LIBEREZ LE PRISONNIER POLITIQUE EUGENE DIOMI NDONGALA

VOLONTE MANIFESTE DU REGIME KABILA DE NEUTRALISER TOUT LEADERSHIP NEKONGO AU KONGO CENTRAL ET A KINSHASA - L' INTERPRETE, N°977:
DIOMI NDONGALA ET NE MUANDA NSEMI, ALLIE AU SEIN DE L'UNION SACREE POUR L'ALTERNANCE, DE FAIT INTERDITS DE METTRE PIED AU BAS-CONGO POUR NE PAS GENER UN POUVOIR SORTANT IMPOPULAIRE ET INCAPABLE DE PRESENTER UN BILAN
DEFENDABLE TANT A KINSHASA QU'AU KONGO CENTRAL


http://dc-kin.net/LiberezDiomiNdongalaPrisonnierPolitique3.html

djino a écrit:Pourquoi n'entrepreniez vous pas de démarches pour avoir un "avocat Européen de renom de style Jaques VERGES ou autre avocat Blanc qui milite dans des organismes des droits de l'homme ?

Il faut viser un avocat Belge ou Français de renom ...

Pourquoi ne pas contacter le Juge MORENO ..........

Les manifestations locales oui mais c'est mieux de faire du bruit sur ces arrestations en dehors du pays ....

Avez vous contacter la RTBF, Canal+, etc ....

Dernièrement à Kinshasa, il y a eu mort d'hommes (Chebeya et Tungulu). Un procès a été initié en Belgique pour le cas de Tungulu. Quels en sont les résultats?
Vergès ne défend que les dictateurs pour leur soutirer beaucoup d'argent, il ne défendra pas les causes nobles et s'il le faisait, sera-t-il bénévole?

King David a écrit:
Vergès ne défend que les dictateurs pour leur soutirer beaucoup d'argent, il ne défendra pas les causes nobles et s'il le faisait, sera-t-il bénévole?

Il avait aussi défendu un pauvre jardinier marocain Omar Raddad lors du meurtre de sa patronne, Ghislaine Marchal, une riche veuve. Une phrase est restée célèbre en marge de ce procès : "OMAR M´A TUER". En répondant à la question de savoir pourquoi maître Vergès défendait ce "pauvre", tous les chroniqueurs judiciaires répondaient avec un sourire ironique que c´est le roi du Maroc qui avait pris en charge tous les frais et c´était connu de tous que Vergès ne défend jamais des pauvres

Ca lui arrive de défendre gratuitement, il l'a dit dans une émission et pour les causes perdues, il dit qu'il avertit le client en lui disant, je te défends mais c'est perdu d'avance.




VFrance24 - Khmers rouges : un procès qui s'enlise21 nov. 2008 ... L'avocat français Jacques Vergès défend gratuitement l'ancien haut responsable khmer Khieu Samphan, qu'il a connu dans sa jeunesse à Paris. ...

https://www.youtube.com/watch?v=f2zL8hMUU1g

LIBEREZ LE PRISONNIER POLITIQUE EUGENE DIOMI NDONGALA

D.C. NEWS – Vérité et Justice pour le Congo



L’UDPS MANIFESTE SON INDIGNATION FACE A LA DETENTION ARBITRAIRE DU PRESIDENT DIOMI NDONGALA



January 27, 2011 at 04:08 · Filed under DE LA "DEMOCRATURE" A LA "VOYOUCRATIE" EN RDC, Diomi Ndongala Eugène, LE CONGO AUX CONGOLAIS, POLITIQUE, Rdc, SECURITE, congo



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http://dc-kin.net/info/2011/01/27/ludps-manifeste-son-indignation-face-a-la-detention-arbitraire-du-president-diomi-ndongala/








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D.C. NEWS – Vérité et Justice pour le Congo



L’ENCRIER DU RÉDACTEUR: Que l’on se souvienne de ce héros du pacifique pour respecter le fils qui est victime de jalousie



