SADC : le point de presse du président de la république
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Cour Supreme
Arafat
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SADC : le point de presse du président de la république
Le président de la république a tenu un point de presse à l´issue du sommet de la SADC
https://www.dailymotion.com/user/1ARAFAT/video/xafmth_point-de-presse-12_news
https://www.dailymotion.com/user/1ARAFAT/video/xafnbo_point-de-presse-22_news
Quelques autres faits saillants de ce sommet
https://www.dailymotion.com/user/1ARAFAT/video/xafpkx_banquet-sadc_news
https://www.dailymotion.com/user/1ARAFAT/video/xafoav_sadc_news
https://www.dailymotion.com/user/1ARAFAT/video/xafmth_point-de-presse-12_news
https://www.dailymotion.com/user/1ARAFAT/video/xafnbo_point-de-presse-22_news
Quelques autres faits saillants de ce sommet
https://www.dailymotion.com/user/1ARAFAT/video/xafpkx_banquet-sadc_news
https://www.dailymotion.com/user/1ARAFAT/video/xafoav_sadc_news
Arafat
Re: SADC : le point de presse du président de la république
Arafat, J'aurai bien voulu suivre mais Dailymotion ne prend pas ds mon bureau...dommage...
Cour Supreme
Re: SADC : le point de presse du président de la république
merci pour les liens.
Kabila s'est debrouillé pas mal puisqu'il est bi-lingue .
On verra la suite.
Kabila s'est debrouillé pas mal puisqu'il est bi-lingue .
On verra la suite.
lino
Re: SADC : le point de presse du président de la république
Il ment quand il dit que tout va bien avec ses voisins.
Dans un communiqué transmis à l’AFP mercredi, les Forces démocratiques de libération du Rwanda (FDLR) "publient une liste non exhaustive" de ces réfugiés hutu "sauvagement assassinés par les militaires de la coalition de l’APR (armée rwandaise) et des FARDC (armée congolaise)" du 4 Juillet au 25 août dans la province du Nord-Kivu.
Les FDLR donnent l’identité de 33 d’entre eux, dont des femmes et des enfants, ainsi que les noms des localités concernées, dans les territoires de Masisi, Kalehe et Walikale.
Les FDLR s’indignent de ces "massacres" perpétrés, selon eux, avec "la complaisance et le silence complice" de la communauté internationale, en particulier de la Mission de l’ONU au Congo (Monuc).
La rébellion "demande qu’une enquête internationale indépendante soit diligentée afin d’en identifier les auteurs et les traduire en justice".
Quelque 4 à 6.000 combattants FDLR se trouvent dans les provinces congolaises du Nord et du Sud-Kivu, frontalières de la RDC. Certains ont participé au génocide de 1994 contre la minorité tutsi au Rwanda avant de s’installer dans l’Est de la RDC, une des régions les plus instables du pays, où ils sont accusés de perpétrer de nombreuses violences contre les populations civiles congolaises.
Autrefois supplétifs des forces gouvernementales congolaises, les rebelles hutus rwandais sont aujourd’hui poursuivis par l’armée de Kinshasa et de Kigali, appuyée par les Casques bleus de l’ONU essentiellement pour la logistique.
Les FDLR donnent l’identité de 33 d’entre eux, dont des femmes et des enfants, ainsi que les noms des localités concernées, dans les territoires de Masisi, Kalehe et Walikale.
Les FDLR s’indignent de ces "massacres" perpétrés, selon eux, avec "la complaisance et le silence complice" de la communauté internationale, en particulier de la Mission de l’ONU au Congo (Monuc).
La rébellion "demande qu’une enquête internationale indépendante soit diligentée afin d’en identifier les auteurs et les traduire en justice".
Quelque 4 à 6.000 combattants FDLR se trouvent dans les provinces congolaises du Nord et du Sud-Kivu, frontalières de la RDC. Certains ont participé au génocide de 1994 contre la minorité tutsi au Rwanda avant de s’installer dans l’Est de la RDC, une des régions les plus instables du pays, où ils sont accusés de perpétrer de nombreuses violences contre les populations civiles congolaises.
Autrefois supplétifs des forces gouvernementales congolaises, les rebelles hutus rwandais sont aujourd’hui poursuivis par l’armée de Kinshasa et de Kigali, appuyée par les Casques bleus de l’ONU essentiellement pour la logistique.
Dans un communiqué transmis à l’AFP mercredi, les Forces démocratiques de libération du Rwanda (FDLR) "publient une liste non exhaustive" de ces réfugiés hutu "sauvagement assassinés par les militaires de la coalition de l’APR (armée rwandaise) et des FARDC (armée congolaise)" du 4 Juillet au 25 août dans la province du Nord-Kivu.
Les FDLR donnent l’identité de 33 d’entre eux, dont des femmes et des enfants, ainsi que les noms des localités concernées, dans les territoires de Masisi, Kalehe et Walikale.
Les FDLR s’indignent de ces "massacres" perpétrés, selon eux, avec "la complaisance et le silence complice" de la communauté internationale, en particulier de la Mission de l’ONU au Congo (Monuc).
