UN NOUVEL "ESSAI ET ERREUR" AVEC CETTE RENCONTRE CENI - OPPOSITION, LES DEUX AUX POSITIONS DIVERGENTES ET PEUT-ETRE MEME AUX OBJECTIFS DIFFERENTS,UN ESSAI EN COURS D'ETRE REUSSI ? LA RENCONTRE A BEL ET BIEN EU LIEU. UN MINIMUM DE COMPROMIS EN VOIE?
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UN NOUVEL "ESSAI ET ERREUR" AVEC CETTE RENCONTRE CENI - OPPOSITION, LES DEUX AUX POSITIONS DIVERGENTES ET PEUT-ETRE MEME AUX OBJECTIFS DIFFERENTS,UN ESSAI EN COURS D'ETRE REUSSI ? LA RENCONTRE A BEL ET BIEN EU LIEU. UN MINIMUM DE COMPROMIS EN VOIE?
"UN NOUVEL "ESSAI ET ERREUR" AVEC CETTE RENCONTRE CENI - OPPOSITION, LES DEUX AUX POSITIONS DIVERGENTES ET PEUT-ETRE MEME AUX OBJECTIFS DIFFERENTS ? UN ESSAI EN COURS D'ETRE REUSSI ? EN EFFET LA RENCONTRE A BEL ET BIEN EU LIEU. UN MINIMUM DE COMPROMIS EN VOIE ?
Pendant plus de quatre heures, Kadima a reçu Fayulu, Sesanga, Matata et Bolengetenge SG d'Ensemble représentant Katumbi absent de Kinshasa et des revendications essentielles et pratiques de ces derniers, seul l'affichage des listes des électeurs devant chaque bureau a été obtenu, osons espérer qu'il sera effectif. La revendication majeure de la revisitation du fichier électoral via un audit externe crédible a été renvoyée à la plenière de la Ceni qui doit intervenir incessamment, la réponse est prévue pour la semaine prochaine. La question capitale d'un compromis entre la Ceni reste donc toujours posée; A noter que Kadima a prévu de consulter aussi Muzito et a invité le FCC ; d'autres "opposants ne demanderont-ils pas aussi de discuter avec lui mais pour le moment, les plus revendicateurs et plus représentatifs sont déjà là au rdv..
Nous savons tous que les opposants dénoncent la composition, les principes et les pratiques de la Ceni depuis un enrôlement opaque truffé d'évènements suspects jusqu'a la contestation du bureau en place et de membres de la Cour constitutionnelle renouvelés en violation de la loi et des règlements, Il y'a aussi la question du financement d'un processus combien coûteux mais cela concerne le gouvernement. Les opposants se sont finalement limités à l'affichage des listes d'électeurs et à la fiabilité du fichier électoral et de son côté la Ceni semble avoir reçu la bonne grâce d'aplanir les divergences majeures entre les politiques opposants et la Ceni en les invitant à une discussion ouverte. Les pressions publiques et souterraines ont sûrement porté, espérons que la méfiance en cours entre les parties prenantes par crainte des échéances frauduleuses arrivera à être levée avec ce minimum de compromis. Dans le cas contraire Fayulu a ouvertement dit qu'il demandera au peuple de se prendre en charge, article 64, la nécessité d'élections crédibles est à ce prix ; sera-t-il entendu ?
Compatriotiquement!
# Si haut que l'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul # # Que faisait Dieu avant la création ? De toute éternité, il préparait d'épouvantables supplices pour celui qui poserait cette question. #
Pendant plus de quatre heures, Kadima a reçu Fayulu, Sesanga, Matata et Bolengetenge SG d'Ensemble représentant Katumbi absent de Kinshasa et des revendications essentielles et pratiques de ces derniers, seul l'affichage des listes des électeurs devant chaque bureau a été obtenu, osons espérer qu'il sera effectif. La revendication majeure de la revisitation du fichier électoral via un audit externe crédible a été renvoyée à la plenière de la Ceni qui doit intervenir incessamment, la réponse est prévue pour la semaine prochaine. La question capitale d'un compromis entre la Ceni reste donc toujours posée; A noter que Kadima a prévu de consulter aussi Muzito et a invité le FCC ; d'autres "opposants ne demanderont-ils pas aussi de discuter avec lui mais pour le moment, les plus revendicateurs et plus représentatifs sont déjà là au rdv..
Nous savons tous que les opposants dénoncent la composition, les principes et les pratiques de la Ceni depuis un enrôlement opaque truffé d'évènements suspects jusqu'a la contestation du bureau en place et de membres de la Cour constitutionnelle renouvelés en violation de la loi et des règlements, Il y'a aussi la question du financement d'un processus combien coûteux mais cela concerne le gouvernement. Les opposants se sont finalement limités à l'affichage des listes d'électeurs et à la fiabilité du fichier électoral et de son côté la Ceni semble avoir reçu la bonne grâce d'aplanir les divergences majeures entre les politiques opposants et la Ceni en les invitant à une discussion ouverte. Les pressions publiques et souterraines ont sûrement porté, espérons que la méfiance en cours entre les parties prenantes par crainte des échéances frauduleuses arrivera à être levée avec ce minimum de compromis. Dans le cas contraire Fayulu a ouvertement dit qu'il demandera au peuple de se prendre en charge, article 64, la nécessité d'élections crédibles est à ce prix ; sera-t-il entendu ?
"En RDC, l’opposition et la Ceni peuvent-elles trouver un compromis ?
= https://www.jeuneafrique.com/1459357/politique/en-rdc-lopposition-et-la-ceni-peuvent-elles-trouver-un-compromis/
Le 30 juin, Denis Kadima, le président de la commission électorale, et les adversaires de Félix Tshisekedi ont tenté d’aplanir leurs divergences, à six mois des élections générales.
Les opposants Martin Fayulu, Matata Mponyo, Delly Sessanga et le camp de Moïse Katumbi ont rencontré le président de la Ceni, Denis Kadima, à Kinshasa le 30 juin 2023. :copyright: DR
Pendant plus quatre heures ce vendredi 30 juin, dans une suite située au 21e étage de l’hôtel Fleuve Congo à Kinshasa, Denis Kadima a fait face à ses détracteurs, les opposants Martin Fayulu, Matata Ponyo Mapon, Delly Sesanga et Dieudonné Bolengetenge, le secrétaire général d’Ensemble pour la République, qui représentait Moïse Katumbi.
À LIREEn RDC, et si les élections n’étaient pas reportées ?
« Les discussions ont été franches », confie à Jeune Afrique un participant à cette rencontre, la première entre le président de la Commission électorale nationale indépendante (Ceni) et les principaux opposants à Félix Tshisekedi. Objectif : aplanir des divergences en amont des élections générales prévues le 20 décembre prochain.
Fayulu étonnamment modéré
Ces derniers mois, l’opposition congolaise n’a eu de cesse critiquer un processus électoral « chaotique » et d’accuser la commission électorale d’entretenir l’opacité autour du fichier électoral. La rencontre de ce vendredi a-t-elle permis de dissiper les tensions ?
C’est en tout cas un Martin Fayulu au ton étonnamment modéré qui a pris la parole devant la presse à l’issue des discussions. « Nous avons suggéré au président de la Ceni […] : vous affichez les listes des électeurs enregistrés, les opérations continuent, mais l’audit aussi se fait, a-t-il indiqué. Si l’audit vient nous révéler que le fichier a été correct, qu’il a des faiblesses de 2 % ou 3 % qu’on peut surmonter, nous sommes d’accord. Mais si ce fichier n’est pas [utilisable], nous prendrons nos responsabilités. »
À LIREEn RDC, vers un boycott général des élections par l’opposition ?
Les différentes parties se sont donc entendues sur l’affichage des listes des électeurs enregistrés. Concernant le nouvel audit du fichier électoral par un organisme international qualifié tel que réclamé par l’opposition, Denis Kadima a promis de soumettre la question à la plénière de la Ceni.
Celle-ci peut-elle encore autoriser un deuxième audit du fichier ? Cela semble peu probable, compte tenu des délais et du calendrier des préparatifs électoraux. La nouvelle loi sur la répartition des sièges, rédigée sur base du fichier électoral actuel, a été promulguée le 15 juin dernier et, depuis le 26 juin, la Ceni a commencé à recevoir des candidatures pour la députation nationale. Une opération qui doit s’étendre jusqu’au 15 juillet.[/size]
Contre la politique de la chaise vide ?
Le 19 juin, Martin Fayulu avait annoncé que son parti ne présenterait pas de candidats si la transparence du fichier électoral n’était pas garantie. Une décision que ses camarades de l’opposition n’ont pour l’instant pas suivie et qui fait polémique au sein même de sa formation politique. Le 29 juin, le député Ados Ndombasi a ainsi annoncé qu’il quittait Ecidé, déplorant une « politique de chaise vide qui ne paie pas ».À LIREEn RDC, l’opposition et l’Église vent debout contre la commission électorale
Après cette rencontre avec Denis Kadima, Martin Fayulu va-t-il changer de stratégie ? « Nous sommes en train de trouver la solution. Vous aurez les premières réponses au niveau de la fiabilité avec les listes affichées », a-t-il répondu.
Denis Kadima a pour sa part regretté des critiques à son avis « trop sévères », notamment lorsqu’elles évoquent un « processus chaotique ». « Le président [de la Ceni] a été cash », commente notre témoin de la rencontre, qui affirme que plusieurs « malentendus » ont pu être dissipés.
Des ambitions contrariées ?
