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EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA

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Message  KOTA 9/1/2015, 5:16 pm

Signature de la CHARTE CONSTITUTIVE DE L«INITIATIVE PANAFRICAINE POUR LA DEFENSE DE LA DEMOCRATIE »en sigle IPDD  ce 09/01/2015 A PARIS

EN PREMIER PLAN, LE SG DE LA DEMOCRATIE CHRETIENNE, M. FREDDY KITA


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Message  KOTA 9/1/2015, 8:15 pm

EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA - Page 31 Je_sui10
http://www.scoop.it/t/eugene-diomi-ndongala-prisonier-politique-en-rdc
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Message  KOTA 15/1/2015, 10:08 am

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Message  KOTA 28/1/2015, 2:29 pm

Christopher Ngoy détenu au sécret : même procédure qu’avec Diomi Ndongala en Juin 2012
par FreeDiomi le 28 janvier 2015
L’activiste Christopher Ngoy Mutamba localisé à l’ANR
44 Vues 0par admin
EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA - Page 31 HRW-200x200
L’Ongdh américaine plaide pour l’autorisation de ce militant à recevoir des visites de ses avocats et de sa famille

Un haut responsable des services de renseignements de la République démocratique du Congo a déclaré à Human Rights Watch (HRW) le 26 janvier courant que l’activiste Christopher Ngoy était détenu par les services de renseignements congolais, mais le lieu de sa détention n’a pas été divulgué. En plus, il n’a pas été autorisé à recevoir des visites de sa famille ou d’un avocat. » Les autorités devraient le libérer immédiatement, sauf s’il est mis en accusation pour un délit crédible « , déclare-t-il.
» Chaque jour qui passe augmente les inquiétudes pour la sécurité de l’activiste Christopher Ngoy « , soutient Ida Sawyer, chercheuse senior sur la RD Congo à Human Rights Watch. » Les autorités congolaises devraient immédiatement et publiquement faire connaître l’endroit où il se trouve et le libérer s’il a été détenu illégalement ou pour des raisons politiques. « , dit-elle.
HRW craint que Ngoy soit victime de disparition forcée depuis son arrestation le 21 janvier 2015.
Le 26 janvier, l’administrateur général de l’Agence Nationale de Renseignement (ANR), Kalev Mutond, a informé à Human Rights Watch que Ngoyi était détenu par l’ANR, mais il n’a pas donné d’autres détails quant au motif de son arrestation ni à son lieu de détention.
55 ans, Christopher Ngoy Mutamba est président de l’organisation de défense des droits humains Synergie Congo Culture et Développement. Il était engagé dans la mobilisation du public en vue des manifestations contre les propositions de modification de la loi électorale le 12 janvier et pendant la semaine du 19 janvier dans la capitale Kinshasa.
Christopher Ngoy Mutamba est coordinateur national d’un réseau d’organisations congolaises de la société civile. Il est également co-fondateur de » Sauvons le Congo « , une coalition de partis politiques et d’organisations de la société civile créée en 2014 pour lutter contre des propositions de modification de la constitution, dont certaines permettraient au président Joseph Kabila de se maintenir au pouvoir au-delà de la limite de deux mandats établie par la constitution.
Récits de HRW
Le 21 janvier, vers 20h, plusieurs hommes, dont certains portants des uniformes de la police militaire, ont accosté Ngoyi alors qu’il rencontrait des collègues dans un bar en plein air de la commune de Kalamu à Kinshasa. Ils l’ont contraint à monter à bord d’une jeep blanche non immatriculée et sont partis.
Plus tôt ce jour-là, Christopher Ngoy faisait partie d’une délégation d’activistes des droits humains et de dirigeants de partis d’opposition, dont des membres du parlement, qui se sont rendus à l’Hôpital général de Kinshasa pour apporter leur soutien aux personnes blessées pendant les manifestations. Juste après que la délégation ait quitté l’hôpital, des militaires appartenant à un détachement de la Garde républicaine chargée de la sécurité présidentielle sont entrés dans l’hôpital et ont ouvert le feu sans distinction, blessant trois visiteurs.
Le lendemain matin suivant l’arrestation de Ngoy Mutamba, une jeep transportant des hommes vêtus d’uniformes de la police militaire était stationnée devant la maison de Ngoyi dans la commune de Barumbu à Kinshasa vers 4h du matin.
Vers 5h30, environ six hommes en civil sont entrés à son domicile et ont montré un mandat de perquisition à des membres de sa famille. Ils ont ensuite fouillé la maison et emporté des documents appartenant à Ngoy Mutamba. Ils ont indiqué à la famille de Ngoyi que celui-ci était détenu à l’auditorat militaire du district de la Gombe.

Des membres de la famille et des collègues de Ngoy se sont rendus à l’auditorat militaire de la Gombe, ainsi que dans d’autres lieux de détention officiels et prisons de Kinshasa, mais ils n’ont pas réussi à le localiser.

Les autorités leur ont déclaré que Christopher Ngoy n’était pas détenu dans ces établissements. Les militants congolais des droits humains ont exprimé leur préoccupation pour la vie et la sécurité physique de Ngoy.
» Le gouvernement devrait immédiatement informer la famille de Ngoyi de l’endroit où celui-ci se trouve et des raisons pour lesquelles il est détenu « , déclare Ida Sawyer. » Les autorités devraient aussi assurer qu’il n’est ni torturé ni maltraité, et qu’il a accès à un avocat, a droit à la nourriture, et aux soins médicaux « .
Par Godé Kalonji Mukendi

http://democratiechretienne.org/2015/01/28/christopher-ngoy-detenu-au-secret-meme-procedure-quavec-diomi-ndongala-en-juin-2012/
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Message  KOTA 28/1/2015, 7:19 pm

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Message  KOTA 30/1/2015, 3:51 pm

FLASH: M.ME PASCALINE KUDURA, PORTE PAROLE DE LA MPP DE DIOMI NDONGALA, ARRETEE CE MATIN A 12H50 /MPP
par FreeDiomi le 30 janvier 2015
EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA - Page 31 Mmp

EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA - Page 31 Pascaline-kudura EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA - Page 31 Pascaline2

FLASH

M.ME PASCALINE KUDURA KASONGO, PORTE PAROLE A.I. DE LA MAJORITE PRESIDENTIELLE POPULAIRE, MPP EN SIGLE, PLATEFORME CHERE AU PRESIDENT EUGENE DIOMI NDONGALA, VIENT D’ETRE ARRETEE CE MATIN A 12H40 CHEZ ELLE A LA MAISON, AVENUE FREDERICK N° 9, BINZA OZONE.

UN GROUPE D’UN DIZAINE DE POLICIERS LOURDEMENT ARMES L’ON APPREHENDEE ALORS QU’ELLE ETAIT CHEZ -ELLE EN COMPAGNIE DE SON MARI, KUDURA KASONGO, QUI VENAIT DE SE REMETTRE APRES LES BLESSURES PAR BALLES RECUES A LA JAMBE GAUCHE LORS DES DERNIERES MANIFESTATIONS DE L’OPPOSITION POLITIQUE.
M.ME KUDURA EST UNE DES RARES FEMMES POLITIQUES QUI SE BATTENT EN PREMIERE LIGNE ET AVEC COURAGE ET DETERMINATION POUR  LA DEFENSE DES DROITS CIVILS ET POLITIQUES DES CITOYENS CONGOLAIS.
LA MPP NE PEUT QUE DENONCER LA REPRESSION BRUTALE ET INDIGNE QUI TOUCHE LES LEADERS ET LES MILITANTS DE L’OPPOSITION EN RDC, DANS LEURS COMBAT POUR LA DEFENSE DU PRINCIPE CHER A LA MAJORITE DES CONGOLAIS, CELUI  D’ELIRE – ET PAS SEULEMENT VOTER – LEURS DIRIGEANTS.
LA MPP EXIGE LES RESPECT DES DROITS FONDAMENTAUX DE M.ME PASCALINE KUDURA ET SA LIBERATION IMMEDIATE TOUT EN CONDAMNANT LA DERIVE TOTALITAIRE DU REGIME KABILA QUI CONTINUE D’ EMPRISONNER TOUS LES DIGNES FILS ET FILLES DU CONGO QUI SE BATTENT LES MAINS NUES FACE AUX KALANCHINKOVS.
VERITE ET JUSTICE POUR LE CONGO,
LE PEUPLE D’ABORD
MARC MAWETE
SECRETAIRE EXECUTIF MPP
http://majoritepresidentiellepopulaire.org/2015/01/30/flash-m-me-pascaline-kudure-porte-parole-de-la-mpp-de-diomi-ndongala-arretee-ce-matin-a-12h50/
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Message  Hiro-Hito 30/1/2015, 6:41 pm

Donc ba koti reunion tt simplement pona ko kebisa batu? ds l'entre tps, bazo lokotaka bango lokola ba mbinzo?

