Diomi Ndongala dénonce les tentatives de fraude et appelle au respect du délai constitutionnel
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Diomi Ndongala dénonce les tentatives de fraude et appelle au respect du délai constitutionnel
http://diomindongala.wordpress.com/2011/04/11/diomi-ndongala-denonce-les-tentatives-de-fraude-et-appelle-au-respect-du-delai-constitutionnel/
Diomi Ndongala dénonce les tentatives de fraude et appelle au respect du délai constitutionnel
Ecrit par José Wakadila le 11 avril 2011 à 6:43
Processus électoral
Diomi Ndongala dénonce les tentatives de fraude et appelle au respect du délai constitutionnel
« La RDC se trouve sur la voie du processus électoral. C’est le moment où tout homme devient égal à tout le monde y compris le président de la république sortant qui devient aussi candidat comme tous les autres. D’où, il faut se battre pour arracher le quitus populaire comme recommandé dans un pays démocratique ». Cette déclaration a été faite par Eugène Diomi Ndongala Nzomambu, président de la Démocratie Chrétienne (DC), au cours d’un point de presse tenu le week-end dernier au siège de son parti politique à Gombe.
A l’en croire, ces élections doivent être libres, démocratiques et transparentes, pour que le peuple congolais se choisisse un candidat capable de le représenter pour les cinq prochaines années. Mais plusieurs questions se posent par rapport au processus engagé et au bilan que devrait présenter les gouvernants sortants. Allusion faite au Chef de l’Etat, Joseph Kabila, qui doit présenter son bilan, afin que le peuple lui renouvelle son mandat.
Selon Diomi Ndongala, le peuple congolais doit refuser de lui renouveler ce mandat, compte tenu de son bilan négatif. En effet, dit-il, après ses dix ans (10 ans) de règne et les cinq ans d’exercice de son gouvernement actuel, le processus qui se met en place aujourd’hui, devait plutôt être planifié pendant les cinq dernières années (Cfr le fichier électoral).
Diomi Ndongala explique en effet qu’il est surprenant qu’à l’heure actuelle, on puisse encore ramener la population aux cartes d’électeurs – plutôt qu’aux cartes d’identité de chaque citoyen.
<BLOCKQUOTE>
« C’est de l’amalgame, de la méchanceté et du manque de considération pour la nation et pour le peuple qui a longtemps souffert dans son amour propre et dans son engagement d’être congolais ». Et d’ajouter : « A ce jour, les congolais n’ont plus le sens du pays, ni de la nation, voire d’être congolais ». Raison ? Le pays est mal représenté à tous les niveaux, mal dirigé, mal géré. Il poursuit : « Ici, je n’entre pas dans les résultats de gouvernance des cinq dernières années, caractérisée par les malversations financières, les détournements, le trafic et le placement de l’argent du pays dans des comptes à l’étranger, la concussion… ».</BLOCKQUOTE>
S’en tenir au délai constitutionnel
Diomi Ndongala estime que le délai constitutionnel en rapport avec les élections, doit être respecté, pour la simple raison que « gouverner, c’est prévoir ». Il n’est plus question pour le gouvernement sortant d’entraîner la population dans l’amalgame, dit-il. Car aujourd’hui, personne ne sait qui est congolais et qui ne l’est pas. La fierté nationale a disparu parce qu’aucun congolais ne dispose d’une carte d’identité. Les gouvernants ayant perdu leur temps dans les futilités, les désordres et la mauvaise gestion, cherchent à mettre à profit l’année électorale pour relancer de nouveau l’opération de la révision du fichier électoral. C’est inacceptable, pense le président de la Démocratie Chrétienne, parce que personne à ce jour ne peut différencier les véritables congolais des étrangers, qui curieusement disposent aussi des cartes d’électeurs.
Pour Diomi Ndongala, l’opération du fichier électoral de 2006 fut un système d’exception, parce qu’on pouvait encore comprendre que le pays venait de sortir de la guerre et qu’il y avait existence d’un gouvernement d’union nationale avec le système 1+4 ainsi que plusieurs autres problèmes à régler.
<BLOCKQUOTE>
« Mais aujourd’hui en 2011, après un mandat passé dans la quiétude la plus totale, il est inconcevable que l’on puisse ramener la population aux cartes d’électeurs. La démocratie Chrétienne dit non », a fait savoir Diomi Ndongala, promettant de ne pas laisser le pays entre les mains de ceux qui gouvernent pour leurs propres intérêts, quels que soient les menaces qui pèsent sur sa personne.
