Kimbuta, candidat "idéal" pour la province du Kwango?

Troll a écrit:

[color=#0000cc]Au Kwango, nous souhaitons des gens qui possedent un minimum des ressources financières..des gens qui ne vont pas exiger une "résidence", une "voiture"..et au minimum  un "frais" de fonctionement pour commencer le travail**[/color]

Troll a écrit: EMPEREUR

Si Katumbi a pu faire des "choses", ce qu´il n´était pas "pauvre"** Rien que de la part de sa famille, il a grandit avec l´argent..et un minimum des ressources financières..facteur qui lui a permis de "voir plus grand" pour le Katanga**

[[b]color=#0000cc][b]Au Kwango, nous souhaitons des gens qui possedent un minimum des ressources financières..des gens qui ne vont pas exiger une "résidence", une "voiture"..et au minimum  un "frais" ]

Troll a écrit: HELAS..

C´est la réalité la plus simple: Kimbuta a été la "bonne réference" parmis les orginaires de Kenge.. Frater SpirituS va temoigner s´il fait signe...que Kimbuta a tenté de faire quelques petites choses á Kenge..
Si son bilan á Kin est catastrophique, chez lui au Kwango il n´aura "rien" á voler ..au contraire on attend de lui qu´il fasse "venir" l´argent de l´État sous forme des constructions des infrastructures...et encore mieux, qu´il fasse venir des investisseurs capables de realiser des projets du genre Bukanga Lonzo dans tout le Kwango où la terre fertile est disponible..

Arafat a écrit:

Troll a écrit:

[color=#0000cc]Au Kwango, nous souhaitons des gens qui possedent un minimum des ressources financières..des gens qui ne vont pas exiger une "résidence", une "voiture"..et au minimum  un "frais" de fonctionement pour commencer le travail**[/color]

C´est le travail qu´aurait déjà dû faire le gouvernement en amont d´où je soutiens ceux qui critiquent ce découpage fait dans une précipitation incompréhensible, y´aurait-il mort d´hommes si le découpage était repoussé de quelques années en attendant que toutes les structures soient mises en place? Qu´y a-t-il à Kenge? même les élus du Kwango disent qu´il n´y a absolument rien à Kenge, pas d´électricité ni d´eau potable. Je connais ce coin car des fois on regagnant l´internat à Kikwit par la route, on passait par Kenge, Masi-Manimba etc...Il en est de même aussi chez moi, la nouvelle province de la Mongala avec Lisala comme chef-lieu mais mon oeil on se moque des gens ou quoi? Les gens de la MP disent que le président n´a fait que respecter la constitution mais ils oublient que le découpage aurait en principe dû être effectif 3 ans après la promulgation de ladite constitution en 2006. Constitution dia funi, constitution dia mataku ma nsusu.

Hiro-Hito a écrit: Je suis persuade que le decoupage n'a pas ete fait de maniere desinteressee, Je me dis que Kabila cherchait un abris pour lui et sa famille au cas ou il partait. surement une des nouvelles provinces q le katanga a pondu tombera entre les mains de sa famille [/size][/color]

Troll a écrit: KIMBUTA, CANDIDAT IDEAL POUR LA  PROVINCE DU KWANGO?

Province du Kwango

Un voeux et un souhait de tous les orginaires du Kwango depuis les années du MPR: avoir le Kwango comme "province"*
La première raison est que contrairement au Kwilu qui avait connue la rebellion avec Mulele(ministre de l´éducation dans le gouvernement Lumuba*), le Kwango plus proche de Kin (265 km), plus proche linguistiquement du Kongo Central..et "espace Lunda" historiquement ..Le Kwango ne figurait pas sur les priorités de Mobutu..qui devait "pacifier" le Kwilu en "gagnant" les coeurs de ses habitants via des investissements dans les infrastructures de l´éducation..par exemple*
En effet, on trouvait une "IPN" á Kikwit et deux écoles sécondaires "techniques" (agronomie et électricité..si pas mecanique)
Si la province du Mayi Ndombe va hériter de la ville de Bandundu où Mobutu a aussi fait des investissements énormes dans la construction des résidences des fonctionaires et l´aéroport national, ...[/color][/b]

Troll a écrit: KING DAVID

Mister Dan66

Essayez de reverifier votre info..Ce que la ville de Bandundu est située dans l´actuelle Province du Mayi Ndombe...et très éloignée de *Bulungu, *Idiofa, Gungu, Masimanimba**ect..sensés devenir les districts du Kwilu
Sauf erreur de notre part, Kikwit devrait devenir la capitale de la province du Kwilu..

