ELECTION PRESIDENTIELLE CE 28 Novembre 2011... RESULTAT 6 DECEMBRE....

mongo elombe a écrit:Indignons nous du rôle de MULUNDA.......... on doit le dégager c'est un MALU MALU bis et KABILA sera réelu, le scénario est déjà écrit à l'allure où ils vont.

Troll a écrit:

Eza na nzela..ezo ya

Quand Tshitshi disait tout haut dans un stade á Kin que les kinois savent ce qu´ils doivent faire le 6 decembre... Beaucoups des congolais n´étaient pas conscients que son message était très proche de la réliaté
......................................................................................................................
..............................................................................................................
Transition, mais pourquoi une transition

5 ans après on nous parle d´une transition..pour oragniser des élections c´est la solution pour calmer les congolais semble-t-il? mais qu´en pensent les lecteurs de cette page

Hiro-Hito a écrit: J'aborde aussi ds la mm direction q Troll
le 6 Dec c la fin du mandat, c dire q si le president sortant perdait les elections, c c jour la qu'il va plier baggage. L'option d'une transition en tt cas pour moi n'est pas envisageable.
Ce calendrier taille par Mulunda pour sauver son pote montre a ql point le pouvoir en place a echoue, cpdt, qcq l'opposition propose? Elle s'est reuni chez JC Mvuemba pour denoncer le calendrier, mais qlcq'elle envisage?
La Rue selon Tshisekedi apres le 6 Dec, Mais q veut exactement dire le 6 Dec? c dire les gens vont ds la rue c jour la ou bien le 7 Dec?
Dans la mesure ou les resultats etaient publies le 6 et q Tshisekedi etait gagnant, le 6 Dec veut dire, Kabila degage, pret ou pas pret, get out, ou bien la rue pour dire a Kabila bi liaki ye bi koki? nous n'avons pas 90 jours de plus a t'accorder...qcq 6 Dec veut exactement dire?
Ecq l'opposition ne peut elle faire des concessions? Accepter q les resultats soient publies le 6 mais trouver un terrain d'entente avec Mulunda sur l'echeance a accorder a Kabila et sa cohorte si la mouvance perdait?
Et notre corbeau national et lino qcq'ils raccontent?

"RDC : le pouvoir et l'opposition refusent en choeur
une période de transition "Carte de la RDC.
° http://www.rfi.fr/afrique/20110510-rdc-le-pouvoir-opposition-refusent-choeur-une-periode-transition
Plus d’une semaine après sa publication, le calendrier électoral congolais est au centre du débat politique en RDC. Il prévoit des élections le 28 novembre, une semaine avant la fin du mandat présidentiel. Vingt-six partis d’opposition ont signé un texte pour dénoncer ce calendrier. Et les deux camps, pouvoir comme opposition, se prononcent contre une éventuelle période de transition.
L’opposition soutient « mordicus » que le calendrier électoral publié par la CENI est inconstitutionnel et irréaliste. Mais elle réaffirme en même temps sa décision irrévocable de participer aux prochaines échéances électorales.

Pour remédier aux risques de dérapage, l’ONG de prévention des conflits International Crisis Group propose que le pouvoir et l’opposition se mettent d’accord pour une transition. Et ils sont d’accord en effet, mais pour dire non à cette proposition, comme l'explique Louis Koyagialo est le secrétaire général de la majorité présidentielle :
« Même si on accordait une transition, lorsque la volonté de contester, de trouver que tout ce qui est fait n’est pas bien fait, tel que j’observe, il y aura toujours une crise. Donc pour moi, une transition n’est pas souhaitable ».
Même refus du coté de l’opposition, par la voix de Jean-Claude Vuemba, président du MPCR qui soutient Etienne Tshisekedi :
« L’opposition rejette un gouvernement de transition qui serait un gouvernement d’irresponsabilité ! Est-ce que vous voyez le président national Etienne Tshisekedi, être le Premier ministre de Monsieur Kabila ? Je ne le pense pas ! »
De son coté, le président de la CENI, le pasteur Ngoy Mulunda, répète à qui veut l’entendre que ce calendrier est le fruit d’une concertation. Ce qui est vrai. Mais en mûrissant, ce fruit donne lieu à une discorde."

