LIBEREZ LE PRISONNIER POLITIQUE EUGENE DIOMI NDONGALA
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LIBEREZ LE PRISONNIER POLITIQUE EUGENE DIOMI NDONGALA
COMMUNIQUE DE LA DEMOCRATIE CHRETIENNE, D.C. N°1/11-13/01/2010
ARRESTATION ARBITRAIRE DU PRESIDENT EUGENE DIOMI NDONGALA APRES SON AGGRESSION HIER A MOANDA AU BAS CONGO
LA DEMOCRATIE CHRETIENNE DENONCE L’ARRESTATION DE SON PRESIDENT NATIONAL, M. DIOMI NDONGALA EUGENE, CE MATIN 13/01/2011 A MOANDA AU BAS CONGO OU IL S’ETAIT RENDU DANS LE CADRE DE LA PREPARATION DU CONGRES DU PARTI QUI DEVRA AVOIR LIEU AU DEBUT DU MOI DE FEVRIER 2011.
LA DEMOCRATIE CHRETIENNE TIENT AUSSI A DENONCER QUE HIER 12/01/2011 LE PRESIDENT DIOMI NDONGALA A ETE BRUTALISE PAR DES POLICIERS QUI VOULAIENT ARRACHER LES DOCUMENTS PERSONNELS QU’ IL AVAIT SUR LUI.
PAR LA SUITE, LE 13/01/2011, DES POLICIERS SONT VENUS DANS SA RESIDENCE AVEC UN MANDAT D AMENER.
IL EST ACTUELLEMENT RETENU SANS CONNAITRE LES CAUSES DE SON ARRESTATION ET SANS ASSISTANCE D’ UN AVOCAT. LES MEMBRES DE LA DC NE CONNAISSENT PAS ACTUELLEMENT SON LIEU DE DETENTION.
CRAIGNANT POUR SON INTEGRITE PHYSIQUE APRES L’ AGGRESSION VIOLENTE SUBIE HIER, LE COMITE DIRECTEUR DE LA DEMOCRATIE CHRETIENNE DEMANDE AUX AUTORITES POLITIQUES ET MILITAIRES DE LIBERER IMMEDIATEMENT LE PRESIDENT DIOMI NDONGALA ET METTRE UN TERME AUX AGGRESSIONS, HARCELEMENTS ET DETENTIONS ARBITRAIRES DES OPPOSANTS POLITIQUES DU REGIME EN PLACE ET DE RESPECTER LA CONSTITUTION EN VIGUEUR EN RDC ET LES DROITS CIVILS ET POLITIQUES DE TOUS LES CONGOLAIS.
FREDDY KITA
SECRETAIRE GENERAL DE LA D.C.
13/01/2011
00243821446258
http://dc-kin.net/info/2011/01/13/arrestation-arbitraire-du-president-eugene-diomi-ndongala-apres-son-aggression-hier-a-moanda-au-bas-congo/
ARRESTATION ARBITRAIRE DU PRESIDENT EUGENE DIOMI NDONGALA APRES SON AGGRESSION HIER A MOANDA AU BAS CONGO
LA DEMOCRATIE CHRETIENNE DENONCE L’ARRESTATION DE SON PRESIDENT NATIONAL, M. DIOMI NDONGALA EUGENE, CE MATIN 13/01/2011 A MOANDA AU BAS CONGO OU IL S’ETAIT RENDU DANS LE CADRE DE LA PREPARATION DU CONGRES DU PARTI QUI DEVRA AVOIR LIEU AU DEBUT DU MOI DE FEVRIER 2011.
LA DEMOCRATIE CHRETIENNE TIENT AUSSI A DENONCER QUE HIER 12/01/2011 LE PRESIDENT DIOMI NDONGALA A ETE BRUTALISE PAR DES POLICIERS QUI VOULAIENT ARRACHER LES DOCUMENTS PERSONNELS QU’ IL AVAIT SUR LUI.
PAR LA SUITE, LE 13/01/2011, DES POLICIERS SONT VENUS DANS SA RESIDENCE AVEC UN MANDAT D AMENER.
IL EST ACTUELLEMENT RETENU SANS CONNAITRE LES CAUSES DE SON ARRESTATION ET SANS ASSISTANCE D’ UN AVOCAT. LES MEMBRES DE LA DC NE CONNAISSENT PAS ACTUELLEMENT SON LIEU DE DETENTION.
CRAIGNANT POUR SON INTEGRITE PHYSIQUE APRES L’ AGGRESSION VIOLENTE SUBIE HIER, LE COMITE DIRECTEUR DE LA DEMOCRATIE CHRETIENNE DEMANDE AUX AUTORITES POLITIQUES ET MILITAIRES DE LIBERER IMMEDIATEMENT LE PRESIDENT DIOMI NDONGALA ET METTRE UN TERME AUX AGGRESSIONS, HARCELEMENTS ET DETENTIONS ARBITRAIRES DES OPPOSANTS POLITIQUES DU REGIME EN PLACE ET DE RESPECTER LA CONSTITUTION EN VIGUEUR EN RDC ET LES DROITS CIVILS ET POLITIQUES DE TOUS LES CONGOLAIS.
FREDDY KITA
SECRETAIRE GENERAL DE LA D.C.
13/01/2011
00243821446258
http://dc-kin.net/info/2011/01/13/arrestation-arbitraire-du-president-eugene-diomi-ndongala-apres-son-aggression-hier-a-moanda-au-bas-congo/
Dernière édition par KOTA le 16/1/2011, 2:19 pm, édité 3 fois
KOTA
Re: LIBEREZ LE PRISONNIER POLITIQUE EUGENE DIOMI NDONGALA
to boyi intimidations, allons aux elections
Hiro-Hito- Admin
Re: LIBEREZ LE PRISONNIER POLITIQUE EUGENE DIOMI NDONGALA
COMPLEMENT D INFORMATION 13/01/2011 A 15H00
LE PRESIDENT DE LA DEMOCRATIE CHRETIENNE, M. EUGENE DIOMI NDONGALA, VIENT D ETRE TRANSFERE AU PARQUET DE MOANDA.
D UN MANIERE REVOLATANTE ET ETONNANTE, ALORS QU IL A ETE APPREHENDE DANS SON RESIDENCE ET QU IL A ETE VICTIME D UNE AGGRESSION LA VEILLE TOUJOURS DANS SON LIEU DE RESIDENCE, IL SERA DEFERE DEVANT LE TRIBUNAL DE MOANDA EN FLAGRANT DELIT...D' OUTRAGE A POLICIERS, SEMBLE-T-IL....
FORTES PRESSIONS SONT EXERCEES PAR L ANR ET LES AUTORITES DE KINSHASA SUR LES JUGES POUR QU IL SOIT JUGE EN FLAGRANT DELIT ET CONDAMNE.
IL EST EVIDENT QU UNE FOIS CONDAMNE IL NE POURRA PLUS SE PRESENTER AUX ELECTIONS ...
AFFAIRE A SUIVRE
PERMANENCE DC
LE PRESIDENT DE LA DEMOCRATIE CHRETIENNE, M. EUGENE DIOMI NDONGALA, VIENT D ETRE TRANSFERE AU PARQUET DE MOANDA.
D UN MANIERE REVOLATANTE ET ETONNANTE, ALORS QU IL A ETE APPREHENDE DANS SON RESIDENCE ET QU IL A ETE VICTIME D UNE AGGRESSION LA VEILLE TOUJOURS DANS SON LIEU DE RESIDENCE, IL SERA DEFERE DEVANT LE TRIBUNAL DE MOANDA EN FLAGRANT DELIT...D' OUTRAGE A POLICIERS, SEMBLE-T-IL....
FORTES PRESSIONS SONT EXERCEES PAR L ANR ET LES AUTORITES DE KINSHASA SUR LES JUGES POUR QU IL SOIT JUGE EN FLAGRANT DELIT ET CONDAMNE.
IL EST EVIDENT QU UNE FOIS CONDAMNE IL NE POURRA PLUS SE PRESENTER AUX ELECTIONS ...
AFFAIRE A SUIVRE
PERMANENCE DC
KOTA
Re: LIBEREZ LE PRISONNIER POLITIQUE EUGENE DIOMI NDONGALA
C'est INACCEPTABLE de voir encore ce genre des choses en RDC
Admin- Admin
Re: LIBEREZ LE PRISONNIER POLITIQUE EUGENE DIOMI NDONGALA
COMMUNIQUE N°1 DU 13/01/2011- DC-KONGO CENTRAL
LE PRESIDENT DE LA DEMOCRATIE CHRETIENNE, M. EUGENE DIOMI NDONGALA, EST DEJA EN TRAIN D ETRE JUGE A MOANDA POUR DES FAITS QUI INDIQUENT A QUEL POINT LES LIBERTES FONDAMENTALES DE CONGOLAIS SONT BAFOUEES, SURTOUT A L' INTERIEUR DU CONGO-KINSHASA.
DEJA AUJOUR D HUI A EU LIEU L AUDIENCE AU TRIBUNAL DE MOANDA.
LE PLAIGNANT: UN AGENT DE L ANR; LES TEMOINS A CHARGE: TROIS AUTRES AGENTS DE L ANR...
LES FAITS:
M. DIOMI NDONGALA A ETE INTERPELLE DANS LA RUE, PRES DE SON HOTEL, A 20H00 PAR 4 HOMMES EN HABITS CIVILS QUI N ONT PAS DECLINE LEUR IDENTITE.
ILS ONT BRUTELLEMENT DEMANDE AU PRESIDENT DIOMI NDONGALA QU ON LEUR REMETTE SON PASSEPORT. FACE AU REFU DE L INTERESSE, IL ONT ESSAYE DE LE BRUTALISER SANS OBTENIR GAGNE DE CAUSE, AUSSI GRACE A L INTERVENTION DES LA FOULLE PRESENTE ET DES COLLABORATEURS DU PRESIDENTS DIOMI.
LE LENDEMAIN, CES MESSIEURS QUI ETAIENT EN REALITE DES AGENTS DE L' ANR EN MISSION, ONT PORTE PLAINTE CONTRE LUI POUR "AGGRESSION" ET LES TEMOINS A CHARGE NE SONT QUE LES AGENTS DE L ANR EUX-MEMES.
LA REALITE EST QUE DANS LES PROVINCES CONGOLAISES EST AUJOURD HUI IMPOSSIBILE D EXERCER N IMPORTE QUELLE ACTIVITE POLITIQUE POUR LES PARTIS DE L' OPPOSITION.
LA PRESENCE D UN LEADER NATIONALE DE L OPPOSITION AU BAS CONGO EST DEJA CONSIDEREE COMME UNA CASUS BELLI POUR LES SERVICES DE REPRESSION POLITIQUE.
L ON SE DEMANDE, DANS CES CONDITIONS, COMMENT EXERCER DES LEGITIMES ACTIVITES POLITIQUES SURTOUT EN VUE DES ELECTIONS.
QUAND L ON SAIT QUE LE PRESIDENT DIOMI NDONGALA S APPRETE A FINALISER L ORGANISATION DU CONGRES DE LA DEMOCRATIE CHRETIEN AU MOIS DE FEVRIER, NOUS NOUS DEMANDONS SI CETTE CABALE NE VISE TOUT SIMPLEMENT A CHARGER LE CASIER D UN OPPOSANT AFIN QU IL NE PUISSE PLUS SE PRESENTER AUX ELECTIONS.
LA PROCEDURE EN URGENCE ADOPTEE PAR LE TRIBUNAL POUR FINALISER CETTE CABALE NE FAIT QUE CONFIRMER NOTRE ANALYSE DES FAITS.
VERITE ET JUSTICE POUR LE CONGO
LIBEREZ LE PRESIDENT EUGENE DIOMI NDONGALA!
POUR LA DC/ KONGO CENTRALE
P. MAGLOIRE
KONGO CENTRAL, 13/01/2011
http://dc-kin.net/info/2011/01/13/arrestation-arbitraire-du-president-eugene-diomi-ndongala-apres-son-aggression-hier-a-moanda-au-bas-congo/
LE PRESIDENT DE LA DEMOCRATIE CHRETIENNE, M. EUGENE DIOMI NDONGALA, EST DEJA EN TRAIN D ETRE JUGE A MOANDA POUR DES FAITS QUI INDIQUENT A QUEL POINT LES LIBERTES FONDAMENTALES DE CONGOLAIS SONT BAFOUEES, SURTOUT A L' INTERIEUR DU CONGO-KINSHASA.
DEJA AUJOUR D HUI A EU LIEU L AUDIENCE AU TRIBUNAL DE MOANDA.
LE PLAIGNANT: UN AGENT DE L ANR; LES TEMOINS A CHARGE: TROIS AUTRES AGENTS DE L ANR...
LES FAITS:
M. DIOMI NDONGALA A ETE INTERPELLE DANS LA RUE, PRES DE SON HOTEL, A 20H00 PAR 4 HOMMES EN HABITS CIVILS QUI N ONT PAS DECLINE LEUR IDENTITE.
ILS ONT BRUTELLEMENT DEMANDE AU PRESIDENT DIOMI NDONGALA QU ON LEUR REMETTE SON PASSEPORT. FACE AU REFU DE L INTERESSE, IL ONT ESSAYE DE LE BRUTALISER SANS OBTENIR GAGNE DE CAUSE, AUSSI GRACE A L INTERVENTION DES LA FOULLE PRESENTE ET DES COLLABORATEURS DU PRESIDENTS DIOMI.
LE LENDEMAIN, CES MESSIEURS QUI ETAIENT EN REALITE DES AGENTS DE L' ANR EN MISSION, ONT PORTE PLAINTE CONTRE LUI POUR "AGGRESSION" ET LES TEMOINS A CHARGE NE SONT QUE LES AGENTS DE L ANR EUX-MEMES.
LA REALITE EST QUE DANS LES PROVINCES CONGOLAISES EST AUJOURD HUI IMPOSSIBILE D EXERCER N IMPORTE QUELLE ACTIVITE POLITIQUE POUR LES PARTIS DE L' OPPOSITION.
LA PRESENCE D UN LEADER NATIONALE DE L OPPOSITION AU BAS CONGO EST DEJA CONSIDEREE COMME UNA CASUS BELLI POUR LES SERVICES DE REPRESSION POLITIQUE.
L ON SE DEMANDE, DANS CES CONDITIONS, COMMENT EXERCER DES LEGITIMES ACTIVITES POLITIQUES SURTOUT EN VUE DES ELECTIONS.
QUAND L ON SAIT QUE LE PRESIDENT DIOMI NDONGALA S APPRETE A FINALISER L ORGANISATION DU CONGRES DE LA DEMOCRATIE CHRETIEN AU MOIS DE FEVRIER, NOUS NOUS DEMANDONS SI CETTE CABALE NE VISE TOUT SIMPLEMENT A CHARGER LE CASIER D UN OPPOSANT AFIN QU IL NE PUISSE PLUS SE PRESENTER AUX ELECTIONS.
LA PROCEDURE EN URGENCE ADOPTEE PAR LE TRIBUNAL POUR FINALISER CETTE CABALE NE FAIT QUE CONFIRMER NOTRE ANALYSE DES FAITS.
