est un non sens » à son « avis ».
« Car dans tous les pays, un texte constitutionnel est toujours le reflet d’une situation ou de circonstances qui évoluent. La RDC rejette les prétentions de l’Envoyé spécial des Etats Unis à se substituer aux institutions nationales dans la définition et la conduite de la politique générale de notre pays dans quelque domaine que ce soit », a-t-il déclaré au cours d’un point de presse.
Il a souligné que « l’Envoyé d’un gouvernement ami dans notre région n’a pas pour vocation de prendre des actes dérogeant aux lois en vigueur comme le fait M. Feingold qui prétend exiger la convocation de l’élection présidentielle 2 ans et demi avant l’expiration du mandat du président en exercice au lieu des 90 jours avant cette échéance fixés expressis verbis par l’article 102 de la Constitution ».
« Il ne lui appartient pas non plus d’interdire la révision de la Constitution qui est bel et bien prévue par la constitution elle-même en son article 218 ou d’interdire tout débat sur l’article 220 de la constitution qui prévoit des exceptions à la règle instituée par l’articlé 218 », a insisté Lambert Mende.
http://afrique.kongotimes.info/rdc/rdc_elections/7961-rdc-kinshasa-washington-polemique-sujet-revision-constitutionnelle-lambert-mende-criminaliser-toute-sens.html
Lambert Mende mobilise ses troupes
« Nous n’avons pas la prétention que tout le monde doit penser comme nous, mais nous exigeons le respect du peuple souverain du Congo », déclare Lambert Mende.
« Nous, membres de la Majorité présidentielle issue des élections de 2011, nous militants de la Convention des Congolais Unis (CCU) devons nous mobiliser pour empêcher les usurpateurs déchainés et leurs affidés de priver les Congolais de droits constitutionnels qui leur sont reconnus ». Le parti de Lambert Mende se met en ordre de bataille contre ceux qui s’opposent à la révision constitutionnelle. C’est au cours d’une matinée politique organisée pour ce faire que ce mouvement politique a donné de la voix face au sujet d’actualité brûlante qu’est le débat autour de la révision ou non de la Constitution.
La CCU, un des partis phares de la Majorité présidentielle, avec à sa tête Lambert Mende dénonce la « dramatisation à outrance même par ceux qui ne sont pas habilités ». Une matinée politique qui, du reste, a permis aux cadres et sympathisants du parti de mieux comprendre les contours de la démarche du Gouvernement dans le sens de modifier certains articles constitutionnels.
Lambert Mende et la CCU sont pour une révision constitutionnelle « dans les règles ». « Modifier la constitution selon les règles qu’elle-même définit est donc la chose la plus légale qui puisse se faire, et c’est ce que la majorité issue des élections de 2011 entend faire, en recourant au constituant originaire qu’est le peuple congolais lui-même ». Démocrate, l’initiateur de la CCU pense que « ceux qui prétendent que notre peuple est avec eux opposé à toute révision auront l’occasion d’en apporter la preuve par les résultats de la consultation référendaire ». « Nul n’a le droit d’interdire ce que la constitution autorise et aucune fraction du peuple ne peut se substituer au peuple », ajoute-t-il en substance.
Devant les cadres et sympathisants de la CCU, Lambert Mende a eu des mots justes pour condamner ceux qui militent contre la révision de la Constitution. « Ceux de nos compatriotes ou des étrangers mêle-tout qui s’évertuent à criminaliser toute initiative de révision de la constitution en RDC pèchent par ignorance ou mauvaise foi ». Et pour cause, l’autorité morale de la CCU pense que « la Constitution ne pose aucun problème constitutionnel ou légal dès lors qu’elle se conforme aux mécanismes stipulés par la constitution elle-même ». D’ailleurs, précise-t-il, « l’article 218 de la constitution autorise expressis verbis la révision de la constitution, à la condition d’être initiée soit par le Président de la République, soit par le Gouvernement, soit par cinquante parlementaires au moins, soit enfin par une pétition de 100.000 citoyens ».
