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LE PROCESSUS ÉLECTORAL EN QUESTION !? KADIMA AVEC SA CENI A SES CONDITIONS, EN VIOLATION DES RÈGLES, DES LOIS ET DU BON SENS : PAS DE PUBLICATIONS DES RÉSULTATS PAR BUREAU MAIS UNE CONSULTATION AUPRÈS D'UN PRÉPOSÉ...

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Message  ndonzwau 14/10/2023, 11:22 am

LE PROCESSUS ÉLECTORAL EN QUESTION !? KADIMA AVEC SA CENI A SES CONDITIONS, EN VIOLATION DES RÈGLES, DES LOIS ET DU BON SENS : PAS DE PUBLICATIONS DES RÉSULTATS PAR BUREAU MAIS UNE CONSULTATION AUPRÈS D'UN PRÉPOSÉ...

Il n'y aura pas bon an mal an d'hécatombe à la suite des elections frauduleuses qui se profilent à l'horizon, la resilience voire l'apathie de notre peuple est connue ; n'empêche que nous aurons fait un pli de plus dans le retard innaceptable à refonder notre Etat. Il est en effet combien laborieux de construire à partir des mensonges. A bon entendeur...



"Élections générales en RDC: polémique autour de l’affichage des listes électorales - 13.10.2023
= https://www.rfi.fr/fr/afrique/20231013-%C3%A9lections-g%C3%A9n%C3%A9rales-en-rdc-pol%C3%A9mique-autour-de-l-affichage-des-listes-%C3%A9lectorales
En RDC, nouvelle polémique autour de l’organisation des élections générales de la fin d’année, prévues le 20 décembre 2023. Cette fois-ci la polémique tourne autour de l’affichage des listes électorales. La Commission électorale a déclaré en début de semaine que ces listes ne seront pas affichées de façon traditionnelle, mais que la consultation pourra se faire auprès d’un agent dédié au sein des antenne de la Céni.

LE PROCESSUS ÉLECTORAL EN QUESTION !? KADIMA AVEC SA CENI A SES CONDITIONS, EN VIOLATION DES RÈGLES, DES LOIS ET DU BON SENS : PAS DE PUBLICATIONS DES RÉSULTATS PAR BUREAU MAIS UNE CONSULTATION AUPRÈS D'UN PRÉPOSÉ... 2019-01-09t111213z_1541598501_rc1b3a3ac340_rtrmadp_3_congo-election_0
Le siège de la Céni, la Commission électorale, à Kinshasa, en RDC (image d'illustration). REUTERS/Baz Ratner

La Commission électorale met en avant plusieurs raisons pour expliquer cette décision : le manque de place physique pour permettre un affichage, le risque de vandalisme, mais surtout les dégradations dues aux intempéries. La Céni anticipe les conséquences de la saison des pluies pendant laquelle se tient ce processus électoral. 

Inquiétudes
Alors, plusieurs organisations de la société civile, et notamment la mission mise en place par les Églises catholique et protestante, la Cenco et l’ECC, mais aussi des membres de l’opposition se sont inquiétées de cette mesure. Ils expliquent qu’elle va notamment à l’encontre de l’article 6 de la loi électorale qui exige que tout électeur, tout candidat, et tout parti ou regroupement politique ont la possibilité de consulter ces listes, que ce soit de manière physique ou électronique.

Discussion
Le gouvernement s’est aussi exprimé sur la question. Son porte-parole, Patrick Muyaya a conseillé aux parties prenantes de saisir directement la Commission électorale afin d’engager une discussion sur ce sujet. 
À lire aussiRDC: fin des dépôts des candidatures pour l'électio


"Élections : la Ceni fixe les règles du jeu - 09.10.2023
= https://www.mediacongo.net/article-actualite-128023_elections_la_ceni_fixe_les_regles_du_jeu.html
[bLa consultation de la liste provisoire des électeurs par centre de vote avec indication du bureau de vote se fera auprès de l’agent appelé “Préposé d’affichage” de la Commission électorale nationale indépendante (Ceni).
C’est ce qu’indique la centrale électorale dans un communiqué de presse publié lundi 9 octobre 2023.
D’après ce document, la liste provisoire des électeurs est publiée graduellement par province, par antenne et par site de vote, conformément à l’article 6 de la loi électorale et sur la décision n°11/CENI/AP/2023 du 5 octobre 2023 de la Ceni.[/b]
Néanmoins, pour diverses raisons, notamment le manque d’espace physique dans les antennes de la Ceni et les risques de vandalisme de ces listes ou d’intempéries, en lieu et place de l’affiche, la Commission électorale nationale indépendante indique que la consultation desdites listes se fera auprès d’un agent appelé “Préposé à l’affichage” affecté à cette tâche au niveau de chaque antenne.
La Ceni invite donc les électeurs, les candidats et les partis politiques ou regroupements politiques à consulter la liste provisoire des électeurs sur le site web de cette institution d’appui à la démocratie ou à l’antenne du ressort de son lieu d’enrôlement de la Ceni pendant les jours où ces listes y seront disponibles.
La centrale électorale souligne la nécessité pour un électeur de se présenter à la consultation, pour éviter le risque, en cas d’omission, de ne pas exercer son droit de vote, précise le communiqué.


"RDC : ce que disent les textes légaux concernant les listes électorales - 15.10.2023
= https://actualite.cd/2023/10/15/rdc-ce-que-disent-les-textes-legaux-concernant-les-listes-electorales

"Affichage des listes des électeurs : la CENI dos au mur ! -
octobre 13, 2023

= https://econewsrdc.com/affichage-des-listes-des-electeurs-la-ceni-dos-au-mur/
Contrairement aux trois premiers cycles électoraux de 2006, 2011 et 2018, la CENI (Commission électorale nationale indépendance) se dit être dans l’impossibilité d’afficher, comme il en est de coutume, les listes des électeurs dans les bureaux de vote. Denis Kadima, président de la CENI, s’en est expliqué, sans convaincre. Qu’est-ce qui a changé pour que la CENI de Kadima se démarque de ce que ses trois prédécesseurs ont fait. Suspense ! L’opinion publique, souvent sceptique, craint déjà de graves dysfonctionnements dans le processus électoral en cours qui pourraient bien remettre en cause sa crédibilité. En mode veille, le tandem CENCO – ECC a d’ores et déjà lancé l’alerte, obligeant la CENI à se conformer à la loi, c’est-à-dire procéder à l’affichage des listes des électeurs dans les bureaux de vote, et ce, dans le délai légal.

Il n’est pas bon d’être à la place de Denis Kadima, président de la CENI. Pièce maîtresse du dispositif électoral, Denis Kadima s’est fixé un challenge : réussir la tenue des scrutins du 20 décembre 2023. Si le président de la CENI ne cache pas sa détermination, sur le terrain, la CENI accumule des ratés qui ne rassurent presque plus. Le tout dernier en date est l’aveu d’impuissance de la CENI d’afficher les listes des électeurs, conformément à la loi.
A la CENI, on pense changer de process, outrepassant les prescrits légaux. Ce qui n’a jamais été le cas pendant les trois précédents cycles électoraux (2006, 2011 et 2018).
Si la CENI se dit être dans l’incapacité de publier les listes des électeurs pour des raisons logistiques, elle ne fera que renforcer le doute sur la crédibilité du cycle électoral en cours. Or, sur ce point, Denis Kadima a une côte de popularité bien en déçà de la moyenne.
Plusieurs questions restent donc pendantes. Seule la CENI en détient les bonnes réponses. Mais, pour combien de temps ? C’est tout le problème.

Une innovation qui intrigue
Toujours est-il que la CENI a innové dans la publication des listes des lecteurs. Selon la nouvelle méthode, les listes ne sont plus affichées au niveau des bureaux de vote. Pour contourner cette procédure, la CENI a commis à la place un agent, appelé «préposé à l’affichage», affecté à cette tâche au niveau de chaque antenne de la CENI. Une disposition qui ne figure pas dans la loi électorale, encore moins le manuel de procédures de la CENI.
La centrale électorale justifie cette manière de faire par diverses raisons, notamment par le fait «d’intempéries, de manque d’espace physique dans les antennes de la CENI et le risque de vandalisme de ces listes en lieu et place d’un simple affichage». Une justification qui ne convainc pas toutes les parties prenantes au processus électoral en cours, dont la communauté internationale, l’Opposition politique et une frange importante de la Société civile.
Mercredi, devant la presse, conviée au briefing sur la présentation des premiers résultats et perspectives des réformes de l’administration publique en cours de mise en œuvre, le porte-parole du Gouvernement, Patrick Muyaya Katembwe, a reconnu l’impasse qui se dresse devant la CENI.
«… La CENI ne pourra pas afficher les listes des électeurs, notamment par manque d’espace physique dans les antennes pour éviter les risques de vandalisme des listes et d’intempéries en lieu et place d’un simple affichage. Le président de la CENI, qui se trouve à l’étranger, me l’a confirmé lui-même dans un entretien téléphonique, …», a révélé le porte-parole du Gouvernement.
Les faits sont donc réels. En matière d’affichage des listes des électeurs, la CENI a jeté l’éponge.
À la suite de cette annonce, la question de la crédibilité du processus électoral en cours se retrouve de nouveau au cœur des préoccupations de la classe politique congolaise et de nombreux citoyens, dans la mesure où l’affichage des listes des électeurs est une étape cruciale dans tout processus électoral, voulu crédible et démocratique. Il permet de vérifier l’exactitude des informations, d’éviter les doublons ou les erreurs, et surtout de garantir le droit de vote pour tous les citoyens éligibles. C’est un moyen de renforcer la confiance dans le système politique et d’assurer une participation active des électeurs. L’affichage permet autant qu’aux électeurs qu’à toutes les parties prenantes d’avoir l’assurance de la crédibilité du fichier électoral.
Si la CENI se dit ne pas être en mesure de le faire, elle s’expose à un flot de critiques – tout aussi légitimes. Bien plus, c’est sa crédibilité qui est en jeu.

Mauvais signe
Le non affichage des listes des électeurs donne finalement raison à tous ceux qui redoutaient toujours de la fiabilité du fichier électoral de la CENI de Kadima. Les faits leur donnent finalement raison.
En effet, certains acteurs de la Société civile et leaders des partis politiques de l’Opposition fustigeaient déjà une certaine opacité dans l’actualisation du fichier électoral telle que menée par la CENI de Denis Kadima.
Ils soulignaient que certaines personnes seraient exclues sans justification valable, ce qui pourrait remettre en cause leur droit fondamental de participer aux élections. Ces critiques révélaient un manque de confiance envers la CENI. Ils ont fâcheusement prêché dans le désert.
Du côté des experts électoraux, l’on rappelle que l’affichage des listes des électeurs est l’une des étapes essentielles de vérification du fichier des électeurs. La CENI avait renoncé à un audit international du fichier par un organisme indépendant pour privilégier un audit externe opéré par des experts étrangers de son obédience.
A y voir de plus près, l’audit du fichier électoral, tel que mené par la CENI, n’aurait pas été satisfaisant.

Catholiques et Protestants s’en mêlent
Dans un communiqué daté du mercredi 11 octobre 2023, la Mission d’observation électorale CENCO – ECC a étalé au grand jour ses inquiétudes. Elle recommande, par conséquent à la CENI, de prendre toutes les dispositions possibles afin que les listes électorales soient affichées à travers les antennes.
La MOE CENCO – ECC en appelle ainsi au Gouvernement de «faire sa part en sécurisant tous les sites où les listes électorales provisoires devraient être affichées». Selon la ligne 84 du calendrier électoral, cette publication devait intervenir dans la période allant du 22 mai au 18 septembre 2023.
Le communiqué indique : «La MOE CENCO-ECC comprend les raisons évoquées par la CENI qui privilégie la voie de consultation de ladite liste auprès d’un agent préposé plutôt que de l’afficher. Cependant, cette disposition prise par la CENI entame les prescrits des articles 6 de la loi électorale et 20 des Mesures d’application de cette Loi qui voudraient que tout électeur, tout candidat et tout parti ou regroupement politique puisse consulter ces listes de manière physique ou électronique». Et d’ajouter : «Il est clair que les conditions à fixer par la CENI ne devraient pas restreindre la consultation des listes à la simple vérification de la présence ou non du nom d’un électeur dans cette liste électorale. En plus, les partis et regroupements politiques devraient, par cette occasion, avoir un regard citoyen sur ces listes afin de les évaluer ».
Vu sous cet angle, la CENI doit agir le plus rapidement possible pour lever cette équivoque. La crédibilité du processus électoral en cours en dépend énormément en vue de rétablir la confiance des candidats et des électeurs.
Ne pas afficher les listes des électeurs, comme le prévoit la loi, c’est donner raison à ceux qui pensent que l’actuel fichier électoral fait le lit d’une vaste fraude électorale.
A 69 jours des scrutins du 20 décembre 2023, Denis Kadima a intérêt à envoyer des signaux qui rassurent.

"Tshisekedi a intérêt à battre tous ses challengers dans les urnes: retour sur les sonnettes d’alarme de ces dernières semaines en direction de la CENI et la Cour constitutionnelle - 11.10.2023
= https://www.africanewsrdc.net/featured/tshisekedi-a-interet-a-battre-tous-ses-challengers-dans-les-urnes-retour-sur-les-sonnettes-dalarme-de-ces-dernieres-semaines-en-direction-de-la-ceni-et-la-cour-constitutionnelle

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La République Démocratique du Congo organise le 20 décembre 2023 des scrutins décisifs : une élection présidentielle, les élections législatives nationales ainsi que les élections des députés provinciaux et des conseillers communaux. La présidentielle attire le plus l’attention. Le président sortant, Félix Tshisekedi, affiche l’ambition et la détermination d’exercer une seconde mandature suprême malgré un bilan économique et surtout social peu convaincant, selon l’opposition, mais positif, à en croire le président sortant et de ses partisans. Face à lui se dressent 23 challengers, issus de l’Opposition et de la Société civile, les uns aussi déterminés que les autres à faire parler la poudre.

