L´ARGENT NE FAIT PAS LE BONHEUR...?
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L´ARGENT NE FAIT PAS LE BONHEUR...?
Jak Ma
Milliardaire chinois, qui a commencé sa vie comme professeur d´anglais á l´âge de 20 ans..fondateur d´ALIBABA Ses propos devraient attirer l´attention des lecteurs sans doute ?
http://bfmbusiness.bfmtv.com/monde/le-createur-d-alibaba-rejoint-le-club-des-milliardaires-malheureux-992428.html
Comme ce milliardaire suèdois qui se plaignait de ne pas pouvoir utiliser son argent..et pire, l´argent va continuer á grossir sa fortune et il ne sait comment l´utiliser..vous allez lire des histoires incroyables sur les milliardaires
On commence á comprendre pourquoi les gens comme Bill Gate ou Buffet se lancent dans des activités "humanitaires" en depensant des millions en faveur des pauvres..
Milliardaire chinois, qui a commencé sa vie comme professeur d´anglais á l´âge de 20 ans..fondateur d´ALIBABA Ses propos devraient attirer l´attention des lecteurs sans doute ?
http://bfmbusiness.bfmtv.com/monde/le-createur-d-alibaba-rejoint-le-club-des-milliardaires-malheureux-992428.html
Comme ce milliardaire suèdois qui se plaignait de ne pas pouvoir utiliser son argent..et pire, l´argent va continuer á grossir sa fortune et il ne sait comment l´utiliser..vous allez lire des histoires incroyables sur les milliardaires
On commence á comprendre pourquoi les gens comme Bill Gate ou Buffet se lancent dans des activités "humanitaires" en depensant des millions en faveur des pauvres..
GHOST
Re: L´ARGENT NE FAIT PAS LE BONHEUR...?
Tout à fait.Oui, l'argent ne fait pas le bonheur et n'a jamais fait le bonheur de quelqu'un.Il suffit de se rappelé un texte du chef Touiiavii que j'avais mis ici dans un topic consacré à Adebayor.Le chef Touiiavii avait vu juste suivant sa réflexion d'un Homme simple vivant proche de la nature.(Un Chaman en quelque sorte )Le bonheur est avant tout intérieur et spirituel. Il n'a rien à voir avec le matériel comme on veut nous faire croire. Voila pourquoi un pays comme le Bhoutan est la seule pays ou les gens vivent vraiment HEUREUX, parce que leur prince avait compris cette réalité du bonheur intérieur.
Et ce n'est pas aussi pour rien que dans l'islam on nous parle de payé la zakat. Lorsqu'on gagne de l'argent et qu'on donne sa zakat aux nécessiteux.Non seulement cela purifie la personne,mais cela apaise aussi son esprit.ON NE PERD PAS QUAND ON DONNE, MAIS ON GAGNE.
Ce que Bill Gate et les autres sont en train de faire en faisant des oeuvres philanthropique n'est qu'une façon de payé leur Zakat ,qu'ils ont compris en retard.
C'est aussi pour la même raison que le partage était quelque chose de quasi sacré dans l'Afrique traditionnelle. Aujourd'hui beaucoup d'Africain moderne qui rejettent la sagesse de leur ancêtres pensent que le fait de donner favorise la pauvreté.Ils pensent que cela enlève aux nécessiteux la force ou le courage de travailler, parce que bako koma kaka kotia espoir epayi ya ndeko na bango oyo aza na makoki pona apesa bango.Sur ce forum dans le passé j'avais déjà lu un truc pareille ou quelques uns condamnaient nos compatriote du pays car ils avaient juger que ces derniers ne font pas des efforts.Mais la vérité selon moi est que : En Afrique (plus particulièrement au Congo) il n'y a pas du travaille pour tous, malgré les efforts que l'on peut faire.
En tous cas sujet oyo eza bien, même si je sais que mingi bako comprendre penza yango te tellement to renforça égoïsme nakati na biso.
Et ce n'est pas aussi pour rien que dans l'islam on nous parle de payé la zakat. Lorsqu'on gagne de l'argent et qu'on donne sa zakat aux nécessiteux.Non seulement cela purifie la personne,mais cela apaise aussi son esprit.ON NE PERD PAS QUAND ON DONNE, MAIS ON GAGNE.