_________________
Cooperation only lasts as long as the status quo is unchanged (National Treasure)

I demand respect, if I can't get it, I'll take it

et que celui qui n'a pas d'épée vende son vêtement et achète une épée. Luc 22:36
Hiro-Hito
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Message  Admin 31/1/2015, 1:20 am



https://soundcloud.com/abraham-luakabuanga/madame-pascale-kudura-at

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Message  Tsippora 1/2/2015, 7:35 pm

Bizarrement le chef auto-proclame de l'opposition continue a s'agiter sans etre inquiete...Mende a lobaki ango na France 24, ba ko kanga ye te. Azalaki na Muyambo mokolo ba kangaki ye ake pe ko se presenter mais boyi ko kanga ye....La cause qui l'oppose a la deshonorable Moleka, est une affaire privee mais il s'en sert pour jouer aux martyrs. Soni pe mawa.

Hiro-Hito a écrit: Donc ba koti reunion tt simplement pona ko kebisa batu? ds l'entre tps, bazo lokotaka bango lokola ba mbinzo?
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Message  KOTA 1/2/2015, 8:39 pm

La prison comme solution ? C’est l’option que semblent avoir choisie les autorités congolaises pour faire face à la ferme opposition /LA LIBRE BELGIQUE
par FreeDiomi le 1 février 2015
EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA - Page 31 Diomi-et-tshisekedi-a-la-messe-de-la-mpp
Nettoyage dans le monde politique congolais
Marie-France Cros Publié le vendredi 30 janvier 2015 à 17h31 – Mis à jour le dimanche 01 février 2015 à 09h07
EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA - Page 31 54cdde9935700d752251d569

  • La prison comme solution ? C’est l’option que semblent avoir choisie les autorités congolaises pour faire face à la ferme opposition aux tentatives de maintenir M. Kabila au pouvoir (photo). Leur projet de nouvelle loi électorale, qui semblait destiné à prolonger le président Kabila au-delà du terme de son dernier mandat, a été modifié sur ce point, en raison des émeutes qu’il a suscitées, mais reste ambigu (voir « La Libre Belgique » du 28 janv.). Plusieurs dirigeants politiques d’opposition font en effet soudainement l’objet de poursuites judiciaires pour des faits de droit commun ou sont incarcérés.


Dernier cas en date : Pascaline Kudura, porte-parole intérimaire du regroupement de partis d’opposition MPP (Majorité présidentielle populaire), arrêtée vendredi à la mi-journée. Son avocat, Me Jean-Joseph Mukendi, a indiqué à « La Libre Belgique » qu’on avait ouvert contre elle « un dossier de droit commun pour une affaire de stellionat » (vendre un bien dont on n’est pas le propriétaire).
Des affaires déjà réglées
Mme Kudura avait participé aux marches de protestation contre le projet de nouvelle loi électorale. Son mari, Kudura Kasongo, un Katangais qui fut le porte-parole du président Joseph Kabila avant de rallier l’opposition, avait été blessé par balles à la jambe, le 11 janvier, lors de la première marche contre ce projet de loi; il est toujours en soins.
Le 20 janvier, c’est un des principaux organisateurs des marches, l’avocat katangais Jean-Claude Muyambo qui avait été arrêté, ainsi qu’un autre dirigeant de l’opposition, Franck Diongo. Si on ignore le motif d’arrestation de celui-ci, Me Muyambo, lui, a comparu à Kinshasa pour un dossier ouvert le même jour par le parquet de La Gombe (Kinshasa) pour « abus de confiance et stellionat », au sujet d’un différend survenu à Lubumbashi et déjà réglé, selon son avocat, cité par « Le Phare ». Me Muyambo avait été chargé par un Grec, il y a plusieurs années, de vendre sa maison à Lubumbashi; un différend avait surgi, qui s’était clos par une lettre datée du 25 juin 2014, dans laquelle le Grec, selon l’avocat du détenu, présentait ses excuses à Jean-Claude Muyambo « pour avoir porté plainte contre lui, il y a cinq ans, par manque d’information et de communication », rapporte « Le Phare ». Selon l’avocat du détenu, il n’y a pas de nouvelle plainte du Grec.
Harcèlement
L’ONG Association congolaise pour l’accès à la justice (Acaj), a dénoncé, le 24 janvier, le harcèlement judiciaire contre Me Muyambo – et contre Vital Kamerhe, une des principales figures de l’opposition à la nouvelle loi électorale.
Mercredi dernier, la Cour suprême a annoncé qu’elle allait juger M. Kamerhe pour une déclaration diffamatoire – réglée à l’amiable pour 5 000 dollars depuis décembre 2013. « Tout le monde se demande pourquoi », commente Me Mukendi, qui défend également Vital Kamerhe, « puisque la Cour suprême est un recours qu’on exerce quand les recours ordinaires sont épuisés et que, ici, on court-circuite les recours ordinaires ». M. Kamerhe n’est pas arrêté; ses partisans menacent de manifester s’il devait l’être.

Des accusations de droit commun avaient déjà frappé Eugène Diomi, fer de lance des manifestations de 2012 contre la fraude électorale massive de fin 2011, accusé de viol, ainsi que Jacques Chalupa, candidat d’opposition en 2011 accusé d’usurpation de la nationalité congolaise – pourtant élu sans problème en 2006 pour le parti de M. Kabila, le PPRD.

 

Marie France Cros / llb              http://democratiechretienne.org/2015/02/01/%e2%80%a2la-prison-comme-solution-cest-loption-que-semblent-avoir-choisie-les-autorites-congolaises-pour-faire-face-a-la-ferme-opposition-la-libre-belgique/
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Message  KOTA 2/2/2015, 6:04 pm

DECLARATION DE LA MAJORITE PRESIDENTIELLE POPULAIRE, MPP EN SIGLE, A LA SUITE DE L’INTERPELLATION DE SA PORTE PAROLE A.I., M.ME PASCALINE KUDURA, AFIN DE DENONCER L’INSTRUMENTALISATION DE LA JUSTICE A DES FINS POLITIQUES EN RDC
      2 février 2015
    
EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA - Page 31 Titre-dec-pol-mpp-020215
DECLARATION DE LA MAJORITE PRESIDENTIELLE POPULAIRE, MPP EN SIGLE, A LA SUITE DE L’INTERPELLATION DE SA PORTE PAROLE A.I., M.ME PASCALINE KUDURA, AFIN DE DENONCER L’INSTRUMENTALISATION DE LA JUSTICE A DES FINS POLITIQUES EN RDC
 
La Majorité Présidentielle Populaire, MPP, plate-forme politique de revendication de la vérité des urnes fondée par l’Hon. Eugène Diomi Ndongala, tient à informer l’opinion tant nationale qu’internationale qu’en date du 30/01/2015 à 12h50 M.me Pascaline Kudura Kasongo, Porte Parole de la MPP, a fait l’objet d’une interpellation policière à Kinshasa, à sa résidence, de la part de policiers munis d’un mandat d’amener à son nom.
Dès que l’information de son arrestation a commencé à circuler, malgré le blocage d’internet, des SMS, des réseaux sociaux et des media progressistes en RDC, un collectif d’Avocat des Droits de l’Homme s’est immédiatement constitué pour lui prêter assistance.
Les inquiétudes des membres et sympathisants de la MPP étaient causés par la vague d’arrestations de leader de l’opposition politique en RDC, après les manifestations politiques et populaires du 19-20-21-22-23 janvier 2015 contre la volonté subreptice du régime Kabila de contourner la Constitution actuellement en vigueur en République Démocratique du Congo à travers des dispositions de la Loi électorale proposée par le SG du parti au pouvoir, le PPRD, actuellement Ministre de l’Intérieur, M Evariste Boshab, visant à subordonner la tenue des élections générales et locales à un recensement général de la population, afin de permettre à l’actuelle majorité de se pérenniser au pouvoir au delà de la durée légale des mandats politiques, y compris celui présidentiel.
1
Considérant que le pouvoir en place se distingue par des menaces sérieuses de mort, d’enlèvements et d’arrestations contre les leaders de l’Opposition et de la Société Civile à l’instar des cas des Honorables DIOMI NDONGALA, Jean Bertrand EWANGA, Jean-Claude MUYAMBO, Vano KIBOKO, de Messieurs KABATSHI, Eric KIKUNDA, Firmin YANGAMBI, Ernest KIAVIRO, Eddy KAPEND, Dr. KANKU, ainsi que de Monsieur Christopher NGOYI, détenus par les Services de Sécurité en violation de l’article 19 de la Constitution ;
D’ autant plus que d’autres combattants, militants, cadres des Partis Politiques et de la Société Civile ainsi que les étudiants ont été également arrêtés à Kinshasa et à l’intérieur du pays du fait de leur participation aux dernières manifestations contre la révision de la loi électorale.
Dans ce contexte politique exécrable et totalitaire,
la MPP et le collectif d’avocats venus défendre M.me Pascaline Kudura ont constaté ce qui suit:

  • un montage judiciaire similaire à celui orchestré au détriment de M. Jean Claude Muyambo, a été orchestré pour arrêter et emprisonner M.me Kudura sur le champ et cela sur la base d’une fausse accusation de Stellionat, alors que le vrai objectif visé par le pouvoir est celui de neutraliser tous les leaders politiques que se sont mobilisés pour contrer le plan de l’actuelle majorité de conservation du pouvoir au delà de 2016.