Lambert Mende considère qu’il est tout à fait inadmissible que certains se permettent de présenter tout projet de révision de la Constitution comme une violation de la loi fondamentale. « Ceux qui comme certains opposants et princes d’une confession religieuse bien connue qui déclarent qu’ils n’acceptent pas quelque modification que ce soit de la constitution abusent de leur position de célébrités pour usurper la souveraineté de tout un peuple. Nous allons nous lever pour leur barrer la route ». Ainsi constate t-il que la « souveraineté du peuple congolais n’appartient pas à des coteries politiciennes, confessionnelles ou d’accointances d’intérêts économico-stratégiques ». « Il faut que les uns et les autres cessent de rêver debout : les choses dans notre pays, la RDC se feront de la manière voulue par le peuple souverain de la RDC et pas autrement », ajoute-t-il sous les applaudissements de l’assistance.
http://7sur7.cd/index.php/8-infos/7845-retombees-de-la-matinee-politique-haute-en-couleurs-lambert-mende-mobilise-ses-troupes#.U_fxhPmwblI
RD Congo : un véritable casse-tête référendaire
En République Démocratique du Congo, l'éventualité de la révision constitutionnelle ne cesse de diviser la majorité présidentielle et l'opposition. Au-delà de cette bataille pour la survie d'un régime, ou l'alternance politique, se pose en réalité la question de la sincérité, de l'honnêteté ou de la malhonnêteté, de l'intérêt personnel au détriment de la chose publique. Ce n'est pas tant l'éventualité d'une révision constitutionnelle qui inquiète les démocrates, mais les véritables raisons de cette initiative.
Eviter la bérézina en 2015
S'agissant de l'idée d'une élection des députés provinciaux au suffrage universel indirect, le ministre des Médias et porte-parole du gouvernement, Lambert Mende Omalanga, a récemment déclaré lors échanges du Forum du NED (National Endowment for Democracy) que « les échéances électorales de 2006 et 2011 [.] avaient démontré à quel point le coût des élections pouvait être prohibitif pour un pays post conflit dont la reconstruction [devait] être entreprise comme la République Démocratique du Congo ». Par conséquent, il faudrait « envisager la réduction du nombre des scrutins au suffrage universel direct » et « obliger ce pays à se payer quatre élections directes (locales, provinciales, législatives nationales et présidentielle) à chaque législature [reviendrait à] le suicider financièrement ».
De facto, Lambert Mende Omalanga a tenté de justifier la révision de quelques dispositifs de la Constitution du 18 février 2006, plus précisément les articles 101 alinéa 6, 104 alinéas 5 et 8, 197 alinéa 4 et 198 alinéa 2 relatifs aux élections des députés provinciaux, sénateurs et gouverneurs de provinces. L'introduction du suffrage universel direct, dans ce cas précis, évitera à la majorité présidentielle, qui plus est impopulaire auprès des électeurs, une bérézina en cas du scrutin universel direct. Une telle catastrophe hypothéquera sans doute l'éventualité d'une victoire aux élections législatives et présidentielle de 2016.
Assurer les victoires en 2016
Faute de candidat crédible faut-il croire, la majorité présidentielle a estimé que le fait de détenir tous les pouvoirs dans les institutions provinciales, au Sénat ainsi que dans les gouvernorats ne garantirait pas pour autant les victoires aux prochains scrutins législatifs et présidentiel. Ainsi serait-il indispensable de permettre à Joseph Kabila de se représenter, en amendant l'article 220 dans le but de modifier le nombre de mandats présidentiels. Au regard de l'article 2018 de la Constitution du 18 février 2006, seule la voix référendaire permettrait de réviser les dispositifs bloqués par le législateur, parmi lesquels figurent le fameux article 220. Néanmoins, rien n'assure une victoire par la voie référendaire. Il faudrait donc contourner l'obstacle.
Un stratagème anticonstitutionnel
La modification de la Constitution, selon Lambert Mende Omalanga, est « une démarche légale et c'est ce que la majorité présidentielle compte faire en recourant au constituant originaire, la population, par voie de référendum ». Ainsi a-t-il précisé que le fait d'« organiser le référendum en même temps que les élections locales, municipales et urbaines ne nécessiteraient pas des frais supplémentaires. En effet, « le référendum coûterait 0 dollar dans ce cas ». Autrement dit, à en croire le ministre des Médias et porte-parole du gouvernement, le processus référendaire devrait être associé aux élections locales, municipales et urbaines. De ce fait, il reviendrait aux candidats auxdits scrutins de faire la campagne sur la révision ou non de l'article 220 de la Constitution du 18 février 2006.
