FATSHI BETON TOUT DROIT DANS LA DERNIÈRE LIGNE AVANT LES PROCHAINES ÉLECTIONS ?!?
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FATSHI BETON TOUT DROIT DANS LA DERNIÈRE LIGNE AVANT LES PROCHAINES ÉLECTIONS ?!?
FATSHI BETON TOUT DROIT DANS LA DERNIÈRE LIGNE AVANT LES PROCHAINES ÉLECTIONS ?!?
Lors de son dernier voyage au Brésil, dans ses échanges avec la diapora le président Tshisekedi s'est expressément félicité d'avoir reussi deux paris(!), la visite du Pape et les Jeux de la Francophonie et dans la foulée s'est promis le dernier de son mandat, les élections generales de décembre.
Les elections, un defi pour le PR, bien sûr, sauf à préciser que leur réussite ne dépend peut-être pas ni du respect des délais, ni même qu'elles se déroulent comme l'ont prévu le PR et sa Ceni, à la
limite il n'y a aucun doute sur ce passage en force; elles auront lieu même sans un consensus minimal. Mais pour être vraiment réussi le processus nécessiterait qu'il ne soit pas gravement contesté. Cela le PR ne peut pas nous le garantir.
Alors ces élections provoqueront-elles ou pas un après trop chahuté qui aille jusqu'à bousculer l'état de la Nation parce qu'elles n'auront pas été assez inclusives comme celles d'avant et comment le PR gerera-t-il une telle situation ?
Voilà les questions que j'oppose à l'enthousiasme assumé du PR !
Compatriotiquement!
# Si haut que l'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul #
# Que faisait Dieu avant la création ? De toute éternité, il préparait d'épouvantables supplices pour celui qui poserait cette question. #
Lors de son dernier voyage au Brésil, dans ses échanges avec la diapora le président Tshisekedi s'est expressément félicité d'avoir reussi deux paris(!), la visite du Pape et les Jeux de la Francophonie et dans la foulée s'est promis le dernier de son mandat, les élections generales de décembre.
Les elections, un defi pour le PR, bien sûr, sauf à préciser que leur réussite ne dépend peut-être pas ni du respect des délais, ni même qu'elles se déroulent comme l'ont prévu le PR et sa Ceni, à la
limite il n'y a aucun doute sur ce passage en force; elles auront lieu même sans un consensus minimal. Mais pour être vraiment réussi le processus nécessiterait qu'il ne soit pas gravement contesté. Cela le PR ne peut pas nous le garantir.
Alors ces élections provoqueront-elles ou pas un après trop chahuté qui aille jusqu'à bousculer l'état de la Nation parce qu'elles n'auront pas été assez inclusives comme celles d'avant et comment le PR gerera-t-il une telle situation ?
Voilà les questions que j'oppose à l'enthousiasme assumé du PR !
"Fatshi : Cap sur les élections en décembre - 10/08/2023
= https://www.forumdesas.net/2023/08/fatshi-cap-sur-les-elections-en-decembre/
Faudrait-il y voir la baraka ? S’agirait-il de l’alignement des planètes ? Possiblement. Toujours est-il que dans son concours de saut d’obstacles que constituent les trois challenges majeurs de l’année en cours, Fatshi en a franchi deux. Avec succès. Fin janvier et début février, Kinshasa s’est offert le Pape François. Il y a moins d’une semaine, la capitale rd congolaise vient de gagner le pari des jeux de la francophonie .De quoi donner des ailes à notre » Fatshi national « .
Au demeurant, qui reprocherait au Président de surfer sur cette dynamique positive ? Ne dit-on pas qu’il faut battre le fer pendant qu’il est chaud ? En politique comme en sport, il faut profiter du temps fort. Alors, jamais deux sans trois ? Vu de la Fatshisphère, poser la question, c’est y répondre. Cap sur les élections en décembre. Promis- juré. Et comme sous les tropiques africaines , on n’organise pas ou ne finance pas les élections pour les perdre, on peut imaginer la suite .
Seulement voilà, le troisième défi n’est pas tout à fait de même nature que les deux premiers challenges. Si pour la visite du Souverain pontife et les jeux de la francophonie, le Gouvernement détenait entre ses mains le levier essentiel de la réussite de ces deux rendez-vous, il n’en va pas de même pour les élections.