  • sans la mobilisation des membres et sympathisants de la MPP, M.me Kudura aurait été envoyée à Makala sur la base d’une accusation fallacieuse et non prouvée;


  • Le magistrat qui a émis le mandat d’amener contre M.me Kudura a reconnu l’avoir arrêtée sur la base d’instructions reçues de sa hiérarchie.

Cela étant, la MPP tient à condamner avec la dernière énergie la chasse à l’homme dont font l’objet ses membres depuis l’arrestation et l’emprisonnement politique de l’Hon. Eugène Diomi Ndongala, auquel a fait suite celui de M Verdict Kituntwa, M, Stallone et Mme Kibungana et cela sur la base d’accusation fantaisistes fabriquées par les services de
M. Kabila. 2
La MPP dénonce et condamne l’acharnement judiciaire contre tous les Leaders de l’Opposition, de la Société Civile et de la Communauté Estudiantine ;
Elle dénonce les procédures judiciaires expéditives et autres menaces à l’endroit des étudiants ;
La MPP exige la libération sans conditions de tous les détenus politiques;
La MPP exige qu’il soit mis un terme à le harcèlement politico-militaire à l’encontre de M.me Pascaline Kudura, victime d’accusations fantaisistes qui visent seulement son emprisonnement politique.
Dans cette atmosphère de crispation politique extrême, les membres
exécutifs de la MPP, invitent le peuple congolais en général à demeurer vigilants, car M.me Kudura sera de nouveau interpellée mardi 03/02/2015 matin.
Exhortons les magistrats saisis des différents cas à ne dire que le droit, rien que le droit en s’abstenant d’obéir aux injonctions politiques qui instrumentalisent la Justice à des fins politiques, dans le but de museler l’opposition politique en RDC.
Fait à Kinshasa, le 02 Février 2016
Pour la MPP,
M.me Charlotte Mivilu,
Membre du Bureau Politique
http://majoritepresidentiellepopulaire.org/
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Message  ndonzwau 2/2/2015, 9:20 pm

Tsippora a écrit:Bizarrement le chef auto-proclame de l'opposition continue a s'agiter sans etre inquiete...Mende a lobaki ango na France 24, ba ko kanga ye te. Azalaki na Muyambo mokolo ba kangaki ye ake pe ko se presenter mais boyi ko kanga ye....La cause qui l'oppose a la deshonorable Moleka, est une affaire privee mais il s'en sert pour jouer aux martyrs. Soni pe mawa.

Hiro-Hito a écrit: Donc ba koti reunion tt simplement pona ko kebisa batu? ds l'entre tps, bazo lokotaka bango lokola ba mbinzo?


Curieuse posture que celle qui consiste à offrir une excuse au dictateur de sévir parce qu'il ciblerait un homme politique qu'on ne blairerait pas, en l'occurrence ici Kamerhe !
silent silent silent

Je me trompe peut-être, est-il que je ne vois pas parmi ceux qui s'opposent à lui un Kamerhe plus épargné par Kanambe que d'autres : sa résistance tient davantage à sa charpente et à ses capacités propres plutôt qu'à un quelconque deal secret entre eux !
Kamerhe a suffisamment démontré qu'il roulait pour lui et non pour un quelconque autre; ce serait d'ailleurs une dangereuse méprise lorsqu'on veut le rivaliser que de méconnaître la folle ambition qui l'habite pour s'élever au plus haut sommet en politique...

Ainsi à mon humble avis, Ma Tsippo, c'est encore une mauvaise stratégie que vous suggérez là : ceux qui veulent le changement se tromperont toujours de cible lorsqu'ils privilégieront une lutte entre eux; les situations me semblent assez claires aujourd'hui pour repérer les différents rapports de forces entre les pour et les contre...
Ainsi donc ce serait un suicide assuré de l'"opposition" que de confondre leur rivalité entre eux à un combat entre ennemis : on l'aura mieux compris avec la dernière mobilisation populaire qui a eu comme ciment non l'appartenance politicienne des manifestants (UDPS, MLC, UNC..., Badibanga, Kamerhe, Fayulu...) mais leur détermination à refuser le maintien de l'autocratie kanambienne; de même la folie répressive de celle-ci ne se limite pas à un parti mais à tous ceux qui se sont levés pour sonner la résistance...

En vérité en vérité ce peuple qui vient de démontrer sa capacité de fronde légitime nécessite une direction claire et unie de la part de ceux qui se disent "opposants" : c'est la première garantie de la victoire ! Ce serait déjà ne pas perdre de vue que nous avons en face une dictature sanglante qui n'hésite pas à tuer...
L'éventuel procès au "faux opposant" sera résolu de lui-même avec une compétition saine sans préjugés à l'entrée !
Encore une fois, ne nous trompons pas de cible : notre vrai ennemi est d"abord aujourd'hui "JK" et son "association de malfaiteurs d"Etat" (voir infra); le reste n'est qu'une querelle de clochers indigne d'une pratique politique mature qui fera encore rater à notre pays des rdv de victoires pourtant bien proches !



""Association de malfaiteurs d’Etat""
° http://www.congoindependant.com/article.php?articleid=9642






Compatriotiquement!

ndonzwau


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Message  KOTA 3/2/2015, 2:46 pm

...


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Message  KOTA 5/2/2015, 9:25 am

http://democratiechretienne.org/2015/02/05/rdc-lopposition-ne-doit-pas-crier-victoire-selon-freddy-kita/

RDC: « L’opposition ne doit pas crier victoire » selon Freddy Kita
par FreeDiomi le 5 février 2015
EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA - Page 31 Freddy-kita-tv-5
 
RDC: « L’opposition ne doit pas crier victoire » selon Freddy Kita

congo, cpi, kinshasa, Kita, loi électorale, Manifestations, ndongala, RDC, udps
par Christophe RIGAUD

Le secrétaire général de la Démocratique chrétienne (DC)  dénonce une loi électorale « encore floue » et un calendrier global que la CENI n’a toujours pas publié. Il promet aussi que l’opposition portera plainte contre les autorités congolaises pour les exactions commises pendant les manifestations de janvier 2015.
[img(533.8px,290.79999999999995px)]http://afrikarabia.com/wordpress/wp-content/uploads/2015/02/Freddy-Kita-10-1024x543.jpg[/img]
- Afrikarabia : Pendant une semaine entre le 19 et le 22 janvier 2015, Kinshasa a été le théâtre d’importantes  manifestations contre le projet de loi électorale du gouvernement. Des manifestations violemment réprimées par les forces de sécurité, avec un bilan qui oscille entre 13 et 42 et morts, selon les sources. Quelles sont vos informations sur ces événements ?

- Freddy Kita : Pour notre parti, la Démocratie chrétienne (DC) et la Majorité présidentielle populaire (MPP), nous avons un bilan de 141 morts sur l’ensemble du territoire. Sans tenir compte des disparus. Le 22 janvier, la Garde républicaine est entrée dans le campus universitaire de Kinshasa. Des étudiants ont été poignardés, les forces de de sécurité ont tiré à balles réelles et pour le moment, les corps de ces étudiants n’ont toujours pas été retrouvés. A la morgue, ainsi qu’à l’hôpital Mama Yemo, il y a également eu des disparitions. Notre bilan de 141 est toujours provisoire.

- Afrikarabia : Que va maintenant faire votre mouvement ?
– Freddy Kita : Nous préparons une action au niveau de la justice internationale et porter plainte contre Joseph Kabila, Evariste Boshab, l’auteur de cette fameuse loi électorale, Lambert Mende, les agents de la Garde républicaine, ainsi que le général Célestin Kanyama. Nous avons toutes les preuves, tous les témoignages, nous avons des images et des personnes prêtes à témoigner. La Cour pénale international (CPI) est actuellement la seule juridiction capable de juger tous ces criminels. Et nous souhaitons que tous ces crimes soient punis.
- Afrikarabia : Beaucoup d’opposants ont été interpellés avant, pendant et après ces manifestations.
– Freddy Kita : Il faut se rappeler que les gens qui sont au pouvoir aujourd’hui en République démocratique du Congo n’ont jamais connu la démocratie. Ce sont des seigneurs de guerre qui sont arrivés au pouvoir par les armes. Ils n’ont pas encore compris que les temps ont changé et qu’ils doivent libérer l’espace politique et respecter la Constitution.
- Afrikarabia : Depuis avril 2013, le président de votre parti, Eugène Diomi Ndongala est en prison. Vous avez dénoncé une détention politique. Où en est l’affaire ?
– Freddy Kita : Le gouvernement de Joseph Kabila a été saisi par la commission internationale des droits de l’homme de Genève et on attend des réponses à ce sujet. Et nous sommes surs d ‘avoir gagne de cause.
- Afrikarabia : L’alinéa litigieux de la loi électorale qui liait les futures élections au recensement a été retiré. Avez-vous d’autres motifs d’inquiétudes ?
- Freddy Kita : Je demande à mes amis de l’opposition de ne pas crier victoire. La loi électorale est extrêmement floue. La Démocratie chrétienne et la MPP demandent le retrait total de cette loi. Nous voulons que les lois de 2006 et 2011 sur les élections soient respectés. Après les élections de 2016, nous verrons si nous devons, soit changer des articles de la Constitution, soit modifier la loi électorale.
- Afrikarabia : Vous avez bon espoir que les élections générales se tiennent en 2016 ?

