Les ivoiriens de la diaspora ont voté
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Re: Les ivoiriens de la diaspora ont voté
A contrario, j´ai toujours été pour Gbagbo depuis qu´il a tenu tête au général Guei qui voulait lui voler sa victoire en 2000. Je l´ai encore soutenu lorsqu´il avait refusé d´appliquer les accords de Marcoussis (qui lui imposaient le partage du pouvoir, un peu comme les accords de Sun City chez nous). Il avait declaré être le président élu légitimement par le peuple ivoirien et qu´il n´avait pas à partager le pouvoir avec les rebelles, malheureusement il a dû céder suite aux accords de Ouagadougou en 2007. Et maintenant que le peuple ivoirien a élu légitimement Ouattara, pouquoi lui Gbagbo veut-il jouer au général Guei en voulant confisquer le pouvoir?Tonton Ricos a écrit: Depuis son arrivé au pouvoir en Cote d'Ivoire,il y a 10 ans,je n'ai jamais été un pro-Bagbo.
Arafat
Re: Les ivoiriens de la diaspora ont voté
Elu légitiment?????? C'est comme kabila,élu légitimement par la CI
mongo elombe
Re: Les ivoiriens de la diaspora ont voté
Crise ivoirienne : l’Afrique s’humilie
Je ne suis pas Ivoirien et je n’ai aucun intérêt en Côte d’Ivoire. Je n’ai donc pas voté pour Laurent Gbagbo ni pour son adversaire Alassane Ouattara. Cependant, comme observateur panafricain et analyste, je constate, depuis quelques semaines, que ce qui se passe dans ce pays est dangereux et présage d’un avenir incertain. L’imprudence et l’aveuglement des dirigeants africains face aux intérêts inavouables des puissances étrangères risque d’entraîner la Côte d’Ivoire mais aussi l’ensemble de la sous-région ouest-africaine dans la perdition.
Ce qui est aujourd’hui en cause, ce n’est ni le résultat des élections ni le respect de la légalité. Tout le monde s’appuie ou feint de s’appuyer sur ces deux éléments, apparemment objectifs, pour réclamer un changement de régime en Côte d’Ivoire. Ceci était prévisible ! Tous les clignotants signalaient depuis au moins cinq ans que ce pays s’acheminait vers une situation politique explosive. J’ai beaucoup de mal à croire que le président Laurent Gbagbo est le grand Satan tant décrié dans les médias et les capitales occidentales et que son adversaire est le grand messie tant attendu pour sauver l’ancienne colonie française désormais en proie à la violence.
Ce qui intrigue toute personne avisée des crises politiques en Afrique, c’est d’abord le silence convenu des géants économiques occidentaux qui opèrent massivement en Côte d’Ivoire et dont le chiffre d’affaires annuel avoisine plusieurs centaines de millions de dollars. Dans le climat de tension actuel, sont-ils favorables ou défavorables au camp de Gbagbo ou à celui de Ouattara ? Sont-ils totalement indifférents à un changement de régime en Côte d’Ivoire comme l’exigent les pays occidentaux ou participent-ils dans l’ombre au choix d’un des candidats ? Ce qui justifierait peut-être leur silence. En clair, sont-ils acteurs ou spectateurs impuissants d’une crise politique majeure dans un pays où ils se sont installés depuis un certain temps pour gagner de l’argent ?
Le second point de curiosité est fondé sur les réactions plus ou moins tardives et cacophoniques des Africains à travers la CEDEAO et l’Union Africaine. La première organisation menace de destituer le président sortant, au besoin en usant de la force, la seconde acquiesce et suit les recommandations ou les ordres des puissances étrangères demandant le départ de Laurent Gbagbo du pouvoir au profit de son adversaire Alassane Ouattara. Ces deux institutions suivent visiblement les positions officielles de quelques dirigeants occidentaux qui réclament l’éviction de Laurent Gbagbo. Il y a comme un petit malaise lorsque l’on sait que ces institutions proclament régulièrement l’indépendance de l’Afrique et la souveraineté des Etats africains. Honnêtement, quel dirigeant africain actuellement au pouvoir, depuis plus d’une décennie, serait prêt à accepter le traitement qui est réservé à Laurent Gbagbo en Côte d’Ivoire en ce moment ?
En même temps que la CEDEAO et l’Union Africaine s’empressent de sanctionner Laurent Gbagbo et ses proches, comme le font déjà les Etats-Unis et l’Union Européenne, elles envoient aussi dans l’ordre ou dans le désordre des médiateurs en Côte d’Ivoire. Les résultats de ces multiples médiations sont, pour l’instant, impalpables et invisibles. Et pour cause ! Une médiation peut-elle réussir lorsque les initiatives des Africains interviennent accessoirement et en marge des décisions des grandes puissances au lieu de les précéder ? Le spectacle de ces va-et-vient « diplomatiques » infructueux des Africains à Abidjan est affligeant et humiliant pour la diplomatie africaine.