VERITE ET JUSTICE POUR LE CONGO
LIBEREZ LE PRESIDENT EUGENE DIOMI NDONGALA!
POUR LA DC/ KONGO CENTRALE
P. MAGLOIRE
KONGO CENTRAL, 13/01/2011
http://dc-kin.net/info/2011/01/13/arrestation-arbitraire-du-president-eugene-diomi-ndongala-apres-son-aggression-hier-a-moanda-au-bas-congo/
KOTA
Re: LIBEREZ LE PRISONNIER POLITIQUE EUGENE DIOMI NDONGALA
La phrase prononcée par Eugene Diomi Ndongala,en 2005 au stade des Martyrs," le Congo aux Congolais",est toujours restée en travers de la gorge,des tenants de l'imposture.
Chaque jour qui passe,continu de donner raison à mr Honoré Ngbanda,dans son refus de cautionner la mascarade politique en RDC.
C'est un peu étonnant de voir que Vital Kamerhe,continu de voyager à travers le pays,avec un brassard d'opposant,sans pour autant qu'il soit inquiété,contrairement aux autres qui sont dans opposition depuis des longues dates.
Eteya ba suiviste,qui reve de lui comme futur president de la RDC.
Chaque jour qui passe,continu de donner raison à mr Honoré Ngbanda,dans son refus de cautionner la mascarade politique en RDC.
C'est un peu étonnant de voir que Vital Kamerhe,continu de voyager à travers le pays,avec un brassard d'opposant,sans pour autant qu'il soit inquiété,contrairement aux autres qui sont dans opposition depuis des longues dates.
Eteya ba suiviste,qui reve de lui comme futur president de la RDC.
Tonton Ricos
Re: LIBEREZ LE PRISONNIER POLITIQUE EUGENE DIOMI NDONGALA
Je ne le pense pas, car à mon avis toute candidature au sein de l´opposition ferait les affaires de Kabila, ce n´est pas pour rien qu´il est en train de modifier la constitution sur la loi électorale.KOTA a écrit:
QUAND L ON SAIT QUE LE PRESIDENT DIOMI NDONGALA S APPRETE A FINALISER L ORGANISATION DU CONGRES DE LA DEMOCRATIE CHRETIEN AU MOIS DE FEVRIER, NOUS NOUS DEMANDONS SI CETTE CABALE NE VISE TOUT SIMPLEMENT A CHARGER LE CASIER D UN OPPOSANT AFIN QU IL NE PUISSE PLUS SE PRESENTER AUX ELECTIONS.
Arafat
Re: LIBEREZ LE PRISONNIER POLITIQUE EUGENE DIOMI NDONGALA
CHER ARAFAT,
ILS SAVENT QUE DIOMI NE FERA PAS MARCHE EN ARRIERE.
VERITE ET JUSTICE POUR LE CONGO
ILS SAVENT QUE DIOMI NE FERA PAS MARCHE EN ARRIERE.
VERITE ET JUSTICE POUR LE CONGO
KOTA
Re: LIBEREZ LE PRISONNIER POLITIQUE EUGENE DIOMI NDONGALA
les procureurs, les Juges , ainsi les officiers militaires qui "exécutent" ces genres d'ordre sont des Congolais, comme vous et moi.
Alors comment diable, Kabila arrive à nous manipuler jusqu'à ce point ? Je me le demande simplement.
Avons nous nous Congolais le sens de la nation et de l'intérêt de la Nation...
Cette démocratie naissante a t - elle de l'avenir au Congo, quand on voit de tels agisements ?
Je me demande, le jour de la proclamation des résultats des élections qui feraient Kabila et ses sbires s'il perdait les élections ?
Kabila met de l'essence sur les braises avant même le début de la campagne par la faute de nous même Congolais. Notre légèreté et notre naïveté nous perdra ....Ne cherchons la cause de la chute du Congo ailleurs, elle est au Congo même, et c'est nous mêmes qui creusont notre propre tombe...
Quand je vois les morts de CHEBEYA, ARMAND, et les arrestations arbitraires de KUTHINO de MOKIA etc.. je me dis que CHIRAC avait raison : Nous ne sommes pas prêt à la démocratie car trop corrompus et nous n'avons pas le sens d'une nation ...et de la démocratie
Je crois que nous devons nous préparer nous aussi à vivre ce qui se passe au Cote d'Ivoire. Il y aura des violences post-électorales au Congo et je souhaite que je me trompe ....
Alors comment diable, Kabila arrive à nous manipuler jusqu'à ce point ? Je me le demande simplement.
Avons nous nous Congolais le sens de la nation et de l'intérêt de la Nation...
Cette démocratie naissante a t - elle de l'avenir au Congo, quand on voit de tels agisements ?
Je me demande, le jour de la proclamation des résultats des élections qui feraient Kabila et ses sbires s'il perdait les élections ?
Kabila met de l'essence sur les braises avant même le début de la campagne par la faute de nous même Congolais. Notre légèreté et notre naïveté nous perdra ....Ne cherchons la cause de la chute du Congo ailleurs, elle est au Congo même, et c'est nous mêmes qui creusont notre propre tombe...
Quand je vois les morts de CHEBEYA, ARMAND, et les arrestations arbitraires de KUTHINO de MOKIA etc.. je me dis que CHIRAC avait raison : Nous ne sommes pas prêt à la démocratie car trop corrompus et nous n'avons pas le sens d'une nation ...et de la démocratie
Je crois que nous devons nous préparer nous aussi à vivre ce qui se passe au Cote d'Ivoire. Il y aura des violences post-électorales au Congo et je souhaite que je me trompe ....
djino
ANR VERSUS DIOMI NDONGALA/ KONGO CENTRAL 14/11/2011
ANR VERSUS EUGENE DIOMI NDONGALA/KONGO CENTRAL
January 13, 2011 at 12:48 · Filed under DE LA "DEMOCRATURE" A LA "VOYOUCRATIE" EN RDC, Diomi Ndongala Eugène, POLITIQUE, Rdc, SECURITE, congo · Edit
PROCES ANR VERSUS DIOMI NDONGALA
KONGO CENTRAL, 14/01/2011
UN FOULE NOMBREUSE EST VENUE ASSISTER AU PROCES DE L’ ANR CONTRE DIOMI NDONGALA A MOANDA.
LES AVOCATS DU PRESIDENT DE LA DEMOCRATIE CHRETIENNE ONT CENTRE LEURS PLAIDOIRIES SUR L’ ART 28 DE LA CONSTITUTION ET ILS ONT ETE FORTEMENT APPLAUDIS PAR LA POPULATION DE MOANDA VENUE ASSISTER TRES NOMBREUSE AU PROCES.
EN EFFET L’ ART 28 DE LA CONSTITUTION DIT CECI:
<BLOCKQUOTE>
Article 28
Nul n’est tenu d’exécuter un ordre manifestement illégal. Tout individu, tout agent de l’État est délié du devoir d’obéissance, lorsque l’ordre reçu constitue une atteinte manifeste au respect des droits de l’homme et des libertés publiques et des bonnes mœurs.La preuve de l’illégalité manifeste de l’ordre incombe à la personne qui refuse de l’exécuter.</BLOCKQUOTE>
EN EFFET, EN AGGRESSANT LA NUIT DU 12/01/2010 LE PRESIDENT DE LA DEMOCRATIE CHRETIENNE DANS LA RUE, LES AGENTS DE L’ ANR ONT MANIFESTEMENT VIOLE L ACTUELLE CONSTITUTION EN VIGUEUR ET LES LIBERTES FONDAMENTALES DU PRESIDENT DIOMI NDONGALA.
ALORS QUE LE MINISTERE PUBLIQUE A BASE SA PLAIDOIRIE SUR DES DISPOSITIONS DATANT DU 1953, LES AVOCATS DE DIOMI NDONGALA ONT FAIT NOTER AUX JUGES L’ EVOLUTION DU DROIT ET LA PRIMAUTE DE LA CONSTITUTION DANS LE CAS EN ESPECE.
DE PLUS, LES AVOCATS DU PRESIDENT DE LA DEMOCRATIE CHRETIENNE ONT FAIT NOTER AUX JUGES QUE LA PROCEDURE DE FLAGRANCE ADOPTE PAR LE MAGISTRAT ETE ABUSIVE CAR M. DIOMI NDONGALA SE TROUVEZ CALMEMENT DANS SA RESIDENCE AU MOMENT DE SON ARRESTATION – ARBITRAIRE – ET SON AGGRESSION DE LA PAR DES AGENTS DE L ANR – 4 POUR LA PRECISION – AVAIT EU LIEU LA VEILLE.
<BLOCKQUOTE>
L’ ETONNEMENT TANT DES CONGOLAIS PRESENTS DANS LA SALLE QUE DES AVOCATS A ETE A SON COMBLE QUAND LE JUGE DE MOANDA A DEMANDE AUX AVOCAT UNE COPIE DE LA CONSTITUTION EN VIGUEUR CAR IL IGNORAIT LA PORTEE ET LE CONTENU DE L’ ART 28 DE LA CONSTITUTION.</BLOCKQUOTE>
APRES AVOIR EXHIBE UNE COPIE DE LA CONSTITUTION EN VIGUEUR EN RDC, LA DEFENSE A DEMANTELE COMPLETEMENT LA THESE DE L’ ACCUSATION BASE SUR UN CONCEPTION DES RAPPORTS ENTRE POUVOIR PUBLIQUE ET DROITS DES CITOYENS QUI N EST PLUS DE MISE A LA LUMIERE DE LA NOUVELLE CONSTITUTION DE 2006.
MAINTENANT LES JUGES SE SONT RETIRES.
A SUIVRE
P.MAGLOIRE
DC-KONGO CENTRAL
14/01/2011
16H55
**********************************************************************
……………………………………………………………………………………………….
http://dc-kin.net/info/?p=2596
January 13, 2011 at 12:48 · Filed under DE LA "DEMOCRATURE" A LA "VOYOUCRATIE" EN RDC, Diomi Ndongala Eugène, POLITIQUE, Rdc, SECURITE, congo · Edit
PROCES ANR VERSUS DIOMI NDONGALA
KONGO CENTRAL, 14/01/2011
UN FOULE NOMBREUSE EST VENUE ASSISTER AU PROCES DE L’ ANR CONTRE DIOMI NDONGALA A MOANDA.
LES AVOCATS DU PRESIDENT DE LA DEMOCRATIE CHRETIENNE ONT CENTRE LEURS PLAIDOIRIES SUR L’ ART 28 DE LA CONSTITUTION ET ILS ONT ETE FORTEMENT APPLAUDIS PAR LA POPULATION DE MOANDA VENUE ASSISTER TRES NOMBREUSE AU PROCES.
EN EFFET L’ ART 28 DE LA CONSTITUTION DIT CECI:
<BLOCKQUOTE>
Article 28
Nul n’est tenu d’exécuter un ordre manifestement illégal. Tout individu, tout agent de l’État est délié du devoir d’obéissance, lorsque l’ordre reçu constitue une atteinte manifeste au respect des droits de l’homme et des libertés publiques et des bonnes mœurs.La preuve de l’illégalité manifeste de l’ordre incombe à la personne qui refuse de l’exécuter.</BLOCKQUOTE>
EN EFFET, EN AGGRESSANT LA NUIT DU 12/01/2010 LE PRESIDENT DE LA DEMOCRATIE CHRETIENNE DANS LA RUE, LES AGENTS DE L’ ANR ONT MANIFESTEMENT VIOLE L ACTUELLE CONSTITUTION EN VIGUEUR ET LES LIBERTES FONDAMENTALES DU PRESIDENT DIOMI NDONGALA.
ALORS QUE LE MINISTERE PUBLIQUE A BASE SA PLAIDOIRIE SUR DES DISPOSITIONS DATANT DU 1953, LES AVOCATS DE DIOMI NDONGALA ONT FAIT NOTER AUX JUGES L’ EVOLUTION DU DROIT ET LA PRIMAUTE DE LA CONSTITUTION DANS LE CAS EN ESPECE.
DE PLUS, LES AVOCATS DU PRESIDENT DE LA DEMOCRATIE CHRETIENNE ONT FAIT NOTER AUX JUGES QUE LA PROCEDURE DE FLAGRANCE ADOPTE PAR LE MAGISTRAT ETE ABUSIVE CAR M. DIOMI NDONGALA SE TROUVEZ CALMEMENT DANS SA RESIDENCE AU MOMENT DE SON ARRESTATION – ARBITRAIRE – ET SON AGGRESSION DE LA PAR DES AGENTS DE L ANR – 4 POUR LA PRECISION – AVAIT EU LIEU LA VEILLE.
<BLOCKQUOTE>
L’ ETONNEMENT TANT DES CONGOLAIS PRESENTS DANS LA SALLE QUE DES AVOCATS A ETE A SON COMBLE QUAND LE JUGE DE MOANDA A DEMANDE AUX AVOCAT UNE COPIE DE LA CONSTITUTION EN VIGUEUR CAR IL IGNORAIT LA PORTEE ET LE CONTENU DE L’ ART 28 DE LA CONSTITUTION.</BLOCKQUOTE>
APRES AVOIR EXHIBE UNE COPIE DE LA CONSTITUTION EN VIGUEUR EN RDC, LA DEFENSE A DEMANTELE COMPLETEMENT LA THESE DE L’ ACCUSATION BASE SUR UN CONCEPTION DES RAPPORTS ENTRE POUVOIR PUBLIQUE ET DROITS DES CITOYENS QUI N EST PLUS DE MISE A LA LUMIERE DE LA NOUVELLE CONSTITUTION DE 2006.
MAINTENANT LES JUGES SE SONT RETIRES.
A SUIVRE
P.MAGLOIRE
DC-KONGO CENTRAL
14/01/2011
16H55
**********************************************************************
……………………………………………………………………………………………….
http://dc-kin.net/info/?p=2596
KOTA
Re: LIBEREZ LE PRISONNIER POLITIQUE EUGENE DIOMI NDONGALA
LE PRESIDENT DIOMI NDONGALA VIENT D ETRE CONDAMNE A 5 MOIS DE PRISON FERME.
LE JUGE N A PAS MOTIVE SA DECISION.
LES AVOCATS DU PRESIDENT DIOMI ONT INTERCEPTE APPEL SUR LE BANC.
LA POPULATION DE MOANDA A CHANTE LE NOM DE DIOMI NDONGALA A LA PRONONCIATION DE CE JUGEMENT ABSURD POUR EXPRIMER SON MECONTENTEMENT.
LA LUTTE CONTINUE ET ELLE NE S ARRETERA PAS JUSQU A LA LIBERATION DU PRESIDENT DIOMI NDONGALA
VERITE ET JUSTICE POUR LE CONGO
LE JUGE N A PAS MOTIVE SA DECISION.
LES AVOCATS DU PRESIDENT DIOMI ONT INTERCEPTE APPEL SUR LE BANC.
LA POPULATION DE MOANDA A CHANTE LE NOM DE DIOMI NDONGALA A LA PRONONCIATION DE CE JUGEMENT ABSURD POUR EXPRIMER SON MECONTENTEMENT.
