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LA CÉLÉBRITÉ ET L'INTÉGRITÉ DE JULES ALINGETE EN QUESTION DANS UN PAYS ET SOUS UN RÉGIME SOUVENT EN DÉFAUT DE GOUVERNANCE ET DE JUSTICE ?

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LA CÉLÉBRITÉ ET L'INTÉGRITÉ DE JULES ALINGETE EN QUESTION DANS UN PAYS ET SOUS UN RÉGIME SOUVENT EN DÉFAUT DE GOUVERNANCE ET DE JUSTICE ? Empty LA CÉLÉBRITÉ ET L'INTÉGRITÉ DE JULES ALINGETE EN QUESTION DANS UN PAYS ET SOUS UN RÉGIME SOUVENT EN DÉFAUT DE GOUVERNANCE ET DE JUSTICE ?

Message  ndonzwau 7/4/2024, 2:55 am

LA CÉLÉBRITÉ ET L'INTÉGRITÉ  DE JULES ALINGETE EN QUESTION DANS UN PAYS ET SOUS UN RÉGIME SOUVENT EN DÉFAUT DE GOUVERNANCE ET DE JUSTICE ?!?

Si malgré toute sa bonne foi la première erreur sur le statut de Jules Alingete dont il rique un jour de pâtir etait d'être sous la tutelle de la présidence de la République à  laquele il voue une allégeance et une loyauté obsequieuses.
Son statut de privilégié, ça arrive hélas dans la vie, aurait devergonde notrd belle âme ; ptenons-le comme cela et attendons les prruved poursuoi pas à  travers unr enquête judiciaire



"RDC: Jules Alingete et l’IGF, qui surveille l’arbitre? - 05.04.2024
= https://www.politico.cd/grand-angle/magazine/2024/04/05/rdc-jules-alingete-et-ligf-qui-surveille-larbitre.html/160608/
Une enquête qui sera publiée ce samedi 6 avril dans la soirée va dévoiler des accusations graves à l’endroit de Jules Alingete, patron de la lutte anti-corruption en RDC. Petite introduction avec cet édito original de @LitsaniChoukran.

LA CÉLÉBRITÉ ET L'INTÉGRITÉ DE JULES ALINGETE EN QUESTION DANS UN PAYS ET SOUS UN RÉGIME SOUVENT EN DÉFAUT DE GOUVERNANCE ET DE JUSTICE ? AFFICHE-ALINGETE-scaled

Dans le grand stade de la République Démocratique du Congo, où la corruption semble parfois jouer en ligue professionnelle, une question nous taraude : Qui surveille l’arbitre ? La lumière crue des projecteurs se braque aujourd’hui sur Jules Alingete, le gardien en chef de l’Inspection Générale des Finances (IGF), pris dans une mêlée d’accusations qui pourrait bien être le Clásico de tous les scandales.
Le Comité de Surveillance des Finances Publiques, telle une équipe d’analyse vidéo VAR, a relu les bandes et levé le drapeau. Il semblerait que notre arbitre vedette, chargé de surveiller les hors-jeux de la corruption, ait lui-même franchi la ligne, orchestrant ce qui ressemble à un réseau mafieux sophistiqué. Extorsion de fonds de sociétés privées, blanchiment d’argent – les chefs d’accusation lus semblent sortis tout droit d’un manuel sur « Comment ne pas être un arbitre ».

Litsani Choukran
@LitsaniChoukran
EXCLUSIF/ Jules Alingete cité au cœur d'une affaire rocambolesque dénoncée auprès de la Justice congolaise depuis des mois mais passée sous silence. Notre enquête qui sortira ce week-end.
LA CÉLÉBRITÉ ET L'INTÉGRITÉ DE JULES ALINGETE EN QUESTION DANS UN PAYS ET SOUS UN RÉGIME SOUVENT EN DÉFAUT DE GOUVERNANCE ET DE JUSTICE ? 1Kd4lCPBHHqwd6f9

Regarder sur X

Les Fautes sur le Terrain. Six incidents, six fautes de jeu où Alingete semble avoir troqué son sifflet contre des liasses de billets. Comme un avant-centre trop zélé pensant que le but justifie les moyens, il aurait perçu des sommes astronomiques pour des services d’arbitrage très, très personnels. Mais dans ce match contre la corruption, marquer contre son propre camp n’est pas vraiment ce que les supporters attendent.
Le VAR de POLITICO.CD entre en Jeu. Quand l’arbitre est pris la main dans le sac, qui appelle la vidéo assistance ? La justice congolaise, maintenant sous pression, doit endosser le rôle de l’arbitre ultime, passant au ralenti chaque action douteuse pour séparer les faits des fictions. Mais dans un match où la corruption semble jouer à domicile, peut-on vraiment espérer une décision juste ?
L’Homme derrière le Sifflet. Jules Alingete, jusqu’alors considéré comme le Messi de la lutte anti-corruption, est maintenant sur la sellette. Son CV, aussi brillant soit-il, ne le protégera pas des tacles glissés de la vérité. Si les accusations s’avèrent vraies, c’est une carte rouge directe qui l’attend, sans passer par la case départ.
Et Maintenant ? Alors que la RDC retient son souffle, les joueurs de tous bords attendent de voir si la justice sifflera la fin de la récréation ou si, une fois de plus, le match se terminera dans la confusion, avec des décisions arbitrales laissant les supporters pantois. Nous, à POLITICO.CD, restons aux avant-postes, prêts à commenter chaque rebondissement, chaque déclaration, et surtout, prêts à questionner : Qui surveille l’arbitre ? Parce que dans le jeu crucial de la gouvernance et de l’intégrité, la RDC mérite des arbitres à la hauteur, des hommes et des femmes intransigeants qui jouent selon les règles, pour le bien de tous.
Lisez donc ce dimanche, la première d’une longue série qui vous révèle cette grosse affaire.

"ENQUÊTE: L’affaire de corruption qui éclabousse Jules Alingete en RDC - 06.04.2024
= https://www.politico.cd/actualite/la-rdc-a-la-une/2024/04/06/enquete-laffaire-de-corruption-qui-eclabousse-jules-alingete-en-rdc.html/160632/
ENQUÊTE: L’affaire de corruption qui éclabousse Jules Alingete en RDC[/size]
Jules Alingete, le chef de l’Inspection Générale des Finances (IGF) en RDC, est accusé par une organisation civile de corruption et de blanchiment d’argent. Des preuves, dont des vidéos et documents, ont été fournies, et un appel à enquête a été lancé. Alingete aurait utilisé son statut pour extorquer des fonds de sociétés privées, menaçant


LA CÉLÉBRITÉ ET L'INTÉGRITÉ DE JULES ALINGETE EN QUESTION DANS UN PAYS ET SOUS UN RÉGIME SOUVENT EN DÉFAUT DE GOUVERNANCE ET DE JUSTICE ? AFFICHE-ENQUETE-ALINGETE-scaled

Une tempête se prépare au sommet de l’Inspection Générale des Finances (IGF) de la République Démocratique du Congo, alors que Jules Alingete, son chef, est accusé par le Comité de Surveillance des Finances Publiques (CSFP), une organisation de la société civile, de corruption, de prédation sur des entreprises privées, et de blanchiment d’argent. Ces allégations mettent en lumière de potentielles failles dans l’appareil de lutte contre la corruption du pays et appellent à une action immédiate.
Selon cette organisation, Alingete aurait orchestré un réseau mafieux exploitant sa position pour extorquer des fonds de sociétés privées, avec des preuves de transactions douteuses et de détournements de fonds publics. Des preuves incluant des déclarations vidéo de témoins clés, des documents signés, et des appels urgents pour une enquête ont été soumis au Procureur Général, suscitant une onde de choc à travers la nation.

Des preuves contre Alingete
LA CÉLÉBRITÉ ET L'INTÉGRITÉ DE JULES ALINGETE EN QUESTION DANS UN PAYS ET SOUS UN RÉGIME SOUVENT EN DÉFAUT DE GOUVERNANCE ET DE JUSTICE ? PREUVE-LETTRE
Dans une lettre adressée au Procureur Général près la Cour de Cassation de Kinshasa, le Comité de Surveillance des Finances Publiques a formulé de graves accusations de corruption, de prédation sur des entreprises privées, et de blanchiment d’argent contre Jules Alingete, Chef de l’Inspection Générale des Finances (IGF) de la République Démocratique du Congo (RDC).

Le Comité a détaillé six incidents spécifiques dans sa lettre, suggérant un schéma de comportement corrompu par Alingete. Le 6 mai 2019, un paiement de 700.000,00 USD a été reçu par Alingete de la part de la RAWBANK, représentant un acompte sur une somme totale de 1.100.000,00 USD, officiellement pour une commission liée au redressement fiscal de 2018 de la banque. La suite de ce paiement, un solde de 400.000,00 USD, a été également perçu par Alingete le 20 mai 2019, soulevant des interrogations sur la nature et la légalité de cette transaction.LA CÉLÉBRITÉ ET L'INTÉGRITÉ DE JULES ALINGETE EN QUESTION DANS UN PAYS ET SOUS UN RÉGIME SOUVENT EN DÉFAUT DE GOUVERNANCE ET DE JUSTICE ? AFFICHE-ENQUETE-RECU-1-2L’affaire ne s’arrête pas là, le 30 janvier 2020, une autre somme importante de 200.000,00 USD a été remise à Alingete par un individu nommé YOUSSOUF, cette fois sous le prétexte de la première tranche de la TVA pour l’année 2020. Le 14 mai 2021, Alingete a, une fois de plus, reçu 200.000,00 USD des mains de YOUSSOUF, continuant le schéma de paiements douteux. Le 18 février 2022, dans une torsion familiale, Madame BOBETTE, belle-sœur d’Alingete et membre de son cabinet, a reçu 600.000,00 USD de YOUSSOUF, comptable du Groupe BELTEXCO, prétendument pour Alingete.
L’IGF est censée être le bastion de la lutte contre la corruption en RDC. Jules Alingete a été nommé à ce poste en juillet 2020, dans le cadre des efforts du Président Félix Tshisekedi pour lutter contre la corruption et améliorer la gouvernance financière dans le pays. Alingete a la responsabilité de surveiller la gestion des finances publiques, y compris les dépenses gouvernementales et les entreprises d’État, pour s’assurer qu’elles sont réalisées de manière transparente et responsabile[size=86]LA CÉLÉBRITÉ ET L'INTÉGRITÉ DE JULES ALINGETE EN QUESTION DANS UN PAYS ET SOUS UN RÉGIME SOUVENT EN DÉFAUT DE GOUVERNANCE ET DE JUSTICE ? AFFICHE-ENQUETE-RECU-3-4[/size]Avant sa nomination à la tête de l’IGF, Alingete a accumulé une vaste expérience dans le domaine financier et comptable. Il est diplômé en sciences économiques de l’Université de Kinshasa et est un expert-comptable agréé. Alingete a servi dans différentes capacités au sein du gouvernement et du secteur privé, où il a développé une expertise en matière de fiscalité et de climat des affaires.
Sa nomination à l’IGF a été largement vue comme un pas vers la réforme du secteur financier en RDC, en raison de sa réputation d’intégrité et de son engagement en faveur de la transparence. Sous sa direction, l’IGF a lancé plusieurs audits et enquêtes sur des allégations de corruption et de mauvaise gestion, menant à des actions contre des fonctionnaires et des entités accusées de détournement de fonds publics.LA CÉLÉBRITÉ ET L'INTÉGRITÉ DE JULES ALINGETE EN QUESTION DANS UN PAYS ET SOUS UN RÉGIME SOUVENT EN DÉFAUT DE GOUVERNANCE ET DE JUSTICE ? AFFICHE-ENQUETE-5-6Toute la lutte anti-corruption menacée
Le Comité de Surveillance des Finances Publiques, à l’origine de cette dénonciation, appelle à une enquête approfondie pour mettre un terme à ce qu’il considère comme une prédation menaçant les finances publiques et la confiance du peuple dans une gestion responsable des ressources de l’État.
Les implications de ces allégations ne sont pas seulement de nature financière; elles soulèvent également des questions profondes sur la confiance que le public congolais peut accorder à ses institutions. Avec des fonds s’élevant à des centaines de milliers de dollars apparemment échangés dans des circonstances douteuses, les soupçons de corruption menacent d’ébranler le pilier même censé protéger l’économie nationale contre de telles pratiques.
Les détails contenus dans les documents de dénonciation mettent en évidence la nécessité d’une enquête approfondie pour déterminer l’étendue de l’abus de pouvoir et de la corruption présumés. La suite de l’affaire Alingete pourrait s’avérer déterminante non seulement pour l’avenir de l’IGF mais également pour l’intégrité de la gouvernance financière en RDC.
Litsani Choukran
@LitsaniChoukran
EXCLUSIF/ Jules Alingete cité au cœur d'une affaire rocambolesque dénoncée auprès de la Justice congolaise depuis des mois mais passée sous silence. Notre enquête qui sortira ce week-end.
LA CÉLÉBRITÉ ET L'INTÉGRITÉ DE JULES ALINGETE EN QUESTION DANS UN PAYS ET SOUS UN RÉGIME SOUVENT EN DÉFAUT DE GOUVERNANCE ET DE JUSTICE ? 1Kd4lCPBHHqwd6f9

Nos tentatives pour obtenir les commentaires de l’IGF et de M. Alingete sont restées sans réponse. Néanmoins, des sources proches de l’IGF, s’exprimant sous couvert d’anonymat, ont rejeté les accusations comme étant fallacieuses et motivées par des tentatives de nuire à la réputation de M. Alingete, ainsi qu’aux succès obtenus dans la campagne contre la corruption menée par le président Tshisekedi. « Nous sommes au courant de ces accusations fallacieuses fabriquées pour nuire à M. Alingete. Ce sont des gens qui sont inquiets de son travail qui risque de démanteler leur réseau de fraudeurs. Ils visent également le combat victorieux du Président Félix Antoine Tshisekedi contre la corruption. Mais ils n’y arriveront pas. »
Toutefois, dans une vidéo publiée depuis l’Inde, Monsieur Youssouf corrobore les accusations et exprime son désir de témoigner, appelant à des garanties pour sa sécurité. « Je m’appelle Youssuf, en ce moment je suis en Inde. J’ai déjà témoigné deux fois devant le magistrat contre le Chef du Service de l’IGF, M. Jules Alingete et la famille Rawji. Je suis prêt à donner toutes les informations devant toutes les autorités et je suis prêt à revenir au Congo pour toutes les formalités (judiciaires) mais à condition que j’ai une sécurité totale,” dit-il dans cette vidéo parvenue à POLITICO.CD, ajoutant qu’il a peur pour sa vie.

Plusieurs sources judiciaires confirment en effet que cet homme d’affaires qui vivait à Kinshasa jusqu’à lors a bel et bien été entendu par la justice congolaise à ce sujet comme il l’affirme. “Mais il y a eu des fortes pressions pour que l’on classe le dossier,” explique un magistrat qui a requis l’anonymat à POLITICO.CD.
Néanmoins, la lettre du Comité de Surveillance des Finances Publiques appelle à une enquête approfondie pour examiner ces accusations, soulignant l’urgence de faire la lumière sur ces actes présumés de corruption qui mettent en péril les finances publiques et la confiance dans l’administration. “Les allégations contre Jules Alingete représentent un défi majeur pour le système judiciaire de la RDC et pour la lutte contre la corruption dans le pays. La communauté nationale et internationale attendra de voir comment cette affaire sera traitée, espérant que la justice prévaudra et que les responsables seront tenus pour compte,” explique un analyste à POLITICO.CD. “Mais il y a des forts risques que rien ne soit fait. Depuis le début du mandat du président Tshisekedi, très peu sont inquiétés malgré les faits. Et surtout que Jules Alingete jouit d’une position pondérante dans ce régime,” ajoute-t-il.
De son côté, le Comité de Surveillance des Finances Publiques et les citoyens congolais appellent les autorités judiciaires à agir rapidement et de manière transparente pour enquêter sur ces graves accusations, afin de protéger les finances publiques et de restaurer la confiance dans les institutions financières du pays.
Le travail de M. Alingete n’est pas sans critique. Une dispute notable a éclaté entre lui et Tony Mwaba, le ministre de l’Enseignement primaire, secondaire et technique, qui a été accusé de tentative de détournement de fonds. M. Mwaba a réagi vigoureusement, menaçant de porter plainte contre l’IGF pour ces allégations qu’il juge calomnieuses.

Le conflit s’est approfondi lorsqu’il a été révélé que M. Alingete aurait tenté de favoriser Veridos, une entreprise liée à ses connaissances, dans un contrat controversé pour la fourniture de cartes biométriques aux élèves du primaire. Selon M. Mwaba, qui a bloqué un paiement significatif à Veridos, M. Alingete l’aurait contacté pour intervenir en faveur de cette entreprise. La situation est complexe et les détails de l’affaire restent flous, mais ce qui est clair, c’est que l’histoire touche aux fondements mêmes de la gouvernance et de l’État de droit en RDC.

"Révélations sur Alingete: Katende appelle à une enquête judiciaire - 7 avril 2024
=  https://www.politico.cd/actualite/encontinu/2024/04/07/revelations-sur-alingete-katende-appelle-a-une-enquete-judiciaire.html/160620/
Suite aux accusations sérieuses de corruption portées contre Jules Alingete, le chef de l’Inspection Générale des Finances (IGF) en République Démocratique du Congo, rapportées par POLITICO.CD, une figure de la société civile s’est exprimée. Jean-Claude Katende, président de l’Association africaine de défense des droits de l’Homme (ASADHO), a pris la défense d’Alingete sur Twitter, mettant en avant son rôle dans la traque des crimes économiques et financiers en RDC.

M. Katende, qui s’est exprimé sur X (ex-Twitter), a salué les efforts d’Alingete dans la lutte contre la corruption et la protection des finances publiques, le décrivant comme un des plus efficaces dans ce combat. « Les services rendus par Jules Alingete à notre pays méritent reconnaissance et protection. Cependant, face à de graves allégations, il est impératif que la justice prenne les devants pour établir la vérité et informer la population, » a affirmé Katende. « Nous devons protéger nos serviteurs publics loyaux, mais également nous assurer qu’ils respectent les lois et normes de leur fonction”, a-t-il enfoncé.
Jean Claude Katende
@JeanClaudekat
L'inspection Générale des Finances( IGF), sous la direction de Mr Jules Alingete, a rendu des services loyaux à notre pays en traquant les criminels économiques et financiers, d'une part, en protégeant l'argent de l'Etat, d'autre part. Mr Jules Alingete s'est distingué dans ce… Voir plus1:09 PM · 7 avr. 2024
La justice congolaise n’a pas encore officiellement répondu à ces allégations, et l’opinion publique attend avec intérêt les développements futurs de cette affaire qui touche au cœur de la gouvernance et de la lutte contre la corruption en RDC.
Les révélations de POLITICO.CD suggèrent une implication d’Alingete dans des activités de corruption, de prédation sur des entreprises privées et de blanchiment d’argent, allégations qui suscitent de l’inquiétude. Katende a appelé à une enquête judiciaire pour établir la véracité de ces accusations, insistant sur la nécessité de défendre Alingete contre les tentatives de discréditation tout en admettant l’importance de la responsabilité en cas de conduite inappropriée.

L’IGF, sous la direction d’Alingete depuis juillet 2020, a été un élément clé des efforts anti-corruption du président Félix Tshisekedi. Les développements futurs dans cette affaire sont très attendus, car ils pourraient avoir un impact significatif sur la lutte contre la corruption en RDC et sur la confiance de la population envers les institutions chargées de la gouvernance financière.

"Scandale de corruption à l’IGF en RDC : l’affaire Alingete secoue le pays - 06.04.2024
= https://fatshimetrie.org/blog/2024/04/06/scandale-de-corruption-a-ligf-en-rdc-laffaire-alingete-secoue-le-pays/
Sous le feu des projecteurs de l’actualité, l’Inspection Générale des Finances (IGF) de la République Démocratique du Congo se retrouve au cœur d’une tempête sans précédent, avec des allégations de corruption visant son chef, Jules Alingete. Accusations de corruption, de prédation sur des entreprises privées et de blanchiment d’argent ont été portées par le Comité de Surveillance des Finances Publiques (CSFP), jetant ainsi une ombre sur l’appareil de lutte contre la corruption du pays.

Les preuves présentées par le CSFP sont accablantes, mettant en lumière un possible réseau mafieux orchestré par Alingete pour extorquer des fonds de compagnies privées. Des transactions douteuses et des détournements de fonds publics ont été documentés à travers des déclarations vidéo de témoins clés, des documents signés et des appels pressants à une enquête approfondie.
Les incidents décrits dans la lettre du CSFP mettent en lumière un schéma de comportement troublant de la part d’Alingete. Des paiements substantiels en provenance de sociétés privées, tels que RAWBANK, ainsi que des transferts d’argent douteux entre différents acteurs, soulèvent des questions sur l’intégrité de la gestion des finances publiques au sein de l’IGF.
Alors que Jules Alingete a été nommé à la tête de l’IGF en 2020 avec pour mission de renforcer la transparence et la responsabilité dans la gestion des finances publiques, ces allégations compromettent gravement sa crédibilité et remettent en question l’efficacité de l’appareil de lutte contre la corruption en RDC. Sa réputation d’intégrité et d’expertise en matière financière est désormais entachée par des soupçons de malversations et de pratiques frauduleuses.

L’IGF, censée être un rempart contre la corruption et le détournement de fonds publics, se trouve elle-même prise dans la tourmente de scandales qui sapent la confiance du public dans les institutions de l’État. La nécessité urgente d’une enquête indépendante et approfondie pour faire la lumière sur ces allégations est impérative pour restaurer la confiance du peuple congolais dans la bonne gestion de ses ressources financières.
L’affaire Alingete révèle les enjeux cruciaux de la lutte contre la corruption en RDC et souligne l’importance de veiller à ce que les responsables gouvernementaux agissent dans l’intérêt public et respectent les normes éthiques les plus strictes. L’écho de cette affaire se fait déjà sentir à travers le pays, amplifiant les appels à un renforcement des mécanismes de contrôle et de reddition de comptes pour garantir une gouvernance transparente et responsable.


"10 millions de dollars détournés à la Gécamines via Simco (Jules Alingete) - 31.10.2023
= https://ouragan.cd/2023/10/10-millions-de-dollars-detournes-a-la-gecamines-via-simco-jules-alingete

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Compatriotiquement!


# Si haut que l'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul #
# Que faisait Dieu avant la création ? De toute éternité, il préparait d'épouvantables supplices pour celui qui poserait cette question. #

ndonzwau


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LA CÉLÉBRITÉ ET L'INTÉGRITÉ DE JULES ALINGETE EN QUESTION DANS UN PAYS ET SOUS UN RÉGIME SOUVENT EN DÉFAUT DE GOUVERNANCE ET DE JUSTICE ? Empty Re: LA CÉLÉBRITÉ ET L'INTÉGRITÉ DE JULES ALINGETE EN QUESTION DANS UN PAYS ET SOUS UN RÉGIME SOUVENT EN DÉFAUT DE GOUVERNANCE ET DE JUSTICE ?

Message  ndonzwau 11/4/2024, 7:24 pm

.Il m'apparait difficile d'avoir un avis tranché  dans ce debut de polémique tant ill était acquis à l'avance qu'une charge contre Jules Alingete le détective et héraut reconnu de l'anti-corruption serait une entreprise risquée pour son auteur. Listani en subit pleinement les affres mais si aucun  homme n'est immaculé de bout en bout, ce dernier a tout le droit d'y voir de plus près.

N'empêche, d'ores et déjà l'enquête est  brouillée par cette polemique, souhaitons juste que si elle-est de bonne foi elle se poursuive jusqu'au bout pour une vérité possible. Il serait regrettable en effet que d'Alingelete St-Just des peuples ne reste que le St-Just de la terreur...



[quote]
"EDITO — RDC: L’arbitre aux pratiques douteuses -
9 avril 2024

= https://www.politico.cd/actualite/la-rdc-a-la-une/2024/04/09/edito-rdc-larbitre-aux-pratiques-douteuses.html/160864/

LA CÉLÉBRITÉ ET L'INTÉGRITÉ DE JULES ALINGETE EN QUESTION DANS UN PAYS ET SOUS UN RÉGIME SOUVENT EN DÉFAUT DE GOUVERNANCE ET DE JUSTICE ? AFFICHE-ENQUETE-EDITO2-scaled

Dans le grand derby de la justice congolaise, un personnage clé déchaîne les passions et sème la discorde, bien loin des pelouses verdoyantes où se joue habituellement le fair-play. Imaginez un arbitre, pilier de l’intégrité, dont le rôle est de veiller à la régularité du jeu, à traquer les hors-jeux et les mains baladeuses. Cet arbitre, le gardien autoproclamé de la probité financière, plongé dans une mêlée qui l’accuse de jouer le jeu qu’il est censé arbitrer. Mais au lieu de brandir le carton de la transparence, voilà notre homme qui, suspecté de fauter, choisit une tactique pour le moins discutable : mobiliser une équipe de réservistes du journalisme, plus habitués aux tacles dangereux qu’aux enquêtes de fond, pour défendre sa cause.

Prévisible!

Alors que la cloche du round accusateur sonne, notre arbitre ne cherche pas à clarifier son nom dans les règles de l’art. Non, il préfère jouer en contre-attaque, lançant ses propres supporters dans une offensive bruyante contre ceux qui l’ont mis en cause. C’est là une manœuvre étrange, un choix de jeu qui soulève plus de questions qu’il n’apporte de réponses. Dans l’arène où la justice et l’éthique devraient être reines, cette stratégie a tout l’air d’une tentative désespérée de garder le ballon loin de sa propre moitié de terrain.