Le caractère national du référendum
Il est évident que le processus référendaire relatif aux dispositifs constitutionnels bloqués a impérativement un caractère national, contrairement aux élections locales, municipales et urbaines. Par ailleurs, au regard des propositions la Commission électorale nationale et indépendante (Céni) soutenues par la majorité présidentielles, ces élections risquent de se dérouler au suffrage universel indirect. De ce fait, seuls les grands électeurs y prendraient part. Rappelons également que tout le monde ne sera pas candidat à ces différents scrutins.
Vu sous cet aspect, Lambert Mende Omalanga a effectivement raison en soutenant que le référendum ne coûterait rien au gouvernement. Mais il oublie à dessein de dire que seule une infime minorité de la population se prononcera, comme grand électeur, pour ou contre la révision de l'article 220 et non tous les électeurs. Il s'agira purement et simplement d'un cas flagrant de violation de la Constitution. En tout cas, rien n'est plus grave que lorsque la loi fondamentale est foulée sous le pied par l'autorité censée la faire respecter. Il est vrai que la Constitution ne doit en aucun cas être figée dans le marbre, mais sa révision ne doit nullement répondre aux seuls intérêts personnels.
Gaspard-Hubert Lonsi Koko
http://www.lebanco.net/banconet/bco23048.htm
http://www.voiceofcongo.net/lambert-mende-en-guerre-contre-russ-feingold-lenvoye-special-des-etats-unis-pour-les-grand-lacs
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https://www.facebook.com/photo.php?v=10152603246410664&fref=nf
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Quel manque de classe!
Lambert Mende : « Criminaliser toute révision constitutionnelle est un non sens »
Le ministre des Médias de la RD Congo, Lambert Mende Omalanga, s’est inscrit en faux vendredi 08 août 2014 à Kinshasa contre les antirévisionnistes de la Constitution en affirmant que « criminaliser toute révision constitutionnelle est un non sens » à son « avis ».
« Car dans tous les pays, un texte constitutionnel est toujours le reflet d’une situation ou de circonstances qui évoluent. La RDC rejette les prétentions de l’Envoyé spécial des Etats Unis à se substituer aux institutions nationales dans la définition et la conduite de la politique générale de notre pays dans quelque domaine que ce soit », a-t-il déclaré au cours d’un point de presse.
Il a souligné que « l’Envoyé d’un gouvernement ami dans notre région n’a pas pour vocation de prendre des actes dérogeant aux lois en vigueur comme le fait M. Feingold qui prétend exiger la convocation de l’élection présidentielle 2 ans et demi avant l’expiration du mandat du président en exercice au lieu des 90 jours avant cette échéance fixés expressis verbis par l’article 102 de la Constitution ».
« Il ne lui appartient pas non plus d’interdire la révision de la Constitution qui est bel et bien prévue par la constitution elle-même en son article 218 ou d’interdire tout débat sur l’article 220 de la constitution qui prévoit des exceptions à la règle instituée par l’articlé 218 », a insisté Lambert Mende.
Une révision constitutionnelle « est parfaitement justifiée »
Dans une posture plus positive, l’agence américaine National Endowment for Democracy (NED) a organisé un Forum sur la démocratisation dans les pays africains en marge du Sommet USA-Afrique à Washington DC.
Le ministre Mende a noté à cette occasion que « la lourde insistance des uns et des autres sur l’importance du respect de notre Constitution donne à croire qu’ils considèrent la démocratie en RDC comme une sorte de denrée rare offerte à des bénéficiaires inconscients et dont il faut que les donateurs (eux-mêmes) assurent le service après- vente ».
« Nous nous inscrivons naturellement en faux contre cette conception néocoloniale. Cinquante quatre ans après leur accession à la souveraineté nationale et internationale, les Congolais n’ont certainement pas besoin d’être cornaqués pour démocratiser leurs institutions publiques. Notre volonté à ce sujet ne s’est jamais démentie depuis la Conférence nationale des années ‘90 et aucun recul n’a été enregistré depuis lors, malgré les épreuves auxquelles nous avons été soumis », a-t-il martelé.
A son avis, « les donneurs de leçons de démocratie doivent savoir que la plupart des hommes et des femmes qui sont aujourd’hui dans la majorité au pouvoir en RDC se sont battus, certains, dont le Président Joseph Kabila, au risque de leur vie pour l’instauration de la démocratie portée aujourd’hui par la Constitution du 18 février 2006 ».