LA LUTTE CONTINUE ET ELLE NE S ARRETERA PAS JUSQU A LA LIBERATION DU PRESIDENT DIOMI NDONGALA
VERITE ET JUSTICE POUR LE CONGO
KOTA
Re: LIBEREZ LE PRISONNIER POLITIQUE EUGENE DIOMI NDONGALA
Bas-Congo:Eugène Diomi Ndongala Nzomambu condamné à 5 mois de prison ferme ! /LA PROSPERITE
January 15, 2011 at 03:13 · Filed under DE LA "DEMOCRATURE" A LA "VOYOUCRATIE" EN RDC, Diomi Ndongala Eugène, LES EXTRAVANGANCES DU REGIME JOSEPHISTE AU CONGO, POLITIQUE, Rdc, SECURITE, congo ·
Bas-Congo
Eugène Diomi Ndongala Nzomambu condamné à 5 mois de prison ferme !
Kinshasa, le 15/01/2011
Eugène Diomi Ndongala, Stade des Martys, 04 JANVIER 2004
Kinshasa, le 15/01/2011
La décision est tombée. Le jugement scellé ce vendredi, à Moanda, vers la côte atlantique, à la frontière de la RD. Congo avec l’Angola, condamne Diomi Ndongala Nzomambu Eugène, Président National de la Démocratie Chrétienne, un parti politique d’Opposition, à cinq mois de prison ferme.
Les avocats de la défense ont immédiatement interjeté appel, sous les applaudissements frénétiques de la population de ce territoire riche en pétrole, dans la Province du Bas-Congo.
A ce stade, aucun motif n’aurait justifié cette arrestation doublée d’un jugement considéré par les pro-Diomi d’expéditif. Le feuilleton qui s’annonce long serait apprécié négativement à l’Opposition où des réactions commencent n’ont pas tardé.
Christian Badibangi, Porte-parole de l’Union Sacrée pour l’Alternance, une Plate-forme de l’Opposition, et Président de l’Union Socialiste Congolaise, parle, lui, d’une énième violation de la Constitution et des lois de la République.
http://www.laprosperiteonline.net/show.php?id=6678&rubrique=La Une
http://dc-kin.net/info/2011/01/15/bas-congoeugene-diomi-ndongala-nzomambu-condamne-a-5-mois-de-prison-ferme-la-prosperite/
January 15, 2011 at 03:13 · Filed under DE LA "DEMOCRATURE" A LA "VOYOUCRATIE" EN RDC, Diomi Ndongala Eugène, LES EXTRAVANGANCES DU REGIME JOSEPHISTE AU CONGO, POLITIQUE, Rdc, SECURITE, congo ·
Bas-Congo
Eugène Diomi Ndongala Nzomambu condamné à 5 mois de prison ferme !
Kinshasa, le 15/01/2011
Eugène Diomi Ndongala, Stade des Martys, 04 JANVIER 2004
Kinshasa, le 15/01/2011
La décision est tombée. Le jugement scellé ce vendredi, à Moanda, vers la côte atlantique, à la frontière de la RD. Congo avec l’Angola, condamne Diomi Ndongala Nzomambu Eugène, Président National de la Démocratie Chrétienne, un parti politique d’Opposition, à cinq mois de prison ferme.
Les avocats de la défense ont immédiatement interjeté appel, sous les applaudissements frénétiques de la population de ce territoire riche en pétrole, dans la Province du Bas-Congo.
A ce stade, aucun motif n’aurait justifié cette arrestation doublée d’un jugement considéré par les pro-Diomi d’expéditif. Le feuilleton qui s’annonce long serait apprécié négativement à l’Opposition où des réactions commencent n’ont pas tardé.
Christian Badibangi, Porte-parole de l’Union Sacrée pour l’Alternance, une Plate-forme de l’Opposition, et Président de l’Union Socialiste Congolaise, parle, lui, d’une énième violation de la Constitution et des lois de la République.
http://www.laprosperiteonline.net/show.php?id=6678&rubrique=La Une
http://dc-kin.net/info/2011/01/15/bas-congoeugene-diomi-ndongala-nzomambu-condamne-a-5-mois-de-prison-ferme-la-prosperite/
KOTA
Re: LIBEREZ LE PRISONNIER POLITIQUE EUGENE DIOMI NDONGALA
De:
"Yves Kongolo"
Cc:
ykongolo@yahoo.fr
"Yves Kongolo"
Cc:
ykongolo@yahoo.fr
Si la Russie a rompu avec le système totalitaire soviétique, il n'existe pas aujourd'hui de véritables contre-pouvoirs institutionnels, politiques et juridiques face à l'autorité présidentielle. Ainsi, le Parlement russe est largement dominé par le parti « Russie unie » et l’opposition n'exerce qu'une influence réduite. En Russie on assiste à une prise de contrôle du Kremlin sur les principaux médias, notamment les Journaux et les grandes chaînes de télévision. L'assassinat de la journaliste Anna Politkovskaia, le 7 octobre 2006, est d’une grande illustration. Le même système est utilisé en RDC, intimidations, enlèvements et assassinats de journalistes sont legion. On peut aussi comparer les méthodes employées par les forces de sécurité russes à l'égard des manifestations de l'opposition. Sous la présidence de Vladimir Poutine, le pouvoir central a également renforcé son autorité sur les provinces, les gouverneurs des régions et les présidents des républiques ne sont plus élus au suffrage universel direct, mais ils sont désormais nommés par le président de la Fédération, qui soumet son candidat à l'approbation de l'assemblée régionale, qu'il peut dissoudre en cas de rejet de son candidat. Aujourd’hui, on révise les articles 197 et 198 pour renforcer le pouvoir de Kabila sur les provinces. Des modifications ont aussi été apportées à la loi électorale en 2005 sur le mode de scrutin des élections des députés à la Douma presque de la même manière qu’on essaie de réviser la constitution et la loi électorale en RDC. Poutine, en avril 1999, avait ordonné au FSB de piéger le procureur général de Russie, Iouri Skouratov, qui diligentait une enquête sur les malversations du clan Eltsine. Récemment, il y a eu l’affaire Khodorkovski et Lebedev accusés d'avoir détourné et blanchi plus de 22 milliards de dollars. Selon des experts, le Kremlin voyait en la personne de Mikhaïl Khodorkovski un adversaire politique. "Si MM. Khodorkovski et Lebedev écopent d'une nouvelle peine, les autorités se sentiront rassurées. Peut-être parce que M. Khodorkovski représente une menace politique", a expliqué le président de l'Institut des évaluations stratégiques, Alexandre Konovalov. " Aussi, Le régime Kabila essaiera par tous les moyens de piéger les membres de l’opposition et certaines personnalités politiques ou militaires pour les écarter de la scène politique en les poussant à des erreurs. Exemples de Gabriel Moka et Diomi Ndongala confirment la thèse. Au début du mois de septembre 1999, Poutine avait créé et provoqué des attentats contre des immeubles d'habitation russes qui ont fait plusieurs centaines de victimes à Moscou et dans d'autres villes de Russie et ont été attribués par les instances judiciaires russes à des terroristes tchétchènes du centre islamiste « Kavkaz ». Cela a permis à Poutine d’ordonner, après ultimatum, la reprise des hostilités en Tchétchénie, pour y « restaurer l'ordre constitutionnel fédéral ». De la même manière, on assistera en cette année des élections, des assassinats, meurtres, provocations, problèmes sociaux… pour provoquer un soulèvement populaire en suscitant une grande colère au sein d’une couche sociale et justifier ainsi l’intervention policière et militaire ou la mise en place d’un Etat d’urgence à la place des élections prévues en 2011. Exemple de la découverte de l'étudiant pendu à l'Unikin. Il sied de noter aussi que Poutine, a usé de beaucoup d’intelligence pour mettre fin à la révolution orange en Ukraine. Yves K. |
KOTA
Re: LIBEREZ LE PRISONNIER POLITIQUE EUGENE DIOMI NDONGALA
KABILA VEUT GAGNER EN AVANCE LES PROCHAINES ELECTIONS/TAZ.DE-BERLIN
January 15, 2011 at 16:01 · Filed under DE LA "DEMOCRATURE" A LA "VOYOUCRATIE" EN RDC, Diomi Ndongala Eugène, POLITIQUE, Rdc, SECURITE, congo · Edit
Les amendements constitutionnels au Congo:
KABILA VEUT GAGNER EN AVANCE LES PROCHAINES ELECTIONS
Traduction de l’Allemand
Le parlement à Kinshasa a approuvé des amendements constitutionnels visant l’abolition d’un tour des élections pour la présidence.
Protestations à l’Université,où il y a eu des victimes.
PAR JOHNSON DOMINIC
Taz BERLIN |
Dans la République démocratique du Congo, la prochaine élection présidentielle est décidée à l’avance. Après l’Assemblée nationale le mercredi, le Sénat a voté jeudi, pour les amendements constitutionnels visant à faciliter la réélection du président Joseph Kabila.
Le second tour des élections pour la présidence sera ainsi aboli. Lors des prochaines élections en Novembre 2011, la majorité simple est suffisante dans le premier tour pour les gagner. Lors des élections de 2006, Kabila a recueilli 44 pour cent au premier tour, puis a dû affronter le leader de l’opposition, Jean-Pierre Bemba, au second tour des élections, qu’il a gagné avec 58 pour cent. Le second tour polariserait la vie politique du Congo, et deux tours de scrutin seraient plus coûteux qu’un, voilà les arguments des partisans de Kabila pour abolition son abolition.
L’opposition du Congo est désormais scandalisés. Jusqu’à présent, ….les candidats de l’opposition concourent séparément au premier tour puis il peuvent se coaliser contre Kabila pour obtenir plus du 50% des votes et le battre ainsi au deuxième tour.
Maintenant, l’opposition devrait être d’accord avant le premier vote sur un candidat commun. Ceci est considéré comme peu probable.
Selon d’autres amendements, le chef del’ État a le droit de dissoudre les gouvernements provinciaux et limoger les gouverneurs des provinces. En outre, la nouvelle repartition des provinces en 26 entités sera annullée.
L’opposition du Congo envisage maintenant d’appeler à des manifestations. Le jeudi, à l’Université de Kinshasa (UNIKIN) des violences ont éclaté entre les étudiants et la police
causant la mort de trois ou 5 personnes, selon les rapports.
Un signe supplémentaire de la tension qui regne en RDC est l' annonce effectué par un sénateur (AMP), selon lequel 72 des partisans armés du général renégat Munene Faustin avaient été arrêtés dans la province occidentale du Bas-Congo. Ils auraient pénétré à partir du pays voisin, le Congo-Brazzaville, dans le but de saboter le barrage d'Inga, à partir duquel Kinshasa puise son électricité.
Il ya deux semaines, la direction de l'Armée s'était manifesté dans le Bas-Congo où un groupe d' anciens soldats de Mobutu auraient été capturés.
Le mercredi, l'ancien ministre des Mines Eugène Diomi Ndongala, très populaire au Bas - Congo, a été arrêté dans la ville de Moanda.
http://www.taz.de/1/politik/afrika/artikel/1/kabila-sichert-sich-naechsten-wahlsieg/
http://dc-kin.net/info/?p=2619
January 15, 2011 at 16:01 · Filed under DE LA "DEMOCRATURE" A LA "VOYOUCRATIE" EN RDC, Diomi Ndongala Eugène, POLITIQUE, Rdc, SECURITE, congo · Edit
Les amendements constitutionnels au Congo:
KABILA VEUT GAGNER EN AVANCE LES PROCHAINES ELECTIONS
Traduction de l’Allemand
Le parlement à Kinshasa a approuvé des amendements constitutionnels visant l’abolition d’un tour des élections pour la présidence.
Protestations à l’Université,où il y a eu des victimes.
PAR JOHNSON DOMINIC
Taz BERLIN |
Dans la République démocratique du Congo, la prochaine élection présidentielle est décidée à l’avance. Après l’Assemblée nationale le mercredi, le Sénat a voté jeudi, pour les amendements constitutionnels visant à faciliter la réélection du président Joseph Kabila.
Le second tour des élections pour la présidence sera ainsi aboli. Lors des prochaines élections en Novembre 2011, la majorité simple est suffisante dans le premier tour pour les gagner. Lors des élections de 2006, Kabila a recueilli 44 pour cent au premier tour, puis a dû affronter le leader de l’opposition, Jean-Pierre Bemba, au second tour des élections, qu’il a gagné avec 58 pour cent. Le second tour polariserait la vie politique du Congo, et deux tours de scrutin seraient plus coûteux qu’un, voilà les arguments des partisans de Kabila pour abolition son abolition.
L’opposition du Congo est désormais scandalisés. Jusqu’à présent, ….les candidats de l’opposition concourent séparément au premier tour puis il peuvent se coaliser contre Kabila pour obtenir plus du 50% des votes et le battre ainsi au deuxième tour.
Maintenant, l’opposition devrait être d’accord avant le premier vote sur un candidat commun. Ceci est considéré comme peu probable.
Selon d’autres amendements, le chef del’ État a le droit de dissoudre les gouvernements provinciaux et limoger les gouverneurs des provinces. En outre, la nouvelle repartition des provinces en 26 entités sera annullée.
L’opposition du Congo envisage maintenant d’appeler à des manifestations. Le jeudi, à l’Université de Kinshasa (UNIKIN) des violences ont éclaté entre les étudiants et la police
causant la mort de trois ou 5 personnes, selon les rapports.
Un signe supplémentaire de la tension qui regne en RDC est l' annonce effectué par un sénateur (AMP), selon lequel 72 des partisans armés du général renégat Munene Faustin avaient été arrêtés dans la province occidentale du Bas-Congo. Ils auraient pénétré à partir du pays voisin, le Congo-Brazzaville, dans le but de saboter le barrage d'Inga, à partir duquel Kinshasa puise son électricité.
Il ya deux semaines, la direction de l'Armée s'était manifesté dans le Bas-Congo où un groupe d' anciens soldats de Mobutu auraient été capturés.
Le mercredi, l'ancien ministre des Mines Eugène Diomi Ndongala, très populaire au Bas - Congo, a été arrêté dans la ville de Moanda.
http://www.taz.de/1/politik/afrika/artikel/1/kabila-sichert-sich-naechsten-wahlsieg/
http://dc-kin.net/info/?p=2619
KOTA
Re: LIBEREZ LE PRISONNIER POLITIQUE EUGENE DIOMI NDONGALA
MISE AU POINT DE LA DEMOCRATIE CHRETIENNE SUR LA CONDAMNATION DU PRESIDENT EUGENE DIOMI NDONGALA/ 15.01.11
January 15, 2011 at 22:10 · Filed under DE LA "DEMOCRATURE" A LA "VOYOUCRATIE" EN RDC, Diomi Ndongala Eugène, POLITIQUE, Rdc, SECURITE, congo ·
MISE AU POINT DE LA DEMOCRATIE CHRETIENNE « DC »
Suite aux contre-vérités inoculées dans l’opinion publique nationale et internationale au sujet de l’arrestation, la détention et du jugement expéditif qui a porté à la condamnation
« Kafkaïenne » de son Président National, Monsieur Eugène DIOMI NDONGALA, la Démocratie Chrétienne, « DC » en sigle, tient à apporter toute la lumière sur la réalité des faits déformés à dessein pour des intérêts politiciens et sur sa récupération politique destinée, une fois de plus, à écarter son président des échéances électorales qui s’annoncent.
