CETTE JUSTICE A DEUX VITESSES

mongo elombe a écrit:Ne comparons pas l'incomparable, ici s'ils descendent dans la rue et que les opposants en parlent, ils ont des comptes à rendre et retirer ce qu'ils ont décidés.
En RDC baza koloba et je te repose la même question et après??? droit au but naboï mba zig zag.

Tu veux me faire croire qu'ici le gvnmt recule face à la rue, aux critiques???
Ceux qui se suicident chez France telecom et après ???
les fermiers qui ont manifestés pour le lait qu'on t ils obtenus???
Obama a promis de fermer gwatanamo ,l'a t il fait ???
ETC...cause toujours,tu connais la chanson.

Lino,

Ton problème tourner en rond, j'ai horreur de ça, ceux qui se sucident chez france télécom qu'elle rapport avec notre discussion?? Guantanamo pas fermer mais certains prisonniers ont été libérés n'est ce pas, ils négocient pour les pays qui vont les accueillir mais il vont fermer.

Ici une manifestation a toujours une réponse ne t'en déplaise.

Natioliiiiiii sans retour tu me fatigues.

J'ai entendue cette phrase ce matin sur RFI je crois, les politiques congolais ont réussi en 50 ans à détruires les 80 ans de la belgique c'était des colons mais à leurs époque les salariés étaient payés, il y avait des routes, de l'eau, de l'électricité et moi du lait à la recréation

Mr LINO

Votre metier de mercenaire n´est pas facile..et vous allez perdre le souffle comme quelqu´un sur cette page.. ..

Vous avez besoin de Troll pour lire les rapports de l´ONU et de l´UE qui démontrent que la liberté d´expression n´existe pas au Congo..et on trouve des mineurs en prison á Makala

Quand vous affirmez sans rire que la RFI était entrain de desinformer..avec le temps, les congolais en savent plus sur les detournements des salaires des membres des FARDC dont parlait RFI..même un rapport du Conseil de Sécurité de l´ONU en parle largement

Ce n´est qu´au Congo où les "injures" envers le Président ne meritent pas un jugement qui respecte la Constitution du Congo...car ils sont torturés ceux qui insultent Kanambe avant de moisir en prison..sans jugement ..

Vos comparaisons..comme madame Mongo vous fait remarquer sont hors contexte..

VOICI UNE PREUVE..

Un rapport du Senat accuse l´actuel Gouverneur de l´Equateur de detournement..malgré le rapport du Senat, Kanambe a signé l ordonance confirmant ce gouverneur en poste..
Le Senat avait deposé ce rapport au Gouvernement pour que le Ministre de la Justice puisse porter plainte..nada, eloko eyii te..et très bientôt, le Senat va porter plainte directement ..parce que le gouverneur étant membre du PPRD, il beneficie de la justice á double vitesse..

Encore une preuve Au Katanga, ceux qui avaient tabassés les parlementaires circulent librement..parce qu´ils sont des "balubakats" envoyés par Kyungu

La diaspora se plaint que les congolais manquent d'une liberté d'expression,mais à regarder ce débat je constate que chacun s'expriment librement sans crainte et on site même le chef de l'état

A priori c´est l´impréssion qu´on peut avoir mais il faudrait tout de même souligner que les invités de cette émission sont souvent des magistrats ou avocats et je ne pense pas que le pouvoir puisse prendre le risque de s´en prendre à un magistrat pour avoir oser critiquer les autorités mais toujours est-il que le pouvoir peut toujours muselé certains comme le fût le juge Sambay président du tribunal de commerce de Kinshasa/Gombe et président du Synamag (syndicat national des magistrats), je disais en effet que ce juge n´est PLUS invité à cette émission alors qu´il l´était souvent à l´epoque (pratiquement 2 dimanche sur 3). On supportait de plus en plus mal son language de verité comme celui-ci. Il critiquait ici le rapport qu´avait rémis le CSM au président de la république ayant conduit à la nommination et révocation des certains magistrats.

L’archevêque Laurent Monsengwo exige la libération de détenus condamnés pour assassinat

Des innocents croupissent à Makalasamedi 5 juin 2010, par Jean Paul BWANA , pasteur évangéliste
Pour sa part, un des anciens lieutenants du défunt président, ancien ministre de la Justice Mwenzé Kongolo, compagnon de route de Laurent Désiré Kabila, s’est lui aussi prononcé en faveur de la libération des condamnés. Allant plus loin avec sa logique, Mwenzé Kongolo laisse entendre que : "Les véritables assassins sont en liberté. Ceux qui ont été condamnés dans cette affaire sont innocents. Voilà ce qui énerve !",


