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COMMENT ÇA VA À L'UDPS ???

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COMMENT ÇA VA À L'UDPS ??? Empty COMMENT ÇA VA À L'UDPS ???

Message  ndonzwau 18/11/2022, 5:53 pm

ÇA BRÛLE A LIMETE, LA BASE DE L'UDPS EN COLÈRE !!!

1. Ça a commencé cette fois par une destitution du SG en place Kabuya par le 'parlement interne' du parti, le CDP (Convention Démocratique du Parti) qui lui reproche "d’avoir paralysé l’UDPS dont les dysfonctionnements sont tels que même les courriers des structures internes du parti sont sans suite", et qui veut par ailleurs la désignation d'un nouveau SG. Il faut de suite signaler que depuis l'élection de Tshisekedi comme PR à qui il est interdit de rester 'président' du parti mais qui avait pris le parti de nommer unilatéralement un président ai en la personne de Kabunda, qui démis a été remplacé par un SG, Kabuya, la ligne statutaire qu'incarne le CDP avec Wakwenda à la tête accompagné de beaucoup de pionniers de l'Udps, blâment un fonctionnement du parti dans l'illégalité.

2. La base de l'UDPS parti présidentiel en ébullition contre les dernières nominations qui ne profiteraient qu'aux copains-coquins du PR et contre le SG Kabuya dont la gestion est décriée. Ils ont juste oublié, on les comprend (!?) de signaler que les nominations de leur idole lorgnent toujours vers le Kasaï et surtout que leurs reproches devraient d'abord concerner en premier lieu le maître des Horloges,  mulopwe Tshilombo.
A l'UDPS les manifestations sont une vieille habitude prise pendant leur longue opposition qu'ils ne semblent pas avoir perdue arrivés au pouvoir où ils le font contre leur pouvoir comme s'ils ne se reconnaissaient pas avoir changé de statut.

3. En attendant pourquoi des vérités à connaître et à retenir !?
Toutes les vérités sont hélas bonnes à connaître et à proclamer, même celles qui font mal.
En effet en ces temps d’agression patente des Rwandais et Ougandais, on tend même ici sur le forum à ramener surtout dans la bouche du parti présidentiel les complaisances envers ces voisins perfides au seul ‘JK’ qui certes avec son passé tanzanien, ougandais et surtout rwandais en porte la lourde charge et on oublie le vieux passé rwandais de l’Udps qui dès son Lider Maximo Étienne Tshisekedi s’était rapproché du Rwanda – on connaît sa fameuse’« Alliance pour la sauvegarde du dialogue » aux côtés du RCD dont le long séjour de son émissaire de l’époque Mubake au Rwanda est le témoin.

Aujourd’hui les accointances de l’Udps de Félix Tshisekedi sont assez documentées. Elles avaient commencé avant que ce dernier n’advienne au pouvoir et se sont poursuivies dans la suite ;;Biselele, Ibalanky, Bisimwa, Ngoma en sont témoins. Personne n’ignore plus le séjour des ténors du M23 pendant14 mois en plein Kinshasa à l’Hôtel du Fleuve aux frais de la République. Dès octobre 2020, la présidence de Félix Tshisekedi les avait accueillis pour négocier les modalités de leur reddition, en fait leur intégration dans les institutions et l’armée. Le vice-premier ministre chargé de l’intérieur de l’époque Kankonde avait décaissé’1,3 million de dollars pour mener à bien cette mission. L’entreprise n’avait pas abouti, pourquoi ? Est-il que cette vérité nécessité d’être connue des Zaïro/Congolais !!! A bon entendeur…

4. Qu'en conclure sinon que l'UDPS a quelque malchance d'avoir un Patron aujourd'hui à la tête qui cumule essais et erreurs, légèreté coupable aussi bien comme PR que comme Patron du parti plongeant le pays et son parti dans l’illégalité loin des status réglementaires et dans une gestion peu efficiente. D'où ces frondes successives de la base et de ses notables. A la tête du pays c'est le règne des copains-coquins venus des mikili pas experts et responsables pour un sou. Ne parlons pas de son entourage 'familial' où la première dame est devenue une collaboratrice peu réglo avec des moyens et des pouvoirs exorbitants notamment du côté de la Maison civile qu'elle gère à sa guise et à son seul profit.      
A terme ses tentatives en cours contre l'insécurité toujours préoccupante dans l'Est malgré son passé de complicité évidente avec le M23 et le système verrouillé qu'il s'est confectionné lui permettront-ils un second mandat aisé malgré un bilan mitigé faisant oublier la genèse frauduleuse de son pouvoir ? Il y'a beaucoup à en dire ; attendons la suite...



"Crise à l’UDPS : Victor Wakwenda et la CDP destituent Augustin Kabuya au poste du secrétaire général - 13.11.2022
= https://africa24sur24.net/rdc-crise-a-ludps-victor-wakwenda-et-la-cdp-destituent-augustin-kabuya-au-poste-du-secretaire-general/

COMMENT ÇA VA À L'UDPS ??? Victor_wakwenda_jpg_711_473_1

La crise de leadership semble avoir Choisi l’UDPS comme quartier général depuis l’élection de Félix Tshisekedi au sommet de l’État.

Au cours d’un meeting ayant réuni samedi 12 novembre 2022 les délégués de 4 fédérations de Kinshasa, le président de la convention démocratique du parti, l’équivalent du parlement interne, Victor Wakwenda a annoncé la destitution de l’actuel secrétaire général.
 
Selon lui , il est reproché à Augustin Kabuya d’avoir paralysé l’UDPS dont les dysfonctionnements sont tels que même les courriers des structures internes du parti sont sans suite.
«Le bureau de la CDP, 7 courriers sans réponse ; le bureau de la commission nationale de discipline, des milliers de plaintes; les travaux de Kisantu, les états généraux des forces vives. Presque toutes les commissions, tous les correspondants officiels du parti, de la base au sommet, tous ont constaté avec stupéfaction que le parti est paralysé, phagocyté et en dysfonctionnement complet », a-t’il déclaré.
Par la même occasion, il a lancé un appel à candidature pour le futur secrétaire général.
De son côté , Augustin Kabuya relativise cette décision mais néanmoins dit prendre acte .
« C’est une bonne chose que le poste soit vacant. Il revient à ce groupe de désigner un nouveau secrétaire général » a-t-il réagi sur Top Congo
Cette nouvelle crise au sommet du parti au pouvoir est révélatrice d’un malaise profond qui l’a toujours caractérisé depuis l’accession du président Félix Tshisekedi à la tête du pays.

"UDPS : Wakwenda destitue le SG Kabuya, ce dernier se pose la question « Il a un problème de santé mentale ou quoi ? » - 15-11-2022
= https://www.digitalcongo.net/article/637395b771ddeb210022ffe1/

" Crise à l’UDPS : Destitué pour « avoir suivi le comportement de Kabund », Kabuya appelle à la désignation d’un nouveau secrétaire général -
Nov 14, 2022

= https://cas-info.ca/crise-a-ludps-destitue-pour-avoir-suivi-le-comportement-de-kabund-kabuya-appelle-a-la-designation-dun-nouveau-secretaire-general/



"Échauffourées au siège de l'Udps : des jeunes du parti contre la nouvelle mise en place dans les entreprises publiques - 17.11.2022
= https://www.mediacongo.net/article-actualite-113705_echauffourees_au_siege_de_l_udps_des_jeunes_du_parti_contre_la_nouvelle_mise_en_place_dans_les_entreprises_publiques.html

COMMENT ÇA VA À L'UDPS ??? Udps_marche_22_00095_jpg_711_473_1

Ça bouillonne dans les environs de Limete 10e rue où se trouve le siège de l'Udps, le parti présidentiel.

Des jeunes de cette formation politique manifestent contre la nouvelle mise en place opérée mardi 15 novembre dernier dans les entreprises publiques. "Nous les jeunes avons, une fois de plus, été sacrifiés, au profit de ceux qui n'ont jamais combattu au sein de l'Udps. Ce comportement doit prendre fin", a dit un combattant irrité.
Pneus brûlés, route barricadée, jets de pierre, c'est l'ambiance qui caractérise les alentours du siège de l'Udps pour l'instant.
La police est sur place pour tenter de restaurer le calme et la quiétude, en vain. Les hommes en uniforme sont débordés.
Pour les manifestants, le secrétaire général Augustin Kabuya doit quitter l'Udps comme Jean-Marc Kabund.
= https://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2022_actu/11-novembre/14-20/WhatsApp%20Video%202022-11-17%20at%2014.00.26.mp4

"Tensions au siège de l’UDPS/Tshisekedi : Des jeunes gens en colère manifestent pour réclamer la démission d’Augustin Kabuya 17.11.2022
= https://yabisonews.cd/tensions-au-siege-de-ludps-tshisekedi-des-jeunes-gens-en-colere-manifestent-pour-reclamer-la-demission-daugustin-kabuya/
Des jeunes gens se réclamant de l’Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS/Tshisekedi) manifestent devant le siège national du parti sur la 11é Rue Limete/Industriel. Ils réclament la démission d’Augustin Kabuya, secrétaire général du parti.
« Kabuya dégage ! », scandent-ils devant le bâtiment abritant le siège de l’UDPS/Tshisekedi. Ces manifestants, se réclamant comme « parlementaires debout », ont été munis des armes blanches : machettes, pierres…et ont même brûlé des pneus.
La situation survenue ce jour au parti présidentiel coïncide avec la crise entre Augustin Kabuya et Victor Wakwenda, président de la Convention Démocratique du Parti (CDP).

"RDC: Crise à l’UDPS, des combattants ont saccagé le siège du parti pour réclamer le départ du secrétaire général Augustin Kabuya - novembre 17, 2022
= https://www.tambourmatin.info/rdc-crise-a-ludps-des-combattants-ont-saccage-le-siege-du-parti-pour-reclamer-le-depart-du-secretaire-general-augustin-kabuya/amp/
Une vive tension a prévalu ce jeudi 17 novembre 2022 au siège de l’Union pour la démocratie et le progrès social, UDPS, à la 10e rue Limete, à Kinshasa. Plusieurs combattants ont spontanément manifesté sur place pour réclamer le départ du secrétaire général actuel, Augustin Kabuya. Ils ont brûlé des pneus et lancer des cocktails Molotov sur le bâtiment, avant que la police n’intervienne pour les disperser.

Les manifestants en colère reprochent au patron du parti au pouvoir entre autres de faire nommer dans des postes de responsabilité, « des personnes inconscientes ». Allusion faite aux dernières nominations des mandataires publics pour lesquelles ils accusent leur chef du parti de « favoritisme, en privilégiant ses gens aux détriment des vrais militants ». D’autres fustigent sa gouvernance « qui ne permet pas au parti de progresser ».
Des griefs semblables à ceux retenus contre Augustin Kabuya par le président de la convention démocratique, Victor Wakwenda. Ce dernier a dans une déclaration, la semaine dernière, proclamé la déchéance de l’actuel secrétaire général de l’UDPS et lancé le processus de son remplacement. Plusieurs voix s’étaient levées ai sein du parti pour apporter leur soutien à Augustin Kabuya et condamner l’attitude du président de la CDP qui tend à semer le désordre et déstabiliser le parti. Le rapporteur de cette structure interne de l’UDPS a même rappelé sur un média de Kinshasa que Victor Wakwenda a été destitué depuis plusieurs mois de ses fonctions et n’a aucune qualité d’engager le parti.
Malgré la conquête du pouvoir en 2018, après plus de 30 ans de lutte dans l’opposition, l’UDPS peine à se stabiliser. Après l’épisode Kabund et la prise de contrôle du directoire, l’opinion a cru voire la crise complètement passée, mais les faits actuels viennent prouver le contraire. Plusieurs fédérations provinciales et urbaines ne sont pas épargnées par cette cacophonie. Dédoublement, conflit de leadership, affrontements et destruction méchante, « le parti présidentiel » se trouve obligé de remettre d’abord de l’ordre dans sa tanière, à une année des élections générales au pays.



"Troubles au siège de l’UDPS : Augustin Kabuya calme les combattants - 17.11.2022
= https://www.lisapo.info/troubles-au-siege-de-ludps-agustin-kabuya-calme-les-combattants/