« Grâce aux efforts combinés de tous, les institutions sont à ce jour fonctionnelle aux niveaux national et provincial. Les Congolais jouissent de leurs droits démocratiques, en tout cas un peu mieux que d’autres peuples dans la même situation. La vivacité, voire la virulence du débat politique dans notre vie quotidienne l’atteste. Certes, la RDC n’est pas encore à ce jour un paradis sur terre. Mais, affirmer que ce pays est resté un enfer serait en totale contradiction avec la vérité », a dit Lambert Mende.
Il a indiqué avoir, au cours du forum de NED, « questionné le pessimisme de composition qui entoure le discours et les analyses en Occident sur la RDC, un pessimisme qui transparaissait comme un véritable postulat dans l’ordre du jour dudit forum ».
« Nous nous sommes insurgés contre le fait que des acteurs étrangers prennent ainsi l’habitude de se comporter comme un vendeur de béquilles essayant de vendre sa marchandise à une personne qui n’a aucun problème à marcher sur ses pieds », a-t-il ajouté.
Selon le gouvernement rd-congolais, « une révision constitutionnelle est parfaitement justifiée dès lors qu’elle se destine à faire rimer démocratie, facilitations institutionnelles (en ce comprises les économies de moyens) et stabilité dans le pays et qu’elle respecte les mécanismes prévus à cet effet ».
« Du reste, en 2006, quelques jours après le référendum constitutionnel, la Conférence épiscopale de l’Eglise catholique de RDC, qui remettait en cause le fait que ce texte était le fruit d’un consensus entre belligérants, avait engagé les assemblées parlementaires à élire par la suite à le revisiter », a rappelé son porte-parole.
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Le ministre des Médias a dit avoir « attaqué le principe selon lequel on ne change pas les règles d’un jeu en plein match », au motif qu’« un principe que nos collègues de l’opposition ont l’habitude de convoquer dans le débat qu’ils ont suscité sur la révision constitutionnelle ».
« Dans notre entendement, le match électoral pour l’élection présidentielle qui hante ceux qui craigne la popularité de Joseph Kabila commence avec la convocation des électeurs par la CENI. Il se termine avec la proclamation des résultats définitifs par la Cour constitutionnelle », a expliqué Lambert Mende.
Pour lui, « l’argument selon lequel une révision initiée plus de deux ans avant la convocation du scrutin présidentiel de 2016 (fixée par l’article 102 de la loi électorale à 90 jours avant l’expiration du mandat du président en exercice) serait faite ‘in tempore suspecto’ est donc dénué de tout fondement ».
« Nous avons déclaré de manière très claire aux participants que nous ne reconnaissions ni à un Gouvernement ami ni à des ONG, ni à nos collègues de l’opposition le droit d’interdire aux Congolais ce que leur Constitution autorise. Aucune fraction du peuple n’a le droit de se substituer au peuple. Et, s’agissant de l’article 220, il n’est pas interdit aux Congolais d’en débattre, étant entendu qu’en démocratie, il n’existe pas de sujets tabous », a encore insisté Mende.
http://www.lepotentielonline.com/index.php?option=com_content&view=article&id=9709:lambert-mende-criminaliser-toute-revision-constitutionnelle-est-un-non-sens&catid=90:online-depeches&Itemid=472
RDC : Kinshasa - Washington polémique au sujet de la révision constitutionnelle
La RDC rejette les prétentions de l’Envoyé spécial des Etats Unis à se substituer aux institutions nationales dans la définition et la conduite de la politique générale de notre pays dans quelque domaine que ce soit.
Le ministre des Médias de la RD Congo, Lambert Mende Omalanga, s’est inscrit en faux vendredi 08 août 2014 à Kinshasa contre les antirévisionnistes de la Constitution en affirmant que « criminaliser toute révision constitutionnelle est un non sens » à son « avis ».
« Car dans tous les pays, un texte constitutionnel est toujours le reflet d’une situation ou de circonstances qui évoluent. La RDC rejette les prétentions de l’Envoyé spécial des Etats Unis à se substituer aux institutions nationales dans la définition et la conduite de la politique générale de notre pays dans quelque domaine que ce soit », a-t-il déclaré au cours d’un point de presse.
Il a souligné que « l’Envoyé d’un gouvernement ami dans notre région n’a pas pour vocation de prendre des actes dérogeant aux lois en vigueur comme le fait M. Feingold qui prétend exiger la convocation de l’élection présidentielle 2 ans et demi avant l’expiration du mandat du président en exercice au lieu des 90 jours avant cette échéance fixés expressis verbis par l’article 102 de la Constitution ».
