Le depute Martin Fayulu(Interview)
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Re: Le depute Martin Fayulu(Interview)
Martin Fayulu s'affirme de plus en plus comme un leader sur lequel il faut compter. Il a travaillé sans relâche et a multiplié des initiatives. Il a choisi la proximité du peuple au lieu de battre des campagnes médiatiques. Son travail commence à porter fruit. Il semble indiquer qu'il ne se laissera pas entraîner dans n'importe quoi sans que tout ne soit clairement entendu. Et cela, il l'a déjà montré.
Libre Examen
Re: Le depute Martin Fayulu(Interview)
_________________
[b]“Le deuil, c’est pour la vie. Ca ne s’en va jamais, ça fait progressivement partie de vous, à chaque pas, à chaque souffle.”
Mathilde
Re: Le depute Martin Fayulu(Interview)
Perso je fais confiance à Fayulu ou plus exactement à le voir évoluer à ce haut niveau depuis quelque temps, je suis enclin à voir en lui un homme politique honnête, patriote convaincu et déterminé à lutter pour l'intérêt de son peuple et contre le pouvoir en place qu'il juge à raison meurtrier et inefficace...
Hélas l’honnêteté et le réel patriotisme sont certes une denrée rare chez-nous et nous nous devons de nous réjouir de les trouver chez un homme politique de ce rang mais hélas ici comme ailleurs ce sont là des qualités volontiers nécessaires mais pas toujours suffisantes pour gagner, mettre en pratique et réussir son programme ! Déjà il faut que celui-ci soit bien judicieux politiquement et techniquement, les bons sentiments n'ayant jamais été synonymes ni de bonne expertise ni de bonne application et encore moins de garantie de victoire... J'espère là-dessus qu'il a pris et prendra davantage la précaution de se faire intelligemment assister ! Eh ben oui, même avec toute les "bonne fois", un bagage académique enviable, le "savoir au pouvoir" est une question que parfois on minimise trop et qui joue des mauvais tours !
Ces qualités, disais-je, ne sont pas suffisantes en politique où en plus de bons sentiments, de la bonne expertise, il faut plus qu'ailleurs user d'un réalisme pratique qui peut parfois entrer à la limite de la contradiction avec l'honnêteté commune...
C'est là où j'ai un peu peur pour Fayulu : convoquer son intégrité (chrétienne beaucoup trop à mon regard sur le champ républicain) ne lui suffira pas et pis, peut lui ôter les moyens et recours qui en politique exigent parfois de "tuer" ses adversaires et de confondre ses rivaux pour garder ses chances de gagner et ainsi appliquer la bonne vision qu'on a de son pays... En politique, rien n'accomplit mieux son homme que la victoire !
Sur le terrain du réalisme politique, Fayulu doit maintenant mieux comprendre avec ses récents démêles que parfois ses pires ennemis sont ceux qui se disent comme lui de l'opposition... En effet; l'un de nos malheurs dans cette opposition est qu'une fraction trop militante a pris tendance à "zaïraniser" le "combattisme" patriotique pour octroyer ses certificats de vrais opposants aux seuls qui suivent un radicalisme pas toujours bien inspiré... Fayulu et d'autres auront encore à les affronter sur leurs routes !
Heureusement avec sa ronde américano-européenne, il a plutôt vu juste à "visiter et à se confronter" à la diaspora qui reste malgré tout une source de légitimité non négligeable ! Arrivera-t-il à se faire adopter ? A voir les quelques peaux de bananes qu'on lui jette sous les pieds, la route est encore longue surtout qu'au pays rien non plus ne lui sera épargné surtout maintenant qu'il émerge plutôt bien, les rivaux solides et aussi ambitieux sont nombreux et les clans (ethnico-politiques) établis... A lui de continuer avec adresse son combat personnel sans trop se méprendre que le "juste", comme je l'ai entendu dire, finit toujours par gagner...
Au delà, la question qu'on peut se poser c'est de savoir s'il a la trempe d'un grand ou de devenir un grand au Congo ?