Ici, tout ne dépend pas que du Pouvoir. Les scrutins étant l’affaire de toutes les parties prenantes. Et comme compétition, les élections supposent forcément la présence des « compétiteurs« . Or, jusqu’à ce jour, pas grand-chose ne plaide pour un match mettant aux prises au moins deux camps opposés. En clair, à part une certaine « opposition gentille » – il y en a toujours existé dans ce pays sous tous les régimes -, aucun challenger de poids au Président sortant ne dit du bien du processus électoral en cours. Les opposants ont-ils raison ou ont-ils tort ?
Difficile de trancher dans un pays où chacun voit midi à sa porte. Toujours est-il que cette absence de consensus même à minima, cet accord sur le désaccord n’est pas de bon augure pour la tenue d’élections réellement inclusives. Illusoire dans ces conditions de rêver d’un après-scrutin apaisé. Impossible de guérir de ces élections comparables à un remède plus dangereux que le mal qu’il est censé soigner. Ces élections- formalités que l’on organise rituellement dans nombre de pays du Continent pour sauver les apparences du « standard démocratique« .
Quitte à croire et à faire croire que la démocratie se réduit aux élections. Quitte aussi à donner l’impression que les élections constituent une fin en soi, mieux la fin dernière. Alors qu’elles ne sont qu’un des moyens de l’exercice de la souveraineté populaire.
Le hic, c’est que pour ce troisième défi, l’obstacle comme dans le sport équestre, peut se présenter sous mille et une formes.
"Fatshi à l’épreuve du troisième saut d’obstacles - 10/08/2023
= https://www.forumdesas.net/2023/08/fatshi-a-lepreuve-du-troisieme-saut-dobstacles/
* Le Chef de l’Etat a dit hier depuis le Brésil sa détermination à gagner le troisième pari de cette année
Le Président de la République, Félix Tshisekedi, confirme la tenue des élections en décembre 2023. Le Chef de l’Etat l’a dit à la diaspora congolaise du Brésil en marge du sommet sur le bassin de l’Amazonie
Exit le glissement. La présidentielle, prévue le 20 décembre, couplée à l’élection des députés nationaux et provinciaux ainsi que des conseillers communaux, aura lieu à la date échue.
Au cours de sa rencontre d’une heure avec la diaspora du Brésil, le Président de la République a confirmé la tenue des élections législatives et présidentielle en décembre 2023 et fait part de sa détermination à conduire ce processus jusqu’à son aboutissement.
« Cette année, nous avons trois grands événements: la visite du Pape François en janvier, la tenue des 9èmes Jeux de la francophonie et l’organisation des élections en décembre « , a indiqué le Chef de l’Etat. « Je sais qu’il y a, en interne comme en externe, des personnes qui veulent saboter le processus électoral. Mais je vous assure que je reste déterminé à réussir ce pari comme nous l’avons fait avec les deux autres événements « , a fait savoir le Président Tshisekedi.
Pour l’avoir vécu lors des précédentes élections, repoussées de deux ans, certains Congolais doutent encore de l’organisation du vote en temps et en heure et s’attendent au glissement.
Mais les autorités affirment que les élections auront bien lieu » dans les délais constitutionnels » et, surtout, la Commission électorale nationale indépendante (Céni) a jusqu’à présent respecté son calendrier. La Centrale électorale a enrôlé les électeurs et leur a délivré des cartes. Ce qui lui a permis de refaire le fichier électoral, toiletté par un audit externe et a servi de base à la loi de répartition des sièges, votée par le Parlement et promulguée le 15 juin.
Du 26 juin au 15 juillet, la CENI a ouvert les BRTC à la députation nationale pour le dépôt et le traitement des dossiers des candidatures. Elle ne s’est pas arrêtée là. Il y a quelques jours, elle a convoqué l’électorat pour les députés provinciaux et des conseillers communaux.
Sauf mauvaise foi manifeste, techniquement, la Centrale électorale a prouvé qu’elle pouvait tenir les échéances.
Seulement voilà. L’opposition doute de la transparence du processus électoral en cours et n’a donc pas confiance.
A quelque quatre mois des élections, les opposants crient à haute et intelligible voix que le fichier électoral est « fantaisiste« .
Ce n’est pas tout. Les opposants mettent en cause les compositions de la CENI elle-même et celle de la Cour constitutionnelle, dernier verrou électoral. Ils estiment qu’au niveau juridique, le pouvoir possède tous les leviers.
Il y a quelques mois, les formations de quatre opposants, candidats déclarés à la présidentielle, organisaient des manifestations pour réclamer une refonte de ces organes qui, selon eux, vont mener à la fraude et au chaos.
Le quatuor Martin Fayulu, Moïse Katumbi, Matata Ponyo et Delly Sesanga considèrent aussi que le fichier électoral est « fantaisiste « , notamment parce que « l’enrôlement » n’a pu avoir lieu dans des territoires en proie aux violences armées et que l' » audit » a été réalisé en un temps record de cinq jours. Ils réclament depuis l’audit du fichier par un cabinet international indépendant.
