Lu (Afriquechos) : Kabila, dépassé, s’en remet aux sectes religieuses

(...)Quand le gouvernement proclame des pasteurs « inventeurs », « savants » et valide des médicaments prétendument miraculeux
Côté santé, point besoin de construire, de réhabiliter et d’équiper les hôpitaux et les dispensaires, le gouvernement a trouvé ses messies qui proposent la panacée comme le signalait un autre article repris par le même Digitalcongo.net : « Le ministère congolais de la Recherche scientifique a décerné un brevet d’invention à l’Église « Liloba na Nzambe » pour avoir inventé un produit thérapeutique « Jus » qui a fait ses preuves tant en RDC qu’en Belgique, en Afrique du Sud et au Canada, a indiqué l’évêque général Ukudji Marcel, conseiller chargé de l’œcuménisme et de l’éthique audit ministère. (…) Selon l’évêque général Ukudji, grâce à sa véracité et au caractère curatif du « Jus », le ministère de la Recherche Scientifique a autorisé l’Église « Liloba » de l’exposer et de le mettre à la disposition du grand public. Le même ministère a, en outre, plébiscité le Chef spirituel et Représentant légal de cette église, Khonde Mpolo Dominique, savant et « grand » prophète à cause de l’innovation de sa liturgie et de l’originalité de ses cantiques jugées comme une découverte authentique. »
Ce n’est plus le ministère de la recherche scientifique mais celui de la promotion du charlatanisme qui autorise la mise sur le marché d’un médicament sans aucune analyse de toxicologie, sans les nécessaires tests d’efficacité qu’exigerait n’importe quel pays normal ou plutôt n’importe quel pays dirigé par un gouvernement normal. Il y a quelques mois, un conseiller de Kabila était allé féliciter un autre pasteur qui affirmait avoir mis au point un médicament qui guérit du sida ! Rien que ça ! Cette fois là, c’était un journaliste de l’Agence Congo-Presse qui avait repris, avec enthousiasme et emphase, cette déclaration. Ça rassure, le journalisme serait à l’image du pays et marcherait aussi sur la tête…"

]b]"RDC, social zéro ![/b]
° http://www.aparecordc.org/forum//galerie//documents/13117595252643.pdf
2010, année du cinquantenaire de l'indépendance de la République démocratique du Congo,
avait été placée sous le signe du social. Force est de constater qu’aujourd’hui tous les
indicateurs socio-économiques sont plus que révélateurs de la nullité de ce … "décret
présidentiel" !(...)"

"RDC: à Kinshasa, on boit toujours l'eau du fleuve Congo malgré le choléra
° http://www.jeuneafrique.com/actu/20110727T123011Z20110727T123009Z/rdc-a-kinshasa-on-boit-toujours-l-eau-du-fleuve-congo-malgre-le-cholera.html
KINSHASA (AFP) - (AFP) - "Je bois l'eau du fleuve, et pourquoi pas? L'eau, c'est l'eau!", lance un brin défiant Fils Keto. Sur les berges du Congo à Kinshasa, les habitudes persistent malgré l'épidémie de choléra qui déjà fait près de 280 morts dans l'ouest de la RDC, le long du fleuve. (...)"

