Dérive autoritaire de Kabila !

http://www.google.com/hostednews/afp/article/ALeqM5iQbSOprDtQdaHRT1d-L1_YNVW2qQ

le titre président de la RDC, l'entourage fait des génuflexions donc il a droit de vie et de mort où est le problème. l'opposition aux abonnés absents, le peuple baillonnés avec les églises de réveil.

Vive KAbila.

TOLEKA

LE CONGO EST 1 ET INDIVISIBLE

FIERE D'ETRE CONGOLAISE

CONGOLAIS LAMUKA.

Le signal de RFI coupé en RD Congo

AFP/Archives MARTIN BUREAU

KINSHASA (AFP) - lundi 27 juillet 2009 - 14h57 -

La diffusion de Radio France Internationale (RFI) en République démocratique du Congo (RDC) a été interrompue depuis dimanche par le gouvernement qui avait récemment déjà coupé son signal dans l’est pour "raisons de sécurité nationale", a-t-on appris lundi auprès de RFI.
Le ministère de la Communication et des médias n’a pas voulu commenter lundi cette décision de couper le signal de RFI, renvoyant à un point-presse dans les prochains jours.

Selon un communiqué de RFI, les autorités congolaises reprocheraient à la radio "la restitution sur (ses) antennes d’une conférence de presse de la Mission de l’ONU en RDC (Monuc)", sans autres précisions.

La radio affirme avoir "normalement restitué des informations émanant dune institution internationale, sans commentaire particulier" et demande "la réouverture la plus rapide possible de ses fréquences dans un pays où elle se situe en termes daudiences au tout premier plan".

Début juin, la diffusion de RFI avait été interrompue à Bukavu (Sud-Kivu, est) pour "raisons de sécurité nationale". Le gouvernement congolaise accusait alors la radio française d’"inciter les militaires à désobéir, à se révolter (...) alors que le pays est en guerre". La même raison avait été invoqué début mai lors de la coupure du signal à Bunia (Province orientale, nord-est).

L’est et le nord-est de la RDC sont le théâtre d’affrontements entre groupes armés et de violences contre les civils depuis plus d’une décennie. Le gouvernement central tente de pacifier la région mais l’armée régulière peine à imposer son autorité.


AINSI VA LA VIE EN RDC.

Kabila n'a pas capacite de voir les choses d'une maniere multidimensionelle.Il a une conception du pouvoir un peu que des dictacteurs africains post coloniaux: se barricader dans son petit bureau avec des conseillers flatteurs qui lui font croire d'etre une petite divinite...Cela le pousse a diriger le pays comme sa poche et mepriser la population qui serait pour lui comme des grands bambins a qui on dit ce que on veut et quand on veut; l'autorite de l'etat se limite seulement a la capitale ect...

Qui controle Kabila? qui sait combien touche Kabila par mois? Qui controle les proches de Kabila? Personne!!!Ils font partie de la caste des "ayants droit" .Kabila peut arreter ou faire sortir de la prison quelqu'un sans rendre compte a personne.Kabila peut demander l'argent a la banque centrale du Congo sans que personne ne sache pourquoi et ou va cet argent.

Quand les dirigeants congolais apprendront a diriger le pays par consentement de l'opinion publique que parla coercition tout en se croyant comme ses guides illumines, ca sera le jour le congo sera sur la bonne route du developpement.

mongo elombe a écrit:Le signal de RFI coupé en RD Congo

AFP/Archives MARTIN BUREAU

KINSHASA (AFP) - lundi 27 juillet 2009 - 14h57 -

La diffusion de Radio France Internationale (RFI) en République démocratique du Congo (RDC) a été interrompue depuis dimanche par le gouvernement qui avait récemment déjà coupé son signal dans l’est pour "raisons de sécurité nationale", a-t-on appris lundi auprès de RFI.
Le ministère de la Communication et des médias n’a pas voulu commenter lundi cette décision de couper le signal de RFI, renvoyant à un point-presse dans les prochains jours.

Selon un communiqué de RFI, les autorités congolaises reprocheraient à la radio "la restitution sur (ses) antennes d’une conférence de presse de la Mission de l’ONU en RDC (Monuc)", sans autres précisions.