Ce que Bill Gate et les autres sont en train de faire en faisant des oeuvres philanthropique n'est qu'une façon de payé leur Zakat ,qu'ils ont compris en retard.
C'est aussi pour la même raison que le partage était quelque chose de quasi sacré dans l'Afrique traditionnelle. Aujourd'hui beaucoup d'Africain moderne qui rejettent la sagesse de leur ancêtres pensent que le fait de donner favorise la pauvreté.Ils pensent que cela enlève aux nécessiteux la force ou le courage de travailler, parce que bako koma kaka kotia espoir epayi ya ndeko na bango oyo aza na makoki pona apesa bango.Sur ce forum dans le passé j'avais déjà lu un truc pareille ou quelques uns condamnaient nos compatriote du pays car ils avaient juger que ces derniers ne font pas des efforts.Mais la vérité selon moi est que : En Afrique (plus particulièrement au Congo) il n'y a pas du travaille pour tous, malgré les efforts que l'on peut faire.
En tous cas sujet oyo eza bien, même si je sais que mingi bako comprendre penza yango te tellement to renforça égoïsme nakati na biso.
El-Shaman
Re: L´ARGENT NE FAIT PAS LE BONHEUR...?
Dans C Cas, il faudrait bien redefinir Ce que c'est le bonheur alors. Selon moi, le bonheur est lie avec la societe dans laquelle l'on vit. Et de nos jours il faut un peu de tout pour se faire du bonheur et l'argent EN fait partie.
Cavalier
Re: L´ARGENT NE FAIT PAS LE BONHEUR...?
Cavalier a écrit:Dans C Cas, il faudrait bien redefinir Ce que c'est le bonheur alors. Selon moi, le bonheur est lie avec la societe dans laquelle l'on vit. Et de nos jours il faut un peu de tout pour se faire du bonheur et l'argent EN fait partie.
Je te met cette définition du bonheur du point de vue philosophique. Eza mulayi mais bon...
BONHEUR :
Le bonheur est un état de satisfaction complète caractérisé par sa stabilité et sa durabilité. Il ne suffit pas de ressentir un bref contentement pour être heureux. Une joie intense n'est pas le bonheur. Un plaisir éphémère non plus.
Qu’est ce que le bonheur ?
Le bonheur est un état de satisfaction complète caractérisé par sa stabilité et sa durabilité. Il ne suffit pas de ressentir un bref contentement pour être heureux. Une joie intense n’est pas le bonheur. Un plaisir éphémère non plus. Le bonheur est un état global. L’homme heureux est comblé. Il vit une forme de plénitude. Sa situation est stable : elle présente un équilibre et seul un élément extérieur pourrait la modifier.
En tant qu’optimum de la vie humaine, le bonheur est universellement recherché. On le présente souvent comme le but le plus élevé de l’existence. Celui que tout homme cherche à atteindre, consciemment ou non.
Être heureux est une expérience individuelle et humaine. C’est l’homme qui connaît la félicité, pas l’animal. État stable et prolongé dans lequel on vit une insatisfaction totale, le malheur est l’opposé du bonheur. Il représente la situation fuite par chacun, que personne ne recherche volontairement.
La notion de bonheur est intimement liée au désir. Être heureux, ce serait réaliser tous ses désirs, ou du moins réaliser tous ses désirs « importants ». L’homme heureux accomplit les objectifs qu’il s’est fixé, ceux qui ont une valeur pour lui-même. Le bonheur est donc ancré dans l’individu, dans ses projets et ses représentations.
La conception du bonheur de l’un ne sera pas celle de l’autre. Les utopies politiques qui visent le bonheur de « tous » sont potentiellement dangereuses. Elles risquent d’imposer une vision particulière de ce qu’est le bonheur, d’agir de façon paternaliste, et de produire l’inverse de l’effet recherché.
Un contenu indéterminé
Le « contenu » du bonheur est indéterminé. Il n’y a pas d’accord sur des éléments particuliers et précis qui seraient constitutifs du bonheur. La richesse, la beauté et le pouvoir ne font pas le bonheur. Aucun élément concret ne peut être mis en avant. Croire qu’il faille une Ferrari ou passer à la télé pour être heureux est une illusion.