Selon la Fondation Koffi Annan, il s’agit d’un scrutin que beaucoup considèrent comme « crucial » pour l’avenir du pays, faisant suite à une série d’élections troublées qui ont soulevé des questions sur l’intégrité des processus électoraux et mis en évidence la nécessité de diverses réformes. « Nous nous dirigeons vers une crise électorale majeure en République Démocratique du Congo en décembre. La Société civile congolaise tire la sonnette d’alarme et propose des solutions pour l’éviter. Les autorités et la communauté internationale doivent en prendre acte et, mieux encore, agir avant qu’il ne soit trop tard », a estimé Sébastien Brack, conseiller principal de la Fondation Kofi Annan et facilitateur de la réunion convoquée fin juin, mettant autour d’une même table les églises catholique et protestante ainsi que d’autres organisations de la Société civile.

Plaidoyer pour une gestion habile de la période la plus sensible

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Le président de la CENI, Denis Kadima, et le gouvernement ont beau assurer du bon déroulement de ces scrutins, les doutes persistent encore sur l’engagement réel de Kinshasa à organiser des élections crédibles, inclusives et apaisées. Intervenant récemment sur le plateau de Télé 50, le journaliste Eric Wemba a plaidé pour une gestion habile de cette période sensible, avec le maintien de tous les candidats réputés parmi les plus coriaces et redoutables, afin de rendre intéressant le jeu électoral. Wemba a conseillé à la CENI, à la Cour constitutionnelle et au Pouvoir dans son ensemble de vaincre toute tentation d’éliminer Moïse Katumbi de la course, comme le laissent insinuer des bruits persistants, distillés ces derniers jours dans réseaux sociaux et les milieux des partisans de l’Union sacrée de la nation, la méga plateforme électorale alignée derrière la candidature de Félix Tshisekedi. Il a dit craindre que pareille entreprise risquée exacerbe le débat de la congolité, lentement distillé et manipulé ces derniers mois, mais qui n’a pas réussi à tuer Katumbi dans l’opinion ni à effriter sa popularité. « La République Démocratique du Congo n’est ni la couleur de peau, moins encore l’origine des parents. C’est l’appartenance à une devise commune : justice, paix et travail. Bref, la République Démocratique du Congo, c'est une adhésion », a-t-il justifié.

Écarter Katumbi et donner raison à la Communauté internationale qui alerte contre le risque d’un embrasement…

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Dans un entretien avec AfricaNews, le chevalier de la plume, par ailleurs brillant analyste, a donc mis en garde contre toute démarche tendant à fragiliser davantage la République Démocratique du Congo, déjà en quasi-situation de guerre depuis plus d’une année avec une partie de son territoire sous état de siège, notamment le Nord-Kivu dont des localités sont tombées entre les mains des forces rebelles ou terroristes du M23 -c’est selon-, assises entre autres sur des revendications identitaires, appuyées par l’armée rwandaise. Le pays n’a pas, d’après les analyses de Wemba, besoin de s’enfoncer dans une nouvelle impasse, avec d’éventuels risques, des crispations communautaires, des clivages identitaires et des dommages durables. Né d’une mère originaire de la tribu Bemba, une des tribus établies en République Démocratique du Congo avant l’indépendance du pays, Moïse Katumbi n’a pas besoin, au regard de la Constitution de 2006, d’être associé à un quelconque débat sur la nationalité ou sur la validité de son certificat de nationalité, de l’avis de Wemba.
Pour lui, personne n’étant en mesure de prouver, de manière irrévocable, sa prétendue nationalité étrangère, toute polémique sur celle-ci ou son certificat de nationalité, qui n’enlève en rien sa nationalité congolaise, aura une connotation politique et ôtera aux élections leur caractère inclusif. « Écarter Katumbi à cette étape de la publication de la liste provisoire et de la liste définitive, c’est donner raison à la Communauté internationale qui alerte, depuis un certain temps, sur le risque d’un embrasement général », a tranché le patron du média en ligne et du bi-hebdomadaire « Exclusif ».
À l’issue de sa rencontre le 18 septembre dernier à Washington avec le vice-premier ministre en charge des Affaires étrangères Christophe Lutundula, l’ambassadrice Linda Thomas-Greenfield, représentante des États-Unis auprès des Nations unies, a elle aussi appelé le gouvernement de la République Démocratique du Congo à veiller à ce que les élections soient libres et équitables. Elle a, par la même occasion, exhorté les forces de sécurité à faire preuve de retenue, à respecter les droits de la personne et à permettre aux candidats politiques et aux civils d’exercer leurs libertés d’expression et de réunion.

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À l’instar de l’ambassadrice Linda, des représentations diplomatiques de principaux pays partenaires et les évêques catholiques ont aussi appelé, ces dernières semaines, à des élections crédibles et inclusives. Le 2 juin est sortie une déclaration conjointe de 16 délégations occidentales à Kinshasa-les délégations de l’UE, de 10 de ses États membres -notamment l’Allemagne, Belgique, Espagne, France, Grèce, Italie, Pays-Bas, Portugal, Suède et République tchèque-, du Canada, des États-Unis, du Japon et de la Suisse, ont fait un appel dans ce sens en direction de la CENI et des autorités gouvernementales. Réunis du 4 au 11 juin dernier à Lubumbashi, les évêques catholiques ont, à leur tour, souligné qu’ils tiennent aux élections inclusives, avec des candidats sur lesquels ne pèseront aucun empêchement de nature politique et qui permettront au peuple de choisir librement ses futurs dirigeants.
Dans le camp de l’Opposition et de la Société civile, une seule requête est désormais adressée au candidat de l’Union sacrée : « Si le président sortant est un démocrate et a un bon bilan comme il le vante, il n’a pas intérêt à éliminer ou laisser la CENI ou la Cour constitutionnelle éliminer certains challengers. Il a plutôt intérêt à prouver qu’il est capable de les battre tous dans les urnes, à la loyale, à l’issue d’un vote transparent, pour s’offrir la légitimité dont il souffre avec cette histoire de compromis à l’africaine qui le colle à la peau depuis janvier 2019 ».
Sur les antennes de RFI, Trésor Kibangula, analyste politique à Ebuteli, l’Institut congolais de recherches sur la politique, la gouvernance et la violence, a plutôt souligné la volonté du pouvoir de ne pas obstruer le passage à quiconque. « C'est vrai qu’on va quand même souligner cette volonté du côté du pouvoir de ne pas empêcher quiconque de se présenter, on voit beaucoup de candidatures de l’opposition s’aligner », a-t-il constaté.


"Publication des listes provisoires des électeurs en RDC : passe d’armes entre la SYMOCEL et la CENI - 11.10.2023
= https://actualite.cd/2023/10/11/publication-des-listes-provisoires-des-electeurs-en-rdc-passe-darmes-entre-la-symocel-et
La Commission électorale indepekdante (CENI) a annoncé la publication des listes provisoires des électeurs par Centre de Vote, avec indication de bureau de vote. En lieu et place d'un affichage, la consultation desdites listes se faita auprès d'un agent appelé préposé à l'affichage affecté à  cette charge aû niveau de chaque Antenne de la Ceni.

À la suite de cette annonce, Maître Hervé Diakieĺse, porte-parole d’Ensemble pour la République de Moïse Katumbi a dénoncé la méthodologie utilisée par la CENI. À l’en croire, il s'agit là d'une violation flagrante de la loi électorale..
 La CENI avoue de manière flagrante son capacité d’afficher les listes des enrôlés tel qu’exigé par la loi. Substituer l’affichage sur le site par un fumeux mécanisme de consultation dans les antennes est une violation grave et sans précédent de la transparence électorale ", dénonce Hervé Diakiese sur son compte X (ex-Twitter). 
Interrogé par ACTUALITE.CD, la Synergie des Missions d'observation Citoyenne des élections (SYMOCEL) invite la CENI à revoir sa décision et à se conformer aux prescrits de l'article 6 de la loi électorale en vigueur en RDC. 
" La CENI doit revoir cette décision et doit prendre une décision qui est conforme à la loi, la loi impose à la CENI l'obligation d'afficher, elle ne peut pas s'y soustraire. L'article 6 de la loi électorale est clair. L'article parle d'affichage par centre de vote de la liste provisoire des électeurs avec indication du bureau de vote. Le dernier alinéa de l'article 6 dit toute réclamation portant sur une liste électorale est dans les 30 jours à compter de l'affichage provisoire introduite auprès de l'agent de la CENI préposé à l'affichage ou à défaut auprès de l'antenne territorialement compétent pour le site de l'affichage ça suppose que le travail du préposé à l'affichage n'est pas celui de se rendre disponible pour les consultations ", a dénoncé, à ACTUALITE.CD, son coordonnateur Maître Patrick Ntambwe Ngoyi. 

Et de poursuivre :
" Le préposé lui intervient lorsqu'on a des réclamations donc le but de l'affichage c'est pour donner un caractère publicitaire, c'est la transparence, tout le monde peut voir et chacun a l'attitude d'y passer quand il veut, à n'importe quelle heure et c'est à lui maintenant lorsqu'il constate peut-être qu'il y a un problème avec un nom ou autres choses il se dit voilà je vais passer aux heures où je veux trouver un préposé à l'affichage pour poser le problème ou réclamer et lui il est censé recueillir ces réclamations et les traiter mais ce n'est pas chez lui qu'on doit aller consulter les listes, c'est contraire à la loi. La loi impose à la CENI l'affichage si la CENI n'affiche pas ça c'est un péché grave par rapport à la transparence et aussi ce n'est pas admissible ". 
Pour cet acteur de la société civile spécialisé aux élections, cette manière de procéder remet sur la place publique les doutes sur la qualité du fichier électoral.
" Cela suppose même qu'il y a un problème avec le fichier, les parties prenantes ont accepté d'avancer avec ce processus même si l'audit du fichier électoral ne s'est pas fait dans les conditions souhaitées par tout le monde mais pour avancer avec le processus électoral, on a accepté d'aller de l'avant en se disant qu'on sera beaucoup plus vigilant sur les autres étapes et les opérations à venir, ceci est une première des opérations qui se rapporte au fichier, elle ne peut pas se soustraire comme ça en voulant camoufler l'affichage par une consultation auprès du préposé de la CENI, c'est contraire à la loi ", a martelé le coordonnateur de la SYMOCEL. 
De son côté, la CENI justifie cette manière de faire pour diverses raisons, notamment le manque d'espace physique dans les Antennes de la CENI et le risque de vandalisme de ces listes ou d'intempéries (pendant la saison pluvieuse), en lieu et place d'un affichage. Une justification qui ne convainc pas les parties prenantes au processus électoral.
" C'est vraiment étonnant, ce sont des motifs fallacieux, dans ce pays on a toujours eu les intempéries, on a même ici dans ce pays voté pendant qu'il pleut, c'est-à-dire qu'au jour du vote tout le monde connaît qu'en décembre il pleut, si le jour du vote, il pleut, la CENI va faire quoi ? Si pendant que les compilations se terminent dans les bureaux de vote, il pleut sérieusement, on ne va plus afficher les résultats parce qu’il pleut ? Ce n'est pas normal ", a indiqué Maître Patrick Ntambwe Ngoyi. 

Pour les experts électoraux, l'affichage des listes des électeurs est l'une des étapes essentielles de vérification du fichier des électeurs. La CENI avait renoncé à un audit international du fichier par un organisme indépendant pour privilégier un audit externe opéré par des experts étrangers qu’elle avait elle-même engagé et dont elle devait valider le rapport, ce qui avait été vivement décrié.
Ces experts avaient conclu à la fiabilité du fichier. Pour la CENI, l'audit externe du fichier n'était pas du tout une exigence légale mais plutôt une activité calendaire retenue dans son plan d'actions.
En déposant leurs dossiers, la plupart des candidats à la présidentielle, issus des rangs de l’opposition et de la société civile, ont dénoncé le risque de fraude et le manque de transparence de la CENI.

"Présidentielle 2023 : la publication de la liste définitive des candidats annoncée le 18 novembre(Communiqué) - 09.10.2023
= https://www.mediacongo.net/article-actualite-128009_presidentielle_2023_la_publication_de_la_liste_definitive_des_candidats_annoncee_le_18_novembre_communique.html

"RDC : la CENI et la CNDH main dans la main pour garantir les droits des électeurs que des candidats -:13.10.2023
= https://actualite.cd/2023/10/13/rdc-la-ceni-et-la-cndh-main-dans-la-main-pour-garantir-les-droits-des-electeurs-que-des
Bienvenu Ilanga Lembow, premier vice-président de la Commission Électorale Nationale Indépendante, a échangé mercredi 11 octobre 2023 avec une délégation de la Commission Nationale des Droits de l'Homme (CNDH) conduite par son président Paul Nsapu. Lors de cette rencontre, ces deux institutions dédiées à la promotion de la démocratie ont convenu de collaborer étroitement, en particulier face aux défis liés à l'organisation des élections, dans le but de garantir les droits des électeurs et des candidats.
« Nous avons tenu une réunion substantielle entre deux institutions qui soutiennent la démocratie, la CENI et la CNDH que je préside, en considération des enjeux à venir, notamment la préparation des élections à la fin de cette année par la CENI. Nous avons envisagé de coopérer afin d'apporter un soutien à notre institution qui collabore étroitement avec la Commission électorale pour renforcer son travail dans l'organisation des élections », a déclaré Paul Nsapu lors de la conférence de presse qui a suivi la réunion.
Il a ajouté : "Les élections impliquent non seulement le droit de vote, mais aussi les droits des candidats et des électeurs. Par conséquent, nous devons prendre en compte le suivi de ces droits, qui est également notre responsabilité, à travers un protocole de collaboration. Tout cela sans empiéter sur les compétences et le rôle de la Commission électorale en matière d'organisation des élections sur l'ensemble du territoire national."[/size]
Cette rencontre entre les deux institutions survient à deux mois des élections générales prévues pour décembre 2023. Conformément à l'article 222, alinéa 3, de la Constitution, la République Démocratique du Congo a institué une Commission nationale des Droits de l'Homme. La CNDH est une institution dédiée à la promotion de la démocratie et des droits de l'homme.
Selon la loi organique n° 13/011 du 21 mars 2013 portant institution, organisation et fonctionnement de la Commission Nationale des Droits de l'Homme, la CNDH est un organe technique et consultatif chargé de la promotion et de la protection des droits de l'homme. Elle veille au respect des droits de l'homme et des mécanismes garantissant les libertés fondamentales. Dans l'accomplissement de sa mission, la CNDH n'est soumise qu'à l'autorité de la loi.