La famille politique de Joseph Kabila quant à elle, a jusqu’à présent demandé à ses militants de boycotter le processus électoral.
Martin Fayulu a annoncé que son parti ne va pas déposer les listes des candidats à tous les niveaux si le fichier électoral n’est pas audité par un cabinet indépendant et neutre en vue de garantir la transparence du processus.
Le gouvernement voit, à travers les revendications de l’opposition qui soupçonne la CENI de préparer la fraude électorale en complicité avec le pouvoir, la démarche pour un dialogue car n’étant pas prête pour les élections.
« S’il faut aller dans le fond de ce qui est demandé, nous sortons des délais électoraux. C’est le dialogue qu’on veut, on passe par des voies détournées. S’il faut refaire le fichier électoral on refait l’enrôlement et on aura dépassé le délai « , indique le ministre de la Communication et porte-parole du Gouvernement, Patrick Muyaya.
Ce dernier estime que » les différents candidats devraient plutôt se préparer et surtout apporter du contenu parce que les congolais ont soif d’entendre les projets des uns et des autres « , martèle Muyaya.
"Élections 2023 : « Je reste déterminé à réussir ce pari comme nous l’avons fait avec la visite du Pape et les Jeux de la Francophonie » (Tshisekedi) - 10.08.2023
= https://actu30.cd/2023/08/elections-2023-je-reste-determine-a-reussir-ce-pari-comme-nous-lavons-fait-avec-la-visite-du-pape-et-les-jeux-de-la-francophonie-tshisekedi/
Lors de son séjour au Brésil, où il participe au sommet sur le bassin l’Amazonie, le président de la République démocratique du Congo a échangé, ce mercredi 09 août 2023, à BelemdoPara, avec la diaspora congolaise vivant dans ce pays.
Au cours des échanges, Félix Tshisekedi a insisté que les élections auront bel et bien lieu en RD. Congo dans le délai constitutionnel.
« Je sais qu’il y a, en interne et en externe, des personnes qui veulent saboter le processus électoral. Mais je vous assure que je reste déterminé à réussir ce pari comme nous l’avons fait avec la visite du Pape François et les Jeux de la Francophonie », a dit le chef de l’État.
Par ailleurs, le président Tshisekedi s’est réjoui de la relance de la coopération entre le Brésil et la RDC.
« C’est depuis 1987 que les relations entre le Brésil et la RDC sont restées en veilleuse », a-t-il ajouté.
En outre, le chef de l’Etat a annoncé la tenue dans les prochains jours du sommet trilatérale entre le Brésil, la RDC et l’Indonésie « sur la préservation de nos forêts tropicales » à Kinshasa.
Il faut noter que le président Tshisekedi, sera reçu, ce même mercredi, par son homologue brésilien Lula Da Silva.
"Élections en RDC : une dernière ligne droite semée d’embûches - 09.08.2023
= https://www.jeuneafrique.com/1471865/politique/elections-en-rdc-une-derniere-ligne-droite-semee-dembuches/
À Kinshasa et à travers toute la RDC, la course contre la montre est lancée. Afin d’éviter un glissement, les organisateurs des élections vont tenter de valider à marche forcée les multiples étapes qui doivent emmener le pays vers les élections générales. Mais les obstacles sont légion.
Par Damien Glez
Dessinateur et éditorialiste franco-burkinabè.
Félix Tshisekedi devra résoudre le grand casse-tête électoral d’ici à la fin de l’année.
Damien Glez
Dans le grand barnum que constitue l’organisation des élections générales congolaises prévues en décembre prochain, chaque phase est une gageure. Les deadlines des requis d’étape se succèdent à un rythme soutenu, chaque grain de sable pouvant gripper une machine électorale sur laquelle plane l’épée de Damoclès d’un éventuel « glissement » de triste mémoire. Or, à la mi-juillet, la Commission électorale nationale indépendante (Céni) avait été obligée d’annoncer une prolongation de sept jours du délai consacré au dépôt des candidatures aux postes de députés nationaux…
Ainsi en allait-il d’un paradoxe tout congolais : l’immense RDC, qui compte 910 partis politiques autorisés à fonctionner, enregistrait alors un déficit de candidats dans certaines zones. En ce début du mois d’août, à moins de vingt semaines du couperet électoral, le pouvoir tient cependant à réaffirmer que les scrutins se tiendront à la date prévue. Absorbé serait le report de la mi-juillet, 24 802 candidats de cinq partis et d’une trentaine de regroupements ayant été homologués pour le sprint consacré à la députation nationale. Avec, en moyenne, une cinquantaine de candidatures pour un siège, le taux est inédit depuis les élections
Processus titanesque
Le président de la Céni ne risque pas pour autant de s’endormir sur ses lauriers. Car les élections couplées offrent de multiples facettes. Avant même d’évaluer les risques sécuritaires ou de jauger le casting du scrutin phare – la présidentielle –, Denis Kadima Kazadi procédait, le 2 août dernier, à la convocation de l’électorat pour les élections des députés provinciaux et des conseillers communaux. Pour les premiers sont anticipés près de 50 000 candidats. Pour les seconds, incarnation ultime de la démocratie locale, il s’agira de mettre fin à une disette électorale de plus de trois décennies.