La radio affirme avoir "normalement restitué des informations émanant dune institution internationale, sans commentaire particulier" et demande "la réouverture la plus rapide possible de ses fréquences dans un pays où elle se situe en termes daudiences au tout premier plan".

Début juin, la diffusion de RFI avait été interrompue à Bukavu (Sud-Kivu, est) pour "raisons de sécurité nationale". Le gouvernement congolaise accusait alors la radio française d’"inciter les militaires à désobéir, à se révolter (...) alors que le pays est en guerre". La même raison avait été invoqué début mai lors de la coupure du signal à Bunia (Province orientale, nord-est).

L’est et le nord-est de la RDC sont le théâtre d’affrontements entre groupes armés et de violences contre les civils depuis plus d’une décennie. Le gouvernement central tente de pacifier la région mais l’armée régulière peine à imposer son autorité.


AINSI VA LA VIE EN RDC.

Quelqu’un est entrain de se suicider politiquement…
Bon sang, nous ne sommes plus dans les années 70 lol
Quelqu’un s’est trompé lol

Wait and see

Mutu azo kakta makolo ya kiti oyo a fandeli lol

Il se sent puissant, connait notre mentalité d'opportuniste (certains) donc il dérive avec joie.

TOLEKA

LE CONGO EST 1 ET INDIVISIBLE

FIERE D'ETRE ZAIROISE

ZAIROIS LAMUKA.

Au cours d´une conférence de presse et ce, par l´intermediaire de son porte-parole Mr. Lambert Mende, le gouvernement congolais a vigoureusement réagi suite à ces accusations. Les images suivront ce soir.

Dans notre pays convoité par tous les pays voisins et la Chine l’histoire a la fâcheuse tendance à se répéter. Plus ça change, plus c’est la même chose. La puissante FIDH ou Fédération internationale des ligues des droits de l’Homme, celle-là même qui a fait goûter à Jean-Pierre Bemba les "douceurs" des cellules de la CPI (Cour politique internationale), vient de donner son verdict. Il parait que la République non démocratique du Congo n’est pas une démocratie. Stupeur et tremblements !

Karel De Gucht, le néocolonialiste flamand qui parle le langage vrai l’avait déjà dit. Mais les Michel père et fils au langage perfide et au sourire mielleux et faux le contredirent illico presto. Ils voulaient même nous demander pardon au nom de la Belgique, n’est-ce pas Ségolène Royal ? Que dire de la romancière Colette Braeckman du journal belge « Le Soir ». Elle publia jusqu’à la nausée des nouvelles de science-fiction. Bref, passons.

Il parait qu’“un parfum de la période du mobutisme refleurit à Kinshasa”. Tiens, le Maréchal aurait-il donc été cloné à l’insu de son plein gré? D’après le rapport de la FIDH “Les autorités gouvernementales ont radicalisé leurs positions vis-à-vis des voix contestataires, qu’elles soient politiques, associatives, syndicalistes”. Il paraît même que notre justice est faible et corrompue devant un exécutif de plus en plus fort. Enfer et damnation ! On nous avait pourtant dit que notre justice use et abuse de son indépendance récemment acquise. C’est pourquoi des magistrats viennent d’être démis de leur fonction par l’exécutif.

D’après mon ami qui sait ce qui se passe dans tous les coins et recoins de Kinshasa la pourrie, RFI ou Radio France Internationale était déjà dans le collimateur de nos services de muselage de la presse. Malgré plusieurs avertissements cette radio a continué à dire des vérités. Or comme vous le savez, il est des vérités qui ne demandant pas de voir le jour. Ce qui ne devait pas arriver, arriva. A l’heure où nous parlons, comme on dit chez nous, le signal de la radio est coupé sur toute l’étendue du territoire. Ne vous amusez surtout pas à chercher cette radio dans votre poste. Elle est devenue inaudible malgré tous les accords signés avec notre gouvernement.

Quel bel exemple pour démontrer que FIDH a raison ? Pas étonnant dès lors que notre gouvernement soit accusé de mener une “politique systématique du harcèlement des voix dissidentes”.


Lue sur congoindépendant trop marrant la façon de commenter.

