Première victime de la barbarie soldatesque après le meeting du 31 Juillet.
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Première victime de la barbarie soldatesque après le meeting du 31 Juillet.
Première victime de la barbarie soldatesque après le meeting du 31 Juillet.
RIP
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[b]“Le deuil, c’est pour la vie. Ca ne s’en va jamais, ça fait progressivement partie de vous, à chaque pas, à chaque souffle.”
Mathilde
Re: Première victime de la barbarie soldatesque après le meeting du 31 Juillet.
Limete-Kinshasa cet après-midi. Kanambe DÉGAGE
Apres la mort d'un jeune combattant abattu par un soldat des FARDC, la population a reagi en brulant un bus et en bloquant le Boulevard Lumumba.
La Police est en train d'utiliser des lacrymogenes et des tirs afin de disperser les manifestants.
Plus d'images dans quelques instants.
C'est sur Code 243 et nulle part ailleurs.
Abraham Luakabuanga pour Code 243 et le Reseau des Medias Congolais.
Publie a Kinshasa, Mardi 2 Aout 2016 a 18:01.
Apres la mort d'un jeune combattant abattu par un soldat des FARDC, la population a reagi en brulant un bus et en bloquant le Boulevard Lumumba.
La Police est en train d'utiliser des lacrymogenes et des tirs afin de disperser les manifestants.
Plus d'images dans quelques instants.
C'est sur Code 243 et nulle part ailleurs.
Abraham Luakabuanga pour Code 243 et le Reseau des Medias Congolais.
Publie a Kinshasa, Mardi 2 Aout 2016 a 18:01.
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Mathilde
Re: Première victime de la barbarie soldatesque après le meeting du 31 Juillet.
Kinshasa: échauffourées autour du siège de l’UDPS
http://www.radiookapi.net/2016/08/02/actualite/societe/kinshasa-echauffourees-autour-du-siege-de-ludps
Des échauffourées ont opposé des militants de l’UDPS et les forces de l’ordre mardi 2 août autour du siège de ce parti d’opposition situé à la 10e rue de la commune de Limete à Kinshasa. D’après des témoins, des gaz lacrymogènes ont été jetés par les forces de l’ordre pour disperser des militants de cette formation politique.
L’UDPS et la police ont chacune une explication de l’origine de ces incidents.
D’après Augustin Kabuya, porte-parole d’Etienne Tshisekedi joint au téléphone par Radio Okapi en début de soirée, un militant de l’UDPS a été tué par balle par un militaire à la 15e rue de la commune de Limete.
Alertés, poursuit la même source, les autres militants sont accourus pour récupérer le corps du jeune homme qu’ils ont amené au siège du parti avant l’intervention des forces de l’ordre.
« Il y a des militaires qui ont tué un combattant au niveau de la 15e rue. Quand les autres combattants sont allés récupérer le corps, ils l’ont amené à la permanence. On les a pourchassés jusqu’à la permanence. Au moment où nous parlons, la situation s’est dirigée même vers la résidence du président Tshisekedi [située à quelques mètres du siège du parti, NDLR]. Il y a des gaz lacrymogènes qui sont jetés dans la résidence du président Tshisekedi », raconte Augustin Kabuya.
Interrogé au sujet du corps de la personne tuée, il indique qu’il a été emporté par la police :
« Il y a une équipe de la police qui s’est dirigée vers la permanence pour voler le corps et partir avec vers une destination inconnue. »
Augustin Kabuya demande « aux autorités de la place de faire attention pour que la situation ne puisse pas s’aggraver ».
Un conflit familial qui dégénère
Selon la police, l’incident est parti d’une bagarre entre deux familles en conflit parties récupérer les corps de leurs parents à la morgue de l’hôpital Saint Joseph à Limete. Les deux familles étaient accompagnées des motocyclistes.
L’une des familles aurait alors fait appel à un militaire commis à la garde du Motel FIKIN pour séparer les deux camps.
Selon le porte-parole de la police congolaise, colonel Mwanamputu, le militaire appelé à la rescousse a ouvert le feu par mégarde, tuant un jeune d’une trentaine d’années.
Joint également au téléphone, il a raconté les incidents qui se sont produits à Limete :
« Cherchant à ramener le calme, le caporal César Lokala a ouvert le feu dans la mêlée. Une balle mortelle va atteindre un membre de la délégation d’une des familles en conflit qui va succomber sur place. Les motards d’une des parties en conflit vont arborer l’infortuné des vêtements frappés des insignes de l’UDPS et vont ramener le corps à la permanence de la 10e rue où les militants de l’UDPS se sont mis à brûler des pneus et à entreposer les débris sur le petit boulevard et le boulevard Lumumba. Informée de cette perturbation de l’ordre public, la hiérarchie de la police a dépêché le commandant du groupe mobile d’intervention. »
Le colonel Mwanamputu indique que le calme a été rétabli et le trafic a repris son cours à la 10e rue.