À en croire notre interlocuteur, les opposants se sont par ailleurs montrés très préoccupés par la question de l’inclusivité des scrutins à venir – laquelle ne relève pas directement de la commission électorale. Il faut dire que deux candidats déclarés à la magistrature suprême pourraient voir leurs ambitions contrariées : l’ancien Premier ministre Matata Ponyo Mapon pourrait bientôt être rattrapé par la justice dans l’affaire Bukanga Lonzo, qui lui a déjà valu un procès pour détournement, et Moïse Katumbi redoute d’être tenu à l’écart des élections si la loi Tshiani, qui réserve certaines fonctions aux seuls Congolais nés de père et de mère congolais, devait être adoptée.
"Entretien CENI et quatuor de l'opposition : les parties s'accordent quant à l'affichage des listes des électeurs mais pour l'audit externe du fichier, Denis Kadima va apporter le problème à la plénièr - 30.06.2023
= https://actualite.cd/2023/06/30/entretien-ceni-et-quatuor-de-lopposition-les-parties-saccordent-quant-laffichage-des
Fayulu, Matata, Sesanga et Bolengetenge représentant de Katumbi
Les 4 leaders de l’opposition étaient invités ce vendredi 30 juin pour discuter avec le président de la CENI au sujet du processus électoral qu’ils décrient malgré quelques avancées. Pendant plus de 4 heures, la discussion a tourné autour des revendications qui font que l’opposition ne fasse pas confiance au travail de la centrale électorale. Il s’agit notamment de la question de l’affichage des listes des électeurs et de l’audit externe du fichier.
Après la rencontre, Martin Fayulu, qui a parlé au nom du quatuor, a fait savoir qu’ils se sont mis d’accord sur l’affiche des listes mais la question de l’audit externe du fichier électoral reste en suspens. Le président de la CENI y répondra dans les prochains jours après avoir apporté la question à la plénière de son institution.L’opposition conteste la qualité de cinq experts recrutés par la CENI et qui ont audité le fichier électoral. Ce qui ne les rassure pas sur sa fiabilité du fichier, qui contiendrait d'après eux, des électeurs fictifs. Le président de la CENI, par ailleurs, maintient que le fichier est fiable et qu’il prend en considération les recommandations venant de ces auditeurs.« Nous avons dit que nous sommes d’accord d’afficher les noms des électeurs. Mais ce n’est pas suffisant. Il faut l’audit externe par un cabinet réputé et indépendant, de ce fichier électoral. Pour l’instant, il a pris cette proposition qu’il va amener à la plénière de la commission électorale, après nous aurons la réponse », a indiqué Fayulu au sortir de la discussion.« Nous avons suggéré au président de la CENI, que nous puissions tous avancer. Vous affichez la liste, les opérations continuent mais l’audit aussi se fait. Si l’audit vient nous révéler que le fichier est correct, et qu’il y a des faiblesses de deux, trois pourcents qu’on peut surmonter, nous sommes d’accord. Mais si l’audit vient nous montrer que ce fichier n’est pas consommable, il faut prendre ses responsabilités. Nous prendrons les nôtres », a ajouté Martin Fayulu.
Cette discussion intervient afin de trouver un terrain d’entente pour arriver, en décembre prochain à des élections crédibles, transparentes, inclusives et apaisées. Moïse Katumbi, Delly Sesanga, Matata Ponyo et Martin Fayulu ont passé en revue, avec Denis Kadima, tous les autres problèmes notamment la loi portant organisation et fonctionnement de la CENI, la composition de la centrale électorale, la loi électorale et ses faiblesses, les points de désaccord dans cette loi ou encore le problème de la confection du fichier électoral.Pour apporter les réponses à toutes ces revendications, l’opposition a suggéré la semaine prochaine. La balle reste dans le camp de la CENI.« Ce fichier d’après nous, a été confectionné dans des conditions opaques. Vous savez ce qui s’est passé : des machines défaillantes, des personnels non qualifiés et puis il y a eu des cas où on a vu des kits électoraux à Kasumbalesa et à Tshikapa [entre les mains des personnes n'ayant pas qualité, Ndlr]. Nous voulions avoir des précisions », a conclu le président de l’ECiDé.
"RDC - Audit externe du fichier électoral par un cabinet indépendant : Denis Kadima va soumettre la proposition de l'opposition à la plénière de la CENI - 30 juin 2023
= https://7sur7.cd/index.php/2023/06/30/rdc-audit-externe-du-fichier-electoral-par-un-cabinet-independant-denis-kadima-va
"RDC: première rencontre entre la Céni et l’opposition avant les scrutins de décembre - 30/06/2023
= https://www.rfi.fr/fr/afrique/20230630-rdc-premi%C3%A8re-rencontre-entre-la-c%C3%A9ni-et-l-opposition-avant-les-scrutins-de-d%C3%A9cembre
En RDC, premier tête-à-tête ce vendredi entre le président de la Commission électorale nationale indépendante (Céni) et les opposants Martin Fayulu, Matata Mponyo, Delly Sessanga et le camp de Moïse Katumbi tous des candidats déclarés à l’élection présidentielle prévue le 20 décembre dans le pays. Par ces rencontres à cinq mois des scrutins, la centrale électorale, critiquée par l’opposition, qui dénonce l’opacité dans la conduite des opérations électorales, tente de rassurer les parties prenantes. Mais la réunion de ce jour n’a pas fait fléchir les opposants.
Le président de la Commission électorale nationale indépendante (Céni) Denis Kadima a rencontré les opposants Martin Fayulu, Matata Mponyo, Delly Sessanga et le camp de Moise Katumbi à Kinshasa, ce 30 juin 2023. :copyright: Pascal Mulegwa/RFI
Avec notre correspondant à Kinshasa,
C’est la fête d’indépendance, le jour est férié, mais la Céni court derrière la montre à quelques mois des scrutins. 10h30, Martin Fayulu, Augustin Matata Mponyo et Delly Sesanga se rassemblent au 21ᵉ étage de l’Hôtel du Fleuve. Moïse Katumbi, absent de la capitale, s’est fait représenter par le secrétaire général de son parti, le député Dieudonné Bolengetenge.[/size]
Le huis clos a commencé à 11h sans collaborateurs, la presse est retenue au rez-de-chaussée. Au cours de quatre heures d’intenses discussions, la Céni a tenté de rassurer les opposants, mais ces derniers restent inflexibles.
Si leurs revendications ne se sont limitées ces derniers mois qu’à l’exigence de l’audit du fichier électoral, lors des débats de ce vendredi, les opposants ont déterré d’autres points de désaccord. Notamment la refonte de la Cour constitutionnelle.
« Problème de la loi portant fonctionnement et organisation de la Céni, la composition de la Céni, de la loi électorale, problème de l’inclusivité, des candidats qui sont embêtés aujourd’hui et des problèmes de la confection du fichier électoral, a énuméré Martin Fayulu. Ce fichier a été confectionné dans des conditions opaques. »
C’est ce dernier grief qui a retenu l’attention de Denis Kadima. Le président de la Céni a promis de publier les listes électorales, mais les opposants, Martin Fayulu en tête, ont exigé davantage. « Il faut aller au-delà, il faut l’audit externe par un cabinet réputé indépendant avec nos auditeurs à nous de ce fichier électoral. Nous continuons le processus et concomitamment aux autres éléments qui sont dans le calendrier qui sont en train d’être fait, on fait l’audit donc ça ne va pas retarder les élections. »
Cette demande d’audit devrait être soumise à la plénière de la Céni, avant toute décision, a expliqué le président de la Commission.
L’autre point qui a été débattu est la problématique du financement des élections. La Céni accuse plusieurs mois d’arriérés de frais de fonctionnement et d’investissements. Son président compte sur le respect des promesses du gouvernement pour résoudre ces contraintes financières.
L’opposant Adolphe Muzito qui s’est récemment séparé du bloc de Martin Fayulu sera consulté lundi prochain. La coalition du président Félix Tshisekedi au pouvoir tout comme celui de son prédécesseur Joseph Kabila seront également invités par la Céni.
"RDC : quatre opposants rencontrent le président de la CENI - 30.06.2023
= https://www.dw.com/fr/rdc-quatre-opposants-rencontre-chef-ceni/a-66086091
Une rencontre survenue alors que certains opposants, dont Martin Fayulu, exigent des garanties pour la tenue d’élections crédibles à la fin de l’année, faute de quoi ils ne participeront pas.
Au cours de cette rencontre qui a duré plus de quatre heures, signe des divergences entre les protagonistes, les opposants ont discuté avec le président de la CENI (Commission électorale nationale indépendante, ndlr) de tous les problèmes auxquels les candidats à la présidentielle de décembre prochain estiment se heurter depuis le début du processus électoral. Des problèmes sur lesquels revient Martin Fayulu, qui a parlé au nom de tous les opposants présents.
"C'est-à-dire des problèmes dès le commencement de la loi portant organisation et fonctionnement de la CENI, sa composition, le problème de la loi électorale, des faiblesses de cette loi, des points de désaccord qui se trouvent dans cette loi, des problèmes de l'inclusivité des candidats qui sont aujourd'hui embêtés", a déclaré celui qui avait été battu par Félix Tshisekedi lors du scrutin de 2018.
Une demande de révision du fichier électoral
Mais la question la plus préoccupante soulevée au cours de cette réunion est celle relative au fichier électoral. Un fichier qui, selon l''opposition, a été confectionné dans des conditions opaques.