« Nous avons coupé. Il appartient à RFI de savoir ce qu’elle doit faire pour que le signal soit remis, parce que nous avons des griefs que nous avons articulés contre RFI, contre cette manière qu’avait la préposée de RFI à démobiliser nos populations qui doivent être solidaires des forces armées en campagne contre les terroristes rwandais à l’Est », a notamment souligné le porte-parole du gouvernement. Et Mende d’insister : « Cette façon qu’ils avaient [les journalistes de RFI] de démoraliser nos forces armées avec des informations alarmantes, parfois inventées de toutes pièces, ce refus systématique de nous donner le droit de réponse, donc, tout cela a fait que, puisqu’il y avait violation systématique de la loi congolaise qui interdit la démoralisation des forces armées en campagne, nous avons appliqué les principes du droit et nous avons résilié le contrat. »

Pour le gouvernement congolais, RFI devrait s’engager à appliquer les principes légaux en la matière en République Démocratique du Congo afin qu’il envisage de revenir sur sa position.

Jed pour un modus vivendi

De son coté, l'ONG de défense de droits des journalistes « Journalistes en danger », Jed, dit respecter la décision prise par le gouvernement congolais par rapport à RFI. Cependant, son président estime que les autorités congolaises devraient trouver un modus vivendi avec ce média pour que la radio émette à nouveau dans les différentes villes de la RDC.
Donat Tshimanga l’a dit à radio Okapi : « Nous respectons la décision prise par le gouvernement et que le ministre a été chargé d’annoncer. Mais, je voudrais vous dire que, une chose est certaine : RFI reviendra dans ce pays. D’abord elle continue à émettre en ondes courtes et que, en FM, RFI reviendra. Mais à quelles conditions ? Je crois que les responsables de RFI savent faire la part des choses entre ce qui est politique et ce qui est médiatique. Il y a un certain nombre de principes sur lesquels on ne transige pas en Occident en ce qui concerne la ligne éditoriale. Mais pour le reste, je crois que le gouvernement trouvera un modus vivendi avec RFI et que, RFI reviendra […] »

Ma mongo, si le jumeau de Herdegonde se comprte comme un petit nouveau dictateur, c`est parce que le gouvernement s`erige en une instition supra institutionnelle. et si les ministres et conseillers pprd et allies, le gouvernement parallele a la presidence et le cercle clanique adoptif du jeune homme s`erigent en rois, qu`en sera t-il de leur roi? il devient alors super majeste reverendissime excellencissime president n`est-ce pas?

Arafat, mon frere, ne vois tu pas que le petit n`est pas aussi intelligent que l`extreme bavard de lambert mende, mais les gens qui l`entourent font de lui un bon dictateur n`est-ce pas?

Moi vieux nanioyo, je vais disparaitre de chez lambert mende kabila jo hypo kalume john numbi ils vont me manquer pour le reste de leur vie

Le pire Goro, ils ont des kabidôlatres qui sont prêts à tuer tout ceux qui disent le contraire.

TOLEKA

LE CONGO EST 1 ET INDIVISIBLE

FIERE D'ETRE CONGOLAISE

CONGOLAIS LAMUKA

Même le général s'y met tout va bien TOKOSUKA WAPIEEEEEEEEee

Le point de presse du porte-parole du gouvernement Mr. Lambert Mende
https://www.youtube.com/watch?v=GDN8hpUUu2Q
https://www.youtube.com/watch?v=BAcWp-Y0QDY
https://www.youtube.com/watch?v=nksjkVfZkTk
https://www.youtube.com/watch?v=OSqsKO1VIr4
https://www.youtube.com/watch?v=4nPHxTRZYhU

Le même larron en foire, Mende OMALANGA, opposant à Mobutu qui prennait partie pour les HUMAN RIGHTS dans le temps, aujourd'hui parce qu'il se retrouve du côté du pouvoir, il se paye le luxe de les critiquer !!! Un vrai couard.
Nous ne méritons pas des politiciens de pacotille comme ce Mende, un pratiquant de la "danse du ventre".
Mawaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa !!!

tatilôtétatoux.

La paix rien que la paix. les morts, les viols les souffrances des congolais un détail chez Kabila.