Lorsqu’il y a un accord sur ce qui rend heureux, il ne porte que sur des éléments vagues, des principes généraux. L’amour, l’amitié, le plaisir sont sûrement des composantes du bonheur. Mais ces éléments sont profondément abstraits. Savoir que l’amitié compte ne me donne pas de bons et vrais amis.
On ignore souvent ce qui peut nous conduire à notre bonheur. Ce qui me permettrait, personnellement, de devenir heureux n’est pas clair pour moi-même. Je peux penser que certaines choses me rendront heureux (un bien matériel, réaliser un projet, etc.), certes. Mais je ne peux jamais savoir certainement que ces éléments feront réellement mon bonheur (actuel ou futur).
Au-delà d’une aspiration commune à être heureux, ce qui produit le bonheur est donc indéterminé.
La recherche du bonheur
On pose en général le bonheur comme la fin suprême de l’existence humaine. Le bonheur serait la fin en-soi vis-à-vis de laquelle tous nos autres buts seraient seconds. Toutes nos actions seraient faites en vue d’être heureux, de façon plus ou moins directe.
Dans cette perspective, sa recherche semble inévitable. Qu’on le veuille ou non, qu’on l’admette ou pas, le bonheur serait impossible à ne pas rechercher. Problème : il n’est pas certain que le bonheur soit atteignable. Ce pourrait bien être un idéal inaccessible, un optimum fantasmé, mais impossible à réaliser.
Deux éléments vont dans le sens de cette conclusion :
Le bonheur est un état dont on est conscient
Le bonheur a un rapport paradoxal au désir
Concernant (1), le problème est que personne ne se dit heureux. L’individu heureux est souvent présenté comme conscient de son état. Il n’est pas heureux « sans le savoir ». Il est heureux et se sait l’être. Or, personne n’affirme avoir atteint le bonheur. Il est facile de mettre en doute ou de contester les affirmations de ceux qui prétendent l’avoir fait. Un contentement total, durable et stable ? Et vous l’auriez atteint ? Vraiment ?
Un paradoxe désir / bonheur
Concernant (2), la recherche du bonheur semble rencontrer un paradoxe. D’un coté, le désir est dit :
insatiable, sans fin
source de trouble
et permanent chez l’homme
De l’autre, on présente le bonheur comme :
réalisation de tous les désirs
disparition des troubles liés au désir
Ainsi soit l’homme désire, et il n’est pas heureux, soit il est heureux, et il ne désire plus. Le bonheur va avec l’accomplissement de tous les désirs : c’est un état où l’homme est libéré du désir. Toutefois rien n’assure qu’un tel état soit possible. Faute de voir certains hommes cesser de désirer, on peut rejeter le bonheur comme un idéal fictif.
Cette situation conduit certains philosophes à penser différemment la notion. Le bonheur pourrait être la simple absence de trouble (ataraxie). Sans chercher à réaliser ses désirs, on pourrait chercher à ne plus être troublé par eux.
Dans un autre registre, Hobbes propose une vision originale du bonheur. Être heureux, c’est poursuivre sans cesse des désirs tous réalisés (Elements of Law). Le trouble et le bonheur sont alors compatibles.
Mais quelle que soit la solution proposée, on renonce à la définition classique. Le bonheur devient alors, si ce n’est possible, moins paradoxal.
Dépend-il de nous d’être heureux ?
À suivre l’étymologie, le bonheur ne dépend pas de l’homme. Le bonheur est la bonne fortune, le bon heur. C’est une chance qui arrive à l’individu. Il vient de l’extérieur : il n’est pas produit, construit par le sujet. À ce prix, il ne dépend pas de l’homme d’être heureux. C’est le bonheur qui nous trouve et pas nous qui le trouvons.
À l’inverse, on considère souvent que l’individu joue un rôle dans son propre bonheur. Le sujet recherche activement son bonheur et tente de le réaliser. Il met en œuvre des moyens en vue de cette fin. Des éléments extérieurs peuvent favoriser ou empêcher ce bonheur, mais il ne sont pas pensés comme des causes initiales et exclusives. L’individu prend part à la réalisation de sa félicité.
Il semble que chercher le bonheur ne suffise pas à le trouver. D’où l’idée qu’il puisse « ne pas dépendre de nous ». Dans le même temps, certains courant font largement dépendre le bonheur de notre action. En adoptant la bonne façon de vivre et cultivant les bonnes représentations, le sage peut atteindre une forme de félicité.
