LE GENERAL KANYAMA, CHEF DE LA POLICE POLITIQUE DU REGIME KABILA, SANCTIONNE PAR LES USA
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DEVOIR DE MEMOIRE...
RDC: un rapport de l‘ONU alerte sur des violences policières et meurtres extra-judiciares de jeunes à l’occasion de l’opération Likofi
par FreeDiomi le 16 octobre 2014
RDC: un rapport de l‘ONU alerte sur des violences policières
Par RFI
Police congolaise, déployée à Kinshasa.Naashon Zalk/Bloomberg via Getty Images
C’est un rapport accablant que les Nations unies ont dévoilé, le mercredi 15 octobre, en RDC. La mission onusienne a enquêté sur l’opération Likofi, l’opération coup de poing menée par la police congolaise pour traquer les délinquants de Kinshasa entre novembre 2013 et février 2014. Une opération dont le bilan est lourd avec au moins 9 personnes exécutées par balle et 32 personnes toujours disparues. Des violations graves, qui, jusqu’à présent sont quasiment toutes restées impunies.
Pour ce rapport, la Mission des Nations unies au Congo (Monusco) affirme avoir interrogé plus de 70 personnes. Des victimes de violations des droits de l’homme, mais aussi des témoins, des employés d’hôpitaux, des membres de la police ou encore de la société civile. Autant de personnes qui ont permis de confirmer qu’à neuf reprises, au moins, la police congolaise avait exécuté par balle des personnes interpellées et fait disparaître 32 autres personnes. A ce jour, leurs proches n’ont pas de nouvelle d’eux.
Mode opératoire récurrent
Ces témoignages confirment aussi un mode opératoire récurrent lors de cette opération qui a duré quatre mois. Les interpellations ont eu lieu, le plus souvent, en pleine nuit par des policiers cagoulés qui circulaient à bord de voitures sans plaque d’immatriculation et selon plusieurs sources, en présence d’un haut gradé de la police de Kinshasa. Les personnes arrêtées n’étaient pas armées ou en train de commettre un crime, établit encore ce rapport, mais en général, elles étaient chez elles. Selon l’ONU, il s’agit de petits commerçants, d’étudiants ou encore de pêcheurs. Lors des exécutions, les balles, elles, ont été tirées dans le dos, entre les jambes ou encore dans l’abdomen ou la tête, affirme encore l’ONU. Les corps récupérés par la police ont été entreposés à la morgue avant d’être jetés dans le fleuve ou dans une fosse commune.
Une seule condamnation
Des violations graves qui pour le moment n’ont abouti qu’à une seule condamnation en juin dernier. Un commissaire condamné à dix ans de prison. Mi-août, une commission d’enquête a été lancée par la police nationale pour relever toutes les exactions commises pendant cette opération. Une décision saluée par la mission des Nations unies dont elle attend désormais de voir les premiers résultats.
Evidemment la population congolaise a le droit à la sécurité, en même temps, il y a des normes, des méthodologies qui doivent être respectées.
Scott Campbellchef de la division des droits de l’homme de la Mission de l’ONU 16/10/2014 – par Léa-Lisa Westerhoff
écouter
http://www.rfi.fr/afrique/20141016-rdc-rapport-onu-alerte-violences-policieres/#
RFI
http://www.rfi.fr/afrique/20141016-rdc-rapport-onu-alerte-violences-policieres/
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LIRTE AUSSI, DES ARCHIVES DE LA DC:
STOP A L’INCITATION PUBLIQUE A LA BARBARIE / LES IMAGES DE L »HORREUR DE LA PERSECUTION DES ENFANTS DE LA RUE ET DES « KULUNA » A KINSHASA
par FreeDiomi le 30 novembre 2013
L’unicef alarmée par les exécutions extrajudiciares d’enfants à Kinshasa/afp
RDC: l’ONU alarmée par des exécutions de jeunes et d’enfants à Kinshasa KINSHASA – L’Unicef et la Mission de l’ONU en [url=http://maps.google.com/maps?ll=-4.31666666667,15.3166666667&spn=10.0,10.0&q=-4.31666666667,15.3166666667 %28Democratic Republic of the congo%29&t=h]République démocratique du Congo[/url] se sont déclarés mercredi alarmés par des allégations d’exécutions extrajudiciaires de jeunes et d’enfants à Kinshasa, où la police mène une vaste opération coup de poing contre les délinquants. Cette inquiétude est née après qu’ils ont reçu, au cours de ces derniers jours, des rapports préoccupants faisant état de la disparition et de l’assassinat de jeunes hommes et d’enfants dans certaines communes de Kinshasa, a déclaré à la presse Carlos Araujo, porte-parole intérimaire de la Mission de l’ONU (Monusco).