Egalement elle dénonce l’harcèlement répressif dont il est victime son Président de la part des services de sécurité congolais, qui, manifestement sur instruction de leur hiérarchie, utilisent abusivement l’appareil sécuritaire et judicaire afin de régler des comptes politiques avec les opposants au régime en place, en les empêchant d’exercer librement des activités politiques surtout en à l’intérieur de la RDC.
En effet, dans le cadre de la redynamisation de son parti, en vue de la tenue du Congrès National prévu pour le mois prochain, le Président National de la DC a entrepris une série des contacts avec sa base, qui l’ont conduit dans la Province du Bas-Congo, passant par les différentes étapes de Kasangulu, Kimpese, Matadi, Boma et Moanda.
A la dernière étape de sa tournée, il s’est résolu de l’occasion offerte pour se rendre au Cabinda pour prendre des contacts dans le cadre de ses activités sportives, en sa qualité d’ Agent International de match de football de la Fifa pour l’Afrique Centrale, « le seul » d’ailleurs habilité officiellement à opérer sur toute l’étendue de la RDC, Congo Brazzaville et Angola sur licence de la Fifa.
A la frontière, il lui sera refusé le laissez-passer par la au motif que compte tenu de son rang – expression textuel des agents – il lui fallait un visa (sic). S’y inclinant de bon gré, il a sollicité et obtenu, de l’immigration angolaise, grâce à la sollicitation des responsables sportifs qui l’attendaient au Cabinda, l’autorisation d’y entrer avec un visa dit « volant » qu’il a été bel et bien délivré en sa faveur.
Malgré cela, les tracasseries ont continué jusqu’au moment où, le 12/01/2011 vers 20 heures, dans la rue, prés de son Hôtel, des inconnus l’ont abordé en demandant de leur remettre son passeport. Face à son refus les quatre inconnus l’ont bousculé pour lui arracher le document. Malgré la brutalité en particulier d’un de ces inconnus, prétendument agent des services d’immigration, M. Diomi Ndongala a catégoriquement refusé de se faire intimider par les « quatre » individus qui ont ainsi renoncé a leur entreprise de confiscation illégale de la pièce d’identité.
Le lendemain matin, il a été appréhendé par des policiers munis d’un mandat d’amener, au motif – inventé de toute pièce – d’avoir administré un coup à la personne d’un agent des services ! Accusation alambiquée pour justifier la privation de sa liberté.
Le 13 février, après un passage « éclair » aux Services Spéciaux de la Police, son dossier sera précipitamment requis par le Parquet de Muanda pour sa fixation devant le Tribunal de Paix du même lieu, suivant curieusement une procédure de flagrance qui n’avait pas raison d’être.
Il sied de souligner que deux semaines auparavant, les mêmes individus avaient brutalisé une dame agent de la brigade routière locale, de nom de Nelly, chargée de circulation, pour des raisons anodines, sans qu’une quelconque procédure ne soit engagée à leur charge malgré la plainte officiellement introduite par la dame..
Cela pour souligner à quel point ces prétendus agents des services Anr et/ ou Dgm ont l’habitude de brutaliser sans raison les citoyens congolais à Muanda, en abusant de leur statut d’intouchables.
Jugé « en plein air », sous des manguiers, le président Diomi Ndongala a été condamné à 5 mois de servitude pénale assortis de la clause d’arrestation immédiate pour infractions de coups et blessures et d’outrage à un fonctionnaire, en dépit des moyens pertinents apportés par sa défense. Par contre, sa plainte déposée le même jour contre les agents prétendument de la Dgm demeure sans instruction jusqu’à ce jour.
Tout le monde a pu s’apercevoir, avant, pendant et après ce procès, que les services spéciaux de la police, le parquet et le juge agissaient sous les instructions en provenance de Matadi et de Kinshasa, visant à humilier le Président National, en le détenant, jugeant et condamnant comme il a été fait. Ceci se confirme de plus en plus au regard du comportement qu’affichent tous les intervenants dans ce dossier.
L’indignation de la population à cause de l’iniquité notoire de ce jugement, à amené le juge de céans à faire une causerie morale à son intention à la fin du procès, pour justifier la décision qu’il a prise et à appeler la population au calme.
Cette population a témoigné sa solidarité et son soutien par des applaudissements et des chants en faveur du Président National et en l’accompagnant massivement jusqu’au lieu de sa détention. Son mécontentement a même précipité le transfert du Président National à la Prison de Boma le 15/01/2011 par crainte de soulèvement populaire dans la ville côtière.
Le président Diomi Ndongala, victime d’une cabale, attend, en état de détention à Boma la fixation de cette cause au degré d’appel où, tant que continueront les interventions intempestives du politique sur l’appareil judiciaire, difficilement la Justice sera rendue.
Egalement, il sied de souligner que le juge qui à prononcé sa condamnation, non motivée en droit à ce jour, il a dit au cours du procès qu’il « ignorait » le contenu de l’art. 28 de la Constitution de la RDC, au point que la défense a été obligée d’apporter la preuve matérielle du contenu de la loi fondamentale en vigueur en RDC en plein audience…
La Démocratie Chrétienne exige la libération immédiate de son Président National, prisonnier politique du régime en place à kinshasa et prend à témoin l’opinion tant nationale et qu’internationale par rapport au niveau d’instrumentalisation de la justice en République Démocratique du Congo, manipulée afin de plier la détermination au changement de notre leader, Eugène Diomi Ndongala et de tous les congolais qui luttent pacifiquement comme lui pour l’avènement d’un véritable Etat de Droit en République Démocratique du Congo.
Vérité et Justice pour le Congo.
Fait à Kinshasa, le 15 janvier 2011
Me. Marc Mawete,
Porte Parole de la
DEMOCRATIE CHRETIENNE, D.C.
http://dc-kin.net/info/2011/01/15/mise-au-point-de-la-democratie-chretienne-sur-la-condamnation-du-president-eugene-diomi-ndongala-15-01-11/
http://dc-kin.net/info/?p=2623
dc-kin.net
January 15, 2011 at 22:10 · Filed under DE LA "DEMOCRATURE" A LA "VOYOUCRATIE" EN RDC, Diomi Ndongala Eugène, POLITIQUE, Rdc, SECURITE, congo ·
MISE AU POINT DE LA DEMOCRATIE CHRETIENNE « DC »
Suite aux contre-vérités inoculées dans l’opinion publique nationale et internationale au sujet de l’arrestation, la détention et du jugement expéditif qui a porté à la condamnation
« Kafkaïenne » de son Président National, Monsieur Eugène DIOMI NDONGALA, la Démocratie Chrétienne, « DC » en sigle, tient à apporter toute la lumière sur la réalité des faits déformés à dessein pour des intérêts politiciens et sur sa récupération politique destinée, une fois de plus, à écarter son président des échéances électorales qui s’annoncent.
Egalement elle dénonce l’harcèlement répressif dont il est victime son Président de la part des services de sécurité congolais, qui, manifestement sur instruction de leur hiérarchie, utilisent abusivement l’appareil sécuritaire et judicaire afin de régler des comptes politiques avec les opposants au régime en place, en les empêchant d’exercer librement des activités politiques surtout en à l’intérieur de la RDC.
En effet, dans le cadre de la redynamisation de son parti, en vue de la tenue du Congrès National prévu pour le mois prochain, le Président National de la DC a entrepris une série des contacts avec sa base, qui l’ont conduit dans la Province du Bas-Congo, passant par les différentes étapes de Kasangulu, Kimpese, Matadi, Boma et Moanda.
A la dernière étape de sa tournée, il s’est résolu de l’occasion offerte pour se rendre au Cabinda pour prendre des contacts dans le cadre de ses activités sportives, en sa qualité d’ Agent International de match de football de la Fifa pour l’Afrique Centrale, « le seul » d’ailleurs habilité officiellement à opérer sur toute l’étendue de la RDC, Congo Brazzaville et Angola sur licence de la Fifa.
A la frontière, il lui sera refusé le laissez-passer par la au motif que compte tenu de son rang – expression textuel des agents – il lui fallait un visa (sic). S’y inclinant de bon gré, il a sollicité et obtenu, de l’immigration angolaise, grâce à la sollicitation des responsables sportifs qui l’attendaient au Cabinda, l’autorisation d’y entrer avec un visa dit « volant » qu’il a été bel et bien délivré en sa faveur.
Malgré cela, les tracasseries ont continué jusqu’au moment où, le 12/01/2011 vers 20 heures, dans la rue, prés de son Hôtel, des inconnus l’ont abordé en demandant de leur remettre son passeport. Face à son refus les quatre inconnus l’ont bousculé pour lui arracher le document. Malgré la brutalité en particulier d’un de ces inconnus, prétendument agent des services d’immigration, M. Diomi Ndongala a catégoriquement refusé de se faire intimider par les « quatre » individus qui ont ainsi renoncé a leur entreprise de confiscation illégale de la pièce d’identité.
Le lendemain matin, il a été appréhendé par des policiers munis d’un mandat d’amener, au motif – inventé de toute pièce – d’avoir administré un coup à la personne d’un agent des services ! Accusation alambiquée pour justifier la privation de sa liberté.
Le 13 février, après un passage « éclair » aux Services Spéciaux de la Police, son dossier sera précipitamment requis par le Parquet de Muanda pour sa fixation devant le Tribunal de Paix du même lieu, suivant curieusement une procédure de flagrance qui n’avait pas raison d’être.
Il sied de souligner que deux semaines auparavant, les mêmes individus avaient brutalisé une dame agent de la brigade routière locale, de nom de Nelly, chargée de circulation, pour des raisons anodines, sans qu’une quelconque procédure ne soit engagée à leur charge malgré la plainte officiellement introduite par la dame..
Cela pour souligner à quel point ces prétendus agents des services Anr et/ ou Dgm ont l’habitude de brutaliser sans raison les citoyens congolais à Muanda, en abusant de leur statut d’intouchables.
Jugé « en plein air », sous des manguiers, le président Diomi Ndongala a été condamné à 5 mois de servitude pénale assortis de la clause d’arrestation immédiate pour infractions de coups et blessures et d’outrage à un fonctionnaire, en dépit des moyens pertinents apportés par sa défense. Par contre, sa plainte déposée le même jour contre les agents prétendument de la Dgm demeure sans instruction jusqu’à ce jour.
Tout le monde a pu s’apercevoir, avant, pendant et après ce procès, que les services spéciaux de la police, le parquet et le juge agissaient sous les instructions en provenance de Matadi et de Kinshasa, visant à humilier le Président National, en le détenant, jugeant et condamnant comme il a été fait. Ceci se confirme de plus en plus au regard du comportement qu’affichent tous les intervenants dans ce dossier.
L’indignation de la population à cause de l’iniquité notoire de ce jugement, à amené le juge de céans à faire une causerie morale à son intention à la fin du procès, pour justifier la décision qu’il a prise et à appeler la population au calme.
Cette population a témoigné sa solidarité et son soutien par des applaudissements et des chants en faveur du Président National et en l’accompagnant massivement jusqu’au lieu de sa détention. Son mécontentement a même précipité le transfert du Président National à la Prison de Boma le 15/01/2011 par crainte de soulèvement populaire dans la ville côtière.
Le président Diomi Ndongala, victime d’une cabale, attend, en état de détention à Boma la fixation de cette cause au degré d’appel où, tant que continueront les interventions intempestives du politique sur l’appareil judiciaire, difficilement la Justice sera rendue.
Egalement, il sied de souligner que le juge qui à prononcé sa condamnation, non motivée en droit à ce jour, il a dit au cours du procès qu’il « ignorait » le contenu de l’art. 28 de la Constitution de la RDC, au point que la défense a été obligée d’apporter la preuve matérielle du contenu de la loi fondamentale en vigueur en RDC en plein audience…
La Démocratie Chrétienne exige la libération immédiate de son Président National, prisonnier politique du régime en place à kinshasa et prend à témoin l’opinion tant nationale et qu’internationale par rapport au niveau d’instrumentalisation de la justice en République Démocratique du Congo, manipulée afin de plier la détermination au changement de notre leader, Eugène Diomi Ndongala et de tous les congolais qui luttent pacifiquement comme lui pour l’avènement d’un véritable Etat de Droit en République Démocratique du Congo.
Vérité et Justice pour le Congo.
Fait à Kinshasa, le 15 janvier 2011
Me. Marc Mawete,
Porte Parole de la
DEMOCRATIE CHRETIENNE, D.C.
http://dc-kin.net/info/2011/01/15/mise-au-point-de-la-democratie-chretienne-sur-la-condamnation-du-president-eugene-diomi-ndongala-15-01-11/
http://dc-kin.net/info/?p=2623
dc-kin.net
KOTA
LOKUTA MONENE, LOKUTA MONENE, OYO AKANISAKI EUGENE DIOMI AKOKWEYA WAYA !
LOKUTA MONENE, LOKUTA MONENE, OYO AKANISAKI EUGENE DIOMI AKOKWEYA WAYA !
January 18, 2011 at 13:57 · Filed under DE LA "DEMOCRATURE" A LA "VOYOUCRATIE" EN RDC, Diomi Ndongala Eugène, LES EXTRAVANGANCES DU REGIME JOSEPHISTE AU CONGO, POLITIQUE, Rdc, SECURITE, congo
LOKUTA MONENE, LOKUTA MONENE, OYO AKANISAKI EUGENE DIOMI AKOKWEYA WAYA!
L’INTERPRETE, N° 976 DU 18/01/2011
…
L’incompréhension politique artificiellement créée par le pouvoir d’Etat sortant au tour des démarches politiques et sportives du président de la Démocratie Chrétienne, D.C., Eugène Diomi Ndongala est une façon sous-jacente, pour l’axe concurrente kabiliste, de se venger de ce dernier à cause, entre autre, de sa prise de position- le 04 janvier 2011- en faveur du Cardinal Monsengwo Pasinya réalisée à l’occasion de la présentation officielle du prélat catholique aux trois province les plus rapprochées de son siège.
Alors que le gouverneur de la ville de Kinshasa, André Kimbuta avait conseillé le Cardinal Laurent Monsengwo Pasinya à cesser de se comporter en « opposant politique » contre le pouvoir en place dans cette période électorale courante, M. Eugène Diomi Ndongala, dont le leadership politique déjà affirmé et confirmé surtout dans le Bas – Congo et à Kinshasa fait très mal aux kabilistes qui ont perdu tout atout électoraliste dans cette province depuis les massacres à répétition de Ne-kongo, avait dit le contraire, soulignant, entre autre, que le Cardinal devait revêtir le rôle d’autorité spirituelle à côté du peuple paupérisé, se faisant ainsi applaudir frénétiquement par l’assistance.
En outre, parce que M Eugène Diomi Ndongala jouit du soutien morale de la population, le tout incline à penser que le système politique kabiliste sentimentalement vomi depuis lors par le peuple de ce pays, n’aurait trouvé alternative beaucoup plus efficace que de le
« neutraliser » artificieusement par voie judicaire truquée pour empêcher l’organisation du Congres extraordinaire se son parti politique programmé pour la fin de ce mois.