Dans le cadre du découpage territorial décidé depuis quelques mois par les hautes instances du pays et rendu en actes depuis la semaine dernière sur l’ensemble de la République, ne cesse de faire couler beaucoup d’encre et de salive. Les 26 provinces prévues par la Constitutio-n dans son article 10, sont aujourd’hui une réalité. Les provinces concernées par cette opération à savoir : l’Equateur, l’Orientale, le Kasaï-Oriental, le Kasaï-Occidental, le Bandundu et le Katanga ont effectivement été démembré. Et le dernier démembrement en date, s’est opéré au Katanga. Quelle est la configuration de ces nouvelles provinces ? A quoi elles ressemblent ? Voilà la préoccupation à laquelle nous essayons de répondre pour éclairer la lanterne de nos nombreux lecteurs. Nous avons commencé par présenter sur ces mêmes colonnes, hier jeudi, la nouvelle province du Maï-Ndombe. Entité de l’ancienne province de Bandundu éclaté ce jour en trois. Les nombreux appels de nos lecteurs et de nos internautes, nous motivent davantage à poursuivre cette nouvelle sous-rubrique. Question d’aider nos compatriotes à faire leur entrée en la matière alors qu’ils étaient habitués à onze provinces hier. Le Kwilu est situé au centre de l’ancienne province de Bandundu. Elle compte deux grandes villes Kikwit et Bandundu-Ville et cinq territoires à savoir : Masimanimba, Bulungu, Bagata, Gungu et Idiofa. Le Kwilu est considéré comme la province la plus lotie, la mieux nantie par rapport aux deux autres provinces issues de l’ex-province de Bandundu. Elle est dotée d’infrastructures routières qui les lient à la capitale. Ce qui, a tout dire, est un avantage et un atout majeurs pour amorcer le développement. La ville de Bandundu, ancien chef-lieu de la grande province de Bandundu et qui sert de nouveau chef-lieu de la nouvelle province de Kwilu, a l’avantage de disposer des bâtiments et des bureaux qui peuvent servir amplement les nouvelles autorités provinciales. On y trouve la résidence du gouverneur de province, et son bureau, les locaux pour abriter l’assemblée provinciale et les résidences devant loger des autorités aussi bien de l’organe législatif, que des animateurs de la Cour d’appel et des Cours et tribunaux et autres hauts fonctionnaires.. L’on y trouve un grand port, des routes de la voirie. L’énergie électrique et l’eau potable ne posent aucun problème. Des spécialistes, après recherches sont même d’avis que l’eau de la ville de Bandundu, est la meilleure qualité au pays après celle du lac Mukamba vers Mbuji-Mayi. Elle est tirée nous semble-t-il d’une grande rivière souterraine qui provient de l’Angola. En tout cas c’est un ancien DGA de la Regideso qui nous l’a témoigné il y a quelques années pendant que j’y effectuais une visite de travail. Bandundu-Ville regorge une succursale de la Banque centrale du Congo et quelques institutions d’épargne. Le secteur hôtelier n’est pas très développé, mais on y trouve quand même quelques hôtels modernes comme celui de Bondo N’Sama, ancien éditeur du journal Salongo ou encore l’Hôtel Lenko appartenant à un ancien député. L’industrie n’est pas vraiment développée mais on y trouve quand même une savonnerie moderne et une chambre froide appartenant à un particulier. L’ancienne usine de fabrication de la bière Primus, Sobraband a fermé boutique depuis environs deux décennies faute de fonds de roulement. Mais des observateurs avertis affirment que ses machines sont encore en bon état. Question d’un entretien pour remettre en marche cette usine qui aurait pu donner de l’emploi aux jeunes et booster l’économie de la province. Où les commerçants sont obligés de s’approvisionner à Kinshasa pour leurs besoins en boissons alcoolisées ou en sucrée. Certains fils du terroir que nous avons interrogé, souhaitent que la Bralima rachète l’usine et relance la production de la bière Primus qui a, devant elle, un vaste champ et une clientèle sûre disséminée dans Bandundu-Ville d’abord, à Kikwit, le long de la rivière Kasaï, Ilebo, et toutes les grandes cités de Mangaï, Dibaya-Lubwe, Idiofa, Masi etc. C’est ici le lieu d’interpeller les originaires de la nouvelle province de Kwilu qui peuvent faire le lobbying et même le plaidoyer auprès du Gouvernement central pour obtenir le financement devant aider à relancer de cette usine dans le cadre du chantier emploi et qui peut générer des ressources au Trésor par les taxes et autres redevances. Bandundu-Ville n’est pas pauvre en infrastructures scolaires. Il faut seulement moderniser et réhabiliter quelques unes d’entre elles qui existent. *Perspectives du développement* La nouvelle province du Kwilu offre plusieurs perspectives de développement. Non seulement par le fait qu’elle aligne deux grandes villes, Kikwit et Bandundu-Ville mais par le fait aussi son avenir est quelque peu assurée. Grâce à des projets porteurs que le Gouvernement central a lancé depuis quelques années déjà. Il s’agit de la Centale hydroélectrique de Kakobola localisée dans le territoire de Gungu. Selon des informations disponibles, les travaux de construction sont fort avancés. Et si tout va bien, elle pourra être opérationnelle d’ici 2016. D’une capacité d’environ 20 mégawatts, elle va alimenter la ville de Kikwit et ses environs. Et comme l’énergie électrique, c’est la mère du développement, la desserte électrique, va inciter les hommes d’affaires à investir et à booster l’économie dans la nouvelle province du Kwilu qui est naturellement bien partie par rapport aux nouvelles provinces-sœurs de Maï-Ndombe et de Kwango où beaucoup reste à faire. L’autre atout du Kwilu, c’est l’agriculture. Elle compteparmi les régions du pays qui approvisionnent la capitale. En manioc, mais et autres produits alimentaires. *Jean-Pierre Seke*