« Il ne lui appartient pas non plus d’interdire la révision de la Constitution qui est bel et bien prévue par la constitution elle-même en son article 218 ou d’interdire tout débat sur l’article 220 de la constitution qui prévoit des exceptions à la règle instituée par l’articlé 218 », a insisté Lambert Mende.
http://afrique.kongotimes.info/rdc/rdc_elections/7961-rdc-kinshasa-washington-polemique-sujet-revision-constitutionnelle-lambert-mende-criminaliser-toute-sens.html
Lambert Mende mobilise ses troupes
« Nous n’avons pas la prétention que tout le monde doit penser comme nous, mais nous exigeons le respect du peuple souverain du Congo », déclare Lambert Mende.
« Nous, membres de la Majorité présidentielle issue des élections de 2011, nous militants de la Convention des Congolais Unis (CCU) devons nous mobiliser pour empêcher les usurpateurs déchainés et leurs affidés de priver les Congolais de droits constitutionnels qui leur sont reconnus ». Le parti de Lambert Mende se met en ordre de bataille contre ceux qui s’opposent à la révision constitutionnelle. C’est au cours d’une matinée politique organisée pour ce faire que ce mouvement politique a donné de la voix face au sujet d’actualité brûlante qu’est le débat autour de la révision ou non de la Constitution.
La CCU, un des partis phares de la Majorité présidentielle, avec à sa tête Lambert Mende dénonce la « dramatisation à outrance même par ceux qui ne sont pas habilités ». Une matinée politique qui, du reste, a permis aux cadres et sympathisants du parti de mieux comprendre les contours de la démarche du Gouvernement dans le sens de modifier certains articles constitutionnels.
Lambert Mende et la CCU sont pour une révision constitutionnelle « dans les règles ». « Modifier la constitution selon les règles qu’elle-même définit est donc la chose la plus légale qui puisse se faire, et c’est ce que la majorité issue des élections de 2011 entend faire, en recourant au constituant originaire qu’est le peuple congolais lui-même ». Démocrate, l’initiateur de la CCU pense que « ceux qui prétendent que notre peuple est avec eux opposé à toute révision auront l’occasion d’en apporter la preuve par les résultats de la consultation référendaire ». « Nul n’a le droit d’interdire ce que la constitution autorise et aucune fraction du peuple ne peut se substituer au peuple », ajoute-t-il en substance.
Devant les cadres et sympathisants de la CCU, Lambert Mende a eu des mots justes pour condamner ceux qui militent contre la révision de la Constitution. « Ceux de nos compatriotes ou des étrangers mêle-tout qui s’évertuent à criminaliser toute initiative de révision de la constitution en RDC pèchent par ignorance ou mauvaise foi ». Et pour cause, l’autorité morale de la CCU pense que « la Constitution ne pose aucun problème constitutionnel ou légal dès lors qu’elle se conforme aux mécanismes stipulés par la constitution elle-même ». D’ailleurs, précise-t-il, « l’article 218 de la constitution autorise expressis verbis la révision de la constitution, à la condition d’être initiée soit par le Président de la République, soit par le Gouvernement, soit par cinquante parlementaires au moins, soit enfin par une pétition de 100.000 citoyens ».
Lambert Mende considère qu’il est tout à fait inadmissible que certains se permettent de présenter tout projet de révision de la Constitution comme une violation de la loi fondamentale. « Ceux qui comme certains opposants et princes d’une confession religieuse bien connue qui déclarent qu’ils n’acceptent pas quelque modification que ce soit de la constitution abusent de leur position de célébrités pour usurper la souveraineté de tout un peuple. Nous allons nous lever pour leur barrer la route ». Ainsi constate t-il que la « souveraineté du peuple congolais n’appartient pas à des coteries politiciennes, confessionnelles ou d’accointances d’intérêts économico-stratégiques ». « Il faut que les uns et les autres cessent de rêver debout : les choses dans notre pays, la RDC se feront de la manière voulue par le peuple souverain de la RDC et pas autrement », ajoute-t-il sous les applaudissements de l’assistance.
http://7sur7.cd/index.php/8-infos/7845-retombees-de-la-matinee-politique-haute-en-couleurs-lambert-mende-mobilise-ses-troupes#.U_fxhPmwblI
RD Congo : un véritable casse-tête référendaire
En République Démocratique du Congo, l'éventualité de la révision constitutionnelle ne cesse de diviser la majorité présidentielle et l'opposition. Au-delà de cette bataille pour la survie d'un régime, ou l'alternance politique, se pose en réalité la question de la sincérité, de l'honnêteté ou de la malhonnêteté, de l'intérêt personnel au détriment de la chose publique. Ce n'est pas tant l'éventualité d'une révision constitutionnelle qui inquiète les démocrates, mais les véritables raisons de cette initiative.
