AMNISTIE POUR FAITS DE GUERRE ET INSURRECTIONNELS A L’EST !!!

"Malumalu a échoué !"
° http://www.laprosperiteonline.net/affichage_article.php?id=5383&rubrique=La%20Une

"Les Fardc à l’heure des commandants rwandais
° http://www.benilubero.com/index.php?option=com_content&task=view&id=1175&Itemid=48
Dans nos écrits passés nous vous informions de la stratégie d’occupation progressive du Nord-Kivu, notamment de l’armée par les rwandais du CNDP. Pour rappel, cette stratégie consiste à faire venir du Rwanda des cadres universitaires qui, après trois mois de formation militaire dans les maquis de Rutshuru, sont envoyés dans les camps de brassage des Fardc d’où ils sortent sans aucune peine avec des grades d’officiers de l’armée congolaise. La suite à cela c’est l’affectation par l’hiérarchie militaire congolaise de ces oiseaux rares aux postes de commandements de l’armée au Nord-Kivu. Si le brassage est perçu comme un moyen de ramener au bercail les soldats égarés par la rébellion de Nkunda, la question qui demeure est celle de savoir pourquoi, une fois brassés, ces soldats amnistiés de Nkunda ne sont affectés qu’au Nord-Kivu et pourquoi seulement parmi eux l’hiérarchie militaire congolaise choisisse les commandants des brigades (à part la sixième brigade de Rutshuru) et des bataillons en poste au Nord-Kivu ?

La réponse est simple. Les commandants Tutsi ont une mission à accomplir au Nord-Kivu. Profitant de leurs complices au sein du gouvernement congolais, ils utilisent les institutions du pays pour maquiller de démocratie leurs opérations d’occupation du Nord-Kivu. C’est ainsi que toute guerre lancée par l’armée congolaise contre le CNDP est toujours perdue d’avance car les brigades engagées contre Laurent Nkunda sont commandées par ses anciens recrus et frères infiltrés dans les rangs des Fardc. Ce fait explique pourquoi les soldats qui se disent rwandophones refusent de quitter le Nord-Kivu après le mixage ou le brassage car leur objectif est l’occupation du Nord-Kivu. Comme on peut le voir, cette occupation est rendue possible par le gouvernement congolais. Chaque fois que les congolais s’en prennent à Nkunda ou aux rwandais, ils doivent en même temps s’en prendre aux complices de Nkunda dans le gouvernement, le sénat et le parlement congolais. La liste est longue et mérite un article à part..."



Compatriotiquement!

Je ne suis pas tres famillier avec Beni Lubero, J'ai vu qlq part, je ne sais pas si c'etait ici ou de l'autre cote ou on critiquait les proprietaires eux-mm. Cela n'empeche qu'ils nous aient presente un recis tres eloquent, en citant des noms, Pour ceux qui pourront s'y opposer, on ne peut q demander des preuves.

En ce qui me concerne, je ne sais plus q dire, car il me semble q Nkunda a termine et la carrotte et le baton, maintenant on ne sait pas soki to ko memela ye chou.
Apres avoir ete malmene durant plus de 10 ans, je pense q'on ne doit plus craindre la mort, donc c le moment pour les Congolais du Kivu, de prendre leurs destins en main. On ne doit plus continuer a croire q le gouvernement va apporter une solution.
Avant la defaite de Mushake, J'ai soutenu les FARDC car je pensais q l'autre la, etait determine a en decoudre avec son ancien pote, mais curieusement, c'etait une conference de Goma, et la suite, on la connait.
Perso, je pense qu'il serait naif de croire q le gouvernement actuel va en finir avec les troubles de l'EST.
Si c'est pas Nkunda, ce sont les FDLRs, sinon, C'est PARECO...

Pour le vice amiral Didier Etumba, les affrontements de jeudi entre les FARDC et les hommes du CNDP de Laurent Nkunda sont juste un incident de parcours. « Nous sommes dans le processus et nous ne voulons pas nous y écarter », a-t-il déclaré. « Le désengagement n’étant pas encore fait, ce genre d’incidents peuvent effectivement survenir et même se répéter », a ajouté le vice amiral qui est le délégué du gouvernement et co-président de la commission militaire mixte du programme Amani.

Comment un representant du gouvernement peut faire des declarations pareilles, qd ils confirment eux mm q ces affrontements sont du au fait q le CNDP se donne le lux de hisser son drapeau parci par la?

http://radiookapi.net/index.php?i=53&l=0&c=0&a=20119&da=&of=3&s=&m=2&k=0&r=all&sc=0&id_a=0

Ba ndeko, heure moko soki lokuta eleki, vous mentez des fois sans raisons. Coe un ami me disait, sa femme l'appele, il dit qu'il est deja a la station d'essence, alors qu'il est encore chez ses parents. Alors qu'il pouvait bien dire a la femme qu'il etait encore chez ses parents, car elle savait bien qu'il y etait parti. Un peu coe ce monsieur qui parle d'incidents de parcours, alors q Nkunda essaie d'elargir son territoire. Et cette derniere decision, semble prouver qu'il y a une tension.
L'asphyxie de Nkunda ne devait pas etre une mesure nouvelle. Mais bon...
Kmm ca merite d'etre applaudit, ben, la cervelle de qlq1 a enfin tourne
Mais bon, etait-ce la seule source de revenue?
Et qd on rentre ds les archives on voit q'une partie de ces recettes etait envoye au gouvernement central par ce Nkunda, ben on dit "6 millions des morts pour rien"

