glissement est une necessité pas une option, dans ce pays
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NgongaEbeti
piélé de dongo
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glissement est une necessité pas une option, dans ce pays
Les USA, l'europe, l'opposition dure, comme mwana nsemi (ingeta) pense que le pays n'est pas pret pour les élèctions, pour mwana Nsemi pour le moment ce n'est le chauffeur qui est malade mais c'est l'auto et pourquoi changer le chauffeur maintenant , ingeta Ba yina bakoma ba fan ee, qu 'en deplaise au con mbatisme, ce pays a besoin dans 1° temps d'un dialogue pour fixer des règles, dans un second temps de trouver l'argent et enfin de parler des élèctions. UDPS Felix Tshisekedi est d'accord mais pour le moments il craint les faucons de la famille et amis de son père, Felix egal une sorte de marine Le Pen de l'udps sauf qu'il n'a pas encore les reins pour foutre son père à la porte.
Pour Mwana Nsemi même dans 5 ans le pays ne sera pas encore pret pour les élèctions, là où nous les collabos demandions 3 ans...Ingeta. Nous attendons la reponse claire de l'UDPs et MLC pour debuter les choses sérieuses dans ce pays, les autres partis doivent crèver. CE QUI EST CLAIRE: PAS QUESTION DE GOUVERNEMENT D'UNION NATIONAL.
Pour Mwana Nsemi même dans 5 ans le pays ne sera pas encore pret pour les élèctions, là où nous les collabos demandions 3 ans...Ingeta. Nous attendons la reponse claire de l'UDPs et MLC pour debuter les choses sérieuses dans ce pays, les autres partis doivent crèver. CE QUI EST CLAIRE: PAS QUESTION DE GOUVERNEMENT D'UNION NATIONAL.
piélé de dongo
Re: glissement est une necessité pas une option, dans ce pays
Wow! Quel revirement de la part de Mwanda N'semi! Celui qui jadis fut un farouche opposant au Congo tout court, lui qui etait partisan de la sécession du Bas-Congo a vraiment changé en tout cas! Comme quoi ce ne sont que les imbéciles qui ne changent pas.
Quant au glissement dont il s'agit ici, je me demande bien comment Félix Tshisekedi le ferait accepter a son parti surtout si l'UDPS n'entre pas au gouvernement? Que gagneront-ils alors a endosser un tel plan? Quelle est leur contre-partie? Ce qui est sur c'est que Félix a toujours ete réaliste quant aux chances de l'UDPS de gagner des éléctions au Congo, sourtout face au PPRD. Il l'avait clairement exprimé il y a plusieures années déja sur l'émission Fauteuil Blanc de Jean-Marie Kasamba ou il n'excluait pas une alliance avec le PPRD.
Bref, tout cela est tres interessant et voyons comment la manoeuvre va etre engagée pour faire accepter tout cela a nos capricieux opposants au tropisme occidental maladif et outrancier.
Quant au glissement dont il s'agit ici, je me demande bien comment Félix Tshisekedi le ferait accepter a son parti surtout si l'UDPS n'entre pas au gouvernement? Que gagneront-ils alors a endosser un tel plan? Quelle est leur contre-partie? Ce qui est sur c'est que Félix a toujours ete réaliste quant aux chances de l'UDPS de gagner des éléctions au Congo, sourtout face au PPRD. Il l'avait clairement exprimé il y a plusieures années déja sur l'émission Fauteuil Blanc de Jean-Marie Kasamba ou il n'excluait pas une alliance avec le PPRD.
Bref, tout cela est tres interessant et voyons comment la manoeuvre va etre engagée pour faire accepter tout cela a nos capricieux opposants au tropisme occidental maladif et outrancier.
NgongaEbeti
Re: glissement est une necessité pas une option, dans ce pays
L'UDPS surtout doit decider maintenant sans ecouter ses extremistes car ensemble on reglera beaucoup des choses dans ce pays. Les autres soit disant parti de l'opposition ce ne sont que des parasites qui prolifèrent grace à la politique de chaise vide de l'UDPS. L'UDPS doit savoir celà.