- Freddy Kita :  La commission électorale (CENI) n’a toujours pas publié de calendrier global. Il faut qu’avant le 10 février, Apollinaire Malu-Malu, le président de la CENI sorte un calendrier global de toutes les élections.

- Afrikarabia : Quelle leçon doit tirer l’opposition des manifestations de Kinshasa, alors que vous êtes toujours divisés ?
– Freddy Kita : C’est vrai que l’opposition congolaise est plurielle, mais nous avons compris une chose : pour vaincre Joseph Kabila, nous devons être unis. Lorsque nous sommes rassemblés, vous avez vu le résultat du 19 au 22 janvier dans les rues. Nous devons mettre nos egos de côté.
- Afrikarabia : L’UDPS n’avait pourtant pas appelé à manifester le 19 janvier avec vous ?
– Freddy Kita :  Bruno Mavungu et Félix Tshisekedi ont appelé nos amis de l’opposition pendant les manifestations pour les encourager.
- Afrikarabia : L’UDPS ne s’est prononcée sur les manifestations que le mardi 20 janvier et un porte-parole avait même appelé à ne pas manifester ?
– Freddy Kita : La déclaration de Joseph Kapika ne concerne que lui-même. L’UDPS doit maintenant comprendre que le temps du grand rassemblement est arrivé. Jouer en solo, c’est ce qui nous a toujours freiné. Toute l’opposition doit désormais jouer collectif.
Propos recueillis par Christophe RIGAUD – Afrikarabia
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Message  KOTA 6/2/2015, 8:34 pm

Marche pacifique le 16 février pour la libération DE TOUS LES PRISONNIERS POLITIQUES en ‪#‎RDC‬ ‪#‎drc‬ ‪#‎Telema
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Message  KOTA 8/2/2015, 2:40 pm

Prof. Omasombo: »« La personne de Kabila est devenue le problème » /CONGOINDEPENDANT
par FreeDiomi le 8 février 2015
EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA - Page 31 B9f6nvfiaaad5wx
 
Jean Omasombo Tshonda
Dans une interview accordée à la journaliste Marie-France Cros (voir La Libre Belgique datée jeudi 05.02.2015), Jean Omasombo Tshonda, 57 ans, professeur à l’Université de Kinshasa et chercheur au Musée royal d’Afrique centrale à Tervuren, en Belgique, analyse l’évolution de la situation politique à la lumière des manifestations des 19, 20 et 21 janvier à Kinshasa. «Pour les Congolais, l’essentiel est que Joseph Kabila n’aille pas plus loin que 2016. C’est sa personne qui est devenue le problème».
Plus de deux semaines après la répression sanglante des manifestations des 19, 20 et 21 janvier derniers dans la capitale congolaise, «Joseph Kabila» se mure dans un silence assourdissant. Politiquement immature, l’homme paraît incapable de revêtir, dans des moments difficiles, les « habits » de chef de l’Etat – autrement dit, ceux de père de famille – pour exprimer la «compassion nationale» aux citoyens en détresse. C’est le cas des parents et proches des victimes des derniers événements. L’usage excessive de la force par des policiers et les éléments de sa garde prétorienne lui ehttp://www.congoindependant.com/article.php?articleid=9656st indifférente.
Une détestation sans précédent
Les Congolais ont désagréablement été surpris d’apprendre que le «raïs taiseux» a eu le temps d’aller en Guinée Equatoriale. But avoué : «encourager» les joueurs de l’équipe nationale «Les Léopards». Un encouragement interprété par les uns comme la démonstration d’un penchant pour la frivolité. Pour les autres, un acte de «récupération politique» pour rebondir dans l’opinion.
Après la défaite de l’équipe nationale, mercredi 04 février, face aux Eléphants de la Côte d’Ivoire, des voix se sont élevées ici et là accusant «Kabila» de placer son appétit pour le pouvoir au-dessus de l’intérêt national. L’analyse des conversations entre Congolais tant à l’intérieur qu’à l’extérieur du pays, laisse apparaitre un niveau de détestation sans précédent du successeur de Mzee. Il n’est plus rare d’entendre des réflexions du genre : « Il faut le forcer à quitter le pouvoir dès cette année 2015″.
Commentant les manifestations qui viennent de secouer la ville de Kinshasa, Jean Omasombo a estimé que celles-ci traduisent non seulement «le rejet du président Kabila par l’opposition mais aussi le délitement de la majorité» au sein de laquelle l’unanimité n’est plus ce qu’elle était.
Pour lui, la stratégie de «Joseph Kabila» consistant à faire arrêter les représentants des forces politiques et sociales pour des «délits» ne paie qu’en partie. Cette stratégie, dit-il, «affaiblit certes l’opposition, mais intimide également la majorité».

Ouvrons la parenthèse. Plusieurs personnalités de l’opposition sont depuis plusieurs mois ou semaines embastillés dans la prison centrale de Makala. C’est le cas notamment de : Eugène Diomi Ndongala (Démocratie chrétienne), Jean-Bertrand Ewanga Is’Ewanga Iwoka (UNC), Bruno Kabatshi (UDPS). Récemment, Pascaline Kudura (MPP) a été interpellée durant plus de 24 heures avant d’être relâchée. Dans le « système Kabila », il est rarissime qu’on sache les motifs de son arrestation.

Encore moins, celle de la remise en liberté. Ancien membre de la fameuse « majorité présidentielle », l’avocat Jean-Claude Muyambo Kyassa se trouve depuis le 20 janvier à Makala. Son «dossier judiciaire» ne contiendrait jusqu’ici qu’une seule pièce. A savoir : le mandat d’arrêt provisoire établit par le procureur général de la République Flory Kabange Numbi. Et pourtant, cet ancien bâtonnier du barreau de Lubumbashi a été cueilli à son domicile à l’aube par des éléments de la garde prétorienne de «Joseph Kabila». «Interpeller d’abord, trouver l’infraction après», semble être la règle. Muyambo a été précédé à Makala par l’ancien député national… PPRD Vano Kiboko. Coïncidence ou pas, tous les deux ont eu à affirmer bruyamment leur opposition à toute révision constitutionnelle pour permettre à l’actuel chef de l’Etat de briguer un troisième mandat. D’autre part, les activistes des droits humains sont sans nouvelles de leur camarade Christopher Ngoy Mutamba. Celui-ci a été arrêté lors des événements des 19, 20 et 21 janvier. Fermons la parenthèse.
« Le chaos et le pillage »
Pour Omasombo, les récents événements montrent qu’«on entame la fin de Kabila». Selon lui, le «raïs» a échoué dans sa tentative d’«enjamber» la loi électorale. Comme pour tempérer cette position, «Jean» reconnait néanmoins que l’homme «n’a sûrement pas dit son dernier mot».
Il note, par ailleurs, que tout en accusant un déficit de «leader naturel», l’opposition, à travers Vital Kamerhe, a marqué des points. Et de souligner : « Cela ne veut pas dire que, face à Kabila, c’est le vide : face à lui, il y a la Constitution. Or celle-ci place Kengo dans une bonne position en cas de vacance au sommet de l’Etat (…)». Le « Prof » n’exclut pas de voir l’actuel président du Sénat diriger une «transition» et organiser des élections . Un rôle, selon lui, qui aurait dû revenir à Etienne Tshisekedi.
En conclusion, Jean Omasombo Tshondo lance trois hypothèses. La première : « Joseph Kabila ne va pas jusqu’à la fin de son mandat ». Pour lui, les Congolais ne demandent pas un départ anticipé du «raïs». Ouvrons la parenthèse. Le professeur Omasombo semble confondre ici l’opinion généralement exprimée par la grande majorité des Congolais – il est vrai, de manière informelle – à celle de la très nébuleuse «communauté internationale». «Joseph Kabila doit quitter le pouvoir avant 2016 », entend-on dire dans les milieux congolais tant à l’étranger qu’à l’intérieur. «Joseph Kabila doit terminer son mandat pour permettre une passation de pouvoir dans le respect de la Constitution», répète-t-on dans les milieux diplomatiques. Ceux-ci d’ajouter : « Les Congolais ne doivent pas compter sur l’Occident pour chasser Kabila du pouvoir avant les échéances constitutionnelles. Toutefois, si l’actuel président était évincé du pouvoir suite à une révolution, nous prendrons acte… ». Fermons la parenthèse. La deuxième : « il respecte la Constitution et se prépare à partir en 2016 – mais pourra-t-il organiser les élections? (…) ». La troisième et dernière hypothèse : «Kabila s’impose après 2016, il n’y a pas d’élections». Dans ce cas, conclut Omasombo, «je m’attends au chaos et au pillage ».
http://www.congoindependant.com/article.php?articleid=9656 B.A.W
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Message  KOTA 17/2/2015, 5:31 pm