Le Fondé avait prédit ce schéma de jeu. Avant même que l’enquête ne touche le fond du filet, il avertissait sur les réseaux sociaux d’une tempête à venir. « Dans les prochaines heures, je serais fortement insulté », prévoyait-il, avant de se voir submergé par une vague de critiques orchestrées, de fausses nouvelles brandies comme des cartons rouges à son encontre.
Et comme un avant-centre isolé face à une défense adverse compacte, Litsani a vu venir les coups de tous les côtés : un communiqué incendiaire, des médias en ligne transformés en hooligans numériques, tous chantant en chœur les mêmes refrains écrits à l’avance par un commenditaire lui-même luttant présumément contre la corruption. Les attaques étaient personnelles, les stratégies bien en place pour discréditer, pour détourner l’attention du véritable enjeu du match : la quête de la vérité.

Des bras cassés du journalisme congolais
Il est presque poétique, n’est-ce pas, de voir comment le théâtre de l’absurde se joue autour de nous ? Comment un simple écho de vérité provoque une cacophonie orchestrée de dénégations et de calomnies. À peine avions-nous esquissé le portrait de la situation, que les gardiens du temple financier ont donné le la : un concert d’insultes et d’accusations, une symphonie de distorsions médiatiques jouée à l’unisson par des médias soudainement amnésiques de leur devoir de neutralité.

« Journaliste corrompu », ils ont crié. « Fake news », ils ont scandé. Pourtant, dans ce vacarme, une mélodie s’élève – celle de la détermination, un refrain familier pour celui qui s’est dressé contre les tempêtes. Oui, c’est moi, Litsani Choukran, à nouveau désigné comme l’antagoniste d’une pièce dont je ne fais que dévoiler les coulisses.
Ils ont utilisé ma photo, tagué de « FAKE NEWS », dans une tentative maladroite de caricature. Mais plutôt que de la colère, je ressens un sourire intérieur – car, au moins, ils ont bon goût en matière d’image. Et pendant que certains collègues se contorsionnent dans des acrobaties intellectuelles pour justifier l’injustifiable, je reste ancré dans la réalité du terrain. Les menaces, les appels anonymes, les tweets à l’arrière-goût amer ne sont que des médailles d’honneur dans ce combat pour la liberté d’expression. « Tu vas aller occuper la cellule laissée vide par Stanis Bujakira », ont-ils menacé. Mais la peur n’est pas une langue que je parle, et la prison, bien que sombre, ne peut jamais emprisonner la vérité.

Nous tiendrons bon!
Dans cette mêlée confuse, des joueurs qu’on n’attendait pas ont rejoint le terrain. Ces bras cassés du journalisme, jadis prompts à défier le pouvoir, semblent avoir troqué leur maillot critique pour un autre, aux couleurs de la défense. Une volte-face qui interroge : depuis quand les critiques d’hier deviennent-ils les avocats d’aujourd’hui ? C’est comme si, dans un match où tout semblait perdu, on faisait appel à des renforts extérieurs pour inverser le score. Mais au football comme dans la vie, changer de maillot en cours de partie ne change pas la nature du jeu.

Ce n’est qu’une manche d’une partie qui s’annonce longue et éprouvante. « Comment l’IGF bâillonne la grande partie de la presse congolaise » sera notre prochaine investigation. Un dossier qui promet d’être explosif, dévoilant les dessous d’une stratégie visant à réduire au silence les sifflets de la vérité.
Alors, restons en position de hors-jeu, prêts à courir vers la vérité dès que le jeu se débloque. L’arbitre aux pratiques douteuses pourrait bien se retrouver isolé, sans supporters, face à un stade demandant des comptes. Et dans ce match, POLITICO.CD ne cherche pas à marquer contre son camp, mais à inscrire le but de la transparence, pour que justice et intégrité triomphent.

Restez branchés, le coup d’envoi du prochain grand récit est imminent. Et quelque chose me dit que le match sera riche en rebondissements.

"RDC : Luzolo Bambi et la Licoco apportent leur "soutien" et "encouragements" à l'IGF "victime d’une vaste campagne de diabolisation orchestrée par des prédateurs financiers" - 11.04.2024
= https://actualite.cd/2024/04/11/rdc-luzolo-bambi-et-la-licoco-apportent-leur-soutien-et-encouragements-ligf-victime-dune
Communication
Ernest Mpararo, président de la ligue congolaise de lutte contre la corruption (LICOCO) et le professeur Luzolo Bambi considéré comme l'un des pionniers de la lutte contre la corruption et détournement des deniers publics en République Démocratique du Congo ont apporté mercredi 10 avril 2024 leur soutien à Jules Alingete Key et l'Inspection Générale des Finances (IGF) actuellement selon eux "cibles d’une vaste campagne de diabolisation orchestrée par des prédateurs financiers".

Très touché par ce comportement qu'il considère "d'incivisme" le professeur Luzolo Bambi Lessa a voulu publiquement réconforter le chef de service à l'Inspection Générale des Finances Jules Alingete Key dans ce combat de l'instauration de la bonne gouvernance en République Démocratique du Congo.
"J’ai observé le combat de l’IGF-CS que nous avons soutenu depuis le début, qui a concrétisé la volonté du Président de la république de lutter contre la corruption mais surtout de lutter comme jamais auparavant contre les détournements des deniers publics avec les résultats que nous connaissons tous. J’ai été très touché de constater depuis un moment les tirs croisés contre lui, contre sa personne,par devoir de citoyen et en tant que compagnon de la lutte contre la corruption, je ne pouvais pas rester indifférent face à ce comportement. Raison de ma présence aujourd’hui à l’IGF pour le soutenir publiquement, avec ce grand travail de pionnier dans cette lutte qu’il est en train d’abattre et dont les résultats sont connus de tous", a déclaré Luzolo Bambi.

Dans le même ordre d'idée, le président de la licoco, Ernest Mpararo entant que membre de la société civile, il exprime un soutien indéfectible dans la lutte que mène l’inspection générale des finances et travail en synergie avec celle-ci en menant des actions de contrôle citoyen et étatique.
"En tant que société civile nous avons un partenariat avec l’IGF et lorsque l’un des partenaires est attaqué nous devons le soutenir ,étant donné qu’il exécute et réalise les désirs des citoyens qui veulent à ce que la corruption puisse être combattue. Malheureusement nous constatons effectivement qu’il y’a des tirs croisés, des attaques sans preuves qui sont dirigées  contre un de nos partenaires et cela ne nous laisse pas indifférent, c’est pour ça que nous sommes venus le réconforter pour effectivement aussi étudier comment nous pouvons répondre à ces attaques" a souligné Ernest Mpararo.

Malgré les campagnes de diabolisation et désinformation orchestrée par ceux qui ne veulent pas la bonne gouvernance, le Chef de l'Etat Félix Tshisekedi n'a cessé d'exprimer son admiration pour le travail remarquable réalisé par l'Inspection Générale des Finances (IGF), sous la direction de Jules Alingete. C'était au cours du briefing presse organisé par le porte-parole du gouvernement Patrick Muyaya, le jeudi 22 février 2024.
Le président Félix Tshisekedi a utilisé une métaphore en qualifiant l'IGF de "chien méchant qui aboie pour empêcher les détournements". Cette déclaration témoigne de l'appréciation et de la reconnaissance du président envers l'IGF pour son rôle crucial dans la lutte contre les pratiques corrompues et les mauvaises gestions financières.
Il est important de rappeler que ce n'est pas la première fois que le chef de l'État exprime son soutien et sa satisfaction à l'égard de Jules Alingete et de l'IGF. En septembre 2023, Félix Tshisekedi avait déjà salué le travail accompli par l'IGF dans la lutte contre les antivaleurs, notamment la corruption dans la gestion des finances publiques du pays.


"RDC : La LICOCO et le prof Luzolo Bambi dénoncent des attaques sans preuve dont est victime Jules Alingete - 11 avril 2024
= https://7sur7.cd/2024/04/11/rdc-la-licoco-et-le-prof-luzolo-bambi-denoncent-des-attaques-sans-preuve-dont-es
L’inspecteur général des finances, chef des services, Jules Alingete, a reçu, le mercredi 10 avril 2024, le professeur Luzolo Bambi, un des « pionniers » de la lutte contre la corruption en RDC, et le président la ligue congolaise contre la corruption (LICOCO), Ernest Mpararo. 

Au cours de cette rencontre, ils ont tour à tour dénoncé des tirs croisés et des attaques sans preuve dont est victime l’IGF-CS. 
Comme l’indique une dépêche de la cellule de communication de l’IGF parvenue à la rédaction de 7SUR7.CD ce jeudi 11 avril, les deux personnalités ont, de ce fait, apporté leur soutien à Jules Alingete, victime des « attaques fortuites des prédateurs des finances publiques ». 
Dans son intervention face à la presse, le professeur Luzolo Bambi a dit être très touché de constater des « tirs croisés » contre la personne de Jules Alingete, qui ne fait que remplir la mission lui confiée et concrétise la vision du chef de l’Etat. 
[quote]« J’ai observé le combat de l’IGF-CS que nous avons soutenu depuis le début, qui a concrétisé la volonté du Président de la république de lutter contre la corruption mais surtout de lutter comme jamais auparavant contre les détournements des deniers publics avec les résultats que nous connaissons tous. J’ai été très touché de constater depuis un moment les tirs croisés contre lui, contre sa personne. Par devoir de citoyen et en tant que compagnon de la lutte contre la corruption, je ne pouvais pas rester indiffèrent face à ce comportement. Raison de ma présence aujourd’hui à l’IGF pour le soutenir publiquement, avec ce grand travail de pionnier dans cette lutte qu’il est en train d’abattre et dont les résultats sont connus de tous », a-t-il dit.

Pour sa part, le président de la LICOCO a dénoncé des attaques sans « preuve » visant l’un de leurs partenaires crédibles dans la lutte contre la corruption en RDC. 
« En tant que société civile nous avons un partenariat avec l’IGF et lorsque l’un des partenaires est attaqué nous devons le soutenir, étant donné qu’il exécute et réalise les désirs des citoyens qui veulent à ce que la corruption puisse être combattue. Malheureusement, nous constatons effectivement qu’il y’a des tirs croisés, des attaques sans preuves qui sont dirigées contre un de nos partenaires et cela ne nous laisse pas indifférent. C’est pour ça que nous sommes venus le réconforter pour effectivement aussi étudier comment nous pouvons répondre à ces attaques », a déclaré Ernest Mpararo.

L’IGF-CS Jules Alingete, qui s’est dit « touché » par cet acte de soutien de la part de ses pionniers dans l’assainissement des finances publiques, a rassuré de continuer à remplir sa mission par l’intensification des actions de cette institution. 
« Je suis honoré de recevoir la visite de 2 hôtes, vous savez le professeur Luzolo Bambi Lesa qui est l’un des pionniers de la lutte contre la corruption dans notre pays est venu nous encourager pour le travail que nous sommes en train de faire et aussi nous demander de tenir bon parce que lui-même a une très longue expérience en la matière. Il a vécu des attaques, oppressions plus grandes et virulentes que celles que l’IGF est en train de vivre ; et le président de la licoco est venu dans le même ordre d’idée pour un appui de la société civile engagée dans la lutte contre la corruption,  affirme que la société civile est de cœur avec nous et nous demande de continuer ce travail qui s’inscrit dans un partenariat. C’est dans ce cadre là que nous arrêtons beaucoup de stratégies dans la lutte contre la corruption », a-t-il rassuré.

Rappelons que depuis quelques jours, Jules Alingete est au coeur des accusations de corruption issues d’une enquête d’un média de la place. Des allégations réfutées par l’IGF, qui soutient que cette « pseudo-enquête » est l’œuvre d’une synergie de « prédateurs » qui sont contre la direction de cet organe. 

"Prétendu scandale de 12 millions USD impliquant l'IGF : ACAJ dément son implication dans ces allégations et défend Jules Alingete - 05.04.2024
= https://www.digitalcongo.cd/detail1571
Après des allégations attribuées à ACAJ sur l'implication de l'Inspecteur général des Finances, chef de service, dans une affaire de rétro commission, cette structure de la société civile dément être auteur de ces écrits et prend la défense de l'Inspecteur, Jules Alingete.
L'Association Congolaise pour l'Accès à la Justice a, dans une conférence de presse tenue ce lundi 5 avril, condamné les allégations selon lesquelles elle aurait alerté sur un prétendu scandale de détournement de 12 millions USD dans lequel serait impliqué Jules Alingete,  Inspecteur en chef de l'Inspection générale des finances (IGF).


Pour Georges Kapiamba, son président, ACAJ n'est pas impliquée dans ces allégations contenues dans un article largement partagé dans les réseaux sociaux. Ces allégations sont attribuées à ACAJ qui accuse l'Inspecteur en chef de l'IGF, Jules Alingete d'être impliqué dans une affaire de rétro commission de 12 millions de dollars venant des fonds payés aux pétroliers par l'État congolais pour compenser le manque à gagner de ces sociétés pétrolières.
Pour Georges Kapiamba, Jules Alingete est sujet d'attaque à cause de son combat contre la corruption et le détournement. "L’ACAJ constate que les auteurs de cet article se sont attaqués gratuitement aux responsables de l’État dont l’Inspecteur Général des Finances, Chef de Service, à cause de son engagement dans la lutte contre la corruption et le détournement des deniers publics", a-t-il fait savoir.

Avant d'ajouter : "L’ACAJ rappelle que tout citoyen a le devoir de ne pas porter gratuitement atteinte à la vie privée, à l’honneur et à la dignité des autres citoyens".
Tout en condamnant  l’emploi abusif de son nom pour crédibiliser ledit article contre l'IGF, "ACAJ appelle vivement le gouvernement à engager en urgence un débat public sur les options fondamentales de la loi devant réprimer des auteurs et complices de la cybercriminalité".

Pour rappel, l'Inspection Générale des finances fait l'objet de plusieurs attaques après actionné plusieurs enquêtes sur la megestion des deniers publics. Hier, dimanche 4 avril 2021, le Service de communication de l'IGF était obligé de démentir une autre allégation selon laquelle cette structure rattachée à la Présidence de la République aurait trouvé un compromis avec le parquet ainsi que certains responsables de l'EPST pour classer sans suite le dossier de détournement des fonds alloués au secteur de l'enseignement de base en RDC.


"RDC-IGF: “Il est clair que les attaques contre Alingete visent à entraver son travail et à protéger les intérêts des criminels en col blanc” (Thierry Monsenepwo) - 08.04.2024
= https://depeche.cd/2024/04/08/rdc-igf-il-est-clair-que-les-attaques-contre-alingete-visent-a-entraver-son-travail-et-a-proteger-les-interets-des-criminels-en-col-blanc-thierry-monsenepwo/

= https://www.mediacongo.net/article-actualite-133739_sondage_62_des_rd_congolais_souhaitent_voir_alingete_a_la_primature.html



"Jules Alingete : “La corruption n’a épargné aucun secteur” en RDC - 7 décembre 2023
= https://www.bbc.com/afrique/articles/cz72lx3215ko.amp



"Amélioration des côtes de la RDC dans l'Indice de perception de la corruption : une reconnaissance des efforts déployés, selon Jules Alingete - 19.02 2024
= https://actualite.cd/2024/02/19/amelioration-des-cotes-de-la-rdc-dans-lindice-de-perception-de-la-corruption-une

"



Compatriotiquement!


# Si haut que l'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul #
# Que faisait Dieu avant la création ? De toute éternité, il préparait d'épouvantables supplices pour celui qui poserait cette question. #


Dernière édition par ndonzwau le 13/4/2024, 12:48 am, édité 1 fois

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LA CÉLÉBRITÉ ET L'INTÉGRITÉ DE JULES ALINGETE EN QUESTION DANS UN PAYS ET SOUS UN RÉGIME SOUVENT EN DÉFAUT DE GOUVERNANCE ET DE JUSTICE ? Empty Re: LA CÉLÉBRITÉ ET L'INTÉGRITÉ DE JULES ALINGETE EN QUESTION DANS UN PAYS ET SOUS UN RÉGIME SOUVENT EN DÉFAUT DE GOUVERNANCE ET DE JUSTICE ?

Message  ndonzwau 13/4/2024, 12:46 am


"Bonne gouvernance en RDC : "face à toutes les provocations de la prédation financière, nous répondrons par une intensification des actions de l'IGF" ( Jules Alingete) - 12.04.2024
= https://actualite.cd/2024/04/12/bonne-gouvernance-en-rdc-face-toutes-les-provocations-de-la-predation-financiere-nous

"RDC : la Société Civile encourage l’IGF à rendre public les informations sur les détournements de deniers publics dans le but de “faire reculer la prédation financière” '12.04.2024
= https://actualite.cd/2024/04/12/rdc-la-societe-civile-encourage-ligf-rendre-public-les-informations-sur-les

"RDC: grâce à la patrouille financière, l’IGF a pu bloquer  plus de 1,5 milliard USD de dépenses irrégulières en 2023 - 17.02.2024
= https://actualite.cd/2024/02/17/rdc-grace-la-patrouille-financiere-ligf-pu-bloquer-plus-de-15-milliard-usd-de-depenses

"RDC : Jules Alingete invite les Congolais à devenir des dénonciateurs des crimes économiques - 26/06/2023
= https://www.radiookapi.net/2023/06/26/actualite/economie/rdc-jules-alingete-invite-les-congolais-devenir-des-denonciateurs-des

"RDC: près de 65 millions USD détournés chaque mois lors de la paie des fonctionnaires de l’Etat (IGF) - 28/04/2023
= https://www.radiookapi.net/2023/04/28/emissions/linvite-du-jour/rdc-pres-de-65-millions-usd-detournes-chaque-mois-lors-de-la

= https://www.radiookapi.net/2021/08/18/emissions/dialogue-entre-congolais/bilan-de-jules-alingete-la-tete-de-ligf


"RDC – Soupçon de détournement à l’Epst : Tension ce mercredi entre le ministre Tony Mwaba et des inspecteurs de l’IGF - 31.01.2024
= https://yabisonews.cd/rdc-soupcon-de-detournement-a-lepst-tension-ce-mercredi-entre-le-ministre-tony-mwaba-et-des-inspecteurs-de-ligf/
= https://yabisonews.cd/rdc-soupcons-de-detournement-a-lepst-felix-tshisekedi-charge-ligf-et-la-cour-des-comptes-pour-un-controle-mixte/

"CONFERENCE DES NATIONS UNIES SUR LA LUTTE CONTRE LA CORRUPTION - 11.12.2023
= https://licoco.org/category/actualites/communique-de-presse/

"Jeux de la Francophonie : Il y a t-il eu détournements ? Jules Alingete apporte sa lumière -  SEP 6, 2023
= https://acturdc.com/jeux-de-la-francophonie-il-y-a-t-il-eu-detournements-jules-alingete-apporte-sa-lumiere/

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LA CÉLÉBRITÉ ET L'INTÉGRITÉ DE JULES ALINGETE EN QUESTION DANS UN PAYS ET SOUS UN RÉGIME SOUVENT EN DÉFAUT DE GOUVERNANCE ET DE JUSTICE ? Empty Re: LA CÉLÉBRITÉ ET L'INTÉGRITÉ DE JULES ALINGETE EN QUESTION DANS UN PAYS ET SOUS UN RÉGIME SOUVENT EN DÉFAUT DE GOUVERNANCE ET DE JUSTICE ?

Message  ndonzwau 18/4/2024, 4:22 pm

SOUPÇONS DES MANIPULATIONS DE LA PRESSE PAR L'IGF..
LE PÊCHÉ ORIGINAIRE D'ALINGETE ET DE SON IGF EST AILLEURS DANS SON MANQUE D'INDÉPENDANCE LIÉS QU'ILS SONT A LA PRÉSIDENCE OÙ SE LOGE UN AUTRE VICE, LE PRIMAT DE L'ARGENT ET LA CORRUPTION QU'IL ENTRAÎNE.../size]



[size=16]"RDC: La mainmise de l’IGF sur la presse congolaise- 17.04.2024
= https://www.politico.cd/actualite/la-rdc-a-la-une/2024/04/17/rdc-la-mainmise-de-ligf-sur-la-presse-congolaise.html/161332/
Ce deuxième acte de l’enquête de POLITICO.CD expose la mainmise de l’Inspection Générale des Finances (IGF), dirigée par Jules Alingete, sur la presse congolaise, révélant une série de pratiques douteuses visant à museler les médias. Sous couvert de contrats de « diffusion de contenu », l’IGF verse des paiements réguliers à plusieurs médias et journalistes, conditionnant ainsi leur loyauté ou leur silence sur des affaires sensibles. Des journalistes autrefois critiques se sont transformés en défenseurs zélés de l’IGF, attaquant ceux qui remettent en question son intégrité.

LA CÉLÉBRITÉ ET L'INTÉGRITÉ DE JULES ALINGETE EN QUESTION DANS UN PAYS ET SOUS UN RÉGIME SOUVENT EN DÉFAUT DE GOUVERNANCE ET DE JUSTICE ? AFFICHE-ENQUETE-IGF-ACTE-II-scaled
À Kinshasa, les rédactions ne tremblent pas au rythme des scoops ou des révélations fracassantes, mais sous le poids d’une chape de plomb imposée par l’Inspection Générale des Finances (IGF) et son chef, Jules Alingete. C’est une guerre silencieuse, faite de pressions subtiles et d’arrangements moins avouables, qui se joue dans l’ombre des bureaux feutrés et des couloirs du pouvoir. C’est du moins ce que révèle l’enquête de POLITICO.CD. Plusieurs médias et journalistes de premier plan, sous couvert de contrats de « diffusion de contenu », perçoivent des paiements réguliers de l’IGF. Ces transactions, bien que légales et déguisées en opérations de sponsoring ou de partenariat éditorial, tiennent davantage du musellement que de la collaboration médiatique. Chaque mois, des sommes conséquentes changent de mains, assurant la loyauté des médias ou, du moins, leur silence sur certaines affaires délicates.
Plus troublant encore, certains journalistes, jadis fiers hérauts de l’investigation, se sont mués en véritables « gardes médiatiques » pour l’IGF et Alingete. Leur rôle ne se limite plus à diffuser les informations favorables à l’inspection mais aussi à attaquer et discréditer ceux qui osent remettre en question l’intégrité de l’IGF. L’attaque coordonnée contre POLITICO.CD suite à la publication de la première partie de notre enquête en est un exemple flagrant.

Des journalistes et médias sous contrat lynchent un média confrère
Litsani Choukran
@LitsaniChoukran
Dans les prochaines heures, je serais fortement insultés. Journalistes, influenceurs, mendiants et toute sorte de godillots me tomberont dessus pour défendre un homme. Je redeviendrai le journaliste le plus corrompu pour les uns et ceux qui m'ont insulté hier vont se taire.…[/url] Voir plus
7:23 PM · 5 avr. 2024
En effet, début avril, Litsani Choukran, le Directeur général de POLITICO.CD, s’y attendait. Avant même la publication de la première partie de l’enquête explosive sur le patron de l’Inspection Générale des Finances, l’éditorialiste congolais avait pris le soin d’avertir, via son très actif compte X (ex-Twitter), qu’il serait bientôt au cœur des attaques médiatiques. « Dans les prochaines heures, je serai fortement insulté. Journalistes, influenceurs, mendiants et toute sorte de godillots me tomberont dessus pour défendre un homme. Je redeviendrai le journaliste le plus corrompu pour les uns et ceux qui m’ont insulté hier vont se taire. Mais comme d’habitude, ils auront les faits face à eux », a-t-il promis dans cette publication du 5 avril.
À peine quelques heures après la publication de cette enquête citant Jules Alingete, c’est une vague sans précédent d’attaques qui s’est déferlée contre le journaliste congolais et le média POLITICO.CD. D’abord un communiqué au souffre, le qualifiant de tous les noms, étrangement relayé à l’unisson par une ribambelle de médias en ligne, dont certains n’ont pas hésité à faire leurs les paroles de ce communiqué.

De l’autre côté, sur les réseaux sociaux, des images sont montées, d’abord avec la mention « FAKE NEWS » sur les publications de POLITICO.CD, ensuite sur la personne de Litsani Choukran lui-même. « Scandale à la presse congolaise. Voici un autre journaliste recruté par des criminels financiers pour discréditer l’Inspecteur Général des Finances—Chef de service Jules Alingete », peut-on lire sur l’un de ces pamphlets publié par Litsani Choukran, qui va jusqu’à remercier les auteurs d’avoir néanmoins choisi une belle photo de lui. Dans les coulisses, les menaces d’emprisonnement pleuvent. “Tu vas aller occuper la cellule laissée vide par Stanis Bujakira”, a lancé un responsable de l’IGF en appelant directement M. Litsani.

Des médias en ligne n’ont pas hésité à rapporter tantôt que l’enquête de POLITICO.CD était fausse, tantôt que le média, via son Directeur général, aurait présenté son « mea culpa », peut-on lire sur le site netic-news.net, visiblement créé pour l’occasion. Dans les propos, venant uniquement du Communiqué de l’IGF, il est question de remettre en cause l’authenticité des documents publiés par POLITICO.CD. Pour autant, le média congolais n’a pas seulement cité les documents, mais également les propos des intéressés, à savoir M. Youssouf et une association congolaise qui n’a pas hésité à saisir la justice. Aucune explication par ailleurs n’est fournie, quant à savoir pourquoi, sur une des décharges, le nom de la belle-sœur de M. Alingete s’est retrouvé, pendant que M. Youssouf, expulsé en Inde, continue de clamer que les documents sont vrais, se disant prêt à témoigner.
Le jour suivant, c’est sur le plateau d’une chaîne de télévision populiste de fortune que POLITICO.CD et son enquête sont victimes d’une véritable campagne de dénigrement et de diffamation. Le présentateur va jusqu’à annoncer qu’il aurait été contacté par des détracteurs présumés de Jules Alingete pour diffuser le même contenu. Lui aussi, à son tour, relaie la ligne de défense soigneusement conçue par les services de communication de l’IGF.