Depuis un peu plus d’une semaine, la province de Bandundu a été officiellement démembrée après la dernière session de son assemblée provinciale qui a pris acte de l’éclatement de cette ancienne province en 3 à savoir : le Kwilu, le Kwango et le Maï-Ndombe.

Des nouvelles provinces qui, par leur proximité à la ville de Kinshasa, vont à l’instar de l’ex-province de Bandundu, développé des échanges commerciaux, des biens et services qui comme par le passé, affecteront la vie des Kinois au quotidien. Ce qui a naturellement suscité notre intérêt à jeter un regard rétrospectif sur ces entités territoriales.
Nous avons, ce jour, choisi de parler de la nouvelle province de Maï-Ndombe, une région que nous connaissons un tout petit peu pour y avoir séjourné pendant trois mois, il y a quelques années passées. En effet, la province de Maï-Ndombe est située dans la partie nord de l’ex-province de Bandundu. Sept territoires au total forment cette nouvelle province à savoir : Maï-Ndombe, Kutu, Oshwe, Kiri, Mushie, Kwamouth et Bolobo.
C’est une région entièrement couverte de forêt équatoriale et traversée par des grands cours d’eau comme le fleuve Congo, le lac Maï-Ndombe, les rivières Mfimi, Lukeni, Kasaï, Kwa… et bien d’autres qui baignent cette partie du pays.
La nouvelle province de Maï-Ndombe, bien que privée de grandes villes, hérite de deux anciens districts, le Maï-Ndombe et les Plateaux qui fait qu’il ait à ce jour, le plus grand nombre de territoires sous sa tutelle. Ce qui préfigure déjà le volume de travail que le futur gouverneur de cette province aura à faire face.
La liaison entre les territoires de cette entité est très problématique, et difficile dans la mesure où il n’y a pas de routes d’intérêt régional ou d’intérêt local. Les seules voies de communication restent l’eau et dans une moindre mesure l’avion. Par exemple celui qui part du chef-lieu de la province : Inongo, ne pourra atteindre les cités de Kutu, d’Oshwe, de Kiri, de Bolobo ou de Mushie uniquement par voie des eaux. Il peut par contre atteindre la cité de Nioki par avion par le fait qu’elle compte parmi les rares cités qui ont une piste d’aviation.
Pour nombre d’observateurs, la cité de Nioki situé dans le territoire de Kutu, reste l’espoir de la nouvelle province par le fait qu’elle est la seule agglomération où l’on trouve une industrie. L’industrie de transformation de bois.
Cette cité est la plus modernisée de Maï-Ndombe. Elle aligne une cité de travailleurs, un Centre commercial, un port en tout cas plus actif et par où transite des bateaux, transporteurs de bois, des bacs, des baleinières et autres petites embarcations. Nioki a vocation de pourvoyeuse de recettes pour la nouvelle province de Maï-Ndombe, très riche en bois grâce à sa forêt qui regorge une variété d’essences.
C’est dans cette province et principalement dans le territoire d’Oshwe qu’on a découvert le bois bleu. Une qualité de bois exceptionnelle qu’on ne trouve nulle part au monde. Mais le problème, le gouvernement central devra pour désenclaver cette nouvelle province, construire des routes ou renforcer le trafic fluvial en la dotant des nouvelles unités de navigation, comme des navires, des bacs, et en modernisant les ports de différents chefs-lieux de territoires qui ne sont pas bien lotis en tout cas.
L’on devra en outre penser équiper des hôpitaux de référence de cette province qui souffrent de manque criant de matériels médical, d’appareillages comme la radiographie, l’écographie, des blocs opératoires, des microscopes et même des lits de malades, et des médicaments.
En dehors de la cité de Nioki où la société SODEFOR disponibilise pendant quelques heures de nuit de l’énergie électrique produite grâce aux déchets de bois, à la population, le courant est totalement absent dans tous les chefs-lieux de territoires. Les quelques ampoules allumées qu’on peut trouver, sont l’œuvre des particuliers qui recourent aux groupes électrogènes ou aux panneaux solaires. C’est tout un chantier qu’il faille programmer par le Gouvernement central si l’on veut faire participer les populations de la nouvelle province de Maï-Ndombe à la révolution de la modernité, et les aider à jouir du confort qu’offre l’énergie électrique.
L’accès à l’eau potable, est cet autre chantier prioritaire auquel il faut s’attaquer pour protéger la population contre les maladies hydriques. Les écoles doivent être modernisées et équipées car la plupart qu’on a vu là-bas, sont construites en paille ou en matériaux fragiles. Comme on peut s’en rendre compte, les défis à relever sont multiples – et tout est apparemment prioritaire. Par où commencer et quand?