Pour corriger cet état de chose, Diomi Ndongala estime qu’il n’est pas encore trop tard pour que le gouvernement de la majorité lance un appel d’offres international pour sélectionner les firmes qui sont habilitées d’offrir des cartes d’identités à mettre à la disposition des citoyens congolais évalués démographiquement à 75 millions d’habitants. Même sans argent dit-il, le gouvernement peut garantir à chaque congolais de disposer de sa carte d’identité. Cela permettra non seulement de faire un fichier national des élections, mais aussi de créer un fichier national d’identification des congolais et d’organiser des élections à tout moment et non faire des cartes d’électeurs à tout moment. Mais à vrai dire, si les 75 millions des cartes d’identité à fabriquer étaient vendues aux congolais, le produit de la vente pourrait même contribuer à financer les élections du pays en fonds propres, et renflouer les caisses de l’Etat.</BLOCKQUOTE>
Pas de risque de retarder le processus
A une question sur le retard que pourrait occasionner cette démarche, Diomi Ndongala s’inscrit en faux. Il croît plutôt que les machines d’impression à technologie avancée dont disposent les pays asiatiques, européens et américains, permettent de réaliser rapidement près deux millions d’imprimés par jour. Ainsi, la commande des cartes d’identité infalsifiables et inviolables sur système de tender par le Gouvernement congolais, pourrait être réalisée dans une période de trois mois. « A cet effet, si l’on passait la commande dans le délai, c’est-à-dire au mois d’avril courant, la présidentielle pourrait commencer en début août 2011, suivi des législatives en novembre 2011. Dans le cas contraire, on pourrait coupler la présidentielle aux législatives. C’est une question de bonne foi », pense le leader de la Démocratie Chrétienne.
En outre, Diomi Ndongala est d’avis que le système des cartes d’identité à fabriquer et à vendre aux nationaux et aux congolais de la diaspora, permettrait de connaître les effectifs de ces derniers, qui auraient l’opportunité d’acquérir ces documents d’identité à partir des ambassades congolaises à l’étranger, par où ils seraient obligés de voter les candidats de leur choix. Pour les enfants qui naitraient, la société qui gagnera le marché sera assurée de produire chaque année un million de ces documents à doter à la progéniture.
De ce qui précède, le peuple congolais trouverait que le Chef de l’Etat Joseph Kabila cherche une occasion de fraude, au cas où il s’accrocherait au système de cartes d’électeurs, laquelle opération qui paraît aux yeux de la Démocratie Chrétienne, une perte de temps et d’argent pour rien.
Et déjà dans certaines chancelleries occidentales, le doute persiste sur la possibilité de l’organisation des élections en 2011, sur base du système des cartes d’électeurs avec enregistrement préalable des votants.
<BLOCKQUOTE>
Diomi Ndongala a saisi l’occasion pour dénoncer la révision de la constitution, et la tentative de modification de la loi électorale qui fixerait le montant de cinq mille dollars (5.000 USD) pour les candidats à la députation et cent mille (100.000 USD) pour la présidentielle. Cela, pour écarter les autres candidats de la course, et confisquer la gouvernance du pays, surtout lorsqu’on sait que le pouvoir en place a géré les finances publiques en confondant le trésor public aux comptes privés des individus. « Mais l’opposition politique veille au grain. Raison pour laquelle nous naviguons dans la même vision avec notre doyen Etienne Tshisekedi », a dit Eugène Diomi, ajoutant que la solution du problème congolais se trouve entre les mains de l’opposition plurielle, dont la DC est l’un des piliers. En clair, souligne-t-il, il est temps de sortir le peuple congolais de la misère et de la souffrance qui n’ont que longtemps perdurés.
Il a clôturé son intervention en invitant les militants de son parti (la Démocratie Chrétienne) à se joindre à ceux de l’UDPS pour la journée du 24 avril prochain au stade Tata Raphaël.</BLOCKQUOTE>Classé dans : Nationale, Politique Tags: Diomi Ndongala, espect du délai constitutionnel, Processus électoral
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Ecrit par José Wakadila le 11 avril 2011 à 6:43
Processus électoral
Diomi Ndongala dénonce les tentatives de fraude et appelle au respect du délai constitutionnel
« La RDC se trouve sur la voie du processus électoral. C’est le moment où tout homme devient égal à tout le monde y compris le président de la république sortant qui devient aussi candidat comme tous les autres. D’où, il faut se battre pour arracher le quitus populaire comme recommandé dans un pays démocratique ». Cette déclaration a été faite par Eugène Diomi Ndongala Nzomambu, président de la Démocratie Chrétienne (DC), au cours d’un point de presse tenu le week-end dernier au siège de son parti politique à Gombe.
A l’en croire, ces élections doivent être libres, démocratiques et transparentes, pour que le peuple congolais se choisisse un candidat capable de le représenter pour les cinq prochaines années. Mais plusieurs questions se posent par rapport au processus engagé et au bilan que devrait présenter les gouvernants sortants. Allusion faite au Chef de l’Etat, Joseph Kabila, qui doit présenter son bilan, afin que le peuple lui renouvelle son mandat.