Voir en ligne : Assassinat Laurent Désiré Kabila

Lu pour vous
Au Congo, l’archevêque Monsengwo, plus haute autorité religieuse du pays, demande la libération des détenus condamnés pour l’assassinat de Laurent Désiré Kabila.
En République démocratique du Congo, l’archevêque Laurent Monsengwo, plus haute autorité religieuse du pays, a demandé la libération de 51 détenus, condamnés pour l’assassinat de Laurent Désiré Kabila, père de l’actuel président Joseph Kabila.
"Je demande que la justice fasse son travail le plus vite possible pour que ces gens soient jugés ou libérés", a indiqué Monsengwo au micro de FRANCE 24 le 17 janvier 2010, à l’issue d’une messe à la mémoire des " Héros nationaux" du Congo : Laurent Désiré Kabila et Patrice Emery Lumumba, tous deux assassinés dans l’exercice de leurs fonctions.
"Le jugement du tribunal disait qu’il fallait compléter les enquêtes. Nous disons donc : ’Complétez ces enquêtes ou libéréz-les !’", a ajouté Monsengwo, plus haute autorité catholique et ancien président de la Conférence nationale souveraine, vaste forum qui avait permis l’instauration du multipartisme dans l’ex-Zaïre au début des années 1990.

Lors des visites guidées dans le bureau où Laurent Désiré Kabila fut assassiné, au Palais des Marbres qui surplombe la ville de Kinshasa, l’historien Antoine Lumanganeso, directeur des Archives nationales, a lui aussi indiqué qu’une réouverture du procès était nécessaire. "Normalement, l’assassin est entré par cette porte, est arrivé jusqu’ici et a tiré à bout portant sur le président, a-t-il indiqué sur les lieux du crime ouverts au public pour la circonstance. Mais nous n’avons pas encore terminé tout le procès, nous n’avons pas toute les précisions… ", a-t-il précisé.

Procès politique ?
L’ancien ministre de la Justice Mwenzé Kongolo, compagnon de route de Laurent Désiré Kabila, s’est lui aussi prononcé en faveur de la libération des condamnés. "Les véritables assassins sont en liberté. Ceux qui ont été condamnés dans cette affaire sont innocents. Voilà ce qui énerve !", a indiqué cet ancien proche du président assassiné, aujourd’hui tombé en disgrâce.
Cependant, les autorités congolaises ont toujours refusé d’envisager la réouverture du procès.

Interrogé sur la question en mars 2007, l’actuel président Joseph Kabila avait balayé l’idée d’une réouverture du procès ou d’une amnistie. " L’erreur(…) a été de croire que l’on pouvait obtenir la réconciliation sans la justice", affirme le Président congolais Joseph Kabila, fils du président Laurent-Désiré Kabila tué dans son bureau de Kinshasa le 16 janvier 2001.

Pour le porte-parole du gouvernement congolais, Lambert Mendé, ministre de la Communication, la justice a été rendue. "Les recours existent. Il appartient aux prévenus d’introduire un pourvoi en cassation", a-t-il expliqué.
Maître Jean-Marie Eley Lofele, qui a défendu une vingtaine de prévenus dans cette affaire, affirme qu’un recours a été introduit depuis le prononcé du verdict en 2003, mais n’a jamais été examiné par la justice congolaise. "Il s’agit d’un procès politique !", a-t-il accusé.
Par Arnaud ZAJTMAN / Marlène RABAUD (le journal chrétien)
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Le nouveau procureur, chef du parquet secondaire de Butembo, M. Hopson Bafoa Liatshi, a fait une ronde samedi des différents cachots de sa juridiction pour se rendre compte de l’état de ces lieux d’incarcération et des conditions des détenus. A l’issue de cette visite, il en a libéré dix qu’il a considérés comme en détention au-delà du délai légal de 48 heures pour les uns, ou incarcérés pour des faits bénins, pour les autres. Selon le nouveau procureur de Butembo, les cachots dans les communes et différents sous-commissariats de la police de cette ville fonctionnent dans l’ignorance de la loi.

Les prévenus sont gardés sans être informés du motif de leur arrestation et paient des amendes sans en connaître les raisons.

Hopson Bafoa Liatshi se dit donc déterminé à mettre fin à cet état de choses.
C’est pourquoi il a promis d’organiser un séminaire de recyclage à l’intention de tous les OPJ pour le renforcement de leurs capacités en matière des procédures pénales, du caractère individuel de la responsabilité pénale ainsi que des violations des droits de l’homme en général et du prisonnier en particulier.
Il a rappelé que cette tournée des cachots communaux intervient après la chambre foraine de jeudi dernier à la prison centrale Kakwangura de Butembo.

Dans cette maison carcérale, le procureur dit avoir constaté, non seulement la promiscuité, mais aussi la surpopulation due à la lenteur des traitements des dossiers ainsi que le manque d’hygiène.
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Radio okapi. BRAVO............