La rébellion "demande qu’une enquête internationale indépendante soit diligentée afin d’en identifier les auteurs et les traduire en justice".
Quelque 4 à 6.000 combattants FDLR se trouvent dans les provinces congolaises du Nord et du Sud-Kivu, frontalières de la RDC. Certains ont participé au génocide de 1994 contre la minorité tutsi au Rwanda avant de s’installer dans l’Est de la RDC, une des régions les plus instables du pays, où ils sont accusés de perpétrer de nombreuses violences contre les populations civiles congolaises.
Autrefois supplétifs des forces gouvernementales congolaises, les rebelles hutus rwandais sont aujourd’hui poursuivis par l’armée de Kinshasa et de Kigali, appuyée par les Casques bleus de l’ONU essentiellement pour la logistique.
Les FDLR donnent l’identité de 33 d’entre eux, dont des femmes et des enfants, ainsi que les noms des localités concernées, dans les territoires de Masisi, Kalehe et Walikale.
Les FDLR s’indignent de ces "massacres" perpétrés, selon eux, avec "la complaisance et le silence complice" de la communauté internationale, en particulier de la Mission de l’ONU au Congo (Monuc).
La rébellion "demande qu’une enquête internationale indépendante soit diligentée afin d’en identifier les auteurs et les traduire en justice".
Quelque 4 à 6.000 combattants FDLR se trouvent dans les provinces congolaises du Nord et du Sud-Kivu, frontalières de la RDC. Certains ont participé au génocide de 1994 contre la minorité tutsi au Rwanda avant de s’installer dans l’Est de la RDC, une des régions les plus instables du pays, où ils sont accusés de perpétrer de nombreuses violences contre les populations civiles congolaises.
Autrefois supplétifs des forces gouvernementales congolaises, les rebelles hutus rwandais sont aujourd’hui poursuivis par l’armée de Kinshasa et de Kigali, appuyée par les Casques bleus de l’ONU essentiellement pour la logistique.
Dans un communiqué transmis à l’AFP mercredi, les Forces démocratiques de libération du Rwanda (FDLR) "publient une liste non exhaustive" de ces réfugiés hutu "sauvagement assassinés par les militaires de la coalition de l’APR (armée rwandaise) et des FARDC (armée congolaise)" du 4 Juillet au 25 août dans la province du Nord-Kivu.
Les FDLR donnent l’identité de 33 d’entre eux, dont des femmes et des enfants, ainsi que les noms des localités concernées, dans les territoires de Masisi, Kalehe et Walikale.
Les FDLR s’indignent de ces "massacres" perpétrés, selon eux, avec "la complaisance et le silence complice" de la communauté internationale, en particulier de la Mission de l’ONU au Congo (Monuc).
La rébellion "demande qu’une enquête internationale indépendante soit diligentée afin d’en identifier les auteurs et les traduire en justice".
Quelque 4 à 6.000 combattants FDLR se trouvent dans les provinces congolaises du Nord et du Sud-Kivu, frontalières de la RDC. Certains ont participé au génocide de 1994 contre la minorité tutsi au Rwanda avant de s’installer dans l’Est de la RDC, une des régions les plus instables du pays, où ils sont accusés de perpétrer de nombreuses violences contre les populations civiles congolaises.
Autrefois supplétifs des forces gouvernementales congolaises, les rebelles hutus rwandais sont aujourd’hui poursuivis par l’armée de Kinshasa et de Kigali, appuyée par les Casques bleus de l’ONU essentiellement pour la logistique.
Les FDLR donnent l’identité de 33 d’entre eux, dont des femmes et des enfants, ainsi que les noms des localités concernées, dans les territoires de Masisi, Kalehe et Walikale.
Les FDLR s’indignent de ces "massacres" perpétrés, selon eux, avec "la complaisance et le silence complice" de la communauté internationale, en particulier de la Mission de l’ONU au Congo (Monuc).
La rébellion "demande qu’une enquête internationale indépendante soit diligentée afin d’en identifier les auteurs et les traduire en justice".
Quelque 4 à 6.000 combattants FDLR se trouvent dans les provinces congolaises du Nord et du Sud-Kivu, frontalières de la RDC. Certains ont participé au génocide de 1994 contre la minorité tutsi au Rwanda avant de s’installer dans l’Est de la RDC, une des régions les plus instables du pays, où ils sont accusés de perpétrer de nombreuses violences contre les populations civiles congolaises.
Autrefois supplétifs des forces gouvernementales congolaises, les rebelles hutus rwandais sont aujourd’hui poursuivis par l’armée de Kinshasa et de Kigali, appuyée par les Casques bleus de l’ONU essentiellement pour la logistique.
mongo elombe
rdc avec des armes
Qu'ils retournent chez eux pour etre jugé ce FDLR.
Ils sejournent au Congo en toute illegalité :violent,volent pillent la population locale.