Malgré la durée des discussions, les opposants ont campé sur leur position, exigeant donc la révision du fichier électoral, comme l'explique une fois de plus, Martin Fayulu."Ce fichier, nous le contestons. Ce fichier n'a pas été audité par un organisme indépendant qualifié, réputé avec nos auditeurs à nous, nos observateurs pour attester que le fichier est réellement fiable. Le président de la Céni maintient que ce fichier est fiable d'après lui. Il dit que ce fichier a été audité et que son audit à lui a fait une recommandation qu'il va appliquer", a déclaré le candidat du parti ECiDé (Engagement pour la Citoyenneté et le Développement).Cette recommandation consiste à afficher les noms des électeurs. Ce qui, pour les opposants, ne suffit pas. Ils insistent plutôt sur un audit externe par un cabinet indépendant réputé. Mais la proposition n’a pas été acceptée pour l’instant.
Le président de la CENI, Denis Kadima, qui n’a pas parlé à la presse, a simplement concédé que cette proposition sera discutée au sein de la plénière de la commission électorale et qu’une réponse sera apportée à l'opposition la semaine prochaine.
"RDC : pour Fayulu, toutes les structures qui interviennent dans le circuit des opérations électorales sont “tribalisées” et dirigées par des “affidés” - 1 juillet 2023
= https://actualite.cd/2023/07/01/rdc-pour-fayulu-toutes-les-structures-qui-interviennent-dans-le-circuit-des-operations
"En RDC, des partis en veux-tu en voilà - 30 juin 2023
= https://www.jeuneafrique.com/1458743/politique/en-rdc-des-partis-en-veux-tu-en-voila/
Avec 910 formations politiques validées par le ministère de l’Intérieur, la gestion du processus électoral congolais s’annonce bien compliquée.
Par Damien Glez
Dessinateur et éditorialiste franco-burkinabè.
:copyright: Damien Glez
À six mois des élections générales, alors que le risque de « glissement » électoral plane, comme une épée de Damoclès, au-dessus d’une RDC en pleine célébration de l’Indépendance, le ministère de l’Intérieur, de la Sécurité et des Affaires coutumières vient de transmettre un document qui ne va pas simplifier les procédures administratives. Il s’agit de la liste des « partis politiques éligibles aux scrutins en cours », car « autorisés à fonctionner en RDC ». Un fichier publié ce 23 juin, soit trois jours avant le début des dépôts de candidatures. Et le texte de 54 pages recense pas moins de… 910 partis politiques.
Audacieux acronymes
Le liste présente quelques audacieux acronymes comme 7A (Aujourd’hui avançons, assurons l’avenir, agissons sur l’amont et sur l’aval) ou Idéal-Patriotes (Idées éclairant l’action libératrices – patriotes). Certaines formations semblent spécialisées sur un thème spécifique comme l’Alliance pour l’accès à la santé pour tous, l’Alliance des agriculteurs et paysans pour l’autonomie alimentaire ou l’Alliance Meya pour l’Éducation nationale.
À LIREEntre Félix Tshisekedi et l’Église, le bras de fer aura-t-il lieu ?
Au moment où l’implication politique des religieux est mise à l’index, notamment par les partisans du pouvoir de Félix Tshisekedi, certains partis affichent leurs croyances – c’est le cas du Congrès islamique pour le développement ou de la Convergence chrétienne.
Dans une RDC dont les deux derniers chefs de l’État sont des « fils de », certaines coalitions misent sur la nostalgie à l’égard de figures historiques, comme l’Alliance des mobutistes, l’Alliance des néo-tshombistes ou encore l’Alliance politique des kasavutistes. Les lumumbistes s’offrent même le luxe de plusieurs formations, dont trois Palu – Parti lumumbiste unifié – qui, espérons-le, ne produiront pas les symptômes de la malaria.
31 partis « tshisekedistes »
Animalier ou animaliste ? L’Aigle du Congo pour le développement entend prendre son envol. Quant au dernier parti de la liste, gageons qu’il ne vend pas seulement le nom qu’il emprunte : Vent nouveau du Congo.
Sur Twitter, Christopher Kibuka Maluku s’amuse que 31 formations comportent le mot « tshisekediste » dans leur intitulé et que 19 d’entre elles aient été créées… le même jour.Pour des raisons de flou idéologique, de quête de subventions, d’ego et de scissions récurrentes, le nombre pléthorique de partis est un serpent de mer pour les processus démocratiques africains, de la Côte d’Ivoire – plus de 130 – au Cameroun – 298 en 2015 – en passant par le Sénégal – 299 en 2018.Christopher KIBUKA Maluku
@kibukachristop1
La RDC vient de battre le record du pays avec le plus des partis soit 910 partis politiques:
- 31 partis avec le mots Tshisekedistes
- 19 partis Tshisekedistes créés le même jour
- 2 partis Tshisekedistes portants le même nom et même arrêté
- 4 partis portant le nom UDPS
12:21 PM · 28 juin 2023
À LIRERDC, Côte d’Ivoire, Mali… Trop de partis tue la démocratie ?
Un casse-tête ? Pour beaucoup, limiter le nombre de formations serait anti-démocratique. Heureusement, le tamis des élections permet généralement de dégager des perspectives de majorités parlementaires.
= https://www.jeuneafrique.com/1382203/politique/rdc-cote-divoire-mali-trop-de-partis-tue-la-democratie/
"RDC : Martin Fayulu appelle « le peuple congolais à exiger des élections transparentes, inclusives et apaisées » - 01/07/2023
= https://www.radiookapi.net/2023/07/01/actualite/politique/rdc-martin-fayulu-appelle-le-peuple-congolais-exiger-des-elections
Martin Fayulu Madidi, Président du parti politique de l’opposition Engagement citoyen pour le développement, (ECIDE) a appelé, vendredi 30 juin, les Congolais à exiger des élections transparentes, inclusives et apaisées.
L’opposant s’est ainsi exprimé à l’occasion de la célébration du 63e anniversaire de l'indépendance de la RDC.
« Le peuple congolais mérite mieux. Notre pays est au bord du gouffre total. Sa colonne vertébrale sécuritaire est brisée, ses institutions politiques fragilisées et affaiblies, sa situation économique et sociale est désastreuse. 63 ans après, l’espoir qu’avait suscité l’indépendance s’est évanoui », a regretté Martin Fayulu.
Selon lui, toutes les opérations du circuit électoral en cours sont «tribalisées».
[« Toutes les structures qui interviennent dans le circuit des opérations électorales sont tribalisées. Nous avons le devoir de le stopper et d’arrêter l’hémorragie. Pour ce faire, chers compatriotes, je vous exhorte à exiger comme LAMUKA, les élections transparentes, impartiales, inclusives et apaisées qui devront être organisées sur base d’un fichier électoral faible, audité par un organisme indépendant, réputé en présence de nos délégués », a martelé le président de l’ECIDE.
"Martin Fayulu à la CENI : « Expliquer pourquoi la mauvaise qualité des cartes d’électeurs et comment l’opérateur des duplicatas ne pourra pas contribuer à la fraude » -01.07.2023
= https://www.mediacongo.net/article-actualite-123931_martin_fayulu_a_la_ceni_expliquer_pourquoi_la_mauvaise_qualite_des_cartes_d_electeurs_et_comment_l_operateur_des_duplicatas_ne_pourra_pas_contribuer_a_la_fraude.html
"Élections en RDC : après 7 mois sans frais de fonctionnement et d'investissement, la CENI attend du gouvernement un décaissement de 100 millions USD -i 1 juillet 2023
= https://actualite.cd/index.php/2023/07/01/elections-en-rdc-apres-7-mois-sans-frais-de-fonctionnement-et-dinvestissement-la-ceni
"Rencontre Ceni Opposition : l'ACAJ s'invite au débat
= https://election-net.com/article/rencontre-ceni-opposition-lacaj-sinvite-au-debat
"RDC : « nous sommes et restons des adversaires et pas des ennemis, car il y a une vie après la politique » (Moïse Katumbi) - 1 juillet 2023
= https://actualite.cd/2023/07/01/rdc-nous-sommes-et-restons-des-adversaires-et-pas-des-ennemis-car-il-y-une-vie-apres-la
Dans un contexte électoral, la lutte pour la conquête du pouvoir vire parfois à des scènes qui frôlent l’animosité. A six mois des élections en RDC, la sphère politique congolaise enregistre déjà plusieurs dérives dont les discours de haine ou des violences physiques. Ce contre lequel, Moïse Katumbi a mis en garde, tenant à l’apaisement du climat politique.
Dans son message de ce vendredi 30 juin, à l’occasion de la 63ème célébration de l’indépendance de la RDC, il l’a si bien mentionné.Cette sortie pourra calmer les ardeurs quant à ceux qui attendaient une réaction du leader d’Ensemble pour la République après des propos rudes du secrétaire général de l’UDPS, le 27 juin dernier, qui a parlé d’une malédiction pour Moïse Katumbi et sa postérité. Les autres insultes et menaces fusent en grand nombre dans les réseaux sociaux.« Les menaces et les insultes contre les autorités religieuses, les chefs de file de l'opposition, les défenseurs des droits de l'homme doivent cesser. Le recours à des milices politiques ne concourt pas à l'apaisement du climat politique. Nous sommes et restons des adversaires et pas des ennemis, car il y a une vie après la politique », a dit Moïse Katumbi dans un communiqué.