"« Combattants de la parole » : parlementaires-debout et mobilisation partisane à  Kinshasa - 2012[
,= https://www.cairn.info/revue-politique-africaine-2012-3-page-49.htm
Kinshasa, mai 2012. Des « lecteurs de journaux » se rassemblent chaque matin devant la vingtaine de quotidiens alignés par terre au kiosque de Gare Centrale, dans le centre-ville. Debout, une quinzaine d’hommes consulte les titres du jour tandis que des citadins de passage jettent un œil aux manchettes avant d’attraper leur transport. « Le conseil de sécurité appelle à la cessation immédiate des attaques des groupes rebelles dans la partie Est de la RDC » ; « Le président français François Hollande dit non à l’organisation du 14e Sommet de la Francophonie à Kinshasa » ; « Programme Matata [1][1]Augutin Matata Ponyo, Premier ministre nommé le 9 mai 2012,…, l’opposition se donne en spectacle »... : ces derniers temps, les « lecteurs » consultent les titres en silence. Les paroles échangées entre lecteurs se font discrètes. Émaillées de violences, d’accusations de fraudes, d’« irrégularités » [2][2]Mission d’observation électorale de l’Union européenne,…, les élections de novembre 2011 [3][3]Les élections présidentielles et législatives de novembre 2011… ont accentué une tension latente dans la capitale. Chacun se méfie de ce qu’il dit en public, par crainte des agents de l’Agence Nationale du Renseignement (ANR).
2Nombre de kiosques rassemblent chaque jour ces « lecteurs » de plein air, nommés aussi « parlementaires-debout ». Le phénomène ne se limite pas à la mégapole : Kisangani, dans la Province Orientale ; Lubumbashi, Kipushi, Likasi, Kasumbalesa, dans la province du Katanga ; Butembo au Nord-Kivu ; Mbuji-Mayi et Kananga, dans les Kasaï Oriental et Occidental, les « parlements-debout » ont essaimé dans nombre de villes de RDC.
3Nés au plus fort du parti-État mobutiste des années 1970, ces rassemblements populaires au cours desquels des citoyens s’emparent de l’expression politique au cœur de l’espace public se multiplièrent au tournant des années 1990 avec l’instauration du multipartisme. Les parlements-debout essaimèrent parallèlement à la radicalisation de la compétition partisane. Associés à des formations de l’opposition, certains de ces parlements constituent des acteurs de la compétition entre partis ainsi que de leurs dissensions internes.
4Cet article analyse une variante spécifique des parlements-debout de Kinshasa en se concentrant sur les « parlementaires » se rattachant au parti d’Étienne Tshisekedi, l’Union pour la Démocratie et le Progrès Social (UDPS), qui incarne la principale force d’opposition au régime de Joseph Kabila. Bien qu’il se trouve au cœur de mobilisations partisanes, le phénomène des parlements-debout n’a été que partiellement étudié à Kinshasa [4][4]Voir A. Kayembe, Les dynamiques d’appropriation de la…. Fondé sur une longue fréquentation de la rue kinoise [5][5]Dans le cadre de recherches de doctorat portant sur les…, cet article est le fruit d’une immersion rapide dans les parlements-debout de Kinshasa en mai 2012, quelques mois après le scrutin présidentiel controversé. Dans ce climat post-électoral, les multiples interlocuteurs interrogés associaient invariablement les parlements-debout à l’UDPS. Si le phénomène s’avère en réalité politiquement et socialement bien plus différencié [6][6]Aimé Kayembe le démontre dans sa thèse citée plus haut,…, il ne fut guère possible lors de ce terrain de nouer contact avec des parlementaires non rattachés à des formations politiques. Ceux-ci paraissaient alors peu visibles dans les quartiers observés [7][7]Dans les communes de Lemba, Limete et de la Gombe., une situation certainement accentuée par un climat électoral et postélectoral marqué par une forte autocensure face à la répression et au degré élevé de surveillance politique dans l’espace public. Ce contexte tendu rendait par ailleurs difficile et risquée l’observation directe des « sessions parlementaires ». Consultant les journaux en silence, nombre de parlementaires approchés dans la rue s’avéraient peu enclins à s’exprimer. Hormis quelques jours d’observation « discrète » et silencieuse auprès de parlements-debout des communes de Lemba, Limete et de la Gombe, ces enquêtes reposent surtout sur des entretiens menés dans des parcelles fermées, avec des parlementaires [8][8]Neuf parlementaires-debout des communes de Limete, Lemba,… ayant accepté de se raconter, de décrire des pratiques alors difficiles à observer minutieusement in situ. Ceux-ci, tous plus ou moins liés à l’UDPS, se trouvaient d’autant plus mobilisés que leur leader, Étienne Tshisekedi, se présentait alors comme le « véritable président élu » de RDC.
5Débattant chaque jour de l’actualité dans l’espace public, les parlementaires-debout liés à l’UDPS ont une fonction importante de mobilisation partisane. Insérés dans le jeu partisan et dans la compétition interne à l’UDPS, ils témoignent de l’émergence de conceptions spécifiques de la compétence et de la légitimité à la participation politique. Exposés à la répression étatique, ceux qui se décrivent aussi comme « combattants » revendiquent une forme particulière de citoyenneté combinant savoir, courage et force physique. Comment se combinent ces dynamiques contradictoires d’affirmation de soi et de contraintes étatiques et partisanes au sein des parlements-debout étudiés ? Comment les relations entre démocratisation, prise de parole et violence s’y articulent-elles ? Telles sont les questions auxquelles il nous faudra répondre. Accréditant la valeur de leur discours aux risques qu’ils encourent en s’exprimant, ces parlementaires expriment plus que les difficiles conditions de l’exercice de la citoyenneté en RDC. Ils indiquent que, dans un pays marqué par des années de guerre et de « milicianisation » de l’espace partisan, les processus de subjectivation politique sont le produit d’un affrontement violent entre des « régimes de vérité » qui s’énoncent tout autant dans les institutions de l’État que dans l’informalité des pratiques de la rue.
...
L’entremêlement des structures de l’UDPS avec une partie du phénomène des parlements-debout reflète la prévalence de formes de sociabilité et de communication populaire en vogue sous Mobutu, leur transformation sous le coup de la démocratisation, puis de la radicalisation et la milicianisation du jeu politique [69][69]Les violents affrontements survenus à Kinshasa entre la « Garde…. Structure d’inspiration récente, les Forces du Progrès illustrent bien la tentative d’une part des parlementaires et de l’UDPS de s’insérer par la force dans un jeu politique où l’usage de la menace et de la violence physique constituent des atouts de taille pour conserver ou s’emparer du pouvoir. L’exemple des parlementaires UDPS illustre les langages spécifiques d’une affirmation de soi en tant que citoyens, mêlant la force à la parole.
70Les formes de mobilisation des « combattants » de l’UDPS et leur recours à la prise de parole dans les parlements-debout, accompagnèrent le parcours d’Étienne Tshisekedi. Figure d’une intransigeance tactique parfois extrême, il est l’incarnation d’un leader congolais atypique dans son combat pour accéder au pouvoir. Appels à la mobilisation dans la rue, incitations au boycott, à la « résistance du peuple », gouvernements parallèles, le lider maximo n’a eu de cesse de tenter d’incarner la figure du représentant de la volonté populaire. Les parlementaires-debout UDPS sont aujourd’hui autant les signes de l’échec de l’imposition d’une souveraineté alternative dans un espace partisan et politique militarisé et milicianisé que de la stratégie d’un leader désormais isolé sur la scène politique congolaise....


"RDC : L’UDPS, ce parti présidentiel toujours en crise qui attend d’être sauvé -14 novembre 2022
= https://iwebrdc.com/rdc-ludps-ce-parti-presidentiel-toujours-en-crise-qui-attend-detre-sauve/amp/
Il faut sauver l’UDPS ! Depuis le décès du sphinx de Limite en début 2017, les déchirements au sein du parti au pouvoir en République démocratique du Congo risquent de le précipiter inéluctablement vers l’irréparable. Après avoir tenu tête face à la dictature de Mobutu dès le début des années 80, l’ancienne plus vieille formation politique de l’opposition a été vendue aux enchères à Joseph Kabila après la mort d’Étienne Tshisekedi. De ces jours, plusieurs têtes d’affiche aux couleurs du parti revendiquent les résultats de la lutte pour l’avènement de la démocratie au Congo : UDPS-Tshisekedi, UDPS-Tshibala, UDPS-Kibassa, UDPS le peuple, etc.

Peu importe! Malheureusement, cela n’a pas suffi. Cela n’a pas suffi à calmer les ardeurs démesurées et les appétits gloutons de tous ces acteurs du parti qui ont prôné les valeurs républicaines quand elles militaient encore au sein de l’opposition. Pire, l’accession au pouvoir d’une aile de l’UDPS, l’UDPS-Tshisekedi pour ne pas la citer, n’a pas changé la donne. Le goût du pouvoir a poussé la plupart à une guerre fratricide qui ne s’arrêtera peut-être jamais ou plus tôt, à moins que le parti présidentiel soit sauvé avant la grande noyade. Le « ôte-toi de là que je m’y mette » est devenu le maître-mot alors que la formation politique a désormais les rênes du pays et doit donner, d’ici un an et demi, le bilan de sa gouvernance.
En l’absence de Félix Tshisekedi, président de la République dont le rôle est incompatible avec sa fonction de président du parti, l’aile UDPS au pouvoir va mal : des diatribes, des invectives ainsi que des tirs croisés entre partisans ne la font mener qu’au bord du précipice. Il y a 10 mois seulement, Jean-Marc Kabund, ce secrétaire général sur qui était tombé le dévolu d’Étienne Tshisekedi avant sa mort, devenu par la suite président, a été chassé du parti comme un malpropre sur une décision de Victor Wakwenda, président de la Convention démocratique du Peuple au sein de l’UDPS.
Consécutivement, l’ancien vice-président de l’Assemblée nationale est devenu sujet des injures et des critiques acerbes de nouveaux dirigeants du parti qui l’ont aussitôt accusé de trahison. Moins d’un an après, alors que les séquelles de cette exclusion demeurent toujours fortes, c’est Augustin Kabuya, actuel patron du parti présidentiel, qui est désavoué par ses pairs. Le même Victor Wakwenda, dont la décision contre Kabund avait été saluée, est de nouveau à la manoeuvre. Le président de la Convention démocratique de l’UDPS considère déjà que le poste de secrétaire général du parti est vacant après avoir dénoncé le disfonctionnement au sein de l’UDPS sous le leadership d’Augustin Kabuya.

Battu mais non encore abattu, Augustin Kabuya s’est ironiquement défendu par des mots choisis. D’ailleurs, il promet des sanctions contre Victor Wakwenda.
« Mais, est-ce qu’il a un problème de santé mentale ou il a quel problème? J’entends dire que Wakwenda a destitué le secrétaire général mais c’est une bêtise. Le monsieur a été démis de ses fonctions par ses collègues et je l’ai protégé pour sauvegarder l’unité du parti mais il a maintenant ouvert une brèche qu’il ne sera même pas en mesure de fermer. C’est une bêtise que je dois sanctionner. Il avait commencé à sanctionner les présidents fédéraux en désordre en oubliant que c’est le secrétaire général qui gère le parti au quotidien. On ne peut pas blaguer avec un parti politique de cette manière », a-t-il réagi.
La guerre larvée est maintenant dévoilée. Mais qui emportera la partie entre les 2 belligérants ? On l’ignore. Toutefois, il y a lieu de dire que jamais un parti au pouvoir n’a été autant divisé. C’est à leur accession au pouvoir que les formations politiques, souvent en difficulté, sont soudées autour d’un idéal commun, à l’exception de l’UDPS. Un certain nombre d’observateurs se demandent ce que le parti deviendrait s’il venait à perdre le trône demain. Bien qu’on puisse se tromper peut-être en pronostics, des signaux précurseurs présagent que si Félix Tshisekedi n’est pas réélu d’ici 2023, l’UDPS risque de disparaitre avec le régime. A moins qu’il ne soit sauvé au plus vite.


= https://afrique.lalibre.be/67342/rdc-apres-lepisode-kabund-quel-avenir-pour-quelle-udps/
= https://www.radiookapi.net/2022/09/05/actualite/politique/kasai-oriental-des-jeunes-de-ludps-protestent-contre-leur-absence
= https://www.africaradio.com/amp/rdc-manifestation-de-partisans-du-president-tshisekedi-a-kinshasa
= https://rtnc.cd/kinshasa-les-jeunes-de-ludps-ont-improvise-une-marche-jusquau-siege-du-parti-a-limete-pour-soutenir-le-president-tshisekedi-et-desavouer-jean-marc-kabund/amp/
= https://www.radiookapi.net/2022/09/05/actualite/politique/kasai-oriental-des-jeunes-de-ludps-protestent-contre-leur-absence
= https://www.africaradio.com/amp/rdc-manifestation-de-partisans-du-president-tshisekedi-a-kinshasa
= https://rtnc.cd/kinshasa-les-jeunes-de-ludps-ont-improvise-une-marche-jusquau-siege-du-parti-a-limete-pour-soutenir-le-president-tshisekedi-et-desavouer-jean-marc-kabund/amp/



"KINSHASA/LIMETE : LES COMBATTANTS EXIGENT LE DÉPART DU SECRÉTAIRE GÉNÉRAL DE L'UDPS - 17:11:2022"



"KABUYA HUMILIÉ SIÈGE YA UDPS EBUKANI,POPULATION NA SOULÈVEMENT FARDC :fist_tone4:,GOMA,BUNAGANA - 16:11:2022"



"GRAND FORUM DU 18.11.2022,SCANDALE NA UDPS,BO TALA BAS ACCORDS FATSHI A SIGNER"




"Quand la présidence Tshisekedi négociait la reddition du M23 avec un million de dollars -
 NOV 17, 2022

= https://congokin.blog?p=10640
Dès octobre 2020, la présidence de Félix Tshisekedi a accueilli pendant près de quatorze mois, à Kinshasa, une délégation de membres importants du M23. Chargé de négocier les modalités de leur reddition, l’ex-vice-premier ministre Gilbert Kankonde Malamba avait sollicité un fonds d’1,3 million de dollars pour mener à bien sa mission. […]
(  = https://www.africaintelligence.fr/afrique-centrale/2022/11/17/quand-la-presidence-tshisekedi-negociait-la-reddition-du-m23-avec-un-million-de-dollars,109865216-gra )


"
"


Compatriotiquement!


# Si haut que l'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul # # Que faisait Dieu avant la création ? De toute éternité, il préparait d'épouvantables supplices pour celui qui poserait cette question. #


Dernière édition par ndonzwau le 19/12/2022, 11:28 pm, édité 1 fois

ndonzwau


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COMMENT ÇA VA À L'UDPS ??? Empty Re: COMMENT ÇA VA À L'UDPS ???

Message  ndonzwau 20/11/2022, 9:43 pm

"


"Etienne Tshisekedi à propos de l’Agression Rwandaise
= https://congokin.blog/?p=10689


"Accord-cadre d’Addis-Abeba pour la paix, la sécurité et la coopération pour la RDC et la région du Grand Lacs ( 24/02/2013)
= https://congokin.blog/?p=10699

" Déclaration du gouvernement de la RDC a la fin des pourparlers de Kampala avec le M23 ( 12/12/2013) - Nov 19, 2022
= https://congokin.blog/?p=10695


" Contradictions entre Laurent Kabila et le Rwanda - Nov 19, 2022
= https://congokin.blog/?p=10691
= https://congokin.blog/wp-content/uploads/2022/11/KabilaRwandaTension.mp4




Compatriotiquement!


# Si haut que l'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul # # Que faisait Dieu avant la création ? De toute éternité, il préparait d'épouvantables supplices pour celui qui poserait cette question. #

ndonzwau


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COMMENT ÇA VA À L'UDPS ??? Empty Re: COMMENT ÇA VA À L'UDPS ???

Message  ndonzwau 29/11/2022, 8:29 pm

"DEUX, TROIS PROBLÈMES :
- une guerre de clans au parti présidentiel ;
- des nominations tribales dans la territoriale du président Tshisekedi ;
- le président Tshisekedi échappe à une tentative d'empoisonnement au cyanure ...

Que dire de plus sinon relever qu’apparemment notre mulopwe n'a pu s'empêcher de s'abandonner à son péché mignon : le repli tribal. Ses dernières nominations des bourgmestres et adjoints à Kinshasa reviennent très majoritairement aux gens du grand Kasai. Ces derniers seraient-ils à ce point les seuls à mériter ces promotions ? Si lui et ses équipes n'en comprennent pas assez le danger pour l'avenir du pays, que peuvent faire les Congolais en général pour arrêter cette dérive dangereuse pour la démocratie républicaine ?
La société civile du Haut Katanga va jusqu'à dénoncer la politisation à outrance de la cartographie de la Ceni en faveur du Kasai, la non mise en application systématique, des principes de transparence, d’impartialité et de professionnalisme dans les opérations et procédures concernant la cartographie opérationnelle. Ces Organisations demandent mème la révision de cette cartographie.



"RDC : guerre des clans au sein du parti de Félix Tshisekedi - 24 novembre 2022
= https://www.jeuneafrique.com/1395841/politique/rdc-guerre-des-clans-au-sein-du-parti-de-felix-tshisekedi/
=  https://congokin.blog?p=10753
L’arrestation de Victor Wakwenda, qui présidait l’un des organes clés de l’UDPS, à la suite de ses attaques contre Augustin Kabuya, le secrétaire général, met une nouvelle fois en lumière les rivalités à l’œuvre au sein du parti. Lequel peine à se mettre en ordre de bataille à un an de l’élection présidentielle.