"Elections apaisées
° http://www.lepotentiel.com/afficher_article.php?id_article=109949&id_edition=8017
L’Assemblée nationale se prépare au grand débat sur la loi électorale. Mieux vaut tard que jamais. Maintenant, il faut rattraper le temps inutilement perdu pour éviter de nouveaux glissements sur le calendrier publié par la Commission électorale nationale indépendante (CENI).
Il est vrai que le retard pris par la loi électorale a fait dire que la charrue était mise devant le bœuf. Le moment est venu pour la classe politique congolaise de démontrer sa maturité en confectionnant une loi électorale qui ne porterait pas en elle-même les germes de prochains conflits.
Les raisons d’inviter la classe politique congolaise à privilégier l’intérêt de la paix chèrement acquise vaut son pesant d’or. En effet, les intérêts de la République ne seront pas pris en compte dès lors que cette loi ne tendrait qu’à satisfaire les appétits individuels.
Ainsi, une loi qui accorderait une place de choix à la consolidation des acquis de la démocratie permettrait des avancées significatives. Il ne faudrait donc pas s’éloigner des acquis de 2006. Il faut simplement améliorer ce qui peut l’être pour que le pays ne retombe dans un cycle de contestations post-électorales.
A bien prendre, les contestations ne pourraient trouver de place que lorsque les opérations pré-électorales n’auront pas permis de rassurer tout le monde. Les règles du jeu à édicter doivent être impersonnelles et être dictées par le seul souci d’assurer à tous l’égalité des chances au scrutin.
La RDC étant un pays aux dimensions continentales, avec des diversités multiples ainsi que des sensibilités variées, la loi électorale en discussion à l’Assemblée nationale ne devrait pas éluder ces questions, en consacrant la politique de l’autruche. Un tel comportement porterait un coup dur à la jeune démocratie congolaise. Le pays n’en a pas besoin.
A quoi servirait-il d’organiser des élections dès lors que l’on est convaincu de planter, à ce stade le décor de la contestation, d’une part. De l’autre, à quoi servirait-il de s’engager dans un processus électoral si, d’avance, on se préparerait à contester systématiquement les résultats des urnes?
L’intelligence des députés et sénateurs est ainsi mise à rude épreuve dans le but de trouver le juste milieu permettant de poursuivre le cycle électoral dans un climat de confiance et d’apaisement.
A bien prendre, la crédibilité des élections de 2011 dépend du sérieux avec lequel les débats seront menés par les députés et sénateurs appelés à reprendre du goût du chemin de l’hémicycle pour le bien de la nation tout entière."