King David a écrit:Mobutu n'a jamais investi en enseignement au Kwilu. Bien au contraire, il a démoli le peu d'infrastructures qui s'y trouvaient. Troll a parlé d'au moins deux écoles techniques et je présume que l'une d'elles serait l'EPTOK (École Professionnelle et Technique Officielle de Kikwit), une oeuvre des pères Jésuites (belges) qui ont donné à cette école un enseignement de haute facture faisant d'elle l'une des meilleures écoles secondaires du pays.
La deuxième , je suppose serait l'ETAC (École Technique Administrative et Commerciale) des Frères Joséphites de Kinzambi. Pour la petite histoire, cette école avait été créée dans les années 50-60 et se trouvait dans la mission de Makungika. En 1964, elle a été attaquée par la rébellion Muleliste et forcée à s'exiler provisoirement à Kinzambi, en attendant la création des nouveaux bâtiments à Kikwit. N'oubliez pas qu'avant l'avènement de Mobutu, le Kwilu était perçu comme une terre des intellectuels car les écoles secondaires poussaient partout. Outre les deux citées ci-haut, on retrouve l'ISFX (Institut Saint François Xavie qui deviendra sous l'authenticité Institut Sadisa je pense et l'INDOBO (Insitut Don Bosco, devenu Institut NDOBO), tout ça à Kinzambi - Kikwit, sans oublier le Petit Séminaire.
Mobutu qui voulait démolir cet enseignement de qualité a tenté dans un premier temps à transférer toutes ces écoles à Gbadolite. Refus total des bana Mayumbu. Mobutu revient en force, il réquisitionne tout le staff enseignent et le dépose chez lui à Gbado tout en laissant les bâtiments à Kikwit. C'est le début de la décadence de l'enseignement au Kwilu.
Dans un autre registre, il y avait eu l'École Métropolitaine de Kinzambi dont je suis de la première promotion. Il y a d'ailleurs dans ce forum, des élèves qui ont étudié dans cette prestigieuse école primaire. Il a fallu attendre l’ascension de Mobutu au pouvoir pour que cet internat tombe à son niveau le plus bas. À cause de la présence des enfants des grands politiciens de Kinshasa, la rigueur et la discipline n'étaient plus de mise. Aujourd'hui, cette école comme toutes les autres du Kwilu ne sont plus que l'ombre d'elles même.
J'aurais appris que les écoles de Kolwezi et de Kisantu auraient subi aussi le même coup.

Troll a écrit: KING DAVID

Vous devriez relire un peu l´histoire... Tous ces écoles "catholiques" ont été implantées au Kwilu "stratégiquement" pour combattre les communistes du PSA (actuellement PALU) avec Mulele

Si vous êtes orginaires du Kwilu...verifiez par vous même que les cibles prioritaires de Mulele étaient les écoles et les enseignants Parce que Mobutu était dans le camp des "catholiques" qui s´opposaient activement contre le "communisme"

Dans notre enfance, nous avons VU les Corps de Paix américains enseigner dans presque toutes les écoles sécondaires et même l´Institut Superieure á Kikwit
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