EXECUTIONS D’ENFANTS A KINSHASA: L’HERODE CONGOLAIS TOUJOURS ASSOIFFE DU SANG DES INNOCENTS
par mpp le 28 novembre 2013
ASADHO
B.P.16737
KINSHASA 1
R.D. Congo
Association Africaine de Défense des Droits de l’Homme
African Association for the Defense of Human Rights
Contre toute attente, l’opération LIKOFI a commencé avant même que le délai imparti aux parents pour sensibiliser leurs enfants à quitter le phénomène KULUNA ne soit arrivé à son terme.
Malgré que cette opération soit saluée par la grande partie des habitants de Kinshasa, il y a lieu de signaler que la Police Nationale Congolaise a procédé à des exécutions extrajudiciaires de certains jeunes KULUNA en violation de la constitution de la République, a enlevé et conduit à des destinations inconnues certains d’entre eux.
En attendant les rapports des enquêteurs envoyés par l’ASADHO dans toutes les communes de Kinshasa, il y a lieu de porter à la connaissance de l’opinion nationale et internationale que la Police Nationale Congolaise a exécuté extrajudiciairement les présumés KULUNA ci-dessous :
Le 18 novembre 2013, jeune OKITO est abattu par les éléments de la Police Nationale dans la Commune de Kimbanseke, vers la route Mokali.
Le même jour, les jeunes SINATRA et ONASIS ont été abattus en plein air au marché de la Liberté dans la Commune de Masina, par d’autres éléments de la Police Nationale.
Le 20 novembre 2013, le KULUNA répondant au nom de Junior ALLIANCE est abattu, au quartier 3 dans la Commune de Ndjili, vers 10heures du matin, par les éléments de la Police Nationale.
L’ASADHO rappelle que les exécutions extrajudiciaire que la Police Nationale Congolaise continue d’opérer sont une violation fragrante de la Constitution de la République Démocratique du Congo qui dispose, à son article 16, que « la personne humaine est sacrée. L’Etat a l’obligation de la respecter et de la protéger ». Elle rappelle que cette vie ne peut être supprimée qu’en respectant la procédure que la loi prescrit.
Face à ce qui précède, l’ASADHO recommande :
Ø Aux députés nationaux :
– D’interpeler le Ministre de l’Intérieur, Sécurité, Décentralisation et affaires coutumières pour qu’il s’explique sur les exécutions extrajudiciaires opérées par la Police Nationale Congolaise dans le cadre de l’opération LIKOFI contre les KULUNA
Ø Au Ministre de la justice et des Droits humains
– De créer une commission qui sera chargée d’enquêter sur tous les cas d’exécutions extrajudiciaire commis par la Police Nationale Congolaise depuis le lancement de l’opération LIKOFI.
Ø A l’Auditeur Général des FARDC
– D’ouvrir une enquête judiciaire pour identifier, arrêter et traduire devant la justice tous les éléments de la Police Nationale impliqués dans les exécutions extrajudiciaires commises dans l’opération LIKOFI.
Fait à Kinshasa, le 27 novembre 2013
ASADHO
https://democratiechretienne.org/2013/11/30/stop-a-lincitation-publique-a-la-barbarie-les-images-de-lhorreur-de-la-persecution-des-enfants-de-la-rue-et-des-kuluna-a-Kinshasa/
https://democratiechretienne.org/2014/10/16/rdc-un-rapport-de-lonu-alerte-sur-des-violences-policieres-et-meurtres-extra-judiciares-de-jeunes-a-loccasion-de-loperation-likofi/
RDC: un rapport de l‘ONU alerte sur des violences policières et meurtres extra-judiciares de jeunes à l’occasion de l’opération Likofi
par FreeDiomi le 16 octobre 2014
RDC: un rapport de l‘ONU alerte sur des violences policières
Par RFI
Police congolaise, déployée à Kinshasa.Naashon Zalk/Bloomberg via Getty Images
- République Démocratique du Congo
C’est un rapport accablant que les Nations unies ont dévoilé, le mercredi 15 octobre, en RDC. La mission onusienne a enquêté sur l’opération Likofi, l’opération coup de poing menée par la police congolaise pour traquer les délinquants de Kinshasa entre novembre 2013 et février 2014. Une opération dont le bilan est lourd avec au moins 9 personnes exécutées par balle et 32 personnes toujours disparues. Des violations graves, qui, jusqu’à présent sont quasiment toutes restées impunies.