"Le Climat Tempéré - Retour à la Transition?° http://www.congoforum.be/fr/nieuwsdetail.asp?subitem=1&newsid=177028&Actualiteit=selected
La Commission Electorale Nationale Indépendante a lancé samedi l’opération complémentaire de révision du fichier électoral dans 17 communes sur les 24 que compte la ville province de Kinshasa. Il s'agit des communes de Bandalungwa, Barumbu, Bumbu, Gombe, Kalamu, Kasa-Vubu, Kinshasa, Kintambo, Kisenso, Lemba, Limete, Lingwala, Makala, Matete, Ngaba, Ngiri-Ngiri et Selembao. Pour se rendre personnellement compte de l'effectivité des opérations sur terrain, le président de la Ceni, Ngoy Mulunda, le Vice-président, prof Djoli Es’Engekeli, la Questeur, Mme Carole Kabanga et la Questeur adjointe, Elisée Muhimira ainsi que les délégués de la Division électorale de la MONUSCO ont visité trois centres d'inscription, à la Gombe, à Kintambo et à Matonge dans la commune de Kalamu.
Le bureau de la CENI s’est dit encouragé par les premiers pas de l’opération de révision à Kinshasa. L’on note cependant déjà quelques problèmes techniques. Depuis le début des opérations de révision du fichier à travers les provinces, ce sont les mêmes questions qui sont posées à l’organisation : le manque de moyens financiers pour maintenir le personnel de la CENI au poste de travail ; le déficit en capacités techniques des agents dans plusieurs centres d’enregistrement ; la vétusté des kits et matériels électoraux ; le manque de moyens de communication et de transport du personnel et des matériels.
A Kinshasa, le programme prévoit que l’opération soit bouclée en 60 jours au lieu de 90 retenus pour les autres provinces. Mais les voix se font de plus en plus pressantes pour dire que la révision du fichier électoral ne pourra pas être conduite à terme de façon satisfaisante. L’on estime qu’en raison des difficultés qui se présentent à elle, la CENI ne sera pas en mesure d’achever l’enrôlement de tous les Congolais désireux de voter et que plusieurs électeurs potentiels seront laissés sur le bord de la route. En considération de quoi, livrant le week end dernier sa position concertée sur le calendrier électoral, l’opposition le qualifie justement d’irréaliste.
Mais encore elle réitère le reproche concernant l’inconstitutionnalité du calendrier du fait du prolongement d’office du mandat de l’actuel président. Il semble bien que l’on risque de déboucher sur un dialogue de sourds. Et d’ores et déjà des lobbies commencent à envisager sérieusement l’hypothèse d’une concertation entre les partis de la majorité et ceux de l’opposition pour un compromis politique global devant permettre de mettre en place un gouvernement d’union nationale pour la gestion de la transition qui devrait s’ouvrir à partir du 6 décembre 2011, date de la fin du mandat constitutionnel du président de la République sortant. Il est un fait que le calendrier électoral est très serré.
Pour le tenir, il faudra une exécution parfaite, presque chronométrée des différentes étapes. Dans ces circonstances, poser le problème de la prolongation des délais ne relève peut-être pas simplement d’une volonté des politiciens congolais de compliquer la tâche. Une nouvelle question vient s’ajouter au débat pour appuyer la thèse de la prolongation. Dans la situation où l’on est, quand bien même l’on parviendrait à réduire les délais des opérations électorales de manière à rentrer dans la norme constitutionnelle concernant la fin du mandat du président actuel, qu’arrivera-t-il si par malheur la CENI devait, en bout de course, se retrouver devant l’obligation de prononcer l’annulation pour tout ou partie de l’ élection présidentielle ? Que deviendrait dans ce cas le délai constitutionnel ?
L’on voit donc bien la pertinence de la disposition qui indique qu’à la fin de son mandat, le président sortant reste en fonction jusqu’à l’installation du nouveau président élu. Pour toutes ces raisons, plusieurs avis considèrent donc que la négociation d’un consensus politique autour de la problématique de la date du 6 décembre 2011 demeure impérative, pour pouvoir organiser les élections sereinement et ne plus se laisser enfermer dans le carcan du fétichisme de dates à tenir à n’importe quel prix. Mais, dans ce cas là, devrait-on absolument envisager l’organisation d’une transition politique exceptionnelle ? Le débat reste ouvert. "

"RDC: Elections présidentielles et législatives fixées
au 28 novembre 2011 et délais constitutionnels "
° http://www.congoone.net/one/index.php?option=com_content&view=article&id=487:rdc-elections-presidentielles-et-legislatives-fixees-au-28-novembre-2011-et-delais-constitutionnels-&catid=1:politique&Itemid=2

"Elections 2011 :
L’«ECiDé» invite ses militants de Kalamu à la vigilance
° http://www.congoindependant.com/article.php?articleid=6499
Au cours d’une adresse faite samedi 7 mai, le président national du parti politique "Engagement pour la citoyenneté et le développement" (ECiDé), Martin Fayulu, a exhorté les militants de la commune kinoise de Kalamu à la vigilance au cours du processus d’enrôlement électoral dans la capitale afin de contrecarrer toutes les tentatives de tricherie..."
° http://www.congoindependant.com/article.php?articleid=6490