Le moins qu’on puisse dire est que les Africains, plutôt que d’assumer eux-mêmes la gestion de cette crise dont ils devraient avoir l’entière responsabilité, s’alignent et s’appuient davantage sur un agenda extérieur en affichant des positions très peu cohérentes et très peu indépendantes. En se soumettant trop facilement à la pression extérieure, les Africains donnent d’eux-mêmes l’image de personnalités faibles, très influençables et pas très autonomes dans leurs décisions. Ce qui peut accréditer les préjugés courants sur l’Afrique et sur les Africains. Peut-on combattre ces préjugés en essayant de donner au moins l’impression que les Occidentaux n’ont pas toujours raison dans les affaires africaines ? Peut-on faire valoir que la gestion occidentale de cette crise est violente, indélicate et relativement grossière ? Devant cet état de fait, il y a le vide et le suivisme africains. L’imagination et la créativité africaines ont-elles déserté l’Afrique de l’Ouest et l’Afrique tout court ? J’ai du mal à le croire.
S’il s’agissait simplement d’un problème électoral en Côte d’Ivoire, pourquoi n’avoir pas proposé d’analyser tous les litiges électoraux de manière à lever toute équivoque sur le résultat final ? Pourquoi le point de vue de la CEDEAO est-il venu après celui de l’Occident alors que son expertise aurait dû primer par son efficacité et rassurer par sa sagesse ? Pourquoi avoir précipitamment entériné des résultats que l’on savait contestables et contestés dans la mesure où chaque camp se dit vainqueur de ces élections tout en accusant l’autre de fraude massive ? (Alassane Ouatara serait gagnant avec 54,1% d’après la commission électorale indépendante et Laurent Gbagbo l’emporterait à hauteur 52,6% d’après le Conseil constitutionnel).
Dans ces conditions, comment comprendre l’attitude de la CEDEAO et de l’Union Africaine qui ont d’abord privilégié des options moins diplomatiques face à ce qui apparaît comme une pression insupportable et gravissime des pays occidentaux sur un dossier de politique intérieure en Côte d’Ivoire ? Il est surprenant que personne n’ait éprouvé le besoin primitif de réagir aux déclarations tapageuses et intempestives du ridicule procureur Moreno-Ocampo (*).
A-t-on suffisamment pensé aux conséquences d’une décision hasardeuse sur les populations étrangères résidant en Côte d’Ivoire et sur l’ensemble de la sous région ? Quelle place accorde-t-on à la paix et à la sécurité des Ivoiriens dans cette affaire ? À en croire certains discours médiatique et politique, les Ivoiriens n’auront pas droit à la paix et encore moins à la sécurité si Gbagbo n’est pas évincé ou éliminé du pouvoir. Dans la même logique, l’ONU censée statutairement rester neutre ou du moins impartiale a aussi vite pris parti. Avant tout le monde, elle a affirmé dès le 3 décembre 2010, à travers son représentant et en pleine contestation des résultats, que Monsieur Alassane Ouattara était le président de la Côte d’Ivoire. A-t-elle facilité le dénouement de cette crise nationale ivoirienne ou l’a-t-elle compliqué ? Ce qui est étonnant est qu’immédiatement, la France et les Etats-Unis ont validé la position du représentant du secrétaire général de l’ONU Monsieur Young-Jin Choï sans prendre en compte la contestation des résultats par l’une ou l’autre des parties. Pourquoi agir de la sorte dans un contexte aussi tendu sur le plan politique ? Quel danger y avait-il à tout vérifier et à lever le doute sur les soupçons de fraude d’où qu’ils viennent ?
Il est difficile au moment où le consensus médiatique est total et que « la majorité » des pays puissants prétend avoir raison d’aller à contre-courant ou de poser des questions qui dérangent. Mon expérience de l’interminable crise des Grands Lacs africains m’autorise à douter sérieusement du fait que les élections sont véritablement la raison principale de l’attention que toutes les grandes puissances et l’ONU portent aujourd’hui à la Côte d’Ivoire. Je ne suis pas non plus convaincu que la transparence électorale ou l’alternance politique sont des arguments sérieux au sujet du contentieux qui oppose désormais ce qu’on appelle d’un côté « la communauté internationale » et le camp Ouattara à Laurent Gbagbo.