J"e reviens de Kinshasa!
° http://www.congoindependant.com/article.php?articleid=6676
Où va notre cher pays, la République très très démocratique du Congo? Que s’est-il passé pour que l’homme congolais soit déshumanisé au point de ne plus faire la distinction entre le vice et la vertu, l’honneur et le déshonneur, le bien et le mal? Je reviens de Kinshasa où j’ai passé un mois après quinze ans d’absence. Le purgatoire existe, je l’ai rencontré! La capitale congolaise est habitée par près de dix millions d’âmes sur une superficie de près de 10.000 km² (60 kilomètres de long sur 40 kilomètres de large). «Kin» est un véritable «supra tribu», un «melting pot» de toutes les ethnies et tribus du pays. Un brassage unique en Afrique noire qui permet aux citoyens du pays de vivre ensemble malgré leurs diversités. Cette position privilégiée permet à cette agglomération d’exercer une grande influence culturelle sur les Congolais tant de l’arrière-pays qu’à ceux de la diaspora. A titre d’exemple, la mode féminine part souvent des quartiers kinois où des «petits tailleurs» sur mesure rivalisent en inventivité dans la confection des «mabaya» (camisoles) et autres jupes. Les danses à la mode viennent de cette ville qui compte littéralement un groupe musical par rue. A «Kin», j’ai vu et vécu comment un peuple étreint par la misère a perdu la notion des valeurs. La précarité de la vie a transformé Kin-la belle de jadis en une "mégalopole de toutes les compromissions". Que faire? Seul un «feu de brousse» pourrait détruire le "mal être kinois" et redonner sa dignité d’être humain à cette population tirée constamment vers le bas par la pauvreté.
Selon mon ami qui sait tout sur tout et presque tout sur rien sur les potins de Kinshasa-Lez-Immondices, je n’ai rien vu de spécial par rapport à son propre vécu dans cette vaste cité urbaine. Voilà qu’il se met à me raconter par le menu son expérience. Il commence par me faire grâce des tracasseries administratives à l’arrivée et au départ au niveau de l’aéroport de Ndjili - où chaque petit fonctionnaire de la douane ou du service d’hygiène tente de délester les voyageurs de quelques dollars sous divers prétextes. Il n’évoque que ses «mésaventures» dans la ville.
Après avoir déposé ses affaires à l’hôtel, mon ami se rend dans un ministère où il était attendu. «J’ai rendez-vous avec le ministre», dit-il à un agent du Protocole de «Son Excellence». Celui-ci interpelle son collègue : « Kombo ya tata fulani ezali na liste ya ba-audiences ? L’autre de répondre : «Namoni te !». Et pourtant mon ami était bel et bien attendu par le "patron". Malin comme un vieux singe à qui l’on n’apprend pas à faire des grimaces, mon ami a compris le manège. «Omelaka masanga nini?», lance-t-il à l’agent du protocole. Le fonctionnaire jusque là acariâtre affiche aussitôt son plus beau sourire en voyant un billet de cinq euros. Il communique à mon ami le numéro de téléphone du conseiller en communication de «Son Excellence».
Journaliste de formation, mon ami est surpris de constater que le fameux conseiller en communication est également journaliste dans un média de la place. Après avoir pris un rendez-vous ferme pour rencontrer le membre du gouvernement dont question, le conseiller dit à mon ami : «Il faut okanisa ngai». Devant l’incrédulité de mon ami, le locuteur se fait plus précis : «Il faudra osala mua geste parce que bato mingi baza koluka komona ministre…». Traduction : il faut un petit "cadeau". «Comment faites-vous pour être journaliste et attaché de presse» ?, demande mon ami à son interlocuteur. «Nakolia éthique na déontologie ?», lui rétorque ce dernier. Pour se changer les idées, mon ami va acheter un paquet de cigarettes chez une marchande de rue. Le paquet coûte 2.450 francs congolais. Il remet trois mille francs à la vendeuse qui lui tend le paquet de cigarettes mais sans la monnaie. «Papa nasi napesi yo cigarettes. Oza kozila nini ?», lance la marchande. Etonné, mon ami de répondre naïvement : « Ozongisi ngai monnaie te.» Avec un aplomb inattendu, la dame lance : «Papa namoni ovandaka awa te. Naza na monnaie te…»
Le lendemain, mon ami se rend à la Banque commerciale du Congo pour acheter quelques billets de francs congolais. Il se pointe à un des guichets. Il brandit trois billets de 100 euros. L’employée de banque lui dit : «Papa kende libanda bakosala yo échange na taux ya malamu… ». Décidément. De passage sur le boulevard du 30 juin, il voit des policiers entrain de disperser brutalement un petit groupe de vendeuses de beignets à la Place ex-Braconniers. Intrigué de voir qu’un autre groupe de vendeuses n’est pas inquiété, mon ami demande l’explication à un des policiers. «Réponse : Ba mama oyo tobengani bafutaki pako te !». Pour ne pas devenir fou, mon ami est allé illico presto à Brussels Airlines faire sa réservation pour le prochain vol. Destination : Bruxelles. «Kinshasa est devenue la capitale des antivaleurs», me dit-il en débarquant à Zaventhem."

Pour deux des chantiers majeurs de son quinquennat, la sécurité et la santé, les options choisies par le régime de Kinshasa mériteraient qu’on s’y attarde comme l’a fait, les 28 et 29 juin 2011,

http://www.afriquechos.ch/spip.php?article5299

Kinshasa: le défi de l’hôpital du Cinquantenaire, selon Margareth Chan

Mme Margareth Chan, directrice générale de l’OMS en mission en RDC a visité ce mardi, à Kinshasa, quelques infrastructures sanitaires existantes ou en construction comme l’hôpital du Cinquantenaire. Elle a invité le gouvernement de la RDC à s’assurer du bon fonctionnement et de la maintenance de ce bijou.
Le défi à relever, selon lMargareth Chan, c’est que cet hôpital doit demeurer en l’état où il se trouve et continuer à offrir des soins de qualité selon les normes de la science comme c’est le cas à travers le monde.



http://radiookapi.net/actualite/2011/02/08/le-defi-de-lhopital-du-cinquantenaire-en-construction-a-kinshasa-selon-la-directrice-generale-de-l%E2%80%99oms/

lino a écrit:

Pour deux des chantiers majeurs de son quinquennat, la sécurité et la santé, les options choisies par le régime de Kinshasa mériteraient qu’on s’y attarde comme l’a fait, les 28 et 29 juin 2011,

http://www.afriquechos.ch/spip.php?article5299

A force de lire des bêtises sans vérifier ,on risque de devenir bêtes soit même...
Mobutu a t il construit 1 seul hôpital en 35 ans???
Ceux construit pas des Belges,dans quel état de délabrement les a t il laissé!!!

l’hôpital du Cinquantenaire...coming soon.