COMMENT ÇA VA À L'UDPS ??? Jad20220902-ass-rdc-tshisekedi-photo2-1256x628-1669314112
L’UDPS, le parti du président Félix Tshisekedi (ici le 8 avril 2022), est en proie à de violentes divisions intestines. :copyright: Tchandrou Nitanga/AFP
 
Depuis que Jean-Marc Kabund-a-Kabund est passé soudainement de président intérimaire de l’Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS) à prisonnier à Makala, les plus puissants responsables du parti présidentiel savent que la chute peut être douloureuse. Cette fois-ci, c’est Victor Wakwenda, jusque-là président de la Convention démocratique du parti (CDP), une sorte de parlement du parti, qui l’a appris à ses dépens.
Lundi 21 novembre, le septuagénaire a été arrêté et incarcéré durant 24 heures à la prison centrale de Kinshasa. Il lui est reproché la « propagation de faux bruits » pour avoir déclaré que « le pays [était] mal géré », selon des informations fournies par son avocat. Il a également été déchu de ses fonctions et exclu du parti par la commission de discipline de l’UDPS.
À Lire   RDC : Félix Tshisekedi ou la solitude du pouvoir

Attaque et riposte

Des sanctions prises après plusieurs jours de bras de fer avec Augustin Kabuya, à la tête du secrétariat général du parti de Félix Tshisekedi, l’une des trois instances qui dirige l’UDPS avec la Convention démocratique du parti (CDP) et la Commission électorale. L’affaire a commencé le 12 novembre, lorsque les quatre fédérations UDPS de la ville de Kinshasa se sont réunies autour de la CDP.
"VICTOR WAKWENDA A OUVERT UNE BRÈCHE QU’IL NE SERA MÊME PAS EN MESURE DE REFERMER
Victor Wakwenda, prend alors la parole pour critiquer la gestion d’Augustin Kabuya. « Les dysfonctionnements sont tels que même les courriers [envoyés par] les structures internes du parti sont sans suite », regrette-t-il, annonçant la destitution de Kabuya du poste de secrétaire général. Quelques jours plus tard, des manifestants contre Wakwenda protestaient devant le siège de l’UDPS, à Limete. Projectiles, pneus brûlés, cocktails Molotov étaient lancés tandis que les militants réclamaient le départ de Kabuya.À LIRERDC : face à Tshisekedi, les rêves de revanche de Jean-Marc Kabund
La riposte ne s’est pas fait attendre. «Je ne sais pas s’il s’agit d’un problème d’âge ou de santé mentale. Le monsieur [Victor Wakwenda] a ouvert une brèche qu’il ne sera même pas en mesure de refermer », a répliqué Augustin Kabuya. Alors que Félix Tshisekedi, président de l’UDPS, est accaparé par ses fonctions à la tête de l’État, c’est en réalité une bataille pour le leadership au sein duœ parti qui se joue.

Relations tendues

Il s’agit bien là d’une nouvelle crise pour ce parti déchiré par des rivalités internes et des ambitions divergentes. Après des années d’opposition, l’UDPS semble ne pas réussir à se muer en réel parti de gouvernement, quatre ans après son accession au pouvoir.
En outre, l’UDPS entretient souvent des relations tendues avec ses partenaires politiques. Du parti de Joseph Kabila, à l’époque de leur alliance, à celui de Moïse Katumbi, qui n’est plus un véritable allié, en passant par les formations de Vital Kamerhe ou encore de Jean-Pierre Bemba, « l’UDPS veut que tout le monde s’aligne derrière elle, le contraire vous expose aux insultes et calomnies », regrette un responsable politique partenaire. Un état des lieux préoccupant, alors que Félix Tshisekedi est candidat à sa propre succession, lors de l’élection présidentielle prévue en décembre 2023, et qu’il compte sur sa machine politique pour mener campagne.

À lire aussi
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  • [Tribune] L’UDPS de Félix Tshisekedi, un parti présidentiel en quête d’identité


    "Malaise à l’Udps, Jules Kalubi Munyere s’en prend à la direction du parti
    - 29 novembre 2922

    = https://ouragan.cd/2022/11/malaise-a-ludps-jules-kalubi-munyere-sen-prend-a-la-direction-du-parti



"Les liaisons dangereuses de l'ex-chef de guerre Roger Lumbala avec le clan Tshisekedi  - 07/11/2022
= https://www.africaintelligence.fr/afrique-centrale/2022/11/07/les-liaisons-dangereuses-de-l-ex-chef-de-guerre-roger-lumbala-avec-le-clan-tshisekedi,109841789-ge0
Ancien chef de guerre et ministre, Roger Lumbala est accusé de complicité de crimes contre l'humanité commis au début des années 2000, et détenu en France dans l'attente de son procès. Africa Intelligence révèle les coulisses de l'enquête judiciaire, où apparaissent le président Félix Tshisekedi, certains de ses conseillers et de hauts responsables militaires. [...] (1889 mots)

"Arrestation de François Beya: Une guerre des clans qui fragilise le pouvoir et alimente toutes les spéculations - 13.02.2022
= https://www.mediacongo.net/article-actualite-100220_arrestation_de_francois_beya_une_guerre_des_clans_qui_fragilise_le_pouvoir_et_alimente_toutes_les_speculations.html

= https://www.google.com/search?q=RDC+:+guerre+des+clans+au+sein+du+parti+de+F%C3%A9lix+Tshisekedi&client=firefox-b-d&sxsrf=ALiCzsYCKqPM4AWb8-VxAFRyQB3J_fPh3w:1669805344441&ei=IDWHY6SZGt-GkdUP0sK0yAg&start=20&sa=N&ved=2ahUKEwikqZjT3dX7AhVfQ6QEHVIhDYk4ChDy0wN6BAgFEAs&biw=1440&bih=775&dpr=1
= http://afrikarabia.com/wordpress/rdc-le-parti-presidentiel-dans-la-tourmente/
= https://afrique.lalibre.be/71293/rdc-la-declaration-de-guerre-de-kabund-a-tshisekedi/


"Le Chef de l’Etat nomme de nouveaux bourgmestres des communes - ll - novembre 26, 2022
= https://acpcongo.com/index.php/2022/11/26/le-chef-de-letat-nomme-de-nouveaux-bourgmestres-des-communes/
Kinshasa, 26 novembre 2022 (ACP).-  Le Chef de l’Etat Félix Antoine Tshisekedi a nommé de nouveaux bourgmestres des communes et leurs adjoints  dans toutes les provinces de la République, aux termes d’une série d’ordonnances lues vendredi,  sur les antennes de la Radiotélévision nationale congolaise.
Il se signale dans cette  ordonnance  l’avènement de nouvelles figures à la tête de  la plupart  des municipalités  dont  la ville de Kinshasa  afin d’impulser un nouveau leadership pour la concrétisation de la vision du Président  de la République.
Des maires  et administrateurs du territoire  ainsi que leurs adjoints  et assistants ont été également nommés dans une autre ordonnance.
Par ailleurs, les  maires nommés dans les villes des provinces  sous état de siège, n’entreront en fonction qu’à la levée de l’état de siège, notamment les villes de Goma, Beni, Butembo et Bunia respectivement dans les provinces du Nord-Kivu et de l’Ituri. ACP/
"Voici les bourgmestres et bourgmestres adjoints nommés pour la ville province de Kinshasa. - 26.11.2022
Le président de la RDC Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo a procédé à la nomination, vendredi 25 novembre 2022, des nouveaux responsables de la territoriale sur toute l’étendue du pays, à l’exception des provinces sous état de siège.
Le président de la République, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo a signé plusieurs ordonnances présidentielles portant nomination des maires et bourgmestres sur toute l’étendue du territoire national. Voici les bourgmestres et bourgmestres adjoints nommés pour la ville province de Kinshasa.

Bandalungwa : Bourgmestre NDOFULA Alphons, Adjoint NOBO KASONGO graciel
Barumbu : Bourgmestre LOMAMI Christophe, Adjoint Ndongala KARDOZO Émile
Bumbu : Bourgmestre MUKWANO Marie, Adjoint TSHIMWANGA katumba
Kalamu : Bourgmestre Charly MAKOPO LUBOYA, Adjoint KALANGAYI Daniel
Kasa-Vubu : Bourgmestre MASOMBO MPOY, adjoint MASWALU SANDRA
Gombe : Bourgmestre MANZAMBI NZOLA Léopold, Adjoint ISAMBO APONDJO Vinsainte
Kimbanseke : Bourgmestre MAKOFI Picasso, Adjoint KIDUMU Jeancy
Kinshasa : Bourgmestre MBALIBI Bienvenu, Adjoint LEKOLA LEKOLA ESOKO Prince
Kintambo : Bourgmestre KILALA Pépitho, Adjoint NGINAMAWU MBO NZINGA
Lemba : Bourgmestre POBA MAYIMONA Jean Serge, Adjoint ISOTO Simone
Limete : Bourgmestre ALAMBA Feza, Adjoint Isaac MUKENDI
Lingwala : Bourgmestre MUSHIGA NZINDULA Norbert, Adjoint Denise VILA
Makala : Bourgmestre VONGI MATOMINA Baudouin, Adjoint NGUDIA KABONGO Kafedio
Maluku : Bourgmestre MAMPA MUNDONDI Alexis, Adjoint MPEMBA MANATA Antoine
Masina : Bourgmestre TSHIKU KATUMBA Joseph, Adjoint NGALIMA MATONDO Nathan
Matete : Bourgmestre MUKUMBI MUKAWA Jules, Adjoint MUTOMBO KINSEBA
Mont-Ngafula : Bourgmestre LUMBU MALAMBA Séverin, Adjoint MUSENDE SELEMANI Zézé
Ngaba : Bourgmestre LOYINGA Aimé Francis, Adjoint KIWEWA Christelle
Ngaliema : Bourgmestre MAYIBAZILWANGA Dieu Merci, Adjoint AYINAGATO NAKWIKONDE Noëlla
Ngiri-ngiri : Bourgmestre MWAMBA TSHINANDUKU Edouard, Adjoint AYONZIALA Béatrice
Nsele : Bourgmestre MBO NZALAMESU Franck, Adjoint MANGU MATATA Christian
Selembao : Bourgmestre WOMUMU NANI Matthias, Adjoint MOYINA BABWA Claudia
Kisenso : Bourg ASIWEL Godet, Adjoint ILUNGA NYAMABO Ivon
N’Djili : Bourg MBUMBA NGALIEMA Papy, Adjoint MAKUMA BILONDA Patricia


"Petite territoriale: un parfum de « génération spontanée » - 29/11/2022
= https://www.forumdesas.net/2022/11/petite-territoriale-un-parfum-de-generation-spontanee/
C’est peu de dire que la polémique  sur le pedigree des animateurs de la petite territoriale ne faiblit pas. Que de « Who’s Who » contradictoires !
 
Comment, dans ces conditions, établir la démarcation entre la vérité et la fable ? Comment démêler le vrai du faux? Cet exercice n’est pas une sinécure tant il repose la sempiternelle question de traçabilité du personnel politique rd congolais.
Inutile de se cacher derrière son petit doigt : en vertu d’une version caricaturale du principe de mobilité sociale, n’importe qui peut se retrouver à n’importe quel étage du pouvoir politique sans avoir emprunté ni les marches de l’escalier ni l’ascenseur ! La chronique sur les nominations  dans les institutions publiques charrie des cas de « homines  novi« , ces hommes nouveaux parachutés ou catapultés au- devant de la scène sans la moindre initiation préalable. Cet avatar du « partage équitable et équilibré du pouvoir » naguère constitutionnalisé a la peau dure.
Si hier, les bénéficiaires de cette pratique était les deux familles politiques « constitutionnelles« , aujourd’hui les usufruitiers se recrutent souvent dans l’entourage -pas toujours peuplé de profils aguerris – des « hommes forts » du Régime. Bonjour « la génération spontanée » ! Salut « chance eloko pamba » !

De quoi faire penser à « La République des copains« , titre  du livre du journaliste d’investigation Gilles Gaetner. Avec le risque que dans la déglingue ambiante  lorsque les heureux promus jouissent, le peuple trinque, le pays s’enfonce dans l’abysse.
 Une perspective tout à fait aux antipodes des défis existentiels auxquels fait face la RDC. Comment atteindre l’émergence que l’on cite et récite matin, midi et soir sans un minimum de rigueur dans le recrutement des animateurs des entités locales que sont les villes, les communes et les territoires ? Faudrait-il encore rêver de développement autocentré lorsque le profil des managers locaux est sujet à caution ?
 Pour sûr, en ce temps de mobilisation générale contre l’agression rwandaise, la RDC aurait bien pu se passer de  la controverse sur les maires et bourgmestres nommés. En la matière, ces nominations fortement chahutées risquent de ressembler à ce remède qui s’avère plus dangereux que le mal qu’il est censé soigner.


"Cartographie électorale politisée, le grand Kasaï rafle la mise (société civile du Haut-Katanga)
29.11.2022

= https://ouragan.cd/2022/11/cartographie-electorale-politisee-le-grand-kasai-rafle-la-mise-societe-civile-du-haut-katanga
te, la société civile du Haut-Katanga cite quelques cas qui étayent la politisation du processus électoral en faveur de l’espace Grand Kasaï.
…à titre simplement illustratif, la province du Kasaï central est dotée de 1357 centres d’inscription qui représentent 6,0% des 2.2271 centres d’inscription prévus et la province du Kasaï est dotée, quant à elle, de 1357 centres d’inscription représentant 5,1% du total des centres d’inscription retenus par la CENI pour l’enrôlement des électeurs. Sur le classement provincial du nombre des centres d’inscription au niveau national, la province du Kasaï central vient en troisième position suivie, en quatrième position, par la province du Kasaï, Kinshasa, avec ses 1432 centres d’inscription (6,4%) est le premier du classement, suivi par le Kwilu doté de 1406 centres d’inscription (6,3%). Ces organisations ont aussi noté que le nombre total des centres d’inscription des 3 Kasaï (Kasaï, Kasaï central et Kasai oriental) est de loin supérieur à celui du total des centres d’inscription du Nord-Kivu, Sud-Kivu, Haut-Katanga, Haut-Lomami, Lualaba et Tanganyika réunis. En effet, les trois provinces du Grand Kasai totalisent, à elles seules, 3069 centres d’inscription qui représentent 13,6% du total des centres d’inscription.
“Par contre, le Grand Katanga ne totalise que 2041 centres d’inscription qui ne représentent que 11,3% du total des centres d’inscription prévus et ce malgré le mouvement constant, vers le Grand Katanga, des populations en provenance du Grand Kasaï”, mentionne le communiqué.
Dans la même optique, lesdites organisations ont fait remarquer que la centrale électorale n’a pas joué franc-jeu au sujet de la répartition des 4489 centres d’inscription additionnels par rapport aux 1.7783 centres d’inscription des électeurs du dernier cycle électoral.
Encore une fois, dans la répartition de ces centres d’inscription additionnels, la centrale électorale a favorisé les provinces du Kasaï en ce qui concerne les centres d’inscription additionnels, malgré le déplacement de ses populations au cours des dernières années vers d’autres provinces, telle que le Haut-Katanga, qui a bénéficié de 10% des centres d’inscription additionnels au même titre que la ville province de Kinshasa. Et le Kasaï s’est vu doté de 7,4% des centres d’inscription additionnels. Contrairement aux trois provinces du Kasaï qui ont bénéficié de 21,5% des centres d’inscription additionnels; le Nord-Kivu n’a bénéficié que de 0,04% des centres d’inscription additionnels (soit 2 centres d’inscription de plus pour la province du Nord-Kivu), la Tshopo 0,04%, l’Ituri 1,3%, le Maniema 1,5%; le Bas-Uélé 1,7%, le Haut-Uélé 2,0%, le Sud-Kivu 2,1%, le Lualaba 2,5%, le Tanganyika 2,9%, le Haut-Katanga 3,6% et le Haut-Lomami 3,8%, des 4489 centres d’inscription additionnels.