Pour ce rapport, la Mission des Nations unies au Congo (Monusco) affirme avoir interrogé plus de 70 personnes. Des victimes de violations des droits de l’homme, mais aussi des témoins, des employés d’hôpitaux, des membres de la police ou encore de la société civile. Autant de personnes qui ont permis de confirmer qu’à neuf reprises, au moins, la police congolaise avait exécuté par balle des personnes interpellées et fait disparaître 32 autres personnes. A ce jour, leurs proches n’ont pas de nouvelle d’eux.
Mode opératoire récurrent
Ces témoignages confirment aussi un mode opératoire récurrent lors de cette opération qui a duré quatre mois. Les interpellations ont eu lieu, le plus souvent, en pleine nuit par des policiers cagoulés qui circulaient à bord de voitures sans plaque d’immatriculation et selon plusieurs sources, en présence d’un haut gradé de la police de Kinshasa. Les personnes arrêtées n’étaient pas armées ou en train de commettre un crime, établit encore ce rapport, mais en général, elles étaient chez elles. Selon l’ONU, il s’agit de petits commerçants, d’étudiants ou encore de pêcheurs. Lors des exécutions, les balles, elles, ont été tirées dans le dos, entre les jambes ou encore dans l’abdomen ou la tête, affirme encore l’ONU. Les corps récupérés par la police ont été entreposés à la morgue avant d’être jetés dans le fleuve ou dans une fosse commune.
Une seule condamnation
Des violations graves qui pour le moment n’ont abouti qu’à une seule condamnation en juin dernier. Un commissaire condamné à dix ans de prison. Mi-août, une commission d’enquête a été lancée par la police nationale pour relever toutes les exactions commises pendant cette opération. Une décision saluée par la mission des Nations unies dont elle attend désormais de voir les premiers résultats.
Evidemment la population congolaise a le droit à la sécurité, en même temps, il y a des normes, des méthodologies qui doivent être respectées.
Scott Campbellchef de la division des droits de l’homme de la Mission de l’ONU 16/10/2014 – par Léa-Lisa Westerhoff
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http://www.rfi.fr/afrique/20141016-rdc-rapport-onu-alerte-violences-policieres/#
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LIRTE AUSSI, DES ARCHIVES DE LA DC:
STOP A L’INCITATION PUBLIQUE A LA BARBARIE / LES IMAGES DE L »HORREUR DE LA PERSECUTION DES ENFANTS DE LA RUE ET DES « KULUNA » A KINSHASA
par FreeDiomi le 30 novembre 2013
L’unicef alarmée par les exécutions extrajudiciares d’enfants à Kinshasa/afp
RDC: l’ONU alarmée par des exécutions de jeunes et d’enfants à Kinshasa KINSHASA – L’Unicef et la Mission de l’ONU en [url=http://maps.google.com/maps?ll=-4.31666666667,15.3166666667&spn=10.0,10.0&q=-4.31666666667,15.3166666667 %28Democratic Republic of the congo%29&t=h]République démocratique du Congo[/url] se sont déclarés mercredi alarmés par des allégations d’exécutions extrajudiciaires de jeunes et d’enfants à Kinshasa, où la police mène une vaste opération coup de poing contre les délinquants. Cette inquiétude est née après qu’ils ont reçu, au cours de ces derniers jours, des rapports préoccupants faisant état de la disparition et de l’assassinat de jeunes hommes et d’enfants dans certaines communes de Kinshasa, a déclaré à la presse Carlos Araujo, porte-parole intérimaire de la Mission de l’ONU (Monusco).
Des policiers et autres agents de sécurité non autrement identifiés ont été mobilisés en vue de traquer, arrêter, torturer et parfois exécuter en public les bandits présumés, écrit dans un communiqué le Réseau national des ONG des droits de l’Homme de la RDC (Renadhoc), qui estime à plusieurs dizaines le nombre de victimes. Le gouvernement est appelé à éradiquer la criminalité urbaine (…) en utilisant les moyens et méthodes qui respectent les droits de l’Homme, et les délinquants doivent être arrêtés, traduits en justice et condamnés à des peines proportionnelles à leurs actes de gangstérisme répréhensibles, a plaidé le Renadhoc. L’Unicef et la Monusco appellent également à ce que des enquêtes soient menées et que les responsables de ces exactions soient jugés. Même requête chez le Renadhoc, qui demande en plus la création d’une commission indépendante d’enquête sur les cas avérés d’exécutions sommaires et la mise en place de programmes cohérents de réinsertion sociale. Les rapports d’exécutions et de disparitions coïncident avec le début de l’opération Likofi (Coup de poing, en lingala), lancée le 15 novembre 2013 pour une durée de trois mois par les autorités congolaises, afin de juguler la délinquance urbaine, a souligné le porte-parole de l’ONU. La police de Kinshasa a lancé cette opération pour combattre le banditisme de jeunes désoeuvrés appelés kuluna, qui depuis des années volent, agressent et tuent des habitants de la capitale congolaise. Des habitants affirment que la police s’est livrée à plusieurs exécutions de kuluna présumés. Le colonel Mwana Mputu, chef de la cellule média de l’opération, a formellement démenti mardi à l’AFP ces allégations, et souligné que s’il y avait dérapage il y aurait des sanctions. (©AFP / 27 novembre 2013 14h18) **************************************************************************Selon les informations reçues qui sont en cours de vérification, au moins une vingtaine de personnes, dont 12 enfants, auraient été tuées. L’Unicef et la Monusco demandent que des mesures immédiates soient prises par les autorités congolaises, afin de mettre fin à ces actes, a-t-il ajouté.