Kinshasa et Kampala coupent les vivres au CNDP

(Dom)

Depuis le samedi 30 août le poste douanier de Bunagana situé à la frontière
avec l’Ouganda dans le territoire de Rutshuru, est fermé sur décision du gouvernement central de Kinshasa, relayée par le gouverneur de la province du Nord Kivu. Julien Paluku l’a annoncée au lendemain de son retour de Kinshasa où il venait de participer avec ses homologues d’autres provinces à la concertation avec le ministre d’Etat à l’Intérieur sur la rentrée scolaire avec à l’affiche la distribution
des kits scolaires.On estime, à l’occasion, que le gouverneur Paluku aurait probablement reçu des instructions de la haute hiérarchie, en rapport avec la situation qui prévaut dans son fief. De l’avis des observateurs et analystes, plusieurs raisons militent en faveur de cette décision gouvernementale.Premièrement, sur le plan administratif, on relève que depuis qu’une partie du territoire de Rutshuru échappe au contrôle de l’Administration centrale à cause de la rébellion du CNDP,
les recettes générées par le poste douanier de Bunagana n’arrivent plus à Kinshasa où se trouve la direction générale de l’entreprise, en l’occurrence l’Office des Douanes et Accises.

http://lepharerdc.com/www/index_view.php?storyID=6018&rubriqueID=9

Joseph Kabila devient "le problème" pour la survie de la RD Congo
° http://www.congoindependant.com/article.php?articleid=3819
Au Nord-Kivu, le Congrès national pour la défense du peuple (CNDP) de Laurent Nkunda a déployé récemment son drapeau sur la portion du territoire national qu’occupent ses combattants. Le CNDP vient de mettre sur pied une unité de «police» ainsi que des «douaniers».Ce mouvement rebelle multiplie ces derniers temps des actes de défiance. L’humiliante défaite infligée aux forces gouvernementales à Mushake semble expliquer cette arrogance. Lentement mais sûrement, le processus de partition du pays paraît lancé. Et ce, avec la complicité des puissances occidentales - les mêmes - qui tirent les ficelles depuis septembre 1996, date du déclenchement de la première guerre dite "de l’Est". A Kinshasa, c’est le mutisme tant au niveau de la Présidence de la République que du Premier ministre. Une fois de plus, ce sont les responsables de la Mission des Nations Unes au Congo (Monuc) qui ont stigmatisé - bien que mollement - ces dérives qui menacent gravement l’unité physique de la RD Congo. A la décharge de la Mission onusienne, celle-ci ne peut en aucun cas se substituer à l’Etat congolais dont les défaillances sont patentes au niveau de l’accomplissement des missions régaliennes.

Jeudi 28 août, des échanges de tirs à l’arme lourde ont eu lieu dans le territoire de Rutshuru entre les Forces armées de la RD Congo et les éléments du CNDP. Plusieurs victimes ont été dénombrées dans les deux camps. Joseph Kabila n’a pas bronché. Antoine Gizenga mêmement………………..
Pendant ce temps, les milices continuent à faire leur loi dans les provinces du Kivu. La population, abandonnée à elle-même, vit dans l’insécurité et la peur. Pendant ce temps, le "business" continue comme si de rien n’était. Les minerais en provenance du Congo traversent chaque jour la frontière rwandaise au grand bonheur des firmes anglaises, américaines, canadiennes et autres… "
Dans la province du Katanga, plusieurs marchands Luba Kasaï ont été attaqués par des individus non autrement identifiés. Les faits se sont passés mardi 26 août à Kolwezi, plus précisément à la Cité de Lwilu. Tous les biens de ces commerçants ont été détruits par le feu, rapporte un communiqué de l’Ong ACIDH (Action contre l’impunité pour les droits de l’Homme)…
Au Bas-Congo, plusieurs milliers de citoyens congolais (1.800 femmes et 200 enfants) viennent d’y arriver. Ils ont été expulsés de l’Angola. Plusieurs femmes se plaignent d’avoir subi des violences sexuelles de la part des forces de sécurité angolaise...
Dans la Province orientale, les "éleveurs Mbororo" continuent à terroriser la population. Dans le district de l’Ituri, les milices créées de toutes pièces par le pouvoir ougandais continuent à sémer l’insécurité pendant que des aéronefs non identifiés font la navette entre l’aéroport d’Entebbe et celui de Bunia...

Où est passé l’Etat ? Y a-t-il un gouvernement dans ce pays ? Que fait Joseph Kabila pendant que l’intégrité du territoire national, l’unité et l’indépendance nationales sont gravement menacées? Qu’est devenu le serment prêté le 6 décembre 2006 par le "président élu" d’observer et de défendre la Constitution et les lois; de maintenir l’indépendance nationale, l’intégrité du territoire et de sauvegarder l’unité nationale ?
Le 26 janvier 2009, Joseph Kabila aura accompli huit années à la tête de l’Etat dont deux après les élections controversées de 2006. Le constat est là : le "¨raïs" congolais n’a pas honoré son serment au peuple congolais. Bien au contraire. Il l’a trahi. Joseph devient ainsi "le problème" du Congo-Kinshasa. Par son indolence calculée, il constitue désormais l’obstacle majeur à la sauvegarde de l’unité nationale et physique de ce pays. Sa présence à la tête de l’Etat devient une menace pour la survie de l’Etat congolais. Le Changement à la tête de l’Etat devient une urgence nationale. Attendre 2011, équivaudrait à condamner tout un peuple à un "suicide collectif"..."


Compatriotiquement!