TOLEKA

LE CONGO EST 1 ET INDIVISIBLE

FIERE d'ETRE CONGOLAISE

CONGOLAIS LAMUKA

Un president anaphabete !!! Sans bagage,ni culture,entoure des cupides cleptomanes
le pays est en voie de sous-developement

Ces images du terrain disent tout de la triste réalité du Nord-Kivu, du Sud-Kivu et de la Province Orientale. Jusque-là il n’y a que les évêques catholiques congolais qui ont trouvé le mot juste qui qualifie cette réalité de « Génocide ». La presse libre et indépendante de par le monde ne dit pas le contraire. Elle va jusqu’à donner le nom de l’idéologue de l’holocauste de l’Est de la R.D. Congo : Walter Kansteiner, un homme politique américain qui a conçu en 2001 pour les intérêts des USA, le plan du déplacement forcé des populations congolaises habitant la partie orientale de la R.D. Congo pour laisser la place aux Tutsi qui reviendront de leur diaspora comme des sionistes vers leur Sion, le Kivu, où coulent le coltan, le gaz méthane, le pétrole, et tous les minerais précieux du XXIème siècle. C’est ainsi que le processus de démocratisation du Congo trouve toujours un dernier blocage à l’Est du pays. Mais les congolais tiennent tête à ce plan machiavélique qui est à sa phase d’infiltration des institutions congolaises. La première vague d’infiltration a eu lieu avec le dialogue intercongolais et la formation du gouvernement d’union nationale. La deuxième phase qui concerne les militaires, a eu lieu lors des opérations de brassage et de mixage avec les rebelles du CNDP de Nkunda. La troisième phase d’infiltration a eu lieu avec les opérations militaire conjointes Umoja Wetu de Février 2009 pendant lesquelles des milliers des rwandais (civils, Militaires, vaches) sont entrés au Kivu. Le nombre des Tutsi de Rubare en Territoire de Rutshuru a déjà triplé depuis Février 2009. La partie du Graben qui part du Lac Vitshumbi jusqu’à Eringeti est aujourd’hui, selon les témoignages des paysans, parsemée de colonies des Tutsi armés qui tantôt opèrent comme FDLR, tantôt comme Nalu/ADF, tantôt comme Fardc… Les sans-abris de Mayangos de Beni disent qu’ils se disputent leurs champs avec ces forces d’occupation bien armées. Le silence de toutes les autorités de tutelle du parc national des Virunga, s’explique par cet état des choses. La quatrième phase, est en cours de préparation… La purge à laquelle on assiste dans toutes les institutions de la République en assure les préparatifs en douceur…


Les images sur Béni lubéro

Je pensais avoir tout copié le reste sur Béni lubéro.

Mathy pourquoi je n'arrive pas à copier les images ? merci.

Il y a des moments où je me dis que un peuple normal qui subit tout ça se révolte mais on est passif nini yangoooooooo koloka te? grrrrrrrrr

SCANDALE A KINSHASA:
VOUS AVEZ DIT ETAT DE DROIT? OLIVE KABILA ARRACHE DES TERRAINS ET ORDONNE LA DESTRUCTION DE MAISONS A KITAMBO MAGASIN
Kinshasa, 06/08/2009

Au Congo de Joseph Kabila ce "Parfum de Mobutisme" dont a fait référence récemment la Libre Belgique, n' est pas seulement une théorie mais une pratique ahurissante.

Les vieux abus de la Deuxième République font brutalement surface anéantissant les droits des citoyens.

Voilà un cas d'école qui vient de se passer ce matin 06/08/2009 à Kitambo Magasin.

On a vu un grand déferlement d'engins s'orienter vers Kitambo Magasin, Avenue Kwango, en direction d' une maison appartenant à M. Kabuka, propriétaire du terrain ainsi que de la maison qu'y est construite.

Sans aucune forme ni de préavis ou bien de document légal, le Ministre Provincial des Affaires Foncières en connivence avec un Général de la Police, un certain Lifika, a ordoné et detruit sur le champ la maison de M. Kabuka, actuellement en deplacement à l'intérieur du pays et - toujours sur le champ et sans aucune forme d'appropriation juridique ayant valeur selon le droit foncier - commincer à construir "immédiatement" une maison qu'ils sont en train de constrire pour M.me Olive Kabila...

Vous pouvez imaginer la désolation de M Kabuka, qui detient tous les documents de propriété de sa maison et de son terrain, quand il a appris la nouvelle de la dstruction anarchique de sa maison et de l'appropriation de fait par M.me Olive Kabila de son terrain ...