Eviter la bérézina en 2015
S'agissant de l'idée d'une élection des députés provinciaux au suffrage universel indirect, le ministre des Médias et porte-parole du gouvernement, Lambert Mende Omalanga, a récemment déclaré lors échanges du Forum du NED (National Endowment for Democracy) que « les échéances électorales de 2006 et 2011 [.] avaient démontré à quel point le coût des élections pouvait être prohibitif pour un pays post conflit dont la reconstruction [devait] être entreprise comme la République Démocratique du Congo ». Par conséquent, il faudrait « envisager la réduction du nombre des scrutins au suffrage universel direct » et « obliger ce pays à se payer quatre élections directes (locales, provinciales, législatives nationales et présidentielle) à chaque législature [reviendrait à] le suicider financièrement ».
De facto, Lambert Mende Omalanga a tenté de justifier la révision de quelques dispositifs de la Constitution du 18 février 2006, plus précisément les articles 101 alinéa 6, 104 alinéas 5 et 8, 197 alinéa 4 et 198 alinéa 2 relatifs aux élections des députés provinciaux, sénateurs et gouverneurs de provinces. L'introduction du suffrage universel direct, dans ce cas précis, évitera à la majorité présidentielle, qui plus est impopulaire auprès des électeurs, une bérézina en cas du scrutin universel direct. Une telle catastrophe hypothéquera sans doute l'éventualité d'une victoire aux élections législatives et présidentielle de 2016.
Assurer les victoires en 2016
Faute de candidat crédible faut-il croire, la majorité présidentielle a estimé que le fait de détenir tous les pouvoirs dans les institutions provinciales, au Sénat ainsi que dans les gouvernorats ne garantirait pas pour autant les victoires aux prochains scrutins législatifs et présidentiel. Ainsi serait-il indispensable de permettre à Joseph Kabila de se représenter, en amendant l'article 220 dans le but de modifier le nombre de mandats présidentiels. Au regard de l'article 2018 de la Constitution du 18 février 2006, seule la voix référendaire permettrait de réviser les dispositifs bloqués par le législateur, parmi lesquels figurent le fameux article 220. Néanmoins, rien n'assure une victoire par la voie référendaire. Il faudrait donc contourner l'obstacle.
Un stratagème anticonstitutionnel
La modification de la Constitution, selon Lambert Mende Omalanga, est « une démarche légale et c'est ce que la majorité présidentielle compte faire en recourant au constituant originaire, la population, par voie de référendum ». Ainsi a-t-il précisé que le fait d'« organiser le référendum en même temps que les élections locales, municipales et urbaines ne nécessiteraient pas des frais supplémentaires. En effet, « le référendum coûterait 0 dollar dans ce cas ». Autrement dit, à en croire le ministre des Médias et porte-parole du gouvernement, le processus référendaire devrait être associé aux élections locales, municipales et urbaines. De ce fait, il reviendrait aux candidats auxdits scrutins de faire la campagne sur la révision ou non de l'article 220 de la Constitution du 18 février 2006.
Le caractère national du référendum
Il est évident que le processus référendaire relatif aux dispositifs constitutionnels bloqués a impérativement un caractère national, contrairement aux élections locales, municipales et urbaines. Par ailleurs, au regard des propositions la Commission électorale nationale et indépendante (Céni) soutenues par la majorité présidentielles, ces élections risquent de se dérouler au suffrage universel indirect. De ce fait, seuls les grands électeurs y prendraient part. Rappelons également que tout le monde ne sera pas candidat à ces différents scrutins.
Vu sous cet aspect, Lambert Mende Omalanga a effectivement raison en soutenant que le référendum ne coûterait rien au gouvernement. Mais il oublie à dessein de dire que seule une infime minorité de la population se prononcera, comme grand électeur, pour ou contre la révision de l'article 220 et non tous les électeurs. Il s'agira purement et simplement d'un cas flagrant de violation de la Constitution. En tout cas, rien n'est plus grave que lorsque la loi fondamentale est foulée sous le pied par l'autorité censée la faire respecter. Il est vrai que la Constitution ne doit en aucun cas être figée dans le marbre, mais sa révision ne doit nullement répondre aux seuls intérêts personnels.