L’indifférence des pays occidentaux, tout comme celle des membres de la CEDEAO ou de l’Union africaine, à la fraude électorale en Afrique ou à la longévité politique outrancière de certains dirigeants africains est un fait qui n’appelle aucun commentaire désobligeant de ma part. Si ces principes étaient défendus avec acharnement dans toutes les élections africaines et s’ils étaient des vertus cardinales chez bon nombre de dirigeants qui sermonnent actuellement Laurent Gbagbo, tout le continent africain s’en féliciterait et les exemples seraient nombreux. Il me semble bien qu’évoquer les arguments sur le respect des résultats que très peu de gens connaissent d’ailleurs ou la transparence et l’alternance pour justifier ce qui se passe actuellement en Côte d’Ivoire n’est pas suffisant et certainement pas convainquant.
J’ai à ce propos un petit souvenir qui éclaire certains comportements étranges que j’observe ici et là dans ce dossier. C’est en 1999 que j’ai rencontré à Washington un fonctionnaire de la Banque Mondiale, visiblement bien informé, qui me confia au cours d’un déjeuner que si Monsieur Alassane Ouattara ne devenait pas président en Côte d’Ivoire, il y aurait « le feu dans ce pays ». À l’époque, je ne compris pas exactement la teneur de ces propos. Peu après, il y eut un coup d’Etat de l’officier ivoirien Robert Guei puis une crise politique, des élections mouvementées et l’arrivée au pouvoir de Laurent Gbagbo.
La côte d’Ivoire, depuis cette période, vit au rythme de tensions incessantes et d’une guerre tantôt ouverte tantôt larvée entre les forces rebelles proches de Ouattara et les forces gouvernementales de Laurent Gbagbo. Quelques pays voisins de la côte d’Ivoire n’ont pas brillé dès le début de cette crise interne par leur neutralité absolue ni par leur impartialité admirable. Intérêts pécuniaires et calculs politiciens obligent ! Ce qui est dangereux aujourd’hui, ce ne sont ni les propos du fonctionnaire de la Banque Mondiale en 1999 ni le rôle joué par certains voisins de la Côte-d’Ivoire mais le parti pris immédiat de certains médias, de l’ONU, de l’Elysée et de la Maison Blanche et surtout l’alignement servile des Africains eux-mêmes à travers l’Union Africaine et la CEDEAO. Le comportement de ces derniers, entérinant de facto une décision prise visiblement avant ou contre « le choix des Ivoiriens », est regrettable.
Prendre parti très vite et sans aucune précaution élémentaire en faveur d’un candidat à l’élection présidentielle, que quelques observateurs honnêtes reconnaissent comme particulièrement serrée, a été très imprudent. « Imposer » un candidat dans un contentieux électoral interne de façon aussi brutale et agressive est plus que troublant et pas très « démocratique ». Parmi les dirigeants africains qui prennent d’ailleurs position soit dans le cadre de la CEDEAO soit au sein de l’Union Africaine, combien peuvent prétendre avoir remporté des élections en toute transparence ou en dehors de fraudes avérées ? Combien ont été intronisés et légitimés alors même que leurs adversaires, déprimés par l’ampleur de la fraude, ne comprenaient pas le mutisme des représentants de l’Union Européenne et autres observateurs étrangers présents dans le pays ? Combien d’observateurs africains et occidentaux m’ont avoué avoir été témoins ou complices impuissants de la tricherie organisée lors d’élections présidentielles en Afrique Centrale et en Afrique de l’Ouest ?
Mon propos ici n’est pas de défendre un candidat contre un autre. Je crois simplement qu’un certain flou persiste sur les vrais résultats de cette élection, qu’il y a apparemment un réel problème d’impartialité dans cette affaire au point que toutes les menaces proférées contre un des deux candidats sont suspectes et disproportionnées par rapports à d’autres situations similaires. Il semble bien que les vraies motivations derrière cette situation ivoirienne sont volontairement tues au profit d’un tapage douteux sur la « légalité électorale ». Il apparaît clairement que les ingérences étrangères dans le dossier ivoirien sont flagrantes et nocives pour la paix, la sécurité et la souveraineté en Côte d’Ivoire.
Si personne ne veut revenir à la raison dans ce dossier, si personne, parmi les dirigeants africains qui ont pris fait et cause pour le discours dominant, n’accepte, par couardise, par opportunisme, par aveuglement ou pour des intérêts égoïstes, de questionner ce qui se passe aujourd’hui sous nos yeux, d’autres dirigeants africains risquent, à leur tour, de subir le même scénario et l’Afrique de l’Ouest risque bientôt d’être dirigée par des miliciens ou des « rebelles » et autres marionnettes à la solde d’intérêts extérieurs comme c’est déjà le cas en Afrique centrale. Ce processus engagé depuis le début des années 90 va s’étendre progressivement sous diverses formes dans une large partie du continent si les Africains continuent à somnoler sous leur beau soleil.