piélé de dongo
Re: glissement est une necessité pas une option, dans ce pays
Bien entendu, reste maintenant à savoir de quelles élections parle-t-on ici, pas question d´organiser à ce jour les élections locales et provinciales , Muzito a même proposé de les reporter en 2021 lorsque le pays aura assez de moyens de subvenir aux besoins des nouvelles entités issues du découpage. Pas question de toucher aux élections présidentielles et législatives, elles doivent avoir lieu, pas question de glissement. C´est Kabila lui même qui risque de glisser sur une peau de banane avec sa tentative de dialogue.piélé de dongo a écrit:[b]Les USA, l'europe, l'opposition dure, comme mwana nsemi (ingeta) pense que le pays n'est pas pret pour les élèctions
Arafat
Re: glissement est une necessité pas une option, dans ce pays
Je suis aussi de cette avis Arafat. Les élections présidentielles doit avoir lieu,et puis le président Kabila doit respecter sa parole d'officier tel qu'il l'avait dit une fois dans une interview sur Jeune Afrique.Moi je lui accorde encore le bénéfice du doute,et je me base toujours sur cette interview lorsque les uns disent qu'il veut faire un glissement. Je pense qu'il va partir comme il avait dit lui-même.Dans la cas contraire si les choses ne change pas après 2016.Là, je veux aussi changé ma façon de voir les choses.Pour le moment j'aime pas trop spéculé sur : Il va partir ? ou Il ne va pas partir ?Arafat a écrit:Bien entendu, reste maintenant à savoir de quelles élections parle-t-on ici, pas question d´organiser à ce jour les élections locales et provinciales , Muzito a même proposé de les reporter en 2021 lorsque le pays aura assez de moyens de subvenir aux besoins des nouvelles entités issues du découpage. Pas question de toucher aux élections présidentielles et législatives, elles doivent avoir lieu, pas question de glissement. C´est Kabila lui même qui risque de glisser sur une peau de banane avec sa tentative de dialogue.piélé de dongo a écrit:[b]Les USA, l'europe, l'opposition dure, comme mwana nsemi (ingeta) pense que le pays n'est pas pret pour les élèctions
Je pense qu'il partira comme il l'avait dit.
El-Shaman
Re: glissement est une necessité pas une option, dans ce pays
Avec quel argent on va organiser les élèctions pésidentielles , Mr El-Shaman je suis d'accord avec vous que le Rais va tenir sa parole mais ecoutez bien Mwanda nsemi, ça ne sert à rien de deposer le pilote alors que c'est la voiture qui est en panne. Mr Arafat ce n'est pas mi qui le dis, moi aussi je suis persuadé que Rais veux decrocher en 2016 mais je suis aussi parmi les pragmmatiques qui restent raisonnanble et qui le supplie de revoir sa decision ou sinon c'est la répètition de 2011. Ba con mbatas bakobeta biso lisusu.
piélé de dongo
Re: glissement est une necessité pas une option, dans ce pays
"Politiciens congolais : Etes-vous des éternels naïfs ?
° http://www.congoindependant.com/article.php?articleid=9948
A ma connaissance, le naïf n’est pas celui qui croit trop facilement ce qu’on lui dit, mais celui qui croit trop facilement ce qu’il dit lui-même. Cette pensée si compréhensible, ne devrait, à mon humble avis, ne souffrir aucune ambiguïté. Malheureusement, certains acteurs politiques congolais, sont d’une naïveté maladive, qui laisse transparaître chez eux, l’opportunisme, pourtant tellement nuisible à la société.
Il suffit que Joseph Kabila tousse et/ou propose un dialogue pour que les hommes politiques congolais le croient et prennent pour parole d’évangile ce que dit le « Chef ». On feint de croire que la politique est simplement une science, alors qu’elle est aussi un art de gouverner un Etat ! La science politique étudie les principes des relations entre les gouvernants et les gouvernés dans un environnement territorial donné : dans la RDC, par exemple.
Malencontreusement, toutes les théories professées en cette matière se meuvent entre deux extrêmes. Les uns, notamment Joseph Kabila, et les caciques de son régime exaltent à outrance l’idée de l’Etat, et lui confèrent tous les droits, lui constituent une personnalité indépendante de l’humain et vont jusqu’à disposer de la vie ou de la mort de leurs concitoyens. Bref, ils mettent un intrus à la tête de l’Etat congolais. Il est venu de nulle part, incapable de distinguer le principe de l’autorité de l’Etat qu’il représente et, dans la suite, quelle est la limite de ce pouvoir. Par ricochet, il ignore totalement, en dépit de ses 14 ans de règne, la limite de ses droits et la mesure des devoirs individuels.
En restauration de cet hiatus, les hommes politiques congolais devraient chacun, faire son autocritique culturelle, pour se fixer une ligne de départ qui devrait permettre, d’anticiper sur les événements et non de les subir. In fine, de défendre la justice et la vérité, c’est-à-dire les principes qui conditionnent « le mieux vivre ensemble ».