Gaspard-Hubert Lonsi Koko
http://www.lebanco.net/banconet/bco23048.htm
http://www.voiceofcongo.net/lambert-mende-en-guerre-contre-russ-feingold-lenvoye-special-des-etats-unis-pour-les-grand-lacs
http://www.voiceofcongo.net/lambert-mende-en-guerre-contre-russ-feingold-lenvoye-special-des-etats-unis-pour-les-grand-lacs
https://www.facebook.com/photo.php?v=10152603246410664&fref=nf
King David
Re: Lambert Mende se taira-t-il un jour?
MENDE MOBILISE SES "TROUPES"...COMBIEN DES "DIVISIONS"? COMBIEN DES DRONES? COMBIEN DES "F-18"?
Mende On croyait que le message explicite de Lumbi et le MSR était assez fort pour faire taire les "faucons" du genre Mende, mais le bras de fer est dans le camp de Kanambe...semble-t-il
En effet, Mende continue de "contester" verbalement le "DROIT" des USA sur le devenir du Congo mais possede-t-il les "moyens" pour faire face á la pression des USA
Combien des avions de combat, combien des drones, combien des Marines, combien des portes-avions possederait Mende pour faire face á la première puissance militaire de la Planète?
Il a la memoire courte Mende...ce qu´il était dans les rangs de la RDC-Goma de Ruberwa...entrain de soutenir la seconde invasion du Congo par le Rwanda...Une invasion que les USA avaient refusée...nous connaissons la suite..
Il faut attendre..la fameuse rencontre de l´AMP..annoncée par le MSR et Minuaku (PPRD) pour y voir un peu plus clair dans cette histoire.
SE TAIRE PENDANT LE "DIALOGUE"
De plus en plus on parle d´un "Dialogue" Mende l´a lui même dit plusieures fois depuis le retour des USA Comment Mende explique ce virage á plus de 100 %
Quand Mende continue de s´attaquer aux ingerences des USA ... il a oublié que le DIALOGUE DE L`ONU... qui se base sur une "résolution et l´accord d´Addis-Abeba" est une démonstration de l´ingerence des USA.
En effet,R Feingold avait non seulement "imposé" l´accord d´Addis-Abeba en tordant les bras de Kagame et Museveni avant de decimer le M23 sur le terrain
Comment Mende explique-t-il que les "CONCERTATIONS" sont subitement jettées... Et poutant, les "Concertations" était la "parade" des têtes pensantes du PPRD et l´AMP..qui croyaient "obtenir" une forme de Transition...visant á allonger le mandat de Kanambe
L´echec des concertations est basé sur le REFUS de JP Bemba qui au fond de sa prison a rejetté l´idée d´une transition où le MLC serait membre d´un gouvernement d´union nationale.... F Babala a payé l´affront et se retrouve á la CPI en Compagnie de son boss Bemba
Mende va se taire sans doute si le Dialogue de l´ONU...dirigé par Kobler ou le nouveau envoyé special de l´ONU..qui est un diplomate Algerien..donc "Africain" francophone..
MODIFICATION DE LA CONSTITUTION ?
En réalité, il ya un consenus...pour retourner les 2 tours aux élections Présidentielles..afin d´avoir deux "finalistes" qui vont s´affronter, deux finalistes issuent du PPRD et l´Opposition
Mende sait d´avance que R Feingold va "gagner" dans cette confrontation et Kanambe ne compte pas risquer sa vie...pour s´accrocher au pouvoir et "racourcir" son existence Lumbi qui est son "Conseiller en matière de sécurité" est assez "fort" pour empecher une modification de la Constitution qui va mettre en danger la vie de Kanambe
Mende va se taire..ce qu´il est difficile de le voir continuer á être "Ministre" quand l´AMP est divisée entre les faucons et les colombes.
Une fois de plus l´idée d´un gouvernement d´union nationale va revenir...et Bemba y compris Fayulu....pour ne citer qu´eux vont decliner l´offre Mais les chances de Mende de rester Ministre sont minces quand il se Lance dans une confrontation contre Lumbi et ceux des "katangais" qui sont en faveur du depart de Kanambe
Le silence de Mendec ? WAIT AND SEE...sauf si les USA et R Feingold acceptent la defaite
Mende On croyait que le message explicite de Lumbi et le MSR était assez fort pour faire taire les "faucons" du genre Mende, mais le bras de fer est dans le camp de Kanambe...semble-t-il
En effet, Mende continue de "contester" verbalement le "DROIT" des USA sur le devenir du Congo mais possede-t-il les "moyens" pour faire face á la pression des USA
Combien des avions de combat, combien des drones, combien des Marines, combien des portes-avions possederait Mende pour faire face á la première puissance militaire de la Planète?