Au sujet du militaire qui a ouvert le feu, le porte-parole de la police indique qu’il a été « appréhendé » par la police et « déféré » devant l’auditorat militaire.
La même source indique qu’un bus a été incendié lors de ces incidents.
http://www.radiookapi.net/2016/08/02/actualite/societe/kinshasa-echauffourees-autour-du-siege-de-ludps
Des échauffourées ont opposé des militants de l’UDPS et les forces de l’ordre mardi 2 août autour du siège de ce parti d’opposition situé à la 10e rue de la commune de Limete à Kinshasa. D’après des témoins, des gaz lacrymogènes ont été jetés par les forces de l’ordre pour disperser des militants de cette formation politique.
L’UDPS et la police ont chacune une explication de l’origine de ces incidents.
D’après Augustin Kabuya, porte-parole d’Etienne Tshisekedi joint au téléphone par Radio Okapi en début de soirée, un militant de l’UDPS a été tué par balle par un militaire à la 15e rue de la commune de Limete.
Alertés, poursuit la même source, les autres militants sont accourus pour récupérer le corps du jeune homme qu’ils ont amené au siège du parti avant l’intervention des forces de l’ordre.
« Il y a des militaires qui ont tué un combattant au niveau de la 15e rue. Quand les autres combattants sont allés récupérer le corps, ils l’ont amené à la permanence. On les a pourchassés jusqu’à la permanence. Au moment où nous parlons, la situation s’est dirigée même vers la résidence du président Tshisekedi [située à quelques mètres du siège du parti, NDLR]. Il y a des gaz lacrymogènes qui sont jetés dans la résidence du président Tshisekedi », raconte Augustin Kabuya.
Interrogé au sujet du corps de la personne tuée, il indique qu’il a été emporté par la police :
« Il y a une équipe de la police qui s’est dirigée vers la permanence pour voler le corps et partir avec vers une destination inconnue. »
Augustin Kabuya demande « aux autorités de la place de faire attention pour que la situation ne puisse pas s’aggraver ».
Un conflit familial qui dégénère
Selon la police, l’incident est parti d’une bagarre entre deux familles en conflit parties récupérer les corps de leurs parents à la morgue de l’hôpital Saint Joseph à Limete. Les deux familles étaient accompagnées des motocyclistes.
L’une des familles aurait alors fait appel à un militaire commis à la garde du Motel FIKIN pour séparer les deux camps.
Selon le porte-parole de la police congolaise, colonel Mwanamputu, le militaire appelé à la rescousse a ouvert le feu par mégarde, tuant un jeune d’une trentaine d’années.
Joint également au téléphone, il a raconté les incidents qui se sont produits à Limete :
« Cherchant à ramener le calme, le caporal César Lokala a ouvert le feu dans la mêlée. Une balle mortelle va atteindre un membre de la délégation d’une des familles en conflit qui va succomber sur place. Les motards d’une des parties en conflit vont arborer l’infortuné des vêtements frappés des insignes de l’UDPS et vont ramener le corps à la permanence de la 10e rue où les militants de l’UDPS se sont mis à brûler des pneus et à entreposer les débris sur le petit boulevard et le boulevard Lumumba. Informée de cette perturbation de l’ordre public, la hiérarchie de la police a dépêché le commandant du groupe mobile d’intervention. »
Le colonel Mwanamputu indique que le calme a été rétabli et le trafic a repris son cours à la 10e rue.
Au sujet du militaire qui a ouvert le feu, le porte-parole de la police indique qu’il a été « appréhendé » par la police et « déféré » devant l’auditorat militaire.
La même source indique qu’un bus a été incendié lors de ces incidents.
Jim KK
Re: Première victime de la barbarie soldatesque après le meeting du 31 Juillet.
La version d´un journaliste présent au moment de faits!!!
http://www.sangoyacongo.com/2016/08/militant-de-l-udps-tue-par-un-militaire.html
http://www.sangoyacongo.com/2016/08/militant-de-l-udps-tue-par-un-militaire.html
Jim KK
Re: Première victime de la barbarie soldatesque après le meeting du 31 Juillet.
Jim KK a écrit:La version d´un journaliste présent au moment de faits!!!
http://www.sangoyacongo.com/2016/08/militant-de-l-udps-tue-par-un-militaire.html
Tshisekedi est de retour. On va commencer a compter des cadavres dans les rues de kinshasa.
Suivront les manifestations sauvages, destructions de biens publiques, pillages, mensonges, ect...
Votre chef aime voir ses partisans se faire tuer.