"Centre de vote, bureau de vote et de dépouillement, que sont-ce ? 13.10.2023
= https://actualite.cd/2023/10/13/centre-de-vote-bureau-de-vote-et-de-depouillement-que-sont
Parfois plusieurs personnes confondent centre de vote et bureau de vote et de dépouillement. Ce sont deux structures techniques et opérationnelles de la commission électorale nationale indépendante (CENI) distinctes avec une organisation et fonctionnement différents l'une de l'autre. À l'instar des autres structures telle que le secrétariat exécutif national (SEN), le secrétariat exécutif provincial (SEP), l'antenne, le bureau de réception et de traitement des candidatures (BRTC) et le centre local de compilation des résultats (CLCR).

D'abord, il faut savoir que le bureau de vote et de dépouillement est chargé de la gestion des opérations de vote et de dépouillement. Il est composé de cinq membres ayant tous la qualité d'électeur, choisis sur la liste des électeurs enrôlés dans ce bureau ou, à défaut, dans la circonscription électorale concernée. Il s'agit d'un président, d'un premier assesseur, d'un deuxième assesseur, d'un secrétaire et d'un assesseur suppléant. Au cours du scrutin, le nombre des membres de bureau de vote ne peut être inférieur à trois.
Le centre de vote, quant à lui, est chargé de la coordination de proximité du déroulement des opérations de vote et de dépouillement. Il regroupe un ou plusieurs bureaux de vote et de dépouillement. Aucun centre de vote ne peut dépasser six bureaux de vote, selon la loi électorale.

Dans son organisation, le centre de vote est dirigé par un chef de centre. Ce dernier est chargé notamment de réceptionner le matériel et documents électoraux et en assurer le déploiement, former les membres de bureau de vote et de dépouillement de son centre, mettre à la disposition des membres de bureaux de vote et de dépouillement le matériel et documents électoraux nécessaires pour l'organisation du scrutin, prendre toutes les dispositions sécuritaires nécessaires au bon déroulement des opérations de vote et de dépouillement, superviser les opérations électorales au niveau des bureaux de vote et de dépouillement de son ressort, s'assurer, à la fin du dépouillement et devant les témoins et observateurs présents, de la bonne constitution des plis des résultats et centraliser et acheminer les plis provenant des bureaux de vote et de dépouillement vers le centre local de compilation des résultats.

Étant donné que pour ce cycle électoral, ce sera le vote semi-électronique, la loi électorale a prévu que le chef de centre de vote soit assisté dans ses tâches par un technicien informatique du centre de vote. Ce dernier, sous la supervision du chef de centre de vote, est chargé de : assister le chef de centre dans la réception au site de formation, des matériel et documents électoraux, plus particulièrement des éléments du dispositif électronique de vote (DEV) et les équipements de transmission de données, vérifier l'état de fonctionnement du dispositif électronique de vote et équipements de transmission des données et les initialiser le cas échéant, assister le chef de centre de vote dans ses tâches de déploiement des matériel et documents électoraux et de formation des membres de bureaux de vote du centre, particulièrement sur l'utilisation du DEV, mettre à la disposition des membres de bureaux de vote et dépouillement le DEV pour le scrutin, garder le dispositif électronique de vote de réserve du centre de vote, superviser l'utilisation du DEV au niveau des bureaux de vote et de dépouillement de son ressort et effectuer les interventions techniques nécessaires devant les témoins et les observateurs présents, appuyer le chef de centre de vote dans la réception et l'orientation des électeurs vers leurs bureaux de vote respectifs, effectuer, à la fin du dépouillement et devant les témoins et les observateurs présents, la transmission des résultats vers le centre local de compilation des résultats et au secrétariat exécutif national et centraliser et acheminer vers les antennes les éléments du DEV et les équipements de transmission des données, à l'issue des opérations de vote et de dépouillement.

Les bureaux de vote et de dépouillement tout comme les centres de vote sont installés dans les bâtiments publics ou privés, connus de la population et mis à la disposition de la CENI. Aucun bureau de vote ne peut être établi dans les lieux de culte, des quartiers généraux des partis politiques, des syndicats et des organisations non gouvernementales, des débits de boissons, des postes de police, des camps militaires, des académies et écoles militaires


"Liste des électeurs : pour Fayulu, « toute autre formule qui consisterait à fournir des informations parcellaires aux électeurs est une violation inacceptable de la loi »  - 14.10.2023
= https://infos.cd/actualite/elections/liste-des-electeurs-pour-fayulu-toute-autre-formule-qui-consisterait-a-fournir-des-informations-parcellaires-aux-electeurs-est-une-violation-inacceptable-de-la-loi/32997/
L’opposant Martin Fayulu s’oppose à la décision de la Commission électorale nationale indépendante (CENI) de ne pas afficher les listes des électeurs dans les antennes.
Dans son communiqué du 5 octobre, la CENI avait expliqué qu’à la place d’afficher les listes, un préposé sera sur place auprès de qui les électeurs pourraient se renseigner pour vérifier leurs noms. L’institution justifie sa décision par le manque d’espaces, ou encore par le souci d’éviter le sabotage et de ne pas perdre ces fichiers pendant les intempéries.


Après notamment la mission d’observation électorale des églises catholique et protestante, Martin Fayulu s’insurge contre cette décision.
« La CENI n’a pas d’autre choix que de respecter l’article 6 alinéa 2 de la loi électorale qui stipule que : la CENI publie, par centre de vote, la liste provisoire des électeurs avec indication du bureau de vote », a écrit le candidat à la présidentielle sur X.
« Toute autre formule qui consisterait à fournir des informations parcellaires aux électeurs est une violation inacceptable de la loi, poursuit-il. On s’approche donc de la vérité ».
Martin Fayulu est de ceux qui ont dénoncé le manque de transparence dans le fichier électoral. Il avait même menacé de ne pas présenter sa candidature si la CENI n’organisait un nouvel audit du fichier, avant de renoncer à sa démarche.

"Listes électorales, des indices de fraude - 13.10.2023
= https://ouragan.cd/2023/10/listes-electorales-les-indices-de-fraude
La machine CENI est gravement en panne technique. Elle avoue son incapacité à afficher les listes électorales comme prévu par la loi et propose une formule illégale pour contenir les vérifications des identités des électeurs dans le fichier électoral. Tâtonnements rejetés par la plupart des acteurs et parties prenantes au processus électoral congolais.
La mission d’observation de la Conférence épiscopale nationale du Congo et de l’Église du Christ au Congo (MOE CENCO-ECC) a réagi promptement à la décision de la CENI. Elle affirme comprendre les raisons évoquées par la Centrale électorale qui privilégie la voie de consultation de la liste des électeurs auprès d’un agent préposé plutôt que de l’afficher. Cependant, dit-elle, « cette disposition prise par la CENI entame les prescrits des articles 6 de la Loi électorale et 20 des mesures d’application de cette loi qui voudraient que tout électeur, tout candidat et tout parti ou regroupement politique puisse consulter ces listes de manière physique ou électronique ».
Lire aussi :
Symocel : « Il faut sécuriser les candidats présidents de République »

Dans son communiqué signé le mercredi 11 octobre 2023, Cyrille Ebotoko recommande à la CENI de prendre tous les arrangements nécessaires afin que les listes électorales soient affichées à travers les antennes. « La MOE CENCO-ECC en appelle ainsi au gouvernement de faire sa part en sécurisant tous les sites où les listes électorales provisoires devraient être affichées. Elle apprécie à juste titre la đécision N°0so/CENI/2023 relative à la publication de la liste provisoire des électeurs par centre de vote, avec indication du bureau de vote ; notamment, le fait que ces listes seront aussi publiées sur son site pour consultation. Selon la ligne 84 du calendrier électoral, cette publication devait intervenir dans la période allant du 22 mai au 18 septembre 2023 », a indiqué le coordonnateur de cette mission d’observation électorale. Cyrille Ebotoko ajoute : « Il est clair que les conditions à fixer par la CENI ne devraient pas restreindre la consultation des listes à la simple vérification de la présence ou non du nom d’un électeur dans cette liste électorale. En plus, les partis et regroupements politiques devraient, par cette occasion, avoir un regard citoyen sur ces listes afin de les évaluer », écrit-il.

– Kadima pris au piège de son mensonge –
Dans sa réaction particulière virulente, la Commission africaine pour la supervision des élections (CASE) a considéré que la CENI paie déjà les conséquences de ses turpitudes électorales. « Incapable d’afficher les listes inexistantes d’enrôlés, la CENI passe à des mises en scène », dénonce Simaro Ngongo Mbayo. Pour le numéro un de cette organisation spécialisée en matière électorale, la CENI a du mal à afficher les listes puisqu’elles ont été fabriquées dans les officines de l’Union sacrée. « La Commission électorale nationale indépendante (CENI) vient d’avouer son inaptitude. Elle viole la loi électorale en improvisant un dispositif tout à fait inattendu pour la consultation des listes des électeurs congolais (Communiqué de presse n•050/CENI/2023) », s’indigne la CASE non sans rappeler que « la CENI ne dispose pas d’une liste électorale fiable et qu’elle se contente de quelques fragments d’électeurs collectés manuellement dans la plus grande opacité ». Ainsi, déclare Simaro Ngongo, plusieurs Congolais ne se retrouvent pas sur ces listes « torsadées ».
Simaro Ngongo Mbayo rappelle en outre que « les observateurs nationaux et internationaux ont toujours demandé d’évaluer cet outil de gestion des élections sans jamais l’obtenir ». Les audits sollicités ou planifiés n’ont jamais été acceptés par crainte de voir la vérité de l’incompétence technique éclater au grand jour, poursuit la Case qui s’étonne de constater que les acteurs politiques respectés se soient dédits en souscrivant à un processus électoral bancal, irraisonné et susceptible de nuire à la démocratie. “L’attitude irresponsable du gouvernement congolais qui pousse à la tenue bouleversante des élections, le comportement cascadeur de la CENI qui joue un rôle tortueux dans ce processus et le forcing politique assumé à travers les déclarations du président Félix Tshisekedi offrent un décor sulfureux au processus électoral“, résume l’organisation, avant de conclure que «ce processus sera drôlement maléfique».

– L’équipe Kadima appelée à démissionner –
Kilosho Museme, communicateur d’Ensemble pour la République de Moïse Katumbi Chapwe est monté au créneau pour dénoncer les insuffisances de la CENI. « Nous demandons et nous exigeons à la CENI et à ses animateurs d’afficher les listes des électeurs. C’est une obligation, ce n’est pas un cadeau. La CENI ne doit pas nous imposer un jeu, la CENI est régie par des textes, ce n’est pas à monsieur Kadima de nous dire qu’on va faire ça et qu’on ne va pas faire cela. C’est une obligation et s’il ne le fait pas, il doit démissionner », a-t-il déclaré mercredi soir en plateau lors d’un débat sur une chaîne de télévision de Kinshasa. L’opposant estime que la CENI doit respecter les lois. La loi prévoit l’affichage des officielles des listes (Article 6 de la loi électorale) « La qualité d’électeur est constatée par l’inscription sur la liste des électeurs et la détention d’une carte d’électeur ou, en cas de perte de celle-ci, d’un duplicata délivré par la Commission électorale nationale indépendante. La Ceni publie, par centre de vote, la liste provisoire des électeurs avec indication du bureau de vote. Tout électeur, tout candidat et tout parti politique ou regroupement politique peut consulter ces listes dans les conditions fixées par la Commission électorale nationale indépendante. Toute réclamation portant sur une liste électorale est, dans les trente jours à compter de l’affichage provisoire, introduite auprès de l’agent de la Commission électorale nationale indépendante préposé à l’affichage ou, à défaut, auprès de l’antenne territorialement compétente pour te site de l’affichage », fin de citation.
Le jeune katumbiste insiste sur la nécessité obligatoire pour la CENI de s’y conformer : « Si la CENI est incapable de respecter les lois, cela veut dire qu’elle est incapable d’organiser des élections. Nous exigeons à la CENI d’afficher les listes des électeurs, c’est une obligation légale. Au cas contraire, le président Denis Kadima et toute son équipe doivent démissionner », a-t-il souligné.