Il a la memoire courte Mende...ce qu´il était dans les rangs de la RDC-Goma de Ruberwa...entrain de soutenir la seconde invasion du Congo par le Rwanda...Une invasion que les USA avaient refusée...nous connaissons la suite..
Il faut attendre..la fameuse rencontre de l´AMP..annoncée par le MSR et Minuaku (PPRD) pour y voir un peu plus clair dans cette histoire.
SE TAIRE PENDANT LE "DIALOGUE"
De plus en plus on parle d´un "Dialogue" Mende l´a lui même dit plusieures fois depuis le retour des USA Comment Mende explique ce virage á plus de 100 %
Quand Mende continue de s´attaquer aux ingerences des USA ... il a oublié que le DIALOGUE DE L`ONU... qui se base sur une "résolution et l´accord d´Addis-Abeba" est une démonstration de l´ingerence des USA.
En effet,R Feingold avait non seulement "imposé" l´accord d´Addis-Abeba en tordant les bras de Kagame et Museveni avant de decimer le M23 sur le terrain
Comment Mende explique-t-il que les "CONCERTATIONS" sont subitement jettées... Et poutant, les "Concertations" était la "parade" des têtes pensantes du PPRD et l´AMP..qui croyaient "obtenir" une forme de Transition...visant á allonger le mandat de Kanambe
L´echec des concertations est basé sur le REFUS de JP Bemba qui au fond de sa prison a rejetté l´idée d´une transition où le MLC serait membre d´un gouvernement d´union nationale.... F Babala a payé l´affront et se retrouve á la CPI en Compagnie de son boss Bemba
Mende va se taire sans doute si le Dialogue de l´ONU...dirigé par Kobler ou le nouveau envoyé special de l´ONU..qui est un diplomate Algerien..donc "Africain" francophone..
MODIFICATION DE LA CONSTITUTION ?
En réalité, il ya un consenus...pour retourner les 2 tours aux élections Présidentielles..afin d´avoir deux "finalistes" qui vont s´affronter, deux finalistes issuent du PPRD et l´Opposition
Mende sait d´avance que R Feingold va "gagner" dans cette confrontation et Kanambe ne compte pas risquer sa vie...pour s´accrocher au pouvoir et "racourcir" son existence Lumbi qui est son "Conseiller en matière de sécurité" est assez "fort" pour empecher une modification de la Constitution qui va mettre en danger la vie de Kanambe
Mende va se taire..ce qu´il est difficile de le voir continuer á être "Ministre" quand l´AMP est divisée entre les faucons et les colombes.
Une fois de plus l´idée d´un gouvernement d´union nationale va revenir...et Bemba y compris Fayulu....pour ne citer qu´eux vont decliner l´offre Mais les chances de Mende de rester Ministre sont minces quand il se Lance dans une confrontation contre Lumbi et ceux des "katangais" qui sont en faveur du depart de Kanambe
Le silence de Mendec ? WAIT AND SEE...sauf si les USA et R Feingold acceptent la defaite
GHOST
Re: Lambert Mende se taira-t-il un jour?
Se focaliser sur Mende est une erreur... MENDE n'est que la voix de SES maitres.
Il n'hésitera pas à retourner sa veste, comme il a toujours fait.
Il n'hésitera pas à retourner sa veste, comme il a toujours fait.
Mwana Ya Lola
Re: Lambert Mende se taira-t-il un jour?
LAMBERT MENDE OMALANGA AURAIT ETE EVACUE D URGENCE A L ETRANGER POUR RAISONS DE SANTE...SOURCE : JOURNAL C-NEWS.
MALADIE OPPORTUNISTE?
KOTA
Re: Lambert Mende se taira-t-il un jour?
Il n´y a pas que Mende, un autre fanfanron en la personne de Kin Kiey Mulumba est aussi pire que lui . L´histoire finira par les rattaper un jour. On a tous vu comment Dominique Sakombi Inongo avait fini par cracher sur Mobutu.
Arafat
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