UN PROCES IMMORAL ET BIZZARREMENT EXPEDITIF
Un des juges du Tripaix de Moanda, par où le procès en question a eu lieu, aurait révèle, sur base d’une motivation psychologique puissante additionnée à sa rancœur envers le présent régime politique, à une filière du renseignement politique de la France fonctionnant dans les structures de PERENCO dans le coin, que leur tribunal aurait reçu de Matadi des injonctions politiques sur l’attitude à observer dans le traitement de ce dossier judicaire monté de toute pièce et à contenu infractionnel vide.
Ces injonctions, provenues de Kinshasa, et plus précisément du Ministère de la Justice, auraient émane de la Présidence de la République avec transit processoral à la Vice-primature chargée de l’intérieur, avec comme destination intermédiaire la plus haute hiérarchie judicaire au Bas-Congo basée à Matadi, qui a pesé lourdement sur la liberté de conscience du Juge de Tripaix de Muanda dans le traitement du dossier Anr/Dgm versus Diomi Ndongala
Un greffier du même Tripaix de Muanda paraît avoir parlé de son étonnement avec réprobation sur le mécanisme anormal ayant caractérisé le déroulement de ce faux procès au cours duquel le juge officiant aurait reçu l’ordre de Matadi de laisser son téléphone ouvert pendant toute l’audience judiciaire en question, et ce, qui semble-t-il, aurait été suivi suivi à la lettre par le malheureux juge qui, à la fin, aurait été obligé de rédiger son jugement au bureau du Ministère public, c’est – à – dire au parquet, avec toutes les turpitudes morales facilement à deviner.
Etonnement condamné à 5 mois de prison ferme dans un dossier judiciaire vide, mais politiquement colore, a immédiatement intercepté appel a Boma par le canal de ses avocats.
…
Pendant que le tripaix, dont la tendance au parti pris avait été ressentie par la population venue assister nombreuse au procès, rendait son jugement de condamnation à l’encontre de M. Diomi Ndongala, la foule chantait à tue-tête à la gloire du condamné la chanson suivante :
« LOKUTA MONENE, LOKUTA MONENE, AKANISAKI EUGENE DIOMI AKOKWEYA WAYA !…
L’INTERPRETE, 18/01/2011
Permalink
http://dc-kin.net/info/2011/01/18/lokuta-monene-lokuta-monene-oyo-akanisaki-eugene-diomi-akokweya-waya/
January 18, 2011 at 13:57 · Filed under DE LA "DEMOCRATURE" A LA "VOYOUCRATIE" EN RDC, Diomi Ndongala Eugène, LES EXTRAVANGANCES DU REGIME JOSEPHISTE AU CONGO, POLITIQUE, Rdc, SECURITE, congo
LOKUTA MONENE, LOKUTA MONENE, OYO AKANISAKI EUGENE DIOMI AKOKWEYA WAYA!
L’INTERPRETE, N° 976 DU 18/01/2011
…
L’incompréhension politique artificiellement créée par le pouvoir d’Etat sortant au tour des démarches politiques et sportives du président de la Démocratie Chrétienne, D.C., Eugène Diomi Ndongala est une façon sous-jacente, pour l’axe concurrente kabiliste, de se venger de ce dernier à cause, entre autre, de sa prise de position- le 04 janvier 2011- en faveur du Cardinal Monsengwo Pasinya réalisée à l’occasion de la présentation officielle du prélat catholique aux trois province les plus rapprochées de son siège.
Alors que le gouverneur de la ville de Kinshasa, André Kimbuta avait conseillé le Cardinal Laurent Monsengwo Pasinya à cesser de se comporter en « opposant politique » contre le pouvoir en place dans cette période électorale courante, M. Eugène Diomi Ndongala, dont le leadership politique déjà affirmé et confirmé surtout dans le Bas – Congo et à Kinshasa fait très mal aux kabilistes qui ont perdu tout atout électoraliste dans cette province depuis les massacres à répétition de Ne-kongo, avait dit le contraire, soulignant, entre autre, que le Cardinal devait revêtir le rôle d’autorité spirituelle à côté du peuple paupérisé, se faisant ainsi applaudir frénétiquement par l’assistance.
En outre, parce que M Eugène Diomi Ndongala jouit du soutien morale de la population, le tout incline à penser que le système politique kabiliste sentimentalement vomi depuis lors par le peuple de ce pays, n’aurait trouvé alternative beaucoup plus efficace que de le
« neutraliser » artificieusement par voie judicaire truquée pour empêcher l’organisation du Congres extraordinaire se son parti politique programmé pour la fin de ce mois.
UN PROCES IMMORAL ET BIZZARREMENT EXPEDITIF
Un des juges du Tripaix de Moanda, par où le procès en question a eu lieu, aurait révèle, sur base d’une motivation psychologique puissante additionnée à sa rancœur envers le présent régime politique, à une filière du renseignement politique de la France fonctionnant dans les structures de PERENCO dans le coin, que leur tribunal aurait reçu de Matadi des injonctions politiques sur l’attitude à observer dans le traitement de ce dossier judicaire monté de toute pièce et à contenu infractionnel vide.
Ces injonctions, provenues de Kinshasa, et plus précisément du Ministère de la Justice, auraient émane de la Présidence de la République avec transit processoral à la Vice-primature chargée de l’intérieur, avec comme destination intermédiaire la plus haute hiérarchie judicaire au Bas-Congo basée à Matadi, qui a pesé lourdement sur la liberté de conscience du Juge de Tripaix de Muanda dans le traitement du dossier Anr/Dgm versus Diomi Ndongala
Un greffier du même Tripaix de Muanda paraît avoir parlé de son étonnement avec réprobation sur le mécanisme anormal ayant caractérisé le déroulement de ce faux procès au cours duquel le juge officiant aurait reçu l’ordre de Matadi de laisser son téléphone ouvert pendant toute l’audience judiciaire en question, et ce, qui semble-t-il, aurait été suivi suivi à la lettre par le malheureux juge qui, à la fin, aurait été obligé de rédiger son jugement au bureau du Ministère public, c’est – à – dire au parquet, avec toutes les turpitudes morales facilement à deviner.
Etonnement condamné à 5 mois de prison ferme dans un dossier judiciaire vide, mais politiquement colore, a immédiatement intercepté appel a Boma par le canal de ses avocats.
…
Pendant que le tripaix, dont la tendance au parti pris avait été ressentie par la population venue assister nombreuse au procès, rendait son jugement de condamnation à l’encontre de M. Diomi Ndongala, la foule chantait à tue-tête à la gloire du condamné la chanson suivante :
« LOKUTA MONENE, LOKUTA MONENE, AKANISAKI EUGENE DIOMI AKOKWEYA WAYA !…
L’INTERPRETE, 18/01/2011
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http://dc-kin.net/info/2011/01/18/lokuta-monene-lokuta-monene-oyo-akanisaki-eugene-diomi-akokweya-waya/
KOTA
Re: LIBEREZ LE PRISONNIER POLITIQUE EUGENE DIOMI NDONGALA
Union Sacrée pour l’Alternance,
« USA »
Communiqué de presse du 18/01/2011,consécutif à la conférence de presse de l’USA condamnant l’emprisonnement politique du Président National de la D.C., M.Eugène DIOMI NDONGALA
L’Union Sacrée pour l’Alternance, USA en sigle, a appris avec indignation l’arrestation à Moanda dans la province du bas Congo de M. Eugène Diomi Ndongala, Président National de la Démocratie Chrétienne, suivie de son procès expéditif et sa condamnation immédiate, sans instruction, pour une infraction qu’ il n’a pas commise et sur la base de l’accusation partielle d’un agent des services de sécurité.
L’Union Sacrée pour l’Alternance
condamne
avec la dernière énergie la politique répressive dans le chef de la justice de Moanda qui, visiblement instrumentalisée, à jeté de manière expéditive en prison le Président National de la Démocratie pour des raisons politiques.
- Pour l’USA M. Diomi Ndongala paye le prix de la stratégie du régime en place de réduire au silence les opposants politiques et autres représentants de forces vives acquis au changement qui se battent pour la consolidation d’un Etat de droit en Rdc et qui luttent pour l’alternance à l’actuel régime corrompu liberticide, antisocial et dictatorial au pouvoir a Kinshasa.
- Les cas de Floribert Chebeya, Fidèle Bazana, Armand Tungulu Gabriel Mokia, Kuthino Fernando et récemment les étudiants de l’Unikin tués par balles sur leur campus ainsi que la condamnation politique du Président Diomi Ndongala sont tous des exemples représentatifs de cette réalité intolérable.
- Sur ce l’Union Sacrée pour l’Alternance, USA en sigle, demande au peuple congolais de prendre acte de cette volonté affichée du pouvoir de Kinshasa de réinstaurer en RDC un régime de terreur, d’intimidation, d’intolérance et de tracasseries à l’endroit de tous les compatriotes qui émettent un son de cloche contraire au sien.
- Pour l’USA, cette attitude répressive est en train de s’amplifier au point de miner l’instauration d’un véritable Etat de Droit en République Démocratique du Congo.
- L’Union Sacrée pour l’Alternance dénonce ce climat d’insécurité physique et juridique sciemment entretenu par le pouvoir à quelques mois de la tenue des élections, lequel climat risque de vicier tout le processus électoral en cours en R.D.C.
- C’est pourquoi l’USA demande :
1. Au pouvoir de Kinshasa, de libérer immédiatement et sans condition le Président National de la Démocratie Chrétienne incarcéré seulement à cause de ses opinions politiques et de la grande implantation de son parti à l’Ouest de la RDC, qui dérange les visée électoralistes de la coalition politique au pouvoir au Congo-Kinshasa.
2. A la Justice congolaise, de faire preuve d’indépendance conformément à l’Art. 149 de la Constitution, sans se plier passivement aux injonctions du pouvoir exécutif.
3. A la Communauté Internationale et en particulier à la MONUSCO, de s’impliquer totalement dans la sécurisation des acteurs politiques durant les opérations préélectorales, électorales et post électorales, afin de garantir un processus libre, transparent et démocratique ainsi que l’exercice des libertés fondamentales de tous les congolais.
Fait à Kinshasa le 18/01/2011,
Pour l’USA
CHRISTIAN BADIBANGI porte parole
ANZULUNI BEMBE
Ne MUANDA NSEMI
MEDARD LUAKABUANGA
LISANGA BONGANGA
Hon MPAKA
FREDDY KITA
http://dc-kin.net/info/?p=2652
« USA »
Communiqué de presse du 18/01/2011,consécutif à la conférence de presse de l’USA condamnant l’emprisonnement politique du Président National de la D.C., M.Eugène DIOMI NDONGALA
L’Union Sacrée pour l’Alternance, USA en sigle, a appris avec indignation l’arrestation à Moanda dans la province du bas Congo de M. Eugène Diomi Ndongala, Président National de la Démocratie Chrétienne, suivie de son procès expéditif et sa condamnation immédiate, sans instruction, pour une infraction qu’ il n’a pas commise et sur la base de l’accusation partielle d’un agent des services de sécurité.
L’Union Sacrée pour l’Alternance
condamne
avec la dernière énergie la politique répressive dans le chef de la justice de Moanda qui, visiblement instrumentalisée, à jeté de manière expéditive en prison le Président National de la Démocratie pour des raisons politiques.
- Pour l’USA M. Diomi Ndongala paye le prix de la stratégie du régime en place de réduire au silence les opposants politiques et autres représentants de forces vives acquis au changement qui se battent pour la consolidation d’un Etat de droit en Rdc et qui luttent pour l’alternance à l’actuel régime corrompu liberticide, antisocial et dictatorial au pouvoir a Kinshasa.
- Les cas de Floribert Chebeya, Fidèle Bazana, Armand Tungulu Gabriel Mokia, Kuthino Fernando et récemment les étudiants de l’Unikin tués par balles sur leur campus ainsi que la condamnation politique du Président Diomi Ndongala sont tous des exemples représentatifs de cette réalité intolérable.
- Sur ce l’Union Sacrée pour l’Alternance, USA en sigle, demande au peuple congolais de prendre acte de cette volonté affichée du pouvoir de Kinshasa de réinstaurer en RDC un régime de terreur, d’intimidation, d’intolérance et de tracasseries à l’endroit de tous les compatriotes qui émettent un son de cloche contraire au sien.
- Pour l’USA, cette attitude répressive est en train de s’amplifier au point de miner l’instauration d’un véritable Etat de Droit en République Démocratique du Congo.
- L’Union Sacrée pour l’Alternance dénonce ce climat d’insécurité physique et juridique sciemment entretenu par le pouvoir à quelques mois de la tenue des élections, lequel climat risque de vicier tout le processus électoral en cours en R.D.C.
- C’est pourquoi l’USA demande :
1. Au pouvoir de Kinshasa, de libérer immédiatement et sans condition le Président National de la Démocratie Chrétienne incarcéré seulement à cause de ses opinions politiques et de la grande implantation de son parti à l’Ouest de la RDC, qui dérange les visée électoralistes de la coalition politique au pouvoir au Congo-Kinshasa.
2. A la Justice congolaise, de faire preuve d’indépendance conformément à l’Art. 149 de la Constitution, sans se plier passivement aux injonctions du pouvoir exécutif.
3. A la Communauté Internationale et en particulier à la MONUSCO, de s’impliquer totalement dans la sécurisation des acteurs politiques durant les opérations préélectorales, électorales et post électorales, afin de garantir un processus libre, transparent et démocratique ainsi que l’exercice des libertés fondamentales de tous les congolais.
Fait à Kinshasa le 18/01/2011,
Pour l’USA
CHRISTIAN BADIBANGI porte parole
ANZULUNI BEMBE
Ne MUANDA NSEMI
MEDARD LUAKABUANGA
LISANGA BONGANGA
Hon MPAKA
FREDDY KITA
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KOTA
DIOMI NDONGALA DEMASQUE LES TURPITUDES DE LA JUSTICE ET ACCUSE
D.C. NEWS – Vérité et Justice pour le Congo
DIOMI NDONGALA DEMASQUE LES TURPITUDES DE LA JUSTICE ET ACCUSE
January 21, 2011 at 13:51 · Filed under DE LA "DEMOCRATURE" A LA "VOYOUCRATIE" EN RDC, Diomi Ndongala Eugène, LES EXTRAVANGANCES DU REGIME JOSEPHISTE AU CONGO, POLITIQUE, Rdc, SECURITE, congo
EUGENE DIOMI NDONGALA NZOMAMBU
En détention à la Prison de Boma
Boma/Province du Bas-Congo
19/01/2011
Transmis copie pour information :
- A son Excellence Monsieur le Président de la République
- A son Excellence Monsieur le Ministre de la Justice, garde des sceaux et droits humains
- A Monsieur le premier Président de la Cour Suprême de Justice
- A son Excellence Monsieur le Représentant Spécial du Secrétaire Général des Nations Unies
- A Messieurs les Ambassadeurs Accrédités en République Démocratique du Congo
Tous à Kinshasa/GOMBE
- Au Premier Président de la Cour d’Appel de Matadi
- Au Procureur Général près la Cour d’Appel de Matadi
- Au Président du Tribunal de Grande Instance de Boma
- Au Procureur du Parquet de Grande Instance de Boma
A Monsieur l’Inspecteur Général
des Services Judiciaires
à Kinshasa/GOMBE
Concerne : Abus de pouvoir du Chef de Parquet secondaire de Muanda et tricheries du Président du Tribunal de Paix de Muanda dans l’instruction des dossiers RF002/2011/I/RMP/F005.