EXECUTIONS D’ENFANTS A KINSHASA: L’HERODE CONGOLAIS TOUJOURS ASSOIFFE DU SANG DES INNOCENTS
par mpp le 28 novembre 2013
ASADHO
B.P.16737
KINSHASA 1
R.D. Congo
Association Africaine de Défense des Droits de l’Homme
African Association for the Defense of Human Rights
COMMUNIQUE DE PRESSE N°0041 /ASADHO/2013
« Les exécutions extrajudiciaires opérées par la Police Nationale Congolaise sont inacceptables»
L’Association Africaine de défense des Droits de l’Homme, ASADHO en sigle, se félicite de l’initiative prise par le Gouvernement de la République Démocratique du Congo d’éradiquer le phénomène KULUNA[2] qui porte atteinte à la sécurité, à la vie des personnes et aux biens appartenant à autrui, en lançant « l’opération LIKOFI[3] ».En date du 15 novembre 2013, le Général OLEKO avait avisé toute la population de Kinshasa que la Police Nationale Congolaise accordait 10 jours aux parents pour dissuader leurs enfants impliqués dans le banditisme urbain pour y mettre fin, sinon les éléments de la Police Nationale interviendraient pour éradiquer le phénomène KULUNA.Cependant, elle déplore les exécutions extrajudiciaires dont la Police Nationale Congolaise se rend coupable dans l’exécution de cette opération lancée par le Ministre de l’Intérieur, Sécurité, Décentralisation et affaires coutumières pour mettre fin au banditisme urbain à Kinshasa.
Contre toute attente, l’opération LIKOFI a commencé avant même que le délai imparti aux parents pour sensibiliser leurs enfants à quitter le phénomène KULUNA ne soit arrivé à son terme.
Malgré que cette opération soit saluée par la grande partie des habitants de Kinshasa, il y a lieu de signaler que la Police Nationale Congolaise a procédé à des exécutions extrajudiciaires de certains jeunes KULUNA en violation de la constitution de la République, a enlevé et conduit à des destinations inconnues certains d’entre eux.
En attendant les rapports des enquêteurs envoyés par l’ASADHO dans toutes les communes de Kinshasa, il y a lieu de porter à la connaissance de l’opinion nationale et internationale que la Police Nationale Congolaise a exécuté extrajudiciairement les présumés KULUNA ci-dessous :
Le 18 novembre 2013, jeune OKITO est abattu par les éléments de la Police Nationale dans la Commune de Kimbanseke, vers la route Mokali.
Le même jour, les jeunes SINATRA et ONASIS ont été abattus en plein air au marché de la Liberté dans la Commune de Masina, par d’autres éléments de la Police Nationale.
Le 20 novembre 2013, le KULUNA répondant au nom de Junior ALLIANCE est abattu, au quartier 3 dans la Commune de Ndjili, vers 10heures du matin, par les éléments de la Police Nationale.
L’ASADHO rappelle que les exécutions extrajudiciaire que la Police Nationale Congolaise continue d’opérer sont une violation fragrante de la Constitution de la République Démocratique du Congo qui dispose, à son article 16, que « la personne humaine est sacrée. L’Etat a l’obligation de la respecter et de la protéger ». Elle rappelle que cette vie ne peut être supprimée qu’en respectant la procédure que la loi prescrit.
Face à ce qui précède, l’ASADHO recommande :
Ø Aux députés nationaux :
– D’interpeler le Ministre de l’Intérieur, Sécurité, Décentralisation et affaires coutumières pour qu’il s’explique sur les exécutions extrajudiciaires opérées par la Police Nationale Congolaise dans le cadre de l’opération LIKOFI contre les KULUNA
Ø Au Ministre de la justice et des Droits humains
– De créer une commission qui sera chargée d’enquêter sur tous les cas d’exécutions extrajudiciaire commis par la Police Nationale Congolaise depuis le lancement de l’opération LIKOFI.