LA RDC NE DOIT PAS DEVENIR UNE PRISON A CIEL OUVERT: DECLARATION POLITIQUE DE LA JEUNESSE DES ASSOCIATIONS ET DES FORMATIONS POLITIQUES DE L’OPPOSITION EN R.D.C., EXIGEANT LA LIBERATION DES TOUS PRISONNIERS POLITIQUES
par FreeDiomi le 17 février 2015
EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA - Page 31 Image_file_1967


DECLARATION POLITIQUE DE LA JEUNESSE DES ASSOCIATIONS ET DES FORMATIONS POLITIQUES DE L’OPPOSITION EN R.D.C.,

Nous,  jeunes des associations et formations politiques de l’opposition congolaise, conscients de l’importance des valeurs démocratiques et républicaines pour l’établissement d’un Etat de Droit en RDC, tout en réaffirmant  notre attachement au respect des prérogatives du souverain primaire qui est le peuple congolais,
Déclarons ce qui suit :

  • Nous saluons la bravoure, le courage, la détermination des vaillants combattantes et combattants étudiants et de tous ceux qui ont lutté pour le respect de la Constitution congolaise pendant les trois glorieuses du 19-20-21 janvier 2015, qui ont vu des jeunes tomber sous les balles de la police et de la Garde Républicaine, des jeunes que nous considérons comme des martyrs de la liberté et de la démocratie ;
  • Nous soutenons la démarche du représentant de l’Envoyé Spécial du Président Barack Obama pour la Région des Grands Lacs, le Sénateur Russ Feingold, visant à interpeller la Ceni et l’exécutif congolais en place, afin que l’élection présidentielle se tienne dans le délai constitutionnel en RDC et surtout dans un contexte de remise et reprise pacifique entre le président qui sera élu et le sortant qui est fin mandat : un rendez vous avec l’Histoire qui malheureusement n’a pas de précédents en RDC.
  • Nous exigeons un calendrier global « réaliste » et « effectivement applicable »  des élections mais surtout que l’élection présidentielle se tienne dans le délai Constitutionnel, en septembre 2016, cela étant un gage incontournable d’alternance politique au Congo-Kinshasa.
  • Notre revendication s’inscrit dans la nécessité de jeter les fondations d’une véritable démocratie qui ne soit pas continuellement torpillée par des prises de pouvoir par la force et des crises de légitimité à répétition, comme il a été le cas ses dernières décennies en RDC.
  • Nous demandons la libération de tous les manifestants arrêtés lors des manifestations politiques et populaires du 19 -20- 21 janvier 2015, car leur seule faute était l’exercice de leurs droits à la libre expression politique, au droit de manifester et surtout leur droit à ne pas cautionner une violation subreptice de la Constitution par le pouvoir en place, et cela sous l’houlette de l’article 64 de la Loi Fondamentale en vigueur en RDC.
  • Nous qualifions les arrestations, les intimidations et la violence d’Etat contre les manifestants pacifiques comme une tentative de museler le peuple congolais qui a droit à un avenir meilleur. La jeunesse congolaise défendra ce droit jusqu’au sacrifice suprême et elle s’insurge contre les tentatives du régime Kabila d’empêcher la liberté de communication coupant Internet, les SMS et les réseaux sociaux. Cette censure doit immédiatement cesser.
  • Nous dénonçons l’instrumentalisation de la Justice à des fins politiques et nous revendiquons la libération de tous les prisonniers politiques et d’opinions afin de garantir la tenue d’un processus électoral inclusif, garantissant une paix sociale durable, gage de cohésion nationale ; nous exigeons plus particulièrement la libération des prisonniers politiques suivants :
  • HON. EUGENE DIOMI NDONGALA, HON. JEAN BERTAND EWANGA, M. BRUNO KABATSHI, M. JEAN CLAUDE MUYAMBO, M.FIRMIN YANGAMBI, M. ERICK KIKUNDA, M.MIKE MUKEBAYI et M. CHRISTOPHER NGOYI.
  • Nous sensibilisons la jeunesse congolaise en général et kinoise en particulier à rester vigilante, à braver la peur et surtout à ne pas céder à tout acte d’intimidation visant à déstabiliser et hypothéquer nos droits civils et politiques acquis au prix du sang de nos martyrs dont ceux qui sont tombé pour la liberté et la démocratie
  • En nous rappelant de l’exemple de nos ainés, qui ont marché pacifiquement pour la liberté le 16 février 1992,



Nous, jeunes membres des  associations et formations politiques de l’opposition,

refusons que République Démocratique du Congo devienne une immense prison à ciel ouvert.

 
Fait à Kinshasa, le 14/02/2016
***********

  •  EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA - Page 31 Phare.jpg2

 

  17 février 2015

Des jeunes pour l’application du calendrier global, la libération des manifestants des « Trois Glorieuses », Diomi, Muyambo…..



[img(197.8px,197.8px)]http://7sur7.cd/new/wp-content/uploads/2015/01/societe-civile-200x200.jpg[/img]

 Des jeunes membres des associations et formations politiques proches de l’opposition ont fait une déclaration politique le samedi 14 février 2015 dans la quelle ils reviennent sur le calendrier global, les personnes arrêtées et tuées en janvier 2015 tout en comparant ces martyrs à ceux du 16 février 1992.Tout en réaffirmant leur attachement au respect des prérogatives du souverain primaire, ces jeunes, saluent la bravoure et la détermination des combattantes et combattants étudiants et d’autres congolais qui ont bravé les forces de l’ordre et de la Garde Républicaine en janvier 2015. C’est dans ce sens qu’ils exigent la libération de tous les manifestants arrêtés lors de ces journées folles. La seule faute de ces manifestants, précisent ces jeunes, est qu’ils ont usé de leur droit à la libre expression pour s’opposer à la violation subtile de la Constitution par le pouvoir en place.Ils qualifient ces arrestations et la violence d’Etat contre les manifestants pacifiques d’arbitraires. Ils soulignent que la jeunesse congolaise défendra ses droits jusqu’au sacrifice suprême de sa vie.
Dans la foulée, ces jeunes de l’opposition exigent la libération de Diomi Ndongala, Ewanga, Jean Claude Muyambo, de Christopher Ngoy, Mike Kalambay, Firmin Yangambi…..

«Sensibilisons la jeunesse à rester vigilante, à braver la peur et à ne pas céder à tout acte d’intimidation visant à déstabiliser et hypothéquer les droits civils et politiques acquis au prix du sang de nos martyrs dont ceux qui ont marché pour la liberté et la démocratie le 16 février 1992 », lit-on dans cette déclaration politique transmise au Phare hier lundi 16 février 2015.
Sur un autre volet, ces jeunes soutiennent la démarche du représentant de l’Envoyé Spécial d’Obama dans les Grands Lacs, qui ne cesse d’interpeller la CENI et le gouvernement congolais pour que l’élection présidentielle soit organisée dans le délai dans un contexte de remise et reprise pacifique entre les présidents élu et sortant.
En définitive, les jeunes de l’opposition ont décidé de mettre en place une structure de sensibilisation, de médiation et de plaidoyer portant la dénomination « Dynamique des jeunes pour les élections transparentes ».
Jean- Pierre Nkutu

*********************

http://democratiechretienne.org/2015/02/17/la-rdc-ne-doit-pas-devenir-une-prison-a-ciel-ouvert-declaration-politique-de-la-jeunesse-des-associations-et-des-formations-politiques-de-lopposition-en-r-d-c-exigeant-la-liberation-des-to/
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Message  KOTA 18/2/2015, 5:20 pm

[*]Formulaire d’Adhésion Online à la Démocratie Chrétienne, D.C.