Actuellement, pourtant, certains hommes politiques congolais font semblant de voir, mais ils ne voient pas. Ils sont devenus des parfaits robots, des bénis « oui-oui » qui acquiescent à toute décision du « Raïs », même si celle-ci va à l’encontre du souhait de la majorité des Congolais, sérieusement angoissés. C’est le cas, aggravé et tout récent de l’initiative étonnante, prise par Joseph Kabila, d’organiser un dialogue avec certains partis politiques de l’opposition, pour, prétend-il, assainir l’environnement politique en ébullition et d’envisager, par cette suite, une nouvelle transition de 3 ans pour le Congo, dans laquelle tous les opportunistes et assoiffés du pouvoir, se retrouveraient, avec à leur tête, Joseph Kabila, comme titulaire d’un 3ème mandat de Présidence de la République !
Ainsi en dépit de l’interdit le frappant, il en profiterait pour postuler et s’imposer à un 3ème mandat, malgré les prescrits de la Constitution qui, ainsi, perdrait toute raison d’existence. Et les acteurs qui auront accepté d’organiser ce prétendu dialogue n’auront plus que leurs yeux pour pleurer. Kalev Mutond, administrateur général de l’Agence nationale de renseignements (ANR), la police politique de Joseph Kabila fut nommé par ce dernier pour entamer des pourparlers entre les leaders des partis politiques et les membres de l’opposition afin de convenir de manière consensuelle, à la gestion collégiale de la nouvelle direction du pays.
Par naïveté congénitale, il nous est rapporté, certes, que plusieurs hommes politiques, apparemment opposants, accepteraient peut-être de se noyer dans une prétendue convention avec les membres en place d’un pouvoir criminel et certains membres de la même bande, corrompus par la promesse de certains postes ministériels par Kabila. Personne, dans cette bouillabaisse, ne veut rater l’occasion de gagner beaucoup d’argent. Ils se bousculent donc pour se refaire la garde robe, d’où la nécessité pour eux, d’obtenir par tous les moyens, l’allégeance de ce pouvoir criminel, pourtant largement décrié, par la majorité du peuple congolais, qui veulent, en réalité se débarrasser de Joseph Kabila et de son gouvernement, le 19 décembre 2016, à minuit, afin que le cauchemar politique disparaisse pour toujours dans notre subconscient collectif. Ce qui signifie, en clair, qu’à cette date ultime, Kabila cesse d’être président du Congo et que son gouvernement est, comme lui, en obligation de quitter les lieux sous peine d’être poursuivi pour violation de la Constitution. Bref, il ne peut donc pas être question de faire un dialogue quelconque avec Joseph Kabila maintenant, pour autant, que ce dernier soit à la recherche permanente d’oxygène pour sa survie politique.
Il est dommage que devant l’argent, les politiciens congolais deviennent nuls, oubliant que la politique est avant tout, une affaire d’idéal et de dignité au service d’une nation.
Par exemple, l’épouvantable tragédie autour de la fosse commune de Maluku, la mort aux circonstances non-élucidées à ce jour, de nos vaillants et illustres concitoyens, Floribert Chebeya, Fidèle Bazana, Armand Tungulu, colonel Mamadou Ndala, général Lucien Bahuma,…. et consorts, est déjà oublié et renvoyé aux calendes grecques au détriment de ce que devait être leur vocation politique.
Eugène Diomi Ndongala, Jean-Bertrand Ewanga, Eddy Kapend, Georges Leta Mangasa et tant d’autres compatriotes innocents, qui croupissent inutilement en prison, privés pendant plusieurs années déjà, de l’affection des membres de leurs familles, et ce par la volonté d’un seul homme, qui, en contre partie, n’a jamais été bousculé par une classe politique agissante au service de ses électeurs et d’une justice véritablement indépendante et libre. C’est bien triste de supporter une telle barbarie en plein 21ème siècle.
Heureusement, la diaspora congolaise, éparpillée à travers le monde, veille au grain ; elle menace, elle dénonce, elle agit. Elle tente de prouver, à la face du monde, que les Congolais ne sont pas de perpétuels naïfs !
Cette communauté, composée de grands intellectuels et de commis de l’Etat, est prête à regagner sa mère patrie, pour sauver cette population congolaise, notamment celle de Béni-Butembo, au Nord Kivu, en danger d’être décimée !