Une autre sortie qui a fait couler encre et salive est celle du Président de la République, à Mbuji-Mayi, au Kasaï-Oriental. D’un ton ferme, Félix Tshisekedi a dénoncé une “certaine dérive au sein de l’Eglise catholique”. Il a appelé les évêques à l'unité qui doit exister entre l'Église et le pouvoir. Il a déploré l'attitude de certains prélats catholiques qui, d'après lui, risque de diviser les congolais à la veille des élections.
Revenant sur le sujet des élections, Moïse Katumbi a affirmé que les arrestations ou perquisitions que subissent certains opposants ces derniers mois, dans le pays, ne sont causées que par la peur du pouvoir de Félix Tshisekedi à aller aux élections.En ce point précis, l’inquiétude de l’ancien gouverneur du grand Katanga se justifie par le fait que son bras droit, Salomon Kalonda, a été interpellé le 30 mai dernier à l’aéroport de N’djili et est encore en détention. Après son audition par le service spécialisé des Forces Armées de la RDC (Renseignements Militaires), trois griefs ont été retenus contre lui : l'incitation des militaires à commettre des actes contraires au devoir et à la discipline, la détention illégale d'arme et des munitions de guerre et l'atteinte à la sûreté intérieure de l'État.« En cette année électorale, l'abandon assumé de l'Etat de droit et la confiscation des libertés au nom de la sécurité du pays est une régression catastrophique. Elle conduit le pays à l'impasse. Notre sécurité n'est en réalité menacée que par ceux qui ont peur des élections et qui cherchent par tous les moyens à éviter la sanction du peuple congolais. Renouer avec l'arbitraire qui est devenu une troisième guerre imposée au peuple congolais, c'est tout simplement renoncer à l'avenir et lui tourner le dos », déplore Moïse Katumbi.
"RDC : « notre sécurité n'est menacée que par ceux qui ont peur des élections et qui cherchent par tous les moyens à éviter la sanction du peuple » (Moïse Katumbi) - 30 juin 2023
= https://actualite.cd/2023/06/30/rdc-notre-securite-nest-menacee-que-par-ceux-qui-ont-peur-des-elections-et-qui-cherchent
"Caricature : un seul point de divergence sur les règles du jeu électoral
= https://actualite.cd/2023/07/01/caricature-un-seul-point-de-divergence-sur-les-regles-du-jeu-electoral
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"Rattrapage ! - juin 29, 2023
= https://laprosperiteonline.net/rattrapage/
A quelque cinq mois des élections en République démocratique du Congo, la tension va crescendo. Le gouvernement doit relever plusieurs défis dans ce parcours vers les joutes électorales. La Centrale électorale ne peut organiser les scrutins que dans un espace pacifié par le gouvernement qui détient l’impérium. Jusqu’à preuve du contraire une bonne partie du Nord-Kivu, de l’Ituri et du Mai-Ndombe ne saura prendre part à ce processus électoral. A cela s’ajoute le défi financier qui a tout l’air d’étrangler le gouvernement.
L’envol vertigineux du dollar sur le marché de change, remet en cause la stabilité macro-économique acquise à l’avènement de Tshisekedi. Le panier de la ménagère ne cesse de s’effriter. Entretemps, le gouvernement qui se trouve en programme avec les institutions de Breton Wood, ne peut se permettre certains excès. Il est condamné de fonctionner dans le cadre convenu avec les partenaires financiers internationaux.
En outre, il y a crainte que le gouvernement recourt à des emprunts obscurs, comme lors des élections de 2011 et 2018. Une situation qui impacterait sur la crédibilité des scrutins au regard des difficultés de trésorerie de l’Etat à financer certaines priorités du gouvernement. C’est dans ces conditions que vont se tenir les élections 2023 en République démocratique du Congo.
Tshisekedi joue son va-tout pour éviter le piège du dialogue à la suite d’un glissement que lui tend l’opposition. Les services de campagne du chef de l’Etat fonctionnent à plein régime en vue de présenter les prouesses réalisées en quatre ans. Cependant, ces réalisations valent-elles les nombreuses promesses. C’est le quid pour ne pas dire la corde au cou.
Une partie de l’opposition s’engage au processus, contrairement au FCC de Joseph Kabila et probablement l’aile de Lamuka sous la férule de Martin Fayulu. Clairement, c’est une opposition émiettée qui devra se présenter devant une Union sacrée requinquée après la transhumance observée dans la classe politique. Le FCC en est la première victime, surtout qu’il avait appelé ses partisans à ne pas s’enrôler. Martin Fayulu hésite. Même les siens menacent de le quitter s’il n’adhère pas au processus électoral. La corde au cou.
Moïse Katumbi va participer aux élections avec Sesanga et Matata qui font bloc pour se démarquer de Fayulu. Ce n’est pas pour rien qu’ils ne sont pas venus au meeting de la Place sainte Thérèse. Katumbi y va alors que les instructions judicaires sur les arrestations de Salomon Kalonda, Mukebay suivent leur cours. Entretemps, «Le Président élu » qui estime que sa démarche n’a pas été bien comprise, va revenir avec de plus amples explications le 30 juin alors que Tshisekedi aura fait son adresse à la nation quelques heures plus tôt. C’est comme une corde suspendue qui rattrape finalement tout le monde. Tous ou presque seront rattrapés, d’une manière ou d’une autre.
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= https://www.radiookapi.net/2023/07/01/actualite/politique/rdc-le-cardinal-ambongo-appelle-les-congolais-relever-les-defis-de
Compatriotiquement!
# Si haut que l'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul # # Que faisait Dieu avant la création ? De toute éternité, il préparait d'épouvantables supplices pour celui qui poserait cette question. #
ndonzwau
Re: UN NOUVEL "ESSAI ET ERREUR" AVEC CETTE RENCONTRE CENI - OPPOSITION, LES DEUX AUX POSITIONS DIVERGENTES ET PEUT-ETRE MEME AUX OBJECTIFS DIFFERENTS,UN ESSAI EN COURS D'ETRE REUSSI ? LA RENCONTRE A BEL ET BIEN EU LIEU. UN MINIMUM DE COMPROMIS EN VOIE?
QUE SERONT NOS PROCHAINES ÉLECTIONS ???
QUELQUES-UNS S'ABSTIENNENT POUR NE PAS CAUTIONNER UNE FRAUDE EN VUE, D'AUTRES Y VONT CONVAINCUS QUE LEUR VIGILANCE PAIERA, LE POUVOIR ET SA CENI FONCENT DROITS DANS LEUR BONNE FOI ...
Pour une raison ou une autre, les différents prétendants ne se sont pas bousculés pour aller deposer leurs candidatures dans les bureaux, la Ceni a été obligée de prilongee d'une semaine le délai de depot des candidatures aux différents mandats. La précipitation est mauvaise conseillère.
Au-delà de tous ced détails plutôt accessoires l'enjeu essentiel pour le pays de résume en des élections crédibles helzd aujourd'hui très mal engagées avec une Ceni dépendante, une CC complice ainsi que tous les organes attitrés aux mains des frères du village. Fayulu a beau expliqué les subterfuges techniques et même juridiques en branle pour la fraude obtiendra-t-il d'inquiéter les fraudeurs, déjà il n'a pu arracher le réexamen du fichier électoral, arrivera-t-il tout seul à faire une pression suffisante sur le pouvoir et sa Ceni, pis, pourra-t-il faire lever au titre de l'Article 64 pour faire échec aux fossoyeurs de notre Constirution un peuple auhourd'hui apathique et en plus divisé à souhait ? Un boycottage en blpv de toud lrs opposants arait peut-être été plus decidif.
Non, le pouvoir en place est vissé sur ses assises actuelles quasi indéboulonnable et nous devons dire adieu à bénéficier de duite des dirigeants honnêtes prompts à lever le défi de notre développement.
Encore des retards et nous devrions encore batailler pour profiter d'un leadership responsable et bénéfique pour le pays parce que lorsqu'au povoir on presse les quatre fers pour rester même par la fraude, ça n'augure rien de bon.
Voilà pourquoi ce qu'il se passe aujourd'hui est capital, hélas, hélas, hélas....
Compatriotiquement!
# Si haut que l'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul # # Que faisait Dieu avant la création ? De toute éternité, il préparait d'épouvantables supplices pour celui qui poserait cette question. #
QUELQUES-UNS S'ABSTIENNENT POUR NE PAS CAUTIONNER UNE FRAUDE EN VUE, D'AUTRES Y VONT CONVAINCUS QUE LEUR VIGILANCE PAIERA, LE POUVOIR ET SA CENI FONCENT DROITS DANS LEUR BONNE FOI ...
Pour une raison ou une autre, les différents prétendants ne se sont pas bousculés pour aller deposer leurs candidatures dans les bureaux, la Ceni a été obligée de prilongee d'une semaine le délai de depot des candidatures aux différents mandats. La précipitation est mauvaise conseillère.
Au-delà de tous ced détails plutôt accessoires l'enjeu essentiel pour le pays de résume en des élections crédibles helzd aujourd'hui très mal engagées avec une Ceni dépendante, une CC complice ainsi que tous les organes attitrés aux mains des frères du village. Fayulu a beau expliqué les subterfuges techniques et même juridiques en branle pour la fraude obtiendra-t-il d'inquiéter les fraudeurs, déjà il n'a pu arracher le réexamen du fichier électoral, arrivera-t-il tout seul à faire une pression suffisante sur le pouvoir et sa Ceni, pis, pourra-t-il faire lever au titre de l'Article 64 pour faire échec aux fossoyeurs de notre Constirution un peuple auhourd'hui apathique et en plus divisé à souhait ? Un boycottage en blpv de toud lrs opposants arait peut-être été plus decidif.