Nous esperons que le Général en question, en connivence avec le Ministre Provincial des Affaires Foncières, fassent du trafique d'influence pour essayer de couvrir leur forfaiture qui les expose - entre autre - à des poursuites penales.

Néanmoins, selon ceux qui sont descendus sur place, la maison déjà en construction le jour même de la destruction de la maison de M Kabuka, serait construite avec financement et sur ordre de M.me Olive ....

Depechés sur place, les avocats de M. Kabuka ont souligné l'illegalité tant de l'ordre de mission des policiers descendus en masse sur le terrain de M Kabuka ainsi que de l'ordre de démolition signé par le Ministre Provincial des Affaires Foncieres - sans en informer le Ministre du Gouvernement Central qui s'est déjà declaré non saisi par cette opération abusive - et ont du faire appelle à l'auditorat militaire pour essayer de faire arreter ce scandale, même si le nom du Général qui est derrière à cette destruction mechante et tentative de spoliation sur fond de trafique d'influence, fait craindre que la justice militaire demeure inerte malgré le flagrant de destruction mechante et spoliation de la propriété d'autrui.

Voilà ce qui se passe tous les jours en R.D. Congo: n'importe qui peut se cacher derrière un Général et une autorité politique et anarchiquement et sans aucun titre juridique vous spolier de votre bien en detruisant en plus votre maison.

A ce stade, ce n 'est plus qu' "un parfum de mobutisme" dont il s'agit mais bel et bien d'un retour des anciennes pratiques de chosification des citoyens congolais privés par la violence et la corruction, de leurs droits fondamentaux et même de la propriété.

Dans quel Etat de droit, l'épouse d'un Président peut se reveiller un matin et sans aucune forme ni de préavis ni voie légale, detruir le fruit du travail d'une vie d'un citoyen congolais et le déposséder de sa propriété ?

Comment demander à la diaspora congolaise de rentrer au pays et y investir si n'importe quel detenteur de pouvoir - politique ou militaire - peut tout simplement vous déposséder de vos biens légalement acquis?

L'insécurité juridique dans laquelle vivent tous les jours les congolais ne fait que augmenter la tension sociale dans le pays où, en pleine Kinshasa, rien ne peut vous protéger face à l'arbitraire d'un classe politique amorale et corrompue: ni la force publique, au service du plus offrant, ni la Justice, paralysée face au pouvoir militaire ou politique.

Et que tout cela se fasse sous couvert du nom de la femme d'un Chef d'Etat, rend le desespoir des congolais encore plus grand.

Norbert Nkuba,

Un congolais scandalisé



Mme s'y met aussi vive la RDC

LE COUPLE DE VOLEURS PRESIDENTIELS:
Ceux qui ont l’habitude ou plutôt la mission de tourner systématiquement à la dérision les
annonces et les avertissements de Monsieur Honoré Ngbanda contre les activités des
ennemis de notre pays et de notre peuple sont en train de déchanter. Car son dernier cri
d’appel à la classe politique congolaise assorti des faits démontrant la duplicité de « Kabila »
dans la prétendue « lutte contre la corruption» a plutôt fait l’effet d’une véritable bombe dans
les milieux officiels concernés à Kinshasa. Dès le lendemain de la parution de son appel,
voulant étouffer le scandale, la ministre du Portefeuille, Jeanine Mabunda, « sur instruction
de la Hiérarchie » (c’est l’expression à la mode à Kinshasa semble-t-il), procéda à la
suspension du DGA de la SONAS , Monsieur Herman MBOYO, pour «mauvaise gestion».
Mais rien n’y fit ! La tentative de sauvetage du couple présidentiel par Madame la ministre
est arrivée trop tard. Les fonctionnaires de la SONAS alertés étaient déjà à l’œuvre. Des
cadres patriotes congolais au sein de cette entreprise d’Etat avaient déjà réussi à soutirer une
copie du rapport d’audit interne qui sera clôturée dans quelques jours. La lecture de ce
document accablant dont nous gardons secrètement la copie pour couvrir nos sources, prouve
clairement l’implication de Mme Olive Lembe dans une vaste opération d’escroquerie de
l’Etat congolais.