Des attaques qui ont poussé POLITICO.CD à réagir officiellement, une première dans le pays. Dans un communiqué publié ce mardi 9 avril, la Direction de POLITICO.CD a dénoncé ces attaques, promettant de continuer ses enquêtes. « Dans un revirement surprenant, nous observons aujourd’hui une réaction synchronisée d’une coalition de journalistes, relayant un communiqué de l’IGF qui, outre les accusations sans preuves contre notre travail, est marqué par une nouveauté déplorable : des insultes ciblées et orchestrées à notre encontre, une première dans notre profession », fait savoir ce communiqué publié sur X (Twitter). « Ce comportement, loin des normes éthiques du journalisme, révèle une tentative manifeste de discréditer notre enquête par des moyens non journalistiques. De plus, ces mêmes confrères ont tiré des conclusions hâtives, se basant exclusivement sur le communiqué de l’IGF, sans aucune investigation supplémentaire. Cette démarche soulève des questions sérieuses sur leur impartialité et leur dévouement à la vérité », enfonce-t-il.

200 à 300 USD par publication
Comment alors toute une clique de journalistes et médias peuvent-ils attaquer directement des confrères et un autre média, se mettant tous à défendre un officiel congolais ? POLITICO.CD a enquêté autour de cette question et le résultat démontre la mise en place, au sein des services de Communication de l’IGF, des mécanismes qui ont conduit à la mise sous tutelle de la presse locale.
Tout commence le 30 juillet 2021, Peter Tshiani, journaliste congolais très proche de l’opposant Moïse Katumbi, contacte Litsani Choukran, directeur général de POLITICO.CD, dans un message via l’application « Whatsapp ». « Salut Bro, Ça marche », tel est son introduction, suivie d’un communiqué consulté par la rédaction et d’un message demandant à M. Litsani de le relayer sur Twitter (devenu X depuis). « Tu peux aussi modifier à ta manière en gardant l’esprit de la Communication (…) Je t’ai donné l’exclusivité avant tout le monde », dit-il.

Le communiqué émane de l’IGF et vante les réalisations présumées de Jules Alingete. Fait étrange, alors que M. Litsani accepte de publier le contenu à titre informatif, le journaliste Tshiani enverra la somme de 200 USD via la messagerie financière mobile M-PESA le jour suivant. Autre fait étrange, de manière assez synchronisée, le même communiqué est relayé par l’ensemble des journalistes de premier plan sur les réseaux sociaux en RDC, avec le même message, retouché ici et là. Selon les informations de POLITICO.CD, c’est une cinquantaine de journalistes qui sont ainsi placés sur la liste des “Influenceurs” de l’IGF.
Toutefois, l’IGF n’est pas la seule institution en RDC à payer les publications en ligne ou à disposer d’un réseau de relais. « Il n’y a vraiment pas de violation des lois à ce niveau. Toutes les institutions ont le droit de communiquer sur leurs activités et les médias peuvent percevoir de l’argent pour la diffusion », explique un spécialiste de la communication politique en RDC, joint par POLITICO.CD.

Néanmoins, c’est la suite qui va se compliquer et révéler une véritable volonté de l’IGF et de ses dirigeants dans le but de museler la presse. Des contrats de non-diffamation ont été proposés à plusieurs médias influents, conditionnant leur financement à la non-publication de contenus jugés « nuisibles » par l’IGF. Ces accords stipulent explicitement que tout contenu potentiellement défavorable à l’IGF doit recevoir une approbation préalable avant publication, sous peine de sanctions financières ou légales.

Des contrats pour contrôler journalistes et médias
En effet, en mars 2023, le téléphone de la Responsable d’Administration de LEOPARDS GROUP SARL, société éditrice de POLITICO.CD basée à Kinshasa sonne. Au bout du fil, un ancien journaliste de Télé50 se présente comme un responsable au Service de Communication de l’IGF, qui aimerait “parler avec Litsani Choukran”. “J’ai un contrat ici pour POLITICO.CD, il faut venir signer”, dit-il à M. Litsani, une fois qu’il aura reçu ses coordonnées téléphoniques. Ce dernier lui demande cependant de passer par les services commerciaux de la société pour “toute signature de contrat de publication (relais) de communiqué de l’IGF.” “Je lui ai fait savoir qu’il devrait d’abord envoyer la copie du contrat à nos services pour qu’ils en prennent connaissance et qu’ils sachent si ce dernier ne va pas à l’encontre de notre ligne éditoriale”, explique M. Litsani à POLITICO.CD.
Cependant, chose étrange, le responsable de l’IGF, qui a requis l’anonymat après avoir été contacté par POLITICO.CD pour expliquer son attitude de l’époque, refuse d’envoyer la copie. “Personne ne peut voir ce document. Il va venir à nos bureaux et ça doit être signé par Litsani Choukran en personne”, dit-il. Le 02 mars 2023, un assistant de M. Litsani est reçu sur invitation au service de Communication de l’IGF au centre-ville de Kinshasa où un contrat lui est présenté. Une fois de plus, il lui est interdit d’emporter la copie. « On lui a fait savoir qu’il fallait que le DG vienne signer sur place. »

Le fameux contrat avait pour but officiel de permettre la couverture des activités de l’IGF ainsi que la diffusion de communiqués de l’inspection pour un paiement mensuel de 2000 USD. Cependant, plusieurs clauses y ont été insérées dont celle qui interdisait au signataire la publication de contenu « nuisible à l’IGF et à son patron M. Jules Alingete ». D’autres clauses exigeaient également du média de faire envoyer tout contenu « nuisible » pour obtenir « autorisation de publication » à l’IGF. Et le média n’aurait par ailleurs pas le droit de relayer des publications qui « attaqueraient Jules Alingete », au risque de perdre son contrat et d’être susceptible de poursuites.
L’IGF ayant refusé de laisser l’assistant de M. Litsani Choukran récupérer une copie du contrat pour analyse, le média refuse alors de signer un tel contrat avec l’inspection. Néanmoins, de nos informations, la quasi-totalité des médias congolais, principalement en ligne, ont tous signé ce contrat-là. Par ailleurs, le même type de contrat a été fait signer à des « journalistes — influenceurs ». « Après cela, Litsani Choukran est considéré comme un mouton noir au sein de la communication de l’IGF », explique une source au sein des services de l’Inspection congolaise.

Mais l’IGF ne contrôle pas les journalistes seulement à ce niveau, révèlent plusieurs sources à POLITICO.CD. En République démocratique du Congo, le gendarme des finances s’est arrogé le pouvoir de surveiller les dépenses des institutions publiques et parfois même  de les valider. Étrangement, selon plusieurs sources au sein des institutions, l’IGF valide systématiquement les paiements liés aux activités de presse et de communication « sans broncher ». « Une circulaire qui a été envoyée à plusieurs ministères et entreprises publiques a demandé aux responsables financiers de libérer plus activement les factures de la presse », révèle une source au sein de la société publique OGEFREM à POLITICO.CD. « Cela est fait dans le but de rendre la presse congolaise redevable à l’IGF et donc d’être sympathique vis-à-vis de Jules Alingete », explique notre source.

Malgré nos multiples tentatives de contact avec l’Inspection Générale des Finances (IGF) pour obtenir leur réaction à ces allégations, aucune réponse n’a été reçue de leur part. Cette absence de réaction soulève des questions supplémentaires sur la transparence et la responsabilité de l’IGF vis-à-vis du public congolais.
Ces révélations soulignent les défis majeurs auxquels est confrontée la presse en République démocratique du Congo. La pauvreté des médias, combinée à la corruption généralisée dans le domaine de la presse, crée un environnement propice à la manipulation et à la censure. Les pratiques de l’IGF, en muselant des journalistes et des médias au service de Jules Alingete, privent le pays de la transparence nécessaire autour de sa gestion financière.
Cependant, ces enquêtes ne sont que le début d’une série d’expositions sur la gestion de Jules Alingete. Restez à l’écoute pour le troisième acte, où de nouvelles révélations pourraient éclairer davantage le paysage politique et médiatique de la République démocratique du Congo.



"Au cœur des manipulations médiatiques : L’ombre de l’IGF sur la liberté de la presse à Kinshasa - 17.04.2024
= https://fatshimetrie.org/blog/2024/04/17/au-coeur-des-manipulations-mediatiques-lombre-de-ligf-sur-la-liberte-de-la-presse-a-kinshasa/
Au cœur de la tumultueuse scène médiatique de Kinshasa, un acteur inattendu vient briser le silence feutré qui enveloppe la plupart des rédactions. Il s’agit de l’Inspection Générale des Finances (IGF) et de son énigmatique chef, Jules Alingete. Alors que les rédactions devraient résonner au rythme des enquêtes audacieuses et des révélations percutantes, c’est plutôt le poids d’une chape de plomb imposée par l’IGF qui semble régner en maître.

Les coulisses du pouvoir semblent être le théâtre d’une guerre sourde, où pressions subtiles et arrangements sombres se combinent pour museler la liberté d’expression des médias. Une enquête approfondie menée par POLITICO.CD révèle l’existence de contrats de « diffusion de contenu » entre l’IGF et plusieurs médias et journalistes influents. Derrière ces accords en apparence légaux se cache en réalité un mécanisme insidieux de manipulation et de contrôle de l’information.
Chaque mois, des sommes considérables sont versées aux médias, garantissant ainsi leur allégeance silencieuse à l’IGF. Ces transactions, bien que déguisées en partenariats éditoriaux, servent en réalité à étouffer toute critique ou enquête dérangeante à l’égard de l’inspection. Certains journalistes, autrefois des figures de proue de l’investigation, se transforment ainsi en véritables gardiens zélés de l’IGF, prêts à attaquer sans relâche toute remise en question de cette institution.

Le récit se poursuit avec l’histoire de Litsani Choukran, directeur général de POLITICO.CD, qui devient malgré lui le personnage central d’une violente campagne de dénigrement. Prévoyant les attaques imminentes, il se voit accusé de collusion avec des criminels financiers pour discréditer Jules Alingete. Les réseaux sociaux s’embrasent, les médias relaient en chœur les accusations infondées, et la menace d’emprisonnement plane, telle une épée de Damoclès sur la tête du journaliste impétueux.
La réaction en chaîne des médias et des acteurs influents révèle l’ampleur des enjeux et des pressions qui pèsent sur la liberté de la presse à Kinshasa. Derrière les attaques coordonnées et les manipulations, se dessine le portrait d’une démocratie fragilisée, où la vérité se confronte à un mur d’intérêts et de compromissions.

En définitive, l’affaire de l’IGF révèle les luttes cachées, les compromissions et les dangers qui menacent la liberté d’expression et le journalisme d’investigation en République Démocratique du Congo. Elle soulève également des questions essentielles sur le rôle des médias en tant que gardiens de la démocratie et des libertés fondamentales.
Dans un pays où la vérité est souvent un combat, il appartient aux journalistes et aux citoyens de rester vigilants, de défendre la liberté de la presse et de combattre tout assaut contre la démocratie et les droits de l’homme.

"Journée Mondiale de lutte contre la corruption :Jules Alingete vante des améliorations enregistrées depuis l'accession de Félix Tshisekedi au pouvoir - 10.12.2023
= https://actualite.cd/2023/12/10/journee-mondiale-de-lutte-contre-la-corruption-jules-alingete-vante-des-ameliorations#google_vignette


"RDC : Nouvelle plainte déposée contre Jules Alengete dénonçant «la corruption et détournement» des deniers public - 20 avril 2024
= https://www.politico.cd/actualite/2024/04/20/rdc-nouvelle-plainte-deposee-contre-jules-alengete-denoncant-la-corruption-et-detournement-des-deniers-publics.html/161470/
L’inspecteur général de finances, Jules Alengete n’est plus en odeur de sainteté après une enquête menée et publiée par notre Rédaction. En rapport avec notre enquête, une nouvelle plainte de «dénonciation» pour corruption et détournement vient d’être déposée contre Jules Alingete auprès du Procureur général près la Cour d’appel de Kinshasa/Matete.

Une organisation non gouvernementale (ONG) qui a pour énième fois déposé cette plainte accuse le Chef de l’IGF, Jules Alengete d’avoir «boutiqué» pour que la première plainte soit classée sans suite.
« Nous avons déposé notre dénonciation officiellement au bureau du procureur général près la cour d’appel », a dit cette organisation dans un message adressé à POLITICO.CD.

D’après cette organisation, le gendarme financier, Jules Alengte a un cabinet privé dénommé «Daco» lequel est géré par sa femme. Ce qui du reste, dit-elle, frise un conflit d’intérêt.
« Dans le cadre de la mission relative à son cabinet, il effectue des audits dans plusieurs entreprises dont RAW BANK, BELTEXCO, Marsavco et Dimex. Cependant, le constat malheureux est que, I ‘intéressé profitant de sa position va procéder aux audits en minorant la TVA de l’Etat lors de redressement en complicité avec les agents de la DGI, moyennant corruption», peut-on lire la plainte.

Soutenant ses accusations contre le chef de service de l’inspection générale de finance, cette organisation a transmis au parquet général des copies des décharges signées par Jules Alengete en guise de preuve de corruption en rappelant en date du 18 février 2022, l’inpecteur général de finance a perçu du BELTEXCO une somme de 600 000 USD.
« […] en annexe les copies des décharges signées par Jules ALINGETE de sa propre main, où il s’est fait corrompre des grosses sommes (1.100 000 USD, 700. 000 USD et tant d’autres) au détriment de l’Etat Congolais. En outre en date du 18/02/2022, il perçoit du BELTEXCO la somme de six cent mille dollars, reçue en son nom par sa belle-sœur BOBETTE qui signa par ordre du cité» a-t-elle dénoncé qui indique que cette somme n’était rien d’autre qu’une corruption sans passer par le circuit bancaire.

À cette dénonciation s’ajoute également le «versement des millions de dollars par le groupe rawji à Jules Alengete dans le but de minimiser I’impôt au détriment du peuple congolais.
« Les échanges des mails de monsieur Jules ALINGETE, la société Daco et le groupe Rawji prouvent à suffisance que le cité a sacrifié les intérêts de l’Etat en faisant corrompre et détourner les deniers qui auraient pu servir aux besoins Vitaux de la population congolaise (maternité, paie des fonctionnaires, entretien routier bâtiments administratifs», a-t-elle conclu

= https://www.jeuneafrique.com/1514320/economie-entreprises/le-bilan-economique-de-felix-tshisekedi-a-la-tete-de-la-rdc/
= https://www.bbc.com/afrique/articles/cz72lx3215ko.amp

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# Si haut que l'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul #
# Que faisait Dieu avant la création ? De toute éternité, il préparait d'épouvantables supplices pour celui qui poserait cette question. #


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LA CÉLÉBRITÉ ET L'INTÉGRITÉ DE JULES ALINGETE EN QUESTION DANS UN PAYS ET SOUS UN RÉGIME SOUVENT EN DÉFAUT DE GOUVERNANCE ET DE JUSTICE ? Empty Re: LA CÉLÉBRITÉ ET L'INTÉGRITÉ DE JULES ALINGETE EN QUESTION DANS UN PAYS ET SOUS UN RÉGIME SOUVENT EN DÉFAUT DE GOUVERNANCE ET DE JUSTICE ?

Message  ndonzwau 22/4/2024, 1:25 am

.EN ATTENDANT JE REPOSE MES DEUX QUESTIONS SOUS-JACENTES : QUELLE AFFAIRE ÉLUCIDÉE PAR ALINGETE A ABOUTI A LA CONDAMNATION DURABLE DES COUPABLES ET A PERMIS AU TRESOR PUBLIC DE RÉCUPÉRER SON ARGENT ET QU'A-L FAIT DE SES INVESTIHATIONS A LA PRÉSIDENCE OÙ  L'ON TROUVE DES DÉPASSEMENTS BUDGÉTAIRES AUTOMATIQUES QUI GRÈVENT LOURDEMENT LE BUDHET DU PAYS ???
EN ATTENDANT LES PROCHES DU POUVOIR INCULPÉS RESTENT IMPUNIS...

On aura sans doute difficile à  prouver les failles d''Alingete tant il est reconnu par tous comme le combattant contre la corruption et dispose de ce fait d'une clique à le defendre legitimement, mieux vaut l'avoir plutôt que pas ; n'empêche que son allégeance ouverte envers son Patron direct biaise sa lutte.

Ailleurs beaucoup justifient la présence d'Alingete qu'avant Tshisekedi nous n'avions personne à sa mesure mais s'interdisent de voir que c'est justement ce lien structurel avec le PR qui a fait qu'Alingete avec son IGF sont aujourd'hui ce qu'ils sont biaise sa lutte.



"ACTUALITÉ EXPLIQUÉE 20.04.24 TSHILOMBO - AMBONGO : JUSQU'OÙ IRA LEUR CHASSÉ-CROISÉ ?


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Message  ndonzwau 28/6/2024, 3:21 pm

...SANS DOUTE FAUTE DE PREUVES PLUS CONSISTANTES LES PREMIÈRES ACCUSATIONS CONTRE JULES ALINGETE N'ONT PAS TENU MAIS LES DERNIERES PASSANT PAR L'INDE SONT PLUS INSISTANTES METTANT SUR LE BANC DES ACCUSÉS ALINGETE ET LE GROUPE RAWJI ET MÊME EN EMBUSCADE GUYLAIN NYEMBO LE CI-DEVANT DIRCAB DE TSHISEKEDI.

QUESTIONS :
- CE DERNIER N'EN AVAIT-IL JAMAIS EU VENT ?
- CES RÉVÉLATIONS ACCABLANTES SUR UN PILIER DU POUVOIR PREMIER ÉLÉMENT DE LA LUTTE CONTRE LA CORRUPTION PASSERONT-ELLES LE CAP DU SECRET ?
- SI OUI LE PR PREMIER EMPLOYEUR DIRECT DE L'INSPECTEUR GÉNÉRAL DES FINANCES A-T-IL LES MAINS LIBRES POUR S'EN DÉSOLIDARISER OFFICIELLEMENT ET LAISSER LA VOIE A LA JUSTICE D'ESTER LIBREMENT ?

- ETC, ETC, JULES ALINGETE PAS AUSSI NET QU'IL SE PRÉSENTE ET QU'ON NOUS LE VEND ???
LA SUITE...



"CORRUPTION A L'IGF : Voici comment Jules Alingete a vendu la RDC au Groupe RAWJI - 27.06.24"



"Fraude fiscale et douanière : une enquête indexe Jules Alingete - 28 juin 2024
= https://lepotentiel.cd/2024/06/28/fraude-fiscale-et-douaniere-une-enquete-indexe-jules-alingete/

LA CÉLÉBRITÉ ET L'INTÉGRITÉ DE JULES ALINGETE EN QUESTION DANS UN PAYS ET SOUS UN RÉGIME SOUVENT EN DÉFAUT DE GOUVERNANCE ET DE JUSTICE ? IMG-20240627-WA0038

Le chef de service de l’Inspection générale des finances (IGF), Jules Alingete Key se trouve peut-être dans les sales draps. Le gendarme financier vient d’être éclaboussé par une enquête menée par un groupe de journalistes « indépendants » internationaux. Dans un rapport publié à l’issue de l’enquête, le réseau des journalistes indexe Jules Alingete parmi les citoyens qui trempent dans la fraude, le blanchiment des capitaux et autres faits infractionnels.

A la suite d’une enquête menée par le groupe des journalistes investigateurs, il est fait état d’un « vaste réseau de fraude fiscale et douanière, de blanchiment, de conflit d’intérêt, de trafic d’influence et de corruption » impliquant notamment le numéro 1 de l’IGF, Jules Alingete Key.
« Monsieur Jules Alingete, Inspecteur général des finances (agent de l’état), a été recruté par Monsieur ADNAN RAWJI, un des héritiers des entreprises de la famille RAWJI. En 2016, monsieur Jules Alingete, a été présenté à Monsieur Yusuf Shaikh, Directeur des opérations de la société Prodimpex, comme la personne chargée de les assister dans le maquillage des comptabilités et dans la planification de la fraude fiscale orchestrée par les sociétés du groupe Rawji », mentionne le dossier de presse rendu disponible par le groupe d’enquêteurs. Les sociétés concernées sont notamment Prodimpex, Beltexco, Marsavco, Proton, Parkland & Rafi.

D’après ladite enquête, les sociétés citées ci-haut ne respecteraient pas les règles fiscales et douanières en vigueur en RDC. Le nommé Alingete leur apporterait les conseils et l’influence dans ce cadre. Un rôle qui serait accumulé avec celui de chef de service de l’IGF.
« Jules Alingete intervient auprès du groupe à travers la société DACO, entreprise créée par ce dernier, dans laquelle il détient 54% des parts et dont il assurait la gestion. Il cumulait ce rôle avec son statut d’Inspecteur général des finances, et, pendant un temps, avec ses fonctions de Conseiller du Premier Ministre chargé du climat des affaires. Après sa nomination en qualité de Chef de Service à l’IGF, il délégua officiellement la gestion de l’entreprise à son épouse… mais il continuait à poser des actes de gestion au nom de DACO, vis-à-vis de ses clients », peut-on lire dans la note.

Les faits allégués par le rapport sont tellement graves qu’ils risquent d’entamer certaines banques commerciales de la place.
« Contenues dans une data room de plus de 40 gigas, plusieurs milliers de pièces comptables et autres preuves ont été divulguées, confirmant la manipulation des comptabilités aux fins de fraude fiscales, ce qui rendra inéluctable un redressement fiscal des entreprises incriminées, en plus d’éventuelles poursuites pénales. Les sommes en espèces étaient remises par Monsieur Yusuf Shaikh dans son bureau ou déposées dans les locaux de la société DACO. Pendant le confinement, par exemple, Monsieur Jules Alingete s’est rendu deux fois dans les locaux de la société Prodimpex pour y percevoir respectivement 700.000 USD et 500.000 USD », affirme le rapport.

Conflit d’intérêts
Si les faits allégués par ce rapport s’avèrent vrais, commente un expert, la situation dans laquelle se trouve Jules Alingete par rapport aux sociétés énumérées est constitutive d’un conflit d’intérêt défini à l’article 11 du décret-loi n° 017- 2002 du 3 octobre 2002 portant code de conduite de l’agent public de l’État, qui dispose qu’« il est interdit à l’agent public de l’État de se prononcer sur toute affaire au traitement et à la solution de laquelle il a directement ou indirectement un intérêt personnel ».
Le rapport fait également état des savants montages opérés par le groupe à travers ses sociétés créées dans des paradis fiscaux, visant à faciliter la fraude fiscale et douanière, le blanchiment ainsi que la fuite des capitaux.

« En contrôle auprès de la Gécamines en novembre 2023, il a sollicité et obtenu la conclusion d’un contrat de consultance pour justifier des paiements reçus de cette dernière, alors que l’Inspection Générale des Finances, dont il a la charge, bénéficie de dotations mensuelles colossales du Trésor Public du reste jamais justifiées- que l’institution n’avais jamais reçu dans le passé, pour assurer la réalisation de ses missions en toute indépendance et sans faiblesse morale de la part de ses membres. Ces conflits d’intérêt font encourir à Monsieur Jules Alingete des sanctions disciplinaires et pénales sévères. Une dénonciation de ses services auprès des sociétés du groupe Rawji avait fait l’objet d’un début d’instruction au Parquet de Matete en juillet 2023. Monsieur Alingete a usé de son influence financière, médiatique et politique, qui s’étend jusqu’au sein de la magistrature et d’une partie de la société civile, pour étouffer cette affaire sans que l’instruction ne soit achevée, en dépit des évidences flagrantes », avance le rapport.

Et d’ajouter : « Yusuf Shaikh a été le premier à subir les représailles du groupe mafieux. Poursuivi par la société Prodimpex pour avoir frauduleusement détourné la somme de 20.000 USD, fruit de la vente d’un véhicule qui lui était confié, il est condamné le 13 mai 2022 par le Tribunal de Paix de Kinshasa à 10 mois de servitude pénale et écroué à la prison centrale de Makala. Il obtiendra l’annulation de cette décision en appel, sera relaxé et quittera le territoire congolais pour l’Inde ».

Les enquêteurs croient qu’une enquête pourrait changer le cours de la lutte contre la corruption en RDC, pour le meilleur…
Les enquêteurs estiment que leur travail met à nu « un nouveau scandale qui touche cette fois-ci l’institution qui avait reçu des pouvoirs exorbitants pour lutter contre la corruption en RDC ». Cette crise, croient-ils, donnera certainement l’occasion au président Félix Tshisekedi, à l’aune de son second mandat, de remettre de l’ordre dans le pays et de donner un nouveau souffle à sa volonté réelle de faire reculer la corruption.


Fraude fiscale et douanière, Jules Alingete et le groupe Rawji sur le banc des accusés - 27.06.2024
= https://topcongo.live/articles/fraude-fiscale-et-douaniere-jules-alingete-et-le-groupe-rawji-sur-le-banc-des-accuses
Des anciens employés du groupe Rawji affirment que le chef des inspecteurs de l’IGF a géré, directement jusqu’en 2020, à sa nomination et même au-delà, par son épouse, tous les dossiers fiscaux des sociétés du groupe Rawji.
Fondateur de l’agence de conseil fiscal DACO, il se serait rendu coupable de conflit d’intérêt et de complicité de fraude fiscale et de blanchiment, en aidant ses clients à faire de fausses déclarations au dépens du Trésor Public.