Par la présente j’ai l’honneur de vous saisir pour l’objet repris en concerne.
En effet, poursuivi à tort pour coups et blessures simples et outrage envers le dépositaire de l’autorité par le ministère public, je suis condamné à 5 mois de SPP avec clause d’arrestation immédiate. Contre ce jugement j’ai relevé appel et le dossier est enrôlé sous RPA 1050 TGI-Boma.
La procédure suivie contre moi a été entachée d’erreurs tellement grossières que cela ne peut se justifier que par une incompétence grave ou soit l’obéissance à des ordres reçus sans prise en compte des lois et des faits de la cause.
Au regard des qualifications requises d’un chef de parquet et d’un Président de Tribunal, je leur fais une présomption de compétence, ce qui laisse manifestement, subsister la seconde hypothèse.
Ceci est attesté par les griefs suivants :
1°) Le Chef de Parquet secondaire de Muanda décerne en date du 13/01/2011 un mandat de perquisition à ma charge alors que les faits imputés à ma personne ne nécessitaient nullement une perquisition de ma chambre d’hôtel et encore moins de mon véhicule.
En effet, les prétendus coups et blessures et l’outrage (en concours idéal) pour lesquels j’étais poursuivi se seraient passés à 1Km de ma chambre d’hôtel. Quel élément utile à la manifestation de la vérité recherchait-il dans ma chambre d’hôtel et encore plus dans ma Jeep ? Manifestement il lui fallait à tout prix trouver une inculpation contre moi. La perquisition n’ayant rien donné de suspect comme le renseigne le procès-verbal d’OPJ, un scénario de coups et blessures simples et d’outrages envers l’autorité fut monté contre moi et me voilà déféré en procédure de flagrance en violation de mes droits les plus élémentaires.
Alors que cette perquisition injustifiée par les besoins de l’instruction n’a rien donné, je me suis retrouvé dépouillé de 11.000$USA.
2°) Déféré devant le juge, les violations des règles procédurales sont encore graves.
- Le juge décide l’audition de quatre témoins dont trois à charge et un à décharge. Il se fait que les trois témoins à charge sont en fait les complices de la cabale dont j’ai été victime, sont tous des subalternes de la partie civile et en plus avaient assisté à toute l’instruction. Malgré les protestations de mon conseil, le juge prendra leurs témoignages remplis de contradictions (bien qu’à titre de renseignement), et curieusement fondera maladroitement ma condamnation sur ces témoignages.
– A l’audience du 13/01/2011 le Tribunal a décidé l’audition de 4 témoins (KABEDE, PATRICK, ANTOINE et MAGLOIRE, 2e feuillet) et curieusement à l’audience du 14/01/2011 seuls les trois témoins à charge ont été cités et l’unique témoin à décharge (MAGLOIRE) n’a pas été cité bien que j’aie donné les coordonnées au greffier. A l’audience d’audition des témoins, le juge ne demande rien sur la non citation de Mr. MAGLOIRE alors que le greffier avait le devoir de le notifier, et ce d’autant plus que j’étais en détention à près de 600Km de ma résidence. Manifestement le juge n’avait pour mission que de me condamner et non de dire le droit.
- Mon conseil a soulevé le moyen tiré de l’irrégularité de ma détention (sixième feuillet), le juge a de manière très lacunaire repris les moyens des parties pour ensuite conclure « partant le Tribunal dira ce moyen non fondée » MAIS NON FONDE POURQUOI ?
Le juge a signé une ordonnance de mise en détention préventive alors que ce devoir incombe au ministère public.
En effet, l’article 6 de l’ordonnance-loi 78-001 relative à la répression des infractions flagrantes dispose que « si l’affaire n’est pas en état de recevoir jugement, le tribunal en ordonne le renvoi à l’une de ses plus prochaines audiences pour plus amples informations et commet s’il échet, l’officier du Ministère public pour procéder, toutes affaires cessantes, aux devoirs d’instructions qu’il précise.
Le prévenu est placé, s’il y a lieu, en détention préventive ». L’autorité habilitée à placer le prévenu en détention préventive est clairement indiquée dans l’article 28 du code de procédure pénale en son alinéa trois, à savoir l’officier du ministère public. Le juge a pour rôle de vérifier la régularité de la détention, et surtout qu’à Muanda les Juges de paix n’accomplissent pas les actes dévolus au ministère public.
J’ai été déféré devant le juge sans PV de saisi de prévenu et celui-ci n’a trouvé mieux que de couvrir l’irrégularité.
3°) Le jugement tel que rédigé démontre que le juge exécutait la mission de me condamner :
- Au premier paragraphe de la relation des faits, il est immédiatement dit « Des éléments de la cause, il découle que le prévenu DIOMI NDONGALA a administré un coup de gifle sur la personne de MUAMBA MULUNDA…. » (Sixième feuillet). D’où le juge tire-t-il d’emblée ses éléments de la cause pour ainsi conclure dès le début ? Sans avoir tout d’abord repris les versions des parties.
- Dans son jugement le juge a commis un faux intellectuel en m’attribuant des déclarations qui ne sont pas miennes.
En effet, le juge affirme que j’ai ravi mon passeport dans la poche de la partie civile MUAMBA. Et pourtant la feuille d’audience du 13/01/2011 atteste que j’ai récupéré mon passeport avant qu’il n’atteigne celui à qui on voulait le remettre. D’où le juge tire-t-il cette déclaration pour en tirer l’élément intentionnel de l’infraction de coups et blessures volontaires en disant « l’élément intentionnel résulte de ce que le prévenu DIOMI NDONGALA a reconnu avoir pris la résolution de ravir son passeport qui était dans la poche de la partie civile » (Neuvième feuillet) JE SUIS DONC CONDAMNE SUR BASE D’UNE DECLARATION INEXISTANTE DANS LES FEUILLES D’AUDIANCE.
<BLOCKQUOTE>
4°) L’argument de droit principal invoqué par ma défense, en l’occurrence l’article 28 de la constitution est reprise par le juge parmi mes moyens mais curieusement dans la motivation de son jugement, il évite soigneusement de me rencontrer. A-t-il oublié ? Ne sait-il pas qu’il avait le devoir de répondre à ce moyen ? Ou a-t-il refusé ?
Pour votre gouverne, lorsque mes conseils avaient invoqué cette disposition constitutionnelle, les deux officiers du ministère public audienciers ainsi que le juge doutaient de son existence. Heureusement pour moi, l’assistance a remis à mes conseils le texte constitutionnel et l’un d’eux l’a lu à l’intention du Tribunal comme l’atteste la feuille d’audience du 14/01/2011.</BLOCKQUOTE>
Encore une fois je suis condamné sans qu’on ait examiné mes moyens de défense.
5°) Durant la plaidoirie, le juge rédigeait déjà sa décision sous la dictée des ministères publics audienciers qui lui indiquaient les références. L’indélicatesse a atteint son point le plus fort après la plaidoirie. Le juge est allé délibérer au Parquet accompagnés des ministères public. Et pourtant le ministère public est une partie au procès en matière pénale. Le juge aurait donc dû se retirer, si besoin était, dans les locaux du Tribunal ou ailleurs mais pas au parquet. (Pouvait-il donc aussi délibérer dans mon bureau ou celui de la partie civile ?
Tous ces éléments que je dénonce et d’autres sont de nature a ne pas rassurer sur le fonctionnement de notre justice et plus particulièrement l’indépendance des juges.
Ainsi je sollicite qu’une enquête soit ouverte aux fins d’en tirer toutes les conséquences de droit.
Veuillez agréer, Monsieur l’Inspecteur Général, l’expression de ma profonde considération.
Eugène DIOMI NDONGALA NZOMAMBU
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DIOMI NDONGALA DEMASQUE LES TURPITUDES DE LA JUSTICE ET ACCUSE
January 21, 2011 at 13:51 · Filed under DE LA "DEMOCRATURE" A LA "VOYOUCRATIE" EN RDC, Diomi Ndongala Eugène, LES EXTRAVANGANCES DU REGIME JOSEPHISTE AU CONGO, POLITIQUE, Rdc, SECURITE, congo
EUGENE DIOMI NDONGALA NZOMAMBU
En détention à la Prison de Boma
Boma/Province du Bas-Congo
19/01/2011
Transmis copie pour information :
- A son Excellence Monsieur le Président de la République
- A son Excellence Monsieur le Ministre de la Justice, garde des sceaux et droits humains
- A Monsieur le premier Président de la Cour Suprême de Justice
- A son Excellence Monsieur le Représentant Spécial du Secrétaire Général des Nations Unies
- A Messieurs les Ambassadeurs Accrédités en République Démocratique du Congo
Tous à Kinshasa/GOMBE
- Au Premier Président de la Cour d’Appel de Matadi
- Au Procureur Général près la Cour d’Appel de Matadi
- Au Président du Tribunal de Grande Instance de Boma
- Au Procureur du Parquet de Grande Instance de Boma
A Monsieur l’Inspecteur Général
des Services Judiciaires
à Kinshasa/GOMBE
Concerne : Abus de pouvoir du Chef de Parquet secondaire de Muanda et tricheries du Président du Tribunal de Paix de Muanda dans l’instruction des dossiers RF002/2011/I/RMP/F005.
Par la présente j’ai l’honneur de vous saisir pour l’objet repris en concerne.
En effet, poursuivi à tort pour coups et blessures simples et outrage envers le dépositaire de l’autorité par le ministère public, je suis condamné à 5 mois de SPP avec clause d’arrestation immédiate. Contre ce jugement j’ai relevé appel et le dossier est enrôlé sous RPA 1050 TGI-Boma.
La procédure suivie contre moi a été entachée d’erreurs tellement grossières que cela ne peut se justifier que par une incompétence grave ou soit l’obéissance à des ordres reçus sans prise en compte des lois et des faits de la cause.
Au regard des qualifications requises d’un chef de parquet et d’un Président de Tribunal, je leur fais une présomption de compétence, ce qui laisse manifestement, subsister la seconde hypothèse.
Ceci est attesté par les griefs suivants :
1°) Le Chef de Parquet secondaire de Muanda décerne en date du 13/01/2011 un mandat de perquisition à ma charge alors que les faits imputés à ma personne ne nécessitaient nullement une perquisition de ma chambre d’hôtel et encore moins de mon véhicule.
En effet, les prétendus coups et blessures et l’outrage (en concours idéal) pour lesquels j’étais poursuivi se seraient passés à 1Km de ma chambre d’hôtel. Quel élément utile à la manifestation de la vérité recherchait-il dans ma chambre d’hôtel et encore plus dans ma Jeep ? Manifestement il lui fallait à tout prix trouver une inculpation contre moi. La perquisition n’ayant rien donné de suspect comme le renseigne le procès-verbal d’OPJ, un scénario de coups et blessures simples et d’outrages envers l’autorité fut monté contre moi et me voilà déféré en procédure de flagrance en violation de mes droits les plus élémentaires.
Alors que cette perquisition injustifiée par les besoins de l’instruction n’a rien donné, je me suis retrouvé dépouillé de 11.000$USA.
2°) Déféré devant le juge, les violations des règles procédurales sont encore graves.
- Le juge décide l’audition de quatre témoins dont trois à charge et un à décharge. Il se fait que les trois témoins à charge sont en fait les complices de la cabale dont j’ai été victime, sont tous des subalternes de la partie civile et en plus avaient assisté à toute l’instruction. Malgré les protestations de mon conseil, le juge prendra leurs témoignages remplis de contradictions (bien qu’à titre de renseignement), et curieusement fondera maladroitement ma condamnation sur ces témoignages.
– A l’audience du 13/01/2011 le Tribunal a décidé l’audition de 4 témoins (KABEDE, PATRICK, ANTOINE et MAGLOIRE, 2e feuillet) et curieusement à l’audience du 14/01/2011 seuls les trois témoins à charge ont été cités et l’unique témoin à décharge (MAGLOIRE) n’a pas été cité bien que j’aie donné les coordonnées au greffier. A l’audience d’audition des témoins, le juge ne demande rien sur la non citation de Mr. MAGLOIRE alors que le greffier avait le devoir de le notifier, et ce d’autant plus que j’étais en détention à près de 600Km de ma résidence. Manifestement le juge n’avait pour mission que de me condamner et non de dire le droit.
- Mon conseil a soulevé le moyen tiré de l’irrégularité de ma détention (sixième feuillet), le juge a de manière très lacunaire repris les moyens des parties pour ensuite conclure « partant le Tribunal dira ce moyen non fondée » MAIS NON FONDE POURQUOI ?
Le juge a signé une ordonnance de mise en détention préventive alors que ce devoir incombe au ministère public.
En effet, l’article 6 de l’ordonnance-loi 78-001 relative à la répression des infractions flagrantes dispose que « si l’affaire n’est pas en état de recevoir jugement, le tribunal en ordonne le renvoi à l’une de ses plus prochaines audiences pour plus amples informations et commet s’il échet, l’officier du Ministère public pour procéder, toutes affaires cessantes, aux devoirs d’instructions qu’il précise.
Le prévenu est placé, s’il y a lieu, en détention préventive ». L’autorité habilitée à placer le prévenu en détention préventive est clairement indiquée dans l’article 28 du code de procédure pénale en son alinéa trois, à savoir l’officier du ministère public. Le juge a pour rôle de vérifier la régularité de la détention, et surtout qu’à Muanda les Juges de paix n’accomplissent pas les actes dévolus au ministère public.
J’ai été déféré devant le juge sans PV de saisi de prévenu et celui-ci n’a trouvé mieux que de couvrir l’irrégularité.
3°) Le jugement tel que rédigé démontre que le juge exécutait la mission de me condamner :
- Au premier paragraphe de la relation des faits, il est immédiatement dit « Des éléments de la cause, il découle que le prévenu DIOMI NDONGALA a administré un coup de gifle sur la personne de MUAMBA MULUNDA…. » (Sixième feuillet). D’où le juge tire-t-il d’emblée ses éléments de la cause pour ainsi conclure dès le début ? Sans avoir tout d’abord repris les versions des parties.
- Dans son jugement le juge a commis un faux intellectuel en m’attribuant des déclarations qui ne sont pas miennes.
En effet, le juge affirme que j’ai ravi mon passeport dans la poche de la partie civile MUAMBA. Et pourtant la feuille d’audience du 13/01/2011 atteste que j’ai récupéré mon passeport avant qu’il n’atteigne celui à qui on voulait le remettre. D’où le juge tire-t-il cette déclaration pour en tirer l’élément intentionnel de l’infraction de coups et blessures volontaires en disant « l’élément intentionnel résulte de ce que le prévenu DIOMI NDONGALA a reconnu avoir pris la résolution de ravir son passeport qui était dans la poche de la partie civile » (Neuvième feuillet) JE SUIS DONC CONDAMNE SUR BASE D’UNE DECLARATION INEXISTANTE DANS LES FEUILLES D’AUDIANCE.