Bamba-di-Lelo
Docteur en Sciences Politiques de l’UCL
Analyste des Questions politiques du Congo
E.mail : jbadil@hotmail.be "
"Troisième mandat pour Joseph Kabila ? Un faux débat !
° http://www.congoindependant.com/article.php?articleid=9981
Depuis quelques mois, et même quelques années, Joseph Kabila s’active pour que ses hommes de main, intellectuels, pour la plupart, sortis de grandes écoles euro-américaines, lui trouvent des «pistes» et des moyens de briguer un troisième mandat présidentiel, en dépit de l’interdit, de l’article 70 de la Constitution, que lui-même a pourtant «promulguée», en son temps.
Il est évident, qu’en agissant de la sorte, ces lettrés ont pris, sans le moindre doute, goût au miel, et demeurent prêts à lécher les bottes de l’imposteur et de ses sbires pour avoir du beurre sur la table.
Mais, une chose est sûre : le Congo-Kinshasa, notre pays, est malade, empoisonné à tous les niveaux de la superstructure, par certains de ses fils et filles, avec leur complicité active. Je parie, pour cela, que le jour ou la sérénité gagnera le pays dans son ensemble, une «commission ad hoc», sera constituée, pour retirer certains titres académiques, à certains de nos compatriotes, qui ont prostitué la science avec une servilité incongrue.
Comme d’habitude, la classe politique congolaise, composée d’une caste «d’opposants alimentaires» aveuglée, est tombée dans le panneau, comme des moutons de Panurge. Il ne faut pas s’étonner si tout le monde reprend en cœur cette «prétendue actualité» qui flatte les oreilles de Joseph Kabila, qui se dirait ouvert, «à un nouveau dialogue avec l’opposition» qui a pignon sur rue. En effet, plus l’échéance électorale approche, plus l’atmosphère populaire devient délétère dans le milieu politique congolais. Dans l’entretemps, Joseph Kabila a tout bonnement débuté des consultations préliminaires, réunissant autour de lui, certains représentants des confessions religieuses, suivis également, de certains dignitaires de la «Majorité présidentielle».
Profitant de la situation confuse qui règne dans le pays, Tryphon Kin-Kiey Mulumba, artisan mieux connu, de l’association «Kabila-Désir», n’a pas froid aux yeux. Ce dernier n’hésite pas de recourir à son intelligence émotionnelle pour chercher d’insérer à l’ordre du jour d’un prochain dialogue, la levée de l’interdit «d’un troisième mandat» de Joseph Kabila. Puisque, selon ce doctrinaire du «kabilisme», il serait reconnu que «les concertations nationales» organisées début septembre 2013, auraient, en son temps, abordé tous les sujets, sauf bien entendu, la question du chef de l’Etat dont la chute probable en 2016, était la seule crainte du pouvoir en place.
En d’autres termes, le sujet du troisième mandat du chef de l’Etat devrait rester vraiment la seule question fondamentale à traiter, pour lever l’interdit de son «troisième mandat» et/ ou essayer de trouver une «formule de consensus» vers un «glissement des institutions actuelles». Et tout cela, en «invoquant» un soi-disant manque d’argent ou de financement extérieur, pour organiser techniquement des élections objectives et apaisées.
Voilà pourquoi, Azarias Ruberwa, président du R.C.D/Goma, et allié naturel de Joseph Kabila, interviendra à la presse pour déclarer que « la République Démocratique du Congo ne sera pas en mesure d’organiser, raisonnablement, les sept élections prévues par la Commission Electorale Nationale Indépendante (C.E.N.I), en une année, par suite du facteur temps et du budget», mais aussi à cause «des tensions résultant de toutes ces élections qui peuvent causer d’énormes crises», anticipe Azarias Ruberwa, qui considère d’ailleurs, que «le dialogue entre acteurs politiques est nécessaire, pour éviter des tensions et des guerres, comme au Burundi». D’où, ce dernier, plaide pour le report des élections, sans citer lesquelles, entre 2017 et 2018.
En réalité, le dialogue est un exercice permanent en démocratie. On ne peut, outre mesure, se dérober de ce principe élémentaire, qui se définit comme un type de communication entre plusieurs personnes ou groupes de personnes. Le dialogue se distingue de la discussion et du débat : il réfère à un mode de conversation qui comporte nécessairement raison, discernement, exactitude et sagesse, ainsi qu’une interprétation des arguments convergents et convaincants, au fur et à mesure de ce que le dialogue se déploie parmi les interlocuteurs.