Imperium
Re: Première victime de la barbarie soldatesque après le meeting du 31 Juillet.
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[b]“Le deuil, c’est pour la vie. Ca ne s’en va jamais, ça fait progressivement partie de vous, à chaque pas, à chaque souffle.”
Mathilde
Re: Première victime de la barbarie soldatesque après le meeting du 31 Juillet.
Deux versions différentes sur la mort de Guy Mpiana
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[b]“Le deuil, c’est pour la vie. Ca ne s’en va jamais, ça fait progressivement partie de vous, à chaque pas, à chaque souffle.”
Mathilde
Re: Première victime de la barbarie soldatesque après le meeting du 31 Juillet.
Nous les vrais patriotes, ceux qui veulent vivre dans ce pays tranquille nous pouvons que dire merci à notre police nationale, surtout la rapidité avec la quelle ils ont maîtrisés ces barbares . Awa bakomi kotiela biso numéro ya dépaterment américain babosani que quai d'orsay a rappellaki bango que RDC ezali souverain et non territoire américaine. A bon entendeur salut, Kanyama est toujours à la tête de cette police et les vrais Kinois veulent la tranquillité l'équation est simple.
piélé de dongo
Re: Première victime de la barbarie soldatesque après le meeting du 31 Juillet.
Lool
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[b]“Le deuil, c’est pour la vie. Ca ne s’en va jamais, ça fait progressivement partie de vous, à chaque pas, à chaque souffle.”
Mathilde
Re: Première victime de la barbarie soldatesque après le meeting du 31 Juillet.
"Fin de règne :
Kinshasa : Peur sur la ville
° http://www.congoindependant.com/article.php?articleid=11009
Qui a abattu, au début de la soirée de mardi 2 août, un "combattant" de l’UDPS? Pourquoi? Deux questions qui restent sans réponse dans ce Congo démocratique où la vie humaine est traitée avec le plus grand mépris par les "libérateurs". Une chose paraît sûre : les oligarques de la mouvance kabiliste ont les nerfs à vif. Des sources bien informées assurent que la nervosité est de plus en plus palpable au sein de la garde prétorienne de "Joseph Kabila" dite "Garde républicaine". Recrutés dans leur grande majorité au sein de la communauté ethnique Luba du Katanga, les "GR" - qui se comportent en une armée dans l’armée - seraient inquiets de leur sort. "Ils seraient prêts à mettre le feu à la baraque après le 19 décembre prochain", entend-on dire. A cinq mois de l’expiration du second et dernier mandat de "Joseph Kabila", la capitale congolaise dissimule mal une peur diffuse. Le moindre incident pourrait engendrer des conséquences imprévisibles...
Selon les "mauvaises langues", "Joseph Kabila" ne dort plus bien. Comme tous les insomniaques, disent-elles, l’homme est devenu irascible et ombrageux. Il suspecterait son "entourage congolais" - par opposition à sa fratrie - de faire preuve de "tiédeur" en ce moment crucial. "C’est ainsi que ses plus proches collaborateurs se livrent à une lutte d’influence pour donner au chef de l’Etat des preuves de fidélité".
Dans cette logique, d’aucuns redoutent des actions dignes du grand banditisme de la part de Kalev Mutondo, l’administrateur général de l’ANR (Agence nationale de renseignements). Des personnalités politiques, toutes tendances confondues, suspectées, à tort ou à raison, de "pactiser avec l’ennemi" seraient dans le viseur des sicaires de cette police politique. Des "accidents" ne sont pas à exclure.
Mardi 2 août, des observateurs - alarmistes? - redoutaient que la mort du militant de l’UDPS tienne lieu d’étincelle que tout le monde redoute. Que s’est-il passé mardi soir à Limete?
Selon une source sécuritaire jointe mercredi à Kinshasa, des "jeunes" du Quartier Mombele se sont rendus mardi à la morgue de l’hôpital Saint Joseph afin de retirer la dépouille d’un des leurs. "Ces jeunes n’avaient pas l’argent nécessaire pour acquitter la facture, raconte la source. Il y a eu une altercation avec les responsables de établissement. Alertés par les éclats de voix, des militaires qui se trouvaient dans le parage sont intervenus. Un coup de feu malencontreux est parti. Les éléments de la ’GR’ ne sont pas impliqués".
A en croire cette source, ces jeunes auraient déposé le corps de la victime au siège de l’UDPS. La suite est connue. Des échauffourées ont opposé les "combattants" aux forces de l’ordre jusqu’aux environs de 18h00. Quel gâchis! Il y a encore peu, le tout-Kinshasa saluait le "professionnalisme" de la force publique. "Les Congolais sont vite contents et vite déçus", ricane un opposant politique.