Non, le pouvoir en place est vissé sur ses assises actuelles quasi indéboulonnable et nous devons dire adieu à bénéficier de duite des dirigeants honnêtes prompts à lever le défi de notre développement.
Encore des retards et nous devrions encore batailler pour profiter d'un leadership responsable et bénéfique pour le pays parce que lorsqu'au povoir on presse les quatre fers pour rester même par la fraude, ça n'augure rien de bon.
Voilà pourquoi ce qu'il se passe aujourd'hui est capital, hélas, hélas, hélas....
"RDC : la CENI proroge de 7 jours l’opération de dépôt de candidatures pour les députés nationaux - 15/07/2023
= https://www.radiookapi.net/2023/07/15/actualite/politique/rdc-la-ceni-proroge-de-7-jours-loperation-de-depot-de-candidatures
Commission électorale nationale indépendante (CENI)a prorogé de sept jours l’opération de dépôt de candidatures dans les Bureaux de réception et traitement des candidatures (BRTC) pour les députés nationaux. C’est ce qu’indique le communiqué publié ce samedi 15 juillet par cette institution d’appui à la démocratie.
La CENI précise que cette décision est prise après le constat selon lequel, il y a certains BRTC qui n’ont pas enregistré de dossiers de candidatures jusqu’à l’heure de la fermeture ce samedi à 16h30.
La CENI affirme, après échange avec les parties prenantes, que les candidats font face aux défis de constitution de leurs dossiers de candidatures, les difficultés logistiques, des programmes de vol et transmission des preuves de paiement des frais de dépôt de candidature.
Elle note aussi que cette décision est prise « pour assurer l’inclusivité du processus électoral » et « garantir l’équité de traitement entre candidats ».
La CENI affirme, dans le même communiqué, avoir accordé certaines facilités. Les formulaires C5, C6, C7 et C8 peuvent désormais être scannés et envoyés par voie électronique aux mandataires des candidats, au niveau de la circonscription électorale, pour permettre le dépôt du dossier. Les titres académiques sont soumis à la certification conforme. A défaut, une attestation justifiant une expérience professionnelle d’au moins 5 ans, suffit.
La Commission électorale nationale indépendante avait convoqué, le 25 juin, le corps électoral pour l’élection des députés nationaux le 20 décembre 2023.
Au total 171 BRTC répartis sur tout le pays ont été ouverts pour recevoir et examiner les dossiers des candidatures.
= https://actualite.cd/2023/07/15/rdc-la-ceni-proroge-dune-semaine-le-delai-de-depot-des-candidatures-la-deputation
"Caricature : “puissance 64” pour stopper le train électoral - 14.07.2023
= https://actualite.cd/2023/07/14/caricature-puissance-64-pour-stopper-le-train-electoral
"REVUE DE PRESSE AFRIQUE
À la Une: les tensions pré-électorales en RDC
- 12/07/2023 - 10
= https://www.rfi.fr/fr/podcasts/revue-de-presse-afrique/20230712-%C3%A0-la-une-les-tensions-pr%C3%A9-%C3%A9lectorales-en-rdc
Écouter - 04:08
Les élections générales en République démocratique du Congo, dont la présidentielle, sont prévues le 20 décembre prochain et malgré quelques écueils, le pouvoir en place veut maintenir le calendrier coûte que coûte. C’est ce que constate le site spécialisé sur la RDC Afrikarabia : « Des élections à marche forcée, c’est la feuille de route que semble s’être fixé le pouvoir congolais à six mois du scrutin malgré, note Afrikarabia, les contestations de l’opposition, la guerre à l’est du pays et des moyens financiers débloqués au compte-gouttes. Depuis plusieurs semaines, l’opposition est vent debout après la publication du fichier électoral qu’elle juge "frauduleux, douteux et corrompu". L’enregistrement des électeurs s’est déroulé de manière "chaotique" selon l’opposition, des institutions de la société civile ou l’Église catholique censée déployer des observateurs pour surveiller le scrutin. (…) Deux autres éléments inquiètent les opposants quant à la crédibilité du scrutin de décembre, pointe encore Afrikarabia. Il y a tout d’abord la nomination de Denis Kadima, jugé proche de Félix Tshisekedi, à la tête de la Céni. La composition de la centrale électorale est également contestée, car constituée en majorité de membres ayant rejoint l’Union sacrée, la plateforme électorale de Félix Tshisekedi. Il y a ensuite la nomination de nouveaux juges à la Cour constitutionnelle par le chef de l’État grâce à un tour de passe-passe dénoncé par les opposants. Les deux institutions clés pour les élections de décembre semblent donc avoir été "caporalisées" par le pouvoir, affirme l’opposition, qui redoute un scrutin avec des résultats "fabriqués" par le camp présidentiel. »
Pas de nouvel audit externe du fichier électoral
En début de semaine, la Céni a refusé un audit externe supplémentaire réclamé par l’opposition. En effet, relève le site congolais Actualité CD, « la Céni a promis de publier, selon les prescrits de la loi, la liste des électeurs. Mais elle considère illogique de mener un nouvel audit externe du fichier électoral. (…) L’opposition pour sa part continue de remettre en cause l’audit externe qu’avaient mené cinq experts recrutés par la Céni. Elle soupçonne l’existence d’électeurs fictifs dans le fichier qui favoriseraient la fraude électorale en faveur de l’actuel chef de l’État, candidat à sa succession. (…) Pour tenter d’apaiser la tension, poursuit Actualité CD, Denis Kadima [le patron de la Céni, NDLR] a décidé de rencontrer les leaders de l’opposition pour "explorer des solutions pour un processus électoral plus inclusif" ».
Des rencontres qui n’ont rien donné pour l’instant. « Pendant ce temps, le train électoral ne s’arrête pas, relève le site congolais, malgré les risques sécuritaires et financiers évoqués par la centrale électorale. Les Bureaux de réception et de traitement des candidatures ouverts le 26 juin dernier continuent de recevoir les dossiers de candidature pour la députation nationale. Après cette étape, il y aura réception des candidatures des députés provinciaux jusqu’à l’élection présidentielle. »
Colère !
L’un des principaux opposants, Martin Fayulu, a laissé échapper sa colère, rapporte notamment le site congolais Politico CD : « "Kadima, l’assemblée plénière de la Céni et leurs commanditaires pensent que les Congolais sont des moutons de Panurge qui vont les aider à matérialiser une nouvelle fraude électorale en RDC. Ils ont tout faux", s’est exclamé Martin Fayulu. Pour donner plus de voix, relève Politico, l’opposant a promis de s’exprimer devant la presse ce mercredi pour fixer l’opinion sur le processus électoral en cours. »
Colère également dans les colonnes du Nouvel Observateur à Kinshasa. « Après le refus de l’audit du fichier électoral, Denis Kadima et son équipe veulent enflammer le pays, s’insurge le bihebdomadaire. La situation telle qu’elle se présente actuellement risque de nous conduire à une période tumultueuse, prévient Le Nouvel Observateur, avant, pendant et après la date du 20 décembre 2023. Nous connaissons tous le comportement imprévisible des Kinois. »
Les couteaux déjà tirés ?
Le Pays au Burkina Faso s’inquiète de ces tensions pré-électorales : « On peut saluer la maturité des acteurs politiques congolais qui, à l’issue de la présidentielle contestée de 2018, avaient su éviter le pire à leur pays. Mais, s’interroge le quotidien ouagalais, sauront-ils rester dans la même dynamique en ne recourant qu’aux voies légales pour se faire entendre en cas de contestation des résultats du scrutin qui se profile à l’horizon ? Rien n’est moins sûr, tant les couteaux semblent déjà tirés. Cela dit, relève Le Pays, avec le refus de la Céni de procéder à un "audit externe" du fichier électoral, on attend de voir si les formations de Martin Fayulu et de Joseph Kabila confirmeront leur participation à la prochaine présidentielle ou s’ils comptent mettre à exécution leurs menaces de boycott du processus électoral. En attendant, s’il y a un conseil à donner à l’opposition congolaise, pointe encore le quotidien burkinabè, c’est de travailler à présenter un candidat unique. Mais là, tout porte à croire qu’on nage en pleine fiction, dans la mesure où chaque opposant, pensant que son heure est arrivée, ne s’imagine pas en train de se désister au profit d’un autre. »
"Nord-Kivu : Mbindule, Lusenge, Bazizane, Mikindo, Segihobe, Birihanze,… ici, les listes des candidats UDPS! - 15.07.2023
= https://www.mediacongo.net/article-actualite-124518_nord_kivu_mbindule_lusenge_bazizane_mikindo_segihobe_birihanze_ici_les_listes_des_candidats_udps.html
L’Union pour la Démocratie et le Progrès Social (UDPS) de Félix Tshisekedi Tshilombo a déposé la liste de ses candidats députés nationaux sur l’ensemble du territoire congolais. Dans la province du Nord-Kivu, l’on remarque des grands noms sur cette liste. Des députés ayant changé des camps à la dernière minute sont également visibles sur cette liste.
Il s’agit par exemple de Mbindule Mitono Crispin, ancien de l’UNC et élu de Butembo, le député national, Kambale Lusenge Jérôme, jusque-là dans le parti UDCF de Pierre Paypay ou encore Adèle Bazizane qui a, dernièrement quitté le PPRD de Joseph Kabila.