Ø A l’Auditeur Général des FARDC
– D’ouvrir une enquête judiciaire pour identifier, arrêter et traduire devant la justice tous les éléments de la Police Nationale impliqués dans les exécutions extrajudiciaires commises dans l’opération LIKOFI.
Fait à Kinshasa, le 27 novembre 2013
ASADHO
https://democratiechretienne.org/2013/11/30/stop-a-lincitation-publique-a-la-barbarie-les-images-de-lhorreur-de-la-persecution-des-enfants-de-la-rue-et-des-kuluna-a-Kinshasa/
https://democratiechretienne.org/2014/10/16/rdc-un-rapport-de-lonu-alerte-sur-des-violences-policieres-et-meurtres-extra-judiciares-de-jeunes-a-loccasion-de-loperation-likofi/
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Re: LE GENERAL KANYAMA, CHEF DE LA POLICE POLITIQUE DU REGIME KABILA, SANCTIONNE PAR LES USA
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6/23/2016
WASHINGTON – Today, the U.S. Department of the Treasury’s Office of Foreign Assets Control (OFAC) sanctioned a Congolese government official, Céléstin Kanyama, pursuant to Executive Order (E.O.) 13413, as amended by Executive Order 13671, which authorizes the designation of persons for specified conduct “contributing to the conflict” in the Democratic Republic of the Congo (DRC). Specifically, OFAC designated Kanyama for being responsible for or complicit in, or having engaged in, directly or indirectly, the targeting of women, children, or any civilians through the commission of acts of violence, abduction, or forced displacement in the DRC, and for being a leader of an entity that has, or whose members have, engaged in such conduct. As a result of today’s actions, all assets of the individual designated that are based in the United States or in the control of U.S. persons are frozen, and U.S. persons are generally prohibited from engaging in transactions with him.
Today’s action is not directed at the people of DRC. It is intended to alter the behavior of individuals involved in violence against civilians. The United Nations Joint Human Rights Office reported that the beginning of 2015 was marred by “an increase in the number of violations of political rights and public freedoms” committed by DRC government agents, particularly by police. In several provinces, security forces violently repressed demonstrations organized to oppose a new draft electoral law that many feared would allow President Kabila to run for a third term. Clashes between police and protestors have continued this year.
Céléstin Kanyama
General Céléstin Kanyama is the Congolese National Police (PNC) Provincial police commissioner for Kinshasa. Under his leadership, police forces engaged in the targeting of civilian protestors through acts of violence.
Kanyama was the primary commander of Operation Likofi, a police operation between late 2013 and early 2014 that was set up to combat criminal delinquency in Kinshasa. However, the operation reportedly did not enforce the law in Kinshasa, but instead used unlawful violent tactics to establish a climate of fear. During this operation, Kanyama was responsible for extrajudicial killings and forced disappearances. In raids across the city, uniformed police wearing black masks dragged suspects out of their homes at night at gunpoint with no arrest warrants. At least 50 young men and boys were reportedly killed, and over 30 were reported to be forcibly “disappeared” during the operation.
In January 2015, during Kanyama’s tenure as Kinshasa police commissioner, over 40 people were killed during demonstrations in Kinshasa, including at least 20 people fatally shot by security forces. The demonstrators were protesting proposed changes to the electoral law that many Congolese believed would permit President Joseph Kabila to stay in office beyond his mandated two-term limit.
For identifying information on the individual designated today, click here.
https://www.treasury.gov/press-center/press-releases/Pages/jl0496.aspx
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Treasury Sanctions High-Ranking Government Security Official for Role in Violence in the Democratic Republic of the Congo
6/23/2016
Action Targets Kinshasa Police Commissioner for Police Violence Against DRC Civilians
WASHINGTON – Today, the U.S. Department of the Treasury’s Office of Foreign Assets Control (OFAC) sanctioned a Congolese government official, Céléstin Kanyama, pursuant to Executive Order (E.O.) 13413, as amended by Executive Order 13671, which authorizes the designation of persons for specified conduct “contributing to the conflict” in the Democratic Republic of the Congo (DRC). Specifically, OFAC designated Kanyama for being responsible for or complicit in, or having engaged in, directly or indirectly, the targeting of women, children, or any civilians through the commission of acts of violence, abduction, or forced displacement in the DRC, and for being a leader of an entity that has, or whose members have, engaged in such conduct. As a result of today’s actions, all assets of the individual designated that are based in the United States or in the control of U.S. persons are frozen, and U.S. persons are generally prohibited from engaging in transactions with him.