January 28, 2011 at 08:48 · Filed under DE LA "DEMOCRATURE" A LA "VOYOUCRATIE" EN RDC, Diomi Ndongala Eugène, POLITIQUE, Rdc, SECURITE, congo
L’ENCRIER DU RÉDACTEUR
DE L’ATLANTIQUE NORD
Que l’on se souvienne de ce héros du pacifique
pour respecter le fils qui est victime de jalousie
Mbuta Évariste,
Merci pour le témoignage que vous venez de me donner, c’est très encourageant en même temps que vivant, car l’homme au centre de notre préoccupation est fils de notre papa à tous et dont les enfants sont nos amis de jeu et de génération montante tant au Collège Albert 1er qu’à l’Athénée de la Gombe jusqu’aux divertissement à la Fikin et dans les concert de Thu- Zaïna, Zaïko et autres. Il n’y a pas à redire, nous avons eu les mêmes professeurs de bases, les mêmes références en football V. Club, Daring, Dragon, Himalaya, Nomade, Foudre, Léo-Sport, Espoir de Léo, Vaticano, Juventus et Diable Noir, les deux dernières équipes montant et descendant en deuxième division au bout de chaque saison.

Nous avons été dans la ligue majeur des jeunes qui avaient un rêve avec les Gabriel Bavangila, José Mpundu, Mbomba Jean-Pierre et que sais-je encore. Avec ce bagage de mémoire écouter ces gens qui salissent “Eugène Diomi”, c’est presque s’abîmer soi-même par des actions suicidaires dont la cause n’est pas diagnostiqué. Eugène est en prison parce que tous les grands de Madimba, je veux rappeler ici ceux qui ont fait les eaux temps du temps de Baron Manoka au Kongo Central et de celui du Commissaire Mwaku ya Kwango au Bandundu ont une seule option, choisir parmi les enfants qu’ils ont connu, ceux dot le souvenirs des pères a un écho dans la mémoire populaire. Diomi a réussi à accrocher l’attention autour de lui, c’est ainsi que l’on a décidé de le noyer avec la complicité de certaines personnes du District qui est le sien en compensation avec le “titre de Député” c’est tout.
Lorsque je lis les “Daniel Makila” qui écrivent et sans connaître la personne que Diomi est un boxeur, ils ne connaissent pas la victime de leur plume menteuse. Au Collège et à l’Athénée, nos parents et nos Paroisses ne nous ont pas appris à mentir et surtout mentir pour survivre en vue d’échapper à la condition de tout le monde. Diomi, je vois mal qu’il soit voleur, il a un héritage qui lui garanti de vivre sans voler, mais c’est l’âme de son père, homme d’État, qui s’est épris de lui. Jeune, il n’était pas proche de la politique, car il a des grands frères qui pouvait faire cela.
On l’a convaincu pour assumer cette tâche et on lui a dit qu’il ressemblait à son père comme deux gouttes d’eau, ce qui n’est pas faux, c’est pourquoi il est entré en politique pour servir et être à son tour bâtisseur comme papa “Gaston Diomi Ndongala”, le Président des Jeunes, membre du Cercle Culturel IGAZI de Bandalungwa.
<BLOCKQUOTE>
Vous savez, lorsqu’on vous accuse par un seul émetteur de celui qui domine, comme vous n’avez pas ce qu’il faut pour répondre à ce mensonge, vous passerez toujours pour un intrus, c’est comme cela que l’on a accusé les “Conjurés de la Pentecôte”, les Officiers généraux et Supérieurs dans le faux “Coup monté et manqué”, les Officiers subalternes et les Kudia Kubanza dans le Procès dit des “Terroristes”. Voilà dans quoi on a trempé Diomi. J’Avais souhaité que mon frère reste en Grèce, il y a des biens et un suivi des affaires lui laissées par son père. Je suis d’accord avec N’Djoli Bondjenga quand il s’aperçoit que l’on arrête que des Kinois par ce régime. Qu’il sache bine, ce Commissaire de Police du PPRD et de l’AMP que nous le tenons à l’oeil.</BLOCKQUOTE>
Djamba Yohé,
Votre frère,
Ottawa, le 27 janvier 2011


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D.C. NEWS – Vérité et Justice pour le Congo



GROGNON, 28/11/2011:DIOMI NDONGALA VICTIME D’UN VASTE COMPLOT



January 28, 2011 at 16:45 · Filed under Diomi Ndongala Eugène, POLITIQUE, Rdc, congo


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http://www.dc-kin.net/grognon280111.html


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http://dc-kin.net/LiberezDiomiNdongalaPrisonnierPolitique4.html

L’ASADHO condamne l’intolérance politique entretenue par le Gouvernement Congolais à la veille des élections générales en R.D.Congo