“Au total, le Grand Kasai, une région de la RDC qui se vide chaque jour, bénéficie de 21,5% des centres d’inscription additionnels et le Grand Katanga, une région du pays victime d’un flux important des populations en provenance du Grand Kasaï, ne profite dans la cartographie opérationnelle que de 12,8% des centres d’inscription additionnels”
, ont-elles fustigé.
En outre, elles expriment leur étonnement de constater le calcul du poids électoral des provinces qui, selon les auteurs du communiqué, ne reflète pas la réalité. “Bien plus, les organisations membres du cadre de concertation de la société civile du Haut Katanga ont constaté avec stupéfaction qu’en plus du refus manifeste de tenir compte des mouvements des populations de quelques provinces bien connues vers d’autres provinces dont la démographie est galopante, comme le Haut-Katanga, la cartographie opérationnelle de la CENI n’a pas du tout tenu compte du poids électoral des provinces tel que calculé à partir du fichier électoral de 2018. Le Haut-Katanga, dont le poids électoral de 2018 était de 6,11% ne se voit doté, en 2022 que de 3,6% des centres d’inscription contrairement, par exemple, au Kasaï central détenteur de 6% des centres d’inscription en 2022 mais dont le poids électoral, en 2018, était de 3,86%. Il en est de même de la province du Kasaï qui est détentrice de 5,1% des centres d’inscription en 2022 mais dont le poids électoral n’était que de 3,72% en 2018. Le Sud-Kivu et le Nord-Kivu, autres parents pauvres de cette cartographie opérationnelle, n’ont pas été épargnés.”
En effet, le Nord Kivu, avec son poids électoral de 9,59% en 2018, ne se voit doté que de 4,5% des centres d’inscription et le Sud-Kivu, avec son poids électoral de 6,34% en 2018 n’a été doté par la CENI que de 4% du total des centres d’inscription en 2022″, précise le communiqué de presse.
De ce qui précède, les signataires de ce document accusent la CENI de vouloir tricher en donnant aux provinces du centre plus d’électeurs potentiels qu’elles n’ont pas, afin qu’elles obtiennent plus des sièges au détriment de celles de l’Est et du Haut-Katanga.
…En augmentant de manière exponentielle le nombre de centres d’inscription dans les provinces qui se vident, dont celles du Grand Kasai, et en diminuant la capacité d’enrôlement des provinces concernées par l’émigration des populations et le mouvement des populations causées par les guerres, dont celles du Grand Kasai, la CENI vise, pour les organisations signataires du présent communiqué, deux objectifs ultimes.
Le premier est de déplacer, par l’usage voilé de la stratégie de l’exclusion administrative des potentiels électeurs, le poids électoral de certaines provinces, notamment le Haut-Katanga et les provinces de l’Est, vers les provinces du centre, notamment le Grand Kasaï, dont le taux des centres d’inscription a explosé de manière exponentielle au regard des statistiques de la cartographie opérationnelle de 2022.

Le deuxième objectif ultime visé par la CENI, après avoir généré un fichier électoral qui augmentera le poids électoral des provinces bénéficiaires de sa cartographie opérationnelle, est de voir ces provinces gracieusement servies par l’administration électorale, peser de tout leur poids lors de la répartition des sièges pour les élections législatives, provinciales, municipales et locales
, s’inquiètent-elles.
Au regard des différents faits soulevés ci-haut, les organisations membres du cadre de concertation de la société civile du Haut-Katanga ne croient pas en la volonté de Denis Kadima et son équipe à organiser les élections libres, démocratiques, transparentes, apaisées et inclusives.
Lire aussi :
2023 : la CENI Kadima toujours dispersée
“Contrairement aux dires du président de la CENI qui, en substance, voudrait” générer un fichier électoral fiable, inclusif, exhaustif et sécurisé, les pratiques électorales mises en œuvre par la Centrale électorale, et ce au regard de sa cartographie opérationnelle et des statistiques qui en découlent, ne pourront que générer, à la fin des opérations, un fichier électoral non fiable, non inclusif, non exhaustif, conflictogène et donc source probable des violences électorales à venir et des crises politiques futures.

Au demeurant, les organisations signataires du communiqué ont formulé quelques recommandations pour le bien du processus électoral.

1. A la Commission électorale nationale indépendante :
-De revisiter la cartographie opérationnelle des opérations d’identification et d’enrôlement des électeurs et de respecter strictement, dans sa révision, les principes directeurs d’un enrôlement des électeurs réussi, à savoir la non-discrimination de certaines provinces ou localité pour des raisons électoralistes, l’exhaustivité, l’actualité, l’équité, l’exactitude, la simplicité ainsi que la facilité de s’inscrire pour toutes les personnes admissibles;
-De générer, à l’issue des opérations d’identification et d’enrôlement des électeurs, et ce en toute impartialité et indépendance, un fichier électoral fiable, inclusif, exhaustif et sécurisé;
-De faire en sorte qu’aucun Congolais et qu’aucune Congolaise admissible à l’enrôlement ne soit privé (e) de son droit de vote sur la base de son appartenance ethnique ou de sa province d’origine et que la répartition des sièges pour les élections législatives, provinciales, municipales et locales soit la résultante d’un fichier électoral fiable et sans coloration politique ou ethnique.
2. Aux organisations de la société civile :
-D’intensifier la veille citoyenne autour des opérations d’identification et d’enrôlement des électeurs, en particulier, et du processus électoral, en général ;


3. Aux Congolaises et aux Congolais :
-De se mobiliser comme un seul homme pour que la CENI organise dans les délais constitutionnels, avec un fichier électoral fiable et inclusif, les élections démocratiques, transparentes, libres, crédibles, inclusives et apaisées en 2023, élections consensuelles dont les résultats seront acceptés par tous et doteront la RDC des institutions légitimes et dont les animateurs ne seront pas contestés, ont-elles conclu.


"[CENI: les OSC demandent la révision de la cartographie - 28 novembre 2022/color]
= https://magazinelaguardia.info/2022/11/28/ceni-les-osc-demandent-la-revision-de-la-cartographie/

Alors que le grand Kasaï se vide de sa population, la Ceni vient de doter cette partie du pays de 3069 centres d’inscriptions d’électeurs, soit 13,6 %. Ceci, sur un total de 22 271 centres prévus. Par contre, le Grand Katanga qui connait un mouvement constant des populations, n’a reçu que 2041 centres d’enrôlement, soit 11,3 %. Tel est le constat fait par les organisations de la société civiles du Haut-Katanga, trois jours après la publication de la cartographie des centres d’enrôlements des électeurs. Dans un communiqué publié le 26 novembre dernier, les OSC recommandent à la Ceni la révision de cette cartographie. 


En effet, la société civile a constaté un déséquilibre dans la répartition des centres d’inscriptions additionnels. Le fichier de 2018 était constitué d’un total de 17 783 centres d’enrôlement. En 2022, la Ceni a ajouté 4 489 centres d’inscription. Cependant, dans la répartition des centres d’inscriptions additionnelles, elle indique que la Ceni a favorisé le grand Kasaï.
Par exemple, le Kasaï central, malgré le déplacement massif de la population, la Ceni lui a ajouté 10 %,  soit près 448 centres d’inscriptions additionnels. Hormis le Kasaï et le Kasaï oriental, les trois autres provinces du grand Kasaï ont bénéficié de 21 %.
Ce qui représente environ 942 centres de plus . Selon le communiqué, ce nombre est loin supérieur à celui des provinces telles que, la Tshopo et le Nord-Kivu.
Les deux  n’ont eu qu’environ deux centres additionnel chacune. Et le grand Katanga dont sa population s’accroit tous les jours, n’a bénéficié que de 574 centres d’inscription additionnels, soit 12,8 %.

Respect des principes directeurs 

Devant cette réalité, la société civile déplore le fait que dans la répartition, la  Ceni n’a pas tenu compte des mouvements des populations en général. De ce fait, elle dénonce la politisation de la cartographie.
En plus, les OSC soulignent que l’organe de gestion des élections ne met pas en application les principes de transparence, d’impartialité et de professionnalisme. Elles recommandent à la Ceni, le respect des principes directeurs d’enrôlements des électeurs.
Ainsi, selon la cartographie,  Kinshasa est en tête avec 1.432 centres, soit 6,4 % du total. Et le Kwilu est en deuxième position avec 1406 centre, soit 6,3 %, suivi du Kasaï central et du Kasaï qui ont chacun  .357 soit 5,1 %.



"RDC : Félix Tshisekedi échappe à une tentative d’empoisonnement au Cyanure - 28 novembre 2022
= https://www.politico.cd/la-rdc-a-la-une/2022/11/28/rdc-felix-tshisekedi-echappe-a-une-tentative-dempoisonnement-au-cyanure.html/122000/
INFORMATION POLITICO.CD — Félix Tshisekedi, président de la République démocratique du Congo, a été victime d’une tentative d’empoisonnement à travers un « courrier » envoyé à son Bureau à la Présidence.

Tout est parti d’un courrier adressé au président Félix Tshisekedi et intercepté par les services de son Directeur de cabinet, qui le jugeaient alors « suspect ». Les événements ont lieu le 12 novembre dernier à la Cité de l’Union Africaine, bureau du président congolais, à Kinshasa. « Il s’agit d’une enveloppe, format A4, de coloration jaune pâle contenant une lettre d’une page et un journal », confirme une source à la présidence congolaise à POLITICO.CD et qui a requis l’anonymat.
Un rapport de la Direction Technique et Scientifique de la Police congolaise confirme les événements. Selon ce rapport, consulté en partie par POLITICO.CD, une équipe composée notamment d’un Expert Forensic et d’un Expert de scène de crime a été dépêchée le même jour dans les bureaux de Guylain Nyembo, Directeur du cabinet du président Félix Tshisekedi,  où elle a récupéré le « courrier » pour analyses. « L’enveloppe destinée au Chef de l’Etat supportait des traces d’altérations, avec des trous aux alentours », renseigne ce rapport.

Toujours selon le même rapport, à l’intérieur du journal qui accompagnait la lettre, « une odeur d’un composé organique [a été observée] ». La lettre et le journal ont par la suite été soumis à un examen approfondi pour déterminer la nature de l’odeur. « Les prélèvements ont été effectués et envoyés au laboratoire Forensic pour déterminer l’analyse de ce composé », précise le rapport de la Police congolaise.
Deux sources au sein de la Direction Technique et Scientifique de la Police congolaise ont confirmé à POLITICO.CD que les résultats des analyses ont établi la présence avérée de la composée chimique de  « l’ion cyanure ».  Selon une fiche toxicologique publiée par l’Institut français de recherche et de sécurité (INRS) et consultée par POLITICO.CD, l’ion cyanure est un poison qui bloque la respiration cellulaire. « Présent dans certains fruits, le cyanure est un poison particulièrement efficace pour donner la mort. Seulement 200 mg de cyanure de potassium versés dans un verre de boisson suffisent pour tuer en moins d’une minute », explique nos sources à la Direction Technique et Scientifique de la Police congolaise.

Selon le rapport de la Police congolaise, le courrier destiné au Président Félix Tshisekedi provenait d’une « Organisation internationale basée en France ». POLITICO.CD n’a pas été en mesure, pour l’instant, d’identifier l’organisation en question. « Nous sommes au courant de cette affaire que nous prenons très au sérieux », confirme un officiel du gouvernement congolais, joint au téléphone par POLITICO.CD. « Nous savons exactement d’où est venu ce courrier. A l’heure actuelle, nous avons officiellement saisi nos partenaires Français, du fait de nos beaux rapports,  pour tirer cette affaire au clair », ajoute cet officiel.  POLITICO.CD a appris que le Ministre congolais des Affaires étrangères, Christophe Lutundula, avait convoqué l’Ambassadeur de France en RDC, Bruno Aubert, pour des entretiens autour de cette affaire.
Cette affaire arrive dans un contexte tendu de la crise sécuritaire dans l’Est de la République démocratique du Congo. Dans un message à la nation diffusé par la télévision nationale le 3 novembre 2022, le président Félix Tshisekedi a appelé « la jeunesse » de son pays à « s’organiser en groupes de vigilance » face à la rébellion du M23, soutenue et équipée par le Rwanda, à en croire le gouvernement congolais, l’organisation internationale Human Rights Watch, les Etats-Unis et un Groupe d’Experts des Nations-Unis.

= https://afriquela1ère.com/2022/11/29/le-president-antoine-felix-tshisekedi-a-t-il-echappe-a-une-mort-par-empoisonnement-la-france-serait-elle-impliquee-a-qui-profiterait-le-crime/


"MARTHE TSHISEKEDI DEVIENT SAINTE VIERGE DE MUPOMPA - 28/11/2022"



"DECRY INFOS28.11.22,DIEMBELA,COUPLE FATSHI E ACHOUR FONT D THEATRE.ANR,MBELU E F.TUENT D CONGOL, EST"





Compatriotiquement!





# Si haut que l'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul # # Que faisait Dieu avant la création ? De toute éternité, il préparait d'épouvantables supplices pour celui qui poserait cette question. #

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COMMENT ÇA VA À L'UDPS ??? Empty Re: COMMENT ÇA VA À L'UDPS ???

Message  ndonzwau 13/12/2022, 4:46 pm

Le président du tribunal de commerce de Lubumbashi le juge Batubenga démissionne et dénonce des menaces et de pressions qu'il allègue subir de la part d’un cadre de l’UDPS, Maître Peter Kazadi.