Une ONG pour mieux racketer la SONAS
Voici quelques éléments révélateurs contenus dans ce contrat
maffieux signé entre la SONAS et l’ONG A.S.B. FILLAIRE, et que
nous diffusons pour les compatriotes congolais, dans le but de
30% contraindre la justice congolaise à ne pas cacher la vérité au peuple congolais :

1. L’ONG A.S.B. FILLAIRE qui est enregistrée en Afrique du Sud, est donc une ONG
sud africaine, représentée en RDC par Madame Olive Lembe, conformément à l’acte de
partenariat signé avec la SONAS le 22 Octobre 2008, et dans lequel acte la SONAS a
été représentée de son côté par son ADG Monsieur Willy Bakonga;

2. Selon le dit acte de «partenariat », l’ONG A.S.B. FILLAIRE avait reçu le marché pour
couvrir les missions suivantes pour le compte de la SONAS :

a) Etude, évaluation et réparation des sinistres. Autrement dit, la fixation des
indemnités allouées aux sinistrées de la SONAS ;

b) Assurance santé de tous les voyageurs en RDC tant pour les voyages
domestiques qu’internationaux ;

c) La couverture d’assurance pour les entreprises congolaises génératrices des
recettes de l’Etat dont notamment : l’OFIDA, l’OCC (Office congolais du
contrôle), la R.V .A. ( la Régie des voies aériennes), l’OGEFREM, La
R.V.M. ( la Régie des voies maritimes) et la D.G .I.

d) La couverture d’assurance pour les deux grands centres hospitaliers de
Kinshasa que sont l’Hôpital général de Kinshasa (ex-Mama Yemo) et la
Clinique de Ngaliema.

Pour la couverture de tous ses secteurs concédés à l’ONG représentée par Olive Lembe,
la SONAS lui rétrocède, tenez-vous bien, 30% de ses recettes mensuelles !

Depuis que ce contrat est mis en exécution depuis le mois
d’octobre 2008, la SONAS rétrocède chaque mois les 30%
de ses recettes à l’ONG A.S.B. FILLAIRE, alors que cette
dernière n’entreprend aucun travail dans les divers
secteurs stratégiques cités ci-dessus ! Bien au contraire,
des irrégularités flagrantes et des cas de détournements
scandaleux ont été constaté par le rapport d’audit. Tel par
exemple le cas d’indemnisation du sinistre intervenu dans la
Commune de Bumbu. La SONAS avait déboursé au mois
d’octobre 2008 la somme de 150 000 $ américains qu’elle a
remis à l’A.S.B. FILLAIRE en faveur des sinistrés. L’audit
a constaté que le Bourgmestre de la Commune de Bumbu
n’a réceptionné qu’une modique somme de 10 000 $
seulement !

Quelques œuvres de charité pour mieux endormir les congolais !
Eh oui, notre « première dame » a développé un véritable talent pour l’arnaque aux côtés de
son mari rwandais. Connaissant la naïveté des congolais, elle investit chaque fois qu’elle le
peut les lieux qui lui permettent de toucher la corde sensible de ses compatriotes. C’est ainsi
qu’on l’a vu dans des églises remplies de ces mêmes congolais qui vivent avec moins d’un
dollar par jour, et dont les enfants se prostituent pour un repas, alors qu’elle se permet de
détourner près de 800 000 $ par mois, au moins, puisque le racket de la SONAS n’est pas
son seul forfait !

Mais pour endormir les kinois, la télévision kabiliste affiche de temps en temps la
« généreuse Maman Olive» en train de faire des dons des cahiers aux pauvres élèves (dont
son mari ne paie pas les eneignants), des bancs aux écoles, pour soutenir …les « cinq
chantiers » fictifs de notre imposteur national ! Toutefois, l’œil du Patriote est déterminé à
suivre de très près l’évolution de ce dossier. Qui a dit que « Joseph Kabila » était décidé à
éradiquer la corruption en RDC ? Quelle blague !
Paris, le 11 Août 2009
Candide OKEKE
L’ŒIL DU PATRIOTE[/size]
SOURCE: http://www.aparecordc.org

Le “JT en lingala facile” jugé “suspect”
Posted on 14 juillet 2009 by Franck Baku