ACAJ / PLAIDOYER POUR LA LIBERATION DES PRISONNIERS POLITIQUES ET L’INDEPENDANCE DE LA JUSTICE / LETTRE DE L’ACAJ A S.E. LE PREMIER MINISTRE
par FreeDiomi le 18 février 2015
    
PLAIDOYER POUR LA LIBERATION DES PRISONNIERS POLITIQUES ET L’INDEPENDANCE DE LA JUSTICE / LETTRE DE L’ACAJ A S.E. LE PREMIER MINISTRE
18 février 2015 FreeDiomi droits civils et politiques, DROITS DE L’HOMME, JUSTICE, RDC


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EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA - Page 31 Lettre-acaj-matata-17-02-15-3

EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA - Page 31 Lettre-acaj-matata-17-02-15-4

*http://acaj-asbl.org/2015/02/18/plaidoyer-pour-la-liberation-des-prisonniers-politiques-et-lindependance-de-la-justice-lettre-de-lacaj-a-s-e-le-premier-ministre/
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Message  KOTA 19/2/2015, 5:16 pm

RIGOBERT KUTA, REPRESENTANT DE LA MMP EN BELGIQUE, PRESENTE LE CAS DU PRISONNIER POLITIQUE EUGENE DIOMI NDONGALA AU SENEGAL, A L’OCCASION D’UNE RENCONTRE DE PARTIS POLITIQUES PROGRESSISTES, SOUS L’HOULETTE DU PRESIDENT SENEGALAIS, MACKY SALL
par FreeDiomi le 19 février 2015
EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA - Page 31 Diomi-porte-plainte-contre-rdc
EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA - Page 31 Ob_866f2f_florence-morice-et-rigobert-kuta-p1090
RIGOBERT KUTA, REPRESENTANT DE LA MMP EN BELGIQUE, PRESENTE LE CAS DU PRISONNIER POLITIQUE EUGENE DIOMI NDONGALA AU SENEGAL, A L’OCCASION D’UNE RENCONTRE DE PARTIS POLITIQUES PROGRESSISTES, SOUS L’HOULETTE DU PRESIDENT SENEGALAIS, MACKY SALL
Monsieur Eugène Diomi Ndongala est le Président National de la Démocratie Chrétienne, DC en sigle,  et Porte Parole de la plateforme politique d’opposition  » Majorité Présidentielle Populaire », MPP en sigle  ; plusieurs fois ministre,   candidat à l’élection présidentielle en 2006, un des principaux leaders de l’opposition politique en RDC, Elu député de la ville de Kinshasa en 2011.
En 2010, il a retiré sa candidature à l’ Election Présidentielle en faveur de la candidature  du Président de l’ UDPS, M. Etienne Tshisekedi.  Diomi Ndongala  sera ainsi à la tête d’une des trois plateformes électorales qui ont battu campagne pour l’élection  leader de l’Udps:
la plateforme politique « Union Sacrée pour l’ Alternance, USA en sigle ».
Après l’holdup up électoral de novembre 2011, tout en étant élu député National de la ville de Kinshasa, l’Honorable Eugène Diomi Ndongala a été en première ligne sur le plan médiatique et politique pour revendiquer la Vérité des Urnes et l’élection d’Etienne Tshisekedi en tant que Président de la République.

Son action n’a pas été seulement basée sur la revendication publique ou médiatique  de la vérité des urnes, mais il a mis en place une stratégie politique visant à combattre la politique « du fait accompli » qui était menée par la majorité issue de la fraude électorale, basée sur le rejet de tout dialogue avec l’opposition, malgré l’irrégularité des dernières élections.


Dans cette optique, Eugène Diomi Ndongala a posé deux gestes politiques forts dérangeant la majorité fictive au pouvoir, car mettant en discussion sa « légitimité »:


1. il a refusé de siéger à l’Assemblée Nationale, estimant que la fraude électorale massive, reconnue par la communauté internationale et les observateurs neutres comme « Centre Carter » et la  « Mission d’Observation de l’Union Européenne », méritait au moins qu’on se penche sur la question au cours d’un Dialogue Politique;
2. Il a annoncé la mise en place d’un regroupement politique appelé « Majorité Présidentielle Populaire, MPP » en sigle, réunissant plus de 60 associations et partis politiques de l’Opposition qui revendiquaient pacifiquement la vérité des urnes.
La veille de la manifestation de signature de la Charte Constitutive de la MPP, le 26/06/2012, le siège de la Démocratie Chrétienne, parti promoteur avec l’Udps de la MPP, sera envahi par 40 policiers armés qui occuperont sans titre pendant des mois le siège du  parti du Président Diomi. Le 27/06/2012, le Député Eugène Diomi Ndongala, alors qui se rendait à la manifestation de la signature de la Charte Constitutive de la Majorité Présidentielle Populaire, sera intercepté dans sa voiture, enlevé et détenu au secret pendant 3 mois, pour être libéré en octobre 2013.
Il sera encore arrêté le 8/4/2013 et accusée d’atteinte à la sécurité de l’Etat et d’un viol « imaginaire, deux accusations qui ne seront jamais prouvés car montés de toute pièces par les services de sécurité de la RDC.
Jugé au cours d’un procès politique scélérattous  les droits de la défense ont été piétinés, il sera condamné par un jury non valablement constitué et sans droit de recours, à 10 ans de prison ferme.
En septembre 2014 le prisonnier politique  Eugène Diomi Ndongala, par le biais de ses avocats, a déposé une plainte contre la RDC près du Comité des Droits de l’Homme des Nations Unies de Genève demandant sa libération et sa réhabilitation.
Malade, à la suite des graves tortures physiques subies ces dernières années, il est privé de soin par le régime malgré la demande formelle du Comité des Droit de l’Homme de l’Onu, adressée au gouvernement de la RDC, de permettre au Député Diomi Ndongala d’avoir accès aux soins de santé, dont il a été privé surtout après avoir subi  un attaque d’ AVC en décembre 2013, alors qu’il était irrégulièrement détenu malgré trois décisions de la Cour suprême de Justice l’assignant en résidence surveillée.
Il sied de rappeler qu’au cours d’un Forum politique appelé « Concertations Nationales », organisé par le régime Kabila pour tenter de décrisper la situation politique,  une résolution de ce forum avait étalé une liste de prisonniers politiques qui devaient être libérés. Le nom de Diomi Ndongala, porte parole de la MPP, était bien dans la liste mais le régime Kabila, malgré son engagement publique à donner une suite favorable à toutes les résolutions des concertations nationales, ne donne pas application à ses propres engagements politiques concernant les prisonniers politiques congolais en général et Diomi Ndongala en particulier.
L’Union Interparlementaire avec siège à Genève, UIP en sigle,   qui suit le cas du député Eugène Diomi Ndongala depuis 2012, s’est déjà exprimée à plusieurs reprises dans ses résolutions concernant les droits des parlementaires de la RDC,  pour indiquer que les poursuites contre le député Eugène Diomi Ndongala sont « éminemment politiques« .
La même prise de position a été déjà exprimée par Amnesty International et Human Right Watch dans leurs rapports sur la répression politique de l’opposition en en RDC.
Toute l’opposition politique ainsi que les organismes des droits de l’Homme de la RDC ont, à plusieurs reprises et dans multiples déclarations publiques, demandé la libération du prisonnier politique Eugène Diomi Ndongala.
MPP
19/02/2015

http://democratiechretienne.org/2015/02/19/rigobert-kuta-representant-de-la-mmp-en-belgique-presente-le-cas-du-prisonnier-politique-eugene-diomi-ndongala-au-senegal-a-loccasion-dune-rencontre-de-partis-politiques-progressistes-sous-l/
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Message  KOTA 20/2/2015, 7:30 pm

Libération des prisonniers politiques : un plaidoyer sur la table de Matata / TEMPETE DES TROPIQUES
par FreeDiomi le 20 février 2015
EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA - Page 31 Lettre-acaj-matata-17-02-15-1


EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA - Page 31 Tempete_02
EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA - Page 31 Free-diomi-170414
Libération des prisonniers politiques : un plaidoyer sur la table de Matata

 L’ACAJ sollicite, en outre, une justice véritablement indépendante en République démocratique du Congo, pour un climat politique pacifique et des élections apaisées

Un plaidoyer a été déposé le samedi 14 février dernier à la primature pour réclamer la libération des prisonniers politiques et d’opinion ainsi que l’indépendance de la justice. Venance Kalenga, chargé de la prévention des conflits à l’Association Congolaise pour l’Accès à la Justice (ACAJ), estime, à travers ce plaidoyer, que pour que les prochaines élections dont le calendrier global vient d’être publié soient réellement démocratiques, il est nécessaire que tous les prisonniers actuellement privés de leur liberté pour des raisons politiques, recouvrent leur liberté dans les meilleurs délais.