Chiens de faïence
Dans un communiqué publié dans la soirée du même mardi, le secrétaire national adjoint de l’UDPS en charge de la Communication, Augustin Kabuya, n’a pas trouvé des mots assez durs pour clamer son indignation. Il écrit que le siège national de l’UDPS situé sur Zinnias 546, sur la 10ème rue, commune de Limete, "a été mise à feu et à sang par des éléments de la garde républicaine et de la police nationale congolaise".
A l’UDPS, la victime a été identifiée. Il s’agit du nommé Guy Mpiana. "Il a été tué par un militaire de l’armée parce qu’il portait un t-shirt à l’effigie du président Tshisekedi", a déclaré à l’AFP Justin Kabongo, un militant de ce parti.
Dans son communiqué, Kabuya parle "d’assassinat" d’un combattant de l’UDPS "pourtant non-armé". Il demande à la communauté internationale "d’exercer des pressions sur le régime de Monsieur Joseph Kabila pour qu’il cesse avec ses actes de provocation (...)". "Provocation", le mot est lâché.
Chef de la police kinoise, Célestin Kanyama donne une toute autre version frelatée du tragique incident. Selon lui, "un militaire avait tiré sur un motard". Pourquoi? Silence radio. Porte-parole de la police, le colonel Pierrot Mwanamputu d’enchaîner que les militants de l’UDPS auraient "habillé ce motard d’habits portant l’effigie de l’UDPS et de M. Tshisekedi pour politiser l’incident". Une question reste posée : Quel est le motif qui a poussé ce militaire non autrement identifié à ôter la vie à ce concitoyen? Autre question : Quelles sont les dispositions prises par la hiérarchie pour faire toute la lumière sur cette affaire en déterminant les responsabilités?
On le voit, les Forces politiques et sociales acquises au changement incarnées par Etienne tshisekedi wa Mulumba et la majorité présidentielle chère au président sortant "Joseph Kabila" se regardent en chiens faïence.
Fin de règne peu glorieuse
Lors du meeting populaire animé par le secrétaire général de la MP, Aubin Minaku, vendredi 27 juillet, au Stade Tata Raphaël, l’orateur "a mis en garde" ceux qu’il appelle les "anti-dialogue". C’est-à-dire tous ceux qui suspectent le chef de l’Etat en exercice de transformer ce forum en un cadre de partage du pouvoir en contrepartie de son maintien à la tête de l’Etat. Et ce, en violation du prescrit constitutionnel.
Lors du mini-congrès du PPRD organisé mi-avril 2014, Evariste Boshab, alors secrétaire général de cette formation politique, déclarait que "ce mini-congrès constitue un moment favorable pour mettre en place des stratégiques pour conserver le pouvoir en prévisions des échéances électorales qui pointent à l’horizon". Boshab n’a pas osé dire que le PPRD n’avait qu’un seul et unique candidat pour la présidentielle. Nom : "Joseph Kabila".
Les forces politiques et sociales réunies au sein du "Rassemblement" ont compris le subterfuge. Lors du rassemblement populaire animé, dimanche 31 juillet, par Etienne Tshisekedi à l’esplanade du Stade des Martyrs, celui-ci n’a pas usé de périphrases en faisant savoir que le corps électoral doit être convoqué pour l’élection présidentielle à la date du 19 septembre prochain, conformément à l’article 73 de la charte suprême. "Cette date tient lieu de ligne rouge à ne pas franchir", avait souligné l’orateur.
Les Kinois sont hantés par la psychose de l’affrontement dans la capitale. "Au rythme où vont les choses, Joseph Kabila risque de connaître une fin de règne peu glorieuse à l’image de celle du Burkinabé Blaise Compaoré", prédit un politologue kinois."
"Incidents au siège de l’UDPS: l’auteur du coup de feu sera jugé"
° http://www.radiookapi.net/2016/08/04/actualite/securite/incidents-au-siege-de-ludps-lauteur-du-coup-de-feu-sera-juge
° http://www.congoforum.be/fr/nieuwsdetail.asp?subitem=1&newsid=205209&Actualiteit=selected
° http://www.forumdesas.org/spip.php?article8438
° http://www.rfi.fr/afrique/20160803-rdc-mort-militant-udps-affrontements-police
° http://www.radiookapi.net/2016/08/03/actualite/societe/echauffourees-autour-du-siege-de-ludps-kinshasa
° http://www.voaafrique.com/a/rdc-un-partisan-de-l-opposition-tue-heurts-avec-la-police/3446189.html
° http://www.congoforum.be/fr/nieuwsdetail.asp?subitem=1&newsid=205201&Actualiteit=selected
Compatriotiquement!
# Si haut que l'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul #
# Que faisait Dieu avant la création ? De toute éternité, il préparait d'épouvantables supplices pour celui qui poserait cette question. #
ndonzwau
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