Sur cette liste des candidats UDPS Nord-Kivu, on retrouve également Birihanze Désiré, Ministre national de l’entrepreneuriat et PME ou Rémy Segihobe.
Voici la liste complète des candidats par circonscription électorale
1. Circonscription électorale de Beni (ville et territoire)
Beni territoire GITA MONGA PASCAL
KAMBALE MUSAVULI VAGHUMAWA ELIE
KAMBALE TUMAINI JOB
KAVIRA MWENGE EUGENIE
MAPATHI MUKARAMBIA EGEE
MAYA MASTAKI AUGUSTIN
MUMBERE MAKASI BIENFAIT
PALUKU KUMBA OLIVIER
Beni Ville KAVIRA KISERIBWA MARIE LOUISE
KALIMA NZANZU ADELARD
2. Circonscription électorale de Butembo
KANGITSI KAHONGYA KYUNGU
MAZIA VAKINDA LUVANZA DANIEL
MBINDULE MITONO CRISPIN
KAKULE SHAHETERA HUBERT
3. Circonscription électorale de Goma
BAHATI SEGIHOBE RÉMY
BONGANYA BONGANIA RICHARD PIERRE
SIRADJI NYALAMBA KIVURUGA
MUSANJI BIN KASONGO SEBASTIEN
4. Circonscription électorale de Lubero
LUSENGE KAMBALE BONNE ANNEE JEROME
MUHINDO MBUTO AMOS
KAHINDO NDAMWEYA ANDRE
KYAKIMWA VIHANI ROSALIE
PALUKU KATAMIRA FLORENT
KAHINDO BATASIMWA ONIQUE
MUBEKWA BATANGI BERNARD
KAMBALE VALIVAMBENE FABRICE
MAKULE MALEMO KYAMUNDU
5. Circonscription électorale de Masisi
FADHILI MUGABO LOKUNDO
HANGI MASIRI KANENO VALENTIN
SEKAMONYO INKIZIKIKO MARC
SHABANI LUKOO BIHANGO JACQUEMAIN
KIBANDJA KYAHI JUSTINE
MABUTWA SHERIA MALACHI
MAYUMANO KARAFURU NATHANAEL
6. Circonscription électorale de Nyiragongo
BAZIZANE MAHESHE ADÈLE
KAMBALE MALIRO CLOVIS
7. Circonscription électorale de Rutshuru
BAYAVUGE SEKIYOBA EMMANUEL
CHUMA MUULWA JULES
M’ZINGA BIRIHANZI DÉSIRÉ
NDISEBUYE RUSAMBIZI ELEAZAR
MANIRAGABA MUNYANGEZI PATIENT
MUMBERE BINDU GRATIEN LUTHER
BANGAMWABO NYANDWI JULES
8. Circonscription électorale de Walikale
MANGANGA MUSHOZI EDOUARD
MIKINDO MUHIMA RUBENS
KITUMAYINI BOTAMBO ALAIN
"Élections sans Martin Fayulu et l’EciDé ? - 15.07.2023
= https://ouragan.cd/2023/07/elections-sans-martin-fayulu-et-lecideMartin Fayulu, Adolphe Muzito, Delly
Martin Fayulu, Adolphe Muzito, Delly Sesanga, Matata Ponyo et Moïse Katumbi auront épuisé le dictionnaire de leur “bonne foi” sans parvenir à faire plier la Commission électorale nationale indépendante (CENI) et son président Denis Kadima. Toutes les questions soumises à la Centrale électorale ont été incinérées par l’Assemblée plénière de la CENI sans sourciller. La RDC est à son quatrième cycle électoral depuis la promulgation de la Constitution du 18 février 2006. “L’histoire renseigne que les trois cycles électoraux passés n’ont pas produit des institutions et des animateurs légitimes à cause de la fraude électorale qui s’est enracinée comme mode d’accession au pouvoir”, décrit Martin Fayulu. Situation qui va de mal en pis, dit-il. Pour le leader de Lamuka, président national de l’Écidé, ce mécanisme de fraude électorale a également engendré des dirigeants peu soucieux du devenir du pays et des générations futures.
Une CENI dévoyée
Le candidat Fayulu considère que la mission de la CENI a été dévoyée. “Elle a été transformée en un levier d’opérationnalisation du vol de la souveraineté du peuple”, affirme-t-il. C’est ainsi qu’il rappelle l’article 47, alinéa 3 de la loi électorale initiée par la CENI qui répond à cette logique d’opérationnalisation de la fraude en ce qu’il dispose : “Le vote semi-électronique combine l’utilisation du bulletin papier sécurisé et le comptage manuel en même temps avec un dispositif électronique de prise en charge du processus de vote, d’agrégation et de transmission des résultats”. Fayulu souligne qu’au paragraphe 5 du même article, la CENI s’est donnée d’autorité, le droit de trancher, en précisant : “En cas de divergence de résultats issus du dépouillement manuel et ceux du dispositif électronique, la Commission électorale nationale indépendante procède aux investigations et à la correction de l’erreur au niveau du centre local de compilation des résultats. Un procès-verbal est élaboré, à cet effet, et signé par les membres du Centre local de compilation instruits par la Commission électorale nationale indépendante et les témoins des candidats présents”, fin de citation. Pour le leader de Lamuka, cette disposition ouvre clairement la voie à la CENI de recevoir électroniquement les “voix” issues des bureaux fictifs. C’est pourquoi, ajoute-t-il qu’au point 5 de son communiqué de presse numéro 032/CENI/2023, elle insiste sur “l’impératif pour la CENI d’observer strictement le cadre légal et réglementaire en vigueur dans l’exercice de ses missions”.
Disposition contestée par Martin Fayulu qui estime que cette fois-ci, “ça ne passera pas”. Pour ce candidat de l’opposition, “il est temps que nous puissions arrêter cette hémorragie”. Fayulu refuse que la CENI poursuive allègrement l’œuvre de “se servir du peuple comme strapontin pour la matérialisation de la fraude et de vendre une illusion de démocratie”.
Les bégaiements de la CENI face aux préoccupations de l’opposition
Le communiqué de presse de la CENI en réponse aux préoccupations présentées à M. Denis Kadima le 30 juin dernier par les 4 leaders a été jugé d’une “provocation de trop”. Contrairement aux affirmations de la CENI, l’audit externe du fichier électoral a un fondement en droit positif congolais en ce que les audits externes précédents ont été réalisés sur base des décisions du bureau de la CENI qui sont des actes règlementaires, source du droit ; lesquels audits constituent par ailleurs à la fois une coutume et une jurisprudence administrative, prêche le “président élu”. L’audit externe par un organisme indépendant et réputé a pour but “d’apprécier l’intégrité et l’inclusivité des données collectées en rapport avec les standards internationaux, de vérifier et de certifier la conformité par rapport aux lois et règlements de la RDC”, explique Fayulu dans sa communication du mercredi à Kinshasa. En d’autres termes, l’audit externe du fichier électoral est nécessaire pour s’assurer de l’authenticité des données envoyées au centre national de traitement uniquement par les différents bureaux d’enrôlement cartographiés par la CENI, et ainsi “mettre en confiance toutes les parties prenantes”, a-t-il déclaré. Pour Fayulu, “la confiance est le gage de la crédibilité des élections et de l’intégrité des résultats”. Malheureusement, regrette-t-il, il est aujourd’hui clair que la CENI ne veut pas se soumettre à l’audit externe de son fichier parce qu’elle sait pertinemment bien qu’il contient des fictifs.
Une opposition piégée !
À cinq (5) jours de la fin du délai de dépôt des candidatures comptant pour les élections législatives nationales, la Commission africaine pour la supervision des élections (CASE) constate que même le parti présidentiel qui donnait l’impression de ne rien vouloir entendre des défis de transparence, de crédibilité et d’inclusivité comme préalables du cycle électoral actuel, n’était toujours pas annoncé dans les bureaux de réception et traitement des candidatures (BRTC). Ceci démontre, soutient-elle, que l’Union sacrée opère en mode de “brigandage électoral” afin de pousser l’opposition et les indépendants à gaspiller leurs maigres économies sans le moindre espoir ni de victoire aux élections ni de remboursement de leurs frais de dépôt. “Les nouvelles en provenance des partis et regroupements politiques de la majorité indiquent que l’élaboration des listes des candidats fait l’objet d’intenses contradictions tant pour l’alignement des candidats titulaires que pour les assurances à accorder aux organisations politiques alliées au parti présidentiel”, précise Simaro Ngongo, président de la CASE. Ce tohu-bohu prouve à suffisance que la majorité présidentielle (Union sacrée) n’est pas préparée aux élections du 20 décembre 2023.
La CASE invite ainsi les partis et regroupements politiques de l’opposition à la prudence pour éviter de tomber dans un traquenard tendu par le pouvoir au moment où tous les signaux visibles indiquent que le régime en place n’est nullement préparé à des élections régulières. L’organisation énumère quelques faits blogueurs de toute normalité du cycle électoral actuel. C’est le cas des imprécisions dans l’effectivité de décaissement des fonds alloués à la CENI; Surveillance politique accentuée des opérations électorales par le déploiement d’agents du ministère de l’Intérieur dans les BRTC; Conduite des opérations techniques des élections par un cadre de l’UDPS aux fonctions de secrétaire exécutif national de la CENI; Recrutement des cadres des partis politiques du pouvoir» comme agents des BRTC sur l’ensemble du territoire national, etc. “Verser la caution électorale dans ces conditions équivaut à s’engager dans une compétition normale alors qu’il est de notoriété publique que le processus est piégé depuis le début, ses prémices ayant été considérablement érodées”, indique la CASE. Pour Simaro Ngongo, “l’opposition n’a donc pas de raisons objectives de se dépenser dans une fournaise qui est destinée à la griller et à la faire disparaître”.