Les jours du « Journal télévisé en lingala facile » seraient-ils comptés ? C’est la lancinante et angoissante question qui se pose à la suite d’une campagne menée de façon sournoise par ceux qui se sentent mal à l’aise à la suite des faits relatés par ce JT d’un genre nouveau diffusé sur la très officielle 2ème chaîne de télévision de la Radiotélévision nationale congolaise (RTNC) et repris par d’autres chaînes privées.
Selon certaines indications, le message diffusé par le « JT en lingala facile » serait devenu incontrôlable, au point qu’il pourrait sérieusement entamer la crédibilité du pouvoir en place qui fait pourtant des « 5 chantiers de la République » sa ligne d’attaque en prévision des prochaines échéances électorales. Mais quand l’équipe de Zacharie Bababaswe s’attarde longuement sur les désagréments de la vie quotidienne des Congolais, mieux des Kinois, tout s’écroule. En effet, on peut bien monter de beaux et bons slogans, esquisser le meilleur plan média qui soit, mais si sur le terrain les Kinois ne perçoivent aucun changement, tout devient aléatoire et se réduit à des slogans sans impact réel.
Le « JT en lingala facile » montre des faits têtus, des faits de société qui sont autant de témoignages qu’il y a trop de choses qui ne marchent pas dans ce pays. Le « JT en lingala facile » excelle quand un quartier, mieux toute une commune, manque d’eau et d’électricité durant des mois. ; quand les routes sont inexistantes et qu’à la place ne survivent que des trous béants; quand la voirie fait cruellement défaut au point que les eaux stagnent ; quand à la moindre petite pluie les rues deviennent boueuses et sont inondées au point de bloquer la circulation durant des heures ; quand des sachets en plastique enlaidissent la ville ; quand des immondices s’amoncèlent même dans des quartiers dits résidentiels de grand standing ; quand des restaurants de fortune ainsi que des garages sont implantés n’importe où ; quand des crimes sont commis dans la ville par des gangs de voyous appelés » kuluna »… Bref, quand rien ne marche, le « JT en lingala facile » se saisit, en quelque sorte, du dossier et en fait son affaire. Dans un langage qui leur est propre, les chroniqueurs de ce JT donnent du relief parfois à de petits faits d’actualité. C’est ce qui fait le succès éclatant de ce programme d’information. Toutefois, tout n’est pas que noire dans ce « JT ». Des faits positifs, exemplaires sont aussi largement exploités.
Qu’on l’aime ou qu’on ne l’aime pas, Zacharie Bababaswe a su tirer son épingle du jeu, au point que son « JT en lingala facile » cartonne, comme diraient les artistes-musiciens. Mais alors, qu’est-ce qui fait que son programme soit l’objet d’une surveillance si attentive ? Selon certaines indications, des bonzes du pouvoir estiment que le message du « JT en lingala facile » serait défavorable au pouvoir, dans la mesure où il annihile tous les messages distillés pour faire croire que le gouvernement travaille effectivement. Le « JT en lingala facile », lui, montre, images à l’appui, que tout cela n’est pas vrai. On ne serait pas étonné si un de ces matins, on apprenait que le producteur du « JT en lingala facile » est sommé de clarifier la ligne éditoriale de cette émission d’information et de se cantonner dans un schéma qui ne porte pas atteinte aux intérêts du pouvoir. Tout cela parce que quelque part, on est convaincu que le « JT en lingala facile » est une émission de contre-propagande contre le pouvoir en place. Dur, dur de faire son boulot dans ce pays, la RDC. Comme le disent les chroniqueurs du JT en lingala facile: “match oyo eza wooooohhoooo“

Franck Baku

Archivé sous: Politique RDC, société | Tagué : Congolais, JT en lingala facile, Kinois, Kinshasa, RDC, Zacharie Bababaswe

Alors que la fameuse Constitution de Liège garantit le droit de manifester aux Congolais, la pieuvre maffieuse de l'Alliance pour maintenir les Prédateurs ne l'entend pas de cette oreille. L'AMP-Parti-Etat refuse à l'opposition extraparlementaire de manifester, cette autorisation n'est accordée qu'aux thuriféraires du régime (partis alimentaires et associations) avec pour objectif d' encenser au passage les prédateurs qui gouverne la République démocratique du Congo.

En effet, le lundi 24 août 2009, l'opposition extraparlementaire a organisé à Kinshasa, une marche pacifique avec pour thème " Congo Pasi Eleki" qui a été réprimée et dont les acteurs politiques ont fini au poste de police de Kalamu.