January 31, 2011 at 12:43 · Filed under DE LA "DEMOCRATURE" A LA "VOYOUCRATIE" EN RDC, Diomi Ndongala Eugène, LES EXTRAVANGANCES DU REGIME JOSEPHISTE AU CONGO, POLITIQUE, Rdc, SECURITE, congo


ASADHO
B.P.16737
KINSHASA 1
R.D. Congo
Association Africaine de Défense des Droits de l’Homme
African Association for the Defense of Human Rights
COMMUNIQUE DE PRESSE N°02/ASADHO/2011
<BLOCKQUOTE>
« L’ASADHO condamne l’intolérance politique entretenue par le Gouvernement Congolais à la veille des élections générales en R.D.Congo»</BLOCKQUOTE>
L’Association africaine de Défense des Droits de l’Homme (ASADHO), est vivement préoccupée par une série d’intimidations, arrestations et répression dont font l’objet les membres de l’opposition politique de la part du Gouvernement de la RDCongo.
En effet, il s’agit des cas suivants répertoriés :
1) En date du 09 janvier 2011, la réunion des membres de l’opposition politique au Salon Congo du Grand Hôtel de Kinshasa a été interdite sans indiquer aucune raison ;
2) La manifestation prévue à la place GB le 07 janvier 2011 du parti de l’Union pour la Nation Congolaise (UNC) dirigé par Monsieur Président Vital Kamerhe a été interdite pour des raisons non indiquées.
Pour rappel, lors de sa tournée politique en vue d’implanter les fédérations provinciales de son parti Union pour la Nation Congolaise à l’Est du pays, Monsieur Vital Kamerhe, a été interdit de tenir un meeting au centre ville de Goma dans la province du Nord Kivu sans raisons ;
3) L’arrestation à Kindu le 16 décembre 2010 des membres du parti de Vital Kamerhe dont Messieurs Clément Kapaye Lukembe et Daniel Muchapé , tous deux chargés d’implanter le parti dans les localités de Kibombo et Kabambare
4) L’arrestation de Monsieur Diomi Ndongala, Président national du parti Démocratie Chrétienne (DC). En tournée dans le cadre de la préparation du congrès de son parti, Monsieur Eugène Diomi Ndongala, a été arrêté le 13 janvier 2011 à Moanda par les éléments de la police nationale congolaise sur base d’une procédure de flagrance. Le 14 janvier 2011, il a été traduit en justice devant le Tribunal de paix de Moanda, pour prétendus coups et blessures simples et outrages et condamné à 5 mois de servitude pénale ferme et d’une amende de 100.000 FC.
Le 15 janvier 2011, il a été transféré à la prison de Boma où il est en détention jusqu’à ce jour. Son garde du corps a aussi été arrêté et ses biens (téléphones) ont été emportés.
5) Pour sa part, Monsieur Freddy Kita, Secrétaire général du même parti « DC » dit avoir reçu à Kinshasa le lundi 24 janvier 2011 des menaces de la part d’un inconnu, sur son téléphone, en ces termes : « cette fois-ci tu vas voir ce qui va t’arriver »
6) le refus par le notaire de la Ville de Kinshasa d’authentifier des statuts révisés du parti Union pour la Démocratie et le Progrès Social (UDPS) ;
Selon les informations parvenues à l’ASADHO, les nouveaux statuts du parti Union pour la Démocratie et le Progrès Social (UDPS), adoptés lors de son premier congrès ordinaire tenu à Kinshasa en décembre 2010, présentés par le Secrétaire général dudit parti aux fins d’être notarié au courant de ce mois de janvier 2011 ont été rejeté par le Notaire de l’Hôtel de ville de Kinshasa .
L’ASADHO fait remarquer alors que l’on s’achemine vers les élections au courant de cette année, les membres de l’opposition politique se voient arrêtés, intimidés, menacés et leurs manifestations réprimées ou interdites par les services de sécurité de la RDC en violation de la Constitution.
Cette attitude du Gouvernement est de nature à ne pas garantir des élections libres, démocratiques et équitables à tous les partis politiques.
L’ASADHO condamne cette intolérance politique et rappelle que conformément à l’article 60 de la Constitution le respect des droits de l’homme et des libertés fondamentales s’impose aux pouvoirs publics et à toute personne.
Vu ce qui précède, l’ASADHO recommande :
• Au Président de la République :
- De faire libérer, sans condition, tous les opposants politiques qui sont emprisonnés.
• Au Gouvernement Congolais :
- D’assurer la sécurité des membres de l’opposition politique et de leur permettre de tenir librement leurs réunions et autres manifestations publiques conformément aux prescrits de la Constitution.
- De prendre des mesures qui s’imposent pour que toutes les élections qui seront organisées en R.D.Congo soient libres, démocratiques et équitables.
• A La Monusco
- D’inscrire dans ses actions pour 2011 la protection des candidats de l’opposition aux élections de 2011.
• Aux Partis Politiques
- De ne pas céder aux menaces et intimidations, mais de continuer à exercer leurs droits conformément aux prescrits de la Constitution.