Comme il ne cesse de nous le dire, il a rejoint le marigot politique après une bonne carrière dans le privé, député depuis 2006 (élu député national et provincial, il laissera son suppléant siéger à l'Assemblée Nationale pour choisir la Provinciale tandis qu'il siège à l'AN depuis 2011) il fait plutôt acte d'une bonne réussite... Maintenant l'étape supérieure c'est de contribuer fortement à ce que son camp (l'opposition) gagne et figure comme l'un des grands leaders de l'Exécutif et du Législatif de demain; peu importe vraiment la place mais pour lui l'une des meilleures...
Le bon "sens pratique" que je ne lui reconnaissais pas avant et que je lui vois user avec cette tournée de "promotion" auprès de la diaspora devra être aussi le sien uprès de de la population au pays !
Mais il ne deviendra ce leader national incontournable, disais-je, que si il arrive à représenter un pôle catalyseur de l'union dans l'opposition ! C'est le défi que je lui vois porter ! Il semble bien en posséder l'esprit, il faut maintenant qu'il soit suffisamment convaincu de la nécessité de cet impératif et de ce défi et le pratiquer d'arrache-pied car nous en avons besoin...
L'accomplira-t-il, y arrivera-t-il ? Je ne sais mais je le vois homme à être bien chagriné au soir du combat que les maladresses et/ou turpitudes de l'opposition aient favorisé la victoire du pouvoir actuel aux prochaines élections...
Alors que pouvons-nous lui conseiller et comment pouvons-nous l'aider dans cette tâche ?
Compatriotiquement !
Hélas l’honnêteté et le réel patriotisme sont certes une denrée rare chez-nous et nous nous devons de nous réjouir de les trouver chez un homme politique de ce rang mais hélas ici comme ailleurs ce sont là des qualités volontiers nécessaires mais pas toujours suffisantes pour gagner, mettre en pratique et réussir son programme ! Déjà il faut que celui-ci soit bien judicieux politiquement et techniquement, les bons sentiments n'ayant jamais été synonymes ni de bonne expertise ni de bonne application et encore moins de garantie de victoire... J'espère là-dessus qu'il a pris et prendra davantage la précaution de se faire intelligemment assister ! Eh ben oui, même avec toute les "bonne fois", un bagage académique enviable, le "savoir au pouvoir" est une question que parfois on minimise trop et qui joue des mauvais tours !
Ces qualités, disais-je, ne sont pas suffisantes en politique où en plus de bons sentiments, de la bonne expertise, il faut plus qu'ailleurs user d'un réalisme pratique qui peut parfois entrer à la limite de la contradiction avec l'honnêteté commune...
C'est là où j'ai un peu peur pour Fayulu : convoquer son intégrité (chrétienne beaucoup trop à mon regard sur le champ républicain) ne lui suffira pas et pis, peut lui ôter les moyens et recours qui en politique exigent parfois de "tuer" ses adversaires et de confondre ses rivaux pour garder ses chances de gagner et ainsi appliquer la bonne vision qu'on a de son pays... En politique, rien n'accomplit mieux son homme que la victoire !
Sur le terrain du réalisme politique, Fayulu doit maintenant mieux comprendre avec ses récents démêles que parfois ses pires ennemis sont ceux qui se disent comme lui de l'opposition... En effet; l'un de nos malheurs dans cette opposition est qu'une fraction trop militante a pris tendance à "zaïraniser" le "combattisme" patriotique pour octroyer ses certificats de vrais opposants aux seuls qui suivent un radicalisme pas toujours bien inspiré... Fayulu et d'autres auront encore à les affronter sur leurs routes !
Heureusement avec sa ronde américano-européenne, il a plutôt vu juste à "visiter et à se confronter" à la diaspora qui reste malgré tout une source de légitimité non négligeable ! Arrivera-t-il à se faire adopter ? A voir les quelques peaux de bananes qu'on lui jette sous les pieds, la route est encore longue surtout qu'au pays rien non plus ne lui sera épargné surtout maintenant qu'il émerge plutôt bien, les rivaux solides et aussi ambitieux sont nombreux et les clans (ethnico-politiques) établis... A lui de continuer avec adresse son combat personnel sans trop se méprendre que le "juste", comme je l'ai entendu dire, finit toujours par gagner...
Au delà, la question qu'on peut se poser c'est de savoir s'il a la trempe d'un grand ou de devenir un grand au Congo ?