Bonheur, morale et plaisir
La morale est en lien étroit avec le concept. Nombre de philosophes ont fait de la moralité une condition du bonheur. Être heureux n’est donné qu’à celui qui est d’abord moral. On imagine mal ceux qui acquièrent le bien-être immoralement être « heureux ».
L’idée de bonheur est rattachée à une forme de quiétude qui semble incompatible avec l’immoralité. Vivre dans la peur du gendarme ou de la réprobation, c’est vivre inquiet, forcément non-heureux. Le bonheur supposerait alors une évaluation positive des causes de sa situation.
On imagine mal le bonheur sans plaisir. Toutefois le plaisir n’est pas le bonheur. C’est un sentiment momentané, éphémère. Il renvoie au « bon ». Le bonheur lui renvoie au « bien ». On peut tirer du plaisir d’une chose immorale, mais pas du bonheur. Il y a dans le concept une dimension d’accomplissement moral.
El-Shaman
Re: L´ARGENT NE FAIT PAS LE BONHEUR...?
Presque que tout ce qui est ecrit CI-DESSUS, a propos du BONHEUR, est quelqe peu Vrai. Mais, personnellement Quelle Conclusion en as-Tu Tire?El-Shaman a écrit:
Je te met cette définition du bonheur du point de vue philosophique. Eza mulayi mais bon...
BONHEUR :
Le bonheur est un état de satisfaction complète caractérisé par sa stabilité et sa durabilité. Il ne suffit pas de ressentir un bref contentement pour être heureux. Une joie intense n'est pas le bonheur. Un plaisir éphémère non plus.
Qu’est ce que le bonheur ?
Le bonheur est un état de satisfaction complète caractérisé par sa stabilité et sa durabilité. Il ne suffit pas de ressentir un bref contentement pour être heureux. Une joie intense n’est pas le bonheur. Un plaisir éphémère non plus. Le bonheur est un état global. L’homme heureux est comblé. Il vit une forme de plénitude. Sa situation est stable : elle présente un équilibre et seul un élément extérieur pourrait la modifier.
En tant qu’optimum de la vie humaine, le bonheur est universellement recherché. On le présente souvent comme le but le plus élevé de l’existence. Celui que tout homme cherche à atteindre, consciemment ou non.
Être heureux est une expérience individuelle et humaine. C’est l’homme qui connaît la félicité, pas l’animal. État stable et prolongé dans lequel on vit une insatisfaction totale, le malheur est l’opposé du bonheur. Il représente la situation fuite par chacun, que personne ne recherche volontairement.
La notion de bonheur est intimement liée au désir. Être heureux, ce serait réaliser tous ses désirs, ou du moins réaliser tous ses désirs « importants ». L’homme heureux accomplit les objectifs qu’il s’est fixé, ceux qui ont une valeur pour lui-même. Le bonheur est donc ancré dans l’individu, dans ses projets et ses représentations.
La conception du bonheur de l’un ne sera pas celle de l’autre. Les utopies politiques qui visent le bonheur de « tous » sont potentiellement dangereuses. Elles risquent d’imposer une vision particulière de ce qu’est le bonheur, d’agir de façon paternaliste, et de produire l’inverse de l’effet recherché.
Un contenu indéterminé
Le « contenu » du bonheur est indéterminé. Il n’y a pas d’accord sur des éléments particuliers et précis qui seraient constitutifs du bonheur. La richesse, la beauté et le pouvoir ne font pas le bonheur. Aucun élément concret ne peut être mis en avant. Croire qu’il faille une Ferrari ou passer à la télé pour être heureux est une illusion.
Lorsqu’il y a un accord sur ce qui rend heureux, il ne porte que sur des éléments vagues, des principes généraux. L’amour, l’amitié, le plaisir sont sûrement des composantes du bonheur. Mais ces éléments sont profondément abstraits. Savoir que l’amitié compte ne me donne pas de bons et vrais amis.
On ignore souvent ce qui peut nous conduire à notre bonheur. Ce qui me permettrait, personnellement, de devenir heureux n’est pas clair pour moi-même. Je peux penser que certaines choses me rendront heureux (un bien matériel, réaliser un projet, etc.), certes. Mais je ne peux jamais savoir certainement que ces éléments feront réellement mon bonheur (actuel ou futur).