Faire l’impasse sur le contrôle des richesses de la Côte d’Ivoire et les raisons qui ont poussé à deux tentatives de coup d’Etat dans ce pays en 2002 et 2004, faire semblant de ne pas se souvenir des raisons qui ont conduit à la création d’une rébellion dans ce même pays, développer une amnésie sur le rôle des pays voisins dans le soutien apporté à la rébellion ivoirienne, à son financement et à son armement, ignorer volontairement toutes les pressions qui ont poussé à l’organisation d’élections dans un pays coupé en deux et contrôlé pour partie par des rebelles et pour l’autre par l’armée gouvernementale, faire fi de tout cela c’est ne pas vouloir comprendre ce qu’est en réalité le nouvel ordre mondial dans les relations internationales. Choisir l’autisme politique sur la crise ivoirienne c’est tourner le dos à l’avenir et vouloir soumettre les Africains à la loi du fusil, de l’instabilité, du banditisme politique, de la précarité chronique et du pillage.
Dire ceci n’a rien de défaitiste ou de fataliste, c’est simplement tenter d’apporter un peu de lucidité devant les nouvelles menaces qui visent tous les pays africains ayant des ressources économiques convoitées par l’Occident. Le dossier ivoirien rend tout observateur honnête sceptique à l’égard des discours pompeux sur la bonne gouvernance, le respect des droits de l’Homme, la transparence électorale et blablabla. Ce dossier est piloté en violation de tous les principes que prétendent aujourd’hui défendre ceux qui pérorent sur la légalité, l’Etat de droit, le respect des libertés publiques, etc.
Je l’ai déjà observé très attentivement dans la région des Grands Lacs, je le vois également au Soudan, pays riche en pétrole, qui sera coupé en deux en janvier 2011 et dont la CPI (Cour Pénale Internationale) veut aussi arrêter le chef de l’Etat en exercice. Les Africains de l’Ouest sont peut-être en train de subir leur premier baptême des régimes pro-rebelles. Il faut espérer qu’ils ne le regretteront pas.
CHARLES ONANA JOURNALISTE ET ECRIVAIN
(*) Cf. le dernier livre de Charles Onana : Al-Bashir Darfour, la contre-enquête, Paris, Editions Duboiris, 2010, 480 p. disponible en librairie et sur www.amazon.fr ou www.editionsduboiris.com
Kinshasa, 30/12/2010 (LP/MCN, via mediacongo.net)
mongo elombe
Re: Les ivoiriens de la diaspora ont voté
Le débat est arrivé aussi sur les plateaux télé de la RDC..
lino
Re: Les ivoiriens de la diaspora ont voté
Ma'Mongo, au lieu de se faire proclamer président, si Gbagbo avait eu la présence d'esprit de faire invalider le second tour pour permettre un nouveau vote, ils n'en seraient pas là. On dirait que l'institution qui devait le sauver l'a coulé car si le Conseil constitutionnel avait invalidé le vote plutôt que de présenter des résultats facilement contestables, on aurait déjà recompté et proclamé les résultats du nouveau vote. Le calcul a été fait par Gbagbo et sa clique et ils ont compris que les carottes étaient cuites pcq les voix de Bédié au premier tour ont été transférés à Ouattara. Je déplore l'ingérence de la CI mais l'irresponsabilité des ndirigeants africains, leur absence de compromis et leur alliance avec les maîtres occidentaux les discréditent tous sans exception. Aujourd'hui comme hier, Gbagbo se tournent vers ses camarades francais...En quoi est-il plus nationaliste que Ouattarra?
Qu'ils arrêtent de faire honte à l'Afrique et qu'ils trouvent un compromis honorable, avant que la CI ne tente un coup de force pcq nous savons que c'est ce qui se prépare.
Qu'ils arrêtent de faire honte à l'Afrique et qu'ils trouvent un compromis honorable, avant que la CI ne tente un coup de force pcq nous savons que c'est ce qui se prépare.
mongo elombe a écrit:Elu légitiment?????? C'est comme kabila,élu légitimement par la CI
Tsippora
Re: Les ivoiriens de la diaspora ont voté
C´est trés dangeureux, si une femme apprenne les gens à frauder dans la politique,
alors que moi qui voyait la rédynamisation de la citoyennété pourrait être réussit,
en ayant une femme á la tête des insititutions congolaises.
Upssalllaaaaa!!!!!
alors que moi qui voyait la rédynamisation de la citoyennété pourrait être réussit,
en ayant une femme á la tête des insititutions congolaises.
Upssalllaaaaa!!!!!
Flick de Kolwezi
Re: Les ivoiriens de la diaspora ont voté
C'est justemment cela qui est en cause monsieur Onana : le respect de la légalité. Toute votre argumentation tend à légitimer ou excuser des comportement qui sont la source de nos misères pour en attribuer la responsabilité à des puissances étrangères. Nous avons à faire à des dirigeants qui sont au dessus des lois et qui ne respectent rien. Gbado serait sorti vainqueur de ces élections et on aurait probablement pas eu cette crise.mongo elombe a écrit:
(...) Ce qui est aujourd’hui en cause, ce n’est ni le résultat des élections ni le respect de la légalité. (...)