Comme toutes communications, le dialogue comprend au minimum un émetteur et un récepteur. Cependant, le dialogue se distingue dans le processus qui unit ces deux protagonistes. Alors que la donnée émise est le message, le but de la communication ; dans un dialogue véritable, le but n’est donc pas le sujet de l’énoncé. Il ne s’agit pas d’avoir raison face au récepteur, ni de lui imposer un point de vue cognitif, une perspective de référence. Le dialogue appelle plutôt à ce que les acteurs de la communication soient transformés dans leur être, en toute liberté ; l’écoute active, l’humilité sincère et le respect mutuel y sont donc nécessaires.
Tiré de ce contexte, le dialogue préconisé à la hâte par Joseph Kabila est, à notre humble avis, inopportun, et ceci surtout, après la découverte macabre de la « fosse commune de Maluku » dans lequel 425 corps de nos compatriotes furent ensevelis, nuitamment, à l’abri des regards indiscrets. Le dialogue claironné par Kabila, ne prend de véritable sens que si l’on sait qu’il sert à désorienter l’attention du peuple congolais, dans sa quête qui consiste, à interpeller la Cour Pénale Internationale, pour qu’elle révèle la flagrance, établisse les responsabilités des auteurs de ces crimes, face à une justice congolaise jugée instrumentalisée, corrompue et défaillante, et ordonne, par conséquent des poursuites.
D’autre part, la détention prolongée et injustifiée de certains leaders politiques respectables, pourtant innocents, dont Eugène Diomi Ndongala, Jean-Bertrand Ewanga, Eddy Kapend, Georges Leta Mangasa et consorts, continue à préoccuper les bonnes consciences. Feignant ignorer, ce principe de droit qui stipule : la liberté est un droit acquis à toute personne humaine, il s’avère que la détention doit rester une exception. Devant ce principe, si réellement Joseph Kabila, a recouvert le ministère de la parole, peut-il nous fournir des explications convaincantes sur ces deux cas, qui bouleversent les consciences et creusent davantage un déficit de confiance entre ce dernier et le peuple congolais ?
Tout ceci étant, «le troisième mandat» pour Joseph Kabila n’est qu’une illusion, un faux débat, au pire, une diversion et un moyen supplémentaire que les ennemis de notre peuple veulent accorder à Joseph Kabila pour que ce dernier écrase, à sa guise, la femme et l’homme congolais, pourtant déterminés à se débarrasser de ce «président dictateur», porteur de la flamme de la désespérance.
Bref, au lieu de nous attarder à autant de sujets polémiques, qui surgissent autour de la personne de Joseph Kabila, qui distraient et qui divisent, autant que l’on tourne cette page sombre de notre pays, et que l’on dise à «Joseph Kabila», sans regrets ni remords, de préparer ses valises, pour son départ sans retour, loin de notre pays, le 19 décembre 2016 au plus tard à minuit.
De cette alternance souhaitée, naîtra, certainement des institutions fortes, et non des hommes forts, qui auront pour mission essentielle : de donner aux jeunes de notre nation, le goût de vivre, au lieu de leur faire constamment peur, à l’idée de mourir.
Bamba-di-Lelo
Docteur en sciences politiques de l’UCL
Analyste des Questions politiques du Congo
jbadil@hotmail.be "
Compatriotiquement!
# Si haut que l'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul #
# Que faisait Dieu avant la création ? De toute éternité, il préparait d'épouvantables supplices pour celui qui poserait cette question. #
ndonzwau
Re: glissement est une necessité pas une option, dans ce pays
Piélé, ce n´est pas à mon grand-père ni au petit sorcier du village qu´il faille poser cette question, allez plutôt demander à Mende, lui qui disait et dit toujours que les élections auront bel et bien lieu.piélé de dongo a écrit:Avec quel argent on va organiser les élèctions pésidentielles.
Arafat
Re: glissement est une necessité pas une option, dans ce pays
Aprés certaines personnalités de la vrai opposition, voici la france et l'ONU sur la même longueur d'onde, glissement et non prolongation pour des raisons financières. Baza kowa baza kowa, bakokoma ebelé oyo ba kombondela Rais acontinué. Mais Glissement pour combien de temps Rais plus malin que la malignité, ba oyo bazali kocombattre ye bango nde bakopesa ye mokonzi.
piélé de dongo
Re: glissement est une necessité pas une option, dans ce pays
Ali Ntumba décrypte l'avis de Ne Muanda Nsemi,
qui souhaite le glissement et le UN+QUATRE, qui n'a aucun sens.