Today’s action is not directed at the people of DRC. It is intended to alter the behavior of individuals involved in violence against civilians. The United Nations Joint Human Rights Office reported that the beginning of 2015 was marred by “an increase in the number of violations of political rights and public freedoms” committed by DRC government agents, particularly by police. In several provinces, security forces violently repressed demonstrations organized to oppose a new draft electoral law that many feared would allow President Kabila to run for a third term. Clashes between police and protestors have continued this year.
“As President Kabila’s constitutionally limited term nears its end in December, the regime has engaged in a pattern of repression, including the arrest of opposition members and violent suppression of political protests, all to avoid scheduling national elections,” said John E. Smith, Acting OFAC Director. “Treasury’s action today sends a clear message that the United States condemns the regime’s violence and repressive actions, especially those of Céléstin Kanyama, which threaten the future of democracy for the people of the Democratic Republic of the Congo.”
Céléstin Kanyama
General Céléstin Kanyama is the Congolese National Police (PNC) Provincial police commissioner for Kinshasa. Under his leadership, police forces engaged in the targeting of civilian protestors through acts of violence.
Kanyama was the primary commander of Operation Likofi, a police operation between late 2013 and early 2014 that was set up to combat criminal delinquency in Kinshasa. However, the operation reportedly did not enforce the law in Kinshasa, but instead used unlawful violent tactics to establish a climate of fear. During this operation, Kanyama was responsible for extrajudicial killings and forced disappearances. In raids across the city, uniformed police wearing black masks dragged suspects out of their homes at night at gunpoint with no arrest warrants. At least 50 young men and boys were reportedly killed, and over 30 were reported to be forcibly “disappeared” during the operation.
In January 2015, during Kanyama’s tenure as Kinshasa police commissioner, over 40 people were killed during demonstrations in Kinshasa, including at least 20 people fatally shot by security forces. The demonstrators were protesting proposed changes to the electoral law that many Congolese believed would permit President Joseph Kabila to stay in office beyond his mandated two-term limit.
For identifying information on the individual designated today, click here.
https://www.treasury.gov/press-center/press-releases/Pages/jl0496.aspx
KOTA
Re: LE GENERAL KANYAMA, CHEF DE LA POLICE POLITIQUE DU REGIME KABILA, SANCTIONNE PAR LES USA
"Le chef de la police de Kinshasa, première cible des sanctions américaines contre le régime de Kabila
° http://www.voaafrique.com/a/le-general-kanyama-premiere-cible-des-sanctions-americaines-contre-le-regime-de-kabila/3389243.html
Le Commissaire général de la police congolaise, le général Célestin Kanyama est la première personnalité à être visée par les sanctions ciblées des Etats-Unis contre les responsables congolais.
Le général Kanyama est désormais placé sur la liste des personnes particulièrement visées, indique le Bureau de contrôle des avoirs étrangers du Département du Trésor des Etats-Unis sur son site internet.
Le groupe activiste Enough Projet qui demande que ces sanctions soient étendues à d’autres personnalités congolaises, signale que le général Kanyama est lié à au moins trois opérations policières au cours desquelles la police a recouru à un usage excessif de la force.
La police a, au cours d’une de ces opérations anti-criminalité baptisées “Likofi“ (coup de poing, en Lingala) menée de novembre 2013 à janvier 2014, sommairement exécuté au moins 51 jeunes. Au moins 33 cas de disparitions forcées ont été enregistrés.
Le haut officier congolais est aussi tenu pour responsable des attaques meurtrières contre les manifestants pacifiques d'octobre 2015.
Le général Célestin Kanyama est accusé "d'être responsable ou complice d'actes de violences et d'enlèvements (...) ciblant des civils, des femmes et des enfants".
Aux termes de ces sanctions, ses avoirs sont gelés aux Etats-Unis et il est interdit à toute entité américaine de faire des transactions avec lui.
"Alors que la limite constitutionnelle du mandat du président Kabila touche à sa fin en décembre, le régime s'est engagé dans une vague de répression, comprenant l'arrestation des membres de l'opposition et la suppression violente de manifestations politiques, afin d'éviter la tenue d'élections nationales programmées", a affirmé John Smith, directeur du Bureau de contrôle des actifs étrangers (OFAC).
"L'initiative du Trésor envoie le message clair de la condamnation par les Etats-Unis des actions violentes et répressives du régime, en particulier celles de Célestin Kanyama, qui menacent l'avenir de la démocratie pour le peuple de la RDC", a-t-il ajouté.
"Kinshasa condamne les sanctions de Washington
° http://www.voaafrique.com/a/kinshasa-condamne-les-sanctions-de-washington/3389485.html
Le gouvernement congolais qualifie d’atteinte à la souveraineté de la RDC les sanctions décidées par l’administration américaine à l’encontre des responsables congolais.