CHARLES ONANA JOURNALISTE ET ECRIVAIN
(*) Cf. le dernier livre de Charles Onana : Al-Bashir Darfour, la contre-enquête, Paris, Editions Duboiris, 2010, 480 p. disponible en librairie et sur www.amazon.fr ou www.editionsduboiris.com
Kinshasa, 30/12/2010 (LP/MCN, via mediacongo.net)
Libre Examen
Re: Les ivoiriens de la diaspora ont voté
100% de ton avis! Comme je l'ai tjrs dit, son nationalisme circonstanciel c'est purement de la duperie.Tsippora a écrit:Ma'Mongo, au lieu de se faire proclamer président, si Gbagbo avait eu la présence d'esprit de faire invalider le second tour pour permettre un nouveau vote, ils n'en seraient pas là. On dirait que l'institution qui devait le sauver l'a coulé car si le Conseil constitutionnel avait invalidé le vote plutôt que de présenter des résultats facilement contestables, on aurait déjà recompté et proclamé les résultats du nouveau vote. Le calcul a été fait par Gbagbo et sa clique et ils ont compris que les carottes étaient cuites pcq les voix de Bédié au premier tour ont été transférés à Ouattara. Je déplore l'ingérence de la CI mais l'irresponsabilité des ndirigeants africains, leur absence de compromis et leur alliance avec les maîtres occidentaux les discréditent tous sans exception. Aujourd'hui comme hier, Gbagbo se tournent vers ses camarades francais...En quoi est-il plus nationaliste que Ouattarra?
Qu'ils arrêtent de faire honte à l'Afrique et qu'ils trouvent un compromis honorable, avant que la CI ne tente un coup de force pcq nous savons que c'est ce qui se prépare.mongo elombe a écrit:Elu légitiment?????? C'est comme kabila,élu légitimement par la CI
Admin- Admin
Re: Les ivoiriens de la diaspora ont voté
http://www.wat.tv/video/80-policiers-po ... hpbt_.html
Que ça soit GBAGBO, que ça soit le soi disant légitime aucun des 2 ne gouvernera en paix, le pays est divisé en 2 tout ce qui se dit, ne servira en rien, le mal est plus profond, on pourra dire, je suis pour, je suis contre, il faut une 3 ème personne.
Que ça soit GBAGBO, que ça soit le soi disant légitime aucun des 2 ne gouvernera en paix, le pays est divisé en 2 tout ce qui se dit, ne servira en rien, le mal est plus profond, on pourra dire, je suis pour, je suis contre, il faut une 3 ème personne.
mongo elombe
Re: Les ivoiriens de la diaspora ont voté
En lisant une entrevue de Michelle Alliot-Marie, on apprend que L Gbagbo possède des propriétés en France...
Mais pourquoi aujourd'hui nous parler d'ingérence française quand il pille son pays pour s'acheter des propriétés en France. Ces dictateurs n'ont pas appris de Mobutu et cie...!?
Mais pourquoi aujourd'hui nous parler d'ingérence française quand il pille son pays pour s'acheter des propriétés en France. Ces dictateurs n'ont pas appris de Mobutu et cie...!?
Admin- Admin
Re: Les ivoiriens de la diaspora ont voté
Mr l´Admn
Mobutu est une bonne réference....et ceux qui dirigent l´Afrique..ne lisent pas..ou pensent posseder un destin different
Troll ne cesse d´affirmer que Gbagbo a le choix..entre prolonger sa vie..et "mourir" emporté par une guerre qu´il va perdre
Exactement comme Mobutu...
Mandela avait offert á Mobutu l´exil en RSA..comme Obama le fait maintenant pour Gbabgo..repetition de l´histoire
Moi..ou le deluge semble dire Gbagbo la mort ou l´exil avec ses richesses
Mobutu est une bonne réference....et ceux qui dirigent l´Afrique..ne lisent pas..ou pensent posseder un destin different
Troll ne cesse d´affirmer que Gbagbo a le choix..entre prolonger sa vie..et "mourir" emporté par une guerre qu´il va perdre
Exactement comme Mobutu...
Mandela avait offert á Mobutu l´exil en RSA..comme Obama le fait maintenant pour Gbabgo..repetition de l´histoire
Moi..ou le deluge semble dire Gbagbo la mort ou l´exil avec ses richesses
GHOST
Re: Les ivoiriens de la diaspora ont voté
Amiral Troll la difference est que Gbagbo a la population, une armée organisée derrière lui.
Ce que Mobutu n´avait plus. Je pense que ca serait une érreur d´aller déloger Gbagbo par des armes.