C'est vraiment incroyable dans ce pays,du moment ou le porte parole du
gouvernement dit qu'il y aura des élections.Tandis qu'un opposant
prétend qu'il ne peut y avoir des élections parce que les conditions ne
sont pas propice.EST-CE-QUE NE MUANDA NSEMI
CONNAÎT LA SITUATION DU PAYS MIEUX QUE LES GENS DU GOUVERNEMENT ?
AINSI QUE MENDE QUI EST LE PORTE PAROLE DU GOUVERNEMENT ?
qui souhaite le glissement et le UN+QUATRE, qui n'a aucun sens.
C'est vraiment incroyable dans ce pays,du moment ou le porte parole du
gouvernement dit qu'il y aura des élections.Tandis qu'un opposant
prétend qu'il ne peut y avoir des élections parce que les conditions ne
sont pas propice.EST-CE-QUE NE MUANDA NSEMI
CONNAÎT LA SITUATION DU PAYS MIEUX QUE LES GENS DU GOUVERNEMENT ?
AINSI QUE MENDE QUI EST LE PORTE PAROLE DU GOUVERNEMENT ?
Dernière édition par El-Shaman le 8/7/2015, 9:48 am, édité 1 fois
El-Shaman
Re: glissement est une necessité pas une option, dans ce pays
Attention au glissement, ne faites pas ça chez vous
Zik
Re: glissement est une necessité pas une option, dans ce pays
Lol! Funny image...
Mais faut pas oublier que tous les glissements ne sont pas pareils. Tant que t'as les bonnes chaussures et que tu es agile, il y a aussi le glissement Yobi-Yobi! Lol...
https://youtu.be/OHec6o_GAMU
Lol!
Mais faut pas oublier que tous les glissements ne sont pas pareils. Tant que t'as les bonnes chaussures et que tu es agile, il y a aussi le glissement Yobi-Yobi! Lol...
https://youtu.be/OHec6o_GAMU
Lol!
NgongaEbeti
Re: glissement est une necessité pas une option, dans ce pays
Tshisekedi ne va pas pour discuter avec Rais personnellement, UDPS va dans un dialogue national même convoqué par celui qu'il considere comme son ennemi, et ceci dans l'interet de la nation. Bravo à Felix qui a amené cet etat d'esprit dans l'UDPS.
J'espère que le vrai UDPsien ne repondra pas à cette erreur humaine qu'est boketshu.
Le oui de l'UDPS est une bonne chose pour la nation et non pour tshisekedi. Eteya celle de la gente feminine oyo bakanisaka que bazali kosekisa biso na ba connerie ya niveau ya boketshu. Et j'espère Kabila ou tshisekedi n'ecoutera pas ses extrémistes.
J'espère que le vrai UDPsien ne repondra pas à cette erreur humaine qu'est boketshu.
Le oui de l'UDPS est une bonne chose pour la nation et non pour tshisekedi. Eteya celle de la gente feminine oyo bakanisaka que bazali kosekisa biso na ba connerie ya niveau ya boketshu. Et j'espère Kabila ou tshisekedi n'ecoutera pas ses extrémistes.
piélé de dongo
Re: glissement est une necessité pas une option, dans ce pays
LE GLISSEMENT N'EST PAS UNE NÉCESSITÉ !
L'honorable Jean Claude Vuemba nous apprend qu'il y a de l'argent.Il doit y avoir normalement de l'argent parce que chaque année ba votaka pona élection budget 200.000.000 $.Ce qui fait déjà jusqu'à ce jour 800.000.000 de $. Donc ceux qui disent qu'il n'y a pas d'argent pour les élections sont des imposteurs.Voila pourquoi il faut DIALOGUE pona toyeba mbongo oyo eza wapi ? Mr Kabila et son gouvernement doit nous expliqué et nous rendre des comptes,parce que mbongo ezalaka na makolo te etambola kaka boye pe ebunga.Nous devons savoir ou est passé tout cette argent ? Pourquoi batu misusu bazo tonga ba ndaku ya danze alors que les peuples crèvent de faim ? Pourquoi batu misusu bazalaka na mbongo te il y a 10 ou 15 ans,lelo bakomi na mbongo ebelé en dollars ?
Voila pourquoi il faut dialogue avec des arbitres....
El-Shaman
Re: glissement est une necessité pas une option, dans ce pays
Pas de dialogue sans un médiateur extérieur qui va jouer le rôle d'arbitre.
El-Shaman
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