Appel téléphonique depuis l'enfer...
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congodiaspora :: DIVERS :: Blagues
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Appel téléphonique depuis l'enfer...
Joseph Kabila, George Bush et la Reine d'Angleterre Elizabeth II de
Windsor se rencontrent en enfer.
Bush demanda au diable une autorisation pour passer un appel telephonique
aux Etats-Unis, car il voulait s'informer de l'etat de son pays
apres son depart, Usama Ben Laden le hantait encore jusque dans les braises de Lucifer.
Le diable lui permit de faire son appel et Bush parla durant 2 minutes.
Quand il eut terminé, le diable lui dit que le coup de fil qu'il venait de passer coute US$3 millions.
Bush fit un cheque et paya sans probleme......
En sachant que Bush avait pu telephoner chez lui, la Reine voulut faire de
même, et elle se brancha sur l'Angleterre, car elle craignait que
le père de Doddy Alfayed n'achetat tout le Royaume Uni, suite a l'histoire compliquee de feue lady
Di... Mais elle bavarda seulement pendant 5 minutes.
Le diable lui tendit la facture en livres sterlings qui s'eleva a environ US$ 10 millions!!!
Evidemment Kabila resta intrigue et voulut aussi telephoner en RDC pour
s'enquerir des nouvelles du pays, surtout qu'il venait d'apprendre
le pillage en règle de la RDC par ses proches collaborateurs .
Mais il parla pendant 6 heures de temps!!!!
Quand il eut raccroché, le diable lui dit que sa note
s'elevait a seulement US$ 3,50. Kabila lui-meme n'en crut pas ses
oreilles car il avait pensé que sa note allait etre bien plus
salée au regard des ses homologues qui avait telephone pour
quelques minutes seulement, mais qui avaient ecope d'une note si astronomique!!!!
Il demanda alors au diable pourquoi son coup de fil en RDC coutait si peu.....
Le diable lui repondit laconiquement:
"De l'enfer a l'enfer c'est un appel local"...
Windsor se rencontrent en enfer.
Bush demanda au diable une autorisation pour passer un appel telephonique
aux Etats-Unis, car il voulait s'informer de l'etat de son pays
apres son depart, Usama Ben Laden le hantait encore jusque dans les braises de Lucifer.
Le diable lui permit de faire son appel et Bush parla durant 2 minutes.
Quand il eut terminé, le diable lui dit que le coup de fil qu'il venait de passer coute US$3 millions.
Bush fit un cheque et paya sans probleme......
En sachant que Bush avait pu telephoner chez lui, la Reine voulut faire de
même, et elle se brancha sur l'Angleterre, car elle craignait que
le père de Doddy Alfayed n'achetat tout le Royaume Uni, suite a l'histoire compliquee de feue lady
Di... Mais elle bavarda seulement pendant 5 minutes.
Le diable lui tendit la facture en livres sterlings qui s'eleva a environ US$ 10 millions!!!
Evidemment Kabila resta intrigue et voulut aussi telephoner en RDC pour
s'enquerir des nouvelles du pays, surtout qu'il venait d'apprendre
le pillage en règle de la RDC par ses proches collaborateurs .
Mais il parla pendant 6 heures de temps!!!!
Quand il eut raccroché, le diable lui dit que sa note
s'elevait a seulement US$ 3,50. Kabila lui-meme n'en crut pas ses
oreilles car il avait pensé que sa note allait etre bien plus
salée au regard des ses homologues qui avait telephone pour
quelques minutes seulement, mais qui avaient ecope d'une note si astronomique!!!!
Il demanda alors au diable pourquoi son coup de fil en RDC coutait si peu.....
Le diable lui repondit laconiquement:
"De l'enfer a l'enfer c'est un appel local"...
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[b]“Le deuil, c’est pour la vie. Ca ne s’en va jamais, ça fait progressivement partie de vous, à chaque pas, à chaque souffle.”
Mathilde
Re: Appel téléphonique depuis l'enfer...
Un homme d'état africain fait un petit séjour sur la côte d'azur pour rendre visite à quelques amis responsables politiques.