Au-delà d’une aspiration commune à être heureux, ce qui produit le bonheur est donc indéterminé.
La recherche du bonheur
On pose en général le bonheur comme la fin suprême de l’existence humaine. Le bonheur serait la fin en-soi vis-à-vis de laquelle tous nos autres buts seraient seconds. Toutes nos actions seraient faites en vue d’être heureux, de façon plus ou moins directe.
Dans cette perspective, sa recherche semble inévitable. Qu’on le veuille ou non, qu’on l’admette ou pas, le bonheur serait impossible à ne pas rechercher. Problème : il n’est pas certain que le bonheur soit atteignable. Ce pourrait bien être un idéal inaccessible, un optimum fantasmé, mais impossible à réaliser.
Deux éléments vont dans le sens de cette conclusion :
Le bonheur est un état dont on est conscient
Le bonheur a un rapport paradoxal au désir
Concernant (1), le problème est que personne ne se dit heureux. L’individu heureux est souvent présenté comme conscient de son état. Il n’est pas heureux « sans le savoir ». Il est heureux et se sait l’être. Or, personne n’affirme avoir atteint le bonheur. Il est facile de mettre en doute ou de contester les affirmations de ceux qui prétendent l’avoir fait. Un contentement total, durable et stable ? Et vous l’auriez atteint ? Vraiment ?
Un paradoxe désir / bonheur
Concernant (2), la recherche du bonheur semble rencontrer un paradoxe. D’un coté, le désir est dit :
insatiable, sans fin
source de trouble
et permanent chez l’homme
De l’autre, on présente le bonheur comme :
réalisation de tous les désirs
disparition des troubles liés au désir
Ainsi soit l’homme désire, et il n’est pas heureux, soit il est heureux, et il ne désire plus. Le bonheur va avec l’accomplissement de tous les désirs : c’est un état où l’homme est libéré du désir. Toutefois rien n’assure qu’un tel état soit possible. Faute de voir certains hommes cesser de désirer, on peut rejeter le bonheur comme un idéal fictif.
Cette situation conduit certains philosophes à penser différemment la notion. Le bonheur pourrait être la simple absence de trouble (ataraxie). Sans chercher à réaliser ses désirs, on pourrait chercher à ne plus être troublé par eux.
Dans un autre registre, Hobbes propose une vision originale du bonheur. Être heureux, c’est poursuivre sans cesse des désirs tous réalisés (Elements of Law). Le trouble et le bonheur sont alors compatibles.
Mais quelle que soit la solution proposée, on renonce à la définition classique. Le bonheur devient alors, si ce n’est possible, moins paradoxal.
Dépend-il de nous d’être heureux ?
À suivre l’étymologie, le bonheur ne dépend pas de l’homme. Le bonheur est la bonne fortune, le bon heur. C’est une chance qui arrive à l’individu. Il vient de l’extérieur : il n’est pas produit, construit par le sujet. À ce prix, il ne dépend pas de l’homme d’être heureux. C’est le bonheur qui nous trouve et pas nous qui le trouvons.
À l’inverse, on considère souvent que l’individu joue un rôle dans son propre bonheur. Le sujet recherche activement son bonheur et tente de le réaliser. Il met en œuvre des moyens en vue de cette fin. Des éléments extérieurs peuvent favoriser ou empêcher ce bonheur, mais il ne sont pas pensés comme des causes initiales et exclusives. L’individu prend part à la réalisation de sa félicité.
Il semble que chercher le bonheur ne suffise pas à le trouver. D’où l’idée qu’il puisse « ne pas dépendre de nous ». Dans le même temps, certains courant font largement dépendre le bonheur de notre action. En adoptant la bonne façon de vivre et cultivant les bonnes représentations, le sage peut atteindre une forme de félicité.
Bonheur, morale et plaisir
La morale est en lien étroit avec le concept. Nombre de philosophes ont fait de la moralité une condition du bonheur. Être heureux n’est donné qu’à celui qui est d’abord moral. On imagine mal ceux qui acquièrent le bien-être immoralement être « heureux ».
L’idée de bonheur est rattachée à une forme de quiétude qui semble incompatible avec l’immoralité. Vivre dans la peur du gendarme ou de la réprobation, c’est vivre inquiet, forcément non-heureux. Le bonheur supposerait alors une évaluation positive des causes de sa situation.