"Publication des liste d’électeurs par centre de vote : La CENI doit « respecter l’article 6 alinéa 2 de la loi électorale » (Fayulu) -
16.10.2023

= https://actu7.cd/2023/10/15/publication-des-liste-delecteurs-par-centre-de-vote-la-ceni-doit-respecter-larticle-6-alinea-2-de-la-loi-electorale-fayulu/


"


"PAS D"AFFICHAGE DES ÉLECTEURS PAR LA CENI : PONACONGO INQUIÈT INVITE LA CENI ZU RESPECT DE LA LOI - 12.10.2023"


"Liste provisoire des électeurs : nouvelle occasion ratee pour la Ceni pour un processus électoral crédible  - Po na Gec - 13.10.2023"



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LE PROCESSUS ÉLECTORAL EN QUESTION !? KADIMA AVEC SA CENI A SES CONDITIONS, EN VIOLATION DES RÈGLES, DES LOIS ET DU BON SENS : PAS DE PUBLICATIONS DES RÉSULTATS PAR BUREAU MAIS UNE CONSULTATION AUPRÈS D'UN PRÉPOSÉ... Empty Re: LE PROCESSUS ÉLECTORAL EN QUESTION !? KADIMA AVEC SA CENI A SES CONDITIONS, EN VIOLATION DES RÈGLES, DES LOIS ET DU BON SENS : PAS DE PUBLICATIONS DES RÉSULTATS PAR BUREAU MAIS UNE CONSULTATION AUPRÈS D'UN PRÉPOSÉ...

Message  ndonzwau 17/10/2023, 6:37 am

UN GLISSEMENT NÉGOCIÉ SE PREPARE-T-IL AVEC LA SADC A LA RESCOUSSE ?



"RDC : une délégation de la SADC à la CENI pour se rassurer de la tenue des élections en 2023 - 14.10.2023
= https://www.lisapo.info/rdc-une-delegation-de-la-sadc-a-la-ceni-pour-se-rassurer-de-la-tenue-des-elections-en-2023/
Le 1ᵉʳ Vice-Président de la Commission Électorale Nationale Indépendante (CENI), Bienvenu ILANGA LEMBOW, a échangé, jeudi 12 octobre, avec une délégation de la SADC (Communauté de développement de l'Afrique australe) dont la RDC est membre. Il était assisté entre autres des Directeurs juridique, Eddy KISILE et des opérations, Joseph SENDA.

En mission d’évaluation préélectorale, ladite délégation est conduite par l'Avocate NOTEMBA TJIPUEJA, Vice-Présidente de la SADC et représentant la Namibie, Jennifer Susan CHIRIGA, déléguée du Zimbabwe, et appuyée par des fonctionnaires du Secrétariat de cette institution.
Elle consiste prioritairement à évaluer si l'environnement politique et sécuritaire du pays est propice à la tenue d'élections libres, équitables, transparentes, crédibles et pacifiques, conformément aux principes et lignes directrices révisés de la SADC.
Mais également jauger le cadre légal et constitutionnel régissant les élections présidentielle, législatives et des conseillers communaux du 20 décembre 2023. En sus, elle est chargée d’évaluer si la CENI a pris les dispositions nécessaires à la tenue et au bon déroulement des élections à venir.

À l'issue des échanges, la Vice-Présidente de la SADC, NOTEMBA TJIPUEJA, en a fait la restitution.
« Nous sommes ici pour mener une mission d’évaluation préélectorale pour nous enquérir de la situation et nous avons rencontré le 1er Vice-Président de la CENI afin d’évaluer l’état de préparation des élections qu’elle organise. En tant que conseil consultatif électoral de la SADC, il est de coutume que nous puissions visiter les pays qui organisent les élections afin d’en prendre la température. Cette évaluation est faite selon les principes de la SADC qui gouverne la question des élections démocratiques. Concernant ces directives, nous considérons l’aspect sécuritaire et politique du pays afin d’évaluer si ces situations se prêtent à la tenue des élections crédibles. Nous observons également le cadre juridique de l’État membre en nous plongeant particulièrement dans la loi électorale afin de savoir s’il y a eu des réformes qui sont liées au processus électoral. Et s’il y a des réformes qui sont envisagées ou des litiges en cours et enfin, nous considérons l’état de préparation de l’organe chargé d’organiser ces scrutins, donc dans ce cas, c'est bien sûr la CENI. Et nous voulons savoir si elle est prête pour les organiser. Pour cette réunion, nous étions particulièrement préoccupés sur l’état de préparation de la CENI », a déclaré NOTEMBA TJIPUEJA.
Cette mission s'inscrit dans la continuité des actions menées dans le cadre de la consolidation de la paix ainsi que du renforcement de la démocratie et du système électoral dans la partie australe du continent africain


"RDC : dialogue ou glissement en vue ? La SADC entre en danse - 16.10.2023
= https://objectif-infos.cd/rdc-dialogue-ou-glissement-en-vue-la-sadc-entre-en-danse/

= https://election-net.com/article/rdc-ce-que-les-deputes-fcc-ont-dit-a-la-delegation-de-la-sadc

"Processus électoral : voici l’objet des consultations de la mission du conseil consultatif électoral de la SADC - 15.10.2023
= https://www.mediacongo.net/article-actualite-128290_processus_electoral_voici_l_objet_des_consultations_de_la_mission_du_conseil_consultatif_electoral_de_la_sadc.html


"Rencontre SADC- FCC : la plateforme politique de Kabila pose des préalables -- 16.10.2023
= https://infocongo.net/2023/10/15/rencontre-sadc-fcc-la-plateforme-politique-de-kabila-pose-des-prealables/?amp


= https://actualite.cd/index.php/2023/10/19/inquietude-du-representant-de-guterres-renforcement-militaire-du-rwanda-et-de-la-rdc


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Message  ndonzwau 19/10/2023, 6:33 pm

KADIMA  S'EXPRIME MAIS NE DIT PAS QUE LA VÉRITÉ SUR SON JOB ET SON PLAN. ET PENDANT CE TEMPS IL DÉCLARE LES 24 CANDIDATS REÇUS RECEVABLES, CERTAINS SERONT-ILS RETOQUÉS A L'ULTIME ÉTAPE DE LA CC, LES RUMEURS CONVAINCANTES D'INVALIDATION NE MANQUENT PAS...



"CENI en mode Ponce Pilate… - 20/10/2023
= https://www.forumdesas.net/2023/10/ceni-en-mode-ponce-pilate/
Pas l’once d’un coup de théâtre à la publication de la liste provisoire des prétendants au top job. Tous les 24 candidats président de la République ont sauté le premier obstacle. Si bien que d’un point de vue journalistique on est dans un cas de figure où le train est parti ou est arrivé à l’heure. Il n’y a donc rien à se mettre sous la dent.

Redoutée à  tort ou à raison par certains, la machine à broyer les candidats n’est pas entrée en action. Précédée par un procès – d’intention?- en partialité, la CENI ne sera pas l’institution par laquelle le bras de fer est arrivé. Du moins à ce stade. La centrale électorale semble avoir fait le Ponce Pilate. Avec ce verdict façon  » tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil », le pays vient de faire l’économie d’une crise de plus. Voire de trop.[/size][/justify]

La balle est présentement dans le camp de la Cour constitutionnelle.
 Pour le coup, il ne serait pas exagéré de parler d’une  patate chaude dans les mains ou dans la bouche des juges constitutionnels.
Après avoir poussé un ouf de soulagement, le pays retient à nouveau son souffle. Que va donner la der des der en matière de délibération ?
Sans prêter le flanc au procès en stigmatisation ou en victimisation – c’est selon -, les initiés aux arcanes de la politique rd congolaise savent à l’avance les candidats sur lesquels plane potentiellement la menace d’une fatwa de la Haute cour.
Du coup, l’enjeu de l’ultime saut d’obstacles est justement à ce niveau. Sans le dire à  haute voix, le Congolais lambda  s’interroge à voix basse:  Est-ce que le  » postulant- événement » passera à travers le tamis de la Cour constitutionnelle ? Est- ce que le coup de tonnerre ou même le coup de Trafalgar que certains pressentaient est dans le pipeline? Trêve d’interrogations.
Reste que dans ce pays où l’histoire a coutume de bégayer lorsqu’elle ne se répète pas, la sentence de la Haute cour sera déterminante pour la suite du processus électoral.

"Présidentielle 2023 : 24 candidatures déclarées «recevables», selon une liste encore provisoire -;20.10.2023
= https://www.rfi.fr/fr/afrique/20231020-pr%C3%A9sidentielle-en-rdc-24-candidatures-d%C3%A9clar%C3%A9es-recevables-selon-une-liste-encore-provisoire
La Commission électorale nationale indépendante (Céni) de la République démocratique du Congo (RDC) a déclaré recevables les 24 candidatures enregistrées pour la présidentielle du 20 décembre 2023, selon une liste publiée dans la nuit du 19 au 20 octobre mais qui doit encore être examinée par la Cour constitutionnelle pour devenir définitive. Détails.

En République démocratique du Congo (RDC), la commission électorale a validé 24 candidatures pour la présidentielle du 20 décembre. Cette liste a été publiée dans la nuit du 19 au 20 octobre 2023. Aucune candidature n’a été déclarée irrecevable et tous les poids lourds sont là.[/size]
Ils sont donc 24, dont une femme : 16 candidats indépendants, six présentés par des partis politiques et deux issus de regroupements politiques.
À lire aussiÉlections générales en RDC: polémique autour de l’affichage des listes électorales

C’est un premier filtrage. La Ceni vérifie que tous les documents requis ont été déposés et qu’ils sont conformes. Une première étape importante pour les candidats puisque, lors du précédent scrutin en 2018, deux candidats avaient été recalés par la Céni : l’actuel ministre de la Défense Jean-Pierre Bemba et l’ex-Premier ministre Adolphe Muzito.
Ce n'est pas une simple formalité. C'est un grand pas pour la plupart de ces candidats qui ont été validés par la Céni. (...) C'est en même temps un pas pour cas candidats et ça confirme aussi, pour l'instant, une volonté apparente du pouvoir à laisser toutes les candidatures émerger et continuer leur marche pour la présidentielle. Mais ce n'est pas fini.
00:49
Trésor Kibangula, analyste au Groupe d'éudes sur le Congo[/size]
Alexandra Brangeon

La liste définitive connue après la validation de la Cour constitutionnelle
Prochaine étape : la Cour constitutionnelle va reprendre tous les dossiers. Et à l’issue de cette double vérification publier une liste définitive. Une candidature peut encore être invalidée par la Cour constitutionnelle. Et là il n'y a pas de recours possible.
Une fois la liste définitive publiée, le 18 novembre au plus tard, la campagne pourra s'ouvrir dans les 24h et elle prendra fin 24h avant l’ouverture du scrutin prévu le 20 décembre 2023.
À noter que la présidentielle sera couplée aux élections législatives, provinciales et communales.
Présidentielle en RDC: la liste provisoire des 24 candidatures déclarées «recevables» par la Commission électorale nationale indépendante le 19 octobre 2023
1. Soborabo Radjabho Tebabho (Congolais unis pour le changement) 2. Constant Mutamba Tungunga (Dynamique progressiste révolutionnaire) 3. Moïse Katumbi Chapwe (Ensemble) 4. Delly Sesanga Hipungu Dja Kaseng Kapitu (Envol) 5. Floribert Anzuluni Isiloketshi (Indépendant) 6. Jean-Claude Baende Etafe Eliko (Indépendant) 7. Tony Cassius Bolamba (Indépendant) 8. Georges Buse Falay (Indépendant) 9. Marie-Josée Ifoku Mputa Mpunga (Indépendant) 10. Rex Kazadi Kanda (Indépendant) 11. Seth Kikuni Masudi (Indépendant) 12. Patrice Majondo Mwamba (Indépendant) 13. André Masalu Anedu (Indépendant) 14. Justin Mudekereza Bisimwa (Indépendant) 15. Denis Mukwege Mukengere (Indépendant) 16. Aggrey Ngalasi Kurisini (Indépendant) 17. Théodore Ngoy Ilunga Wa Nsenga (Indépendant) 18. Loli Nkema Liloo Bokonzi (Indépendant) 19. Noël Tshiani K Muadiamvita (Indépendant) 20. Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo (Indépendant) 21. Martin Fayulu Madidi (Lamuka Fayulu) 22. Mapon Matata Ponyo (Leadership et gouvernance pour le développement) 23. Franck Diongo Shamba (Mouvement Lumumbiste progressiste) 24. Adolphe Muzito Fumutshi (Nouvel Elan)

= https://www.jeuneafrique.com/1495667/politique/en-rdc-les-24-candidatures-a-la-presidentielle-sont-toutes-validees/
= https://actualite.cd/2023/10/20/rdc-presidentielle-aucune-candidature-irrecevable-apres-la-publication-de-la-liste
= https://www.radiookapi.net/2023/10/20/actualite/politique/presidentielle-2023-toutes-les-24-candidatures-declarees

"Présidentielle : Une requête introduite à la Cour constitutionnelle pour invalider la candidature de Moïse Katumbi - 21.10.2023
= https://www.mediacongo.net/article-actualite-128561_presidentielle_une_requete_introduite_a_la_cour_constitutionnelle_pour_invalider_la_candidature_de_moise_katumbi.html

"Candidature commune de l’opposition : « Les vrais opposants vont se parler, nous allons nous organiser parce que nous allons empêcher que Monsieur Tshilombo redevienne président après les élections » (Franck Diongo) ! - 21.10.2023
= https://okapinews.net/politique/candidature-commune-de-lopposition-les-vrais-opposants-vont-se-parler-nous-allons-nous-organiser-parce-que-nous-allons-empecher-que-monsieur-tshilombo-redevienne-president-apres-

"Les élections ne sont plus possibles dans le contexte actuel (Société Civile) - 21.10.2023
= https://www.mediacongo.net/article-actualite-128536_les_elections_ne_sont_pluys_possibles_dans_le_contexte_actuel_societe_civile.html


"Élections : chaque parti de l’opposition doit mobiliser 100 000 témoins (Me Carlos Mupili) - 21.10.2023
= https://ouragan.cd/2023/10/elections-chaque-parti-de-lopposition-doit-mobiliser-100-000-temoins-me-carlos-mupili

"La SJK alerte sur une tentative d’invalidation de Katumbi - 22.10.2023
= https://ouragan.cd/2023/10/la-sjk-alerte-sur-une-tentative-dinvalidation-de-katumbi

= https://ouragan.cd/2023/10/diongo-a-la-sadc-le-hold-up-electoral-ne-sera-pas-accepte
= https://www.breve.cd/rdc-justice-patrick-civava-saisit-la-cour-constitutionnelle-pour-linterpretation-des-articles-5-96-et-97-de-la-constitution-dont-lincompatibilite-entre-les-fonctions-du-chef-de-letat-avec-l/

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"RD Congo : les explications de Denis Kadima - 16.10.2023"



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LE PROCESSUS ÉLECTORAL EN QUESTION !? KADIMA AVEC SA CENI A SES CONDITIONS, EN VIOLATION DES RÈGLES, DES LOIS ET DU BON SENS : PAS DE PUBLICATIONS DES RÉSULTATS PAR BUREAU MAIS UNE CONSULTATION AUPRÈS D'UN PRÉPOSÉ... Empty Re: LE PROCESSUS ÉLECTORAL EN QUESTION !? KADIMA AVEC SA CENI A SES CONDITIONS, EN VIOLATION DES RÈGLES, DES LOIS ET DU BON SENS : PAS DE PUBLICATIONS DES RÉSULTATS PAR BUREAU MAIS UNE CONSULTATION AUPRÈS D'UN PRÉPOSÉ...