Selon Diomi Ndongala, le peuple congolais doit refuser de lui renouveler ce mandat, compte tenu de son bilan négatif. En effet, dit-il, après ses dix ans (10 ans) de règne et les cinq ans d’exercice de son gouvernement actuel, le processus qui se met en place aujourd’hui, devait plutôt être planifié pendant les cinq dernières années (Cfr le fichier électoral).
Diomi Ndongala explique en effet qu’il est surprenant qu’à l’heure actuelle, on puisse encore ramener la population aux cartes d’électeurs – plutôt qu’aux cartes d’identité de chaque citoyen.
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« C’est de l’amalgame, de la méchanceté et du manque de considération pour la nation et pour le peuple qui a longtemps souffert dans son amour propre et dans son engagement d’être congolais ». Et d’ajouter : « A ce jour, les congolais n’ont plus le sens du pays, ni de la nation, voire d’être congolais ». Raison ? Le pays est mal représenté à tous les niveaux, mal dirigé, mal géré. Il poursuit : « Ici, je n’entre pas dans les résultats de gouvernance des cinq dernières années, caractérisée par les malversations financières, les détournements, le trafic et le placement de l’argent du pays dans des comptes à l’étranger, la concussion… ».</BLOCKQUOTE>
S’en tenir au délai constitutionnel
Diomi Ndongala estime que le délai constitutionnel en rapport avec les élections, doit être respecté, pour la simple raison que « gouverner, c’est prévoir ». Il n’est plus question pour le gouvernement sortant d’entraîner la population dans l’amalgame, dit-il. Car aujourd’hui, personne ne sait qui est congolais et qui ne l’est pas. La fierté nationale a disparu parce qu’aucun congolais ne dispose d’une carte d’identité. Les gouvernants ayant perdu leur temps dans les futilités, les désordres et la mauvaise gestion, cherchent à mettre à profit l’année électorale pour relancer de nouveau l’opération de la révision du fichier électoral. C’est inacceptable, pense le président de la Démocratie Chrétienne, parce que personne à ce jour ne peut différencier les véritables congolais des étrangers, qui curieusement disposent aussi des cartes d’électeurs.
Pour Diomi Ndongala, l’opération du fichier électoral de 2006 fut un système d’exception, parce qu’on pouvait encore comprendre que le pays venait de sortir de la guerre et qu’il y avait existence d’un gouvernement d’union nationale avec le système 1+4 ainsi que plusieurs autres problèmes à régler.
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« Mais aujourd’hui en 2011, après un mandat passé dans la quiétude la plus totale, il est inconcevable que l’on puisse ramener la population aux cartes d’électeurs. La démocratie Chrétienne dit non », a fait savoir Diomi Ndongala, promettant de ne pas laisser le pays entre les mains de ceux qui gouvernent pour leurs propres intérêts, quels que soient les menaces qui pèsent sur sa personne.
Pour corriger cet état de chose, Diomi Ndongala estime qu’il n’est pas encore trop tard pour que le gouvernement de la majorité lance un appel d’offres international pour sélectionner les firmes qui sont habilitées d’offrir des cartes d’identités à mettre à la disposition des citoyens congolais évalués démographiquement à 75 millions d’habitants. Même sans argent dit-il, le gouvernement peut garantir à chaque congolais de disposer de sa carte d’identité. Cela permettra non seulement de faire un fichier national des élections, mais aussi de créer un fichier national d’identification des congolais et d’organiser des élections à tout moment et non faire des cartes d’électeurs à tout moment. Mais à vrai dire, si les 75 millions des cartes d’identité à fabriquer étaient vendues aux congolais, le produit de la vente pourrait même contribuer à financer les élections du pays en fonds propres, et renflouer les caisses de l’Etat.</BLOCKQUOTE>
Pas de risque de retarder le processus
A une question sur le retard que pourrait occasionner cette démarche, Diomi Ndongala s’inscrit en faux. Il croît plutôt que les machines d’impression à technologie avancée dont disposent les pays asiatiques, européens et américains, permettent de réaliser rapidement près deux millions d’imprimés par jour. Ainsi, la commande des cartes d’identité infalsifiables et inviolables sur système de tender par le Gouvernement congolais, pourrait être réalisée dans une période de trois mois. « A cet effet, si l’on passait la commande dans le délai, c’est-à-dire au mois d’avril courant, la présidentielle pourrait commencer en début août 2011, suivi des législatives en novembre 2011. Dans le cas contraire, on pourrait coupler la présidentielle aux législatives. C’est une question de bonne foi », pense le leader de la Démocratie Chrétienne.