<BLOCKQUOTE>
4°) L’argument de droit principal invoqué par ma défense, en l’occurrence l’article 28 de la constitution est reprise par le juge parmi mes moyens mais curieusement dans la motivation de son jugement, il évite soigneusement de me rencontrer. A-t-il oublié ? Ne sait-il pas qu’il avait le devoir de répondre à ce moyen ? Ou a-t-il refusé ?
Pour votre gouverne, lorsque mes conseils avaient invoqué cette disposition constitutionnelle, les deux officiers du ministère public audienciers ainsi que le juge doutaient de son existence. Heureusement pour moi, l’assistance a remis à mes conseils le texte constitutionnel et l’un d’eux l’a lu à l’intention du Tribunal comme l’atteste la feuille d’audience du 14/01/2011.</BLOCKQUOTE>
Encore une fois je suis condamné sans qu’on ait examiné mes moyens de défense.
5°) Durant la plaidoirie, le juge rédigeait déjà sa décision sous la dictée des ministères publics audienciers qui lui indiquaient les références. L’indélicatesse a atteint son point le plus fort après la plaidoirie. Le juge est allé délibérer au Parquet accompagnés des ministères public. Et pourtant le ministère public est une partie au procès en matière pénale. Le juge aurait donc dû se retirer, si besoin était, dans les locaux du Tribunal ou ailleurs mais pas au parquet. (Pouvait-il donc aussi délibérer dans mon bureau ou celui de la partie civile ?
Tous ces éléments que je dénonce et d’autres sont de nature a ne pas rassurer sur le fonctionnement de notre justice et plus particulièrement l’indépendance des juges.
Ainsi je sollicite qu’une enquête soit ouverte aux fins d’en tirer toutes les conséquences de droit.
Veuillez agréer, Monsieur l’Inspecteur Général, l’expression de ma profonde considération.
Eugène DIOMI NDONGALA NZOMAMBU
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KOTA
Re: LIBEREZ LE PRISONNIER POLITIQUE EUGENE DIOMI NDONGALA
http://dc-kin.net/LiberezDiomiNdongalaPrisonnierPolitique2.html
KOTA
Re: LIBEREZ LE PRISONNIER POLITIQUE EUGENE DIOMI NDONGALA
Rien de nouveau sous le règne de KABILA.
mongo elombe
KABILA COPIE KAGAME PAR L'ENVOIE DES OPPOSANTS DE TAILLE EN PRISON A LA VEILLE DES ELECTIONS/ L'INTERPRETE, N°977 DU 22/01/11
D.C. NEWS – Vérité et Justice pour le Congo
KABILA COPIE KAGAME PAR L’ENVOIE DES OPPOSANTS DE TAILLE EN PRISON/ L’INTERPRETE, N°977 DU 22/01/11
January 22, 2011 at 18:22 · Filed under DE LA "DEMOCRATURE" A LA "VOYOUCRATIE" EN RDC, Diomi Ndongala Eugène, LES EXTRAVANGANCES DU REGIME JOSEPHISTE AU CONGO, POLITIQUE, Rdc, SECURITE, congo
LE MODELE RWANDAIS SE CONFIRME ...
http://dc-kin.net/LiberezDiomiNdongalaPrisonnierPolitique3.html
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http://dc-kin.net/info/?p=2684
KABILA COPIE KAGAME PAR L’ENVOIE DES OPPOSANTS DE TAILLE EN PRISON/ L’INTERPRETE, N°977 DU 22/01/11
January 22, 2011 at 18:22 · Filed under DE LA "DEMOCRATURE" A LA "VOYOUCRATIE" EN RDC, Diomi Ndongala Eugène, LES EXTRAVANGANCES DU REGIME JOSEPHISTE AU CONGO, POLITIQUE, Rdc, SECURITE, congo
LE MODELE RWANDAIS SE CONFIRME ...
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KOTA
Diomi fustige les dysfonctionnements de la justice à Moanda
Diomi fustige les dysfonctionnements de la justice à Moanda
http://www.congoindependant.com/article.php?articleid=6266
KOTA
Re: LIBEREZ LE PRISONNIER POLITIQUE EUGENE DIOMI NDONGALA
D.C. NEWS – Vérité et Justice pour le Congo
GRANDE MANIFESTATION POUR RECLAMER LE DEPART DE JOSEPH KABILA
January 23, 2011 at 08:48 · Filed under Diomi Ndongala Eugène, LES EXTRAVANGANCES DU REGIME JOSEPHISTE AU CONGO, POLITIQUE, Rdc, SECURITE, congo · Edit
GRANDE MANIFESTATION
POUR RECLAMER LE DEPART DE JOSEPH KABILA
TROP C’EST TROP ! Ce mercredi 26 janvier 2011, à 14 heures la communauté congolaise de Belgique invite tous les congolais et les amis du Congo à venir manifester devant l’ambassade du Congo pour dénoncer :
- LES ASSASSINATS DE PLUSIEURS ETUDIANTS DE L’UNIKIN
- L’ENTERREMENT D’ARMAND TUNGULU SANS L’ACCORD DE SA FEMME
( aussi la mort de chebeya, des journalistes et l’arrestations de plusieurs congolais: Entre autres
Kutino, Mokia, Diomi Ndongala etc ….)
- LA MODIFICATION DE LA CONSTITUTION ET LA PRISE EN OTAGE DE LA POPULATION PAR
UNE ELECTION A TOUR UNIQUE
- NOUS DENONCONS D’AVANCE AUSSI LA FUTURE MASCARADE DES ELECTIONS
PRESIDENTIELLES AU CONGO ET LA CORRUPTION.
NOUS DEMANDONS A LA COMMUNAUTE INTERNATIONALE DE NE PLUS SOUTENIR JOSEPH KABILA PARCEQUE LE DROIT DE L’HOMME EST BAFOUE EN RDC.
KABILA DOIT PARTIR
CE MERCREDI 26 JANVIER 2011 LA DIASPORA DE BELGIQUE DEMANDE A L’AMBASSADEUR DU CONGO DE QUITTER L’ AMBASSADE PACIFIQUEMENT.
Venez nombreux La REVOLUTION est en marche pour chasser les dictateurs et les imposteurs. Levons- nous comme un seul Homme.
CONTACT : Henry Muke : 0484 72 72 69
Alhongo : 0488 40 78 28
Likembe : 0488 89 84 56
Faîtes circuler ce message SVP si vous aimez le Congo
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GRANDE MANIFESTATION POUR RECLAMER LE DEPART DE JOSEPH KABILA
January 23, 2011 at 08:48 · Filed under Diomi Ndongala Eugène, LES EXTRAVANGANCES DU REGIME JOSEPHISTE AU CONGO, POLITIQUE, Rdc, SECURITE, congo · Edit
GRANDE MANIFESTATION
POUR RECLAMER LE DEPART DE JOSEPH KABILA
TROP C’EST TROP ! Ce mercredi 26 janvier 2011, à 14 heures la communauté congolaise de Belgique invite tous les congolais et les amis du Congo à venir manifester devant l’ambassade du Congo pour dénoncer :
- LES ASSASSINATS DE PLUSIEURS ETUDIANTS DE L’UNIKIN
- L’ENTERREMENT D’ARMAND TUNGULU SANS L’ACCORD DE SA FEMME
( aussi la mort de chebeya, des journalistes et l’arrestations de plusieurs congolais: Entre autres
Kutino, Mokia, Diomi Ndongala etc ….)
- LA MODIFICATION DE LA CONSTITUTION ET LA PRISE EN OTAGE DE LA POPULATION PAR
UNE ELECTION A TOUR UNIQUE
- NOUS DENONCONS D’AVANCE AUSSI LA FUTURE MASCARADE DES ELECTIONS
PRESIDENTIELLES AU CONGO ET LA CORRUPTION.
NOUS DEMANDONS A LA COMMUNAUTE INTERNATIONALE DE NE PLUS SOUTENIR JOSEPH KABILA PARCEQUE LE DROIT DE L’HOMME EST BAFOUE EN RDC.
KABILA DOIT PARTIR
CE MERCREDI 26 JANVIER 2011 LA DIASPORA DE BELGIQUE DEMANDE A L’AMBASSADEUR DU CONGO DE QUITTER L’ AMBASSADE PACIFIQUEMENT.
Venez nombreux La REVOLUTION est en marche pour chasser les dictateurs et les imposteurs. Levons- nous comme un seul Homme.
CONTACT : Henry Muke : 0484 72 72 69
Alhongo : 0488 40 78 28
Likembe : 0488 89 84 56
Faîtes circuler ce message SVP si vous aimez le Congo
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http://dc-kin.net/info/2011/01/23/grande-manifestation-pour-reclamer-le-depart-de-joseph-kabila/
KOTA
RDC: Assassinats, arrestations arbitraires, et répression tous azimuts: VOICI LA VEILLE ELECTORALE OFFERTE PAR KABILA II AUX CONGOLAIS POUR METTRE EN PLACE UN SIMULACRE D'ELECTIONS
D.C. NEWS – Vérité et Justice pour le Congo
RDC: Assassinats, arrestations arbitraires, et répression tous azimuts: VOICI LA VEILLE ELECTORALE OFFERTE PAR KABILA II AUX CONGOLAIS POUR METTRE EN PLACE UN SIMULACRE D’ELECTIONS
January 23, 2011 at 09:19 · Filed under CRIMES D'ETAT: L'AFFAIRE ARMAND TUNGULU, CRIMES D'ETAT: L'AFFAIRE FLORIBERT CHEBEYA, DE LA "DEMOCRATURE" A LA "VOYOUCRATIE" EN RDC, Diomi Ndongala Eugène, LE CONGO AUX CONGOLAIS, LES EXTRAVANGANCES DU REGIME JOSEPHISTE AU CONGO, POLITIQUE, Rdc, SECURITE, congo
Des élections sous «Joseph Kabila»: Une mauvaise option !
FLORIBERT CHEBEYA ET DIOMI NDONGALA,MAI 2010, ET L ETUDIANT LACHEMENT ABATTU A L’UNIKIN ET APRES PENDU !
Assassinats, arrestations arbitraires, et répression tous azimuts
Dans un article de L’œil du Patriote daté du 16 Août 2010 et intitulé « Joseph Kabila sur les pas de Paul Kagamé», nous avions révélé aux congolais les dessous d’une réunion secrète tenue par le Ministre de l’intérieur Monsieur Adolphe LUMANU en présence des responsables des services de sécurité de la RDC (DEMIAP, ANR, Renseignements Généraux, etc…). Nous avions alors alerté les congolais sur les intentions malveillantes de ces collabos au service de notre imposteur national en dénonçant leur rencontre dont l’objectif machiavélique n’était pas à démontrer ;
il s’agissait bien d’« (…) étudier les voies et moyens de neutraliser certains leaders de l’opposition avant les élections ».
Ainsi, la dernière révision de la constitution en vue d’instaurer un mode de scrutin plus facile à falsifier par les kabilistes n’est qu’un aspect des manœuvres envisagées par notre imposteur national et les siens pour se maintenir coûte que coûte au pouvoir. Les manigances d’Adolphe Lumanu et les autres collabos au service de Kanambe montrent une fois de plus qu’ en République démocratique du Congo, l’état congolais au service de l’occupation, de la balkanisation et du pillage de notre pays continue à remplir son rôle en tant que première source d’insécurité contre la population congolaise.
Près de 6 mois après cette réunion en effet, les événements se succèdent et confirment malheureusement que notre imposteur national et ses sbires sont déjà largement passés à la phase d’action de leur projet macabre. Leur principe est simple : Toute forme de contestation du pouvoir d’occupation par les congolais doit être étouffée par tous les moyens. Pour Kanambe et les siens, rien ne doit empêcher le « raïs » de profiter du prochain scrutin électoral pour conforter son pouvoir à la tête du pays.
« Joseph Kabila » est donc décidé à instaurer dès à présent le climat de terreur qui lui permettra (grâce à divers dispositifs technologiques et humains, des fraudes massives déjà en cours de préparation) de « remporter démocratiquement» à l’issu de la prochaine mascarade électorale. La « machine à tricher et à réprimer » commence donc déjà à tourner à plein régime !
L’œil du Patriote attire donc l’attention de chaque congolais afin que la véritable portée de certains événements récents les incitent à une profonde réflexion, et même à une véritable remise en question pour les autres.
En moins de 6 mois après la réunion que nous évoquions ci-dessus, les cas d’entrave aux droits des congolais à se réunir ou à s’exprimer sont en train d’augmenter. Parmi les faits marquant on peut citer à titre d’illustration, le cas des militants de Bundu Dia Mayala de l’Honorable Ne Muanda Nsemi dont certains ont été relâchés en novembre 2010, après avoir été victimes en août 2010 d’arrestations arbitraires et de répression dans le Bas-Congo Il en a été de même le 19 Août 2010 pour quelques membres du RADER de Monsieur Mampuya dans le Sud-Kivu. Monsieur Sylvestre Bwira président de la Société civile du territoire de Masisi a été également arrêté le 24 août 2010 , et torturé puis relâché quelques jours après. Chacun se souvient également de la mort cruelle d’Armand Tungulu en octobre 2010. Et que dire du récent sabotage sans scrupules de la réunion des leaders de l’opposition institutionnelle au Grand Hôtel à Kinshasa en ce mois de janvier 2011 ?
<BLOCKQUOTE>
La dernière arrestation de Monsieur Diomi Ndongala devrait également faire particulièrement réfléchir les congolais sur la détermination du dictateur rwandais Kanambe, à user régulièrement de méthodes d’action qui n’ont rien à envier à celles utilisées par le KGB soviétique de triste mémoire. La mise en scène qui vient de permettre à ses services de « sécurité » d’expédier ce leader de l’opposition de la province du Bas-Congo en prison disqualifie automatiquement Monsieur Diomi Ndongala du prochain scrutin auquel il envisageait de participer. Car à partir de cet acte judiciaire, il ne peut plus bénéficier du casier judiciaire vierge nécessaire à tout futur candidat aux élections pour être éligible. En quelques mois notre imposteur national a multiplié les actes de violences contre les congolais.</BLOCKQUOTE>
Certains de nos compatriotes s’étonneront sans doute de ne pas voir L’œil du Patriote mentionner dans cette liste le cas de celui qui s’est autoproclamé «menteur», j’ai cité Vital Kamerhe, et de ses « déboires » lors de son récent déplacement à l’Est. La raison en est toute simple, et n’en déplaise à certains fanatiques zélés, L’œil du Patriote tient à alerter une fois de plus les congolais sur le danger du piège de l’ennemi. Car d’après les faits et les renseignements dont nous disposons, Vital Kamerhe est l’interface de « Joseph Kabila ». C’est aussi un autre cheval de Troie au service de Paul Kagame. C’est une monnaie d’échange entre les mains du maître du Rwanda qui tire les ficelles. Ceux des congolais qui continuent à en douter l’apprendront une fois de plus à leurs dépens. Nous reviendrons plus largement sur ce cas dans les jours à venir.