Les accusations ne sont pas nouvelles mais sont aujourd’hui appuyées de preuves supplémentaires, notamment par un ancien directeur d’exploitation de PRODIMPEX, une des filiale du groupe Rawji.
Dans une interview à un groupe de journalistes d’investigation congolais qui se sont rendus en Inde, Yusuf Shaikh montre des preuves de ce qu’il avance sur la période allant jusqu’en 2022, où il travaillait dans la compagnie.

CORRUPTION A L’IGF
Après avoir été menacé puis emprisonné à Makala, il s’est depuis enfui en Inde.
Le groupe Rawji, par ses nombreuses filiales, aurait ainsi détourné plus d’un milliard de dollars depuis 2016, affirme un autre de ses anciens employés.
Dominic Wolfgang Freundorfer, ancien diplomate allemand en poste à Kinshasa, qui a servi ensuite dans le groupe Rawji, affirme avoir des preuves que certaines autorités ont usé de leur influence pour protéger les bénéficiaires d’une immense fraude fiscale et douanière.

« Tous les détails seront bientôt rendus publics », dit-il encore.
Précisons que cette affaire avait déjà été portée en justice il y a quelques mois. 
Elle avait été classée sans suite par la cour de cassation, faute de preuves.
Elle pourrait être réouverte avec ces nouvelles déclarations.
Joint par TOP CONGO FM, Jules Alingete n’a pas voulu réagir, le chef de l’IGF accuse ceux qu’il a fait arrêter ou limoger d’être à la manœuvre d’une grande cabale contre son travail.

"Fraude fiscale et douanière : un groupe de journalistes d’investigation congolais se sont rendus en Inde... » - 28.06.2024
= https://x.com/pascal_mulegwa/status/1806460872098730361
« Un groupe de journalistes d’investigation congolais qui se sont rendus en Inde »

LA CÉLÉBRITÉ ET L'INTÉGRITÉ DE JULES ALINGETE EN QUESTION DANS UN PAYS ET SOUS UN RÉGIME SOUVENT EN DÉFAUT DE GOUVERNANCE ET DE JUSTICE ? 2UaJHU1P?format=jpg&name=small

Fraude fiscale et douanière, Jules Alingete et le groupe Rawji sur le banc des accusés

De topcongo.live


"L'IGF dément les accusations portées contre Jules Alingete - 07.04.2024
= https://lobjectif.net/ligf-dement-les-accusations-portees-contre-jules-alingete/
La cellule de communication de l’Inspection générale des Finances ( IGF ) dénonce, dans une note publiée dimanche 07 avril 2024, une vague de fakenews dont est victime Jules Alingete depuis quelques jours sur la toile.

D’après cette même source, l’Inspecteur général chef des services fait objet d’une « pseudo-enquête », basée sur des décharges déclarées fausses par la justice et un dossier classé sans suite. “ Le week-end, un média en ligne a fait plusieurs annonces relatives à une enquête ( ?) sur Jules Alingete, l’Inspecteur général chef de service de l’Inspection générale des finances -IGF-, basée sur des décharges et le témoignage d’un sujet indien demandant protection avant de fournir d’amples détails. La livraison coïncide avec le baptême d’un ouvrage signé par Patient Ligodi, journaliste, patron du média en ligne «Actualite.cd» et correspondant de RFI, intitulé «Pollution de l’information : Fake News et Journalisme dans le monde et en République démocratique du Congo . Patient Ligodi qui explicite comment les mécanismes de la désinformation opèrent, identifie ses canaux, et propose des solutions concrètes pour lutter contre la propagation de fausses informations, dans le but de promouvoir un espace public alimenté par des informations authentiques, fiables et vérifiées ” peut-on lire dans cette note de l’IGF.

Alors que l’enquête du média en ligne «Politico.cd», souligne la même source, axée sur des documents et une vidéo balancés deux voire trois mois plus tôt dans les poubelles des réseaux sociaux quand l’IGF a lancé une mission de contrôle à l’ex-Secope. “ (..) en dit long sur l’industrie de production des Fake News. Elle montre comment le site de Litsani Choukran s’est laissé piéger ou a entrepris de grossir, de sang froid, un canular. Une analyse des particularités de cette investigation singulière permet de démontrer comment l’auteur a fondé sa démarche sur le faux. Rien du journalisme d’investigation.

Dans un tel dossier, le journaliste enquêteur fait des recherches approfondies, consulte plusieurs sources, interroge des spécialistes du sujet ou des témoins, trie les informations, les hiérarchise afin de découvrir des faits inédits. Le contraire du chiffon pondu par le média aux sources douteuses ”, fait savoir la cellule de communication de l’IGF.
L’IGF, qui se base sur des sources au sein de l’appareil judiciaire, affirme que M. Youssouf cité par le média « Politico.cd » comme témoin, a purgé deux ans de prison en 2021 et 2023 avant d’être libéré et expulsé en Inde.
Affaire à suivre !



"Scandale Guylain Nyembo Dircab Tshisekedi en complicité coupable Jules Alingete - 18.02.2024
= https://x.com/wembi_steve/status/1758577660496630235

#RDC]: LA CÉLÉBRITÉ ET L'INTÉGRITÉ DE JULES ALINGETE EN QUESTION DANS UN PAYS ET SOUS UN RÉGIME SOUVENT EN DÉFAUT DE GOUVERNANCE ET DE JUSTICE ? 1f6a8Guylain Nyembo, le Dircab de Fatshi, signe un Scandale à la Présidence au profit de son ami Jules Alingete ; l'Etat de droit tué par Guylain Nyembo. Ce qui est grave, c'est sous le 2ème mandat du Président ! (Doc) LA CÉLÉBRITÉ ET L'INTÉGRITÉ DE JULES ALINGETE EN QUESTION DANS UN PAYS ET SOUS UN RÉGIME SOUVENT EN DÉFAUT DE GOUVERNANCE ET DE JUSTICE ? 1f447LA CÉLÉBRITÉ ET L'INTÉGRITÉ DE JULES ALINGETE EN QUESTION DANS UN PAYS ET SOUS UN RÉGIME SOUVENT EN DÉFAUT DE GOUVERNANCE ET DE JUSTICE ? 1f447

État de droit renvoyé aux calendes grecques par le tout puissant Dircab du Président de la République, réputé sortant à la tête du cabinet du Président de la République... C'est clair que Nyembo qui caresse le Ministère de l'EPST étant sortant, pose des actes qui tuent l'Etat de droit. Et c'est étonnant que cela vienne du Dircab de Fatshi... Si Nyembo agit de la sorte via ce document donnant instruction à la justice de se dessaisir d'un dossier judiciaire, cela sous-entend que Nyembo est passé Maître dans l'Art de l'escroquerie à la Présidence pour se remplir les poches comme son ami, Jules Alingete...

D'après une source à la Présidence, pour soutenir son ami Alingete sur son acharnement contre Tony Mwaba, Guylain Nyembo dessaisi le Parquet près la Cour de cassation qu’ils ne savent pas manipuler pour confier l’instruction des mêmes faits à Alingete et la Cour des comptes.
Pourtant, c’est à cause du conflit personnel entre Mwaba et Alingete d’une part et d’autres part, le comptable de Dinacope et trois inspecteurs des finances qui avaient extorqué les effets personnels de ce dernier, que le Parquet de la Cour de Cassation avait décidé d’enquêter en toute impartialité.

Dans un État de droit, un directeur de cabinet peut dessaisir la justice d'un dossier au profit d’un service administratif qu’il manipule pour permettre à Alingete qui se sert de l’inspection générale des finances pour régler ses comptes personnels?
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8:42 PM · 16 févr.



"Un vrai faux ou un faux vrai procès contre Alingete ? - 28/04/2022
= https://www.forumdesas.net/2022/04/un-vrai-faux-ou-un-faux-vrai-proces-contre-alingete/
RDC, pays sûr, fréquentable où il fait beau vivre et surtout investir. Quel est ce Congolais qui a le pays chevillé au corps et au cœur ne ferait pareil plaidoyer pour son pays ? En particulier,  s’il est en opération « séduction » à l’étranger. En l’occurrence aux Etats-Unis d’Amérique.

Pas besoin d’être spin doctor de l’inénarrable patron de l’IGF  pour au minimum soupçonner son intention de vendre la marque « RDC » auprès des investisseurs américains. Pas l’once d’un crime de « lèse-intérêt supérieur de la Nation » en cela. Bien au contraire.
Comment ne pas saluer ce « nouveau narratif  » pour un pays qui a trop longtemps souffert du Congo bashing et de l’auto-flagellation ? Comment ne pas espérer que « l’image anti-corruption » de Jules Alingete aide à présenter la RDC sous un jour nouveau ? A savoir, celui du passage du cercle vicieux de « pays en guerre, instable  et infréquentable » au cycle vertueux de « pays globalement pacifié, stable et fréquentable ».

Qui d’autre mieux que les Congolais eux-mêmes pour parler en bien de leur pays ? « On n’est jamais mieux servi que par soi-même », renseigne l’auteur dramatique français très « siècle des Lumières » Charles-Guillaume Etienne.
Le bémol dans la croisade pro Congo de l’Inspecteur général- chef de service est à trouver dans le poids,  la puissance et la charge émotive et historique de la phrase : « la Rd Congo ne peut être considérée comme un pays en guerre ». Les mots ont leur résonnance. Certains plus que d’autres. D’autant que ce qui est  dit dépend de ce qu’on entend.
Pas donc besoin d’être exégète pour comprendre que dire, de bonne foi et pour la bonne cause, que la RDC n’est pas en guerre n’est pas perçu de la même manière selon que l’on vit à Kinshasa ou qu’on se trouve à Beni. Pas la peine non plus d’être un initié aux arcanes de la psychanalyse pour subodorer que dans le subconscient collectif des compatriotes qui vivent encore les affres de la barbarie des forces négatives dans l’Est du pays , la phrase de Jules Alingete a de quoi choquer. Même si l’intéressé n’avait pas cette intention.

Reste que ce vrai faux et/ou faux vrai procès contre Alingete se nourrit de la personne clivante et même controversée  du numéro 1 de l’IGF.  Héraut et héros de la lutte contre la corruption pour certains, coupeur des têtes qui dépassent et qui déplaisent  au Prince pour d’autres, expert ès règlement des comptes pour d’autres encore et last but not least  tisseur de sa propre toile d’araignée.
De quoi au mieux connoter, au pire brouiller voire déformer  tout message articulé par l’homme fort de l’IGF.



"Dossier VERIDOS : Comment l'IGF Alingete a voulu faciliter le paiement frauduleux de €2 millions par Rawbank -(Documents)- Acte 1 17.08.2021
= https://www.opinion-info.cd/societe/2021/08/17/dossier-veridos-comment-ligf-alingete-voulu-faciliter-le-paiement-frauduleux-de
Dans son communiqué publié ce 16 août 2021, prétextant contredire aux allégations du ministre de l'enseignement primaire, secondaire, professionnelle et technique qui accusait Jules Alingete d'avoir plaidé en faveur d'un détournement de fonds de 2 millions d'euros destinés à la firme allemande VERIDOS, l'Inspecteur général des finances-Chef de service s'est enfoncé davantage. Il a préféré mentir en ces termes : «La société allemande (VERIDOS) avait déjà été payée par le ministère des finances au mois de février 2021, soit deux mois avant que lui (ministre actuel de l'EPST) ne devienne ministre. Le prétendu blocage de fonds évoqué par lui est donc utopique»

La rédaction d'Opinion-Info.cd débute ses enquêtes en publiant la toute première correspondance du ministre Tony Mwaba à son collègue des finances dès son entrée en fonction.  Ce document signé, le 10 mai 2021, oppose le ministre de l'EPST à la firme allemande VERIDOS GMBH.
La bagatelle somme de 2 millions d'Euros est sollicitée pour être transférée dans le compte de la société à Rawbank sans respecter la procédure de passation des marchés publics.

À son collègue des finances,  Tony Mwaba prend son temps d'expliquer en trois pages pour lui faire comprendre que, juridiquement, rien ne lie le ministère de l'EPST avec VERIDOS GMBH suivant les dispositions de l'article 6 du décret fixant les modalités d'approbation des marchés publics et de délégation de service public qui précise «L'attributaire du marché ou de la délégation de service public ne peut se prévaloir des clauses du marché aussi longtemps que l'approbation de celui-ci n'est pas intervenue».
Outre ces irrégularités, cette somme colossale voulait être imputée frauduleusement sur les crédits du cabinet du ministre, plus précisément à la ligne budgétaire «Autre prestation». Ce qui devrait occasionner un dépassement budgétaire de l'ordre de F.C 4.146.747, 085 (Franc congolais quatre milliards cent quarante-six millions sept cent quarante-sept mille quatre-vingt-cinq), soit un taux d'exécution déficitaire de 742,91%.
Pire encore, la lettre de demande de paiement de 2 millions d'Euros n'émanait pas du ministère de l'EPST.

Outrepassant tout entendement légal, le montant déjà logé au compte de l'entreprise Allemande était supérieur par rapport au montant de la contrepartie convenue dans la mesure où il y a eu un début de paiement de l'ordre de 132.027,75 Euros par le ministère à la Rawbank conformément à la lettre du 12 avril 2018.
Vu la persistance de l'illégalité insupportable, le ministre Tony Mwaba va jusqu'à solliciter à VERIDOS GMBH de restituer cet accompte déjà perçu de 132,027, 75 Euros au compte du trésor public.
Après études minutieuses de la correspondance de son collègue, le ministre des finances va retourner 2 millions d'Euros au compte du trésor public. Cela veut tout simplement approuver que, contrairement à l'IGF Alingete, les 2 millions d'Euros a existé et voulait frauduleusement être dérobés sur la ligne budgétaire du cabinet de l'EPST.
C'est grâce à cette somme que la gratuité de l'enseignement a été appuyée par l'augmentation de frais de fonctionnement à la haute de 25% aux écoles publiques et conventionnées

ALINGETE PLAIDE COUPABLE EN FAVEUR D'UN DÉTOURNEMENT ?
 Aussitôt la démission du gouvernement Ilunga Ilunkamba intervenue, le Directeur de cabinet du Chef de l'État veut se substituer à la chaîne de dépenses. La lettre signée le 30 janvier 2021, fait de  Guylain Nyembo gestionnaire des finances publiques avec l'Inspection Générale des Finances. Interdiction formelle du mouvement du personnel et de sortie de fonds, seulement en cas d'urgence et sur instruction de la Présidence de la République. C'est pendant ce temps suspect que les instructions seront données à la banque centrale pour le transfert au nom du ministère de l'EPST de 2 millions d'euros au compte de la firme allemande VERIDOS à la Rawbank, en toute irrégularité.
Cherchant des voies et moyens à couvrir cette fraude, l'Inspecteur général des finances-Chef de service va appeler le ministre Tony Mwaba pour lui signifier son mécontentement suite à sa lettre intitulée «Opposition au paiement par la Rawbank de la somme de 2 millions d'euros en faveur de la firme VERIDOS». En bon citoyen, Tony Mwaba réagit par dire qu'il était impossible de cautionner une telle irrégularité : cette sortie de fonds est injuste et injustifiable.

L'autre face d'Ice Berg, c'est la réaction disproportionnée du directeur de cabinet du Chef de l'État.  D'après les proches du ministre de l'EPST, Guylain Nyembo aurait apostrophé Tony Mwaba. Il serait lui l'homme qui aurait instruit la sortie de cette somme en complicité avec l'Inspection Générale des Finances.
La rédaction publiera la suite de ses enquêtes dans l'acte 2.

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"URGENT 27.06 24 L'ARRESTATION DE JULES ALINGETE EN COURS DE TÉLÉCHARGEMENT ?"


"Guerre Tony Mwaba contre Jules Alingete, voici les révélations choc de l'intéressé !!! - 01.02.24"



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Message  ndonzwau 29/6/2024, 4:26 pm

Apparemment les quelques bruits sur lui ne semblent pas affecter notre St Just Alingete, il continue son travail et du monde accourt toujours à  ses services...

NB. J'avais initié ici ce sujet à  partir des info sur des soupcons de magouilles d'Alingete qu'à ma connaissance seul politico.cd (lire nos premières interventions et ci-dessous) avait révélées le premier subissant du coup les foudres du pouvoir avec sabotage de son domaine. Je ne sais où ces révélations vont nous mener mais il faut rendre hommage à Listani Choukran de politico.cd d'avoir levé le premier ce lièvre...



"Jules Alingete : la chute d'un justicier corrompu en RDC - 29/06/24
= https://libregrandlac.com/article/7622/jules-alingete-:-la-chute-d-un-justicier-corrompu-en-rdc

LA CÉLÉBRITÉ ET L'INTÉGRITÉ DE JULES ALINGETE EN QUESTION DANS UN PAYS ET SOUS UN RÉGIME SOUVENT EN DÉFAUT DE GOUVERNANCE ET DE JUSTICE ? Post_1719624008

Dans la tourmente de la lutte contre la corruption en République Démocratique du Congo, l'histoire de Jules Alingete résonne comme un triste rappel des défis immenses auxquels ce pays fait face.

Nommé par le Président Félix Tshisekedi pour traquer les voleurs et nettoyer les institutions, Alingete avait pour mission de rétablir la confiance du peuple envers ses dirigeants. Cependant, les événements récents révèlent une réalité bien différente.

Un idéal trahi
« L'homme à qui le Président Félix Tshisekedi avait confié la mission d'arrêter les voleurs dans ce pays n'était ni préparé, ni contrôlé. À son tour, il est devenu un problème », déclare le journaliste Litsani Chukran sur son compte X, soulignant ainsi la rapide déchéance de celui qui était censé incarner l'intégrité et la détermination.
Accusé de profiter de sa position pour s'enrichir plutôt que pour poursuivre les criminels, Alingete est aujourd'hui au centre d'une tempête médiatique. Des allégations de conflits d'intérêts et de complicité dans des fraudes fiscales et de blanchiment d'argent émergent, jetant une ombre sur son mandat à la tête de l'Inspection Générale des Finances (IGF).
Des anciens employés du groupe Rawji témoignent de la gestion directe des dossiers fiscaux par Alingete, via son épouse, une pratique potentiellement illégale qui aurait facilité des malversations fiscales massives. Ces accusations, longtemps sous-jacentes, sont maintenant étayées par des preuves tangibles, comme l'affirme Yusuf Shaikh, ancien directeur d'une des filiales du groupe Rawji.
Face aux critiques et aux preuves qui s'accumulent, Jules Alingete refuse de répondre publiquement, accusant ses détracteurs d'orchestrer une campagne de diffamation contre lui. Cette attitude défensive contraste vivement avec le zèle qu'il affichait autrefois dans la dénonciation des corrompus.

Un système en crise
Au-delà du cas personnel de Jules Alingete, cette affaire met en lumière les profondes failles du système congolais, où la corruption semble imprégner tous les niveaux de la société. « Le Congo se retrouve maudit », déplore un observateur, pointant du doigt une culture d'impunité et de compromission qui gangrène les institutions.
L'affaire Alingete est bien plus qu'un scandale individuel ; elle est le symbole des défis titanesques que doit relever la RDC pour instaurer une gouvernance juste et transparente. Alors que la population désespère de voir émerger des leaders intègres, la question demeure : qui pourra réellement incarner le changement tant attendu ?
Dans cette saga de trahison des idéaux, une leçon semble émerger avec force : pour combattre la corruption, il ne suffit pas d'être nommé pour la mission, il faut surtout rester incorruptible.


"RDC : Acacia Bandubola et Jules Alingete font de la mobilisation des recettes dans le secteur foncier une priorité - 28 juin 2024
= https://7sur7.cd/2024/06/28/rdc-acacia-bandubola-et-jules-alingete-font-de-la-mobilisation-des-recettes-dans-le
L’inspecteur général des finances chef de service, Jules Alingete, a été reçu, le mercredi 26 juin 2024, par la ministre d’Etat en charge des affaires foncières Acacia Bandubola.

Les deux personnalités ont, au cours de cette rencontre, fait l'évaluation de l'accompagnement que l’Inspection générale des finances offre au ministère des Affaires foncières depuis 3 ans.
« Nous avons parcouru les étapes de cette collaboration et nous avons compris les orientations de la ministre pour que cet accompagnement puisse davantage donner des bons résultats », a dit Jules Alingete.
L’IGF chef de service a annoncé que dans les prochains jours, les intervenants dans le processus de la lutte contre le blanchiment des capitaux seront réunis autour de la ministre des Affaires Foncières pour intensifier ce combat.

« Les partenaires concernés dans cette réunion sont : L'Inspection Générale des Finances (IGF), La Cellule des Renseignements Financiers (CENAREF) ainsi que les Conservateurs des Titres Immobiliers (CTI) », a-t-il précisé.
Une nouvelle bien accueillie par la ministre des affaires foncières qui, rapporte la dépêche de la cellule de communication de l’IGF parvenue ce jour à la rédaction de 7SUR7.CD, s'inscrit déjà dans la logique souhaitée par le chef de l'Etat Felix-Antoine Tshisekedi qui avait émis le vœu de voir tous les ministres collaborer avec cette instance.

= https://actualite.cd/2024/06/17/rdc-le-ministre-de-la-justice-demande-ligf-de-transmettre-tous-les-rapports-de

"Plongée au cœur de l’Affaire Alingete : Corruption et détournement en RDC - 20.04.2024
= https://fatshimetrie.org/blog/2024/04/20/plongee-au-coeur-de-laffaire-alingete-corruption-et-detournement-en-rdc/
Une organisation non gouvernementale a récemment déposé plainte contre Alingete, l’accusant d’avoir magouillé pour étouffer une affaire antérieure de corruption. Selon les allégations, Alingete aurait des liens douteux avec des entreprises telles que RAW BANK, BELTEXCO, Marsavco et Dimex, notamment à travers son cabinet privé géré par sa femme. Ce conflit d’intérêts présumé alimente les soupçons de complicité dans des actes répréhensibles.

Les preuves fournies par l’ONG sont accablantes. Des copies de décharges signées de la main d’Alingete ont été transmises aux autorités compétentes, révélant des versements exorbitants reçus de certaines sociétés. Par exemple, une somme colossale de 600 000 dollars aurait atterri dans les poches d’Alingete en provenance de BELTEXCO, en toute opacité, contournant les circuits bancaires officiels.
Le témoignage de l’ONG pointe du doigt un schéma de corruption élaboré, où Alingete, en échange de pots-de-vin, aurait minoré les taxes dues à l’État congolais lors de vérifications financières, causant ainsi des pertes importantes pour les caisses publiques. Ces révélations mettent en lumière un système corrompu qui prive la population congolaise des ressources qui lui sont dues, au détriment du bien-être de tous.
Les correspondances entre Alingete, son cabinet et des entreprises privées comme le groupe Rawji laissent entrevoir une collusion malsaine, orchestrée pour avantager des intérêts privés au détriment de l’intérêt général. Des millions de dollars auraient ainsi été versés à Alingete pour influencer des décisions fiscales cruciales, mettant en péril le fonctionnement des services publics essentiels et la satisfaction des besoins vitaux de la population.

Cette affaire met en lumière les dérives du système financier en RDC, où des individus censés garantir la transparence et l’intégrité des institutions se retrouvent impliqués dans des pratiques malhonnêtes. Le scandale Alingete révèle l’ampleur de la corruption qui gangrène le pays et appelle à une réforme en profondeur pour restaurer la confiance du peuple congolais en ses dirigeants.
Il est impératif que la justice fasse toute la lumière sur cette affaire et que les responsables de ces actes répréhensibles répondent de leurs agissements devant la loi. La lutte contre la corruption doit être une priorité absolue pour garantir un avenir meilleur à la République Démocratique du Congo et à ses citoyens.
Lien vers l’article sur [/size][url=https://www.politico.cd/actualite/2024/04/20/rdc-nouvelle-plainte-deposee-contre-jules-alengete-denoncant-la-corruption-et-detournement-des-deniers-publics.html/161470/Politico.cd[/url]



"RDC : Tony Mwaba annonce une plainte contre Jules Alingete - 1 février 2024
= https://afriquactu.net/2024/02/01/rdc-tony-mwaba-annonce-une-plainte-contre-jules-alingete/
Le ministre de l’Enseignement primaire, secondaire et technique (EPST), Tony Mwaba, a annoncé jeudi qu’il ira en procès contre l’inspecteur général des finances, Jules Alingete, qu’il accuse de « ternir » son image par des enquêtes « sélectives et improductives ».

Mercredi, Tony Mwaba a interpellé trois inspecteurs de l’IGF qui, sans aviser, auraient fait irruption à la Direction nationale de contrôle de la paie des enseignants (DINACOPE) et ravi plus de 1000$ au motif de contrôle de la gestion des fonds mis à la disposition de ce service dans le cadre du fonctionnement des écoles et de la prime de gratuité; la gestion de différents frais de participation des finalistes à l’Examen d’Etat; enquêter et établir les responsabilités sur les irrégularités constatées.

Cette situation réactive la brouille en hibernation depuis 2011 entre Mwaba et Alingete.
Se vantant d’être un travailleur « acharné et rigoureux » qui gêne les antivaleurs, le ministre de l’EPST accuse l’inspecteur général des finances d’avoir reçu mission de salir son image au bénéfice de son ami qu’il serait en train de préparer pour prendre la tête de ce ministère en perspective de la mise en place du nouveau gouvernement.

« L’histoire se répète comme d’habitude à l’occasion du renouvellement des institutions. Tony Mwaba à nouveau victime d’un complot. Je suis un travailleur acharné et rigoureux qui gêne des antivaleurs. Et jamais un détourneur ! Alingete ne rend pas service à la Nation. Il fait la politique active et le business comme on l’a vu dans le dossier Veridos. Il a reçu mission de salir mon image au bénéfice de son ami pour qui il prépare vulgairement le lit pour me remplacer en utilisant les services de l’IGF en ce moment », a-t-il dénoncé.
Mwaba enfonce le clou. Selon lui, Jules Alingete s’est « sérieusement enrichi et dispose des moyens pour financer les nécessiteux, les médias et les réseaux sociaux avec de fausses versions et/ou informations pour ternir son image  « par des enquêtes sélectives et improductives. Une véritable industrie du mensonge et  :de la désinformation ».