Dans sa lettre de démission au PR il déclare avoir reçu des pressions pour intervenir dans le dossier sur la société MCK (société Mining Compagnie Katanga) afin de priver un adversaire politique des ressources financières qui lui donneraient les moyens de combattre le régime lors des élections de 2023. Si. La démission a été confirmée par le tribunal de commerce, Me Kazadi rejette cette accusation et parle de manipulation. Il ne serait concerné ni de près ni de loin dans ce dossier MCK et ne ferait pas partie des avocats conseils de Beveraggi - d'autres sources disent le contraire -, principal inculpé. Celui-ci soutient avoir acheté l’entreprise MCK querellée et se revendique son propriétaire. De son côté, Moïse Katumbi affirme que Beveraggi n’a jamais payé la totalité des sommes dues.

Ce dossier rebondit quatre ans après que l’ancien gouverneur du Katanga a remporté la bataille judiciaire devant la cour de cassation de Paris et en a acquis la propriété. Une histoire de gros soucis au service d'ambitions politiques et au centre une justice instrumentalisée qui refuse de l'être ?  

La confusion n'en est pas moins au rdv dans ce dossier : tandis que les deux hommes d'affaires Katumbi & Beveraggi se rejettent la balle , Me Kazadi affirmerait ne pas agir pour son compte personnel mais dans l’intérêt du pouvoir et le juge lui, affirmerait qu'on voudrait l’impliquer en tant que chef de juridiction pour aider nuire à un adversaire politique ; voilà pourquoi il démissionne pour ne pas trahir so serment. Qui croire ?



"RDC: le président du tribunal de commerce de Lubumbashi démissionne et dénonce des pressions - 13/12/2022 -
= https://www.rfi.fr/fr/afrique/20221213-rdc-le-pr%C3%A9sident-du-tribunal-de-commerce-de-lubumbashi-d%C3%A9missionne-et-d%C3%A9nonce-des-pressions
Le juge Laurent Batubenga, président du tribunal de commerce de Lubumbashi, a démissionné et dénonce des menaces et pressions qu’il allègue avoir subies de la part d’un cadre de l’UDPS, Maître Peter Kazadi.
Avec notre correspondante à Lubumbashi, Denise Maheho

La lettre de démission du juge Laurent Batebenga, avec accusé de réception du service courrier de la présidence de la République, a circulé sur les réseaux sociaux. Dans cette correspondance, le président du tribunal de commerce de Lubumbashi déclare avoir reçu des pressions pour intervenir dans le dossier sur la société MCK afin « de priver un adversaire politique des ressources financières qui lui donneraient les moyens de combattre le régime lors des élections de 2023 ». La démission a été confirmée par le tribunal de commerce.

Accusation rejetée par Peter Kazadi
Pour l’heure, le juge démissionnaire n’est pas joignable. En réaction, Maître Peter Kazadi rejette toutes ces accusations. Ce cadre de l’UDPS parle de manipulation. 
« Je ne suis concerné ni de près ni de loin dans le dossier MCK et je ne fais pas partie des avocats conseils de Pascal Beveragi » a-t-il déclaré à RFI. 
Pour rappel, Pascal Beveragi soutient avoir acheté l’entreprise MCK et se revendique propriétaire. De son côté, Moïse Katumbi affirme que Beveragi n’a jamais payé la totalité des sommes dues. Ce dossier rebondit quatre ans après que l’ancien gouverneur du Katanga a remporté la bataille judiciaire devant la cour de cassation de Paris. Depuis 2018, il a récupéré la société querellée.
►À lire aussi : En RDC, turbulences dans le camp Katumbi


"Mgr Muteba : que les boutefeux entendent ! - 13/12/2022
= https://www.forumdesas.net/2022/12/mgr-muteba-que-les-boutefeux-entendent/du
Avertissement sans frais aux boutefeux de tout bord. Tocsin à ceux qui, l’ivresse du lait aidant,  fredonnent à cœur joie le « Tout va très bien Madame la Marquise ». Exhortation aux uns et aux autres sur le nécessaire vivre- ensemble. La lettre pastorale de l’Archevêque de Lubumbashi a valeur de sonnette d’alarme.

Centre névralgique de l’espace « Grand Katanga », Lubumbashi s’installe chaque jour un peu plus dans le rejet de l’autre dans sa différence et donc son altérité telle que le définit le philosophe Emmanuel Levinas. Les dernières nominations  dans la petite territoriale ont enlevé le peu de vernis qui couvrait la plateforme présidentielle pour laisser place au face-à-face entre les jeunes de l’UNAFEC ceux de l’UDPS.
L’illustration grandeur nature que ces mises en place ne passent pas au sein même de l’Union « sacrée« , Danny Banza, mandarin du pouvoir Fatshi au Katanga, a dû calmer les partisans de feu Kyungu Wa Kumwanza en annonçant que le Président allait revoir la copie. Il n’y a pas meilleure preuve par l’absurde qu’une main noire -ou plusieurs – s’est invitée dans le casting jusqu’à la signature présidentielle !  C’est dire. Fin de la parenthèse qui s’imposait. 

Pas besoin d’un dessin pour savoir que les affrontements dans la deuxième ville du pays  cachent mal la résurgence des conflits inter communautaires. Dans ce climat délétère où l’enfer c’est toujours l’autre, le soupçon  d’instrumentalisation du « dossier Katumbi » à la lumière de la démission du président du tribunal de commerce de Lubumbashi pourrait se muer en cette huile … supplémentaire sur le feu.
Des occurrences qui surviennent dans des circonstances où la cohésion nationale devrait, pourtant, être le maître mot. D’abord en raison du défi existentiel que pose l’agression dont le Rwanda et son excroissance congolaise putative sont la face visible. Ensuite, à cause des affrontements interethniques dans l’hinterland de Kinshasa. Enfin, du fait de l’imminence du coup d’envoi du marathon électoral.

Dans ces conditions, le sermon sur le vivre ensemble du Primat de l’Eglise catholique dans le Haut Katanga- et par extension dans tout le Katanga –  a valeur de prescription médicale. Reste à savoir si les protagonistes iront jusqu’à se procurer  cet antidote à la bêtise humaine. Rien n’est moins sûr. Les uns étant plongés dans  l’illusion de la toute- puissance ad vitam aeternam du fait du pouvoir dont ils abusent  et les autres étant rongés par des frustrations- qui ne sont pas toujours bonnes conseillères.


"RDC : l’entourage de Félix Tshisekedi a-t-il fait pression sur un juge ? - 12 décembre 2022
=  https://www.jeuneafrique.com/1399832/politique/rdc-lentourage-de-felix-tshisekedi-a-t-il-fait-pression-sur-un-juge/


"Le juge Batubenga démissionne pour échapper aux pressions du Pouvoir - 13/12/2022
= https://www.forumdesas.net/2022/12/le-juge-batubenga-demissionne-pour-echapper-aux-pressions-du-pouvoir/
Le président du Tribunal de commerce de Lubumbashi, Batubenga Ilunga Laurent, a déposé le 9 décembre courant sa démission auprès du Président de la République, Félix-Antoine Tshisekedi.

Dans sa lettre de démission qu’il a adressée au Chef de l’Etat, le juge  Laurent Batubenga Ilunga affirme subir, depuis les dernières nominations intervenues fin juillet dans la magistrature, par de personnes interposées, des pressions de la part de Me Peter Kazadi.
Ancien directeur de cabinet de Félix Tshisekedi, alors président de l’UDPS, Peter Kazadi appartient au premier cercle des hommes du Président. L’élu de Kinshasa est également avocat conseil du Français Beveraggi , en conflit ces dernières années avec l’ancien gouverneur de l’ex-province du Katanga, Moïse Katumbi, autour de la société minière Mining Compagnie Katanga (MCK).
Le juge Laurent Batubenga Ilunga accuse alors Peter Kazadi de le pousser à «valider des saisies-attributions pratiquées sans titre exécutoire par les sociétés Octavia Limited et NB Mining Africa SA qui appartiendraient à Monsieur Pascal Beveraggi dirigées soit contre la société Astalia Investment Limited qui appartiendrait à Monsieur Moïse Katumbi, soit contre les tiers qui auraient payé à cette dernière des sommes qu’ils détenaient pour le compte de deux sociétés précitées».

Ce n’est pas tout. «Me Peter Kazadi, prétendant ne pas agir pour son compte personnel mais dans l’intérêt du pouvoir, voudrait que je m’implique en tant que chef de juridiction pour aider à priver, selon ses termes, un adversaire politique de ses ressources financières qui lui donneraient des moyens de combattre le régime lors des prochaines échéances électorales», affirme le juge dans sa lettre au Magistrat suprême.
Selon Batubenga, Peter Kazadi affirme avoir reçu la mission de piloter la mise en place des magistrats et qu’il risque de perdre son poste lors de la prochaine mise en place s’il ne s’exécute pas. Le juge du Tribunal de commerce dit en plus recevoir des menaces dans des messages et appels anonymes.

Invitation du Conseiller spécial
Ca ne s’arrête pas là. Laurent Batubenga dit avoir reçu une invitation du Conseiller spécial en matière de sécurité du chef de l’État pour ce mardi 13 décembre pour une séance de travail  à Kinshasa. Le juge du Tribunal de Commerce de Lubumbashi démissionne alors que cette affaire sera appelée le 23 décembre.
Pour ne pas «trahir» son serment et craignant les «menaces graves» de Peter Kazadi, Laurent Batubenga Ilunga, du haut de ses 26 ans de carrière a donc opté pour la démission.
«Pour moi, il est très clair que Moïse Katumbi est derrière ce juge. Moi, je n’y suis pour rien et je ne connais rien de cette affaire», a réagi Peter Kazadi à Jeune Afrique, faisant  valoir  qu’il ne connaît pas le juge en question.[

Il faut rappeler ici que ce n’est pas la première fois que Moïse Katumbi fait face à un tel scénario. En 2016, à l’approche des élections, sous Joseph Kabila, le président  d’Ensemble pour la République avait eu le même type de problème lorsqu’il a confirmé sa candidature à la présidence de la République.
La juge Chantal Ramazani Wazuri, présidente du «tribunal de paix» de Lubumbashi , affirmait avoir été «obligée» de condamner l’opposant Moïse Katumbi à trois ans de prison. La cour donnait raison à un ressortissant grec accusant Moïse Katumbi de faux et usage de faux pour l’acquisition d’un immeuble dont le plaignant estimait qu’il devait lui revenir en héritage. La vérité, rapportait la juge qui avait dû s’exiler, «cette condamnation avait notamment comme objectif d’obtenir l’inéligibilité de Katumbi en cas de présentation de sa candidature à la présidence de la République». La suite de l’histoire, on la connait.
Aujourd’hui, les interférences de Peter Kazadi  dans l’administration de la justice cadrent mal avec la vision du Président Félix Tshisekedi de bâtir un Etat de droit au cœur de l’Afrique. Dans son discours, le Chef de l’Etat en a appelé à des élections inclusives. Or on le sait, l’ancien gouverneur  de l’ex-province du Katanga n’a jamais fait mystère de son ambition, sommes  toute légitime,  de briguer la magistrature suprême. On sait aussi que Moïse Katumbi n’a pas encore quitté l’Union sacrée, la méga plateforme qui soutient les actions de Félix Tshisekedi, mais le Chairman du TP Mazembe est en froid avec sa supposée famille politique. Alors, ceci expliquerait-il cela ? Dans l’affirmative, ce ne serait pas le bon signe que le pouvoir enverrait au monde.


"Tricom de Lubumbashi : Affaire démission du juge Batubenga, des appels fusent pour l'éclosion de la vérité - 13 décembre 2022
= https://lepotentiel.cd/2022/12/13/tricom-de-lubumbashi-affaire-demission-du-juge-batubenga-des-appels-fusent-pour-leclosion-de-la-verite/



"IRDH préoccupé la démission du Juge Batubenga, président du Tribunal de commerce de Lubumbashi - 18 Décembre 2022
= https://www.congoindependant.com/irdh-preoccupe-la-demission-du-juge-batubenga-president-du-tribunal-de-commerce-de-lubumbashi/
COMMUNIQUE IRDH/2022/12/017
Lubumbashi, le 14 Décembre 2022.

 L’Institut de recherche en droits humains (IRDH) est vivement préoccupé par le contour de la démission du juge-président du Tribunal de Commerce de Lubumbashi, le Magistrat Laurent Batubenga Ilunga.
En effet, dans sa lettre de démission du 09 décembre dernier, adressée au Président de la République, le Juge dénonce (i) « des fortes pressions » qu’il aurait subies de la part des personnes qui seraient envoyées par Maître Peter Kazadi ; (ii) des messages anonymes et (iii) des appels provenant des numéros inconnus.
Le motif principal de la démission du Juge s’avère être des interférences, « par personnes interposées », de l’avocat Peter Kazadi dans la procédure judiciaire, « dans l’intérêt du pouvoir »« d’aider à priver un adversaire politique des ressources financières qui lui donneraient les moyens de combattre le régime lors des prochaines échéances électorales ».
Par ailleurs, la lettre révèle des dessous d’un conflit judiciaire opposant les sociétés Octavia Ltd et NB Mining qui appartiendraient à M. Pascal Beveragi, contre la société Astalia Investment Ltd qui appartiendrait à M. Moïse Katumbi Chapwe.

Vu la gravité exceptionnelle des allégations du Juge, IRDH recommande que :
  1. La priorité soit accordée à la protection du Juge et de sa famille ;
  2. Les autorités judiciaires compétentes se saisissent du dossier qui attire l’intérêt du grand public, l’attribuent  à d’autres juges et lui assurer une bonne fin;
  3. Le Bâtonnier du barreau auquel appartient l’Avocat Kazadi ouvre une enquête, afin d’éclairer l’opinion ;
  4. Le Parquet Général près la Cour d’appel du Haut-Katanga ouvre des enquêtes approfondies et urgentes recherches, afin de poursuivre les présumés auteurs desdits messages anonymes et numéros inconnus.

INSTITUT DE RECHERCHE EN DROITS HUMAINS 
Lubumbashi – @IRDH_officiel; @tshiswaka5



"Pascal Beveraggi, recherché en RDC, dépose plainte pour corruption de magistrat - 28 Juillet 2022
=  https://www.corsenetinfos.corsica/Pascal-Beveraggi-recherche-en-RDC-depose-plainte-pour-corruption-de-magistrat_a66045.amp.html

"La République démocratique du Congo recherche un homme d’affaires français accusé de viol - 25/07/2022
= https://amp.ouest-france.fr/faits-divers/violence-sexuelle/viol/la-republique-democratique-du-congo-recherche-un-homme-d-affaires-francais-accuse-de-viol-4eecd814-0bfb-11ed-b7d0-05819001df93

L’homme d’affaires français Pascal Beveraggi est recherché par la justice congolaise et soupçonné d’avoir commis un viol sur une enfant entre 2016 et 2019. Un avis de recherche a été diffusé et un mandat d’amener a été délivré par la justice. L’homme dénonce un « abandon total de l’État de droit ».