Comme il ne cesse de nous le dire, il a rejoint le marigot politique après une bonne carrière dans le privé, député depuis 2006 (élu député national et provincial, il laissera son suppléant siéger à l'Assemblée Nationale pour choisir la Provinciale tandis qu'il siège à l'AN depuis 2011) il fait plutôt acte d'une bonne réussite... Maintenant l'étape supérieure c'est de contribuer fortement à ce que son camp (l'opposition) gagne et figure comme l'un des grands leaders de l'Exécutif et du Législatif de demain; peu importe vraiment la place mais pour lui l'une des meilleures...
Le bon "sens pratique" que je ne lui reconnaissais pas avant et que je lui vois user avec cette tournée de "promotion" auprès de la diaspora devra être aussi le sien uprès de de la population au pays !
Mais il ne deviendra ce leader national incontournable, disais-je, que si il arrive à représenter un pôle catalyseur de l'union dans l'opposition ! C'est le défi que je lui vois porter ! Il semble bien en posséder l'esprit, il faut maintenant qu'il soit suffisamment convaincu de la nécessité de cet impératif et de ce défi et le pratiquer d'arrache-pied car nous en avons besoin...
L'accomplira-t-il, y arrivera-t-il ? Je ne sais mais je le vois homme à être bien chagriné au soir du combat que les maladresses et/ou turpitudes de l'opposition aient favorisé la victoire du pouvoir actuel aux prochaines élections...
Alors que pouvons-nous lui conseiller et comment pouvons-nous l'aider dans cette tâche ?
° http://www.ecide-rdc.org/
° http://www.ecide-rdc.org/lhon-martin-fayulu-avec-la-diaspora-a-paris-le-28022015/
° http://blog.lesoir.be/colette-braeckman/2015/03/01/martin-fayulu-ou-la-pression-constante/
° http://www.ecide-rdc.org/le-prof-matungulu-et-lhon-martin-fayulu-reagissent-au-discours-dadieu-de-r-feingold/
° http://www.ecide-rdc.org/invite-du-jour-martin-fayulu-rd-congo-par-africa24/
° http://blogs.mediapart.fr/blog/reveilfm/080315/course-au-pouvoir-martin-fayulu-je-me-bats-pour-que-la-rdc-soit-un-etat-de-droit-je-ne-suis-pas-un-pol
° http://coraliekiengeshow.com/2015/03/02/martin-fayulu-rencontre-des-deputes-europeens-et-souligne-les-abus-des-droits-de-lhomme-en-rdc/
° http://blogs.mediapart.fr/blog/roger-bongos/010315/martin-fayulu-avec-roger-bongos-affaire-franck-diongo-et-son-coup-de-gueule-les-victimes-du-congo
° http://blogs.mediapart.fr/blog/roger-bongos/270115/martin-fayulu-serait-il-un-bon-president-de-la-transition-leveil-patriotique-dans-son-apogee-grace
° http://afrikarabia.com/wordpress/rdc-lopposition-au-bord-de-la-crise-de-nerfs/
Compatriotiquement !
ndonzwau
Re: Le depute Martin Fayulu(Interview)
Et pendant ce temps là......
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[b]“Le deuil, c’est pour la vie. Ca ne s’en va jamais, ça fait progressivement partie de vous, à chaque pas, à chaque souffle.”
Mathilde
Re: Le depute Martin Fayulu(Interview)
En toute franchise, la polémique de bas niveau de Diongo contre Fayulu est à la limite du ridicule; mieux, elle vise seulement à le déstabiliser car il derange le jeu d une certaine opposition manifestement apprivoisée comme celle de la photo qui précède ....
KOTA
Re: Le depute Martin Fayulu(Interview)
De ceux qui ont soutenu, Etienne Tshisekedi en 2011, Martin Fayulu semble être celui qui émerge, Diomi étant depuis longtemps écarté. Il est celui qui s’affirme et sur qui beaucoup commencent à tourner leurs regards. Il montre qu’il peut voler de ses propres ailes, et pour reprendre une expression qu’on attribue tout récemment à Etienne Tshisekedi, il se prend en charge et prend charge. Il ne repose pas et ne compte pas seulement sur Etienne Tshisekedi, comme Félix Tshisekedi et Bruno Mavungu veulent enfermer l’UDPS.