Message  ndonzwau 2/11/2023, 2:39 pm

L'HYPOTHÈQUE DES CONTENTIEUX DES CANDIDATURES PASSÉE AVEC LA DECISION DE LA CC QUI VIENT DE VALIDER TOUTES LES 26 PRETENDANTS A LA PRESIDENTIELLE  VIENT LA CONFORMITÉ INDISPENSABLE DU PROCESSUS ELECTORAL LUI-MÊME !

Et là-dessus le noeud du problème est que vu ce qui se passe les opposants ont des raisons de craindre un processus frauduleux et non comme le chantent l'enfumeur de service Muyaya et son complice Kadima non un plan quelconque des opposants à  contester automatiquement ; ils évoquent ainsi sans convaincre  le processus tantôt que les élections ne peuvent être à 100% correctes tantôt que tout dérapage viendra forcément de l'opposition.

Quelle demagogie à  ce point bête qui sous-tendrait que le bon opposant selon eux serait une victime consentante qui renoncera à dénoncer le chaos électoral en préparation. Ata vous-même, Kiekieekieee  ; ils veulent nous prendre tous pour des gogos prêts à avaler toutes leurs niaiseries..



"RDC : après le contentieux de candidatures, place à l’émiettement des forces de l’opposition ? - 02.11.2023
= https://actualite.cd/2023/11/01/rdc-apres-le-contentieux-de-candidatures-place-lemiettement-des-forces-de-lopposition
Félix Tshisekedi et Moise Katumbi ont obtenu le feu vert de la Cour constitutionnelle pour participer à l'élection présidentielle prévue le 20 décembre prochain en République démocratique du Congo. La Cour a jugé les requêtes d’annulation de leurs candidatures, introduites par Seth Kikuni et Noel Tshiani, non fondées. La première portait sur un défaut d'identité du président en exercice, tandis que la seconde accusait Moïse Katumbi de détenir une double nationalité.

D'après Germain Kuna, professeur des sciences politiques à l'Université de Kinshasa (UNIKIN), les débats autour de la nationalité et du nom du président actuel sont désormais clos. La question centrale à présent est de savoir comment les forces politiques se positionneront pour l'élection, avec le président Félix Tshisekedi en tant que candidat unique de l'Union sacrée de la nation. Cependant, il prévoit un possible émiettement des forces au sein de l'opposition en l'absence d'un consensus autour d'un candidat commun.
Kuna souligne que l'Union sacrée est déjà en train de gagner en importance, et les moyens financiers jouent un rôle crucial. Parmi ses membres figurent des acteurs dotés d'une capacité financière importante, et bien que la loi interdise l'utilisation des ressources de l'État à des fins de campagne électorale, la pratique diffère. De l'autre côté, si les dirigeants de l'opposition choisissent de se présenter de manière dispersée, cela pourrait entraîner un éclatement des forces du côté de l'opposition et un regroupement du côté de la majorité, explique-t-il dans une interview accordée à ACTUALITE.CD.
Germain Kuna souligne que bien que les décisions de la cour constitutionnelle soient inattaquables, elles ne constituent qu'une partie de l'équation pour garantir un processus électoral inclusif, crédible et apaisé.

Il souligne que la crédibilité du processus électoral dépend également du déroulement d'une campagne paisible, du respect des conditions de vote, du travail conforme aux normes de la Commission électorale nationale indépendante (Céni), de l'accès des témoins des partis politiques aux procès-verbaux, du bon fonctionnement des centres de compilation, et de la publication des résultats bureau de vote par bureau de vote. Ces facteurs revêtent une grande importance pour quiconque souhaite discuter de la crédibilité du processus électoral, précise-t-il.
Le politologue appelle également toutes les parties prenantes à faire preuve de retenue, à éviter tout désordre et contestation violente, et à recourir aux dispositions légales et réglementaires en cas de contentieux électoraux.
À la suite du contentieux des candidatures, la Cour constitutionnelle et l'appareil judiciaire dans son ensemble sont maintenant attendus pour régler les éventuels contentieux relatifs aux résultats électoraux.
" Ils doivent appliquer la loi conformément aux dispositions régissant l'organisation des élections en RDC, en rendant des jugements en temps voulu et en toute honnêteté", conclut Germain Kuna.
Germain Kuna est au téléphone de Bruno Nsaka


"Patrick Muyaya aux opposants : " Il est illusoire de penser que nous aurons des élections parfaites à 1000 % compte tenu de l’attitude de l’opposition  envers la CENI " - 01.11.2023
= https://actualite.cd/2023/11/01/patrick-muyaya-aux-opposants-il-est-illusoire-de-penser-que-nous-aurons-des-elections
Plusieurs candidats à l'élection présidentielle de décembre 2023 en République démocratique du Congo, dont Moïse Katumbi, Martin Fayulu, Denis Mukwege, Marie-Josée Ifoku, Seth Kikuni, et Franck Diongo, ont publié une déclaration conjointe mardi 31 octobre, exigeant que la Commission Électorale Nationale Indépendante (CENI) réponde à leurs préoccupations concernant la tenue d'élections transparentes. Interrogé sur l'opinion du gouvernement à propos de cette démarche de l'opposition, le porte-parole du gouvernement, Patrick Muyaya, estime que cette position n'est pas surprenante, car l'opposition semble davantage préoccupée par la contestation électorale que par le processus électoral lui-même.
" Rien d'étonnant, car comme je l'ai dit précédemment, j'ai l'impression que l'opposition se prépare davantage à contester les élections qu'à les organiser. Il est essentiel de replacer l'organisation des élections dans un contexte évolutif. En 2006, nous avons organisé nos premières élections pluralistes, et depuis, 17 ans se sont écoulés. Nous sommes sur le point d'atteindre un certain niveau de maturité, mais il est essentiel de se rappeler que l'organisation d'élections dans un pays de la taille du nôtre, avec des problèmes d'infrastructures et près de 100 000 candidats le même jour, est un défi bien connu de ces opposants. Par conséquent, il est illusoire de s'attendre à des élections parfaites à 1000 % compte tenu de leur attitude envers laCENI ", a regretté Patrick Muyaya lors d'un point presse conjoint avec son collègue de l'industrie, Julien Paluku Kahongya, le mardi 31 octobre 2022.
Il a ajouté : " Ils demandent le dialogue, et nous aussi, nous souhaitons un dialogue, mais ce dialogue doit avoir lieu devant le peuple congolais. Ils peuvent s'adresser à la CENI, car la CENI est là pour répondre aux préoccupations de tous les Congolais, y compris des opposants. Ils doivent cesser de s'emporter et de parler de fraude et d'autres difficultés inhérentes à un processus électoral complexe dans notre pays, car ces candidats à la présidence sont censés connaître ces défis."

En ce qui concerne les allégations d'opacité dans le financement des élections, Patrick Muyaya a assuré que le gouvernement est pleinement engagé à garantir la transparence et la crédibilité du processus électoral. "Les inquiétudes concernant le financement et l'opacité dans le financement des élections ne sont pas nouvelles. Toutefois, nous constatons que toutes les étapes clés du processus électoral ont été menées à bien. Nous encourageons nos amis de l'opposition à suivre attentivement ce que nous faisons. Pendant la campagne électorale, les médias devraient leur poser des questions pertinentes sur leurs stratégies en matière d'industrie, de santé, d'éducation, de diplomatie, etc. Vous verrez qu'ils ne pourront donner que des réponses vagues," a souligné Patrick Muyaya.
Il a poursuivi en disant : "Nous faisons ce qui est possible. Ils préfèrent se concentrer sur l'impossible. Je suis curieux de connaître leurs programmes et d'entendre leurs propositions au lieu de s'acharner sur la Commission Électorale Nationale Indépendante, dont certains de ces candidats font partie. En ce qui concerne la sécurité et le financement des élections, c'est un choix que nous avons fait, et nous tiendrons le 20 décembre. Le seul dialogue que nous attendons, c'est celui avec le peuple congolais."
Dans leur déclaration commune, les opposants ont appelé à la publication des listes électorales dans chaque bureau de vote, conformément à la loi électorale. Ils ont également réclamé la publication complète de la cartographie des bureaux de vote et la géolocalisation des machines à voter. Ces candidats ont sollicité la Cour constitutionnelle, la CENI et toutes les institutions publiques pour garantir la transparence, la crédibilité et l'inclusivité du processus électoral.
Ils ont exprimé leur préoccupation quant à la participation des citoyens congolais, notamment dans les zones de Masisi, Rutshuru, Bunagana et Kwamouth, et ont appelé le gouvernement et la CENI à trouver des solutions pour garantir le droit de vote pour tous. Ils ont dénoncé ce qu'ils considèrent comme un manque de transparence dans la conduite des opérations électorales, combiné à l'opacité dans le processus de financement et de gestion des finances de la CENI, caractérisée par une généralisation des marchés de gré à gré.

Les candidats ont demandé une réunion urgente entre la CENI et tous les candidats à la présidence pour parvenir à un consensus essentiel à des élections apaisées. Ils ont également exhorté la population à se préparer à une "veillée électorale" et à former une garde citoyenne devant les bureaux de vote pour observer le dépouillement des votes. Ils ont insisté sur l'importance de l'affichage des procès-verbaux de vote ainsi que des résultats devant chaque bureau de vote et la remise de copies certifiées à tous les témoins.
Lire aussi : La CENI répond aux candidats présidents de l'opposition : " certaines parties prenantes ... tentent de créer des tensions en vue de justifier une contestation future des résultats 

"Le gouvernement répond à l'appel au dialogue lancé par six candidats présidents - 02.11.2023
= https://www.mediacongo.net/article-actualite-129009_le_gouvernement_repond_a_l_appel_au_dialogue_lance_par_six_candidats_presidents.html

"RDCongo : Le match Tshisekedi – Katumbi peut commencer
- 30 octobre 2023

= https://afrique.lalibre.be/78508/rdcongo-le-match-tshisekedi-katumbi-peut-commencer/

"Présidentielle en RDC : “ la Cour a joué à l’apaisement et à la recherche de l’inclusivité qui a fait défaut pendant un moment ” (Nouvelle société civile congolaise) - 01.11.2023
= https://actualite.cd/2023/11/01/presidentielle-en-rdc-la-cour-joue-lapaisement-et-la-recherche-de-linclusivite-qui-fait

LE PROCESSUS ÉLECTORAL EN QUESTION !? KADIMA AVEC SA CENI A SES CONDITIONS, EN VIOLATION DES RÈGLES, DES LOIS ET DU BON SENS : PAS DE PUBLICATIONS DES RÉSULTATS PAR BUREAU MAIS UNE CONSULTATION AUPRÈS D'UN PRÉPOSÉ... Image%20CENI%20URNE

La Cour constitutionnelle de République Démocratique du Congo s’était réunie jeudi 26 octobre 2023 pour examiner les contentieux relatifs aux candidatures à l'élection présidentielle de décembre prochain. Elle avait entamé l'examen de douze affaires lors d'une audience publique le 27 octobre, avant de rendre ses arrêts lundi 30 octobre. La Cour a notamment déclaré recevables mais non fondées les requêtes de Seth Kikuni et de Noel Tshiani, qui visaient respectivement l’invalidation de candidatures de Félix Tshisekedi et de Moise Katumbi.
Relire :
RDC : La requête de Noël Tshiani contre la candidature de Moïse Katumbi déclarée recevable mais non fondée
[NLa requête de Seth Kikuni contre la candidature de Félix Tshisekedi déclarée recevable mais non fondée
Depuis, les réactions fusent de partout. Du côté de la nouvelle société civile congolaise (NSCC), Jonas Tshiombela, président de ladite structure, fait savoir que la Cour constitutionnelle a joué à l’apaisement et à la recherche de l’inclusivité.
« La Cour constitutionnelle étant une instance qui statue en premier et dernier ressort dans notre pays, vient là d’administrer à l’opinion tant nationale qu’internationale qu’elle demeure indépendante contrairement à tout ce qu’il y avait eu comme bruit au niveau de l’opinion. Elle a joué à l’apaisement, à la recherche de l’inclusivité qui a fait défaut pendant un moment donné. Elle a ramené tout le monde au consensus pour montrer qu’elle est l’autorité qui statue en dernier. Partant de cette idée, tous les acteurs qui seront en compétition électorale doivent maintenant jouer aux règles du jeu afin que les élections soient inclusives et apaisées. De la même manière qu’on a accepté qu’on entre en compétition, qu’on accepte également lorsque la Cour constitutionnelle va statuer sur le résultat et que tout le monde soit conséquent que c’est la dernière instance qui s’est décidée », a-t-il dit à ACTUALITE.CD.