Une plainte contre Alingete
En 2021, Tony Mwaba a été accusé par l’IGF d’avoir détourné 16 millions de dollars américains, destinés aux intervenants ayant travaillé dans l’organisation du Test national de fin d’études primaires (TENAFEP). Cette affaire a été classée après que Jules Alingete a reconnu qu’il s’agissait d’un malentendu et que cet argent n’avait jamais été décaissé.
Cette fois-ci, le ministre de l’EPST, qui affirme « n’avoir jamais volé l’Etat et ne le ferait jamais », a décidé de porter plainte contre Alingete pour sauver son honneur.

« Alingete a détourné les missions de l’IGF au profit de son réseau et pour des règlements de comptes. Certains inspecteurs se plaignent et n’osent pas parler. Je ne suis pas contre le contrôle. Je veux un contrôle sérieux. J’ai des preuves de son plan de déstabilisation et les noms de tous les acteurs impliqués. Toutes les accusations de Alingeti contre moi n’ont jamais été prouvées, il finit toujours par demander pardon en privé sans prévenir ses affiliés. Pour mon honneur j’irai en procès contre Alingeti qui n’est pas au dessus de la loi. Trop c’est trop », a-t-il souligné.

Du côté de l’IGF, aucune réaction n’a été enregistrée. Mais il sied de noter que cette affaire survient au moment des tractations politiques pour la formation du nouveau gouvernement.

"Pseudo enquête sur Jules Alingete basée sur des décharges déclarées fausses par la Justice : Œuvre des prédateurs des deniers publics - 08.04.2024
= https://scooprdc.net/2024/04/08/pseudo-enquete-sur-jules-alingete-basee-sur-des-decharges-declarees-fausses-par-la-justice-oeuvre-des-predateurs-des-deniers-publics/
Le week-end dernier, un média en ligne a fait plusieurs annonces relatives à une enquête (?) sur Jules Alingete, l’Inspecteur général chef de service de l’Inspection générale des finances (IGF), basée sur des décharges et le témoignage d’un sujet indien demandant protection avant de fournir d’amples détails. La livraison coïncide avec le baptême d’un ouvrage signé Patient Ligodi, journaliste, patron du média en ligne «Actualite.cd» et correspondant de RFI, intitulé «Pollution de l’information : Fake News et Journalisme dans le monde et en République démocratique du Congo». Ligodi y expose comment les mécanismes de la désinformation opèrent, identifie ses canaux, et propose des solutions concrètes pour lutter contre la propagation des fausses informations, dans le but de promouvoir un espace public alimenté par des informations authentiques, fiables et vérifiées.

La supposée enquête de «Politico.cd», axée sur des documents et une vidéo balancés deux voire trois mois plus tôt dans les poubelles des réseaux sociaux quand l’IGF a lancé une mission de contrôle à l’ex-Secope, en dit long sur l’industrie de production des Fake News. Elle montre comment le site de Lits Choukran s’est laissé piéger ou a entrepris de grossir, de sang-froid, un canular. Une analyse des particularités de cette investigation singulière permet de démontrer comment l’auteur a fondé sa démarche sur le faux. Rien du journalisme d’investigation. Dans un tel dossier, le journaliste enquêteur fait des recherches approfondies, consulte plusieurs sources, interroge des spécialistes du sujet ou des témoins, trie les informations, les hiérarchise afin de découvrir des faits inédits. Le contraire du chiffon pondu par le média aux sources douteuses.

D’ailleurs, la contre-enquête décode que les décharges, présentées comme pièces clés des articles de Listani sont fausses et fabriquées. «Toutes les décharges en circulation ont déjà fait l’objet de l’ouverture d’un dossier au Parquet Général près la Cour de Cassation en 2022. Elles sont fausses et fabriquées pour nuire au patron de l’IGF», renseignent plusieurs sources judiciaires.
La contre-investigation constate aussi que les quatre signatures attribuées à Alingete et apposées sur ces loques sont différentes. Si trois autres semblent s’apparenter mais diffèrent aussi dans leurs éléments constitutifs, la quatrième n’a aucun rapport avec elles. Toutes sont loin de se conformer à la signature authentique de Jules Alingete visible dans différents courriers officiels de l’IGF. Erreur technique ? Manque d’attention? Tout s’explique : le laboratoire inspirateur a oublié de répéter la même signature, confirmant qu’il n’existe pas de crime parfait.
L’investigation de Listani tourne court, enfin, dans sa partie consacrée au sujet indien Youssouf, qui demande protection pour rentrer au pays et venir témoigner davantage contre l’Inspecteur général des finances. Mais pourquoi ne pas avoir fait, dans une autre vidéo, depuis son pays où il est en liberté et sécurité, ces nouvelles révélations accablantes ?
L’enquêteur ne dit pas que son témoin clé a été arrêté, jugé et condamné à 5 ans de prison en 2021 par le Tribunal de grande instance de Kinshasa/Gombe pour vol de 9 millions de dollars de la société Prodimpex, son ancien employeur.
«Sieur Youssouf a purgé deux ans de prison en 2021 et 2023 avant d’être libéré et expulsé en Inde», rapportent des sources au sein de l’appareil judiciaire.


"RDC: Jules Alingete et l’IGF, qui surveille l’arbitre?- 05.04.2024
= https://www.politicordc.com/grand-angle/magazine/2024/04/05/rdc-jules-alingete-et-ligf-qui-surveille-larbitre.html/160608/
Une enquête qui sera publiée ce samedi 6 avril dans la soirée va dévoiler des accusations graves à l’endroit de Jules Alingete, patron de la lutte anti-corruption en RDC. Petite introduction avec cet édito original de @LitsaniChoukran.

LA CÉLÉBRITÉ ET L'INTÉGRITÉ DE JULES ALINGETE EN QUESTION DANS UN PAYS ET SOUS UN RÉGIME SOUVENT EN DÉFAUT DE GOUVERNANCE ET DE JUSTICE ? AFFICHE-ALINGETE-scaled

Dans le grand stade de la République Démocratique du Congo, où la corruption semble parfois jouer en ligue professionnelle, une question nous taraude : Qui surveille l’arbitre ? La lumière crue des projecteurs se braque aujourd’hui sur Jules Alingete, le gardien en chef de l’Inspection Générale des Finances (IGF), pris dans une mêlée d’accusations qui pourrait bien être le Clásico de tous les scandales.
Le Comité de Surveillance des Finances Publiques, telle une équipe d’analyse vidéo VAR, a relu les bandes et levé le drapeau. Il semblerait que notre arbitre vedette, chargé de surveiller les hors-jeux de la corruption, ait lui-même franchi la ligne, orchestrant ce qui ressemble à un réseau mafieux sophistiqué. Extorsion de fonds de sociétés privées, blanchiment d’argent – les chefs d’accusation lus semblent sortis tout droit d’un manuel sur « Comment ne pas être un arbitre ».

Les Fautes sur le Terrain. Six incidents, six fautes de jeu où Alingete semble avoir troqué son sifflet contre des liasses de billets. Comme un avant-centre trop zélé pensant que le but justifie les moyens, il aurait perçu des sommes astronomiques pour des services d’arbitrage très, très personnels. Mais dans ce match contre la corruption, marquer contre son propre camp n’est pas vraiment ce que les supporters attendent.

Le VAR de POLITICO.CD entre en Jeu. Quand l’arbitre est pris la main dans le sac, qui appelle la vidéo assistance ? La justice congolaise, maintenant sous pression, doit endosser le rôle de l’arbitre ultime, passant au ralenti chaque action douteuse pour séparer les faits des fictions. Mais dans un match où la corruption semble jouer à domicile, peut-on vraiment espérer une décision juste ?
L’Homme derrière le Sifflet. Jules Alingete, jusqu’alors considéré comme le Messi de la lutte anti-corruption, est maintenant sur la sellette. Son CV, aussi brillant soit-il, ne le protégera pas des tacles glissés de la vérité. Si les accusations s’avèrent vraies, c’est une carte rouge directe qui l’attend, sans passer par la case départ.
Et Maintenant ? Alors que la RDC retient son souffle, les joueurs de tous bords attendent de voir si la justice sifflera la fin de la récréation ou si, une fois de plus, le match se terminera dans la confusion, avec des décisions arbitrales laissant les supporters pantois. Nous, à POLITICO.CD, restons aux avant-postes, prêts à commenter chaque rebondissement, chaque déclaration, et surtout, prêts à questionner : Qui surveille l’arbitre ? Parce que dans le jeu crucial de la gouvernance et de l’intégrité, la RDC mérite des arbitres à la hauteur, des hommes et des femmes intransigeants qui jouent selon les règles, pour le bien de tous.

Lisez donc ce dimanche, la première d’une longue série qui vous révèle cette grosse affaire.

"


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Message  ndonzwau 5/7/2024, 12:21 pm

MON AVIS SUR ALINGETE EST CONNU ICI : SON ALLÉGEANCE STRUCTURELLE ET AFFECTIVE AU PR BRIDE LA PORTÉE DE SON TRAVAIL DE DETECTIVE DE LA FRAUDE ET PARTANT SA CRÉDIBILITÉ COMME ON LE SOUPÇONNE AUJOURD'HU D'ÊTRE AU COEUR D'UN CONFLIT D'INTÉRÊTS,  DE COMPLICITÉ DE FRAUDE FISCALE ET DE BLANCHIMENT AUTOUR  DU GROUPE RAWJI ET D'ENTREPRISES FAMILIALES...

Question : son statut fondé largement sur sa proximité avec le PR et sa notoriété actuelsle sauront-ils faciliter les enquêtes indispensables devant déminer cet écheveau sensible - en passant je ne crois pas que les soupçons ne viendraient que des prédateurs qu'il poursuit, particulièrement les révélations venant de l'Inde ne sont pas que des montages intéressés - ?

BREF selon moi, jusque-là des contre-enquetes se sont essayés à neutraliser les témoignages et les preuves qui soupçonnent Alingete mais souvent sur fond d'un discours militant envees Alingete ou partisan en direction du pouvoir en place sans contre-arguments documentés.

La recherche de la vérité de ce qu'il s'est passé doit passer par l'examen des pratiques autour de Tshisekedi, son cabinet, ses relations et de son contrôle effectif d'Alingete ; elle passe aussi, j'en suis convaincu, par l'analyse experte des propos venus de l'Inde ; tant pour de vrai il n'y aurait pas eu cette fumée sans la présence d'un feu quelque part.

Sans insister aujourd'hu sur les présumés actes délictuels d'Alingete pourquoi ne pas penser que ses succès réels chiffrés auraient été plus importants si ce dernier ne s'encombrait pas de sa relation trop filiale et trop complaisante envers Tshisekedi qui l'empêche notamment d'aller voir du côté de la présidence et de ses protégés ?



"4 ans à l’IGF, Alingete en chiffres - 92.97.2024
= https://ouragan.cd/2024/07/quatre-ans-a-ligf-alingete-en-chiffr
Que valent-elles ses prétentieuses investigations ciblant Jules Alingete, quand Gabriel Leost, alors représentant résident du Fonds monétaire international (FMI) à Kinshasa, soutient haut et fort, “l’IGF est appelée à renforcer ses contrôles dans tous les volets prévus dans le Programme économique du gouvernement…”. Et le département d’État américain note l’action de l’IGF dans la transparence budgétaire avec mention “Progrès significatif”. Et l’Américain Tobin Jules de féliciter Alingete Key en ces termes, “vos travaux contribuent à la lutte contre le détournement de fonds et la corruption dans le secteur public”.

LA CÉLÉBRITÉ ET L'INTÉGRITÉ DE JULES ALINGETE EN QUESTION DANS UN PAYS ET SOUS UN RÉGIME SOUVENT EN DÉFAUT DE GOUVERNANCE ET DE JUSTICE ? 7855ffd1-6143-4322-bc19-2bb10f1f674f
Jules Alingete Key, inspecteur général des Finances de l’IGF @Photo Droits tiers.

Au niveau local, le très intransigeant Florimond Muteba de l’Observatoire de la dépense publique (Odep) s’est déjà levé avec fougue contre les prétendues investigations de présumés journalistes sur les pots-de-vin et le péculat dont le chef de service de l’IGF serait coupable. “Contes vaudevilles”, “littératures des balivernes”, “accusations gratuites, dépourvues de toute objectivité (…) imputations dommageables”, que de réactions très critiques dans la mouvance de la société civile, notamment la Ligue congolaise contre la corruption (Licoco). Cette ONG déplore “une campagne de sape contre Jules Alingete devenue serpent de mer… On écrit, on laisse passer le temps, puis on recommence… puérilement”.
Lire aussi :
Bangde Construction SARL désormais éligible à la sous-traitance
De toute évidence, il est un fait indéniable : depuis la nomination de Jules Alingete Key comme chef de service de l’Inspection générale des Finances (IGF), la peur du gendarme des finances publiques hante ministres, mandataires publics, etc., Ceux qui sont tombés dans les filets de la patrouille financière ont perdu plus que de plumes : une défenestration de son poste suivie de longs séjours dans les geôles de Makala! Et pas seulement. De quoi faire de Jules Alingete, la cible de la Camorra congolaise. Et les esprits tordus de réseaux sociaux, -ces soldats de causes perdues pour emprunter l’expression à Kin-Kiey Mulumba, sont mis à contribution.

– IGF, la saison des vaches grasses –
Depuis 2021, grâce au coaching de Jules Alingete, les recettes générales de l’État sont en mode crescendo. Dès fin décembre 2021, le taux de réalisation des recettes de l’État est de 132%. La DGDA réalise 255,5 mille milliards CDF sur les 235,3 mille milliards prévus, soit 109%. La DGI, 531,6 mille milliards contre des assignations de 339,3 mille milliards, soit 157% et la DGRAD, 156,3 mille milliards de CDF contre des prévisions de 142,3 mille milliards soit 110%.
En 2022, grâce aux nouvelles pratiques de gestion imprimées par l’IGF, notamment la patrouille et l’exigence de payer les fournisseurs contre présentation par eux des preuves de paiement d’impôts, les recettes générales atteignent 23,86 mille milliards de CDF contre les assignations de 20,4 mille milliards, soit un taux de réalisation de 116,9%. Avec l’accompagnement des limiers de Jules Alingete, les régies financières poursuivent leur saison de vaches grasses. La DGI pulvérise ses assignations avec un taux de réalisation de 129,4%, soit 18,4 mille milliards réalisés pour des assignations de 11,7%. La DGDA capte ses recettes à 158,2%, plus de 11,3 mille milliards de CDF contre 7,1 mille milliards prévus., et la DGRAD manque de 0,2% pour les 100% de réalisation. Alors que les recettes de l’État s’alignent sur la voie de la croissance, grâce à la patrouille financière initiée par Jules Alingete Key les dépenses de l’État se limitent à l’essentiel.

“À ce jour, nous avons la capacité de contrôler une banque avec 1000 ou 2000 opérations par jour”, déclare tout confiant Jules Alingete Key. Grâce à la patrouille financière, l’IGF a, par exemple, réorienté vers le Trésor public la somme de 15 millions de dollars américains détournés au ministère de l’Agriculture, plus de 712.980 dollars de la prime des agents de la riposte face COVID-19, plus de 10 millions de dollars répartis entre les cadres de la Gécamines, plus de 1 million de dollars à la FECOFA ou encore 43 millions de dollars de TVA logés à la BGFI BankJules Alingete a, en effet, subtilement réussi à retourner cette somme qu’une entreprise espagnole associée au projet de parc agro-industriel de Bukanga-Lonzo. Aujourd’hui en difficulté au point de rester clouée au sol à jamais, la compagnie aérienne nationale, Congo Airways, est maintenue en respiration artificielle grâce à Jules Alingete qui y a découvert un détournement de 23 millions de dollars et plusieurs cas d’irrégularités financières.
Nommé chef de service en juillet 2020, Jules Alingete s’est employé, trituré les méninges pour que l’IGF porte ses enquêtes de moins d’une dizaine à plus de 30 à fin 2020, puis plus de 60 l’année suivante. La patrouille financière s’étendra même dans la gestion des provinces notamment à Kinshasa et au Haut-Katanga. Grâce à Jules Alingete et ses limiers de l’IGF, fin décembre 2023, en dépit des financements des opérations électorales, les dépenses générales se limitent à 26.342,1 milliards contre des projections de plus de 40 mille milliards. Côté recettes, les douanes et accises sont à plus 4.688,4 milliards de CDF soit un taux de réalisation de 94,7% par rapport aux prévisions budgétaires de 4.949,5 milliards de CDF. Les recettes des impôts culminent à 11.236,4 milliards de CDF soit un taux de réalisation de 83,9% par rapport aux prévisions budgétaires de 13.389,6 milliards de CDF alors que les recettes non fiscales sont évaluées à 2.915,5 milliards de FC, soit un taux de réalisation de 82,5% par rapport aux prévisions budgétaires de 3.532,0 milliards de CDF. Et les recettes des pétroliers producteurs : 460,8 milliards de CDF, soit un taux de réalisation de 74,9% par rapport à leur niveau initial de 615,4 milliards de CDF.

Les recettes des comptes spéciaux sont attendues pour un montant de 1.674,9 milliards de FC, soit un taux de réalisation de 103,7% par rapport aux prévisions initiales de 1.615,2 milliards de FC. N’eut été l’apport de l’IGF, les assignations susmentionnées ne seraient guère atteintes, s’accordent à dire des experts aux Finances et au Budget. L’apport de l’IGF c’est aussi sa vigilance et son intransigeance à l’origine de la revisitation des contrats chinois avec à la clé 7 milliards de dollars principalement consacrés aux infrastructures routières. Personne ne dira mieux.

– Jules Alingete devant le Conseil d’État –
Et Jules Alingete reçoit à la queue leu leu des notes de satisfecit de la part du chef de l’État, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo. Pour autant, Alingete ne se soustrait de commun des mortels. Clean, le shérif des finances publiques ne s’épargne pas une convocation devant la justice, lui qui jouit du rang de ministre!
Le Conseil d’État n’a-t-il déjà pas donné raison à Jules Alingete dans le procès lui intenté par le conglomérat des 11 PCA dans l’affaire des primes et avantages sociaux indûment accordés aux mandataires non actifs. Onze présidents de conseils d’administration des entreprises et établissements publics (SNEL, CEEC, OCC, RVA, SONAS, FONER, SCTP, INPP, FPI, OGEFREM et REGIDESO) ont, en effet, contesté devant le Conseil d’État, la conclusion du chef de service de l’IGF, qui avait déclaré illégales les indemnités allouées aux mandataires non actifs, en premier lieu les PCA, dont la rémunération de base, les primes et nombreux avantages sociaux. La Chambre consultative de la haute juridiction administrative a, en effet, estimé que les objections de l’Inspection générale des finances étaient toutes fondées, que seuls les PCA n’ont nullement droit à la rémunération de base ni aux primes ni aux avantages sociaux, à la lumière de l’article 10 du décret n°13/055 du 13 décembre 2013 portant statut des mandataires publics dans les entreprises du Portefeuille de l’État.
Lire aussi :
La production croissante de l’étain congolais

Les juges du Conseil d’État ont établi que les mandataires actifs dont DG et DGA ont plein droit à ce qui a été dénié aux PCA car ils participent effectivement à la gestion courante de leurs entreprises et établissements, et que leurs fonctions sont incompatibles avec l’exercice d’un mandat politique ou toute activité similaire ou concurrente. En retour, ils s’alignent derechef sur les conclusions de Jules Alingete sur le caractère illégal des primes de bilan, des crédits, avances et autres avantages que s’octroient les mandataires actifs. L’arrêt du Conseil d’État date de fin 2021.
Mais moins de deux ans après, Jules Alingete découvre à nouveau que nombre de mandataires actifs et non actifs se sont accordés salaires, primes et autres avantages de stars de foot, la dolce vita ! Alors que Sama Lukonde en avait déjà reçu copie, le shérif des finances publiques, sur demande expresse du président de la République, remettra encore une fois les conclusions de ses enquêtes à la Première ministre, Judith Suminwa Tuluka. Cette fois-ci, les enquêtes de M. Alingete constitueront les premiers procès du futur parquet financier, foi du chef de l’État.
En ce mois de juillet, Jules Alingete Key totalise 4 ans comme chef de service de l’IGF. Le bilan, même dans l’opposition, on s’en conviendra qu’il est élogieux. Lors de la rentrée parlementaire prochaine, le 15 septembre, l’Inspection générale des finances, dans sa forme actuelle, totalisera 37 ans. Et pourtant, pour l’opinion qui a perdu foi au contrôle parlementaire, l’IGF passe pour un service nouveau créé à la faveur de l’alternance au sommet de l’État avec l’élection à la présidentielle de Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo. Jamais, auparavant, les médias n’avaient fait écho de ce service qui tire ses sources dans les années de la Conférence de Berlin en 1885, avec un décret royal du 6 octobre 1885 faisant état de fonctions de contrôleur de la comptabilité. Nous y reviendrons.

"Tour imposante, une nouvelle forteresse anti-corruption de l’IGF - 02.07.2024
= https://ouragan.cd/2024/07/tour-imposante-une-nouvelle-forteresse-anti-corruption-de-ligf


"RDC : conflit d’intérêt, fraude fiscale, Jules Alingete au cœur d’un scandale - 01.07.2024
= https://www.lsi-africa.com/fr/actualite-africaine/julien-alingete-scandale-rdcongo-.html
Jules Alingete, le puissant Inspecteur général des finances en république démocratique du Congo, un haut responsable de cette agence de lutte contre la corruption, se trouve désormais au centre d'un scandale retentissant. Accusé de conflit d’intérêt, de complicité de fraude fiscale et de blanchiment d'argent, son cas soulève des questions cruciales sur l'intégrité et l'efficacité des institutions chargées de lutter contre ces mêmes délits.

Jules Alingete, le Monsieur « propre » de l’IGF, s’était forgé une réputation d’homme intègre et inflexible. Responsable de plusieurs enquêtes marquantes ayant conduit à la chute de figures emblématiques de la corruption, il était perçu comme un pilier de la lutte contre la fraude et le blanchiment d’argent. Pourtant, cette image de probité s’est soudainement effondrée. Tout est parti d'une série de déclarations de lanceurs d'alertes et d'anciens salarié du groupe Rawji. Ces derniers sont formels : Jules Alingete a bel et bien géré, en compagnie de son épouse, jusqu'en 2020, tous les dossiers fiscaux de l'entreprise RAWJI, en sa qualité d'associé majoritaire de l'agence D.A. Consulting Office (D.A.C.O Sarl), à hauteur de 54%. La structure dont le capital social est 30.000 dollars, dispose d'un siège social au n°16 de l’avenue de la Paix, Immeuble DIOMI, 1er étage, appartement 3, dans la commune de la Gombe. Le "Monsieur Propre", de l'Inspection générale des finances de la RDC, se se serait rendu coupable de conflit d’intérêt et de complicité de fraude fiscale et de blanchiment, en aidant ses clients à faire de fausses déclarations au dépens du Trésor Public congolais. Les documents parvenus à la Rédaction de LSI AFRICA, authentifiés par nos soins établissent un lien évident entre Jules Alingete et plusieurs entreprises qui auraient pu être rappelées à l’ordre pour pratiques fiscales douteuses.

Les nouvelles révélations de Yusuf Shaikh, ancien directeur d'exploitation de Prodimpex, filiale du groupe Rawji, ont levé un coin de voile sur la rocambolesque implication de Jules Alingete dans ce sombre scandale. Le conflit d’intérêt se révèle encore plus troublant. Il est apparu qu’Alingete avait des intérêts financiers dans des entreprises qu’il était censé surveiller. Pire encore, il aurait usé de son influence pour protéger certains individus ou entités en échange de pots-de-vin. À Kinshasa, l’affaire Alingete est une bombe à retardement. Plusieurs sources au sein de l’IGF estiment que le patron de l’institution aurait utilisé à plusieurs reprises, sa position pour intimider des fonctionnaires et manipuler des processus administratifs en faveur de plusieurs entreprises par le passé, clientes de DACO SARL.

Que dit la loi en République démocratique du Congo ?
L’article 12 du Décret-loi n°017/2002 du 03 octobre 2002 portant Code de conduite de l’agent public de l’Etat, précise qu’«En cas de conflit d’intérêts, l’agent public de l’Etat doit informer ses supérieurs hiérarchiques de l’existence d’un tel conflit, éviter toute forme d’incompatibilité, mettre fin à la transaction ou à l’activité susceptible de donner lieu à un tel conflit ou de l’entretenir ou encore renoncer, le cas échéant, à ses responsabilités d’agent public de l’Etat». Selon nos informations, l’actuel patron de l’IGF n’aurait pas encore cédé ses parts au sein de DACO SARL. Depuis la révélation du présent scandale, c'est l’onde de choc dans l’opinion publique et au sein des institutions gouvernementales. Dans les coulisses, les caciques du pouvoir réclament des réformes profondes et une transparence accrue dans la gestion des affaires publiques. Les collègues et anciens partenaires de Jules Alingete se disent « stupéfaits » et « trahis ». Cette affaire offre désormais l’occasion à l’opposition politique au président Félix Tshisekedi, réélu pour un second mandat en janvier de critiquer la gestion actuelle de la lutte contre la corruption dans le pays.