Ainsi que j’ai eu à le soutenir de temps en temps, le dauphin d’Etienne Tshisekedi et si l’on veut son remplaçant, ne devrait pas nécessairement provenir de rang de l’UDPS ou être choisi par Etienne Tshisekedi. Le remplaçant ou le dauphin d’Etienne Tshisekedi doit l’être par ses propres mérites, par son dévouement et par son leadership. C’est le peuple en reconnaissant en lui ces qualités qui va faire de lui son leader. Martin Fayulu est sur cette voie.
Il a indiqué quelque peu ce qu’il privilégie comme démarche du côté de l’opposition. Il a indiqué qu’il serait favorable à un candidat commun plutôt qu’à un candidat unique de l’opposition à l’élection présidentielle et a indiqué qu’il ne se prêterait pas aux genres de manœuvres qui ont eu lieu en 2011.
Son discours est celui d’un système à déraciner, d’une société à transformer. Car, ce n’est pas avant tout une question des textes ou des programmes mais plutôt une question des valeurs sur lesquelles une Société est bâtie. Ce sont ces valeurs qui font que nous soyons ce que nous sommes aujourd’hui comme Société.
L’expérience montre que nos textes sont des lettres mortes. Nous ne les respectons pas. Nous ne les respectons pas parce que nous n’y croyons pas. Aucun texte, aucun programme aussi bien écrit soit-il ne remplacera ce en quoi nous croyons et nous allons continuer à agir en fonction de ce en quoi nous croyons. Et le résultat qui en résulte n’est que reflet des croyances qui dictent nos actions. Ce qu’il faut changer ce ne sont pas les textes mais les hommes et les femmes. Ce qu’il faut changer ce sont les Congolais.
Tout économiste avisé, dira que les cinq chantiers, le plan Mobutu ou le projet de SOZACOM sont tous des programmes qui ont leur mérite du point du développement économique. Leur échec ou leur réussite repose essentiellement sur les personnes qui sont chargées de les mettre en œuvre et de les exécuter.
Rappelons-nous de la profession de foi de Mobutu à propos du plan Mobutu. Il avait dit à peu près ceci : Je l’ai appelé le plan Mobutu parce que je l’ai conçu moi-même et je tiens à le réaliser et à le réussir moi-même. Nous savons ce qu’il en est adevenu. Pourquoi Mobutu a-t-il si lamentablement échoué ? Pour répondre simplement, en économie, on dira que c’est une simple question d’affectations des ressources. Il n’y avait pas assez des ressources pour Mobutu et son clan, ce qui fait qu’il n’en rester plus à consacrer au plan Mobutu. Voilà simplement expliquée, la raison de l’échec du plan Mobutu. Il en a été le principal artisan de l'échec. Et, il en est ainsi pour tous les autres plans ou programmes.
Ainsi, la faute n’est pas dans le plan Mobutu en soi, ni dans les cinq chantiers, ni dans le projet SOZACOM. La faute est dans nos dirigeants; la faute est dans les Congolais. Je pourrai même prétendre que les plans, les programmes que les différents partis vont nous soumettre ne seront pas substantiellement différents les uns des autres. Ce qui va faire la différence, ce sont les hommes et les femmes qui vont les mettre en œuvre et les exécuter; ce qui va faire la différence c’est comment ces hommes et ces femmes qui vont en être chargés utiliseront les ressources à leur disposition et ces hommes et ces femmes vont agir en fonction des valeurs qui sont les leur.
Martin Fayulu devra également, tôt ou tard, dire au peuple ce qu’il fera si 2006 et 2011 se répètent en 2016. Le peuple ne doit pas se déplacer pour aller voter pour quelqu’un qui va se laisser voler la victoire.
Ainsi que j’ai eu à le soutenir de temps en temps, le dauphin d’Etienne Tshisekedi et si l’on veut son remplaçant, ne devrait pas nécessairement provenir de rang de l’UDPS ou être choisi par Etienne Tshisekedi. Le remplaçant ou le dauphin d’Etienne Tshisekedi doit l’être par ses propres mérites, par son dévouement et par son leadership. C’est le peuple en reconnaissant en lui ces qualités qui va faire de lui son leader. Martin Fayulu est sur cette voie.