Dans le processus titanesque qui devrait conduire au rendez-vous historique du 20 décembre, l’accent est mis sur la participation souhaitée des jeunes et des femmes dans la gestion de la cité…. Quand les candidatures aux élections locales seront connues, les yeux se braqueront immanquablement sur les présidentiables, qui, déjà, sortent peu à peu du bois, comme le chef de l’État, Félix Tshisekedi, Hortense Kavuo, Marie-Josée Ifoku, Moïse Katumbi, Christian Mambu Ma Binkubula ou encore Matata Ponyo Mapon, qui, lui, a déjà présenté son programme.
Si Martin Fayulu ne revenait pas sur son boycott, la dernière inconnue de l’équation pourrait être la position du Prix Nobel de la paix Denis Mukwege. Un regroupement politique qui se réclame de lui a déjà déposé une liste pour les législatives. Au sein du compte à rebours congolais, qui se poursuit, chacun à son propre calendrier…
"La Prospérité : « Elections 2023 : Félix Tshisekedi confirme et rassure ! » - 10/08/2023 -
= https://www.radiookapi.net/2023/08/10/actualite/revue-de-presse/la-prosperite-elections-2023-felix-tshisekedi-confirme-et
"En RDC, les pro-Tshisekedi dans les starting-blocks pour les législatives - 11.08.2023
= https://www.jeuneafrique.com/1472908/politique/en-rdc-les-pro-tshisekedi-dans-les-starting-blocks-pour-les-legislatives/
"RDC, Martin Fayulu fait cavalier seul dans la dernière ligne droite - 09.08.2023
= https://www.jeuneafrique.com/1471769/politique/en-rdc-martin-fayulu-fait-cavalier-seul-dans-la-derniere-ligne-droite/
Au sein d’une opposition divisée, Fayulu refuse pour l’instant de déposer des candidatures pour les élections du 20 décembre, tout en se disant partie prenante d’un processus électoral dont il dénonce le manque de transparence. Mais ira-t-il jusqu’à renoncer à la présidentielle ?
Martin Fayulu à Kinshasa, le 13 novembre 2022. :copyright: Samy Ntumba Shambuyi
N’allez pas parler de « boycott » à Martin Fayulu. Alors qu’il dénonce depuis plusieurs mois le processus électoral, qu’il juge « corrompu », et qu’il refuse pour le moment d’aligner des candidats pour les scrutins prévus le 20 décembre, l’opposant maintient mordicus qu’il reste candidat à la prochaine élection présidentielle. « Le mot de boycott n’a jamais fait partie de notre vocabulaire », nous a-t-il assuré lors d’un entretien téléphonique, le 7 août. « Je suis candidat pour le scrutin présidentiel de décembre 2023. Mais nous irons aux élections crédibles, transparentes, impartiales, inclusives et apaisées. »
À LIRERDC – Martin Fayulu : « Félix Tshisekedi va devoir partir »
La précision peut sembler superficielle. Mais si le patron du parti Engagement pour la citoyenneté et le développement (Ecidé) prend soin d’insister sur ce point, c’est qu’il sait qu’à cinq mois des élections, sa stratégie déroute. Depuis plusieurs semaines, il se trouve dans une position d’équilibriste. S’il refuse de parler de « boycott », il assume pour l’instant de ne pas impliquer de candidats dans un processus qu’il estime non-transparent, se plaçant, de fait, en retrait de celui-ci.
« L’audit est un torchon »
"Députation nationale : Adolphe Muzito se lance avec 716 candidatures - 11 août 2023
= https://7sur7.cd/index.php/2023/08/11/deputation-nationale-adolphe-muzito-se-lance-avec-716-candidatures
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Compatriotiquement!
# Si haut que l'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul #
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