Fait à Kinshasa, le 31 janvier 2011


ASADHO
Pour toute information, contactez :
Maître Jean Claude KATENDE : Président National
Téléphone (00243) 811 729 908
Maître Georges KAPIAMBA : Vice Président National
Téléphone (00243) 814043641

« Floribert CHEBEYA n’est pas mort pour rien. Poursuivons le combat pour les Droits de l’Homme ».

D.C. NEWS – Vérité et Justice pour le Congo



Jean Claude Katende dénonce l’intolérance politique en RDC



February 1, 2011 at 15:53 · Filed under DE LA "DEMOCRATURE" A LA "VOYOUCRATIE" EN RDC, Diomi Ndongala Eugène, POLITIQUE, Rdc, SECURITE, congo
Jean Claude Katende dénonce l’intolérance politique en RDC

L’Association africaine de défense de droit de l’homme (Asadho) accuse le gouvernement d’entretenir l’intolérance politique à la veille des élections générales en RDC.
Dans un communiqué publié lundi 31 janvier, cette ONG énumère quelques cas qu’elle considère être de menaces à l’endroit des membres de l’opposition politique.
Y a-t-il intolérance politique en RDC ?
C’est autour de cette question Jean Claude Katende, président de l’Asadho, s’entretient avec Georges Kamudjova.
http://radiookapi.net/emissions-audio/2011/02/01/jean-claude-katende-denonce-l%E2%80%99intolerance-politique-en-rdc/
Copyright Radio Okapi
LIRE AUSSI
http://dc-kin.net/info/?p=2798

L’UNION SACREE POUR L’ALTERNANCE DENONCE L’INSECURITE ENTRETENUE CONTRE LES OPPOSANTS POLITIQUES



02/02/2011 à 15h22 | 0 vues | 0 réactions


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L’UNION SACREE POUR L’ALTERNANCE DENONCE L’INSECURITE ENTRETENUE CONTRE LES OPPOSANTS POLITIQUES

February 2, 2011 at 12:58 · Filed under DE LA "DEMOCRATURE" A LA "VOYOUCRATIE" EN RDC, Diomi Ndongala Eugène, LES EXTRAVANGANCES DU REGIME JOSEPHISTE AU CONGO, POLITIQUE, Rdc, SECURITE, congo ·
PHOTO D ‘ARCHIVE