Kinshasa prévient que ces mesures mettront en péril les relations entre les deux Etats.(...)"
C'est une bonne nouvelle pour les Congolais avides de changement mais ce n'est pas assez...
Si l'Amérique et l'Europe veulent obtenir le départ de "JK", il leur faut faire plus : étendre ces sanctions aux nombreuses autres personnalités autour de lui qui sont auteurs directs ou moraux de barbaries qui tuent, répriment, affament et musellent les Congolais et cela dès aujourd'hui pour qu'ils puissent peser davantage sur les enjeux futurs...
Quant à la triste contestation de la kanambie : de quelle ingérence nous parle-t-elle, ne se proclame-telle pas nationaliste, indépendante de l’Occident ? Logiquement elle ne devait rien à voir avec cet Occident qu’elle brocarde car un nationaliste convaincu n’avait pas à cacher son argent en Amérique, n’avait pas à investir d’une façon ou d’une autre là-bas…
Kiekiekieee, quels rigolos macabres !!!
Ça ferait rire en effet s’ils ne représentaient les bourreaux du peuple…
Compatriotiquement!
# Si haut que l'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul #
# Que faisait Dieu avant la création ? De toute éternité, il préparait d'épouvantables supplices pour celui qui poserait cette question. #
Dernière édition par ndonzwau le 24/6/2016, 6:39 am, édité 1 fois
ndonzwau
Re: LE GENERAL KANYAMA, CHEF DE LA POLICE POLITIQUE DU REGIME KABILA, SANCTIONNE PAR LES USA
Ebandeli ya suka. CPI eza kozala. Enfin, on l'espère.
Libre Examen
Re: LE GENERAL KANYAMA, CHEF DE LA POLICE POLITIQUE DU REGIME KABILA, SANCTIONNE PAR LES USA
Je réalise qu'l y'a sur le même sujet deux entrées où l'on en parle où en plus on retrouve les mêmes liens; je ne sais si cette redondance ajoute un plus ou de la confusion à sa visibilité et à son investigation...
Aux Administrateurs de voir...
Compatriotiquement!
# Si haut que l'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul #
# Que faisait Dieu avant la création ? De toute éternité, il préparait d'épouvantables supplices pour celui qui poserait cette question. #
ndonzwau
Re: LE GENERAL KANYAMA, CHEF DE LA POLICE POLITIQUE DU REGIME KABILA, SANCTIONNE PAR LES USA
Deux Poids Deux mesures : Ces maîtres du Monde Américains me feront toujours rigolé tellement ils sont "Sélectives et Injustes dans leur Sanctions ! "
Le général MUSTAPHA, actuel commandant de la Base militaire de Kitona sous Kabila fut Commandant des Opérations lors de MLC, à Bangui , n'a Jamais été inquiété par le SENAT Américain, alors que Jean Pierre BEMBA est condamné à 18 ans de prison pour Crimes Contre L'humanité
Qui doit -on Punir en cas de Violence d'un officier sur le terrain ? Est ce Son Commandant Suprême ou son Officier exécutant des ordres de son Commandant sur le terrain ????
Ah Ces Ricains ....
Le général MUSTAPHA, actuel commandant de la Base militaire de Kitona sous Kabila fut Commandant des Opérations lors de MLC, à Bangui , n'a Jamais été inquiété par le SENAT Américain, alors que Jean Pierre BEMBA est condamné à 18 ans de prison pour Crimes Contre L'humanité
Qui doit -on Punir en cas de Violence d'un officier sur le terrain ? Est ce Son Commandant Suprême ou son Officier exécutant des ordres de son Commandant sur le terrain ????
Ah Ces Ricains ....
djino
Re: LE GENERAL KANYAMA, CHEF DE LA POLICE POLITIQUE DU REGIME KABILA, SANCTIONNE PAR LES USA
ESILI NANU TE, ONU PE AYE NA LISOLO
La résolution du 23 juin
http://www.rfi.fr/afrique/20160624-rdc-onu-joseph-kabila-sanctions-droit-homme-electorale-gouvernement-constitution
L´ONU renforce le mandat du "groupe d´experts" avant de lancer comme les USA...une liste des sanctions ciblées contre les dirigeants de la RDC
Cette fois ici, il s´agit de la "protection des civils" Bo tanga bino moko, bo ko mona ete mupepe ezali ko ya..