Que l’opposition quitte le train des élections
Simaro Ngongo qui séjourne actuellement à Ottawa (Canada), invite expressément les quatre leaders de l’opposition, candidats à l’élection présidentielle à réévaluer froidement le processus et à tirer les leçons de l’effronterie de Monsieur Denis Kadima qui tient, avec l’appui de ses mentors, à imposer à la nation “un monstre électoral” avec une seule mission de “proclamer des personnalités longtemps validées d’avance dans les états-majors de l’Union sacrée afin de consacrer un gangstérisme d’État en République démocratique du Congo”.[/size]
Sans attendre, Martin Fayulu vient de réaffirmer sa position selon laquelle “en l’absence d’un fichier fiable, audité par un organisme indépendant réputé, en présence des délégués des parties prenantes, il ne déposera pas de dossiers de candidatures à la CENI”. Très clairement, Lamuka refuse de blanchir la fraude et donc d’accompagner le président Félix Tshisekedi et l’Union sacrée dans une “nouvelle forfaiture électorale”. En conséquence, il rappelle au peuple Congolais que, conformément à l’article 64 de la Constitution, “nous avons l’obligation de faire échec à toute forme de dictature d’où qu’elle vienne”. Le candidat à la présidentielle de décembre demande aux Congolais de se mobiliser pour “empêcher que la parodie électorale en préparation ne se réalise”. Il soutient que “ce n’est qu’à ce prix, que nous allons recouvrer notre souveraineté et notre dignité confisquées”. Dans cette perspective, Lamuka compte ainsi entreprendre une campagne de mobilisation en vue de préparer le peuple à l’utilisation de l’article 64
"Tricherie électorale : Fayulu charge Kadima - 12.07.2023
= https://ouragan.cd/2023/07/tricherie-electorale-fayulu-charge-kadima
"Martin Fayulu à la CENI : « Cette fois-ci, ça ne passera pas »
- 13/07/2023
= https://www.radiookapi.net/2023/07/13/actualite/politique/martin-fayulu-la-ceni-cette-fois-ci-ca-ne-passera-pas
L’opposant Martin Fayulu a répondu ce mercredi 12 juillet, à travers une conférence de presse animée à Kinshasa, au communiqué de la CENI sur les demandes de l’opposition.
« Cette fois-ci, ça ne passera pas. Il est temps que nous puissions arrêter cette hémorragie », a lancé Martin Fayulu. Selon lui, la réponse de la CENI aux opposants « est une provocation de trop ».[/size]
Le président du parti Engagement citoyen pour le développement (ECIDE) appelle à un audit externe du fichier électoral par un organisme indépendant. Faute de quoi, menace-t-il, sa plateforme électorale Lamuka ne déposera pas de candidatures à tous les niveaux :En conséquence, lance Martin Fayulu, « nous rappelons au peuple congolais que conformément à l’article 64 de la constitution, nous avons l’obligation de faire échec à toute forme de dictature. Nous devons donc nous mobiliser pour empêcher que la parodie électorale en préparation ne se réalise ».« A l'absence d'un fichier fiable, audité par un organisme indépendant réputé, nous ne déposerons pas nos dossiers des candidatures. Nous refusons de blanchir la fraude et donc d’accompagner M. Félix Tshisekedi et son union sacrée dans une nouvelle forfaiture électorale ».
Il rappelle que la vérité des urnes commence par un fichier électoral fiable. Il fait remarquer néanmoins que son parti ne va pas boycotter les élections.
La plénière de la CENI, dans sa réponse aux opposants qui exigeaient l’audit externe du fichier électoral, avait trouvé « illogique d'entreprendre un autre audit externe du fichier électoral sans une justification solide ».
La Plénière a noté qu'hormis la récusation de la composition de la mission d'audit externe, aucun argument sérieux n'est venu contredire les conclusions de cette mission, indique le communiqué de la CENI.
"“Article 64”, Fayulu brandit son arme de dissuasion contre la fraude électorale - 12.07.2023
= https://ouragan.cd/2023/07/article-64-fayulu-brandit-son-arme-de-dissuasion-contre-la-fraude-electorale
Des garde-fous pour éviter une nouvelle tricherie des élections : “Nous refusons de blanchir la fraude et donc, d’accompagner M. Tshisekedi et son Union sacrée dans une nouvelle forfaiture électorale”, a vociféré Martin Fayulu mercredi 12 juillet devant la presse à Kinshasa. L’opposant reste ferme : “A l’absence d’un fichier fiable, nous ne déposerons pas nos dossiers des candidatures”, a-t-il rappelé sachant que la fin de dépôt des candidatures pour les législatives est prévue dans trois jours, soit le 15 juillet prochain.
Pour le candidat déclaré à la présidentielle de décembre 2023, l’audit externe du fichier électoral par un cabinet indépendant demeure la condition sine qua none pour crédibiliser le processus électoral en cours. Malheureusement, fait-il remarquer, les membres de la CENI n’en veulent pas pour des raisons obscures.
Lire aussi :
Tricherie électorale : Fayulu charge Kadima
“La vérité des urnes commence par un fichier électoral fiable”, s’est-il adressé aux Congolais. Comme les prélats catholiques dernièrement, le leader de l’ECiDé a rappelé au peuple congolais le pouvoir que lui confère la Constitution à travers l’article 64 pour exiger des élections réellement crédibles et transparentes. Dans cette perspective, Martin Fayulu annonce une campagne de mobilisation en vue de préparer le peuple à l’utilisation de cette “arme fatale”.
[…] Nous rappelons au peuple congolais que, conformément à l’article 64 de la Constitution, nous avons l’obligation de faire échec à toute forme de dictature d’où qu’elle vienne. Nous devons donc nous mobiliser pour empêcher que la parodie électorale en préparation ne se réalise pas. Ce n’est qu’à ce prix que nous allons recouvrer notre souveraineté et notre dignité confisquées, a-t-il insisté.
Le mensonge de Kadima
Le cofondateur de la coalition Lamuka croît dur comme fer que si la CENI ne veut pas se soumettre à l’audit externe de son fichier, c’est parce qu’elle sait pertinemment qu’il contient des fictifs. Et pourtant, explique-t-il, l’objectif de cet exercice est d’apprécier l’intégrité et l’inclusivité des données collectées en rapport avec les standards internationaux, de vérifier et de certifier la conformité par rapport aux lois et règlements de la RDC.En d’autres termes, poursuit le candidat à la présidentielle de décembre, l’audit externe du fichier électoral est nécessaire pour s’assurer de l’authenticité des données envoyées au centre national de traitement uniquement par les différents bureaux d’enrôlement cartographiés par la CENI. “La confiance est le gage de la crédibilité des élections et de l’intégrité des résultats”, précise-t-il.En effet, contrairement aux affirmations de la CENI, l’audit externe du fichier électoral a un fondement en droit positif congolais en ce que les audits externes précédents ont été réalisés sur base des décisions du bureau de la CENI qui sont des actes règlementaires, source du droit; lesquels audits constituent par ailleurs à la fois une coutume et une jurisprudence administrative, a rappelé le “soldat du peuple”.
Non, cette fois-ci, ça ne passera pas, a mis en garde Martin Fayulu en faisant allusion, d’après lui, à la fraude électorale de 2018. “Il est temps que nous puissions arrêter cette hémorragie”, conclut-il d’un ton endurci.
"Processus électoral : l’UE exhorte la CENI et les parties prenantes à œuvrer pour des élections inclusives, libres, transparentes et pacifiques - 07/07/2023
= https://www.radiookapi.net/2023/07/07/actualite/politique/processus-electoral-lue-exhorte-la-ceni-et-les-parties-prenantes
L'Union européenne a invité, vendredi 7 juillet, la CENI et toutes les parties prenantes à travailler ensemble pour tenir « des élections pleinement inclusives, libres, transparentes et pacifiques, qui sont essentielles pour la consolidation de la démocratie et de la stabilité en RDC ».
Dans une déclaration de son Haut représentant, publié vendredi, l’UE prend note du travail mené « de manière soutenue » par la commission électorale nationale indépendante (CENI).[/size]
Cependant, l'UE prend également note des critiques et des préoccupations exprimées par les partis politiques d'opposition et les organisations de la société civile, « auxquelles il convient de répondre de toute urgence », soutient-t-elle.
Dans sa communication, le Haut représentant de l’UE déclare :Par ailleurs, l'UE condamne tous les discours qui pourraient accroître le risque de déclencher des violences interethniques.« Garantir la pleine intégrité du processus électoral exige la liberté d'expression, des médias, de réunion, d'association et de mouvement. Tout usage excessif ou disproportionné de la force en réponse à des manifestations pacifiques ou à des détentions arbitraires est incompatible avec cette exigence ».[/size]
Ainsi, elle demande « instamment à tous les acteurs politiques de la RDC de condamner expressément les discours de haine et la xénophobie à tous les niveaux et de s'y opposer, en particulier toute action ou attitude visant à dénigrer un groupe ethnique, une minorité ou une communauté religieuse, et de faire en sorte que ceux qui incitent à la violence ou y recourent en soient tenus pour responsables ».
Enfin, l'UE rappelle qu’elle s'est engagée, avec d'autres partenaires partageant les mêmes valeurs, à accompagner la RDC et sa population sur la voie d'élections compétitives, pacifiques, inclusives et transparentes en décembre 2023, qu'elle a été invitée à observer.