L’une des conséquences de cet arrêt de la Cour, c’est qu’il y a désormais la possibilité d’avoir tous les 24 candidats en lice le 20 décembre prochain. Pour M. Tshiombela « cela prouve déjà l’inclusivité et aux seuls Congolais de décider … à qui remettre le destin du pays en main ».
Rappelons que les arrêts de la Cour sont venus mettre fin aux contentieux électoraux concernant l'élection présidentielle.


"Présidentielle en RDC : Delly Sesanga ne fera confiance qu’au « décompte des Églises »- 30.10.2023
= https://www.jeuneafrique.com/1498559/politique/presidentielle-en-rdc-delly-sesanga-ne-fera-confiance-quau-decompte-des-eglises/




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Compatriotiquement!


# Si haut que l'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul #
# Que faisait Dieu avant la création ? De toute éternité, il préparait d'épouvantables supplices pour celui qui poserait cette question. #

ndonzwau


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LE PROCESSUS ÉLECTORAL EN QUESTION !? KADIMA AVEC SA CENI A SES CONDITIONS, EN VIOLATION DES RÈGLES, DES LOIS ET DU BON SENS : PAS DE PUBLICATIONS DES RÉSULTATS PAR BUREAU MAIS UNE CONSULTATION AUPRÈS D'UN PRÉPOSÉ... Empty Re: LE PROCESSUS ÉLECTORAL EN QUESTION !? KADIMA AVEC SA CENI A SES CONDITIONS, EN VIOLATION DES RÈGLES, DES LOIS ET DU BON SENS : PAS DE PUBLICATIONS DES RÉSULTATS PAR BUREAU MAIS UNE CONSULTATION AUPRÈS D'UN PRÉPOSÉ...

Message  ndonzwau 7/11/2023, 3:30 pm

LA CENI S'ÉPUISE A NOUS CONVAINCRE QU'ELLE TIENDRA LES ÉLECTIONS MAIS PLUS ELLE S'EPOUMONE MIEUX ON DÉCOUVRE QU'ELLE NE PEUT NOUS OFFRIR QUE DES ÉLECTIONS BÂCLÉES A SA SAUCE  !

En effet techniquement la logistique est insuffisante et politiquement la seule garantie c'est d'accorder un gage que la CC  qui a été capable de retenir tous les candidats à la présidentielle est la même qui proclamera la victoire de Tshisekedi.  Les mobiles de la CC et de la Ceni se confondent ici avec ceux du pouvoir en place. CQFD, ainsi va le règne de mulopwe Tshilombo chevillé viscéralement  à son deuxième mandat circulez il n'y a rien d'autre à voir sauf peut-être un glissement consensuel au vu d'un sursaut subi guerre de l'Est qu'on aura attisée exprès...



"Les élections se tiendront le 20 décembre 2023, réaffirme la CENI
- 07.11.2023

= https://www.mediacongo.net/article-actualite-129209_les_elections_se_tiendront_le_20_decembre_2023_reaffirme_la_ceni.html

LE PROCESSUS ÉLECTORAL EN QUESTION !? KADIMA AVEC SA CENI A SES CONDITIONS, EN VIOLATION DES RÈGLES, DES LOIS ET DU BON SENS : PAS DE PUBLICATIONS DES RÉSULTATS PAR BUREAU MAIS UNE CONSULTATION AUPRÈS D'UN PRÉPOSÉ... Muhindo_paul_23_233_jpg_711_473_1

La Commission électorale nationale indépendante (CENI) se dit déterminée à tenir les élections dans le délai constitutionnel. Au cours de la clôture lundi 6 novembre sur toute l'étendue de la RDC du niveau 2 de la formation des formateurs électoraux, le rapporteur adjoint de la CENI, Paul Mohindo Mulemberi, s'est félicité du respect scrupuleux du chronogramme établi.
Pour Paul Mohindo Mulemberi, tout est fin prêt pour que la CENI procède au déploiement du matériel électoral dans tous les bureaux de vote.
Les formateurs ainsi formés, assureront à leur tour, dans les jours qui suivent, la formation de plus de 349 000 agents électoraux en vue de la tenue de meilleures élections le 20 décembre prochain.
Paul Muhindo Vahumawa Mulemberi :




"RDC : les élections se tiendront le 20 décembre 2023, réaffirme la CENI
- 07/11/2023 -

= https://www.radiookapi.net/2023/11/07/actualite/politique/rdc-les-elections-se-tiendront-le-20-decembre-2023-reaffirme-la-ceni

LE PROCESSUS ÉLECTORAL EN QUESTION !? KADIMA AVEC SA CENI A SES CONDITIONS, EN VIOLATION DES RÈGLES, DES LOIS ET DU BON SENS : PAS DE PUBLICATIONS DES RÉSULTATS PAR BUREAU MAIS UNE CONSULTATION AUPRÈS D'UN PRÉPOSÉ... 20230909145329244126_WhatsApp_Image_2023-09-09_at_09.52.27_1
Vue de l'entrée principale du siège de la CENI à Kinshasa, ce samedi 9 septembre 2023, la circulation y réduite à l'occasion de l'ouverture du BRTC pour le dépôt des candidatures à la présidentielle.
Radio Okapi/Jonathan Fuanani


La Commission électorale nationale indépendante (CENI) se dit déterminée à tenir les élections dans le délai constitutionnel. Au cours de la clôture lundi 6 novembre sur toute l'étendue de la RDC du niveau 2 de la formation des formateurs électoraux, le rapporteur adjoint de la CENI, Paul Mohindo Mulemberi, s'est félicité du respect scrupuleux du chronogramme établi. 

Pour Paul Mohindo Mulemberi, tout est fin prêt pour que la CENI procède au déploiement du matériel électoral dans tous les bureaux de vote. 
Les formateurs ainsi formés, assureront à leur tour, dans les jours qui suivent, la formation de plus de 349 000 agents électoraux en vue de la tenue de meilleures élections le 20 décembre prochain.[/size]
Paul Muhindo Vahumawa Mulemberi :
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"RDC: la SADC préoccupée par l’état de préparation des élections du 20 décembre 2023 - 13 octobre 2023
= https://www.politico.cd/encontinu/2023/10/13/rdc-la-sadc-preoccupee-sur-letat-de-preparation-des-elections-du-20-decembre-2023.html/143411/amp/

"RDC: l’Union européenne va déployer une mission d’observation électorale - 06.11.2023
= https://www.rfi.fr/fr/afrique/20231106-rdc-l-union-europ%C3%A9enne-va-d%C3%A9ployer-une-mission-d-observation-%C3%A9lectorale


"RDC : les élections de décembre 2023, jouées d’avance ? 07.11.2023
= https://www.grip.org/rdc-les-elections-de-decembre-2023-jouees-davance/amp/
Sauf coup de théâtre chaque jour moins probable, des élections générales se tiendront le 20 décembre 2023 en République démocratique du Congo (RDC). Elles devraient permettre de renouveler les membres de l’Assemblée nationale, du Sénat et des assemblées des 26 provinces du pays, mais les projecteurs seront surtout braqués sur l’élection du chef de l’État, attention justifiée par les larges pouvoirs que lui octroie la constitution congolaise.

Le favori de la course électorale est, de l’avis général, le président actuel, Félix-Antoine Tshisekedi, qui vise un second mandat de cinq ans à la tête du pays. Face à lui se trouve la plupart des ténors de la scène politique congolaise, qui ont décidé de le défier à travers les urnes. Après avoir payé une caution (non remboursable) de 160 millions de francs congolais (environ 60 000 euros), ils sont finalement 26 – dont deux femmes – à figurer sur la liste définitive des candidats présidentiels, dont deux n’avaient pas été validés par la Commission électorale nationale indépendante (CENI), mais qui ont été « repêchés » par la Cour constitutionnelle[1]. La campagne électorale ne pourra cependant débuter que le 19 novembre, soit un mois avant la tenue du scrutin.

Une brochette d’opposants au président
Parmi les principaux opposants au président Tshisekedi, il y a d’abord Moïse Katumbi, homme d’affaires, propriétaire du TP Mazembe, club de football le plus titré de RDC, et ancien gouverneur du Katanga. Empêché de se présenter à l’élection présidentielle de 2018 par une condamnation pour une affaire de spoliation immobilière, il devrait être bien présent cette fois-ci, car le recours en invalidation de sa candidature, sous le motif qu’il cumulerait sa nationalité congolaise avec la nationalité italienne[2], a été rejeté par la cour constitutionnelle. Alors qu’il jouit d’une popularité certaine dans l’ex-province du Katanga, où il met en avant les réalisations de son gouvernorat, son parti, Ensemble pour la République, basé à Lubumbashi, est également bien implanté à Kinshasa et ailleurs en RDC.
Martin Fayulu est un autre candidat qui devrait réunir un nombre conséquent de suffrages. Coordonnateur de la coalition Lamuka, il fut, pendant un temps – jusqu’à ce que Tshisekedi rompe le pacte – le candidat unique de l’opposition à Kabila en 2018 et il continue d’affirmer que sa victoire à ce scrutin, dont les résultats ont été contestés par de nombreux observateurs, lui a été volée à la suite d’un accord secret entre Tshisekedi et Kabila. Cependant, si d’aventure il devait être élu cette année, il risquerait de n’avoir aucun relais au parlement puisque, sur son injonction, Lamuka boycotte les législatives.
Une autre « vedette » du scrutin n’est autre que « l’homme qui répare les femmes », le chirurgien Denis Mukwege, prix Nobel de la paix en 2018. Dénonçant la corruption du régime, l’intervention de forces étrangères dans l’Est du pays sans aval parlementaire et l’impunité des auteurs de crimes de guerre de ces dernières décennies, il plaide pour une « véritable rupture » avec le passé. Cependant, si elle est grande à l’étranger, la popularité de Mukwege reste à démontrer hors de son Sud-Kivu natal, d’autant plus que – contrairement aux professionnels de la politique – il ne dispose pas d’une machine électorale bien huilée pour soutenir sa campagne[3].

Enfin, outre Floribert Anzuluni, ancien coordinateur du mouvement citoyen Filimbi, peut-être mieux connu en Belgique, où il a vécu quand son mouvement était réprimé sous la présidence précédente, deux candidats sont susceptibles d’attirer quelques pourcents de suffrages : les anciens Premiers ministres de Kabila, Matata Ponyo et Adolphe Muzito. Tous deux disposent d’un parti représenté au parlement et ils sont susceptibles de drainer une partie de l’électorat nostalgique de Joseph Kabila.
Quant à ce dernier, il a décidé d’ignorer le scrutin. Son Parti du peuple pour la reconstruction et la démocratie (PPRD), renvoyé dans l’opposition à la fin 2020, a également décidé de ne pas présenter de candidat aux législatives et a demandé à ses partisans de boycotter les opérations d’enrôlement des électeurs. Lors d’une de ces rares apparitions, l’ex-raïs, désormais sénateur à vie, a déclaré que les conditions n’étaient pas réunies pour de « bonnes élections » et dénoncé une « dictature ». La composition de la CENI et de la cour constitutionnelle, aux mains de fidèles du président actuel, est contestée et mise en avant par les kabilistes. Ayant subi maintes défections depuis son passage à l’opposition, le PPRD n’est cependant plus que l’ombre de ce qu’il était il y a cinq à dix ans[4].
[Parmi les autres absents de la présidentielle, il y a surtout Jean-Pierre Bemba, ancien chef rebelle, « finaliste » malheureux de l’élection de 2006, puis condamné à 18 ans de prison par la Cour pénale internationale pour les crimes commis par son groupe armé en République centrafricaine. Acquitté en appel, après plus dix ans de prison aux Pays-Bas, il est devenu ministre de la Défense. Son soutien et celui de son parti, le Mouvement pour la libération du Congo, à la candidature du président en exercice pourraient lui procurer nombre de voix dans l’ex-province de l’Équateur. De même, le chef de l’État devrait bénéficier du ralliement de l’Union pour la nation congolaise de Vital Kamerhe, bien implantée au Sud-Kivu. Directeur de cabinet de Tshisekedi au début de son mandat, Kamerhe a ensuite été condamné à 20 ans de prison pour corruption et détournement de fonds, acquitté en appel en juin 2022[5] et revenu en grâce quelques mois plus tard en étant nommé ministre de l’Économie.

Les atouts de Fatshi
L’appoint de ces quelques poids-lourds n’est pourtant qu’un des nombreux facteurs qui font de Félix-Antoine Tshisekedi, Fatshi en abrégé, le grand favori de la prochaine élection.
Parmi les autres atouts du président sortant, il y a bien entendu le grand nombre de prétendants à sa succession. Le désistement de certains d’entre eux et la création d’une dynamique d’opposition unifiée ne seront cependant possibles qu’après le début de la campagne électorale, soit quelques semaines avant le scrutin. Dans le cas contraire, le système électoral à un tour (qui veut que celui qui arrive en tête du scrutin soit élu président quel que soit le nombre de voix qu’il a remportées) favorisera sans doute le tenant actuel de la présidence.
]De même, la réélection de Tshisekedi pourrait être facilitée par un taux élevé d’abstentionnistes. Alors que, en 2018 déjà, plus de la moitié de l’électorat avait boudé les bureaux de vote, ce phénomène pourrait s’amplifier cette année, pas tellement en raison de l’appel au boycott de Kabila, mais surtout à cause du désenchantement d’une grande partie de la population qui n’a pas vu son sort s’améliorer après l’alternance incarnée par l’arrivée de Fatshi au pouvoir[6]. Les élections étant prévues un mercredi, jour ni férié ni chômé, nombreux seront ceux qui préféreront la quête de leur pain quotidien à la file au bureau de vote. Il reste à voir si les efforts de la CENI pour sensibiliser la population à l’importance d’aller voter suffiront à inverser la tendance[7].
En outre, Tshisekedi dispose d’un parti à sa dévotion, l’Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS), fondée en 1982 par son père, Étienne, et disposant de nombreux militants, les redoutables « combattants » organisés en « parlements debout », particulièrement à Kinshasa et dans la région du Kasaï.
Par ailleurs, des doutes planent sur les pratiques de la CENI et, par conséquent, la régularité des prochaines élections. Le fichier électoral, qui comporte près de 44 millions de noms, est contesté par l’opposition, qui y voit des électeurs fictifs et réclamé un audit qui a été refusé par la CENI[8]. Des électeurs, bel et bien enrôlés, constatent que leur nom a disparu du fichier central à cause de défaillances du serveur. Les cartes d’électeurs – principaux documents d’identité en RDC – récemment délivrées par la CENI seraient de mauvaise qualité et parfois illisibles. Les « dispositifs électroniques de vote », plus communément appelées « machines à voter », qui devraient permettre un vote « semi-électronique », inspirent la méfiance de la population, même si le comptage des voix devrait rester manuel.