Car, comme l’avaient reconnu les délégués aux concertations nationales, le gouvernement a la possibilité d’apaiser la situation politique par la libération de tous les prisonniers d’opinion.
L’ACAJ se dit convaincue que pareil geste contribuera à l’apaisement du climat politique avant l’organisation des élections. Les personnes concernées sont, notamment, Eugène Diomi Ndongala, Jean-Bertrand Ewanga, Michel Bonekube, Bruno Kabangu, Vano Kiboko, Floribert Ngandu, Jean-Claude Muyambo, Cyrille Mupapa, Augustin Kasongo, Ernest Kyaviro, Patrick Mundeke, Christopher Ngoyi…
La justice mise à rude épreuve
Dans ce plaidoyer, il est également signalé que la bonne tenue des élections est tributaire de la mise en œuvre effective de l’indépendance des cours et tribunaux. Sans négliger la nécessité de l’opérationnalisation de la Cour constitutionnelle, l’ACAJ plaide pour la cessation des immixtions directes ou indirectes de certains membres du gouvernement dans l’administration de la Justice, le recadrage des missions des services de renseignements et la réaffirmation du monopole de l’action publique (poursuites judiciaires) aux seuls parquets.
Pour l’ACAJ, le rôle de protection des droits fondamentaux par le juge, siégeant en chambre du conseil, devra être réhabilité. Car, à ce jour, estime cette Ong des droits de l’homme, il est transformé en » simple juge d’application de détention préventive « . Il n’est plus juge de contrôle de régularité et vérification de l’existence des conditions requises pour la détention. Il n’existe plus de liberté provisoire, même si toutes les conditions requises par la loi sont réunies.
» Il s’agit là d’un recul préoccupant en matière de protection des droits fondamentaux d’une part, et de la violation des normes des Nations Unies relatives à la liberté des personnes arrêtées, d’autre part « .
Des interférences dénoncées
S’agissant de l’indépendance de la Justice, l’ACAJ constate avec préoccupation qu’elle est compromise par des déclarations, commentaires ou prises de position émises par certains membres du gouvernement en rapport avec des dossiers en cours d’exécution.
Cette association demande au Premier ministre Matata Ponyo de redéfinir les matières sur lesquelles le porte-parole du gouvernement devra intervenir. Elle plaide pour que les cours et tribunaux, ainsi que leurs offices, assurent leur communication de manière autonome et dans le respect du principe de la présomption d’innocence et du secret de l’instruction sur les questions liées à la justice.
» Les détentions arbitraires au secret constituent une de formes de tortures et un crime grave exposant son auteur aux poursuites tant au niveau national qu’international « , écrit-on à Augustin Matata Ponyo.
Par Lefils Matady
 http://democratiechretienne.org/2015/02/20/liberation-des-prisonniers-politiques-un-plaidoyer-sur-la-table-de-matata-tempete-des-tropiques/
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Message  Mathilde 23/2/2015, 12:48 am

Après etre allé visiter l'Honorable Diomi Ndongala,Christopher Ngoyi et autres à la prison de Makala,le SNRE de l'Udps a rendu visite à Patrizia Diomi ce dimanche 22/02/2015

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EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA - Page 31 Mathil10[b]“Le deuil, c’est pour la vie. Ca ne s’en va jamais, ça fait progressivement partie de vous, à chaque pas, à chaque souffle.”
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Message  KOTA 23/2/2015, 4:40 pm

Elections 2016 en RDC et libération du prisonnier politique Eugène Diomi Ndongala: Rigobert Kuta (MPP) sollicite l’intervention du président sénégalais Macky Sall
par FreeDiomi le 23 février 2015
EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA - Page 31 Free-diomi-170414
Elections 2016 en RDC : Rigobert  Kuta (MPP) sollicite l’intervention du président sénégalais Macky Sall
Kinshasa, 22 fév (APA).- Le chargé des Relations extérieures de la Majorité présidentielle populaire (MPP), Rigobert  Kuta a sollicité vendredi l’intervention du président Macky Sall « pour prendre des mesures préventives », en prévision du bon déroulement des élections en 2015 et 2016 en République démocratique du Congo (RDC), au cours d’une conférence de presse tenue à Dakar, capitale du Sénégal.
En l’absence du conseiller spécial  du président Etienne Tshisekedi wa Mulumba,  retenu à Bruxelles pour préparer la rentrée politique du leader charismatique de l’Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS) et du secrétaire national chargé des Relations extérieures de ce parti, Félix Tshisekedi Tshilombo, M. Kuta  a animé une conférence de presse sur le thème « La Francophonie et l’Union africaine face à leurs responsabilités par rapport  aux futures élections en RDC ».
« Notre visite auprès des autorités sénégalaises vise à solliciter du président Macky Sall  son intervention auprès de ses pairs, afin que l’Union africaine (UA) prenne  des mesures préventives pour le bon déroulement de  futures élections en RDC », a-t-il indiqué devant les journalistes de la presse sénégalaise à l’Hôtel Ndiambour.
Le déplacement de la délégation  de la MPP à Dakar aura permis de rencontrer le président de la Commission électorale nationale autonome (CENA) et les différentes autorités sénégalaises,  a noté Rigobert Kuta, également président du Parti des réformes dans la société (PARESO).
« Notre visite  auprès de la CENA a été l’occasion de nous imprégner des méthodes de travail de cette institution. Au cours de la séance de travail, j’ai été reçu par l’ensemble des membres de la CENA et par son président. Je tiens à les remercier très sincèrement pour leur disponibilité et pour leur écoute », a-t-il fait savoir.
« Notre voyage au Sénégal revêt une importance capitale, car la RDC connaitra  en 2016 plusieurs élections » dont les scrutins présidentiels et législatifs, a confié le chargé des Relations extérieures de la MPP (plate-forme de l’opposition en soutien au leader charismatique Etienne Tshisekedi wa Mulumba).
M. Kuta a salué les trésors d’expériences de la CENA pour ses différentes élections tenues au Sénégal, qu’il considère  comme « un modèle de la démocratie, qui fait la fierté de l’Afrique ».
Il a jugé « important » pour la RDC  « de bénéficier de l’expérience et des conseils de la CENA, compte tenu de son indépendance et de son professionnalisme ».
« La MPP, le PARESO et l’UDPS sollicitent l’intervention du président Macky Sall en sa qualité du président en exercice  de la Francophonie pour obtenir la libération  de M. Eugène Diomi Ndongala, porte-parole de la MPP et président de la Démocratie chrétienne et tous les prisonniers politiques en RDC », a-t-il souligné.
Le chargé des Relations extérieures de la MPP entend rencontrer les responsables politiques sénégalais « qui peuvent contribuer au bon déroulement des élections en RDC en 2016, pour prévenir la fraude électorale ».
Il a notamment accusé la Commission électorale nationale indépendante (CENI) d’avoir publié « de manière unilatérale et non consensuelle » le calendrier électoral pour les élections de 2016.
Rigobert Kuta a qualifié d’ « irréaliste et non réalisable » ce calendrier électoral qui « porte en lui-même les germes d’un glissement que la famille politique de M. Joseph Kabila n’a pas pu obtenir lors du vote de la loi électorale.
« La CENI, telle que composée  actuellement, n’est pas indépendante et ne garantit aucune transparence lors de prochaines élections », a-t-il affirmé.
« Nous pensons que le président Macky Sall, compte tenu de sa stature international, peut aider les acteurs politiques et ceux de la société civile à engager un dialogue en profondeur, avant la tenue des élections en 2016 » pour éviter des pertes en vies humaines et des conflits post électoraux depuis les élections de 2006, a souligné le président du PARESO.
Il a annoncé que le leader charismatique  Etienne Tshisekedi wa Mulumba, « qui est en bonne santé » devait faire sa rentrée politique  le 21 février à Bruxelles pour célébrer le 33ème anniversaire de la création de ce parti politique de l’opposition.
APA/KF

http://democratiechretienne.org/2015/02/23/elections-2016-en-rdc-et-liberation-du-prisonnier-politique-eugene-diomi-ndongala-rigobert-kuta-mpp-sollicite-lintervention-du-president-senegalais-macky-sall/
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Message  KOTA 23/2/2015, 5:07 pm

APRES AVOIR RENDU VISITE AU PRESIDENT EUGENE DIOMI NDONGALA ET AUX AUTRES PRISONNIERS POLITIQUES AU CPRK, FELIX TSHISEKEDI SE REND CHEZ M.ME DIOMI POUR LUI FAIRE PART DE LA NECESSITE DE FAIRE DE LA LIBERATION DE TOUS LES PRISONNIERS POLITIQUES, UN PREALABLE ELECTORAL DE TOUTE L OPPOSITION POLITIQUE DE LA RDC. FELIX TSHISEKEDI EST, AVEC MARTIN FAYULU, LE SEUL OPPOSANT A SE RENDRE TRES SOUVENT AU CPRK POUR DISCUTER AVEC LES PRISONNIERS POLITIQUES EN GENERAL ET EUGENE DIOMI NDONGALA EN PARTICULIER. LE COMBAT DOIT PARTIR DE LA REFLEXION SUR LA LIBERATION DE TOUS LES PRISONNIERS POLITIQUES AVANT LE LANCEMENT D UN PROCESSUS ELECTORAL CONSENSUEL. INGETA








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Message  KOTA 23/2/2015, 8:47 pm