Le parquet de Kinshasa a émis deux mandats contre un homme d’affaires français opérant en République démocratique du Congo pour « viol d’enfant » et « faux en écriture » en vue de le faire juger, a-t-on appris ce lundi 25 juillet 2022 de sources judiciaires et d’une ONG.
Homme d’affaires en Corse puis en Afrique, à la tête de plusieurs sociétés, Pascal Beveraggi fait l’objet d’un « mandat d’amener » et d’un « avis de recherche ». Le parquet près la Cour d’appel de Kinshasa/Gombe, après avoir enquêté sur l’accusation de « viol d’enfant », a délivré un mandat d’amener afin que « l’inculpé » soit arrêté et présenté à un magistrat, étant donné qu’il n’a pas répondu à deux précédentes convocations.

[b[Des faits qui se seraient produits entre 2016 et 2019

La dénonciation de viol auprès de la justice congolaise a été faite en mars dernier par l’ONG congolaise « Comité des observateurs des droits de l’Homme » pour des faits qui se seraient déroulés entre 2016 et 2019 sur une jeune fille née en novembre 2002.
« En cas de découverte, l’appréhender et l’acheminer sous bonne escorte au parquet général de Kinshasa/Gombe », a écrit Bonheur Luntaka, chef de ce parquet. Le mandat d’amener et l’avis de recherche ont été authentifiés par l’AFP.

« Accusations farfelues »
Dans une lettre adressée au président congolais Félix Tshisekedi en janvier, Pascal Beveraggi a indiqué être victime d’« accusations aussi farfelues qu’infâmes » en RDC où il a fait « le constat amer d’un abandon total de l’État de droit ».
Depuis 2019, cet entrepreneur et l’ex-gouverneur du Katanga Moïse Katumbi se disputent la propriété d’une entreprise minière MCK (Mining Company of Katanga) de Lubumbashi devant des tribunaux congolais et français. L’homme d’affaires français est devenu célèbre en RDC après avoir pris la direction du Football club Lupopo en 2019, l’une des formations sportives populaires de Lubumbashi (sud-est) et de la RDC.


"RDC – IGF : La COMINIERE demande le report des arrêtés portant renonciation de PR13359 pour plusieurs violations par AVZ - 15 décembre 2022
= https://www.politico.cd/encontinu/2022/12/15/rdc-igf-la-cominiere-demande-le-report-des-arretes-portant-renonciation-de-pr13359-pour-plusieurs-violations-par-avz.html/123908/


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Message  ndonzwau 24/12/2022, 5:53 pm

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"Félix Tshisekedi nomme les nouveaux conseillers à la Présidence de la République ( Liste )
= https://rtnc.cd/rdc-felix-tshisekedi-nomme-les-nouveaux-conseillers-a-la-presidence-de-la-republique-liste/amp/
Le Président de la République, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, a procédé , mercredi 21 décembre 2022, à de nouvelles nominations dans le collège de ses conseillers principaux.
Les ordonnances présidentielles y afférentes ont été lues sur les antennes de la Radio Télévision Nationale Congolaise (RTNC).
Parmi les nominés figure Jacquemin Shabani, un ancien secrétaire général du parti présidentiel.
Ci-dessous la liste de conseillers nommés par le Chef de l’État :

• Collège Juridique et Administratif : Martin Mulumba
• Collège Mines, Energie et Hydrocarbures : Adelbert Matuku
• Collège Agriculture, Pêche et Élevage : Peter Kasongo[
• Collège Infrastructures, Habitat et Affaires foncières : David Mukeba
• Collège PTNTIC : Mukasi Muninga
• Collège Politique et Processus électoral : Jacquemain Shabani
• Collège Économie, Finances, Commerce extérieur et Portefeuille : Léon Kankolongo
• Collège Emploi, Travail, Prévoyance sociale et Solidarité : Émilienne Efinda
• Collège Diplomatie : Catherine
• Collège Éducation, Recherche scientifique, Culture et Questions religieuses : Théodore Tshilumba
• Collège Environnement, Urbanisme, Mobilité : Musibono
• Collège Relations avec le Parlement et autres institutions : Thomas Paipai
• Collège Santé et Bien-être : Ikelemba Frank Papy Elkash

Lire aussi RDC : Les enseignants nouvelles unités absents de listings de paie du mois d’avril


"Jacquemain Shabani, est nommé conseiller principal au cabinet du Président de la République au collège Politique et processus électoral. - 21.12.2022
= https://actu30.cd/2022/12/rdc-jacquemain-shabani-est-nomme-conseiller-principal-au-cabinet-du-president-de-la-republique-au-college-politique-et-processus-electoral/

"New Sotem accuse Peter Kazadi de tentative d’escroquerie et trafic d’influence 22:122022
= https://ouragan.cd/2022/12/new-sotem-accuse-peter-kazadi-de-tentative-descroquerie-et-trafic-dinfluence

"RDC : Claudel Lubaya déplore la montée des tensions et violences à caractère ethnique et politique à l'approche des élections - 19:12:2022
= https://7sur7.cd/index.php/2022/12/19/rdc-claudel-lubaya-deplore-la-montee-des-tensions-et-violences-caractere-ethnique-et

"Le point D de l’accord de Nairobi Felix prévoit l’incorporation dans l’armée nationale des leaders de groupes armés (y compris ceux du M23?)! -7-12-2022
= https://congokin.blog/?p=10886
= https://www.lesoir.be/481757/article/2022-12-07/en-rdc-ne-change-pas-une-formule-qui-perd




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Message  ndonzwau 2/1/2023, 9:02 pm

Le Ministre Kazadi vient crier sans honte haro aux anciens alliés  de l'Udps qui chercheraient à
créer le chaos avec des complices extérieurs et intérieurs ! Foutaise et propagande de  caniveau ! Bien peu connaissent ou ont cherché à  savoir le rôle exact aujourd'hui Kazadit à l'Udps.


IL EST L'UNE DES AMES DAMNEES DE TSHISEKEDI ET A DOUBLE TITRE !  Il lui a voue corps et âme comme masha mu meno, il y'a pour lui Tshisekedi, sa famille biologique et son clan ethnique des Baluba, tous les autres dehors sont des ennemis ou â la limite des obligés sans conditions. Il est aussi l'argentier attitré de la tshisekedie, se servant de sa fonction de Ministre des Finances (et de l'Economie, le titulaire ayant été  écarté à dessein). Il faut l'avoir entendu pour savoir ce que ça signifie.



"RDC: Nicolas Kazadi accuse les « ex-alliés » de Tshisekedi de vouloir créer le chaos avec des complices extérieurs et intérieurs - 2 janvier 2023
= https://www.politico.cd/encontinu/2023/01/02/rdc-nicolas-kazadi-accuse-les-ex-allies-de-tshisekedi-de-vouloir-creer-le-chaos-avec-des-complices-exterieurs-et-interieurs.html/125219/
Le ministre des Finances, ministre ad intérim de l’Économie Nationale et membre de l’Union Sacrée de la Nation (USN), Nicolas Kazadi a profité de son message de vœux adressé au peuple congolais pour tacler tous les détracteurs de la majorité au pouvoir, Union Sacrée de la Nation.
Sur son compte Twitter, Nicolas Kazadi a laissé entendre que ceux qui avaient misé sur l’échec de l’Union Sacrée de la Nation, famille politique du Président Tshisekedi, comptent désormais sur un hypothétique futur chaos.


« Ceux qui, depuis fin 2020, avaient misé sur l’échec de l’USN se sont rendus à l’évidence de leur propre échec. Ils comptent désormais sur un hypothétique futur chaos qu’ils s’ingénuent à vouloir créer avec d’anciens complices extérieurs et des complices intérieurs recyclés », a-t-il argué.
Allusion faite au Front Commun pour le Congo (FCC) de l’ancien Président de la République, Joseph Kabila qui du reste, était en coalition au pouvoir avec le Cap pour le Changement (CACH) avant la signature de l’acte de décès de cette coalition au pouvoir par le Chef de l’État, Félix Tshisekedi qui disait avoir supporté des «humiliations et blocages» de la part de son partenaire en coalition.

« Ceux qui, depuis fin 2020, avaient misé sur l’échec de l’USN se sont rendus à l’évidence de leur propre échec. Ils comptent désormais sur un hypothétique futur chaos qu’ils s’ingénuent à vouloir créer avec d’anciens complices extérieurs et des complices intérieurs recyclés », a-t-il argué.
Allusion faite au Front Commun pour le Congo (FCC) de l’ancien Président de la République, Joseph Kabila qui du reste, était en coalition au pouvoir avec le Cap pour le Changement (CACH) avant la signature de l’acte de décès de cette coalition au pouvoir par le Chef de l’État, Félix Tshisekedi qui disait avoir supporté des «humiliations et blocages» de la part de son partenaire en coalition.

Pour le Chef de l’État, la Coalition FCC-CACH ne lui avait pas permis de mettre en œuvre son programme et de répondre aux attentes des Congolais. Il avait également parlé d’une situation de « crise persistante » et d’un blocage parlementaire en évoquant l’exemple la nomination des juges de la Cour constitutionnelle.
Résultat, le Président avait affirmé ne plus pouvoir se résoudre au statu quo et souhaitait obtenir une nouvelle majorité, qui est aujourd’hui l’Union Sacrée de la Nation.
Outre, la rapture avec le FCC de Joseph Kabila, d’aucuns pensent que cette déclaration du ministre et membre influent de l’Union sacrée fait suite au départ du président du parti politique, Ensemble pour la République, Moïse Katumbi et les démissions de trois de ses ministres du gouvernement central.
« Ils n’ont pas encore compris que depuis 2015, plus rien ne leur réussi… et plus rien ne leur réussira ! J’adresse tous mes vœux de succès et de percée à l’ensemble de mes compatriotes épris de paix et d’amour de la patrie, RDC», a-t-il conclu.

"Le ministre Nicolas Kazadi s'adjoint les services d'un cabinet américain pour 1,2 million de dollars - 13/10/2022

Le gouvernement congolais s'est attaché les services d'un nouveau cabinet de consulting outre-Atlantique. [...] (135 mots)

"

"

"



."RDC: les recettes minières augmentent , le social décline
- 30 décembre 2022

= https://magazinelaguardia.info/2022/12/30/rdc-les-recettes-minieres-augmentent-le-social-decline/

"Festivités de fin d’années : Quid pour les fonctionnaires de l’Etat -
29 décembre 2022

=  https://magazinelaguardia.info/2022/12/29/festivites-de-fin-dannees-quid-pour-les-fonctionnaires-de-letat/

"Elections: les candidats seront soumis aux cahiers des charges
- 27 décembre 2022

= https://magazinelaguardia.info/2022/12/27/elections-les-candidats-seront-soumis-aux-cahiers-des-charges/


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COMMENT ÇA VA À L'UDPS ??? Empty Re: COMMENT ÇA VA À L'UDPS ???

Message  ndonzwau 5/1/2023, 2:55 am

EN VILLEGIATURE DE NOUVEL AN AU KASAI, SON FIEF TRIBAL, TSHISEKEDI A UNE FOIS DE PLUS ÉTÉ DÉÇU PAR SES 'MASH A MU MENU (SES FRÈRES DE SANG)' QUI ONT ENCORE DÉTOURNÉ LES FONDS DE L'ÉTAT POURTANT ALLOUÉS A LA RECONSTRUCTION DE LA PROVINCE. DÉÇU POUR DÉÇU  POURQUOI NE SANCTIONNE-T-IL JAMAIS LES COUPABLES QUI  SONT COMME DANS LE CAS DE TSHILEJELU ET D'AUTRES PROJETS ESSENTIELLEMENT SES PROCHES COLLABORATEURS  ?

Qu'on soit partisan ou comptenteur de Tshisekedi, une vérité saute aux yeux de tout observateur : le mandat de Tshisekedi est parcouru par des cas des collaborateurs qui détournent  et détournent  les fonds publics et restent impunis. Jusqu'où, jusqu'à quand  ???
[/i[



" RDC: pour le Nouvel An, Félix Tshisekedi s'est rendu au Kasaï Oriental - 02/01/2023
= https://amp.rfi.fr/fr/afrique/20230101-rdc-pour-la-nouvelle-ann%C3%A9e-f%C3%A9lix-tshisekedi-s-est-rendu-au-kasa%C3%AF-oriental

"Forum des As : « Les chantiers de Fatshi pâtissent du détournement systématique des fonds » - 03/01/2023
= https://www.radiookapi.net/2023/01/03/actualite/revue-de-presse/forum-des-les-chantiers-de-fatshi-patissent-du-detournement

"Les chantiers de Fatshi pâtissent du détournement systématique des fonds - 03/01/2023
= https://www.forumdesas.net/2023/01/les-chantiers-de-fatshi-patissent-du-detournement-systematique-des-fonds/


"Détournement supposé des millions USD dans l’espace Kasaï : « Il ne fallait pas que Félix Tshisekedi découvre le scandale sur place » (Steve Mbikayi)
= https://yabisonews.cd/detournement-suppose-des-millions-usd-dans-lespace-kasai-il-ne-fallait-pas-que-felix-tshisekedi-decouvre-le-scandale-sur-place-steve-mbikayi/

"Mupompa : le Chef de l’Etat se réjouit de l’érection de l’école primaire Dr Etienne Tshisekedi
- 03/01/2023

= https://www.forumdesas.net/2023/01/mupompa-le-chef-de-letat-se-rejouit-de-lerection-de-lecole-primaire-dr-etienne-tshisekedi/
= https://www.radiookapi.net/2023/01/04/actualite/politique/rdc-retour-de-felix-tshisekedi-kinshasa-apres-5-jours-au-kasai
= https://www.radiookapi.net/2023/01/03/actualite/societe/kasai-oriental-felix-tshisekedi-inaugure-le-centre-communautaire-de

"La revue de la presse kinoise de ce vendredi 3 janvier 2023
= https://www.digitalcongo.net/article/63b40aa05bc068c2955ce2a3

"RDC : Félix Tshisekedi soigne (tardivement) le Kasaï pour tenter de se faire reconduire à la présidence - 2 janvier 2023
= https://congolibere.com/rdc-felix-tshisekedi-soigne-tardivement-le-kasai-pour-tenter-de-se-faire-reconduire-a-la-presidence/amp/

"Kasaï Oriental : Félix Tshisekedi a inspecté l’évolution des travaux de réhabilitation de l’Université officielle de Mbuji-Mayi - 1 janvier 2023
= https://www.politico.cd/encontinu/2023/01/01/kasai-oriental-felix-tshisekedi-a-inspecte-levolution-des-travaux-de-rehabilitation-de-luniversite-officielle-de-mbuji-mayi.html/125174/

"RDC : Retour sur la visite de Félix Tshisekedi au Kasaï Oriental -

= https://linterview.cd/rdc-retour-sur-la-visite-de-felix-tshisekedi-au-kasai-oriental/amp/

"Congo Nouveau : « Tshisekedi : un deuxième réveillon au Kasaï... » - 30/12/2022[/b[
= https://www.radiookapi.net/2022/12/30/actualite/revue-de-presse/congo-nouveau-tshisekedi-un-deuxieme-reveillon-au-kasai



"Détournement présumé au Kasaï : Et le Gouvernement dans tout ça ? - 05/01/2023
= https://www.forumdesas.net/2023/01/detournement-presume-au-kasai-et-le-gouvernement-dans-tout-ca/
Y-a-t-il eu détournement des dizaines de millions de dollars destinés  notamment à la construction de l’Université de Mbuji-Mayi et à l’asphaltage de la route Mbuji-Mayi-Kananga ? Aux institutions compétentes de fixer l’opinion sur ce qui ressemble au compte d’apothicaire.  En attendant   de voir…clair dans  « ces affaires » de gros sous, une  question de principe -Etat de droit oblige- ne saurait  être passée par pertes et profits : par où est passé le Gouvernement dans la controverse sur le détournement présumé des fonds alloués aux infrastructures au Kasaï-Oriental ?  La mise  en cause -à tort ou à raison-  des conseillers et autres proches (au propre comme  au figuré) du chef de l’Etat  est une preuve par l’absurde que la  gestion de ces  fonds échappe au contrôle du Gouvernement.