Selon nos informations, les autorités devraient lancer une enquête exhaustive pour démêler les réseaux complexes dans lesquels Alingete serait impliqué. Des perquisitions pourraient être menées, et la coopération internationale sollicitée, car plusieurs transactions suspectes ont été effectuées à l’étranger ces derniers mois. Pour Jules Alingete, l’avenir s’annonce sombre. Si sa culpabilité venait a être établie, il risque de lourdes peines de prison et des amendes substantielles. Son cas pourrait servir de précédent pour durcir les lois et les contrôles relatifs aux conflits d’intérêts et à la fraude fiscale. Cette affaire met aussi en lumière les défis permanents auxquels sont confrontées les sociétés modernes en matière de gouvernance et de transparence. Elle rappelle également que personne n'est au-dessus des lois, et que la lutte contre la corruption nécessite une vigilance constante et des mécanismes de contrôle robustes.
= https://lepotentiel.cd/2024/06/28/fraude-fiscale-et-douaniere-une-enquete-indexe-jules-alingete/
=  https://topcongo.live/articles/fraude-fiscale-et-douaniere-jules-alingete-et-le-groupe-rawji-sur-le-banc-des-
= https://x.com/wembi_steve/status/1758577660496630235
= https://www.forumdesas.net/2022/04/un-vrai-faux-ou-un-faux-vrai-proces-contre-alingete/
= https://www.opinion-info.cd/societe/2021/08/17/dossier-veridos-comment-ligf-alingete-voulu-faciliter-le-paiement-frauduleux-de
= https://libregrandlac.com/article/7622/jules-alingete-:-la-chute-d-un-justicier-corrompu-en-rdc
= https://afriquactu.net/2024/02/01/rdc-tony-mwaba-annonce-une-plainte-contre-jules-alingete
= https://scooprdc.net/2024/04/08/pseudo-enquete-sur-jules-alingete-basee-sur-des-decharges-declarees-fausses-par-la-justice-oeuvre-des-predateurs-des-deniers-publics/

"


"En pleine tourmente, le ministre des finances défend sa cause auprès de Félix Tshisekedi- - 16.05.2024
= https://www.africaintelligence.fr/afrique-centrale/2024/05/16/en-pleine-tourmente-le-ministre-des-finances-defend-sa-cause-aupres-de-felix-tshisekedi,110226562-art


"TOP CONGO ÉDITION SPÉCIALE JULES ALINGETE IGF - 14.02.24"



Compatriotiquement!


# Si haut que l'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul #
# Que faisait Dieu avant la création ? De toute éternité, il préparait d'épouvantables supplices pour celui qui poserait cette question. #

ndonzwau


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LA CÉLÉBRITÉ ET L'INTÉGRITÉ DE JULES ALINGETE EN QUESTION DANS UN PAYS ET SOUS UN RÉGIME SOUVENT EN DÉFAUT DE GOUVERNANCE ET DE JUSTICE ? Empty Re: LA CÉLÉBRITÉ ET L'INTÉGRITÉ DE JULES ALINGETE EN QUESTION DANS UN PAYS ET SOUS UN RÉGIME SOUVENT EN DÉFAUT DE GOUVERNANCE ET DE JUSTICE ?

Message  ndonzwau 16/7/2024, 10:18 pm

UNE INCULPATION FONDÉE POUR LE JUSTIFIABLE ALINGETE OU UN PETARD MOUILLÉ MONTÉ PAR SES ADVERSAIRES COMME DISENT SES FERVENTS ADEPTES.

Une plainte de la Cour des comptes contre lui est en cours dans un contrat avec la Gecamines, sera-t-elle instruite jusqu'au bout étant donné déjà qu'elle est sa rivale ?
Pendant ce temps des quasi-inquisiteurs sortent de partout pour défendre non sans arguments la justesse et l'honnêteté du travail de l'Inspecteur Chef de services Jules Alingete. La bataille ne fait-elle que commencer ?.




"L’IGF Jules Alingete et le DG de la Gecamines convoqués à la Cour des comptes - 15/07/2024
= https://www.radiookapi.net/2024/07/15/actualite/justice/ligf-jules-alingete-et-le-dg-de-la-gecamines-convoques-la-cour-des
Le Procureur général près la Cour des comptes, Salomon Tudiese lance des invitations aux fins d'audition de l'Inspecteur général des finances chef de service Jules Alingete, ses collaborateurs et le directeur général de la Gecamines, Placide Nkala. Radio Okapi a consulté ces invitations lundi 15 juillet.

Les inspecteurs généraux des finances convoqués sont :[/size]
  • Lutete Nvuemba
  • Bambi Mpumbu
  • Kavuma Kadima
  • Mbuyi Cikunga
  • Mabela Mbala.

Selon le communiqué du Parquet général financier, signé le 11 juillet, ils sont tous mis en cause dans un dossier relatif à un contrat de consultance établi suivant un ordre de mission du 7 octobre 2023 de Jules Alingete, à la demande de consultance formulée par le DG de la Gecamines.
Le contrat à l'origine de cette procédure a été conclu, d'après le parquet, entre la Gecamines et l'IGF dont la durée d'exécution fixée à 90 jours n'était pas encore écoulée.  [/size]

"RDC : Jules Alingete et le DG de la Gecamines convoqués à la Cour des comptes - 16.07.2024
= https://monde24.net/rdc-jules-alingete-et-le-dg-de-la-gecamines-convoques-a-la-cour-des-comptes/
Le Procureur général près la Cour des comptes, Salomon Tudiese, a convoqué Jules Alingete, Inspecteur général des finances (IGF), et Placide Nkala, Directeur général de la Gécamines (Gecamines), pour audition dans le cadre d’un dossier relatif à un contrat de consultance.

Selon le communiqué du Parquet général financier, cette mise en cause concerne un contrat de consultance établi suivant l’ordre de mission n°395/PR/IGF/IG-CS/JAK/BAU/2023 du 07 octobre 2023 signé par Jules Alingete, à la demande de consultance formulée par Placide Nkala.


LA CÉLÉBRITÉ ET L'INTÉGRITÉ DE JULES ALINGETE EN QUESTION DANS UN PAYS ET SOUS UN RÉGIME SOUVENT EN DÉFAUT DE GOUVERNANCE ET DE JUSTICE ? 1001442570
Le communiqué Officiel de la cour de comptes

Les deux personnalités sont reprochées d’avoir violé les procédures de passation des marchés publics et d’avoir causé un préjudice financier à l’État congolais.
L’audition de Jules Alingete et Placide Nkala est prévue pour les prochains jours.
Jules Alingete, Inspecteur général des finances, et Placide Nkala, Directeur général de la Gécamines, ont été convoqués à la Cour des comptes. Ils sont reprochés d’avoir violé les procédures de passation des marchés publics et d’avoir causé un préjudice financier à l’État congolais. L’audition des deux personnalités est prévue pour les prochains jours.

"Mis en cause à la Cour des comptes : Jules Alingete, désormais « touchable » - 16 juillet 2024
= https://lepotentiel.cd/2024/07/16/mis-en-cause-a-la-cour-des-comptes-jules-alingete-desormais-touchable/
Longtemps présenté comme gendarme de l’Etat en ce qui concerne notamment le détournement de deniers publics, l’Inspecteur général des finances, chef de service de l’IGF, Jules Alingete Key sera bientôt devant les juges. Il sera entendu sur certains faits qui enfreignent la Loi, commis dans l’exercice de ses fonctions.

L’Inspecteur général des finances et chef de service, Jules Alingete Key est mis en cause dans une affaire de « contrat de consultance » à la Gécamines. Il devra être entendu dans les heures qui suivent, si l’on s’en tient au communiqué officiel émis le 11 juillet 2024 par le procureur près la Cour des comptes, Salomon Tudieshe.
Selon le communiqué, Jules Alingete Key, Inspecteur général des finances et chef de service de l’Inspection générale des finances (IGF) ainsi que Placide Nkala Basadilua, directeur général de la Gécamines, figurent parmi les hauts « responsables mis en cause » par le procureur général près la Cour des comptes, Salomon Tudieshe, dans le cadre d’une enquête concernant un contrat de consultance controversé.
La procédure enclenchée se rapporte à un contrat de consultance établi selon l’ordre de mission n°395/PR/IGF/IG-CS/JAK/BAU/2023, émis le 7 octobre 2023 par sieur Jules Alingete Key. Le contrat à l’origine de cette procédure a été conclu à la suite d’une demande de consultance formulée par Placide Nkala Basadilua, directeur général de la Gécamines. La durée d’exécution du contrat était fixée à 90 jours, une période qui n’était pas encore écoulée au moment de la mise en cause.

En plus de Jules Alingete Key et Placide Nkala Basadilua, l’enquête concerne également plusieurs autres responsables notamment, Lutete Mvuemba (Inspecteur général des finances) ; Mbambi Mpumbu (Inspecteur des finances) ; Kavuma Kadima (Inspecteur des finances) ; Mbuyi Cikunga (Inspecteur des finances) ; Mabela Mbala, (Inspecteur des finances).
A en croire le procureur près la Cour des comptes, des invitations aux fins d’audition ont été adressées à toutes les personnes précitées.

Il est un justiciable
La mise en cause de l’Inspecteur général chef de service de l’IGF, Jules Alingete Key s’inscrit dans le cadre de la réalisation des missions assignées à la Cour des comptes, notamment celle de l’institution suprême dans le contrôle des finances publiques en RDC.
D’aucuns s’interrogent sur la légalité d’un contrat de consultance signé entre un groupe d’inspecteurs des finances sur ordre du chef de service et une société de l’Etat. Ici, il apparaît donc incompréhensible voire indigeste que des inspecteurs des finances se soient transformés en consultants au sein d’une structure qu’ils sont censés auditer. Ceci n’est rien d’autre qu’une forme de corruption que l’IGF est censée combattre. Ce qui a attiré l’attention de la Cour des comptes qui tient à faire toute la lumière sur ce dossier.
Il y a quelques jours, des révélations ont été faites par un groupe de journalistes se réclamant « d’investigations » ainsi que des « lanceurs d’alertes ». Si certains accusent Jules Alingete d’être en connivence avec des privés propriétaires des sociétés écrans, d’autres par contre attribuent à l’Inspecteur général et chef de service de l’IGF, le fait de jouer le rôle de conseiller fiscal de certaines sociétés à travers un cabinet d’études dirigé par l’épouse de Jules Alingete. « Des manigances sont parfois orchestrées sur instruction de Jules Alingete. Ce qui est une entorse à la Loi », a affirmé Mills Tshibangu, un journaliste congolais qui se serait entretenu avec un groupe d’indiens dont les déclarations accablent Jules Alingete.

Un organe de contrôle
L’Ordonnance n° 87-323 du 15 septembre 1987 portant création de l’Inspection générale des finances, en abrégé «I.G.F.», dispose en son article 2 que « l’Inspection générale des finances dispose d’une compétence générale en matière de contrôle des finances et des biens publics ». À ce titre, elle vérifie et contrôle toutes les opérations financières de l’État, des entités administratives décentralisées, des établissements publics et organismes paraétatiques ainsi que des organismes ou entreprises de toute nature bénéficiant du concours financier de l’État, des entités administratives décentralisées et des établissements publics ou organismes paraétatiques sous une forme de participation en capital, de subvention, de prêt, d’avance ou de garantie.
« L’Inspection générale des finances, en tant que service d’audit supérieur du gouvernement, peut procéder à toute mission de contre-vérification, au second degré, de toutes les situations douanières, fiscales ou parafiscales des contribuables ou redevables d’impôts, droits, taxes ou redevances, soit en cas de découverte d’une fraude lors de l’exécution normale d’une mission de contrôle ou de vérification, soit sur réquisition des autorités politiques et administratives, soit sur réquisition des autorités judiciaires, soit, enfin, sur dénonciation des tiers » (Article 2bis).

Si les faits reprochés à Jules Alingete et consorts sont confirmés par les juges, les responsables des pratiques prohibées risquent gros, au regard de la Loi.
A son article 24, l’ordonnance-loi n° 87-005 du 6 février 1987 fixant la composition fixant la composition, l’organisation et le fonctionnement de la Cour des comptes dispose que « sont réputés fautes de gestion à l’égard de l’État, des entités décentralisées ou des établissements publics définis à l’article 3 : le non-respect des règles d’engagement des dépenses; l’engagement des dépenses sans en avoir le pouvoir ou reçu délégation; l’engagement des dépenses sans disponibilité de crédits; la dissimulation de nature à permettre la fausse imputation d’une dépense; la procuration à soi-même ou à autrui d’un avantage injustifié, sous toute autre forme, entraînant un préjudice pour l’État, les entités décentralisées ou les établissements publics; la dissimulation des pièces ou la production à la Cour des pièces falsifiées ou inexactes; l’omission, en méconnaissance de la loi fiscale, de remplir les obligations qu’elle impose, aux fins d’avantager indûment les contribuables; de façon générale, tout acte contraire aux règles d’exécution des recettes et des dépenses de l’État, des entités décentralisées et des établissements publics.

"RDC: «la Cour des comptes contrôle et sanctionne tout gestionnaire du fonds public, que vous soyez sous tutelle de Dieu ou du diable» (Sources judiciaires) - 16.07.2024
= https://www.opinion-info.cd/justice/2024/07/16/rdc-la-cour-des-comptes-controle-et-sanctionne-tout-gestionnaire-du-fonds-public
Des sources judiciaires ont confirmé à la rédaction d’Opinion-Info.cd, que la Cour des comptes a la compétence d’initier les enquêtes, de contrôler et de condamner un inspecteur des finances, en cas d’infraction. Cette réponse vient ainsi mettre fin aux polémiques nées au lendemain de la convocation de Jules Alingete, inspecteur général des finances- chef de service, ainsi que de plusieurs de ses collaborateurs (inspecteurs). 

«Tout gestionnaire du fonds public de l’état est redevable à la Cour des comptes, que vous soyez sous tutelle de Dieu ou du diable», a déclaré un magistrat, avant de rappeler ces termes de l’article 180 de la Constitution : «La Cour des comptes contrôle, dans les conditions fixées par la loi, la gestion des finances de l’Etat, des biens publics ainsi que les comptes des provinces, des entités territoriales décentralisées ainsi que des organismes publics».

Il signale le cadre de contrôle juridictionnel, tout en martelant sur les pouvoirs d’injonction et de sanction dont dispose la Cour des comptes.
«La Cour des comptes vérifie, instruit et juge les comptes des services de l'Etat central, des provinces et des entités territoriales décentralisées ainsi que ceux des établissements publics dotés d'un comptable public», a-t-il renchéri.
En matière de discipline budgétaire et financière, la Cour des comptes relève et sanctionne toute infraction à la réglementation relative à l’exécution des opérations de recettes et des dépenses publiques et des Entités territoriales décentralisées, tout responsable ou agent des sociétés commerciales d’Etat et établissements publics soumis à son contrôle, auteur d’une faute de gestion.

"RDC : Jules Alingete mis en cause par le parquet près la Cour des comptes pour un contrat avec la Gecamines - 16.07.2024
= https://actu7.cd/2024/07/16/rdc-jules-alingete-mis-en-cause-par-le-parquet-pres-la-cour-des-comptes-pour-un-contrat-avec-la-gecamines/

"Contrat de consultance à la Gecamines : Controverses autour d’une convocation de Jules Alingete par la Cour des comptes -15.07.2024
= https://depeche.cd/2024/07/15/contrat-de-consultance-a-la-gecamines-controverses-autour-dune-convocation-de-jules-alingete-par-la-cour-des-comptes/



"Croisade contre Alingete à la Cour des comptes, un pétard mouillé - 16.07.2024
= https://www.ouragan.cd/2024/07/croisade-contre-alingete-a-la-cour-des-comptes-un-petard-mouille
À défaut de fournir les dispositions légales sur lesquelles se fonde l’invitation lancée au chef de service de l’IGF, Jules Alingete Key, et huit autres inspecteurs des finances, le PG se recroqueville sur une prétendue coutume…sujette à caution, de l’avis de nombre de juristes contactés par Ouragan dans différents barreaux de Kinshasa, Lubumbashi et Matadi. Aux dernières nouvelles, l’IGF, se fondant sur des instruments juridiques, a décliné, le plus officiellement du monde, l’invitation du PG.

– Rappel de faits –
À l’origine de la polémique, une formation en passation des marchés publics assurée, au profit de 105 agents de la Gécamines par huit auditeurs et experts de l’IGF, lesquels ont été rémunérés à hauteur de 150 000 USD pour les trois mois de formation. Jules Alingete avait, effectivement, autorisé cette formation pour laquelle l’administration de la Gécamines avait préalablement donné son accord pour la rémunération des formateurs. Le PG de la Cour des comptes qui a eu écho de l’affaire, estime que les inspecteurs ne pouvaient pas être payés par le géant minier congolais et qu’il revenait à l’IGF de les prendre en charge. Ce que l’IGF n’attend pas de cette oreille.
Lire aussi :
60 jours à l’ANR, l’état de santé de Jonas Kasimba très précaire (société civile)

Ensuite, le PG de la Cour des comptes invite l’IGF Alingete à échanger avec lui sur cette question. L’IGF lui répond en lui demandant de donner les dispositions légales qui l’autorisent à inviter Alingete pour échanger sur le travail de l’IGF car la Loi organique de la Cour des comptes n’habilite que le premier président de la Cour des comptes à diligenter une enquête, une investigation ou une mission. Lorsque dans la mission, enquête ou investigation, il y a une faute de gestion, le premier président de la Cour des comptes fait un rapport écrit au PG près la Cour des comptes pour organiser les auditions des incriminés.
En plus, les inspecteurs des Finances ne peuvent pas être entendus sur les faits découlant de leur travail que sur autorisation expresse du chef de l’Etat (Loi portant statut judiciaire des Inspecteurs des Finances). Preuve que l’action prétendument engagée contre Alingete n’est qu’un pétard mouillé.

"Contrat de consultance IGF-Gécamines : Jules Alingete et Placide Nkala «mis en cause» par la Cour des comptes - 15 juillet 2024 à 19
= https://www.politicordc.com/actualite/2024/07/15/contrat-de-consultance-igf-gecamines-jules-alingete-et-placide-nkala-mis-en-cause-par-la-cour-des-comptes.html/166088/


"Des prédateurs essoufflés se coalisent contre l’IGF - 16.07.2024
= https://ouragan.cd/2024/07/des-predateurs-essouffles-se-coalisent-contre-ligf


Compatriotiquement!


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LA CÉLÉBRITÉ ET L'INTÉGRITÉ DE JULES ALINGETE EN QUESTION DANS UN PAYS ET SOUS UN RÉGIME SOUVENT EN DÉFAUT DE GOUVERNANCE ET DE JUSTICE ? Empty Re: LA CÉLÉBRITÉ ET L'INTÉGRITÉ DE JULES ALINGETE EN QUESTION DANS UN PAYS ET SOUS UN RÉGIME SOUVENT EN DÉFAUT DE GOUVERNANCE ET DE JUSTICE ?

Message  ndonzwau 18/7/2024, 3:42 pm

JUSQU'OÙ VA ALLER CETTE MISE EN CAUSE DE JULES ALINGETE DÉCRIÉE PAR BEAUCOUP ET SOUHAITÉE PAR QUELQUES UNS ?



"Mise en cause de l’IGF: L’ODEP et LICOCO invitent le PG à cesser de jeter «un discrédit» sur la Cour des Comptes - 16 juillet 2024
= https://www.politicordc.com/actualite/2024/07/16/mise-en-cause-de-ligf-lodep-et-licoco-invitent-le-pg-a-cesser-de-jeter-un-discredit-sur-la-cour-des-comptes.html/166129/
L’observatoire de la dépense publique (ODEP) et la ligue congolaise de lutte contre la corruption (LICOCO) disent avoir lu avec «stupéfaction» le communiqué du 15 Juillet 2024 du Parquet Général près la Cour des Comptes sur ce qu’il qualifie de mise en cause de l’IGF Jules Alengete et de certains Inspecteurs des Finances ainsi que du DG de la Gécamines.

De ce fait, cette Société Civile invite le Parquet Général près la Cour des Comptes à éviter des tels agissements qui sont de nature à jeter «un discrédit» sur cette institution importante du pays. Aussi, poursuit-elle, à s’abstenir de s’attaquer médiatiquement à l’IGF.
L’ODEP et LICOCO invitent le PG près la Cour des Comptes et l’IGF à une collaboration pour faire avancer la lutte contre la Corruption en RDC et en même temps, ils demandent au PG près la Cour des Comptes de s’abstenir de poser des actes de nature à fragiliser la lutte contre la Corruption.

Pour rappel, le parquet près la Cour des comptes de la RDC a mis en cause Jules Alingete pour avoir autorisé une formation de 3 mois de 105 des agents auditeurs et experts en passation des marchés publics de la Gécamines à l’IGF pour un montant de 150.000 USD à payer aux Inspecteurs de l’IGF.
D’après ces deux structures de la société civile qui ont signé conjointement un communiqué intitulé : halte à la déstabilisation de la fonction contrôle étatique en RDC, le Parquet Général près la Cour des Comptes devrait travailler en synergie avec l’IGF pour répondre aux attentes du Chef de l’Etat sur la lutte contre la corruption en lieu et place de s’illustrer par «des attitudes contre productives».
À en croire l’ODEP et LICOCO, l’analyse de ce dossier relatif à la formation que les Inspecteurs des Finances dispensent aux agents de la GECAMINES ne pose aucun problème.
"RDC-Mise en cause de l’IGF: Le PG près la Cour des Comptes invité de s’abstenir de poser des actes de nature à fragiliser la lutte contre la Corruption (Odep/Licoco) - 17.07.2024
= https://depeche.cd/2024/07/17/rdc-mise-en-cause-de-ligf-le-pg-pres-la-cour-des-comptes-invite-de-sabstenir-de-poser-des-actes-de-nature-a-fragiliser-la-lutte-contre-la-corruption-odep-licoco/
= https://7sur7.cd/2024/07/17/affaire-igf-cour-des-comptes-il-ne-se-pose-aucun-probleme-dans-la-formation-dispensee

"Congo n’est pas à vendre (CNPAV) soutient l'enquête de la Cour des comptes dans le dossier IGF-Gécamines - communiqué - 17.07.2024
= https://actualite.cd/2024/07/17/congo-nest-pas-vendre-cnpav-soutient-lenquete-de-la-cour-des-comptes-dans-le-dossier-igf
Communiqué de presse
Enquête de la Cour des Comptes dans le dossier IGF-Gécamines: soutien à cette action cruciale pour la transparence et la bonne gouvernance au sein des institutions de contrôle


Le consortium Le Congo n’est pas à vendre (« CNPAV ») exprime son soutien sans réserve à l'initiative récente de la Cour des Comptes visant à convoquer M. Jules Alingete, Inspecteur en chef de l’Inspection Générale des Finances  dans le dossier de « consultance » effectuée par cette institution auprès de la Gécamines. Cette démarche représente un pas important vers l'affermissement de la transparence et de l'intégrité dans la gestion des affaires publiques de notre pays.

En effet, selon le rapport de la Cour des Comptes, la mission de contrôle de 90 jours effectuée par l’Inspection Générale des Finances s’est transformée en une mission de la formation des agents et cadres de la GECAMINES, moyennant des honoraires de 750 000 USD couvrant les prestations allant de novembre 2023 à Février 2024.

Comment l’Inspection Générale des Finances peut se livrer à un tel exercice auprès de son assujetti pendant une mission de contrôle ?
Rappelons que la mission de former les agents des services publics en passation des marchés publics est une prérogative de l’Autorité de Régulation des Marchés Publics (ARMP), conformément à l’article 10 du décret n°10/21 du 2 juin 2010 portant création, organisation et fonctionnement de ladite institution. L'immixtion de l’IGF dans pareille activité constitue une violation des textes réglementaires en vigueur en RDC.

Le CNPAV note également que ces prestations n’entrent pas dans les missions ou attributions de l’IGF telles que définies par l'ordonnance n° 20/137-b du 24 Septembre 2020 modifiant l'ordonnance n°87-323 du 15 septembre 1987 portant création de cette Inspection.

Après avoir examiné cette situation, le CNPAV constate que les prestations de cette nature révèlent un conflit d’intérêt et constituent une violation flagrante du code de bonne conduite des agents publics de l’Etat qui interdit aux agents publics de jouer le double rôle : celui de contrôle d’une entité économique ou agent économique et celui de signer un contrat de conseil financier de la même entité ou agent économique. Selon l’article 129 de la loi de 2011 relatives aux finances publiques, cette pratique constitue une “faute de gestion” de la part de l’Inspecteur en chef de l’IGF. L’article 167 de la loi organique n° 18/024 du 13 novembre 2018 donne compétence à la Cour des Comptes de statuer sur cette matière. Par ailleurs, la constitution de la RDC en son article 180 donne lui donne un pouvoir large en matière de contrôle juridictionnel des finances publiques.

Ainsi, la Cour des Comptes est compétente pour auditionner Mr. Alingete, Inspecteur en Chef de l’IGF et les autres Inspecteurs cités dans cette affaire appelés à se présenter à la Cour des comptes.
Le Congo n’est pas à vendre invite ce dernier à se présenter à l’invitation du procureur général près la Cour des Comptes ce jeudi 18 juillet. L'exigence de reddition de comptes et l'audit rigoureux des institutions publiques renforcent la confiance des citoyens en leurs dirigeants et assurent une utilisation efficiente des ressources nationales. Le Congo n’est pas à vendre félicite la Cour des Comptes qui démontre que nul n’est au-dessus de la loi et affirme sa détermination à agir dans l’intérêt du peuple congolais, au-delà des influences particulières ou politiques. Le respect des institutions et des procédures juridiques est indispensable pour la consolidation de l’État de droit en RDC.