Des ténors de l’Union Sacrée pour l’Alternance, USA, ont été reçus hier, mardi 1er février 2011, dans l’après-midi, par le Département politique de la Monusco. Anzuluni Bembe, Lisanga Bonganga, Médard Mulangala, Christian Badibangi, Amédée Useni, le S.G de la Démocratie Chrétienne, Freddy Kita… ont rencontré M. Manar, le Représentant de Roger Meece qui, lui, est le Représentant Spécial du SG de l’ONU en RDC. Au menu de leurs échanges, la protection des Opposants durant la campagne électorale et la prévention des conflits post- électoraux, la Monusco ayant pour mission principale de protéger les civils, au nombre desquels tous les citoyens congolais, y compris les acteurs politiques de la famille autre que celle de l’actuel Chef de l’Etat.
Dans une déclaration politique lue à l’issue de cette entrevue par son porte-parole, Jean-Pierre Lisanga Bonganga, l’USA dénonce l’intolérance politique entretenue par le Gouvernement congolais à la veille des échéances électorales avec des intimidations, des arrestations et répressions dont font l’objet actuellement les membres de l’opposition politique.
Aussi, demande-t-elle à la Monusco d’inscrire parmi ses actions prioritaires de 2011, la protection des candidats de l’Opposition aux élections.
Par ailleurs, l’USA craint qu’à l’allure où vont les choses, que la Majorité mécanique du régime au Parlement ne puisse, lors de la modification attendue de la Loi électorale, inclure des dispositions discriminatoires taillées sur mesure au profit des membres de sa famille politique, pour exclure toute candidature gênante à chaque niveau électoral.
Déclaration politique de l’Union Sacrée pour l’Alternance, USA en sigle, sur la situation politique de l’heure
L’Union Sacrée pour l’Alternance, USA en sigle, plateforme de l’opposition politique, s’est réunie le dimanche 30 janvier 2011 pour analyser la situation politique de l’heure.
De prime abord, les membres de l’USA ont pris acte de l’entérinement par l’Assemblée Nationale en date du 15 janvier 2011 des membres du bureau de la Commission Electorale Nationale Indépendante, CENI, tels que présentés par la Majorité et l’opposition à l’Assemblée Nationale.
Malgré cette décision, l’USA ne comprend toujours pas pourquoi le Chef de l’Etat ne fait pas diligence pour signer l’ordonnance d’investiture du Bureau tel qu’entériné par l’Assemblée Nationale.
La signature de la dite ordonnance permettrait aux membres du Bureau de la Ceni de finaliser le règlement intérieur de leur institution, de le soumettre à la Cour suprême de justice pour apprécier la conformité dudit règlement à la Constitution conduisant ainsi à la répartition des charges au sein du bureau de la Ceni selon le mécanisme approuvé par ses membres et à la remise et reprise tant attendue avec le bureau de la défunte Commission Electorale Indépendante dont les décisions intempestives prises pendant cette période suspecte risquent d’avoir un impact négatif sur le fonctionnement de la CENI.
Ce retard causé par la Majorité à l’Assemblée Nationale depuis le début de la Session parlementaire de septembre 2010, et sciemment entretenu par le Chef de l’Etat permet à l’Abbé Malumalu et à son équipe de mettre en place les mécanismes d’une fraude électorale à grande échelle.
Ces manœuvres dilatoires semblent aussi avoir pour but de prolonger indéfiniment le mandat des institutions issues des élections générales de 2006, risquant ainsi de replonger le pays dans une crise de légitimité politique aux conséquences nationales et régionales incalculables.
Au sujet des échéances électorales, l’USA constate qu’avec la révision constitutionnelle inopportune, votée de façon cavalière et à coups de motivations condamnables, le régime en place change les règles du jeu électoral en plein match et en dehors de tout débat au sein de la société congolaise.
Cette démarche brise l’esprit du consensus national et risque de miner la consolidation de la stabilisation de la République Démocratique du Congo acquise notamment depuis l’adoption de la Constitution de 2006.
Il sied de signaler que pour justifier le changement du mode de scrutin pour l’élection présidentielle, le régime Kabila a brandi le manque de ressources financières alors que les partenaires du processus électoral en RDC, notamment l’Union européenne, « notent que les changements du mode de scrutin présidentiel ont peu d’incidence financière ».
De plus, il apparaît, à l’analyse des éléments budgétaires disponibles, que les véritables économies interviendraient effectivement en cas de combinaison des élections locales avec les élections provinciales. Or, cette hypothèse n’est pas évoquée par le régime Kabila.
L’USA craint, à l’allure où vont les choses, que la Majorité mécanique du régime au Parlement ne puisse, lors de la modification attendue de la Loi électorale, inclure des dispositions discriminatoires taillées sur mesure au profit des membres de sa famille politique pour exclure toute candidature gênante à chaque niveau électoral.
Par ailleurs, l’USA dénonce l’intolérance politique entretenue par le Gouvernement congolais à la veille des échéances électorales avec des intimidations, des arrestations et répressions dont font l’objet actuellement les membres de l’opposition politique.
A titre exemplatif l’USA cite :
1. L’interdiction le 09 janvier 2011 de la réunion de l’opposition politique au Grand Hôtel Kinshasa ;
2. L’arrestation le 16 décembre 2010 à Kindu des membres chargés de l’implantation du parti politique Union pour la Nation Congolaise ;
3. L’arrestation début janvier à Butembo, Fizi et Baraka, notamment des membres des partis politiques et de la société civile, dont le seul péché est d’avoir fait circuler auprès de leurs militants des pétitions contre la révision de certaines dispositions de la Constitution opérée dernièrement par le Congrès.
4. L’arrestation le 14 janvier 2011 à Moanda de Monsieur Eugène Diomi Ndongala, Président national de la Démocratie Chrétienne, parti politique membre de l’USA ;
5. Les tergiversations du Notaire de la ville de Kinshasa lors de l’authentification des statuts révisés de l’Union pour la Démocratie et le Progrès Social, UDPS
6. L’administration de la justice de manière sélective selon les appartenances politiques des prévenus : cas de l’Honorable Martin Mukonkole et des irrégularités procédurales dans le procès Chebeya.
Pour l’USA, cette intolérance politique n’est pas de nature à garantir la tenue des élections libres, démocratiques et équitables à tous les acteurs politiques, surtout que l’actuelle administration de la territoriale nommée par le pouvoir, empêche les partis politiques de l’Opposition à exercer normalement leurs activités.
En conclusion, l’USA demande :
1. Au Chef de l’Etat :
• de signer l’ordonnance d’investiture des membres de la CENI
• de garantir la neutralité et le caractère apolitique de la police, de l’Armée et des Services de Sécurité ;
2. A la Monusco :
• D’inscrire parmi ses actions prioritaires de 2011 la protection des candidats de l’Opposition aux élections
3. Aux Partis politiques :
• De ne pas céder aux menaces et intimidations, et de continuer à exercer leurs droits conformément aux prescrits de la Constitution.
4. A l’Opposition parlementaire, aux forces politiques et sociales évoluant en dehors des institutions d’être vigilants et de s’opposer comme un seul homme à la dictature que le pouvoir en place cherche à réinstaurer en République Démocratique du Congo.