C’est que  bien plus qu’une chronique de plus sur le détournement de l’argent public,  il  y a d’abord « détournement » des dispositions constitutionnelles. Notamment l’article 91 qui dispose : « Le gouvernement définit, en concertation  avec le Président de la République, la politique de la nation et en assume la responsabilité ;  il conduit la politique de l
Or, dans la polémique lancée et menée par des influenceurs  et  des communicants informels de la Fatshisphère, seuls des conseillers  et proches du Président sont cités    dans cette saga. Cela pose un vrai problème de responsabilité. Qui  va répondre- institutionnellement parlant – des actes de détournement, si cela est avéré ? Le chef de l’Etat n’étant pas politiquement responsable de la gestion courante du pays devant le Parlement. Seul le Gouvernement assumant  la responsabilité de la politique de la nation.
 Voilà la Présidence de la république -qui n’est pas une institution constitutionnelle- rattrapée  par l’abc de la Loi fondamentale. Dans le régime politique consacré par la Constitution du 18 février 2006. Les conseillers du Président n’ayant pas vocation à poser formellement des actes de gestion de la Res publica. Voilà le péché originel commis au seuil du quinquennat jouer un vilain tour à ceux qui avaient suggéré au successeur de JKK de définir et surtout de conduire personnellement la politique de la Nation via notamment  le projet 100 jours et ses succédanés.

Que le Président ait cherché à engranger personnellement le dividende des réalisations en particulier dans son fief naturel, rien de mal à cela.  Qu’il ait voulu incarner des chantiers à impact visible, c’est politiquement compréhensible. Le hic, c’est la forme. Mieux, le respect des textes, véritable marqueur  quasi doctrinal du long « combat pro Etat de droit »  de l’UDPS. Là est le cœur et le nœud de la question. 


"Félix Tshisekedi invité à nettoyer sa cour - 05/01/2023
= https://www.forumdesas.net/2023/01/felix-tshisekedi-invite-a-nettoyer-sa-cour/

COMMENT ÇA VA À L'UDPS ??? Felix-1

Pendant que le Président Félix Tshisekedi séjournait dans l’espace Kasaï, la polémique ne cessait d’enfler sur un prétendu détournement de fonds alloués aux travaux d’infrastructures dans cette partie de la République. Il s’agit des routes Kalamba-Mbuji-Mayi, Mbuji-Mayi-Kananga, la réfection de l’école Mudishi, le programme présidentiel de lutte contre les inégalités… Des travaux qui ont coûté une bagatelle de 120 millions USD décaissés par le Trésor Public, renseignent plusieurs sources.

Drôle de coïncidence, il y a un an et dans la même ville de Mbuji-Mayi, le Président de la République a eu à gérer la même clameur publique. En plein meeting populaire, le public conspuant certains des collaborateurs du chef de l’État au cri de « Bivi » (voleur en tshiluba).
Voilà que le retour du chef de l’État sur ses terres kasaiennes est marqué encore par des accusations de détournements lancées par des communicants connus pour être proches du Régime. Certes, à ce stade, on ne parle que de présomption. Mais au cas où ces détournements seraient avérés, on ne voit pas comment le Président de la République ferait l’économie d’un vrai coup de balai dans sa cour.
Nettoyer les écuries d’Augias pour le Premier d’entre les Congolais ne serait plus une nécessité, mais un impératif moral et éthique. Car, l’État de droit et son corollaire la bonne gouvernance riment avec la sanction. Félix Tshisekedi devrait se poser d’autant plus facilement en « père fouettard » qu’il s’agit là de sanctionner ses proches et non des membres du Gouvernement dont la procédure devrait passer par le Parlement.
Ne pas le faire à quelques encablures de la reddition des comptes pourrait donner à penser que l’impunité a encore la peau dure dans la cour présidentielle.

seul le president est comptable devant l’opinion publique
Cinquième Président de la RDC depuis l’indépendance, Félix-Antoine Tshisekedi dispose d’une jurisprudence riche sur le fait qu’en définitive seul le Président de la République est comptable devant l’opinion publique. Les proches collaborateurs de ses prédécesseurs (Maréchal Mobutu, Kabila père et fils) ne sont pas tenus responsables des difficultés dans lesquelles se trouve le Congo. Bien au contraire, nombre d’entre eux, au nom de la transhumance politique, se retrouvent dans sa famille politique.
Pour rappel, Fatshi a regagné Kinshasa le mardi 3 janvier après une visite de travail de cinq jours au Kasaï-Oriental, où il a passé le réveillon du Nouvel an. 
Durant son séjour est-kasaïen, le chef de l’Etat a inspecté des infrastructures, notamment à Kabeya Kamwanga, où il a visité le Centre d’intégration sociale « Étienne Tshisekedi wa Mulumba » et les sources d’adduction d’eau potable qu’aménage la Fondation Mutota.

Il s’est ensuite rendu à Mupompa, dans le territoire de Kabeya Kamwanga, où il a inauguré une école primaire moderne dénommée «Dr Étienne Tshisekedi wa Mulumba». Cet établissement scolaire de 24 salles de classe a été construit par le Service national.
C’est lors de son séjour dans ce coin du pays qu’il a constaté que les chantiers financés dans le cadre du projet Tshilejelu sont soit aux arrêts soit abandonnés. Ainsi, avant de quitter la ville de Mbuji-Mayi, il a donné de nouvelles orientations aux gouverneurs de l’espace Kasaï notamment sur le Programme de développement de 145 territoires.
Le président de la République a également présidé la réunion du Conseil de sécurité élargi du Grand Kasaï, à laquelle ont pris part les gouverneurs Mathias Kabeya (Kasaï-Oriental), John Kabeya (Kasaï-Central), Jules Lodi (Sankuru), Dieudonné Pieme (Kasaï) et Nathan Ilunga (Lomami).
Des généraux des FARDC et de la PNC, le Procureur général de Mbuji-Mayi et autres responsables des services de sécurité ont également été associés à cette réunion. 


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ndonzwau


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COMMENT ÇA VA À L'UDPS ??? Empty Re: COMMENT ÇA VA À L'UDPS ???

Message  ndonzwau 14/1/2023, 3:03 pm


"En RDC, Félix Tshisekedi peut-il compter sur l’UDPS ? - 11 janvier 2023
= https://www.jeuneafrique.com/1400873/politique/en-rdc-felix-tshisekedi-peut-il-compter-sur-ludps/
Lutte des clans, manque de leadership… Désormais aux affaires, l’ex-grand parti d’opposition peine à faire sa mue. Sera-t-il un véritable atout pour obtenir un second mandat dans un an ?
 
COMMENT ÇA VA À L'UDPS ??? Jad20221215-ass-rdc-tshisekedi-01-1256x628-1673424762
Porté à la tête de l’État à la suite d’une alliance avec Joseph Kabila, Félix Tshisekedi (au c.) ne dispose pas de majorité au Parlement. :copyright: Brian Inganga/AP/SIPA.
 
Ce 21 novembre, la nuit est déjà tombée depuis plusieurs heures sur Kinshasa lorsque Victor Wakwenda pousse la porte de l’une des cellules du pavillon 8 de Makala. Le vieil homme est fatigué. Quelques heures plus tôt, il a été arrêté, interrogé et vient d’être amené au centre de détention. Il a derrière lui des années de combat politique et ne compte plus les manifestations tendues auxquelles il a participé, mais c’est la première fois qu’il est ainsi jeté en prison. « Seigneur Jésus, qu’ai-je fait pour mériter cela ? », répète-t-il sans cesse.

Militants émérites

Ce notable de 79 ans se récite des versets bibliques presque compulsivement – cela le rassure au vu de la situation dans laquelle il est empêtré. Le procureur lui a expliqué qu’on l’accusait d’avoir tenté de renverser le pouvoir. « Moi ? Mais Seigneur Jésus… » Le 8, on dit que c’est le pavillon des VIP, mais même ici, l’établissement reste précaire et surpeuplé. Il y fait beaucoup trop chaud et le brouhaha incessant monte à la tête. Victor Wakwenda vient d’accomplir les formalités administratives et va tenter de trouver un matelas pour aller se reposer.À LIRERDC : face à Tshisekedi, les rêves de revanche de Jean-Marc Kabund
Il s’avance, lorsqu’il aperçoit un homme qu’il connait bien. Visage rond, crâne dégarni, Jean-Marc Kabund-a-Kabund a désormais ses habitudes ici. Au fond de la pièce, il joue aux dames. Wakwenda et lui n’échangent pas un mot, pas même un regard. Il y a un an, les deux hommes étaient pourtant alliés et comptaient parmi les dirigeants du parti de Félix Tshisekedi, l’Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS). Kabund en était le président intérimaire tandis que Wakwenda dirigeait la Convention démocratique du parti (CDP), sorte de Parlement interne. Chacun d’entre eux était une figure de l’UDPS, militant émérite depuis des décennies.
Mais il n’est plus question qu’ils se parlent. À la fin de janvier 2022, Wakwenda a été la main qui a signé la destitution et l’exclusion de Kabund, actant la chute spectaculaire de cet homme qui fut si influent auprès du chef de l’État congolais qu’il était surnommé le « vice-président ». Puissant, trop sans doute, il en était devenu agaçant et gênant. Après être passé à l’opposition, il a été inculpé pour outrage au gouvernement et au Parlement et offense au chef de l’État. Le voici depuis cinq mois à Makala.

Coup de poker

C’est maintenant au tour de Wakwenda de « tomber ». En novembre, il a tenté un coup de poker, annonçant la destitution du secrétaire général du parti, Augustin Kabuya. « Les statuts de l’UDPS prévoient que celui-ci soit dirigé par un triumvirat, composé en l’occurrence de Kabuya, Jacquemain Shabani [président de la Commission électorale permanente, CEP, par ailleurs conseiller principal du chef de l’État] et moi-même. Mais Kabuya se comporte comme s’il était le chef. Il dirige seul, alors qu’il n’en n’a ni le droit, ni les compétences, ni les qualités. Nous avons donc décidé de le destituer », explique Victor Wakwenda, qui dénonce la gestion opaque du secrétaire général.À LIRERDC : Félix Tshisekedi, seul contre tous en 2023 ? 
La sanction ne s’est pas fait attendre. Quelques jours plus tard, Kabuya avertissait à son tour de la destitution du président de la CDP, qui n’allait ensuite pas tarder à avoir des ennuis avec la justice. « [Wakwenda] a un problème de santé mentale ou quoi ?! », lançait alors Kabuya devant des militants, affirmant quelques jours plus tard que sa propre destitution était « une vaste blague […] qui avait pour but de déstabiliser le parti ».
À l’UDPS, les combats internes peuvent en effet avoir de quoi rendre fou. Alors qu’aucun des deux hommes ne reconnait la légitimité de la décision de l’autre et qu’il est encore difficile de connaître les conséquences de ces déclarations, ces passes d’armes révèlent les luttes des clans à l’œuvre au sein du parti de Félix Tshisekedi. « Tout cela n’est qu’une guerre pour le contrôle du parti », souligne un ancien compagnon de route d’Ét
"DES NÔTRES SERAIT AU POUVOIR, TOUT CHANGERAIT POUR EUX, MAIS CE N’EST PAS AINSI QUE CELA SE PASSE
Après avoir grandi en étant la principale formation d’opposition, l’UDPS, tout juste quadragénaire, peine à devenir un parti de gouvernement. Elle qui s’est construite en revendiquant un fonctionnement démocratique et pluraliste semble garder sa fougue, ses contradictions et ne pas savoir toujours comment canaliser ses « combattants » et les faire passer à l’âge de raison. À la fin de novembre encore, certains d’entre eux manifestaient violemment à la 10e rue Limete pour faire valoir leur mécontentement. « Ils pensaient qu’une fois qu’un des nôtres serait au pouvoir, tout changerait pour eux, mais ce n’est pas ainsi que cela se passe », soupire un cadre.

Influente Maman Marthe

« L’UDPS a été fondée en 1982 par treize parlementaires qui ont décidé de ne pas choisir un chef parmi eux. Le but était de dissoudre les responsabilités pour éviter que Mobutu ne puisse s’en prendre qu’à l’un d’entre eux », explique un ancien du parti, aujourd’hui passé à l’opposition. Et d’ajouter : « Cela offrait des avantages, mais a aussi créé une faiblesse et des tensions pour obtenir le réel leadership et le pouvoir. Elles n’ont jamais vraiment disparu. » L’un des dirigeants de l’UDPS réclamant l’anonymat décrypte : « Entre Kabuya et Wakwenda se joue un face-à-face entre le clan familial conduit par “Maman Marthe”, et les autres. »
Souvent dans l’ombre, Marthe Kasalu Tshisekedi, a la parole rare mais dispose d’une influence immense. La mère du chef de l’État est devenue si incontournable que certains estiment qu’elle a fait de la rue Pétunias, où se trouve sa résidence à Limete, le véritable siège de l’UDPS. « Dès qu’Étienne Tshisekedi a été malade, elle a pris de l’importance et a tenté d’imposer son fils à la tête du parti. À la mort du Sphinx, elle a pris le pouvoir », estime Albert Moleka, l’ancien directeur de cabinet d’Étienne Tshisekedi, qui a rompu avec la famille. « Augustin Kabuya est depuis longtemps l’un de ses proches. »À LIRERDC : quel rôle joue vraiment Marthe Tshisekedi, la mère du chef de l’État ?
« Kabuya est un pantin obéissant », s’agace un membre de l’entourage de Kabund-a-Kabund, dont celui-ci fut longtemps considéré comme le bras droit. « J’ai contribué à ce qu’il prenne du galon au sein de l’UDPS, c’est un militant dévoué. Mais c’est un exécutant, pas un chef », estime de son côté Victor Wakwenda qui, comme beaucoup au sein du parti, s’inquiète qu’aucune figure ne se soit véritablement imposée depuis la mort d’Étienne Tshisekedi.