Il est ainsi reçu dans la somptueuse villa d'un député-maire et
remarque d'entrée toutes les toiles de maîtres qui ornent les murs.
Pendant le repas il n'hésite pas à demander à son ami:
"Il faut quand même que tu m'expliques comment tu as pu amasser une fortune pareille en faisant de la politique..."
L'élu français répond en désignant la fenêtre:
"C'est très simple, tu vois l'autoroute là-bas ? Cela a coûté 10
milliards de francs à la collectivité dont 10% directement dans ma
poche..."
Le chef d'état n'en revient pas et commente: "Joli coup !"
Quelques années s'écoulent et notre député-maire rend la politesse à son ami africain.
Il découvre avec stupéfaction que son hôte habite un château en
marbre, décoré d'oeuvres de maîtres et de sculptures de grande valeur.
Pendant le repas, il demande:
"C'est à ton tour de m'expliquer.
Comment as tu amassé cette fortune colossale ?
" Le Président africain répond en désignant la fenêtre:
"C'est très simple, tu vois l'autoroute la-bas ?
" L'autre: "Non..."
L'Africain: "Ben voila !"
Il est ainsi reçu dans la somptueuse villa d'un député-maire et
remarque d'entrée toutes les toiles de maîtres qui ornent les murs.
Pendant le repas il n'hésite pas à demander à son ami:
"Il faut quand même que tu m'expliques comment tu as pu amasser une fortune pareille en faisant de la politique..."
L'élu français répond en désignant la fenêtre:
"C'est très simple, tu vois l'autoroute là-bas ? Cela a coûté 10
milliards de francs à la collectivité dont 10% directement dans ma
poche..."
Le chef d'état n'en revient pas et commente: "Joli coup !"
Quelques années s'écoulent et notre député-maire rend la politesse à son ami africain.
Il découvre avec stupéfaction que son hôte habite un château en
marbre, décoré d'oeuvres de maîtres et de sculptures de grande valeur.
Pendant le repas, il demande:
"C'est à ton tour de m'expliquer.
Comment as tu amassé cette fortune colossale ?
" Le Président africain répond en désignant la fenêtre:
"C'est très simple, tu vois l'autoroute la-bas ?
" L'autre: "Non..."
L'Africain: "Ben voila !"
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[b]“Le deuil, c’est pour la vie. Ca ne s’en va jamais, ça fait progressivement partie de vous, à chaque pas, à chaque souffle.”
Mathilde
Re: Appel téléphonique depuis l'enfer...
Mathilde a écrit:Un homme d'état africain fait un petit séjour sur la côte d'azur pour rendre visite à quelques amis responsables politiques.
Il est ainsi reçu dans la somptueuse villa d'un député-maire et
remarque d'entrée toutes les toiles de maîtres qui ornent les murs.
Pendant le repas il n'hésite pas à demander à son ami:
"Il faut quand même que tu m'expliques comment tu as pu amasser une fortune pareille en faisant de la politique..."
L'élu français répond en désignant la fenêtre:
"C'est très simple, tu vois l'autoroute là-bas ? Cela a coûté 10
milliards de francs à la collectivité dont 10% directement dans ma
poche..."
Le chef d'état n'en revient pas et commente: "Joli coup !"
Quelques années s'écoulent et notre député-maire rend la politesse à son ami africain.
Il découvre avec stupéfaction que son hôte habite un château en
marbre, décoré d'oeuvres de maîtres et de sculptures de grande valeur.
Pendant le repas, il demande:
"C'est à ton tour de m'expliquer.
Comment as tu amassé cette fortune colossale ?
" Le Président africain répond en désignant la fenêtre:
"C'est très simple, tu vois l'autoroute la-bas ?
" L'autre: "Non..."
L'Africain: "Ben voila !"
Donc il a bouffé le 100 %. C´est un Zairois je crois,
car le congolais mange 30 % et donne 45 aux autres et les restes on verra.
Flick de Kolwezi
Re: Appel téléphonique depuis l'enfer...