Ils sejournent au Congo en toute illegalité :violent,volent pillent la population locale.
lino
Re: SADC : le point de presse du président de la république
Mr LINO
Si les FDLR pouvaient aussi publier le nombre des villages brûllés, les nombres des congolaises violées, le nombre des congolais morts depuis qu´eux les rwandais Hutus pensent que le Kivu est une partie du Rwanda qu´ils doivent defendre ..alors nous allons comprendre leur reclamations
Pourquoi cette "exception" mr LINO
Pouvez-vous nous aider á comprendre pourquoi les FDLR "terroristes" qui massacrent les congolais depuis des années, peuvent tout simplement "retourner" au Rwanda, sans procès, sans jugements, sans poursuites judiciaires, sans être tout simplement jugés comme criminels de guerre..ou même sans qu´un seul d´entre eux se retrouve á la CPI
Troll cherche depuis des mois á comprendre cette exception dont beneficient les FDLR
JOE
Il ne demande pas de l´aide de la SADC dans cette guerre que la RDC mene au Kivu et dans le Nord de l´Ituri..et pourtant, ce n´est qu´un petit "droit" pour la RDC comme pays membre de beneficier d´une assistance "militaire" de la part de la SADC
Si les FDLR pouvaient aussi publier le nombre des villages brûllés, les nombres des congolaises violées, le nombre des congolais morts depuis qu´eux les rwandais Hutus pensent que le Kivu est une partie du Rwanda qu´ils doivent defendre ..alors nous allons comprendre leur reclamations
Pourquoi cette "exception" mr LINO
Pouvez-vous nous aider á comprendre pourquoi les FDLR "terroristes" qui massacrent les congolais depuis des années, peuvent tout simplement "retourner" au Rwanda, sans procès, sans jugements, sans poursuites judiciaires, sans être tout simplement jugés comme criminels de guerre..ou même sans qu´un seul d´entre eux se retrouve á la CPI
Troll cherche depuis des mois á comprendre cette exception dont beneficient les FDLR
JOE
Il ne demande pas de l´aide de la SADC dans cette guerre que la RDC mene au Kivu et dans le Nord de l´Ituri..et pourtant, ce n´est qu´un petit "droit" pour la RDC comme pays membre de beneficier d´une assistance "militaire" de la part de la SADC
GHOST
Re: SADC : le point de presse du président de la république
Mr Troll.
En lisant le Blog de Colette BRAECKMAN,
http://blogs.lesoir.be/colette-braeckman?s=fdlr
L'AFRICOM depuis l'arrivé de Mr OBAMA cherche à aider l'armée congolaise à chasser et neutraliser les FDLR et ALS .
L'idée des opérations avec l'armée rwandaise était bien cela à servi à LIQUIDER les principaux chefs sans jugement.Dommage que l'assmblée nationale n'a pas soutenue cette coallition.
Voyons voir la suite avec l'AFRICOM ce que cela va donner comme résultat.
En lisant le Blog de Colette BRAECKMAN,
http://blogs.lesoir.be/colette-braeckman?s=fdlr
Très discrètement, des spécialistes en matière de transmission sont également à l’oeuvre. A l’aide d’images satellite, ils assistent les forces armées congolaises à localiser les lieux où se concentrent les combattants hutus des FDLR (Forces démocratiques pour la libération du Rwanda).
Depuis janvier, lorsque l’administration Obama est entrée en fonctions, les Américains insistent auprès des Congolais pour que l’armée s’attaque au problème posé dans l’Uéle par l’Armée de libération du Seigneur, une milice soudanaise, et au Kivu par les FDLR. En dépit des rapports faisant état de représailles à l’encontre des populations civiles, les Etats Unis continuent à encourager l’option militaire, tandis qu’Alan Doss, le patron de la Monuc, a reconnu que de réels progrès avaient été enregistrés sur le terrain.
L'AFRICOM depuis l'arrivé de Mr OBAMA cherche à aider l'armée congolaise à chasser et neutraliser les FDLR et ALS .
L'idée des opérations avec l'armée rwandaise était bien cela à servi à LIQUIDER les principaux chefs sans jugement.Dommage que l'assmblée nationale n'a pas soutenue cette coallition.
Voyons voir la suite avec l'AFRICOM ce que cela va donner comme résultat.
lino
Re: SADC : le point de presse du président de la république
Je ne sais pas meme pourquoi vous donnez l'importance a ce garcon(Kabila)il racconte tellement des sottises:il bafoue des mots en regardant a gauche et droite sans savoir reelement ce que il veut dire...
Immaginez vous un point de presse ou Kabila et Obama doivent repondre aux journalistes du monde entier...la vous allez voir que ce garcon est un farceur.
Immaginez vous un point de presse ou Kabila et Obama doivent repondre aux journalistes du monde entier...la vous allez voir que ce garcon est un farceur.
'
Re: SADC : le point de presse du président de la république
Fais-tu allusion au président de la république?Immaginez vous un point de presse ou Kabila et
Obama doivent repondre aux journalistes du monde entier...la vous allez
voir que ce garcon est un farceur.
Arafat
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