Une déclaration signée ADO, "Il veut déloger son advairsaire pas par dans la douceur, sans faire couler le sang".
Bon je crois que ca serait avec la magie, car Gbagbo ayant la defense avec lui,
je ne sais pas que ses gardes rapprochés seront en carton.
L´atualité invoirienne http://www.tvbendele.com/videos/314/analyse-de-intervention-du-complot-de-la-cedeao
Ce que Mobutu n´avait plus. Je pense que ca serait une érreur d´aller déloger Gbagbo par des armes.
Une déclaration signée ADO, "Il veut déloger son advairsaire pas par dans la douceur, sans faire couler le sang".
Bon je crois que ca serait avec la magie, car Gbagbo ayant la defense avec lui,
je ne sais pas que ses gardes rapprochés seront en carton.
L´atualité invoirienne http://www.tvbendele.com/videos/314/analyse-de-intervention-du-complot-de-la-cedeao
Flick de Kolwezi
Re: Les ivoiriens de la diaspora ont voté
Sortie de crise post-électorale
Côte d’Ivoire : les évêques s’opposent à l’intervention armée
Par Pierre Emangongo
Les évêques de Côte d’Ivoire ont dit non à l’intervention militaire dans leur pays, privilégiant le dialogue comme solution de sortie de crise qui oppose désormais l’opinion internationale à celle de la Nation.
Les évêques de Côte d’Ivoire s’opposent à une intervention militaire pour la résolution de la crise post-électorale dans le pays compte tenu des dangers que cette voie constitue non seulement pour la nation ivoirienne mais aussi pour la sous-région, peut on lire dans le site : http://news.abidjan.net.
Ils proposent le règlement du conflit par le dialogue et appellent à l’apaisement. Leurs propositions sont contenues dans le message qu’ils ont adressé aux populations, en date du lundi 3 janvier 2011, à Abidjan.
«Que nos frères les Africains de l’Union africaine (UA), de la CEDEAO se rappellent le principe de solidarité africaine qui veut que quand la case du voisin brûle on l’aide à éteindre l’incendie. Aussi voudrions-nous attirer leur attention sur les conséquences incalculables d’une intervention militaire pour le pays et la sous-région ouest-africaine. Nous disons non à une telle intervention», indique le communiqué.
Pour les évêques ivoiriens, l’ONU doit se conformer aux principes fondamentaux qui la régissent et qui sont respectueux des droits de l’Homme. Et qu’elle se tienne strictement au maintien de la paix tout en respectant la souveraineté de la Côte d’Ivoire.
DEUX OPINIONS
Les évêques demandent aux Ivoiriens de rechercher l’unité, la cohésion et de cultiver l’esprit de fraternité. «Il convient en ces moments critiques et difficiles de se laisser guider par le souci constant de la recherche de la paix «, conseillent- ils. Les évêques demandent aux leaders politiques de régler la crise post- électorale pacifiquement, par la voie du dialogue, pour éviter de mettre la vie des populations en danger. Ils exhortent les partisans des leaders politiques au calme.
Entre-temps, Alassane Dramane Ouattara bénéficie du soutien de la communauté internationale au détriment du président sortant Laurent Gbagbo, soutenu par la majorité du peuple ivoirien. Ce qui donne à penser que la crise ivoirienne oppose l’opinion internationale à celle de la Nation.
Droits de reproduction et de diffusion réservés © Le Potentiel 2005
Usage strictement personnel.
L'utilisateur du site reconnaît avoir pris connaissance de la licence de droits d'usage, en accepter et en respecter les dispositions.
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OUATTARA a la milice des forces nouvelles avec lui, il n'a pas besoin de la CEDEAO et consort donc il peut aller déloger GBAGBO, les Ivoiriens ne veulent pas d'un étranger, de surcroit musulman et adoubé par les faiseurs de roi, tout ce cirque va finir sous l'arbre à palabre.
J'aimerai entendre sarko1er sur ce qui se passe en Tunisie, en Algérie et en Biélorussie.
Côte d’Ivoire : les évêques s’opposent à l’intervention armée
Par Pierre Emangongo
Les évêques de Côte d’Ivoire ont dit non à l’intervention militaire dans leur pays, privilégiant le dialogue comme solution de sortie de crise qui oppose désormais l’opinion internationale à celle de la Nation.
Les évêques de Côte d’Ivoire s’opposent à une intervention militaire pour la résolution de la crise post-électorale dans le pays compte tenu des dangers que cette voie constitue non seulement pour la nation ivoirienne mais aussi pour la sous-région, peut on lire dans le site : http://news.abidjan.net.
Ils proposent le règlement du conflit par le dialogue et appellent à l’apaisement. Leurs propositions sont contenues dans le message qu’ils ont adressé aux populations, en date du lundi 3 janvier 2011, à Abidjan.