Fait à Kinshasa, le 30 janvier 2011

UNION SACREE POUR L’ ALTERNANCE
USA
KINSHASA, 01/02/2011

D.C. NEWS – Vérité et Justice pour le Congo



POURQUOI L’ARRESTATION D’EUGENE DIOMI NDONGALA ?/VIDEO- VISION CONGO TV



February 3, 2011 at 08:57 ·

POURQUOI L’ARRESTATION D’EUGENE DIOMI NDONGALA ?

from BONNY MENGA on Vimeo.
http://www.visioncongo.tv/2011/02/02/pourquoi-larrestation-deugen-diomi-ndongala/


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http://dc-kin.net/info/2011/02/03/pourquoi-larrestation-deugene-diomi-ndongala-video-vision-congo-tv/

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Publié par
DEMOCRATIE CHRETIENNE



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D.C. NEWS – Vérité et Justice pour le Congo



MISE AU POINT DE LA DEMOCRATIE CHRETIENNE PAR RAPPORT AUX IMPRECISIONS RELATEES A LA PRESSE PAR LE MINISTRE DE L’INFORMATION, M. LAMBERT MENDE, EN REACTION A LA CONFERENCE DE PRESSE DU 02/02/2011 DU SECRETAIRE GENERAL DE LA D.C. SUR LE L’EMPRISONNEMENT POLITIQUE DU PRESIDENT EUGENE DIOMI NDONGALA

February 3, 2011 at 13:34 · Filed under DE LA "DEMOCRATURE" A LA "VOYOUCRATIE" EN RDC,

MISE AU POINT DE LA DEMOCRATIE CHRETIENNE PAR RAPPORT AUX IMPRECISIONS RELATEES A LA PRESSE PAR LE MINISTRE DE L’INFORMATION, M. LAMBERT MENDE, EN REACTION A LA CONFERENCE DE PRESSE DU 02/02/2011 DU SECRETAIRE GENERAL DE LA D.C. SUR LE L’EMPRISONNEMENT POLITIQUE DU PRESIDENT EUGENE DIOMI NDONGALA


Ce matin 03/02/2011 M Lambert MENDE, Ministre de l’Information et Presse, a tenu une conférence de presse dans son cabinet qui a été reprise en directe par les télévisions nationales RTNC 1 ET RTNC2.

Le sujet de cette conférence était, selon son entendement, de donner ses « précisions » concernant l’arrestation et l’emprisonnement expéditif du président de la Démocratie Chrétienne, M. Eugène DIOMI NDONGALA, en réponse à la Conférence de PRESSE tenue la veille par le Secrétaire Général de la D.C sur le même sujet.