Un Loufoulakarien est baptisé par un missionnaire du nom de Beltschioso:
Désormais, tu t'appelleras Jean-Pierre, tu ne mangeras pas de viande le
vendredi et tu seras sauvé. Le vendredi suivant, le missionnaire voit
le Loufoulakarien en train de manger du ngulu. Il l'appelle:
Jean-Pierre, qu'est-ce que tu es en train de manger là? Le
Loufoulakarien répond: Du poisson permis le vendredi, mon Père! L'autre
s'étonne: Mais ce n'est pas du poisson, c'est de la viande que tu
manges! Le Loufoulakarien répond: J'ai fait comme toi l'autre jour:
j'ai plongé le ngulu dans l'eau et je l'ai baptisé Mbizi!
Désormais, tu t'appelleras Jean-Pierre, tu ne mangeras pas de viande le
vendredi et tu seras sauvé. Le vendredi suivant, le missionnaire voit
le Loufoulakarien en train de manger du ngulu. Il l'appelle:
Jean-Pierre, qu'est-ce que tu es en train de manger là? Le
Loufoulakarien répond: Du poisson permis le vendredi, mon Père! L'autre
s'étonne: Mais ce n'est pas du poisson, c'est de la viande que tu
manges! Le Loufoulakarien répond: J'ai fait comme toi l'autre jour:
j'ai plongé le ngulu dans l'eau et je l'ai baptisé Mbizi!
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[b]“Le deuil, c’est pour la vie. Ca ne s’en va jamais, ça fait progressivement partie de vous, à chaque pas, à chaque souffle.”
Mathilde
Re: Appel téléphonique depuis l'enfer...
Mathilde a écrit:Un Loufoulakarien est baptisé par un missionnaire du nom de Beltschioso:
Désormais, tu t'appelleras Jean-Pierre, tu ne mangeras pas de viande le
vendredi et tu seras sauvé. Le vendredi suivant, le missionnaire voit
le Loufoulakarien en train de manger du ngulu. Il l'appelle:
Jean-Pierre, qu'est-ce que tu es en train de manger là? Le
Loufoulakarien répond: Du poisson permis le vendredi, mon Père! L'autre
s'étonne: Mais ce n'est pas du poisson, c'est de la viande que tu
manges! Le Loufoulakarien répond: J'ai fait comme toi l'autre jour:
j'ai plongé le ngulu dans l'eau et je l'ai baptisé Mbizi!
Vieux Bord
Re: Appel téléphonique depuis l'enfer...
_________________
[b]“Le deuil, c’est pour la vie. Ca ne s’en va jamais, ça fait progressivement partie de vous, à chaque pas, à chaque souffle.”
Mathilde
Re: Appel téléphonique depuis l'enfer...
Mathilde a écrit:
ou est ce que tu achetes ces histoires????
peux tu venir me laisser certains histoires vite???
Vieux Bord
Re: Appel téléphonique depuis l'enfer...
Vieux Bord a écrit:Mathilde a écrit:
ou est ce que tu achetes ces histoires????
peux tu venir me laisser certains histoires vite???
Tonton Machin,
Kie kie kie Nan tonton machin , j'peux pas venir chez toi....nan!
_________________
[b]“Le deuil, c’est pour la vie. Ca ne s’en va jamais, ça fait progressivement partie de vous, à chaque pas, à chaque souffle.”
Mathilde
Re: Appel téléphonique depuis l'enfer...
Ah non , je suis avec mon grand-frere le karateka
Vieux Bord a écrit:pourquoi? tu es restee seule a la maison?
_________________
[b]“Le deuil, c’est pour la vie. Ca ne s’en va jamais, ça fait progressivement partie de vous, à chaque pas, à chaque souffle.”
Mathilde
Re: Appel téléphonique depuis l'enfer...
Mathilde a écrit:Ah non , je suis avec mon grand-frere le karatekaVieux Bord a écrit:pourquoi? tu es restee seule a la maison?
moi je prie. je n'ai pas la force de muscle mais la force au hanche
puis je venir suivre la tele chez vous?
Vieux Bord
Re: Appel téléphonique depuis l'enfer...