«Que nos frères les Africains de l’Union africaine (UA), de la CEDEAO se rappellent le principe de solidarité africaine qui veut que quand la case du voisin brûle on l’aide à éteindre l’incendie. Aussi voudrions-nous attirer leur attention sur les conséquences incalculables d’une intervention militaire pour le pays et la sous-région ouest-africaine. Nous disons non à une telle intervention», indique le communiqué.
Pour les évêques ivoiriens, l’ONU doit se conformer aux principes fondamentaux qui la régissent et qui sont respectueux des droits de l’Homme. Et qu’elle se tienne strictement au maintien de la paix tout en respectant la souveraineté de la Côte d’Ivoire.
DEUX OPINIONS
Les évêques demandent aux Ivoiriens de rechercher l’unité, la cohésion et de cultiver l’esprit de fraternité. «Il convient en ces moments critiques et difficiles de se laisser guider par le souci constant de la recherche de la paix «, conseillent- ils. Les évêques demandent aux leaders politiques de régler la crise post- électorale pacifiquement, par la voie du dialogue, pour éviter de mettre la vie des populations en danger. Ils exhortent les partisans des leaders politiques au calme.
Entre-temps, Alassane Dramane Ouattara bénéficie du soutien de la communauté internationale au détriment du président sortant Laurent Gbagbo, soutenu par la majorité du peuple ivoirien. Ce qui donne à penser que la crise ivoirienne oppose l’opinion internationale à celle de la Nation.
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OUATTARA a la milice des forces nouvelles avec lui, il n'a pas besoin de la CEDEAO et consort donc il peut aller déloger GBAGBO, les Ivoiriens ne veulent pas d'un étranger, de surcroit musulman et adoubé par les faiseurs de roi, tout ce cirque va finir sous l'arbre à palabre.
J'aimerai entendre sarko1er sur ce qui se passe en Tunisie, en Algérie et en Biélorussie.
mongo elombe
Re: Les ivoiriens de la diaspora ont voté
Ces 2 là vont sûrement parler de notre "ami" Laurent
http://fr.news.yahoo.com/4/20110110/tts-france-usa-g20-sarkozy-ca02f96.html
http://fr.news.yahoo.com/4/20110110/tts-france-usa-g20-sarkozy-ca02f96.html
Admin- Admin
Re: Les ivoiriens de la diaspora ont voté
Raila odinga (Premier ministre Kenyan) - “Si Gbagbo reste, tout le monde s’accrochera au pouvoir”
http://www.africatime.com/CI/nouvelle.asp?no_nouvelle=573673&no_categorie=
http://www.africatime.com/CI/nouvelle.asp?no_nouvelle=573673&no_categorie=
Admin- Admin
Re: Les ivoiriens de la diaspora ont voté
Les pays d'Afrique noire,ont vraiment un problème de respectabilité,malgrès les 50 ans d'independance.
Mme Alliot-Marie,la ministre des affaires étrangères de la France,qui hier encore,donnait des leçons de democratie et de bonne gouvernance aux Ivoiriens,se dit aujourd'hui incompetente,pour s'ingerer dans les affaires interieures de la Tunisie.
Mais ce qui se passe en Cote d'Ivoire aussi,sont des affaires interieures non
La difference vient du fait que les pays du Magreb,après les independances,avaient clairement fait comprendre à la France que le cordon ombilical était coupé et qu'il n'accepterait plus l'interventionnisme dans leurs affaires interieures.
Les pays d'Afrique noire où plus precisement les dirigeants Africains Francophones se comportent encore comme des grands enfants,qui ont toujours besoin de la protection parentale.
Gbagbo sera peut etre,le president,par qui cette rupture va commencer,pour aboutir à l'independance totale,des pays d'Afrique Francophone.
Tonton Ricos
Re: Les ivoiriens de la diaspora ont voté
Et ça sera toujours ainsi aussi longtemps que la France voudrait toujours avoir sa "zone d´influence".Tonton Ricos a écrit:
Les pays d'Afrique noire où plus precisement les dirigeants Africains Francophones se comportent encore comme des grands enfants,qui ont toujours besoin de la protection parentale.
Gbagbo sera peut etre,le president,par qui cette rupture va commencer,pour aboutir à l'independance totale,des pays d'Afrique Francophone.
Arafat
Re: Les ivoiriens de la diaspora ont voté
Mbuta Arafat...