En outre, Diomi Ndongala est d’avis que le système des cartes d’identité à fabriquer et à vendre aux nationaux et aux congolais de la diaspora, permettrait de connaître les effectifs de ces derniers, qui auraient l’opportunité d’acquérir ces documents d’identité à partir des ambassades congolaises à l’étranger, par où ils seraient obligés de voter les candidats de leur choix. Pour les enfants qui naitraient, la société qui gagnera le marché sera assurée de produire chaque année un million de ces documents à doter à la progéniture.
De ce qui précède, le peuple congolais trouverait que le Chef de l’Etat Joseph Kabila cherche une occasion de fraude, au cas où il s’accrocherait au système de cartes d’électeurs, laquelle opération qui paraît aux yeux de la Démocratie Chrétienne, une perte de temps et d’argent pour rien.
Et déjà dans certaines chancelleries occidentales, le doute persiste sur la possibilité de l’organisation des élections en 2011, sur base du système des cartes d’électeurs avec enregistrement préalable des votants.
<BLOCKQUOTE>
Diomi Ndongala a saisi l’occasion pour dénoncer la révision de la constitution, et la tentative de modification de la loi électorale qui fixerait le montant de cinq mille dollars (5.000 USD) pour les candidats à la députation et cent mille (100.000 USD) pour la présidentielle. Cela, pour écarter les autres candidats de la course, et confisquer la gouvernance du pays, surtout lorsqu’on sait que le pouvoir en place a géré les finances publiques en confondant le trésor public aux comptes privés des individus. « Mais l’opposition politique veille au grain. Raison pour laquelle nous naviguons dans la même vision avec notre doyen Etienne Tshisekedi », a dit Eugène Diomi, ajoutant que la solution du problème congolais se trouve entre les mains de l’opposition plurielle, dont la DC est l’un des piliers. En clair, souligne-t-il, il est temps de sortir le peuple congolais de la misère et de la souffrance qui n’ont que longtemps perdurés.
Il a clôturé son intervention en invitant les militants de son parti (la Démocratie Chrétienne) à se joindre à ceux de l’UDPS pour la journée du 24 avril prochain au stade Tata Raphaël.</BLOCKQUOTE>Classé dans : Nationale, Politique Tags: Diomi Ndongala, espect du délai constitutionnel, Processus électoral
http://www.lareference.cd/2011/04/diomi-ndongala-denonce-les-tentatives-de-fraude-et-appelle-au-respect-du-delai-constitutionnel.html
https://www.facebook.com/EugeneDiomiNdongala#!/note.php?note_id=177696278947671
DC_CONGO_KIN +belle R.D.C
Diomi Ndongala dénonce les tentatives de fraude et appelle au respect du délai constitutionnel http://wp.me/p18AQh-5E
Il y a 24 minutes
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KOTA
Re: Diomi Ndongala dénonce les tentatives de fraude et appelle au respect du délai constitutionnel
LL´OPPOSITION FAIT BLOC
C´est sans doute la plus grande bonne nouvelle pour le Congo quand Radio Okapi annonce que l´opposition dans toutes ses formes peut faire front commun et avoir une position commune au sujet des élections..alors la graine est semée
6 decembre..6 decembre, la fin et pas plus
Le plus utile dans ce front commun de l´opposition reste la determination á ne pas accorder á Joé un jour de plus après le 6 decembre.
S´il pense s´amuser avec l´aide de la CENI en se basant sur la stratégie de Malu Malu qui allongeait les élections jusque l´an prochain, mais NO WAY
Joé a interêt á organiser les élections au mois de septembre au lieu du mois de novembre..Tout comme cette mauvaise option de "separer" les législatives des présidentielles....quand on a modifié la Constitution par manque d´argent NO WAY une fois de plus: les présidentielles et les législatives simultanement..
Ainsi, si l´opposition est assez soudée et forte; un nouveau président en compagnie d´une solide majorité au Parlement et EXIT Kanambe et ses mercenaires
Front commun et ya BASTA
C´est sans doute la plus grande bonne nouvelle pour le Congo quand Radio Okapi annonce que l´opposition dans toutes ses formes peut faire front commun et avoir une position commune au sujet des élections..alors la graine est semée
6 decembre..6 decembre, la fin et pas plus
Le plus utile dans ce front commun de l´opposition reste la determination á ne pas accorder á Joé un jour de plus après le 6 decembre.
S´il pense s´amuser avec l´aide de la CENI en se basant sur la stratégie de Malu Malu qui allongeait les élections jusque l´an prochain, mais NO WAY
Joé a interêt á organiser les élections au mois de septembre au lieu du mois de novembre..Tout comme cette mauvaise option de "separer" les législatives des présidentielles....quand on a modifié la Constitution par manque d´argent NO WAY une fois de plus: les présidentielles et les législatives simultanement..
Ainsi, si l´opposition est assez soudée et forte; un nouveau président en compagnie d´une solide majorité au Parlement et EXIT Kanambe et ses mercenaires
Front commun et ya BASTA
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