...Na lonaki elenga ya le vent...ohhh bo tika ngai na recolter la tempête... Kester Emeneya Mubiala
Voyons voir comme Mende va repondre au Conseil de Sécurité de l´ONU qui EXIGE les élections avant fin 2016
La résolution du 23 juin
http://www.rfi.fr/afrique/20160624-rdc-onu-joseph-kabila-sanctions-droit-homme-electorale-gouvernement-constitution
L´ONU renforce le mandat du "groupe d´experts" avant de lancer comme les USA...une liste des sanctions ciblées contre les dirigeants de la RDC
Cette fois ici, il s´agit de la "protection des civils" Bo tanga bino moko, bo ko mona ete mupepe ezali ko ya..
...Na lonaki elenga ya le vent...ohhh bo tika ngai na recolter la tempête... Kester Emeneya Mubiala
Voyons voir comme Mende va repondre au Conseil de Sécurité de l´ONU qui EXIGE les élections avant fin 2016
GHOST
Re: LE GENERAL KANYAMA, CHEF DE LA POLICE POLITIQUE DU REGIME KABILA, SANCTIONNE PAR LES USA
... .... Kimbuisa Mpimpa Eyindiiii
Tom Periello aborde dans le même sens ...
"Selon Washington, les autorités congolaises mettent en place un vrai système de répression à l’approche de la fin du mandat de Joseph Kabila, et ce pour éviter d’organiser des élections".
http://www.rfi.fr/emission/20160624-rdc-etats-unis-crise-politique-kabila-droits-homme-transition-constitution-kanyama
Tom Periello aborde dans le même sens ...
"Selon Washington, les autorités congolaises mettent en place un vrai système de répression à l’approche de la fin du mandat de Joseph Kabila, et ce pour éviter d’organiser des élections".
http://www.rfi.fr/emission/20160624-rdc-etats-unis-crise-politique-kabila-droits-homme-transition-constitution-kanyama
djino
Re: LE GENERAL KANYAMA, CHEF DE LA POLICE POLITIQUE DU REGIME KABILA, SANCTIONNE PAR LES USA
QUAND LA CORÉE DU NORD S INGERE DANS LES AFFAIRES DE LA RDC
KOTA
Re: LE GENERAL KANYAMA, CHEF DE LA POLICE POLITIQUE DU REGIME KABILA, SANCTIONNE PAR LES USA
Ce document qui semble etre original, avec un sceau en couleur et tt et tt, Je me demande il etait ecrit en quelle langue initialement? Car il me semble etre le produit du translate.google.com
Une mission diplomatique qui sort ce genre de document n'est mm pas a prendre au serieux.
Une mission diplomatique qui sort ce genre de document n'est mm pas a prendre au serieux.
KOTA a écrit:
QUAND LA CORÉE DU NORD S INGERE DANS LES AFFAIRES DE LA RDC
Hiro-Hito- Admin
Re: LE GENERAL KANYAMA, CHEF DE LA POLICE POLITIQUE DU REGIME KABILA, SANCTIONNE PAR LES USA
IL VOUS A PEUT ETRE ECHAPPE QU IL A ETE ENVOYE PAR L AMBASSADE DE LA COREE DU NORD A KINSHASA...
KOTA
Re: LE GENERAL KANYAMA, CHEF DE LA POLICE POLITIQUE DU REGIME KABILA, SANCTIONNE PAR LES USA
Non c'etait pas une accusation contre vous, j'ai vu ce document depuis hier, je dis tt simplement que cet ambassadeur devait avoir honte, et surtt ceux de l'administration Kabila qui y trouvent un soutient ne devaient pas exhiber une letter pareille. Qd l'ambassadeur Americain au Congo tente de parler en lingala, celui de la Koree nous presente qlqch qui sort du google translate
KOTA a écrit:IL VOUS A PEUT ETRE ECHAPPE QU IL A ETE ENVOYE PAR L AMBASSADE DE LA COREE DU NORD A KINSHASA...
Hiro-Hito- Admin
Re: LE GENERAL KANYAMA, CHEF DE LA POLICE POLITIQUE DU REGIME KABILA, SANCTIONNE PAR LES USA
C est bien entendu, cher Imperator
KOTA
Re: LE GENERAL KANYAMA, CHEF DE LA POLICE POLITIQUE DU REGIME KABILA, SANCTIONNE PAR LES USA
Yannick Pyren's Luntadila
POUR INFO; 4 députés américains ont adressé une lettre ouverte au ministre de finance à mettre des sanctions semblables et même plus de celles de kanyama suite au blanchiment d'argent de kabila et certains de ses lieutenants. Y compris son ministre de justice suite à la farce autour de la libération d'hommes politiques
POUR INFO; 4 députés américains ont adressé une lettre ouverte au ministre de finance à mettre des sanctions semblables et même plus de celles de kanyama suite au blanchiment d'argent de kabila et certains de ses lieutenants. Y compris son ministre de justice suite à la farce autour de la libération d'hommes politiques
Mathilde
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