On imagine mal le bonheur sans plaisir. Toutefois le plaisir n’est pas le bonheur. C’est un sentiment momentané, éphémère. Il renvoie au « bon ». Le bonheur lui renvoie au « bien ». On peut tirer du plaisir d’une chose immorale, mais pas du bonheur. Il y a dans le concept une dimension d’accomplissement moral.
Sinon Quand a Moi, Je trouve qu'il n'existe pas de BONHEUR Parfait, c-a-d un Etat de Satisfaction Complete non interrompue, de acon continuelle. N-O-N, Ce Bonheur La N'existe pas dans Le vecu des Humains. En theorie, les gens aiment bien Romantiser sur La Vie, mais il suffit d'apprendre que Le voisin d'en face ou d'a cote, vennait de se construire une Super Villa qu'il va savourer avec sa famille et de voir son petit air de Bonheur s'enfuir par La Fenetre, s'evaporer en l'air.
Personnellement, Je definis Le BONHEUR comme Un Etat de CONTENTEMENT Occasionne par des moments de Plaisir Investis par Soi-Meme. C-a-d, L'On doit Investir sur Le Bonheur de moment a moment. Le Bonheur c'est aussi une satsfaction, par exemple on accomplit une tache avec son coeur, le contentement est interne occasionne par Le resultat, qui est fruit du Travail Bien Fait, Bien Execute. L'On travaille et L'On est remunere en Sous, L'Argent Gagne peut servir d'investissement sur Le Bonheur, On ameliore sa vie Sociale, on se fait quelques petits plaisirs(Achat de, ....Loisir)
L'ARGENT participe AU BONHEUR, et accompagne UN HOMME HEUREUX, UNE FEMME HEUREUSE a mieux savourer La Vie. Surtout dans le contexte Actuel, dans cette Societe Moderne. Ce que je suis entrain de declarer ICI, est que Le Bonheur est aussi un INVESTISSEMENT PERSONNEL. Ca commence par un Etat D'Esprit Serein, et Une vision Positive d'appreciation de simples choses de la vie, mais il faut aussi etre UN COURAGEUX, C-a-d, Travailler avec plaisir et generer des sous qui vont servir DANS L'INVESTISSEMENT SUR LE BONHEUR. VOILA AU FAIT CE QUE JE PENSE SUR L'ARGENT & SA CONTRIBUTION SUR LE BONHEUR.
Cavalier
Re: L´ARGENT NE FAIT PAS LE BONHEUR...?
Ma conclusion correspond au titre de ce Topic. C-a-dire : "L'Argent ne fait pas le Bonheur"Cavalier a écrit:
Presque que tout ce qui est ecrit CI-DESSUS, a propos du BONHEUR, est quelqe peu Vrai. Mais, personnellement Quelle Conclusion en as-Tu Tire?
Sinon Quand a Moi, Je trouve qu'il n'existe pas de BONHEUR Parfait, c-a-d un Etat de Satisfaction Complete non interrompue, de acon continuelle. N-O-N, Ce Bonheur La N'existe pas dans Le vecu des Humains. En theorie, les gens aiment bien Romantiser sur La Vie, mais il suffit d'apprendre que Le voisin d'en face ou d'a cote, vennait de se construire une Super Villa qu'il va savourer avec sa famille et de voir son petit air de Bonheur s'enfuir par La Fenetre, s'evaporer en l'air.
Personnellement, Je definis Le BONHEUR comme Un Etat de CONTENTEMENT Occasionne par des moments de Plaisir Investis par Soi-Meme. C-a-d, L'On doit Investir sur Le Bonheur de moment a moment. Le Bonheur c'est aussi une satsfaction, par exemple on accomplit une tache avec son coeur, le contentement est interne occasionne par Le resultat, qui est fruit du Travail Bien Fait, Bien Execute. L'On travaille et L'On est remunere en Sous, L'Argent Gagne peut servir d'investissement sur Le Bonheur, On ameliore sa vie Sociale, on se fait quelques petits plaisirs(Achat de, ....Loisir)
L'ARGENT participe AU BONHEUR, et accompagne UN HOMME HEUREUX, UNE FEMME HEUREUSE a mieux savourer La Vie. Surtout dans le contexte Actuel, dans cette Societe Moderne. Ce que je suis entrain de declarer ICI, est que Le Bonheur est aussi un INVESTISSEMENT PERSONNEL. Ca commence par un Etat D'Esprit Serein, et Une vision Positive d'appreciation de simples choses de la vie, mais il faut aussi etre UN COURAGEUX, C-a-d, Travailler avec plaisir et generer des sous qui vont servir DANS L'INVESTISSEMENT SUR LE BONHEUR. VOILA AU FAIT CE QUE JE PENSE SUR L'ARGENT & SA CONTRIBUTION SUR LE BONHEUR.