"Elections: l’ONU met en place un projet de prévention de conflit - 7 juillet 2023
= https://magazinelaguardia.info/2023/07/07/elections-lonu-met-en-place-un-projet-de-prevention-de-conflit/
La RDC se prépare à vivre son quatrième cycle électoral. Ceci, dans un contexte sécuritaire et politique particulier. Outre la situation sécuritaire encore préoccupante dans la partie Est du pays, il s’observe plusieurs tensions politiques et risque des conflits. Ce dernier pèse sur la préparation des élections de 2023. Ainsi, pour appuyer la RDC dans l’organisation des élections apaisée, l’ONU a mis en place un projet de prévention des violences électorales. Cette initiative touche trois provinces. Il s’agit de la province du Haut Katanga, Lualaba et le Kasaï central.
D’après Gaston Osango Coordonnateur du pilier Gouvernance au sein de PNUD, ce projet de 18 mois vise à contribuer à l’organisation des élections apaisées. Et aussi à renforcer l’engagement et la capacité des parties prenantes en lien avec des violences électorales. Ceci, avant, pendant et après les élections.
À cet effet, le projet prévoit une série d’activités de prévention des violences électorales. C’est notamment, l’organisation d’un forum sur la paix et la cohésion sociale. Il y aura la mise en place des mécanismes de gestion d’information à travers la lutte contre les discours de haine et la désinformation. En plus, une cellule électorale en faveur des candidatures féminines sera établie. Et enfin, la mise en place d’une équipe de 500 médiateurs électoraux à travers les trois provinces cible. Ces personnes proviendront de la société civile. Ils seront identifiés et sélectionnés sur la base d’un certain nombre des critères. Ces médiateurs passeront par une formation sur la prévention des violences et la méthode de médiation. La sélection tiendra compte de la femme dont sa représentation doit arriver à 50%, a insisté Gaston Osango.
Les médiateurs et leurs tâches
À la fin de la formation de renforcement de capacités, ils seront déployés à la CENI pour leurs accréditations. Signe distinctif qui les permettra de bien travailler.
Selon les explications de Gaston Osango, les médiateurs auront pour tâche d’observer la campagne électorale pour signaler les incidents. Les médiateurs feront la médiation entre les partis en conflit. Ceci, pour rétablir la paix et éviter les violences.
A lire aussi, https://magazinelaguardia.info/2023/05/27/lubumbashi-un-dispositif-important-securitaire-autour-de-la-ceni/
Initié par les nations unies, ce projet est mis en œuvre par la coordination PNUD, piloté par l’UNESCO et ONU Femme. Il prendra fin à la clôture des élections. Toutefois, l’initiateur compte pérenniser la structure de médiation en la transformant en comité de paix et sécurité.
Signalons par ailleurs que dans ce cadre du projet de prévention des violences électorales, les trois agences des nations unies ont organisé du 06 au 07 juillet à la Lubumbashi une formation. Les parties prenantes aux élections ont été outillées sur les techniques de monitoring, de prévention et de gestion de conflits.
"IBGDH lance son projet de suivi du processus électoral - 14 juillet 2023
= https://magazinelaguardia.info/2023/07/14/ibgdh-lance-son-projet-de-suivi-du-processus-electoral/
Lancement ce vendredi 14 juillet 2023 à Lubumbashi, du projet dénommé : « Mobilisation de l’électorat pour un processus électoral démocratique, crédible, apaisé et inclusif en RDC 2023 » . Une action mise en place par l’ONG l’initiative pour la bonne gouvernance et les droits humains (IBGDH). L’objectif de ce projet est de contribuer à la consolidation de la démocratie et de la paix.
Selon Donat Kambola, directeur de l’ong IBGDH, initiative vise à promouvoir la participation de toutes les parties prenantes au processus électoral. En outre, elle voudrait renforcer la redevabilité et la transparence autour des opérations électorales. Et, aussi, prévenir les éventuels conflits. « Le processus électoral a beaucoup d’enjeux, dit-il . Il y a ceux qui veulent garder le pouvoir et d’autres qui cherchent à le conquérir. Ce qui conduit à d’éventuels conflits . Si certains ne se sentent exclus , cela risque de créer des tensions ».
Cet activiste de droits de l’homme indique également que le projet encouragera la participation des femmes candidates aux élections. À cet effet, l’IBGDH travaillera en partenariat avec les partis politiques en vue de les pousser à aligner plus des candidatures féminines . Pour ce faire, le projet mettra sur pied le processus d’accompagnement des femmes candidates . « Comme la députation nationale nous échappe, lors des dépôts des candidatures au niveau provincial, nous allons encourager les candidatures féminines. Mais, aussi convaincre les femmes à voter pour les femmes ».
Comment réaliser le projet ?
A lire aussi, https://magazinelaguardia.info/2023/06/19/rdc-la-cenco-inquiet-des-tensions-a-six-mois-des-elections/
À Lubumbashi, l’initiative formera 45 animateurs. Ces derniers seront chargés notamment de sensibiliser les électeurs sur leur rôle pendant le processus. « Il ne suffit pas d’organiser les élections, mais il faudra que l’électorat prenne conscience de l’importance de son vote. Et, si on veut avoir une élection de qualité, il est important que l’électeur soit informé, sensibilisé et mobilisé. Nous croyons qu’après ces élections, nous allons renforcer la démocratie et la paix parmi nous », déclare Maitre Donat . Ce samedi 15 juillet démarre à Lubumbashi la formation des 45 animateurs. Par la suite , ils seront déployés sur le terrain pour le suivi des différentes étapes du processus électoral en cours.
Pendant le déroulement des élections, ces animateurs vont faire l’observation électorale . Ce qui permettra d’ accroitre la vigilance du public vis-à-vis des opérations électorales. Ils vont également documenter les incidents. L’IBGDH a par ailleurs souligné qu’elle mettra en place des espaces de dialogue avec les communautés . Ainsi les électeurs seront instruits afin qu’ils se comportent conformément à la loi pour réduire les divisions.
Le projet » Mobilisation de l’électorat s’étend à Mbuji -mayi, Kinshasa, Goma et Bukavu. Il est appuyé par l’ONG Belge 11 11 et ainsi que Protection internationale. Au total , 450 moniteurs seront formés à travers le pays
= https://ouragan.cd/2023/07/lue-appelle-la-ceni-a-repondre-aux-preoccupations-de-lopposition
= https://afrique.lalibre.be/78093/rdc-la-ceni-ne-veut-rien-entendre-fayulu-appelle-a-la-mobilisation-du-peuple/
= https://7sur7.cd/2023/07/12/fayulu-le-boycott-des-elections-ne-fait-pas-partie-de-notre-vocabulaire
= https://www.congoindependant.com/rdc-elections-12-2023-voici-le-parfait-candidat-president/
= https://laprosperiteonline.net/moise-moni-della-il-faut-une-decrispation-avant-les-elections/
"
"Prorogation de dépôts des candidatures, la société civile réagit - 17 juillet 2023
= https://magazinelaguardia.info/2023/07/17/prorogation-de-depots-des-candidatures-la-societe-civile-reagit/
La prorogation de 7 jours de la durée de l’opération de dépôt des candidatures à la députation nationale au BRTC a encore accentué des doutes sur le respect du calendrier électoral. Le panel des experts de la société a réagi samedi dernier à Kinshasa. Il demande la requalification du processus électorale actuelle. Et insiste que la certification des résultats, reste le seul moyen pouvant garantir la certitude la sincérité des urnes dans le contexte actuel.
D’après ces experts, le président de la CENI avait rassuré haut et fort sur différents médias qu’il n’y aura pas de prorogation pour les dépôts des candidatures à la députation nationale. Ainsi, le fait pour la CENI de revenir sur ses déclarations, renforce la méfiance des parties prenantes dans les opérations à venir. « Comment croire aux affirmations et décisions de la CENI dont les assurances médiatiques ne rassure plus ? Et qu’en sera-t-il de ses affirmations régulières mitraillées au peuple congolais au sujet de la tenue effective du scrutin et de la sincérité des urnes? » S’interroge le panel.
« Vu le nombre élevé des candidatures attendues, aucun expert, ni professionnel en matière électorale ne pouvait se hasarder pareil risque dans le contexte actuel. »
A lire aussi, https://magazinelaguardia.info/2023/07/03/lubumbashi-ceni-aucune-candidature-na-ete-deposee-jusque-la/
La CENI donne ses raisons
Toutefois, la CENI de son côté a donné quelques raisons la poussant à prolonger la durée de ces opérations. C’est notamment le constat fait dans certains BRTC qui n’ont pas jusque-là enregistré des dossiers des candidatures. La CENI a également noté le problème de la constitution des dossiers des candidatures, les difficultés logistiques et de communication. A cela s’ajoute le programme de vol et de transmission des preuves de paiement des frais de dépôts de candidatures.
Malgré les raisons avancées par la CENI, les experts de la société civile estiment cependant, que le tableau est sombre. Car, disent-ils, « après avoir changé complètement tout le système électoral congolais. Ensuite, enjambées certaines étapes de la révision du fichier électoral, et l’éducation civique, tout est plus que claire que le processus est crispé ».
Compatriotiquement!
# Si haut que l'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul # # Que faisait Dieu avant la création ? De toute éternité, il préparait d'épouvantables supplices pour celui qui poserait cette question. #
ndonzwau
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