En outre, en violation des mesures d’application de la loi électorale, la CENI a annoncé que les listes d’électeurs ne seraient pas affichées, mais consultables auprès d’un « agent appelé « Préposé à l’affichage » affecté à cette tâche au niveau de chaque Antenne de la CENI »[9]. Vingt jours après l’annonce, la mission d’observation électorale des églises catholique et protestante constatait n’avoir trouvé aucun de ces préposés auxdites antennes[10] et la CENI manquait également à son devoir de publier ces listes sur son site web[11].
D’autres voix dénoncent l’opacité du processus électoral. Plusieurs candidats présidentiels ont signé une déclaration commune (signe avant-coureur d’une candidature unique ?) où ils expriment leurs doutes sur l’indépendance de la CENI et demandent à la population de se préparer à une « garde citoyenne devant tous les bureaux de vote » le soir des élections[12]. De son côté, la coordination nationale de la Société civile forces vives énonçait d’autres griefs à l’encontre du processus électoral, dont la « désignation frauduleuse du Président de la CENI » et la « nomination des personnes de la même zone linguistique » aux postes-clés de ce processus. Demandant leur report, la coordination considère que les élections de décembre « risqueraient d’être l’élément déclencheur du chaos »[13].

Tribalisation des institutions ?
Il est vrai que de plus en plus nombreuses sont les voix à dénoncer une « tribalisation des institutions »[14], destinée notamment à garantir un deuxième mandat à Fatshi. Ainsi, alors que la CENI est chargée d’organiser les élections et la cour constitutionnelle de valider à la fois les candidatures et les résultats, les présidents de ces deux pivots du processus électoral, respectivement Denis Kadima et Dieudonné Kamuleta Badibanga, sont l’un et l’autre des Luba du Kasaï. Il en va de même avec ceux qui tiennent les cordons de la bourse (pour un coût des élections non précisé mais estimé à plus d’un milliard de dollars par la CENI[15]), le ministre des Finances, Nicolas Kazadi, et la gouverneure de la Banque centrale, Marie-France Malangu Kabedi. Sont également tous deux d’origine kasaïenne les ministres les plus concernés par le déroulement des élections, celui de l’Intérieur, Peter Kazadi, et celle de la Justice, Rose Mutombo.[/size][/justify]
Le président a donc réussi à s’entourer de personnes de confiance à même de lui assurer cinq années supplémentaires à la tête de l’État. Et, si cela ne suffisait pas, il pourrait avoir recours à des méthodes plus brutales, comme semble déjà en faire l’expérience l’entourage de Moïse Katumbi. Ainsi, un de ses plus proches conseillers, Salomon Idi Kalonda, est emprisonné depuis la fin mai 2023, d’abord accusé de « port d’arme illégal », puis de « trahison »[16]. Quelques semaines plus tard, Chérubin Okende, ancien ministre des Transports, porte-parole de Katumbi et son parti, était assassiné après avoir été enlevé dans l’enceinte de la cour constitutionnelle[17]. Enfin, au début septembre, le journaliste Stanis Bujakera a été arrêté pour un article (non signé) qu’il aurait publié dans le magazine Jeune Afrique, un article accusant l’État-major des renseignements militaires (ex-DEMIAP) d’être responsable de l’assassinat d’Okende[18].

Insécurité à l’Est, chaos à l’Ouest ?
Par ailleurs, il est probable que, en raison de l’insécurité ou de l’absence d’institution étatique, les élections ne pourront pas se tenir sur toute l’étendue de la République, en particulier dans certains territoires du Nord-Kivu. Dans cette province, dont quelque 2,5 millions d’habitants ont dû fuir leur localité d’origine[19], des combats continuent à faire rage entre le Mouvement du 23 mars (M23), soutenu par l’armée rwandaise, et les Forces armées de RDC (FARDC) alliées à des groupes locaux. Une force de l’East African Community (EAC), composée de militaires sud-soudanais et kenyans, est censée reprendre le terrain conquis par le M23, mais sa passivité est encore plus criante que celle de la MONUSCO, la Mission de l’Organisation des Nations unies pour la stabilisation en RDC, elle-même sur le départ. Présente depuis un quart de siècle dans le pays, celle-ci devrait entamer un retrait « progressif et ordonné » avant la fin de l’année 2023. En outre, dans le cadre de l’EAC, à laquelle la RDC a adhéré en 2022, des troupes ougandaises sont présentes dans le nord du Nord-Kivu et dans le sud de l’Ituri voisine pour y combattre les Allied Democratic Forces (ADF), affiliées à la nébuleuse de l’État islamique, tandis que, au Sud-Kivu, ce sont des troupes burundaises qui pourchassent des groupes armés burundais établis de l’autre côté de la frontière. Autrement dit, malgré le retrait de la MONUSCO, la « congolisation » des conflits de RDC ne semble pas être pour demain.
Indépendamment de la situation dans l’Est, on voit cependant mal les lacunes constatées dans l’organisation des élections et le fonctionnement de la CENI déboucher sur un chaos généralisé, comme le redoutent certains observateurs et candidats d’opposition, et encore moins sur une guerre civile[20]. La loi électorale adoptée en 2022[21] a mis en place certains garde-fous, comme le comptage des bulletins de vote dans chaque bureau avant le début des opérations ou l’obligation d’affichage des résultats aux murs de ces bureaux. Si ces mesures sont bien appliquées, elles devraient rendre plus difficile toute falsification massive des résultats, et donc limiter l’ampleur de leur contestation. Cela donnerait aussi à l’heureux élu davantage de légitimité que n’en a disposé l’actuel locataire de la présidence lorsqu’il entama son premier mandat.

[1] « Présidentielle 2023 : la Cour constitutionnelle valide la liste définitive de 26 candidatures », Radio Okapi, 30 octobre 2023.
[2] Katumbi est né au Congo d’un père grec et d’une mère congolaise.
[3] Romain Gras, « ‘J’y vais maintenant !’ : Denis Mukwege candidat à la présidentielle », Jeune Afrique, 2 octobre 2023.
[4] Christophe Rigaud, « RDC : les stratégies divergentes d’une opposition fragmentée », Afrikarabia, 31 juillet 2023.
[5] Romain Gras, « RDC : Vital Kamerhe acquitté en appel », Jeune Afrique, 23 juin 2022.
[6] Groupe d’étude sur le Congo & Ebuteli, « Présidentielle 2023 : l’abstention pourrait atteindre un taux record », Center on International Cooperation, février 2023.
[7] « La CENI lance la campagne de sensibilisation d’électeurs pour une importante participation aux prochaines élections », Radio Okapi, 21 octobre 2023.
[8] « RDC: la Céni ne veut pas d’un nouvel audit du fichier électoral après avoir rencontré l’opposition », RFI, 11 juillet 2023.
[9] « COMMUNIQUE DE PRESSE | N° 050/CENI/2023 », Ceni-RDC, sur X, 5 octobre 2023.
[10] La CENI dispose de 6 antennes dans la ville de Kinshasa, qui compterait entre 15 et 20 millions d’habitants.
[11] Djo Kabika, « Élections 2023 : les catholiques et les protestants accusent la CENI de traîner les pas pour la publication des listes des électeurs », mediacongo.net, 25 octobre 2023.
[12] « RDC : Des candidats à la présidentielle dont Katumbi, Fayulu et Mukwege réclament la publication des listes électorales dans chaque bureau de vote et demandent une réunion urgente avec Denis Kadima », actualite.cd, 31 octobre 2023.
[13] « RDC : les élections ne sont plus possibles dans le contexte actuel (Société Civile) », La Prunelle RDC, 20 octobre 2023
[14] Bénédict Mukendi, « Katumbi, Sessanga et Matata proposent des solutions pour l’actuel processus électoral », Sud Express International, 5 juillet 2023.
[15] Jordan Mayenikini, « Élections en RDC : alors que la CENI exige plus d’un milliards USD, l’ODEP estime que le budget actuel ne devrait pas dépasser 600 millions USD », actualite.cd, 23 mars 2023.
[16] « En RDC, Salomon Idi Kalonda, bras droit de l’opposant Moïse Katumbi, devant la justice », RFI, 18 août 2023.
[17] Emery Makumeno et Pamela Amunazo, « Ce que nous savons sur l’assassinat de Chérubin Okende, ancien ministre congolais retrouvé mort dans sa voiture à Kinshasa », BBC News, 13 juillet 2023.
[18] « RDC: «Le maintien en détention de Stanis Bujakera n’a pas lieu d’être», pour l’avocat du journaliste », RFI, 26 septembre 2023. L’article ayant entraîné l’arrestation de Bujakera, daté du 31 août 2023, est disponible sous https://www.jeuneafrique.com/1477835/politique/mort-de-cherubin-okende-en-rdc-les-renseignements-militaires-ont-ils-joue-un-role/.
[19] « République démocratique du Congo: Nord-kivu : Personnes déplacées internes et retournées, mars 2023 », UN Office for the Coordination of Humanitarian Affairs (OCHA), mai 2023.
[20] Écouter, par exemple, les propos du professeur Bob Kabamba (Université de Liège) dans l’émission « Dialogue entre Congolais », Radio Okapi, 9 octobre 2023.
[21] « Loi électorale n°22-029 du 29 juin 2022 », CENI, 5 juillet 2022.


"Élections 2023: Kadima à Séoul pour s’enquérir de l’évolution de la production du matériel électoral avant le déploiement au pays - 7 novembre 2023
= https://www.politico.cd/encontinu/2023/11/07/elections-2023-kadima-a-seoul-pour-senquerir-de-levolution-de-la-production-du-materiel-electoral-avant-le-deploiement-au-pays.html/145516/
= https://www.forumdesas.net/2023/11/depuis-seoul-en-coree-du-sud-denis-kadima-reaffirme-la-tenue-des-elections-dans-le-delai-constitutionnel/



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LE PROCESSUS ÉLECTORAL EN QUESTION !? KADIMA AVEC SA CENI A SES CONDITIONS, EN VIOLATION DES RÈGLES, DES LOIS ET DU BON SENS : PAS DE PUBLICATIONS DES RÉSULTATS PAR BUREAU MAIS UNE CONSULTATION AUPRÈS D'UN PRÉPOSÉ... Empty Re: LE PROCESSUS ÉLECTORAL EN QUESTION !? KADIMA AVEC SA CENI A SES CONDITIONS, EN VIOLATION DES RÈGLES, DES LOIS ET DU BON SENS : PAS DE PUBLICATIONS DES RÉSULTATS PAR BUREAU MAIS UNE CONSULTATION AUPRÈS D'UN PRÉPOSÉ...

Message  ndonzwau 8/11/2023, 5:22 pm

DES ALERTES DE PARTOUT SUR NOTRE PAYS PENDANT QUE LE POUVOIR ET KADIMA SE SATISFONT DE LEUR BOULOT...

- Deux senateurs americains responsables viennent d'écrire au président Tshisekedi pour s'inquiéter sérieusement de l'intégrité des élections de 2023 sans une intervention significative du gouvernement congolais pour améliorer les capacités d'administration des élections de la Ceni et la transparence dans la restitution des résultats. Une élection mal gérée compromettrait les efforts visant à renfoncer la coopération bilatérale en matière de sécurité régionale, de protection de l'environnement, de commerce et d'investissement entre les États-Unis et la RDC, disent-ils ; la Ceni n'ayant pas fourni une transparence adéquate en ce qui concerne la liste électorale.

- En même le secrétaire d'Etat Blinken s’est entretenu avec Kagame, et Tshisekedi, au sujet de la  situation instable  à la frontière entre leurs deux pays, plaidant en faveur d’une solution diplomatique devant l'intensification des combats entre les Fardc et le M23 à Rutshuru et Masisi avec en sus un record des déplacés internes.-

- De son côté l'UE appelle à  la desecalade entre Kinshasa et Kigali tandis que ce dernier exhorte le premier à une solution politique.