A cet effet, le comité Directeur de la Démocratie Chrétienne s’étonne du fait que les congolais assistent depuis plusieurs jours au défilé de ténors de la majorité au pouvoir relatant des informations contradictoires et fausses aux médias concernant l’emprisonnement politique de M. Eugène DIOMI NDONGALA, sans jamais convaincre l’opinion publique nationale et démontrant une agitation qui cache mal le malaise du régime face à ce complot grossièrement monté de toute pièce.

Le Vice –gouverneur du Bas-Congo, Déo Nkusu, avait accusé à la télévision Nationale le Président Diomi Ndongala d’être en connivence avec le Général Munene. Par la suite, il l’a accusé d’être en connivence avec des personnes interpellées au Bas Congo.
Après, le Gouverneur du Bas Congo a lui aussi donné des interviews sur le même affaire, donnant encore une énième version de l’affaire DIOMI NDONGALA, contredisant son vice – gouverneur…

Ce matin, le Ministre de l’information, au cours de son point de presse, a relaté, à son tour, une énième version de l’affaire, donnant à la presse des informations qui ne sont pas – encore une fois – correctes, surtout en ce qui concerne les points suivants :

1. Contrairement aux dires de M. Mende, selon lequel le Président Diomi Ndongala aurait « fait tabasser » (par qui ?…) des agents des services de sécurités, le président de la D.C , Diomi Ndongala n’a ni tabassé et encore moins « fait tabasser » qui que ce soit.

2. M. Diomi Ndongala n’a jamais reconnu ni admis ce que le montage politico-judiciare affirme, contrairement à ce qu’il a été prétendu au cours de la conférence de presse par M. Mende;

3. M. Diomi NDONGALA n’a pas été arrêté à la frontière mais dans son Hôtel et aucune procédure de « flagrant délit » n’était possible et justifiable car le simple refus de donner son passeport à un inconnu dans la rue, près de son Hôtel et la nuit tombée, avait eu lieu la veille ; d’autant plus que ce refus légitime, vues les circonstances de temps et lieu, ne constitue nullement une infraction aux lois de la République pour un citoyen congolais.

4. En réalité, l’arrestation du Président Diomi Ndongala dans son Hôtel a précédé une perquisition de sa chambre et de sa voiture – au cours de laquelle de l’argent a été volé – et seulement après cette perquisition illégale et sans rapport avec les fait lui imputés, les commanditaires du complot ont donné des injonctions pour que M. Diomi Ndongala soit politiquement neutralisé avec un affaire juridico-politique « quelconque et monté de toute pièce »!

5. Il sied aussi de souligner que M. Diomi Ndongala avait porté plainte contre l’ inconnu qui avait essayer de confisquer son passeport la nuit dans la rue, mais sa plainte n’a été ni instruite ni activée par la justice, peut être parce que l’accusé de cette plainte est un certain M. Mulunda, agent des services de sécurité, connu pour sa violence envers les habitants de Moanda et qui serait le petit frère du pasteur Ngoy Mulunda , c.à.d. un « intouchable » du régime…

6. La Démocratie Chrétienne confirme que le Président Eugène DIOMI NDONGALA a été victime d’une cabale politico-judiciare afin de l’empêcher d’exercer des activités politiques à la veille des élections, son dynamisme et sa popularité dérangeant le pouvoir sortant qui n’a pas de bilan crédible et défendable à présenter aux citoyens congolais, lesquels doivent être maintenus sous une cape sécuritaire pour qu’ils ne soient pas en mesure d’exercer librement leurs droits civils et politiques constitutionnellement garantis.

Cela étant, tout en condamnant les fausses et contradictoires informations que l’actuel gouvernement continue à relater à la presse, sans convaincre, la Démocratie Chrétienne, réitère son exigence de libération immédiate et sans conditions de M. Eugène DIOMI NDONGALA, dont l’emprisonnement ne constitue nullement un affaire judiciaire privé mais, bien au contraire, un cas exemplaire d’intolérance politique du régime en place envers les opposants politiques.

Fait à Kinshasa, le 03/02/2011
Marc MAWETE,
Porte Parole de la Démocratie Chrétienne, D.C.

http://dc-kin.net/info/2011/02/03/mise-au-point-de-la-democratie-chretienne-par-rapport-aux-imprecisions-relatees-a-la-presse-par-le-ministre-de-l’information-m-lambert-mende-en-reaction-a-la-conference-de-presse-du-02022/





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