Christian Badibangi, président de l'Union Socialiste Congolaise (USC), Gaston Dindo, président du Mouvement pour la démocratie et le changement (MDC), Gabriel Mokia, président du Mouvement des démocrates Congolais (MDCO) qui a été libéré du Centre pénitentiaire et de rééducation, ex-prison de Makala, le samedi 13 juin 2009 après 10 mois et 15 jours pour atteinte au chef de l'Etat, et Paka Bissel de l'ODAC ont été arrêtés à 12h15 au niveau de la place de la Victoire alors que les manifestants se rendaient vers le Boulevard triomphal pour déboucher au niveau du Palais du Peuple, siège du parlement godillot-AMP.

Les leaders de l'opposition extraparlementaires ont été enfermé au cachot de la Commune de kalamu. Cédant aux fortes pressions, ils ont été relâchés à 17h40.

Les manifestants ont été violemment bastonné, certains ont encore les visages tuméfiées.

C'est un Christian Badibangi serein et déterminé que nous avons eu au téléphone, l'opposition extraparlementaire compte organiser une autre marche pour le lundi 7 septembre 2009.

Face à une dictature qui veut arracher aux Congolais, les libertés et droits qu'ils avaient gagné à Mobutu et Laurent-Désiré kabila, l'opposition extraparlementaire espère faire entendre la voix des Congolais face à un pouvoir autiste, issu des élections Louis Michel de 2006 qui se croit tout permis puisque légitime.

Les confrères qui avaient filmé la manifestation dont ceux de Nzondo Tv ont vu leurs caméras arrachées et la bande du film de la manifestation mis à la poubelle. Le 7 septembre prochain, les manifestants ne risquent-ils pas de connaitre une répression sans précédent ?Alors que la fameuse Constitution de Liège garantit le droit de manifester aux Congolais, la pieuvre maffieuse de l'Alliance pour maintenir les Prédateurs ne l'entend pas de cette oreille. L'AMP-Parti-Etat refuse à l'opposition extraparlementaire de manifester, cette autorisation n'est accordée qu'aux thuriféraires du régime (partis alimentaires et associations) avec pour objectif d' encenser au passage les prédateurs qui gouverne la République démocratique du Congo.

En effet, le lundi 24 août 2009, l'opposition extraparlementaire a organisé à Kinshasa, une marche pacifique avec pour thème " Congo Pasi Eleki" qui a été réprimée et dont les acteurs politiques ont fini au poste de police de Kalamu.

Christian Badibangi, président de l'Union Socialiste Congolaise (USC), Gaston Dindo, président du Mouvement pour la démocratie et le changement (MDC), Gabriel Mokia, président du Mouvement des démocrates Congolais (MDCO) qui a été libéré du Centre pénitentiaire et de rééducation, ex-prison de Makala, le samedi 13 juin 2009 après 10 mois et 15 jours pour atteinte au chef de l'Etat, et Paka Bissel de l'ODAC ont été arrêtés à 12h15 au niveau de la place de la Victoire alors que les manifestants se rendaient vers le Boulevard triomphal pour déboucher au niveau du Palais du Peuple, siège du parlement godillot-AMP.

Les leaders de l'opposition extraparlementaires ont été enfermé au cachot de la Commune de kalamu. Cédant aux fortes pressions, ils ont été relâchés à 17h40.

Les manifestants ont été violemment bastonné, certains ont encore les visages tuméfiées.

C'est un Christian Badibangi serein et déterminé que nous avons eu au téléphone, l'opposition extraparlementaire compte organiser une autre marche pour le lundi 7 septembre 2009.

Face à une dictature qui veut arracher aux Congolais, les libertés et droits qu'ils avaient gagné à Mobutu et Laurent-Désiré kabila, l'opposition extraparlementaire espère faire entendre la voix des Congolais face à un pouvoir autiste, issu des élections Louis Michel de 2006 qui se croit tout permis puisque légitime.

Les confrères qui avaient filmé la manifestation dont ceux de Nzondo Tv ont vu leurs caméras arrachées et la bande du film de la manifestation mis à la poubelle. Le 7 septembre prochain, les manifestants ne risquent-ils pas de connaitre une répression sans précédent ?