"Élections en RDC : message clair des sénateurs américains au Président Tshisekedi -
08.11.2023

= https://www.mediacongo.net/article-actualite-129248_elections_en_rdc_message_clair_des_senateurs_americains_au_president_tshisekedi.html

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Michael McCaul

Le président de la sous-commission sénatoriale des crédits pour l'État et les opérations étrangères (Sfops), Chris Coons (Démocrate-Del.) et le président de la commission des affaires étrangères de la Chambre, Michael McCaul (R-Texas), ont écrit, le mardi 7 novembre, une lettre au Président Felix Tshisekedi.
Les deux sénateurs américains se disent sérieusement préoccupés par le fait que l'intégrité des élections de 2023 pourrait être compromise sans une intervention significative du gouvernement congolais pour améliorer les capacités d'administration des élections de la Ceni et la transparence dans la restitution des résultats.
Dans leur lettre au Président Félix Tshisekedi, les sénateurs américains font savoir qu'une élection mal gérée compromettrait les efforts visant à renfoncer la coopération bilatérale en matière de sécurité régionale, de protection de l'environnement, de commerce et d'investissement entre les États-Unis et la RDC.
Les sénateurs américains s'inquiètent du fait que la Ceni n'a pas fourni une transparence adéquate en ce qui concerne la liste électorale

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"Washington appelle le Rwanda et la RDC à la désescalade -07.11.2023
= https://www.jeuneafrique.com/1501290/politique/washington-appelle-le-rwanda-et-la-rdc-a-la-desescalade/


Antony Blinken au Japon, le 7 novembre 2023. :copyright: JONATHAN ERNST / POOL / AF

Antony Blinken s’est entretenu séparément par téléphone avec le président rwandais, Paul Kagame, et le chef de l’État congolais, Félix Tshisekedi, au sujet de la « situation instable » à la frontière entre leurs deux pays, a indiqué le Département d’État américain.

A lire :M23 en RDC : Washington tente d’influer sur le bras de fer entre Kinshasa et Kigali
Le secrétaire d’État « a plaidé en faveur d’une solution diplomatique aux tensions entre les deux pays et a exhorté chaque partie à prendre des mesures pour désamorcer la situation, y compris le retrait des troupes de la frontière », a déclaré le porte-parole du Département d’État, Matthew Miller, dans un communiqué.

Combats dans les régions de Rutshuru et Masisi
Les combats se sont intensifiés depuis début octobre au nord de Goma, la capitale du Nord-Kivu, entre la rébellion du M23 et les Forces armées de RDC (FARDC). Fin 2021, la résurgence du M23, soutenu par le Rwanda voisin selon de nombreuses sources, a provoqué le déplacement de centaines de milliers de Congolais. Près de 200 000 personnes ont fui leur domicile en raison des combats qui ont repris depuis le 1er octobre dans les régions de Rutshuru et Masisi, au nord de Goma, selon Bureau de la coordination des affaires humanitaires de l’ONU, Ocha. Un nombre record de 6,9 millions de personnes sont déplacées à l’intérieur de la RDC, selon les Nations unies.
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A lire :M23, FARDC, milices… Regain de tensions autour de Goma
Après une précédente flambée de violence l’année dernière, Antony Blinken s’est rendu dans les deux pays. Il a publiquement soutenu les affirmations de Kinshasa selon lesquelles Kigali soutenait les rebelles. Allégations que nie le gouvernement de Paul Kagame.
(Avec AFP)


"L’UE appelle à la désescalade après la reprise des combats entre l’armée et le M23 dans l’Est de la RDC - 08.11.2023
= https://actualite.cd/2023/11/08/lue-appelle-la-desescalade-apres-la-reprise-des-combats-entre-larmee-et-le-m23-dan

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Les rebelles du M23 à Kibumba

Les combats ont repris entre les Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC) et les rebelles du M23 dans les territoires de Rutshuru et Nyiragongo, dans l’Est de la RDC. L’Union Européenne se montre préoccupée face à ce regain des tensions et appelle à la désescalade.
« Face à la recrudescence des tensions dans l’Est de la RDC, l’UE appelle toutes les parties à la désescalade. Elle rappelle son attachement à une solution diplomatique et à la pleine mise en œuvre des engagements pris sous les processus de Nairobi et de Luanda », dit Josep Borrell, Haut Représentant de l’Union Européenne pour les affaires étrangères et la politique de sécurité.

Cet appel de l’UE intervient après un entretien téléphonique lundi entre le président rwandais Paul Kagame et le secrétaire d’Etat américain Antony Blinken sur « la détérioration de la situation sécuritaire dans l'est de la République démocratique du Congo (RDC), ainsi que sur la nécessité d'une désescalade des hostilités et d'une résolution politique du conflit ». Le M23 est soutenu par le régime de Kigali selon plusieurs rapports dont ceux du Groupe d’Experts des Nations Unies.
L’armée et le M23 se rejettent les responsabilités de violer le cessez-le-feu en vigueur depuis mars dernier conformément aux recommandations des Chefs d’Etat de la région. D’intenses combats opposent les deux parties depuis la semaine dernière à une vingtaine de kilomètres au Nord de Goma, dans les groupements Kibumba et Buhumba frontaliers avec le Rwanda. Les affrontements se déroulent aussi en plein parc des Virunga.
Lundi, des explosifs lancés par les rebelles ont touché la ligne moyenne tension transportant l'électricité de la centrale de Matebe (Rutshuru) à Goma via le territoire de Nyiragongo. Une bonne partie de la ville de Goma a été plongée dans le noir avant le rétablissement « temporaire » de l’électricité dans la journée de mardi.
 

"M23 : Kigali exhorte Kinshasa à accepter « une solution politique » -
07.11.2023

= https://www.mediacongo.net/article-actualite-129221_m23_kigali_exhorte_kinshasa_a_accepter_une_solution_politique.html
La persistance de l’instabilité dans l’est de la République démocratique du Congo (RDC) avec la résurgence des rebelles du M23, est un « problème de gouvernance et politique », a déclaré le chef de diplomatie rwandaise, Vincent Biruta, à la 44ᵉ session de la Conférence ministérielle de la Francophonie à Yaoundé qui, par conséquent, exhorte le gouvernement congolais à accepter « une solution politique » proposée par les processus de paix de Nairobi et de Luanda.

Le conflit rwando-congolais s’est invité aux assises des pays francophones tenues du 4 au 5 novembre à Yaoundé au Cameroun. Accusé par le vice-ministre congolais des Affaires étrangères, Crispin Mbadu, de soutenir les rebelles du M23 pour notamment piller les ressources naturelles dans l’est de la RDC, le Rwanda, par le canal de son ministre des Affaires étrangères, a réfuté, séance tenante, ces accusations.
Pour le chef de la diplomatie rwandaise, il s’agit d’un problème politique interne « qui impose une solution politique ».
« C’est de la diversion ! Le problème est politique, c’est un problème interne et le gouvernement de la République démocratique du Congo devrait prendre le courage d’accepter la solution politique proposée par les différents mécanismes régionaux et l’Union africaine. La question de la République démocratique du Congo est une question de gouvernance, une question politique, une solution politique s’impose et continuer d’accuser le Rwanda de tout ce qui ne va en RDC ne va certainement pas apporter la solution à ce problème », a déclaré Vincent Biruta.

Devant les représentants des pays de l’OIF, le vice-ministre des Affaires étrangères de la RDC a dénoncé l’administration Kagame, qui continue de soutenir « le mouvement rebelle terroriste M23 », en dépit de la résolution des chefs d’États francophones qui, lors du sommet de Djerba (Tunisie), en novembre 2022, avaient « condamné avec force tout soutien apporté à ce groupe ».
À cette occasion, Crispin Mbadu a réitéré ses profonds remerciements à l’égard des États et gouvernements qui soutiennent la RDC face à cette « agression injuste », en particulier ceux qui ont exprimé leur solidarité par des actions concrètes.
Les tensions entre Kinshasa et Kigali sont toujours vives. C’est dans ce contexte que le dernier sommet de la SADC a chargé le président angolais João Lourenço d’intensifier les efforts diplomatiques pour une solution pacifique à ce conflit.c omplot

= https://www.mediacongo.net/article-actualite-129220_guerre_a_l_est_continuer_d_accuser_le_rwanda_ne_va_certainement_pas_apporter_la_solution_vincent_biruta.html


"RDC: La CENI annonce la fin de la production du matériel électoral dont des machines à voter et reconfirme la tenue des élections le 20 décembre -
O7.11.2023

= https://actualite.cd/2023/11/07/rdc-la-ceni-annonce-la-fin-de-la-production-du-materiel-electoral-dont-des-machines
Dénis Kadima, président de la Commission électorale nationale indépendante, séjourne à Séoul (Corée du Sud) depuis lundi 6 novembre 2023, pour suivre la finalisation de la production du matériel électoral commandé auprès de la société coréenne Miru System. Au lendemain de son arrivée, Dénis Kadima a tenu une séance de travail avec les responsables de Miru System, au siège de cette firme coréenne où il était question d'apprécier le travail accompli, en synergie avec les équipes de la CENI centrale électorale dépêchées depuis plusieurs semaines, dans l'objectif d'équiper la CENI du matériel électoral adapté notamment le Dispositif Électronique de Vote (DEV), qui servira aux élections prévues le 20 décembre 2023 en RDC.
"Je suis à Séoul avec une délégation pour voir comment le travail s’est déroulé parce que le gros de la tâche est fait. Et je suis venu voir comment les équipes se tirent d'affaires. Je dois avouer que je suis très satisfait parce que tout le travail qui était très intensif a été exécuté. Vous pouvez regarder derrière moi, il y a plein des matériels notamment les Dispositifs Électroniques de Vote (DEV), les bulletins de vote et autres qui sont déjà fabriqués et n’attendent que d’être expédiés au pays. Il y en a ceux qui arriveront directement à Kinshasa et d’autres en provinces pour assurer un déploiement efficace", a déclaré Dénis Kadima à l'issue de sa visite à l'entrepôt central de Miru System.

Denis Kadima entend relever le défi de la tenue des élections dans le délai constitutionnel.
"C’est vrai que le pays est vaste. Mais la CENI a une grande capacité logistique. Comme le travail de la production est fini, nous entamons maintenant la phase de distribution. Je me dois d'avouer que la CENI n’est pas à sa première expérience. Nous savons très bien que le défi existe quant à la grandeur du pays sur le plan logistique. Cependant, la CENI est bien implantée à travers le pays par ses démembrements. Il est maintenant question d’utiliser les moyens dont nous disposons pour faire parvenir les matériels à leurs  destinations respectives et la CENI a assez d’expérience pour y arriver", a-t-il rassuré.

La tenue des élections après chaque quinquennat en République Démocratique du Congo est irréversible, martèle M. Kadima. 
"J’aimerais vraiment que nos compatriotes sachent que le 20 décembre 2023 c’est la date des élections et tout est mis en œuvre pour que les élections aient lieu ce jour-là parce que la CENI évolue bien selon son calendrier. J’aimerais vraiment exhorter les Congolais à ne pas se fier à ce qui se dit, mais à croire plutôt à ce qu'entreprend la CENI, car nous voulons faire partie de la solution et non du problème. Les Congolais doivent savoir que tous les 5 ans, nous devons avoir les élections et ce n’est pas le moment de commencer à spéculer".
Cette descente sur terrain intervient à moins de 50 jours du grand rendez-vous du 20 décembre 2023. Sur terrain, plusieurs étapes du calendrier électoral ont été franchies.






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Message  ndonzwau 10/11/2023, 9:56 pm

!

 
"REPORTAGE
Est de la RDC: comment les combats affectent des centres de santé comme celui de Kanyaruchinya - 10.11.2023

= https://www.rfi.fr/fr/afrique/20231110-est-de-la-rdc-comment-les-combats-affectent-des-centres-de-sant%C3%A9-comme-celui-de-kanyaruchinya

"RDC: des militaires burundais entre incidents avec les rebelles du M23 et divisions avec la force de l’EAC - 10.11.2023
= https://www.rfi.fr/fr/afrique/20231110-rdc-des-militaires-burundais-entre-incidents-avec-les-rebelles-du-m23-et-divisions-avec-la-force-de-l-eac


"M23 en RDC : l’armée positionne trois drones chinois près de la frontière avec le Rwanda - 11.10 2023
= https://www.jeuneafrique.com/1502061/politique/m23-en-rdc-larmee-positionne-trois-drones-chinois-pres-de-la-frontiere-avec-le-rwanda/

"L'Est de la RDC : quand insécurité rime avec impunité...
= https://www.justicepaix.be/l-est-de-la-rdc-quand-insecurite-rime-avec-impunite-la-situation-securitaire/?pdf=14126

"Insécurité dans l’Est: La RDC montre des nouvelles images des militaires rwandais transportant “leurs morts” sur le sol congolais -10..
11.2023

= https://depeche.cd/2023/11/10/insecurite-dans-lest-la-rdc-montre-des-nouvelles-images-des-militaires-rwandais-transportant-leurs-morts-sur-le-sol-congolais/

"Insécurité à l'Est : le député Muhindo Kasweka demande l'interpellation du Premier ministre devant l'Assemblée nationale - 10.11.2023
= https://www.digit alcongo.net/article/654e224589ae7a37309c5af7/

"Insécurité dans l’Est de la RDC : Des manifestations « illimitées » lancées pour réclamer le rétablissement de la paix et la sécurité -
novembre 10, 2023

= https://actu30.cd/2023/11/insecurite-dans-lest-de-la-rdc-des-manifestations-illimitees-lancees-pour-reclamer-le-retablissement-de-la-paix-et-la-securite/

= https://www.jeuneafrique.com/1191024/politique/rdc-felix-tshisekedi-denonce-la-mafia-dans-larmee-et-les-institutions/
= https://www.jeuneafrique.com/1400635/politique/dans-le-conflit-rwanda-rdc-lhistoire-begaie-t-elle/

"Fichier électoral et bureaux de vote:  divergences de chiffres et anomalies rapportés par la MOE CENCO-ECC - 13.11.2023
= https://actualite.cd/2023/11/13/fichier-electoral-et-bureaux-de-vote-divergences-de-chiffres-et-anomalies-rapportes-par

"RDC : à environ un mois des élections, le gouvernement doit encore à la CENI à peu près 300 millions USD - 13.11.2023
= https://actualite.cd/2023/11/13/rdc-environ-un-mois-des-elections-le-gouvernement-doit-encore-la-ceni-peu-pres-300


"

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