Le challenge de la prochaine présidentielle

Bien que contesté, Augustin Kabuya est aujourd’hui de fait l’homme fort du parti présidentiel. Il a la confiance de Maman Marthe, « se prévaut d’avoir l’oreille du président et tient les finances de l’UDPS », résume l’un des hauts cadres du parti. C’est lui qui est chargé de conduire le parti vers la prochaine élection présidentielle et d’assurer la réélection de Félix Tshisekedi.
« Ces six derniers mois, beaucoup de choses ont été faites pour que l’UDPS avance dans la bonne direction et que la cohésion soit retrouvée. Nous avons conscience de nos failles et nous sommes en train de les combler, nous savons quels sont nos défis et mettons tout en œuvre pour les relever », assure Jacquemain Shabani, qui réfute l’existence de clans. « L’UDPS se porte bien, même si elle peut encore se porter mieux. »
Forte mobilisation des militants, expérience…  Au sein de la direction du parti, on reste humbles mais confiants. « En l’état actuel des forces, Félix est le favori de la présidentielle de décembre prochain. Mais cette élection reste un challenge, et nous le savons », poursuit Shabani. Si les principaux opposants partent en ordre dispersé et que Félix Tshisekedi parvient à conserver son alliance avec Vital Kamerhe et Jean-Pierre Bemba, l’UDPS veut croire qu’elle parviendra à octroyer son second mandat à « Béton ».

Difficile majorité

L’équation s’annonce beaucoup plus complexe pour les législatives, qui se dérouleront au même moment. Porté à la tête de l’État à la suite d’une alliance avec Joseph Kabila, Félix Tshisekedi ne dispose pas de majorité au Parlement. L’UDPS ne compte même que 32 députés sur les 500 qui siègent à l’Assemblée nationale et n’a d’autre choix que de s’appuyer sur ses alliés pour faire voter ses textes – le Front commun pour le Congo (FCC) de Joseph Kabila durant deux ans, puis les partis membres de l’Union sacrée depuis 2021.
« Nous ne voulons pas que le second mandat ressemble au premier. Notre objectif est d’être le parti avec le plus de députés dans la future assemblée », explique Jacquemain Shabani. Selon plusieurs sources, l’état-major de l’UDPS s’est fixé pour but de tripler son résultat de 2018, soit d’obtenir une centaine de sièges pour les cinq prochaines années.
"IL Y A QUELQUE CHOSE QUE BEAUCOUP OUBLIENT : DEPUIS 2018, L’UDPS A SON CHEF AU POUVOIR, MAIS LE PARTI N’A PAS LE POUVOIR
« L’UDPS est en voie de décomposition avancée, cingle l’un des frondeurs. Depuis la mort d’Étienne Tshisekedi en 2017, elle ne fait que se déliter et est de plus en plus faible. Il y a eu la vague de départ à cette époque-là, avec Bruno Tshibala [alors Premier ministre] puis Samy Badibanga [premier vice-président du Sénat à ce moment]. Et aujourd’hui, beaucoup ne sont là que pour l’argent. Nous, nous sommes des résistants, mais la réalité est que le parti est disloqué », abonde Victor Wakwenda.
Des propos rejetés en bloc par la direction de l’UDPS, qui rappelle, que contrairement à la plupart des partis congolais, la formation a survécu à la disparition de son chef. « Vous nous jugerez après les élections ! » insiste un cadre du parti. Et de conclure : « Beaucoup oublient que si depuis 2018 l’UDPS a son chef au pouvoir, il n’a pas le pouvoir. » L’objectif est clair : ce pouvoir, il faut désormais le conquérir.


"Félix Tshisekedi devant les cadres de l’UDPS : « J'ai trouvé un pays qui était complètement démoli que j’ai eu au début un sentiment de désespoir » - 14.01.2023
= https://www.mediacongo.net/article-actualite-116109_felix_tshisekedi_devant_les_cadres_de_l_udps_j_ai_trouve_un_pays_qui_etait_completement_demoli_que_j_ai_eu_au_debut_un_sentiment_de_desespoir.html
Le président Félix-Antoine Tshisekedi a, mercredi devant les cadres de l’Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS) qu’il recevait à la cité de l’Union africaine, indiqué qu’il avait trouvé à son avènement un pays « complètement démoli ».
Alors qu’il est à une année de la fin de son mandat, le chef de l’État reste convaincu que le programme de développement des 145 territoires est la meilleure formule qu’il ait trouvée pour le décollage du pays.


« Tout était planifié pour maintenir le Congo dans une position de faiblesse et de dépendance. Le pays avait reculé très loin de plusieurs années (…). Mais vous pouvez en être sûrs que le pays est sauvé, réellement sauvé », a-t-il fait savoir.
Et d’ajouter : « Sachez que le pays avait été complétement démoli, à telle enseigne que j’ai eu au début un sentiment de désespoir. Mais un jour, j’ai pensé au programme de 145 territoires auquel nous avons associé la BCECO, le PNUD et autres. Ces agences reconnues mondialement ont, entre autres, la mission de recruter des entreprises qui devront réaliser des travaux dans le cadre de ce programme dont la construction des bâtiments administratifs dans chaque territoire, la construction des écoles, routes, centres de santé, etc. Les moyens sont là pour financer la première et la seconde phase du projet. 1,450 milliards de dollars sont disponibles pour l’ensemble du pays en raison de 10 millions de dollars par territoire ».

Pour Tshisekedi, le Congo devrait être placé comme leader des nations en Afrique et parmi des pays leaders au monde.
« Je peux vous rassurer ici que nous sommes dans la bonne voie (…). Nous avons déjà la victoire, elle doit être convertie en une réalité, en une victoire totale. Seulement, vous devez vous armer de la patience et des stratégies », a-t-il conscientisé les membres de son parti.
Ce 24 janvier, Félix-Antoine Tshisekedi totalisera 4 ans à la tête du pays. Jusque-là, la plupart des projets qu’il a initiés se sont soldés par des scandales de détournement de fonds. Le dernier en date est le projet Tshilejelu qui devait construire des infrastructures routières à Kinshasa et dans la région kasaïenne.


"Fiasco Tshilejelu : le PG près la Cassation attend de l’IGF un rapport détaillé - 13/01/2023
= https://ouragan.cd/2023/01/fiasco-tshilejelu-le-pg-pres-la-cas
Firmin Mvonde, le procureur général près la Cour de Cassation, a demandé à l’Inspection générale des finances -IGF- de lui faire parvenir, toutes affaires cessantes, un rapport détaillé sur les auteurs du fiasco du projet Tshikejelu. Ce projet présidentiel vise à réhabiliter et moderniser la voirie des villes de Kinshasa -39,72 km-, Mbuji Mayi -25,32 km-, Kabinda -10,5 km-, Lusambo -10 km-, Kananga -35 km-, Mweneditu -5,5 km- et Tshikapa -15,39 km- pour 138 millions de dollars.

COMMENT ÇA VA À L'UDPS ??? PSX_20230113_181349
vue d’un chantier du projet Tshilejelu visité par une autorité provinciale @ Photo Droits tiers

A l’Inspecteur général-Chef de service de l’IGF Jules Alingete, le Procureur général Mvonde a également requis des précisions sur le montant que l’entreprise chinoise CREC-7 et UBA Banque doivent restituer au Trésor public à la suite de la résiliation du contrat avec le gouvernement de la République Démocratique du Congo.
Lire aussi :
RDC : les ministres bois morts au placard
Les poursuites sont imminentes, ont assuré des sources concordantes vendredi, quelques jours après le séjour du président de la République Félix Tshisekedi et le triste constat de la débâcle de ses différents projets dans la région du Kasaï et dans la capitale à cause de détournements.
En octobre 2021, Jules Alingete avait déjà alerté sur l’échec de Tshilejelu, qualifié par lui d’escroquerie planifiée, émettant de sérieux doutes sur les capacités techniques de la société CREC-7. Les suites, très fâcheuses, donnent raison au flic en chef de l’Inspection générale des finances après 19 mois de tâtonnements et d’immobilisme pour seulement 25% du taux d’exécution au Kasaï Oriental et au Kasaï central.
Quelques jours après le passage de Tshisekedi au Kasaï Oriental, le maître d’ouvrage délégué, l’OVD, a officialisé, la rupture du contrat avec CREC-7 pour « retard dans l’exécution des travaux ». L’OVD, en sa qualité de maître d’ouvrage délégué, a expliqué qu’après environ 19 mois, le taux d’exécution des travaux était de 25% au Kasaï central et 35% au Kasaï oriental.
Parallèlement à l’initiative du procureur général près la Cour de cassation, des équipes de la présidence de la République, du gouvernement central, des gouvernements provinciaux du Kasaï oriental et du Kasaï central, renforcées par des délégués des structures de lutte contre la corruption, ont fait le déplacement de Lubumbashi, dans le Haut-Katanga, pour vérifier les informations selon lesquelles des containers avec des matériels destinés au projet traîneraient dans les entrepôts de la Société nationale des chemins de fer du Congo -SNCC.
Africanewsrdc



"Tshisekedi annonce officiellement le remaniement du gouvernement dans les prochains jours ! - 13.01.2023
= https://okapinews.net/politique/remaniement-du-gouvernement-panique-generale-dans-le-camps-des-ministres-apres-lannonce-de-tshisekedi/
Vendredi, 13 janvier 2023-C’est désormais officiel. Le président de la République, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo a annoncé officiellement le remaniement ministériel du gouvernement Sama dans les tous prochains jours.
Le chef de l’État l’a dit aux membres du gouvernement ce vendredi 13 janvier au cours de la réunion du conseil des ministres tenue par visioconférence.
Du côté des membres du gouvernement, c’est la panique générale. Tout le monde veut rester, personne ne veut partir. Des contacts sont activés, les appels se multiplient depuis vendredi soir, personne ne maîtrise au stade actuel.
Il s’agira, à en croire des sources proches de la présidence de la République, d’un réaménagement technique.

“Le premier ministre va rester en fonction. Certains membres vont partir, d’autres vont rester. Les rapports d’évaluation des membres du gouvernement ont été examinés et le président de la République a tiré des conclusions…”, Dit notre source qui a requis l’anonymat.

Les secrets de la tournée de Mbandaka
Si cela paraît comme une surprise pour certains, ce n’est pas le cas pour d’autres membres du gouvernement. Une source mieux informée confirme que le président de la République avait déjà fait mention du remaniement au cours d’une réunion restreinte avec quelques membres du gouvernement à Mbandaka dans la province de l’Équateur.
“Des ministres qui seront maintenus savent déjà leur sort. Ils ont déjà la parole d’honneur du président de la République”, dit notre source.
Nous y reviendrons !


"Salubrité et insécurité au menu des entretiens entre Félix Tshisekedi et les bourgmestres de Kinshasa - 13.01.2023
= https://www.mediacongo.net/article-actualite-116048_salubrite_et_insecurite_au_menu_des_entretiens_entre_felix_tshistekedi_et_les_bourgmestres_de_kinshasa.html

"le conseil présidentiel de veille stratégique présente à Félix Tshisekedi, sa feuille de route pour l’exercice 2023 ! - 12.01.2023
= https://www.mediacongo.net/art
= https://www.mediacongo.net/article-actualite-116004_felifx_tshisekedi_nomme_bob_moba_comme_son_directeur_de_protocole.html

"Christophe Lutundula : « Félix Tshisekedi m’a fait confiance, je lui renvoie l’ascenseur » - 2 janvier 2023 -
= https://www.jeuneafrique.com/1405227/politique/ch

"Tentative d’assassinat du président de la République : Zacharie Bababaswe demande à Joseph Kabila d’être clair - 13.01.2023
= https://www.mediacongo.net/article-actualite-116059_tentative_d_assassinat_du_president_de_la_republique_zacharie_bababaswe_demande_a_joseph_kabila_d_etre_clair.html
= https://www.forumdesas.net/2023/01/pretendue-menace-dun-attentat-terroriste-a-kinshasa-une-fausse-alerte/


"RDC: Félix Tshisekedi désapprouve Jean Lucien Bussa et Didier Budimbu - 13 janvier 2023
= https://actualite.cd/2023/01/13/rdc-felix-tshisekedi-desapprouve-jean-lucien-bussa-et-didier-budimbu
= https://actualite.cd/2023/01/13/rdc-le-bcnudh-deplore-la-montee-des-discours-incitatifs-la-discrimination-lhostilite-et
= https://www.radiookapi.net/2023/01/14/actualite/societe/rdc-le-bcnudh-inquiet-de-la-montee-des-discours-incitatifs-la
"En RDC, deux ministres de Félix Tshisekedi font des déclarations « racistes »
= https://www.jeuneafrique.com/1408481/politique/en-rdc-deux-ministres-de-felix-tshisekedi-font-des-declarations-racistes/



"La Miba réagit aux accusations de malversations financières - 13/01/2023
= https://ouragan.cd/2023/01/la-miba-reagit-aux-accusations-de-malversations-financieres

"Tshisekedi, rien que 10 mois d’actions ! - 12/01/2023
= https://ouragan.cd/2023/01/tshisekedi-rien-que-10-mois-dactions

"Fatshi sensibilise les bourgmestres - 13/01/2023
= https://www.forumdesas.net/2023/01/fatshi-sensinbilise-les-bourgmestres/


"RDC: la Cour des comptes confirme l’ouverture d’une enquête sur le détournement des fonds alloués aux travaux de construction des universités - 11 janvier 2023
= https://www.politico.cd/la-rdc-a-la-une/2023/01/11/rdc-la-cour-des-comptes-confirme-louverture-dune-enquete-sur-le-detournement-des-fonds-alloues-aux-travaux-deg-construction-des-universites.html/125888/

"



Compatriotiquement!


# Si haut que l'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul # # Que faisait Dieu avant la création ? De toute éternité, il préparait d'épouvantables supplices pour celui qui poserait cette question. #

ndonzwau


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COMMENT ÇA VA À L'UDPS ??? Empty Re: COMMENT ÇA VA À L'UDPS ???

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