Il a indiqué quelque peu ce qu’il privilégie comme démarche du côté de l’opposition. Il a indiqué qu’il serait favorable à un candidat commun plutôt qu’à un candidat unique de l’opposition à l’élection présidentielle et a indiqué qu’il ne se prêterait pas aux genres de manœuvres qui ont eu lieu en 2011.
Son discours est celui d’un système à déraciner, d’une société à transformer. Car, ce n’est pas avant tout une question des textes ou des programmes mais plutôt une question des valeurs sur lesquelles une Société est bâtie. Ce sont ces valeurs qui font que nous soyons ce que nous sommes aujourd’hui comme Société.
L’expérience montre que nos textes sont des lettres mortes. Nous ne les respectons pas. Nous ne les respectons pas parce que nous n’y croyons pas. Aucun texte, aucun programme aussi bien écrit soit-il ne remplacera ce en quoi nous croyons et nous allons continuer à agir en fonction de ce en quoi nous croyons. Et le résultat qui en résulte n’est que reflet des croyances qui dictent nos actions. Ce qu’il faut changer ce ne sont pas les textes mais les hommes et les femmes. Ce qu’il faut changer ce sont les Congolais.
Tout économiste avisé, dira que les cinq chantiers, le plan Mobutu ou le projet de SOZACOM sont tous des programmes qui ont leur mérite du point du développement économique. Leur échec ou leur réussite repose essentiellement sur les personnes qui sont chargées de les mettre en œuvre et de les exécuter.
Rappelons-nous de la profession de foi de Mobutu à propos du plan Mobutu. Il avait dit à peu près ceci : Je l’ai appelé le plan Mobutu parce que je l’ai conçu moi-même et je tiens à le réaliser et à le réussir moi-même. Nous savons ce qu’il en est adevenu. Pourquoi Mobutu a-t-il si lamentablement échoué ? Pour répondre simplement, en économie, on dira que c’est une simple question d’affectations des ressources. Il n’y avait pas assez des ressources pour Mobutu et son clan, ce qui fait qu’il n’en rester plus à consacrer au plan Mobutu. Voilà simplement expliquée, la raison de l’échec du plan Mobutu. Il en a été le principal artisan de l'échec. Et, il en est ainsi pour tous les autres plans ou programmes.
Ainsi, la faute n’est pas dans le plan Mobutu en soi, ni dans les cinq chantiers, ni dans le projet SOZACOM. La faute est dans nos dirigeants; la faute est dans les Congolais. Je pourrai même prétendre que les plans, les programmes que les différents partis vont nous soumettre ne seront pas substantiellement différents les uns des autres. Ce qui va faire la différence, ce sont les hommes et les femmes qui vont les mettre en œuvre et les exécuter; ce qui va faire la différence c’est comment ces hommes et ces femmes qui vont en être chargés utiliseront les ressources à leur disposition et ces hommes et ces femmes vont agir en fonction des valeurs qui sont les leur.
Martin Fayulu devra également, tôt ou tard, dire au peuple ce qu’il fera si 2006 et 2011 se répètent en 2016. Le peuple ne doit pas se déplacer pour aller voter pour quelqu’un qui va se laisser voler la victoire.
Libre Examen
Re: Le depute Martin Fayulu(Interview)
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[b]“Le deuil, c’est pour la vie. Ca ne s’en va jamais, ça fait progressivement partie de vous, à chaque pas, à chaque souffle.”
Mathilde
Re: Le depute Martin Fayulu(Interview)
JOSE MAKILA DÉCLARE " IL Y A PAS UN CHEF DE LA DÉLÉGATION "
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[b]“Le deuil, c’est pour la vie. Ca ne s’en va jamais, ça fait progressivement partie de vous, à chaque pas, à chaque souffle.”
Mathilde
Re: Le depute Martin Fayulu(Interview)
HERMAN COHEN
Voici le nom de celui qui "organise" les rencontres et surtout a dressé la liste de ceux qui doivent venir aux USA..Herman Cohen
Voici le nom de celui qui "organise" les rencontres et surtout a dressé la liste de ceux qui doivent venir aux USA..Herman Cohen
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