Enfin, L’œil du Patriote attire par contre l’attention de la jeunesse congolaise sur les derniers événements de l’UNIKIN qui devraient les rendre plus que jamais vigilants. En effet, 48 heures à peine, après que la Police ait abattu froidement un Etudiant à Mbuji-Mayi pour avoir simplement dénoncé la négligence et la non-intervention de l’autorité locale contre l’érosion qui menace dangereusement un site universitaire, KANAMBE a réédité ses exploits macabres à Kinshasa, en envoyant, cette fois-ci-, sa garde prétorienne habillée en tenue de policiers, pour mâter un mouvement estudiantin qui visait à protester contre la mort par “pendaison” d’un Etudiant de l’UNIKIN qui, en réalité a tout simplement été assassiné, au même endroit qu’un autre étudiant, une semaine plus tôt.
Cette série d’assassinats visant à créer un climat de terreur vient de permettre aux sbires du dictateur sanguinaire de créer les conditions leur permettant de neutraliser un certain nombre d’étudiants déjà ciblés, ceci grâce à une série d’arrestations déjà programmées, et grâce à la répression meurtrière qui a suivi les échauffourées provoquées par la révolte des étudiants. « Joseph Kabila » et les siens ont déjà établi la liste de ceux qu’ils devront « neutraliser » par tous les moyens. Pour ce faire ; ils comptent régulièrement créer les conditions artificielles qui leur permettront d’accomplir leur sale besogne.
Pour contrer ce projet, L’œil du Patriote demande à toute la jeunesse congolaise et en particulier aux étudiants victimes des dernières violences de s’organiser rapidement de manière à nous communiquer systématiquement la liste des noms et si possible les photos de tous leurs camarades portés disparus à ce jour, afin qu’avec l’aide des ONG de défense des Droits de l’Homme nous puissions relayer et réclamer justice pour toutes ces victimes innocentes. Tous les messages peuvent être envoyés à l’adresse e-mail suivante : info.apareco@gmail.com
Hyppolite Kanambe alias « Joseph Kabila » n’a pas l’intention d’arrêter ni d’atténuer ses actes de répression. Bien au contraire, comme nous l’avons déjà dit, cet homme marche résolument et docilement sur les pas de son mentor Paul Kagamé. Il appartient donc aux congolais d’anticiper dès à présent sur les intentions et les actions criminelles du « 1er kuluna de la république» qui préside actuellement les institutions de la RDC.
Que ceux qui pensent que « ça n’arrive qu’aux autres » cessent de se tromper. La main criminelle « Joseph Kabila » peut s’abattre sur n’importe qui selon son bon vouloir. Tout son parcours le prouve. Et cette réalité est d’autant plus vraie maintenant qu’il est aux abois.
Alors les congolais doivent-ils continuer à attendre naïvement de savoir qui sera la prochaine victime conduite à l’abattoir, par l’imposteur et dictateur rwandais ? N’est-il pas temps pour tous de cesser de subir ces violences répétées et programmées par le pouvoir d’occupation en place en RDC en attendant passivement la mise à mort sélective? Sommes-nous voués à compter le nombre de nos martyrs sans jamais riposter ? Combien nous faut-il de Tungulu, de Chebeya, de Fiston Nzomambu (l’étudiant pendu à l’UNIKIN) ou de son collègue Michel Mbayi Ntumba (assassiné quelques jours plutôt dans la même Université) ? Combien faut-il de martyrs et de morts innocentes pour que le peuple congolais comprenne enfin que ce qui vient d’arriver en Tunisie est à la portée de tous les peuples du monde armé de volonté et de courage ? Jusqu’à quand certains congolais comptent-ils se laisser distraire par des élections hypothéquées d’avance qui ne libéreront pas la RDC ?
Honoré NGBANDA et l’APARECO ne cessent de le répéter : « la République démocratique du Congo est occupée, notre armée et nos institutions sont infiltrées à tous les niveaux. Or, on ne libère pas un pays grâce à des élections! Ce n’est arrivé nulle part au monde, surtout pas lorsque c’est le pouvoir d’occupation qui organise ces élections. Et pour ceux qui ne veulent voir en « Kabila » qu’un simple dictateur préférant oublier qu’il est rwandais, qu’ils se souviennent alors que les dictateurs n’ont pas l’habitude « d’organiser des élections pour les perdre. »
Tout est dit, espérons que les véritables patriotes savent ce qui leur reste à faire…
CANDIDE OKEKE
APARECO
22/01/2011
http://www.aparecordc.org/forum//galerie//documents/12957120481919.pdf
Permalink
http://dc-kin.net/info/2011/01/23/rdc-assassinats-arrestations-arbitraires-et-repression-tous-azimuts-voici-la-veille-electorale-offerte-par-kabila-ii-aux-congolais-pour-mettre-en-place-un-simulacre-delections/
RDC: Assassinats, arrestations arbitraires, et répression tous azimuts: VOICI LA VEILLE ELECTORALE OFFERTE PAR KABILA II AUX CONGOLAIS POUR METTRE EN PLACE UN SIMULACRE D’ELECTIONS
January 23, 2011 at 09:19 · Filed under CRIMES D'ETAT: L'AFFAIRE ARMAND TUNGULU, CRIMES D'ETAT: L'AFFAIRE FLORIBERT CHEBEYA, DE LA "DEMOCRATURE" A LA "VOYOUCRATIE" EN RDC, Diomi Ndongala Eugène, LE CONGO AUX CONGOLAIS, LES EXTRAVANGANCES DU REGIME JOSEPHISTE AU CONGO, POLITIQUE, Rdc, SECURITE, congo
Des élections sous «Joseph Kabila»: Une mauvaise option !
FLORIBERT CHEBEYA ET DIOMI NDONGALA,MAI 2010, ET L ETUDIANT LACHEMENT ABATTU A L’UNIKIN ET APRES PENDU !
Assassinats, arrestations arbitraires, et répression tous azimuts
Dans un article de L’œil du Patriote daté du 16 Août 2010 et intitulé « Joseph Kabila sur les pas de Paul Kagamé», nous avions révélé aux congolais les dessous d’une réunion secrète tenue par le Ministre de l’intérieur Monsieur Adolphe LUMANU en présence des responsables des services de sécurité de la RDC (DEMIAP, ANR, Renseignements Généraux, etc…). Nous avions alors alerté les congolais sur les intentions malveillantes de ces collabos au service de notre imposteur national en dénonçant leur rencontre dont l’objectif machiavélique n’était pas à démontrer ;
il s’agissait bien d’« (…) étudier les voies et moyens de neutraliser certains leaders de l’opposition avant les élections ».
Ainsi, la dernière révision de la constitution en vue d’instaurer un mode de scrutin plus facile à falsifier par les kabilistes n’est qu’un aspect des manœuvres envisagées par notre imposteur national et les siens pour se maintenir coûte que coûte au pouvoir. Les manigances d’Adolphe Lumanu et les autres collabos au service de Kanambe montrent une fois de plus qu’ en République démocratique du Congo, l’état congolais au service de l’occupation, de la balkanisation et du pillage de notre pays continue à remplir son rôle en tant que première source d’insécurité contre la population congolaise.
Près de 6 mois après cette réunion en effet, les événements se succèdent et confirment malheureusement que notre imposteur national et ses sbires sont déjà largement passés à la phase d’action de leur projet macabre. Leur principe est simple : Toute forme de contestation du pouvoir d’occupation par les congolais doit être étouffée par tous les moyens. Pour Kanambe et les siens, rien ne doit empêcher le « raïs » de profiter du prochain scrutin électoral pour conforter son pouvoir à la tête du pays.
« Joseph Kabila » est donc décidé à instaurer dès à présent le climat de terreur qui lui permettra (grâce à divers dispositifs technologiques et humains, des fraudes massives déjà en cours de préparation) de « remporter démocratiquement» à l’issu de la prochaine mascarade électorale. La « machine à tricher et à réprimer » commence donc déjà à tourner à plein régime !
L’œil du Patriote attire donc l’attention de chaque congolais afin que la véritable portée de certains événements récents les incitent à une profonde réflexion, et même à une véritable remise en question pour les autres.
En moins de 6 mois après la réunion que nous évoquions ci-dessus, les cas d’entrave aux droits des congolais à se réunir ou à s’exprimer sont en train d’augmenter. Parmi les faits marquant on peut citer à titre d’illustration, le cas des militants de Bundu Dia Mayala de l’Honorable Ne Muanda Nsemi dont certains ont été relâchés en novembre 2010, après avoir été victimes en août 2010 d’arrestations arbitraires et de répression dans le Bas-Congo Il en a été de même le 19 Août 2010 pour quelques membres du RADER de Monsieur Mampuya dans le Sud-Kivu. Monsieur Sylvestre Bwira président de la Société civile du territoire de Masisi a été également arrêté le 24 août 2010 , et torturé puis relâché quelques jours après. Chacun se souvient également de la mort cruelle d’Armand Tungulu en octobre 2010. Et que dire du récent sabotage sans scrupules de la réunion des leaders de l’opposition institutionnelle au Grand Hôtel à Kinshasa en ce mois de janvier 2011 ?
<BLOCKQUOTE>
La dernière arrestation de Monsieur Diomi Ndongala devrait également faire particulièrement réfléchir les congolais sur la détermination du dictateur rwandais Kanambe, à user régulièrement de méthodes d’action qui n’ont rien à envier à celles utilisées par le KGB soviétique de triste mémoire. La mise en scène qui vient de permettre à ses services de « sécurité » d’expédier ce leader de l’opposition de la province du Bas-Congo en prison disqualifie automatiquement Monsieur Diomi Ndongala du prochain scrutin auquel il envisageait de participer. Car à partir de cet acte judiciaire, il ne peut plus bénéficier du casier judiciaire vierge nécessaire à tout futur candidat aux élections pour être éligible. En quelques mois notre imposteur national a multiplié les actes de violences contre les congolais.</BLOCKQUOTE>
Certains de nos compatriotes s’étonneront sans doute de ne pas voir L’œil du Patriote mentionner dans cette liste le cas de celui qui s’est autoproclamé «menteur», j’ai cité Vital Kamerhe, et de ses « déboires » lors de son récent déplacement à l’Est. La raison en est toute simple, et n’en déplaise à certains fanatiques zélés, L’œil du Patriote tient à alerter une fois de plus les congolais sur le danger du piège de l’ennemi. Car d’après les faits et les renseignements dont nous disposons, Vital Kamerhe est l’interface de « Joseph Kabila ». C’est aussi un autre cheval de Troie au service de Paul Kagame. C’est une monnaie d’échange entre les mains du maître du Rwanda qui tire les ficelles. Ceux des congolais qui continuent à en douter l’apprendront une fois de plus à leurs dépens. Nous reviendrons plus largement sur ce cas dans les jours à venir.
Enfin, L’œil du Patriote attire par contre l’attention de la jeunesse congolaise sur les derniers événements de l’UNIKIN qui devraient les rendre plus que jamais vigilants. En effet, 48 heures à peine, après que la Police ait abattu froidement un Etudiant à Mbuji-Mayi pour avoir simplement dénoncé la négligence et la non-intervention de l’autorité locale contre l’érosion qui menace dangereusement un site universitaire, KANAMBE a réédité ses exploits macabres à Kinshasa, en envoyant, cette fois-ci-, sa garde prétorienne habillée en tenue de policiers, pour mâter un mouvement estudiantin qui visait à protester contre la mort par “pendaison” d’un Etudiant de l’UNIKIN qui, en réalité a tout simplement été assassiné, au même endroit qu’un autre étudiant, une semaine plus tôt.
Cette série d’assassinats visant à créer un climat de terreur vient de permettre aux sbires du dictateur sanguinaire de créer les conditions leur permettant de neutraliser un certain nombre d’étudiants déjà ciblés, ceci grâce à une série d’arrestations déjà programmées, et grâce à la répression meurtrière qui a suivi les échauffourées provoquées par la révolte des étudiants. « Joseph Kabila » et les siens ont déjà établi la liste de ceux qu’ils devront « neutraliser » par tous les moyens. Pour ce faire ; ils comptent régulièrement créer les conditions artificielles qui leur permettront d’accomplir leur sale besogne.
Pour contrer ce projet, L’œil du Patriote demande à toute la jeunesse congolaise et en particulier aux étudiants victimes des dernières violences de s’organiser rapidement de manière à nous communiquer systématiquement la liste des noms et si possible les photos de tous leurs camarades portés disparus à ce jour, afin qu’avec l’aide des ONG de défense des Droits de l’Homme nous puissions relayer et réclamer justice pour toutes ces victimes innocentes. Tous les messages peuvent être envoyés à l’adresse e-mail suivante : info.apareco@gmail.com
Hyppolite Kanambe alias « Joseph Kabila » n’a pas l’intention d’arrêter ni d’atténuer ses actes de répression. Bien au contraire, comme nous l’avons déjà dit, cet homme marche résolument et docilement sur les pas de son mentor Paul Kagamé. Il appartient donc aux congolais d’anticiper dès à présent sur les intentions et les actions criminelles du « 1er kuluna de la république» qui préside actuellement les institutions de la RDC.
Que ceux qui pensent que « ça n’arrive qu’aux autres » cessent de se tromper. La main criminelle « Joseph Kabila » peut s’abattre sur n’importe qui selon son bon vouloir. Tout son parcours le prouve. Et cette réalité est d’autant plus vraie maintenant qu’il est aux abois.
Alors les congolais doivent-ils continuer à attendre naïvement de savoir qui sera la prochaine victime conduite à l’abattoir, par l’imposteur et dictateur rwandais ? N’est-il pas temps pour tous de cesser de subir ces violences répétées et programmées par le pouvoir d’occupation en place en RDC en attendant passivement la mise à mort sélective? Sommes-nous voués à compter le nombre de nos martyrs sans jamais riposter ? Combien nous faut-il de Tungulu, de Chebeya, de Fiston Nzomambu (l’étudiant pendu à l’UNIKIN) ou de son collègue Michel Mbayi Ntumba (assassiné quelques jours plutôt dans la même Université) ? Combien faut-il de martyrs et de morts innocentes pour que le peuple congolais comprenne enfin que ce qui vient d’arriver en Tunisie est à la portée de tous les peuples du monde armé de volonté et de courage ? Jusqu’à quand certains congolais comptent-ils se laisser distraire par des élections hypothéquées d’avance qui ne libéreront pas la RDC ?
Honoré NGBANDA et l’APARECO ne cessent de le répéter : « la République démocratique du Congo est occupée, notre armée et nos institutions sont infiltrées à tous les niveaux. Or, on ne libère pas un pays grâce à des élections! Ce n’est arrivé nulle part au monde, surtout pas lorsque c’est le pouvoir d’occupation qui organise ces élections. Et pour ceux qui ne veulent voir en « Kabila » qu’un simple dictateur préférant oublier qu’il est rwandais, qu’ils se souviennent alors que les dictateurs n’ont pas l’habitude « d’organiser des élections pour les perdre. »
Tout est dit, espérons que les véritables patriotes savent ce qui leur reste à faire…
CANDIDE OKEKE
APARECO
22/01/2011
http://www.aparecordc.org/forum//galerie//documents/12957120481919.pdf
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