Faudra bien vendre le cacao..et ce n´est pas en Afrique que les exportations du cacao vont enrichir les paysans de la CI
Il n´existe pas des "États independants" sur cette planète actuellement..nous sommes tous connectés..appliquer les règles qui peuvent avance l´Afrique devait sans doute être une idée que devraient soutenir les Africains résidant dans des démocraties
La Tunisie Eza nde ebandeli..Ben Ali pensait être sur une île isolée sur une autre planète..Ce pays va aussi avancer vers la démocratie de gré ou de force..eza nde ebandeli
Faudra bien vendre le cacao..et ce n´est pas en Afrique que les exportations du cacao vont enrichir les paysans de la CI
Il n´existe pas des "États independants" sur cette planète actuellement..nous sommes tous connectés..appliquer les règles qui peuvent avance l´Afrique devait sans doute être une idée que devraient soutenir les Africains résidant dans des démocraties
La Tunisie Eza nde ebandeli..Ben Ali pensait être sur une île isolée sur une autre planète..Ce pays va aussi avancer vers la démocratie de gré ou de force..eza nde ebandeli
GHOST
Re: Les ivoiriens de la diaspora ont voté
Tout à fait Sir Troll et je pense que ce sont les accusations de corruptions diffusées par WikiLeaks faisant état d´une quasi-mafia autour de Ben Ali qui a suscité cette vague des manifestations que j´encourage vivement. Il semblerait même que la femme de Ben Ali soit elle-même une vraie mafiosaTroll a écrit:
La Tunisie Eza nde ebandeli..Ben Ali pensait être sur une île isolée sur une autre planète..Ce pays va aussi avancer vers la démocratie de gré ou de force..eza nde ebandeli
Arafat
Re: Les ivoiriens de la diaspora ont voté
Moi je vois les choses au delà de l'ingérence française ou pas ... Il faut que ça s’arrête .... ces chefs d'État qui restent éternellement au pouvoir avec l'appui de leurs milices .. ça me gonfle ça Sinon alors revenons au coup d'État comme seul moyen d'accéder au pouvoir.
Et puis ce discours xénophobe aussi me dérange .... je le compare au discours extrémistes des partis radicaux de la droite américaine ... Ils disent qu'Obama est Kenyan, musulman, étranger et ne peut donc pas diriger les USA. Trouvez-vous ça différent de l'ivoirité!? Ça me parait même PIRE car c'est entre nous africains NOIRS
kiadi kibeni
Et puis ce discours xénophobe aussi me dérange .... je le compare au discours extrémistes des partis radicaux de la droite américaine ... Ils disent qu'Obama est Kenyan, musulman, étranger et ne peut donc pas diriger les USA. Trouvez-vous ça différent de l'ivoirité!? Ça me parait même PIRE car c'est entre nous africains NOIRS
kiadi kibeni
Admin- Admin
Re: Les ivoiriens de la diaspora ont voté
Flash : Ouattara serait en soins intensifs à Paris ....
http://observatoirelibredanalysepolitiqueetdedocumentationafricaine.blogs.lalibre.be/archive/2011/01/14/alerte-dramane-ouattara-en-soins-intensifs-a-paris.html
djino
Re: Les ivoiriens de la diaspora ont voté
djino a écrit:
Flash : Ouattara serait en soins intensifs à Paris ....
http://observatoirelibredanalysepolitiqueetdedocumentationafricaine.blogs.lalibre.be/archive/2011/01/14/alerte-dramane-ouattara-en-soins-intensifs-a-paris.html
Djino, ce flash n'est qu'un mensonge a 2 likuta
http://www.leparisien.fr/international/ouattara-appelle-a-la-force-pour-faire-partir-gbagbo-14-01-2011-1227252.php
http://www.google.com/hostednews/afp/article/ALeqM5iZGwmFotoSHeKLejotMwAsZPQ1bA?docId=CNG.a4000b5cc704697e89e83671a9d69e14.131
Admin- Admin
Re: Les ivoiriens de la diaspora ont voté
Pour Simone Gbagbo, "Dieu a donné la victoire à Laurent"
lino
Re: Les ivoiriens de la diaspora ont voté
Sarkozy vient de reussir son coup,en imposant un imposteur à la tete de la Cote d'Ivoire. Et voilà le pillage des ressources naturelles qui va continuer de plus bel,par ces amis industriels.
J'espères qu'une chose:tous les crimes qui ont été commis dans ce pays,depuis 2002,ne resteront pas impunis.
Qu'il s'agissent de ceux commis par les hommes de Gbagbo,Ouattara,Soro,Onuci ou la force Licorne,qui en 2004 avait déliberement tiré sur les manifestants Ivoiriens,au quartier du Plateau.
J'espères qu'une chose:tous les crimes qui ont été commis dans ce pays,depuis 2002,ne resteront pas impunis.
Qu'il s'agissent de ceux commis par les hommes de Gbagbo,Ouattara,Soro,Onuci ou la force Licorne,qui en 2004 avait déliberement tiré sur les manifestants Ivoiriens,au quartier du Plateau.
Dernière édition par Tonton Ricos le 6/4/2011, 9:57 am, édité 1 fois
Tonton Ricos
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