Le Congo n’est pas à vendre insiste sur l’importance de permettre à cette institution de mener à bien son mandat sans entrave ni pression. Nous invitons ainsi tous les acteurs politiques, économiques et sociaux à coopérer pleinement avec les investigations et procédures de la Cour des Comptes.
Fait à Kinshasa, le 18 juillet 2024
Pour Contacts :
Jean Claude MPUTU: +32498381139
Jolino MALUKISA: +243815297024
Dirk SHAKA: +243998855781
Email: corruptiontuerdc@mail.com
CNPAV - Soutien à l'Act... by Infos Actualite.cd

"RDC : Jules Alingete Key, le patron de l’agence anticorruption, visé par une enquête - 17.07.2024
= https://www.jeuneafrique.com/1589412/politique/rdc-jules-alingete-key-le-patron-de-lagence-anticorruption-vise-par-une-enquete/

"COMMUNIQUE
RDC : mise en cause de Jules Alingete, voici ce que dit la Loi!Avatar of Kiala CurnisPublished - 16 juillet 2024

= https://zoom-eco.net/communique/rdc-mise-en-cause-de-jules-alingete-voici-ce-que-dit-la-loi/

"Les conseils de l'Inspection générale des finances à la Gécamines facturés 150 000 dollars par mois - 17.07.2024
= https://www.africaintelligence.fr/afrique-centrale/2024/07/17/les-conseils-de-l-inspection-generale-des-finances-a-la-gecamines-factures-150-000-dollars-par-mois,110269038-art


"RDC : Pourquoi Jules Alingete est convoqué à la Cour des comptes ? - 17.07.2024
= https://actualite.cd/index.php/2024/07/17/rdc-pourquoi-jules-alingete-est-convoque-la-cour-des-comptes
La Cour des Comptes met en cause l’Inspecteur général des finances pour irrégularités dans la conduite d’une mission de service effectuée à la Générale des carrières et des mines (Gécamines) le 7 novembre 2023.

D’après le Parquet général près la Cour des Comptes, Jules Alingete a transformé l’objet d’une mission de contrôle des finances publiques en une mission de consultance.
« Les inspecteurs détachés pour effectuer la mission de 90 jours ont été doublement rémunérés. D’abord par le Trésor public et ensuite par la Gécamines. Au lieu de faire le contrôle, ces derniers se sont transformés en consultants de la Gécamines. C’est une faute de gestion », affirme le Parquet général près la Cour des Comptes. La même source précise par ailleurs qu’une mission de contrôle ne peut dépasser quinze jours ouvrables. Le contraire serait une violation des règles administratives.

Il faut souligner que cette convocation suscite des questions quant à la légalité de la procédure. Certains experts estiment que l’initiative devrait être déclenchée par le Premier Président de la Cour des Comptes. Le parquet, de son côté, se dit compétent pour instruire l’affaire, en se référant aux prérogatives lui conférées par la loi portant organisation et fonctionnement de la Cour des Comptes de 2018.
L’article 129 de la loi relative aux finances publiques reste explicite sur l’infraction qualifiée de faute de gestion. Jules Alingete serait mis en cause pour avoir obtenu un avantage injustifié d’environ 750.000 USD pour la période d’octobre 2023 à février 2024, entraînant un préjudice pour le pouvoir central. La procédure pourrait démarrer ce jeudi 18 juillet avec les auditions. « En cas de détection d’infraction pénale, le dossier sera transféré devant les instances judiciaires compétentes pour fixation », indique le Parquet général près la Cour des Comptes.

"RDC : Le dessous des cartes dans l’affaire de consultance IGF – Gécamines  - 16 juillet 2024
= https://mines.cd/rdc-le-dessous-des-cartes-dans-laffaire-de-consultance-igf-gecamines/


"RDC : conflit d’intérêt, fraude fiscale, Jules Alingete au cœur d’un scandale - 01.07.2024
= https://www.lsi-africa.com/fr/actualite-africaine/julien-alingete-scandale-rdcongo-.html
Jules Alingete, le puissant Inspecteur général des finances en république démocratique du Congo, un haut responsable de cette agence de lutte contre la corruption, se trouve désormais au centre d'un scandale retentissant. Accusé de conflit d’intérêt, de complicité de fraude fiscale et de blanchiment d'argent, son cas soulève des questions cruciales sur l'intégrité et l'efficacité des institutions chargées de lutter contre ces mêmes délits.

Jules Alingete, le Monsieur « propre » de l’IGF, s’était forgé une réputation d’homme intègre et inflexible. Responsable de plusieurs enquêtes marquantes ayant conduit à la chute de figures emblématiques de la corruption, il était perçu comme un pilier de la lutte contre la fraude et le blanchiment d’argent. Pourtant, cette image de probité s’est soudainement effondrée. Tout est parti d'une série de déclarations de lanceurs d'alertes et d'anciens salarié du groupe Rawji. Ces derniers sont formels : Jules Alingete a bel et bien géré, en compagnie de son épouse, jusqu'en 2020, tous les dossiers fiscaux de l'entreprise RAWJI, en sa qualité d'associé majoritaire de l'agence D.A. Consulting Office (D.A.C.O Sarl), à hauteur de 54%. La structure dont le capital social est 30.000 dollars, dispose d'un siège social au n°16 de l’avenue de la Paix, Immeuble DIOMI, 1er étage, appartement 3, dans la commune de la Gombe. Le "Monsieur Propre", de l'Inspection générale des finances de la RDC, se se serait rendu coupable de conflit d’intérêt et de complicité de fraude fiscale et de blanchiment, en aidant ses clients à faire de fausses déclarations au dépens du Trésor Public congolais. Les documents parvenus à la Rédaction de LSI AFRICA, authentifiés par nos soins établissent un lien évident entre Jules Alingete et plusieurs entreprises qui auraient pu être rappelées à l’ordre pour pratiques fiscales douteuses.

Les nouvelles révélations de Yusuf Shaikh, ancien directeur d'exploitation de Prodimpex, filiale du groupe Rawji, ont levé un coin de voile sur la rocambolesque implication de Jules Alingete dans ce sombre scandale. Le conflit d’intérêt se révèle encore plus troublant. Il est apparu qu’Alingete avait des intérêts financiers dans des entreprises qu’il était censé surveiller. Pire encore, il aurait usé de son influence pour protéger certains individus ou entités en échange de pots-de-vin. À Kinshasa, l’affaire Alingete est une bombe à retardement. Plusieurs sources au sein de l’IGF estiment que le patron de l’institution aurait utilisé à plusieurs reprises, sa position pour intimider des fonctionnaires et manipuler des processus administratifs en faveur de plusieurs entreprises par le passé, clientes de DACO SARL.

Que dit la loi en République démocratique du Congo ?
L’article 12 du Décret-loi n°017/2002 du 03 octobre 2002 portant Code de conduite de l’agent public de l’Etat, précise qu’«En cas de conflit d’intérêts, l’agent public de l’Etat doit informer ses supérieurs hiérarchiques de l’existence d’un tel conflit, éviter toute forme d’incompatibilité, mettre fin à la transaction ou à l’activité susceptible de donner lieu à un tel conflit ou de l’entretenir ou encore renoncer, le cas échéant, à ses responsabilités d’agent public de l’Etat». Selon nos informations, l’actuel patron de l’IGF n’aurait pas encore cédé ses parts au sein de DACO SARL. Depuis la révélation du présent scandale, c'est l’onde de choc dans l’opinion publique et au sein des institutions gouvernementales. Dans les coulisses, les caciques du pouvoir réclament des réformes profondes et une transparence accrue dans la gestion des affaires publiques. Les collègues et anciens partenaires de Jules Alingete se disent « stupéfaits » et « trahis ». Cette affaire offre désormais l’occasion à l’opposition politique au président Félix Tshisekedi, réélu pour un second mandat en janvier de critiquer la gestion actuelle de la lutte contre la corruption dans le pays.

Selon nos informations, les autorités devraient lancer une enquête exhaustive pour démêler les réseaux complexes dans lesquels Alingete serait impliqué. Des perquisitions pourraient être menées, et la coopération internationale sollicitée, car plusieurs transactions suspectes ont été effectuées à l’étranger ces derniers mois. Pour Jules Alingete, l’avenir s’annonce sombre. Si sa culpabilité venait a être établie, il risque de lourdes peines de prison et des amendes substantielles. Son cas pourrait servir de précédent pour durcir les lois et les contrôles relatifs aux conflits d’intérêts et à la fraude fiscale. Cette affaire met aussi en lumière les défis permanents auxquels sont confrontées les sociétés modernes en matière de gouvernance et de transparence. Elle rappelle également que personne n'est au-dessus des lois, et que la lutte contre la corruption nécessite une vigilance constante et des mécanismes de contrôle robustes.

"Jules Alingete : la chute d'un justicier corrompu en RDC -
29/06/24

= https://libregrandlac.com/article/7622/jules-alingete-:-la-chute-d-un-justicier-corrompu-en-rdc
Dans la tourmente de la lutte contre la corruption en République Démocratique du Congo, l'histoire de Jules Alingete résonne comme un triste rappel des défis immenses auxquels ce pays fait face.

Nommé par le Président Félix Tshisekedi pour traquer les voleurs et nettoyer les institutions, Alingete avait pour mission de rétablir la confiance du peuple envers ses dirigeants. Cependant, les événements récents révèlent une réalité bien différente.

Un idéal trahi
« L'homme à qui le Président Félix Tshisekedi avait confié la mission d'arrêter les voleurs dans ce pays n'était ni préparé, ni contrôlé. À son tour, il est devenu un problème », déclare le journaliste Litsani Chukran sur son compte X, soulignant ainsi la rapide déchéance de celui qui était censé incarner l'intégrité et la détermination.
Accusé de profiter de sa position pour s'enrichir plutôt que pour poursuivre les criminels, Alingete est aujourd'hui au centre d'une tempête médiatique. Des allégations de conflits d'intérêts et de complicité dans des fraudes fiscales et de blanchiment d'argent émergent, jetant une ombre sur son mandat à la tête de l'Inspection Générale des Finances (IGF).

Des anciens employés du groupe Rawji témoignent de la gestion directe des dossiers fiscaux par Alingete, via son épouse, une pratique potentiellement illégale qui aurait facilité des malversations fiscales massives. Ces accusations, longtemps sous-jacentes, sont maintenant étayées par des preuves tangibles, comme l'affirme Yusuf Shaikh, ancien directeur d'une des filiales du groupe Rawji.
Face aux critiques et aux preuves qui s'accumulent, Jules Alingete refuse de répondre publiquement, accusant ses détracteurs d'orchestrer une campagne de diffamation contre lui. Cette attitude défensive contraste vivement avec le zèle qu'il affichait autrefois dans la dénonciation des corrompus.

Un système en crise
Au-delà du cas personnel de Jules Alingete, cette affaire met en lumière les profondes failles du système congolais, où la corruption semble imprégner tous les niveaux de la société. « Le Congo se retrouve maudit », déplore un observateur, pointant du doigt une culture d'impunité et de compromission qui gangrène les institutions.
L'affaire Alingete est bien plus qu'un scandale individuel ; elle est le symbole des défis titanesques que doit relever la RDC pour instaurer une gouvernance juste et transparente. Alors que la population désespère de voir émerger des leaders intègres, la question demeure : qui pourra réellement incarner le changement tant attendu ?
Dans cette saga de trahison des idéaux, une leçon semble émerger avec force : pour combattre la corruption, il ne suffit pas d'être nommé pour la mission, il faut surtout rester incorruptible.


"IGF: Alingete brille par des dépassements budgétaires - 31.03.2022
= https://www.opinion-info.cd/economie/2022/03/31/rdc-igf-alingete-brille-par-des-depassements-budgetaires

LA CÉLÉBRITÉ ET L'INTÉGRITÉ DE JULES ALINGETE EN QUESTION DANS UN PAYS ET SOUS UN RÉGIME SOUVENT EN DÉFAUT DE GOUVERNANCE ET DE JUSTICE ? Jules
Jules Alingete, inspecteur général des finances, Chef des services

Jules Alingete brille par des dépassements budgétaires très prononcés. Invraisemblable. Pourtant, cela est vrai comme l'atteste le Projet de Loi portant reddition des comptes de la Loi de finances n°19/005 du 31 décembre 2019 pour l'exercice 2020, telle que modifiée par la Loi rectificative n°20/019 du 24 décembre 2020 pour l'exercice 2020


LA CÉLÉBRITÉ ET L'INTÉGRITÉ DE JULES ALINGETE EN QUESTION DANS UN PAYS ET SOUS UN RÉGIME SOUVENT EN DÉFAUT DE GOUVERNANCE ET DE JUSTICE ? IMG_20220330_180758_664

L'actuel Chef de service de l'Inspection générale des finances (IGF), aux commandes depuis juillet 2020, a, au cours de cette même année, affiché un taux de dépassement budgétaire de plus de 520,68%.
Au départ, 32.953.750.000 CDF ont été mis, à titre de crédit prévisionnel, à la disposition de l'IGF pour des interventions économiques, sociales, culturelles et scientifiques. A l'arrivée, l'IGF, sous Alingete, a explosé le seuil prévisionnel en dépensant jusqu'à 171.582.000.000 CDF. Soit, un surplus de 138.628.250.000 CDF.
Normal, au regard de ces chiffres, que Jules Alingete ait défendu, urbi et orbi, que "le dépassement budgétaire n’est ni un acte de détournement ni un acte de mauvaise gestion". Alors que c'en est bien, selon Ernest Izemengia Nsaa-Nsaa, "une violation de la Loi des finances".


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LA CÉLÉBRITÉ ET L'INTÉGRITÉ DE JULES ALINGETE EN QUESTION DANS UN PAYS ET SOUS UN RÉGIME SOUVENT EN DÉFAUT DE GOUVERNANCE ET DE JUSTICE ? Empty Re: LA CÉLÉBRITÉ ET L'INTÉGRITÉ DE JULES ALINGETE EN QUESTION DANS UN PAYS ET SOUS UN RÉGIME SOUVENT EN DÉFAUT DE GOUVERNANCE ET DE JUSTICE ?

Message  ndonzwau 19/7/2024, 3:37 am

A LA LECTURE DE L'ARTICLE BIEN DOCUMENTÉ CI-DESSOUS, ON RETIENT AU MOINS UNE CHOSE : MALGRÉ SA TUTELLE STRUCTURELLE PAR  LE  PR ALINGETE ET SON IGF RESTENT DES AGENTS PUBLICS JUSTICIABLES ET PASSIBLES DU CONTRÔLE DE LA COUR DES COMPTES.

Apparemment en RDC, il s'est constitué deux camps, PRO (payé par eux ?) et CONTRE Alingete et son IGF  surtout parmi les journalistes. Dommage tant de ce dialogue manichéen il risque de sortir une compréhension biaisée du fonctionnement des détectives des detourneurs...

Ainsi Top Congo se défend contre les attaques des médias qui seraient proches d'Alingete dans ses propos sur sa mise en cause par la Cour des comptes. Il a bien signé un contrat avec l'IGF pour sa promotion mais pour l'information qui doit rester sacrée pour le journaliste, c'est dire doit refléter la vérité sinon on tombe dans la corruption.

On se perd quelque peu dans les justifications : qu'elle est la vérité de Top Congo ? Il invite au débat pour la faire éclater...
En attendant, il semble bien que le  mélange de l'IGF entre la consultance payante et le contrôle s'écarte du bon sens



"«Corruption» des inspecteurs de l’IGF à la Gecamines : voici pourquoi Jules Alingete et le DG de la Gecamines méritent une révocation immédiate !  - 17.07.2024
= https://www.opinion-info.cd/societe/2024/07/17/corruption-des-inspecteurs-de-ligf-la-gecamines-voici-pourquoi-jules-alingete-et
De haut, semble tomber Jules Alingete, inspecteur général des finances et chef de service à l’Inspection générale des finances (IGF), mis en cause par le procureur général près la Cour des comptes.

Selon un communiqué officiel de cette juridiction, daté du 11 juillet dernier et abondamment relayé dans les médias depuis lundi, des invitations ont déjà été transmises à Alingete et cinq autres personnalités, dont des inspecteurs des finances, trempées dans le «dossier relatif au contrat de consultance établi» sur base d’un «ordre de mission» signé par le chef de service de l’IGF, sur «demande» de Placide Nkala, Directeur général de la Gécamines
Seulement voilà, Jules Alingete boude de répondre à cette invitation du procureur près la Cour des comptes, arguant, par personnes interposées, que «les inspecteurs des finances ne peuvent être entendus sur les faits découlant de leur travail que sur autorisation expresse du Chef de l’Etat, selon la loi portant statut judiciaire des Inspecteurs des finances».
Cette ligne de défense, soutenue par un pro-Alingete, qui s’est confié à l’Agence congolaise de presse (ACP), est battue en brèche par des arguments de droit, qui mettent le n°1 de l’IGF et ses acolytes dos au mur, non sans reposer sur leurs épaules d’autres infractions. Notamment, celle d’entrave à l’action de la Cour des comptes.

En effet, renseigne une correspondance de la Cour des comptes, consultée en exclusivité par Opinion-info.cd, Jules Alingete, de par sa qualité de chef de service à l’IGF, un service public qui relève du pouvoir central, est «justiciable» de la Cour des comptes, conformément à l’article 32, alinéa 1er, point 4 de la loi organique du 13 novembre 2018 relative à cette juridiction.
Cet article dispose : «Sont justiciables devant la Cour des comptes pour faute de gestion en matière de discipline budgétaire et financière, (…) tout responsable ou agent des entreprises publiques, des établissements ou organismes publics».

Un autre argument de droit qui cloue définitivement Alingete a été puisé dans l’ordonnance n°87-323 du 15 septembre 1987, portant création de l’Inspection générale des finances, telle que modifiée et complétée à ce jour. Selon l’article 6 bis, alinéa 2, de cette ordonnance, l’Inspecteur général des finances-Chef de service est un «officier de police judiciaire».
«Il en résulte qu’il est légalement subordonné au Procureur général près la Cour des comptes, qui exerce les fonctions du ministère public», soutient cette correspondance, en s’appuyant sur l’article 17, alinéa 2 de la loi organique sur la Cour des comptes.
Et d’enchainer :
«L’article 294 de la Loi organique déjà mentionnée renvoie à l’application par la Cour des dispositions du Code de procédure pénale, du Code de procédure civile ainsi que celles de la Loi organique n°13/011-B du 11 avril 2013 portant organisation, fonctionnement et compétences des juridictions de l’ordre judiciaire, dont l’article 67 dispose ce qui suit : ‘‘En matière répressive, le ministère public recherche les infractions aux actes législatifs et réglementaires qui sont commises sur le territoire de la République. Il reçoit les plaintes et les dénonciations, accomplit tous les actes d’instruction et saisit les Cours et Tribunaux’’.
Au sujet de l’IGF, a appris Opinion-info.cd, pas moins de trois dénonciations ont été formulées auprès du Procureur général près la Cour des comptes. A ces dénonciations s’ajoute le «refus» de Jules Alingete de «communiquer le dossier relatif aux émoluments des mandataires publics». «Ce fait est constitutif d’entrave à l’action de la Cour des comptes (article 98 in fine de la loi organique relative à la Cour des comptes)», prévient-on dans cette correspondance consultée en exclusivité par Opinion-info.cd.

Le ciel, estiment de nombreux observateurs, est recouvert de nuages pour Alingete, dont la vraie nature, longtemps dissimulée dans la campagne de communication qu’il se paye par la force des billets verts, du reste acquis dans des circonstances malencontreuses, est sur le point d’être révélée à l’opinion. Ce qui expliquerait, selon les mêmes observateurs, ses gesticulations et son stratagème de tenter de bloquer l’action de la Cour des comptes au niveau de la forme, tant pour ce qui est du fond, tout porte à croire qu’il sera cuit.
Ainsi, en boudant la convocation de la Cour des comptes, Jules Alingete entrave à l’action du procureur et aggrave son cas, selon cette juridiction.
Cacophonie à l’IGF -Inspection générale des finances-. Le chef de ce service public, rattaché à la présidence de la République, Jules Alingete, prêt à casser sa tirelire pour s’acheter l’image d’un farouche opposant au détournement et à la corruption, est cependant loin d’incarner cette image.

Son expérience avec la Gécamines (un exemple parmi tant d’autres) révèle comment Alingete, soucieux de faire le plein de ses poches, a dévié l’IGF et ses ressources (notamment les inspecteurs des finances) de leurs missions légalement établies.
Fin octobre dernier, la hiérarchie de cette entreprise publique a sollicité, après environ trois ans d’une mission d’encadrement menée par les hommes d’Alingete, de transformer ladite mission d’encadrement en une «équipe de consultants» devant «travailler avec les services» de la Gécamines. 
Le souci du DG de la Gécamines, Placide Nkala Basuadila, est de «réactiver les procédures existantes dans les domaines financier, budgétaire et de contrôle interne», et de profiter de «l’expertise (des inspecteurs de l’IGF), pour le fonctionnement effectif de la Cellule interne de passation des marchés publics et le renforcement de l’audit interne». 
Placide Nkala Basuadila a formulé cette demande dans sa correspondance du 31 octobre dernier, faisant preuve d’un tel degré d’ignorance sur la stricte observance des dispositions légales relatives aux missions dévolues à l’IGF et ses inspecteurs.
Nkala a malheureusement été accompagné dans son ignorance par Alingete, censé connaître par cœur les prérogatives de l'IGF, mais qui s'est visiblement affiché incapable de résister à l'opportunité de renflouer sa gibecière d'espèces sonnantes et trébuchantes.

Avec célérité, le chef de service à l’IGF a favorablement répondu à la demande de la Gécamines, en signant, le 7 novembre 2023 (soit en l'espace d'une semaine), un ordre de mission, pour un travail de «consultance auprès de la Gécamines» durant 90 jours.
Consécutivement à cet ordre de mission, Alingete a expédié une «note de frais et honoraires des prestations de la mission de consultance de l'IGF». L'addition, pour le seul mois de novembre, est salée. Elle s'est chiffrée à 150.000 dollars hors taxe et payable dans un compte bancaire logé à Equity-BCDC, selon cette note de frais.
Sauf que l’IGF, qui est un service de contrôle, ne peut jamais se transformer en cabinet de consultance. 
«L’Inspection générale des Finances ne peut en aucun cas se muer à un service de consultance. Cette mission n’est pas reconnue à l’IGF, qui ne s’occupe que du contrôle sans rien attendre des structures étatiques contrôlées», explique, sous un cachet d’anonymat, un inspecteur des Finances, dégoûté par cette orientation donnée à l’IGF par Alingete, qui «viole gravement et intentionnellement» la Loi organisant ce service public.
Et un autre d’enfoncer : «Les contrôles de l’IGF s’exécutent en respectant les étapes fondamentales reconnues : le contrôle a priori et le contrôle a posteriori, pour empêcher les différents cas de malversations financières. Ça ne change jamais de format ».

Le même inspecteur est surtout écœuré de savoir que l’IGF, version Alingete, exige des frais au titre de «honoraires des prestations» auprès des entreprises soumises au contrôle de ses inspecteurs. 
Pourtant, l’Ordonnance du 24 septembre 2020 modifiant et complétant celle du 15 septembre 1987 portant création et fonctionnement de l’IGF, ne reconnait nullement ces fameux «frais d’honoraires de prestation» parmi les sources de financement des activités de ce service public énumérées à l’article 12 ter.
«Cette note de frais est fonction du niveau de qualification requise par la nature et la complexité des travaux effectués et du temps passé par l’équipe d’inspecteurs des Finances. Nos frais et honoraires d’experts pour le mois de novembre 2023 s’élèvent à cent cinquante mille (150.000,00) dollars US hors taxes. Ce montant repose sur des conditions de déroulement normal de nos travaux et sur l’assistance active de vos services», a-t-il motivé dans sa note de frais transmise à la Gécamines, sans évoquer la moindre disposition légale le lui autorisant de poser cet acte.
Depuis, des inspecteurs de l’IGF perçoivent «des frais de consultance» auprès de la Gécamines, sur instruction de l’Inspecteur chef de service, Jules Alingete.
«Les inspecteurs de l’IGF ne sont pas des consultants, bien qu’ils mènent de fois le contrôle concomitant», a recadré cet inspecteur qui a refusé de se mêler dans une entreprise de prédation contre les deniers publics et les Lois de la République.

 Genèse de l’IGF en mode consultance 
L’IGF -Inspection générale des finances-, pour satisfaire la gloutonnerie de son chef, passe en mode consultance grâce au génie d’Alingete. Comment en sommes-nous arrivés à ce point ?
Tout commence par une guerre de correspondance entre l’IGF et la Gecamines. La première a porté des allégations de détournement de fonds contre la seconde, rendu possible au travers de la SIMCO, une entreprise dont la Gécamines est actionnaire majoritaire avec 99% des parts.
Des allégations auxquelles les dirigeants de cette entreprise publique ont apporté un cinglant démenti. L’IGF a persisté dans ses accusations et a établi des «actes de détournement» commis par la Gécamines en 2022, relatifs à des versements réalisés par la SIMCO, au profit des mandataires et agents de cette entreprise publique, entre octobre et décembre 2022. 
Dans son communiqué du 26 octobre, la Gécamines a regretté de voir l’IGF se fier aux rumeurs des réseaux sociaux, pour établir, sans évidence, des actes de détournement imaginaires. 
Comme pour conclure une paix des braves, la Gécamines a sollicité de l’IGF la transformation de sa mission de contrôle en une mission de consultance payante. Une sollicitation alléchante à laquelle Alingete n’a pu résister, établissant au plus vite un ordre de mission du 3 octobre 2023 référencé comme suit : « n°395/PR/IGF/IG-CS/JAK/BAU/2023 ».
«Subsidiairement à l’Ordre de mission n°345/PR/IGF/IG-CS/JAK/BEP/2023 du 3 octobre 2023, l’Inspecteur général des finances Lutete Mvuemba, chef de mission, ainsi que les Inspecteurs des finances Bambi Mpumbu, Kavuma Kadima, Mbuyi Cikunga et Mabela Mbala sont chargés d’une mission de consultance auprès de la Générale des carrières et des mines, dans les provinces du Haut-Katanga et du Lualaba», lit-on dans cet ordre de mission établi par Jules Alingete.