Vieux Bord a écrit:Mathilde a écrit:Ah non , je suis avec mon grand-frere le karatekaVieux Bord a écrit:pourquoi? tu es restee seule a la maison?
moi je prie. je n'ai pas la force de muscle mais la force au hanche
puis je venir suivre la tele chez vous?
No No No No ................
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[b]“Le deuil, c’est pour la vie. Ca ne s’en va jamais, ça fait progressivement partie de vous, à chaque pas, à chaque souffle.”
Mathilde
Re: Appel téléphonique depuis l'enfer...
-Toto dit à son père :
- Papa, j'ai eu zéro parce-que je ne savais pas où est le col du fémur !
Le père :
- Dans ce cas, tu dois vraiment réviser ta géographie !
- Papa, j'ai eu zéro parce-que je ne savais pas où est le col du fémur !
Le père :
- Dans ce cas, tu dois vraiment réviser ta géographie !
_________________
[b]“Le deuil, c’est pour la vie. Ca ne s’en va jamais, ça fait progressivement partie de vous, à chaque pas, à chaque souffle.”
Mathilde
Re: Appel téléphonique depuis l'enfer...
Je ne me lasserai jamais de la lire, celle-là !
Quel est votre problème, Madame ? Demande l' hôtesse.
Mais vous ne le voyez donc pas ? Répond la dame. Vous m' avez
placée à côté d' un noir. Je ne supporte pas de rester à côté d' un de
ces êtres dégoûtants. Donnez-moi un autre siège. S' il vous plait.
Calmez-vous, dit l' hôtesse. Presque toutes les places de ce vol sont prises. Je vais voir s' il y a une place disponible.
L' hôtesse s' éloigne et revient quelques minutes plus tard :
Madame, comme je le pensais, il n' y a plus aucune place libre dans
la classe économique. J' ai parlé au commandant et il m' a confirmé qu'
il n' y a plus de place dans la classe exécutive. Toutefois, nous avons
encore une place en première classe. Avant que la dame puisse faire le
moindre commentaire, l' hôtesse de l' air continue : Il est tout a fait
inhabituel dans notre compagnie de permettre à une personne de classe
économique de s' asseoir en première classe.
Mais, vu les circonstances, le commandant trouve qu' il serait
scandaleux d'obliger quelqu'un à s' asseoir à côté d' une personne
aussi répugnante.
Et s' adressant au noir, l'hôtesse lui dit :
Donc, Monsieur, si vous le souhaitez, prenez votre bagage à main
car un siège en première classe vous attend. Et tous les passagers
autour, qui, choqués, assistaient à la scène, se levèrent et
applaudirent...
Quel est votre problème, Madame ? Demande l' hôtesse.
Mais vous ne le voyez donc pas ? Répond la dame. Vous m' avez
placée à côté d' un noir. Je ne supporte pas de rester à côté d' un de
ces êtres dégoûtants. Donnez-moi un autre siège. S' il vous plait.
Calmez-vous, dit l' hôtesse. Presque toutes les places de ce vol sont prises. Je vais voir s' il y a une place disponible.
L' hôtesse s' éloigne et revient quelques minutes plus tard :
Madame, comme je le pensais, il n' y a plus aucune place libre dans
la classe économique. J' ai parlé au commandant et il m' a confirmé qu'
il n' y a plus de place dans la classe exécutive. Toutefois, nous avons
encore une place en première classe. Avant que la dame puisse faire le
moindre commentaire, l' hôtesse de l' air continue : Il est tout a fait
inhabituel dans notre compagnie de permettre à une personne de classe
économique de s' asseoir en première classe.
Mais, vu les circonstances, le commandant trouve qu' il serait
scandaleux d'obliger quelqu'un à s' asseoir à côté d' une personne
aussi répugnante.
Et s' adressant au noir, l'hôtesse lui dit :
Donc, Monsieur, si vous le souhaitez, prenez votre bagage à main
car un siège en première classe vous attend. Et tous les passagers
autour, qui, choqués, assistaient à la scène, se levèrent et
applaudirent...
_________________
[b]“Le deuil, c’est pour la vie. Ca ne s’en va jamais, ça fait progressivement partie de vous, à chaque pas, à chaque souffle.”
Mathilde
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