Elections de 2016 en R.D.C. :« Piège à cons » /Congoindependant
par FreeDiomi le 23 février 2015
EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA - Page 31 Bambadilelo-e1420643850791
Elections de 2016 en R.D.C. :
« Piège à cons »
EUGENE DIOMI NDONGALA, LE PRISONNIER POLITIQUE DU REGIME KABILA - Page 31 Bamba
Bamba-di-Lelo
Le temps est, sans nul doute, l’ennemi du mensonge. En effet, Joseph Kabila et sa famille politique ont pris suffisamment de temps pour rendre public, à travers la Commission Electorale Indépendante (CENI), le calendrier global des élections prévues entre 2015 et 2016, en République Démocratique du Congo.
Une fois de plus, la CENI, sous la pression de Joseph Kabila qui tient à multiplier des stratagèmes et subterfuges pour demeurer éternellement au pouvoir a donc publié un calendrier électoral global que je qualifie d’imprécis, d’incohérent, un calendrier truffé de pièges et irréaliste à tous points de vue.
Ce document capital, à la lecture, a, évidemment évité la concertation en amont, qui aurait dû constituer le résultat d’un consensus conclusif d’un débat démocratique, entre les membres de la majorité présidentielle, la société civile, ainsi que de l’opposition politique, sensée incarner les aspirations du peuple congolais. Présenté en l’état, le calendrier global de la CENI viole les dispositions de l’article 73 de la Constitution qui impose la tenue de l’élection majeure, c’est-à-dire présidentielle dans un délai de 90 jours avant l’expiration du mandat du président en exercice.
Et depuis, le locataire du Palais de la Nation se tait, enfermé dans un silence dévot. Il n’ose pas, pour sa bonne pédagogie, indiquer l’itinéraire à suivre. Si ce n’est de préparer la psychologie des Congolais à accepter, le moment venu, l’évidence du fait accompli, par un glissement qui demeure au stade actuel une option tolérée et facilitée par la pratique électorale, même si l’article 8 de la Constitution, votée par le Parlement et pourtant élaguée par la suite, par le truchement d’une contestation justifiée de la rue. Concrètement, Joseph Kabila peut, par ce mécanisme de glissement, demeurer encore au pouvoir, avec la complicité de certains opposants accompagnateurs au-delà du 19 décembre 2016, date limite pourtant de la fin de son mandat politique.
A cela s’ajoute la contrainte budgétaire. Le diable se cache souvent dans les détails. C’est ainsi qu’on a placé la barre très haut, en fixant le coût des élections à un milliard de dollars américains. Sans préciser ni l’identité des donateurs, ni le montant concret de participation par individu, ni pas davantage surtout la part réservée attribuée au Gouvernement congolais. Il existe donc en ce qui concerne cette épineuse question du financement des élections, une zone d’ombre, contrat délibérément créé et entretenu par Joseph Kabila dans lequel il essaie d’entraîner le reste du pays et qui risque de nous amener dans une voie politique sans issue.
On patauge ainsi dans un océan d’énigmes, des questions sans réponse, et des perplexités, qui permettront à Joseph Kabila de trouver l’astuce majeure pour contourner l’élection présidentielle de 2016. Parce que Joseph Kabila est un pêcheur en eaux trouble. Ainsi, ce serait le grand alibi que ce dernier risquerait de brandir, à la fin de son deuxième et dernier mandat présidentiel, pour en justifier la prolongation, soit le manque d’argent pour financer un nouveau scrutin, en temps et en heure.
En surplus et en dehors de la problématique du calendrier électoral global, pour lequel la CENI a montré ses limites, le Congo notre pays vit depuis le 17 mai 1997, sous un régime d’occupation militaire, orchestrée par une cinquantaine de petites armées étrangères, venues des quatre coins du monde. A titre d’exemple, rien que d ans la MONUSCO, on trouve des casques bleus de Guatemala, de Bangladesh, de l’Ukraine, de Jordanie, de la Côte d’Ivoire, j’en passe et de meilleures.
Bien entendu, un pays sous occupation n’organise jamais d’élections apaisées dans son territoire, pour changer la configuration politique dans laquelle il s’est fondé. Dans le c as contraire, ce serait légitimer et légaliser cette nouvelle occupation.
La France, lors de la Deuxième Guerre mondiale, n’a pas fait allégeance aux Allemands en organisant des élections pour asseoir une certaine amitié franco-allemande. Il a fallu au contraire les chasser du territoire français en montant une formidable coalition militaire comprenant l’Amérique, l’Angleterre, le Canada, l’Australie et les résistants français de l’intérieur lors du débarquement de Normandie le 6 juin 1944.
Au Congo, tant que tel préalable ne sera pas rempli contre nos occupants, toute organisation d’élection, quelle que soit son importance, serait considérée comme un suicide politique et donc inacceptable, comme cela fut le cas lors des élections générales de 2011, qui portèrent de manière frauduleuse et contestable, Joseph Kabila, à la présidence de la République.
Et si ce piège grossier n’est pas démantelé a temps, il risque de se refermer sur le sort des quelques 70 ou 80 millions des Congolais qui ne sauront plus, malheureusement, à quel saint se vouer ! Ainsi, nous risquons de nous retrouver enfermés à l’intérieur d’un cycle infernal, sans espoir de nous en sortir, même à long terme, car c’est un problème politique auquel le peuple congolais est confronté depuis son occupation par des armées étrangères, avec à leur tête Joseph Kabila, n’étant lui-même qu’un étranger.
En fait, Joseph Kabila est à la fois l’incarnation du mal et le venin toxique qu’il faut d’abord extirper du vocabulaire politique congolais et du corps même de la République, afin de restaurer l’autorité de l’Etat à travers toute l’étendue du territoire national. Il faut aussi et surtout, préserver la dignité et la souveraineté du peuple congolais.
A l’heure qu’il est, les électeurs se trouvent dans une insécurité organisée, à savoir : des crimes de sang sont commis et continuent à être commis, à Masisi, Rutshuru, Walikale, Goma, Bukavu, Uvira, Beni et Aru en Province Orientale. Et d’autres atrocités sont commises en pleine ville de Kinshasa, celles notamment du 30 Décembre 2013, ainsi que lors des journées meurtrières du 19, 20 et 21 janvier 2015.Toutes ces horreurs dénotent que le pays est sous une tension permanente par le fait de l’occupation et qu’un péril majeur qui menace le peuple congolais d’extermination complète.
Enfin, il est utile de rappeler que toutes ces abominations ont été perpétrées sur ordonnance du chef de l’Etat par cynisme et sa propension naturelle aux meurtres politiques. Du reste, il ne rend compte à aucune des institutions du pays, de ses actes, qu’ils soient légaux ou illégaux, légitimes ou illégitimes, moraux ou juridiquement condamnables. Il n’a, peut-être, que son tribunal de conscience malheureusement fort chargée, sous la vague persistantes, amplement justifiées, des Congolais de toute tendance.

C’est dans ce contexte de manque de capacité d’analyse que l’on peut situer les cas de dérapage du respect des règles élémentaires aux droits des personnes et de leurs biens. C’est autant dire que la détention à la prison centrale de Makala d’Eugène Diomi Ndongala, Bertrand Ewanga, de Georges Leta Mangasa, d’Eddy Kapend et tant d’autres compatriotes présumés innocents, constitue une violation flagrante des prescrits de la Convention de Genève sur le chapitre des « Droits de l’homme ». Bien plus, tous les crimes de sang et de violation des « Droits de l’homme », sont érigés en système de gouvernement par la terreur, dans notre pays, sous la bonne grâce d’un homme morbide, sans origine connue, qui a vécu sa jeunesse dans l’errance, comme Caïn, à travers les rues et les bas quartiers de la ville de Dar-ès-Salam, en Tanzanie.


On comprend dès lors, qu’il éprouve d’énormes difficultés d’adaptation dans l’exercice des fonctions suprêmes qu’il occupe au Congo, auxquelles il n’a jamais été préparé. Il doit ce miracle, non à la providence, mais à la haine et au machiavélisme abject de ceux qui l’ont propulsé et soutenu en Occident.
Ainsi, au lieu de se plaindre continuellement, il est demandé au peuple congolais de ne pas quitter la rue et de ne pas baisser la pression. Mais de résister afin de rejeter le piège lamentable tendu sur la voie des élections de 2015 et 2016, si nous voulons encore survivre, devant le danger imminent qui plane au-dessus de nos têtes.
C’est maintenant qu’il faut déjouer, de manière lucide, raisonnable mais déterminée, les effets néfastes du complot ourdi cyniquement contre notre peuple par des prédateurs et vendeurs d’illusions, venus d’horizons de tout bord, avec eux tous les « collabos », afin de baliser les lendemains meilleurs, pour notre peuple, et pour les générations à venir. C’est là donc une possibilité unique pour sortir la République Démocratique du Congo de sa transition permanente et aléatoire, qui dure depuis l’indépendance.
Quoiqu’il en soit, Joseph Kabila ayant atteint son seuil d’incompétence et ayant épuisé toutes ses capacités de nuisance, il est désormais temps qu’il dégage, lui et les siens, avec son système politique décadent.
Bamba-di-Lelo
Docteur en Sciences Politiques de l’UCL
Analyste des Questions politiques du Congo
E.mail : jbadil@hotmail.be

http://democratiechretienne.org/2015/02/23/elections-de-2016-en-r-d-c-piege-a-cons-congoindependant/
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Message  KOTA 24/2/2015, 5:24 pm

FLYERS DE L’ACAJ SUR LE PRISONNIER POLITIQUE EUGENE DIOMI NDONGALA / A DIFFUSER SANS MODERATION http://democratiechretienne.org/2015/02/24/flyers-de-lacaj-sur-le-prisonnier-politique-eugene-diomi-ndongala-a-diffuser-sans-moderation/


FLYERS DE L’ACAJ SUR LE PRISONNIER POLITIQUE EUGENE DIOMI NDONGALA / A DIFFUSER SANS MODERATION
par FreeDiomi le 24 février 2015
    
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LE FLYER A IMPRIMER RECTO /VERSO ET DIFFUSER:
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*
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