En te lisant,nasepelaki mingi na partie ya phrase nayo oyo :
"... Le Bonheur c'est aussi une satisfaction, par exemple on accomplit une tache avec son coeur, le contentement est interne occasionne par Le résultat, qui est fruit du Travail Bien Fait, Bien Execute..."
En faite c'est ça le BONHEUR = LE CONTENTEMENT INTERNE comme tu l'a si bien dit. C'est contentement interne n'a pas besoin d'argent pour exister. Avant même que l'Homme invente l'argent, bien avant même que l'Homme invente le NZIMBU,,,,, le bonheur existait déjà. Donc mbongo te mutu esalaka bonheur. Po soki mbongo ezalaka kosala bonheur, ndele mutu neti Whitney Houston alingaka jamais akufa toko-toko. Nalandi Lady Gaga mikol'oyo ewuti koleka na télé, Lady Gaga azo lelalela : Ô, je me sens seul et triste bla bla bla...
Et pourtant elle peut avoir tout avec son argent,si seulement l'argent pouvait acheter le bonheur.
Non Cava, le plaisir que nous procure l'argent est une illusion. Nayebi plaisir pe sentiment wana.Mais ezalaka nango sentiment ya lokuta.Je me rappelle kala na Bela nasimba un bon paquet. Nazua vraiment une grande partie natia na poche, nakenda concert ya mutu nayo J.B Mpiana na Liège. Na concert wana dernier de lupemba. Ba petit momie moko bazalaki wana, bokomi na bango kobenga ngai MIGNON dans le sens vraiment de mignon "Mignon na biso eee...Mignon..."
Etia ngai dernier de sentiment, napanza champagne na ndenge ya jeu te...Namotema nazomiloba : Donc ngai vraiment EL-SHAMAN nazalaka Mignon ? Mais tangu nazonga palais na regretta.Namiloba : naza penza zoba...na gaspiyé likonda kaka pona soki siaaaa...
Imagine maintenant quelqu'un qui m'avait vu dans ce concert en train d'acheter les champagnes et entouré de ces filles qui étaient vraiment des vrais flatteuses.Cette personne pourra se dire : C'est gars El-shaman est un homme heureux.Il baigne vraiment dans le bonheur parce que azo vivre. Or, eza nango kaka mbongo mutu e provoquaki illusion ya soi-disant bonheur wana.
Donc moi je reste dans l'idée que le bonheur est intérieure et il n'a rien à voir avec l'argent. Par contre le bonheur peut t'apporté l'argent, il peut attiré l'argent vers toi, parce que soki ozosala vraiment eloko olingaka na motema moko pe na esengo. Musala ya ndenge wana efungolaka ba nzela mingi.
El-Shaman
Re: L´ARGENT NE FAIT PAS LE BONHEUR...?
Elo !
Avant tout, je dois avoir que je n’ai pas tout lu, mais je souhaite réagir à cette citation. Selon moi, celle-ci aurait dû dire qu’on ne peut pas acheter le bonheur. Parce qu’à mon avis, il contribue souvent à faire celui de ceux qui en ont !
Avant tout, je dois avoir que je n’ai pas tout lu, mais je souhaite réagir à cette citation. Selon moi, celle-ci aurait dû dire qu’on ne peut pas acheter le bonheur. Parce qu’à mon avis, il contribue souvent à faire celui de ceux qui en ont !
Ingrid0355
Re: L´ARGENT NE FAIT PAS LE BONHEUR...?
LE FONDATEUR D´ALIBABA
Ce chinois milliardaire s´est decidé finalement de laisser quelqu´un d´autre prendre la gestion de son entreprise
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GHOST
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