Fort de cet ordre de mission, les inspecteurs transformés en consultants ont eu à poser des actes relatifs au travail qu’ils devraient effectuer durant 90 jours. Ce travail a consisté à procéder, de concert avec les services internes de la Gécamines, à l’implémentation des procédures budgétaires, financières, de contrôle interne et celles relatives aux marchés publics, en particulier :
- renforcer les procédures budgétaires, financières, de contrôle interne existantes au sein de la Gécamines ;
- redynamiser les mécanismes de contrôle interne dans les sites de production et usines de la Gécamines ;
- contribuer à l’implémentation de la loi relative aux marchés publics ;
- procéder au renforcement des capacités du personnel de la Gécamines en matière de gestion des procédures budgétaires, financières, de contrôle interne et de passation des marchés publics.
Les inspecteurs-consultants, selon des informations captées par Opinion-infos.cd des documents officiels, ont gracieusement été payés par la Gécamines. Jusqu’au 14 décembre dernier, cette entreprise publique avait déjà déboursé un montant de 150.000 USD sur un total de 7.500.000 USD.
De quoi engraisser Alingete et ses hommes, pris ainsi en flagrant délit de corruption. Avec un tel traitement princier, ces inspecteurs peuvent-ils encore travailler en toute indépendance ?

Alingete ou concurrent de McKensey ?
Dans un deal où il s’est octroyé des centaines des milliers de dollars pour le compte de l’IGF, sans passer par appel d’offres, Alingete a fait saigner les caisses de la Gecamines. 150.000$ par mois pour la consultance. La facture très salée du «gendarme financier de Félix Tshisekedi», 100 fois plus costaud que celles des cabinets d’audit et conseil internationaux le plus cher au monde à l'instar de McKinsey, Pwc ou Kpmg, basés à New York. Dans un pays normal, où l'on prône l’Etat de droit, cet agent public, qui a foulé au pied intentionnellement le code de bonne conduite et le statut de l’agent public de l’Etat, devrait répondre de ses actes non seulement devant la Cour des comptes, mais aussi devant un tribunal pénal. Son acte constitue une infraction aux termes des articles 149, 149 bis, 149ter du Code pénal.
La thèse d’un piège serait-elle plausible pour l’inspecteur Alingete qui dénombre plus de 30 ans de carrière pour se tremper dans un tel scandal financier ?
Le chien méchant qui pourchasse les bandits financiers en cravate serait-il pris dans un guet-apens lui tendu proprement dans une correspondance où Placide Nkala, le DG de la Gecamines, y est allé avec toutes ses formules de politesse ? Le 31 octobre 2023, le DG suppliait Jules Alingete pour accepter que les inspecteurs soient transformés en conseil. 
«Serait-il impérieux de convertir l'Equipe d'encadrement de l'Inspection Générale des Finances actuellement à la Gécamines en une équipe de consultants, qui devra travailler avec mes services, afin de réactiver les procédures existantes dans les domaines financier, budgétaire et de contrôle interne. L'Equipe de Consultants pourra également apporter son expertise pour le fonctionnement effectif de la Cellule interne de passation de marchés publics et le renforcement de l'Audit interne », avait écrit le DG Nkala à Alingete.
«In cauda venenum», disent les latinistes, traduit en français par «le venin est dans la queue», fin de citation. 
L’homme de la patrouille financière, contrôle à priori, concomitant et à posteriori, aurait tout simplement retrouvé ses réflexes du tenancier d’un cabinet fiduciaire privé. Grâce à DACO SARL, beaucoup de firmes privées ont réussi à minorer leurs taxes et impôts au détriment de l’Etat congolais. Pour une pareille affaire, Alingete s’est habitué, sauf qu’il n’aura pas de dissocier ses intérêts privés à ceux de l’Etat.



"Affaire «inspecteurs de l’IGF transformés en consultants à Gecamines»: attaquée par les médias proches de Jules Alingete, la radio Top Congo répond «la presse est sacrée !» - 18.07.2024
= https://www.opinion-info.cd/societe/2024/07/18/affaire-inspecteurs-de-ligf-transformes-en-consultants-gecamines-attaquee-par


"Enquête contre Jules Alingete : quand un chroniqueur de musique devient journaliste d'investigation ! -  04-07-2024
= https://www.lecorrespondant.cd/1121736847/enquete-contre-jules-alingete-quand-un-chroniqueur-de-musique-devient-journaliste-d-investigation

"RDC | Le journaliste Mills Tshibangu dévoile les coulisses de son enquête polémique sur Jules Alingete - juillet 3, 2024
= https://www.sasastudio.net/rdc-le-journaliste-mills-tshibangu-devoile-les-coulisses-de-son-enquete/

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"TOP CONGO MISE AU POINT - 18.07.2024


"TOP CONGO LE DÉBAT 18.O7.24"


"TOP CONGO LE DEBAT - 16.07.24"


"Mills Tshibangu, droit dans ses bottes, résumé le documentaire sur Jules Alingete - 01,07,2024


"URGENT!!! VOICI LES PREUVES :  JULES ALINGETE DÉCIDE DE D'ÉLIMINER MILLS TSHIBANGU POUR L'AVOIR DÉNONCÉ



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Message  ndonzwau 21/7/2024, 1:17 am

CI-DESSOUS CHEZ KASAMBA LES DISCUSSIONS ENTRE PRO ET CONTRE ALINGETE ONT ÉTÉ TRÈS HOULEUSES MAIS ECLAIRANTES SUR LES PROCÉDURES ET TEXTES UTILISÉS DANS CETTE AFFAIRE COMME ARGUMENTS.
UNE CONCLUSION ? SELON MOI PERSONNE N'EST TOUT BLANC OU TOUT NOIR CHEZ LES PROTAGONISTES, LES RESPONSABILITÉS SONT PARTAGEES, LES TEXTES N'ONT PAS TOUJOURS ÉTÉ RESPECTÉS D'UN CÔTÉ COMME DE L'AUTRE.

ON AIMERAIT ENTENDRE ALINGETE COMME SES CONTEMPTEURS S'EXPLIQUER DIRECTEMENT !!!

Permettez que j'ajoute un hommage funèbre à notre brave Jules Alingete : la corruption qu'il pourchasse n'a pas quitté notre pays...
La poisse de Jules Alingete, parce qu’il y’a bien malchance dans son cas, c’est de s’être enivré de sa position de premier de la classe auprès du Grand Chef au point de se permettre toutes les audaces;
N’était il pas en effet applaudi par toute la RDC pour ses exploits de chevalier blanc contre la corruption mais que vient-on de nous révéler ?

Non seulement aucun coupable arpentant la Présidence n’est resté en prison et n’a remboursé au Trésor public les millions volés mais aussi qu’il a monnayé une consultance auprès de la Gécamines. Et n’oublions pas ses largesses fiscales auprès du groupe indien Rawji et ses bonnes affaires personnelles autour de Daco consigné au nom de son épouse..

A mon pauvre avis, cela fait beaucoup trop pour que nous lui gardons intacte la confiance qu’on lui faisait jusque-là. Le seul qui jusque-là semblait faire la différence avec notre meute politique corrompue y avait lui aussi plongé souterrainement.
Dommage, combien dommage pour notre cher Congo !!!



"GOUVERNANCE : POURQUOI ON EN VEUT À ALINGETE ? - 20.07.24"


"RDC : le chantre de la lutte anti corruption dans la tourmente - 22.07.2024
= https://afrikarabia.com/wordpress/rdc-le-chantre-de-la-lutte-anticorruption-dans-la-tourmente/
Le très médiatique Jules Alingete, patron de l'Inspection générale des Finances (IGF), a facturé des missions de conseils pour le compte du géant minier Gécamines. L'inspecteur en chef du combat contre la corruption est convoqué par la cour des Comptes, et voit son image de chevalier blanc écornée

LA CÉLÉBRITÉ ET L'INTÉGRITÉ DE JULES ALINGETE EN QUESTION DANS UN PAYS ET SOUS UN RÉGIME SOUVENT EN DÉFAUT DE GOUVERNANCE ET DE JUSTICE ? Jules-Alingete-20241-1024x637
Jules Alingete, chef de la « patrouille financière » en 2024 :copyright: DR-IGF

Il est le visage de la lutte contre les détournements de fonds et les malversations en République démocratique du Congo (RDC), un combat dont le président Félix Tshisekedi a fait sa principale priorité. Jules Alingete, le directeur de l’Inspection générale des Finances (IGF) est mis en cause pour avoir facturé des missions de consultance auprès de la Gécamines. Le bouillonnant chef de la « patrouille financière » est désormais soupçonné par le Procureur de la cour des Comptes de conflit d’intérêt pour de juteux contrats de conseil à 150.000 dollars par mois. Le directeur de la Gécamines, Placide Nkala doit être également auditionné par le procureur Salomon Tudieshe.

Quand le contrôleur conseille le contrôlé
L’ONG anticorruption « Le Congo n’est pas à vendre » (CNPAV) se demande comment l’IGF peut se livrer à un tel exercice… pendant une mission de contrôle. Et ce, moyennant la coquette somme de 750.00 dollars « pour des prestations allant de novembre 2023 à février 2024 ». L’IGF a indiqué avoir répondu à une demande de la Gécamines qui souhaitait former ses agents à la passation de marchés publics. D’après le CNPAV, ces missions de formations seraient plutôt de la prérogative de l’Autorité de régulation des marchés publics (ARMP), et non de l’IGF, dont ce type de prestations n’entrent pas dans ses attributions. L’IGF ne peut pas jouer « double jeu », dénonce l’ONG anticorruption, celui de contrôle et celui de « conseil financier ».

Alingete, consultant en chef
Cette affaire tombe mal pour Jules Alingete. Car son nom est également cité dans une enquête menée par plusieurs journalistes pour des soupçons de fraude fiscale et douanière concernant les sociétés du groupe Rawji. Là encore, Jules Alingete aurait été recruté par le patron de cet empire familial pour « maquiller des comptabilités et planifier une fraude fiscale » selon ces journalistes. Une affaire qui reste, pour l’instant, en suspens au niveau judiciaire. A l’IGF, on plaide pour une campagne orchestrée par « les vrais fraudeurs » qui redoutent que « la patrouille financière ne s’intéresse à eux ».

Un mille-feuilles anticorruption
Dans l’architecture anticorruption voulue par Félix Tshisekedi pour lutter contre ce mal endémique, qui touche toutes les strates de la société congolaise, l’IGF n’est pas la seule institution à combattre les « antivaleurs » qui pillent la république. Une Agence de prévention et de lutte contre la corruption (APLC) a également été mise en place par Félix Tshisekedi, dépendant, comme l’IGF, du cabinet présidentiel. Dans les faits, l’Agence de lutte contre la corruption est restée très discrète sur ses actions, alors que Jules Alingete a pris toute la lumière et a débusqué l’ensemble des affaires de détournements de fonds. Dans son bilan des 5 ans passés à la tête de l’IGF, Alingete s’était félicité d’avoir bloqué plus de 1,5 milliard de dollars de « dépenses irrégulières. Et parmi ces dépenses irrégulières, il n’est pas exclu qu’il y ait des actes de détournement » avait fait comprendre le chef de la patrouille financière.

Une corruption toujours endémique
Dernièrement, Félix Tshisekedi a rajouté une couche dans le mille-feuilles des organismes censés lutter contre la corruption en restructurant la cour des Comptes, peu active jusque-là. Les ennuis de Jules Alingete, que le procureur de la cour des Comptes veut entendre, pourrait être la conséquence de cette lutte de leadership au sein des institutions anticorruption. Pourtant, l’agitation de l’IGF ne semble pas avoir fait baisser le niveau de corruption, déjà stratosphérique, de la RDC dans les classements mondiaux. En 2024, le Congo fait encore partie des trois pays les plus corrompus d’Afrique francophone après le Burundi et le Tchad, selon Transparency International. Première raison : les actions de l’IGF ne mènent pas obligatoirement vers des poursuites judiciaires. Ensuite, lorsque celles-ci tombent, les accusés sont le plus souvent blanchis et les sommes détournées jamais retrouvées ou tracées.

Une kleptocratie qui se porte bien
Le dossier le plus emblématique est celui des détournements de fonds du « programme des 100 jours ». Vital Kamerhe, alors directeur de cabinet du président Félix Tshisekedi, est condamné à vingt ans de prison pour avoir détourné près de 50 millions des dollars destinés à un projet de logement social. Il est finalement acquitté deux ans plus tard en appel, avant de réintégrer le gouvernement et de devenir aujourd’hui président de l’Assemblée nationale. Les autres « acteurs » de l’affaire sont également en liberté. Il y a les sommes de la taxe téléphonique RAM, ou l’argent détourné des fonds pour le Covid-19. Le ministre de la Santé est désormais libre. Dernièrement, l’Assemblée nationale aurait débloqué 309 millions de dollars sans aucune justification. Il y a aussi les distributions de jeeps aux députés, l’affaire de surfacturation de forages d’eau et de lampadaires qui a coûté sa place au ministre des Finances, Nicolas Kazadi, dans le nouveau gouvernement… La liste des faits de corruption est longue comme le bras, et les affaires débusquées par l’IGF semblent très sélectives et épargnent les premiers cercles du pouvoir… ou les réhabilitent très rapidement après quelques mois de prison. La kleptocratie congolaise se porte donc toujours bien malgré les déclarations de bonnes intentions de Félix Tshisekedi, qui avait fait de la lutte contre la corruption sa principale promesse de campagne en 2018.



"RDC: Christian Lusakueno porte plainte pour calomnie sur Internet - 23.07.2024
= https://actualite.cd/2024/07/23/rdc-christian-lusakueno-porte-plainte-pour-calomnie-sur-internet
"Christian Lusakueno poursuit en justice les auteurs de posts calomnieux sur Internet - 23 juil. 2024
= https://m.soundcloud.com/actualitecd/christian-lusakueno-poursuit-en-justice-les-auteurs-de-posts-calomnieux-sur-internet



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Message  ndonzwau 25/7/2024, 3:56 pm

POINT DE DOUTE L'IGF REND D'UTILES SERVICES À L'ÉTAT MAIS LE MOINS QU'ON PUISSE DIRE EST QUE SON REFUS INSISTANT A COMPARAÎTRE DEVANT LA COUR DES COMPTES BLOQUE TOUTE AVANCÉE DANS L'EXAMEN POURTANT LÉGAL DE SON FONCTIONNEMENT ET RISQUE DE JETER SUR LUI DOUTE ET SUSPICION.MEME S'IL DOIT SE METTRE A L'ABRI DE MALÉFIQUES PRÉDATEURS QUI NE MANQUENT PAS.

En effet selon moi et au regard du bon sens démocratique, Alingete et son IGF sont des fonctionnaires publics justiciables, leur tutelle directe à la Présidence est davantage une maldonne démocratique, dans tous les cas il ne peut justifier le refus de regard du contrôleur des Finances qu'est la Cour des comptes ; il s'agit ici du nerf de la guerre, l'argent dont le Trésor public a besoin pour abonder au mieux les charges de l'État..

L'IGF déjà louée légitimement pour ses ervicesa n'en sera que plus bénéfique au delà de tout soupçon même si elle n'a pas à céder aux manœuvres des prédateurs !



"Mission de l’IGF à la Gécamines : la Cour des comptes explique la justiciabilité de Jules Alingete devant elle - 25.07.2024
= https://actualite.cd/2024/07/25/mission-de-ligf-la-gecamines-la-cour-des-comptes-explique-la-justiciabilite-de-jules

LA CÉLÉBRITÉ ET L'INTÉGRITÉ DE JULES ALINGETE EN QUESTION DANS UN PAYS ET SOUS UN RÉGIME SOUVENT EN DÉFAUT DE GOUVERNANCE ET DE JUSTICE ? Cour%20des%20comptes

Le feuilleton entre l’inspecteur général des finances des finances chef de service et le parquet général près la Cour des comptes est loin d’être clos. En effet, Jules Alingete, le numéro 1 de l’IGF n’a pas répondu présent à l’invitation du procureur général près cette Cour, jeudi 18 juillet dernier, pour s’expliquer sur la mission de contrôle de 90 jours effectuée par son service, qui s’est transformée en une mission de formation des agents et cadres de la Gecamines, moyennant des honoraires de 750 000 USD pour les prestations allant de novembre 2023 à février 2024.

Dans une correspondance du 12 juillet dernier à Jules Alingete, la Cour des comptes indique que l’inspecteur général chef de service se déclarait ne pas être justiciable devant la Cour des comptes, sauf sur demande expresse du Président de la République. Dans les médias et réseaux sociaux, les débats allant dans tous les sens sont focalisés sur cette question. Certaines organisations de la société civile ont pris parti pour l’un ou l’autre camp.

]La Cour des comptes affirme sa compétence
La correspondance de la Cour des comptes à Jules Alingete révèle par ailleurs des dispositions légales lui donnant le pouvoir d’instruire différents dossiers relevant de sa compétence. Elle rappelle que ne pas lui reconnaître ce droit relève de la mauvaise interprétation de la Loi organique n°18/024 du 13 novembre 2018 relative à la Cour des comptes, aux termes de laquelle « le Parquet général près la Cour des comptes reçoit des dénonciations qui doivent être examinées afin de s'assurer que les faits qu'elles énoncent sont fondés, de manière à ne pas porter atteinte aux droits et à la dignité de la personne mise en cause », renseigne le document.
La Cour des comptes évoque par ailleurs certains dossiers dont elle s’est saisie, notamment celui du directeur général de la Mettelsat, dont «un procès est en cours présentement …, à l'issue de l'instruction à laquelle a procédé le Parquet général près la Cour des comptes. En tant qu'agent public (article 32 de la loi organique relative à la Cour des comptes) », précise la correspondance.

Les arguments juridiques de la Cour des comptes
La Cour des comptes fonde sa position sur plusieurs arguments juridiques solides. Elle rappelle que l'Inspection générale des finances est un service public relevant du pouvoir central, et que son chef, Jules Alingete, est donc justiciable de la Cour des comptes en matière de discipline budgétaire et financière. Elle cite également l'article 6 bis de l'ordonnance portant création
portant création de l'IGF, qui stipule que l'inspecteur général des finances est un officier de police judiciaire, et donc légalement subordonné au Procureur général près la Cour des comptes.

Pour la Cour des comptes, Jules Alingete est aussi justiciable devant elle, étant donné que le Procureur général près cette Cour « a déjà enregistré trois (3) dénonciations », contre lui, « outre son refus de répondre à sa demande de communication de dossier relatif aux émoluments des mandataires publics. Ce fait est constitutif d'entrave à l'action de la Cour des comptes (article 98 in fine de la loi organique relative à la Cour des comptes) », précise la Cour des comptes.
A ce stade, plusieurs interrogations sont soulevées quant à la prochaine étape de ce feuilleton, notamment ce que la Cour des comptes envisage pour venir à bout de sa démarche, elle qui accuse Jules Alingete d’entraver l’action initiée par le procureur général près la Cour des comptes.

"IGF: exposition ce jeudi à Kinshasa des œuvres scientifiques des inspecteurs des finances - 25.07.2024
= https://actualite.cd/2024/07/23/igf-exposition-ce-jeudi-kinshasa-des-oeuvres-scientifiques-des-inspecteurs-des-finances


"Mission de l’IGF à la Gécamines: les organisations de la société civile encouragent Jules Alingete à collaborer avec la Cour des comptes - 26.07.2024
= https://actualite.cd/2024/07/26/mission-de-ligf-la-gecamines-les-organisations-de-la-societe-civile-encouragent-jules
Dans une correspondance lundi 22 juillet dernier adressée au procureur général près la Cour des comptes, l’Association congolaise pour l’accès à la justice (ACAJ), la Ligue congolaise de lutte contre la corruption (LICOCO) et l’Observatoire des dépenses publiques (ODEP) encouragent Jules Alingete, inspecteur général-chef de service,  à collaborer avec la cour au sujet de la mission  de contrôle de 90 jours effectuée par son service à la Gécamines en 2023.

Pour ces organisations, cette collaboration peut « apporter tout éclairage nécessaire à l’enquête de la Cour des comptes dans le respect des dispositions légales ».
Elles appellent par ailleurs à l’apaisement dans ce dossier, estimant que la Cour des comptes et l’IGF sont des « institutions dépositaires du contrôle des finances publiques » et que, par conséquent, peuvent « ériger des ponts de convergence ayant pour finalité de veiller effectivement à la promotion du bien-être collectif, tributaire d’une gestion saine et transparente de derniers publics ».
Le 18 juillet dernier, jour où Jules Alingete était attendu par le procureur général près la Cour des comptes, le même procureur indiquait dans un autre document « qu’il y aurait une collusion entre le numéro 1 de l’IGF et le DG de la Gécamines, au détriment du trésor public ».
Se basant sur les révélations d’un journaliste entendu par lui, le procureur général près la Cour des comptes soupçonne également le chef de l’IGF d’être « propriétaire d'une fiduciaire dont il détient 54% de parts et qui est dirigée par son épouse. Elle traite des comptabilités des entreprises redevables d’impôts envers l’Etat (…). Résultat : un manque à gagner considérable pour l’Etat », précise-t-il.


"Cour des comptes : les défis de la gestion publique au cœur de la rentrée judiciaire - 26 juillet 2024
= https://enquete.cd/2024/07/26/cour-des-comptes-les-defis-de-la-gestion-publique-au-coeur-de-la-rentree-judiciaire/
Kinshasa, 26 juillet 2024- Jeudi Le 25 juillet, la Première ministre Judith Tuluka a brillamment représenté le président Félix Tshisekedi lors de l’audience plénière solennelle de la rentrée judiciaire de la Cour des comptes, un événement marquant pour la RDC. La cérémonie, qui s’est tenue dans la salle des spectacles du Palais du Peuple à Kinshasa, a été l’occasion de poser les jalons d’une nouvelle ère dans la gestion publique, dans un contexte de renouvellement institutionnel.

Le procureur général près la Cour des comptes a ouvert la séance en présentant un thème phare : « La gestion publique pour la consolidation de la cohésion et de la solidarité nationale.» Ce choix s’inscrit dans une volonté manifeste de répondre aux défis contemporains que rencontre le pays, tout en mettant l’accent sur l’importance d’un État capable de redistribuer équitablement les richesses nationales.

Lire aussi :Le Plan d'actions 2024-2028 : une stratégie ambitieuse du gouvernement pour redéfinir l'économie


“Le thème est justifié par le changement des institutions, nous commençons comme un nouveau cycle et le chef de l’Etat, il y a une nouvelle législature et un nouveau gouvernement d’espoir. J’ai dit le gouvernement d’espoir parce que les congolais espèrent ce gouvernement prendra des mesures pour appliquer l’article 58 de la constitution de la République, qui veut que les congolais jouissent des richesses nationales. L’Etat a le devoir de les redistribuer équitablement et de garantir le droit au développement”, a indiqué le procureur général près la Cour des comptes.
Dans un contexte de changement institutionnel, cette rentrée judiciaire revêt un caractère particulier. Le procureur a fait référence à un « nouveau cycle » marqué par l’espoir suscité par la nouvelle législature et le gouvernement. Il a souligné que les Congolais attendent des actions concrètes qui leur permettront de bénéficier des ressources de leur pays. La gestion publique devient ainsi un enjeu central pour renouer la confiance entre l’État et les citoyens, un défi que le nouveau gouvernement doit relever avec détermination.

Lire aussi : Processus de paix de Naïrobi : Félix Tshisekedi révéle le côté penchant de William Ruto

Le premier président de la Cour des comptes, Jimmy Munganga, a également pris la parole pour souligner l’importance d’une réforme en profondeur de la loi organique régissant cette institution. Il a insisté sur la nécessité d’adapter ses structures afin de lutter efficacement contre la corruption et le détournement des fonds publics.
La rentrée judiciaire de cette année est marquée par trois événements historiques qui redéfinissent le paysage politique congolais : le renouvellement du mandat du chef de l’État, du président des deux chambres du Parlement, ainsi que l’investiture d’un nouveau gouvernement.
= https://www.politicordc.com/actualite/2024/07/25/rdc-rentree-judiciaire-de-la-cour-des-comptes-exercice-2024-2025.html/166473/


"RDC: grâce à la patrouille financière, l’IGF a pu bloquer  plus de 1,5 milliard USD de dépenses irrégulières en 2023 - 17.02.2024
= https://actualite.cd/2024/02/17/rdc-grace-la-patrouille-financiere-ligf-pu-bloquer-plus-de-15-milliard-usd-de-depenses


"IGF- Cour des Comptes:"Aujourd'hui on croit qu’on s’attaque à son animateur principal Jules Alingete, alors que consciemment on sait que c’est faux. C’est une étape pour s’attaquer au service" dénonce l'IGF et coordonnateur Herman Iyeleza - 27.07.2024
= https://actualite.cd/2024/07/27/igf-cour-des-comptesaujourdhui-croit-quon-sattaque-son-animateur-principal-jules



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Message  ndonzwau 2/8/2024, 12:19 pm


"RDC: pour le CREFDL, la brouille entre l’IGF et la Cour des comptes fragilise la lutte contre la corruption et le détournement des deniers publics - 29.07.2024
= https://actualite.cd/2024/07/29/rdc-pour-le-crefdl-la-brouille-entre-ligf-et-la-cour-des-comptes-fragilise-la-lutte



Compatriotiquement!


# Si haut que l'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul #
# Que faisait Dieu avant la création ? De toute éternité, il préparait d'épouvantables supplices pour celui qui poserait cette question. #

ndonzwau


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