"(...) Elle a invité le gouvernement de la RDC à s’assurer du bon fonctionnement et de la maintenance de ce bijou.
Le défi à relever, selon lMargareth Chan, c’est que cet hôpital doit demeurer en l’état où il se trouve et continuer à offrir des soins de qualité selon les normes de la science comme c’est le cas à travers le monde.
Après l’hôpital du Cinquantenaire, elle s’est ensuite rendue, tour à tour, à l’INRB (Institut national de recherche bio-médicale), partenaire de l’OMS, et au Programme élargi de vaccination (PEV).A l’INRB, la directrice générale de l’OMS a rassuré le personnel et le comité de gestion de la place de la volonté de son organisme de poursuivre la collaboration avec ce grand laboratoire congolais.(...)", dixit Mme Chan...

King David a écrit:

En d'autres termes, l'OMS nous dit que Kinshasa n'est plus une ville. Elle est plutôt un grand village (ou marché) plein de bidonvilles, voire un camp de réfugiés qui n'a aucune infrastructure. En effet, qui ignore que les matières fécales des toilettes débordent sur les voies publiques?
Malgré tous les meilleures hôpitaux du monde, si l'environnement (propreté) n'est pas de mise, rien ne sera fait.
Mr Lino qui ne cesse de mettre des photos ici, se rend-il compte de l'inefficacité de celles-ci?

ndonzwau a écrit:Ce sacré Lino-Mende National, comme toujours a toujours les yeux sur son derrière quant à voir
ce que tout le monde voit de la catastrophique gestion de son Messie de pacotille !
S'il savait bien lire, il aurait compris que Mme Chan qui en bonne professionnelle connait les besoins
d'une République de misère comme la nôtre en matière de santé; il n'a point besoin de perles
dont les coûts sont dirimants pour une bonne politique de developpement et surtout dont
elle doute le déficit d'entretien ! C'est noir sur blanc dans ses proos pour qui saiyt lire !

Lino-Mende-Local, en manière de poltique de santé, notre pays n'a pas besoin de perles, laissez çà
aux parvenus nouveaux riches qui ne comprennent rien à la valeur de l'argent qui sont émerveillés
par lemoindre éléphant blanc, il a besoin de nombreux petits cailloux.. Une multitude de centres
de santé et de dispensaires dans tout le pays pour s'occuper prévention auprès des enfants et
des mères par des vaccinations notamment, des petits hôpitaux qui drainent les pathologies plus lourdes,
médicles et chirurgicales... Et pour cela il aurait fallu commencer par réamenager des nombreuses structures
qui existaient déjà et enfin seulement quelques hôpitaux de pointe et pas le contraire...
Bref une vraie politique qui aie un programme, donne des moyens qu'elle n'a pas aujourd'hui pour
le personnel et la logistique nécessaire et surtout des mesures d'hygiène générale qui bloquent
les épidémies comme le choléra qui tue ces jours-ci !
On n'a beau multiplier des hôpitaux des centenaires sans cela, la santé des populations restera catastrohique !

"(...) Elle a invité le gouvernement de la RDC à s’assurer du bon fonctionnement et de la maintenance de ce bijou.
Le défi à relever, selon lMargareth Chan, c’est que cet hôpital doit demeurer en l’état où il se trouve et continuer à offrir des soins de qualité selon les normes de la science comme c’est le cas à travers le monde.

C'est exactement ce défi qui est difficile à tenir alors que des multiples petits défis auraient peut-être
été mieux tenus et surtout rendraient plus service aux populations qu'une fameuse perle dont le coût
est prohibutif à la construction et l'entretien !
C'est l'élémentaire intelligence non seulement en santé publique mais en toute politique de développement !
Bon, passons...

Compatriotiquement!

.

ndonzwau a écrit:
"Lino-Mende-Local, en manière de poltique de santé, notre pays n'a pas besoin de perles, laissez çà
aux parvenus nouveaux riches qui ne comprennent rien à la valeur de l'argent qui sont émerveillés
par lemoindre éléphant blanc, il a besoin de nombreux petits cailloux.. Une multitude de centres de santé et de dispensaires dans tout le pays pour s'occuper prévention auprès des enfants et
des mères par des vaccinations notamment, des petits hôpitaux qui drainent les pathologies plus lourdes,
médicles et chirurgicales... Et pour cela il aurait fallu commencer par réamenager des nombreuses structures qui existaient déjà et enfin seulement quelques hôpitaux de pointe et pas le contraire..."

"C'est exactement ce défi qui est difficile à tenir alors que des multiples petits défis auraient peut-être été mieux tenus et surtout rendraient plus service aux populations qu'une fameuse perle dont le coût est prohibutif à la construction et l'entretien ! C'est l'élémentaire intelligence non seulement en santé publique mais en toute politique de développement !

Hiro-Hito a écrit: Kabila decide de dedier la RDC a Jesus Christ.
Je me demande pkoi ces pasteurs n'ont pas demande la liberation de Khutino? oh, c un autre pasteur aussi qui a accuse Khutino. Ncpas q bible e lobi "division te na kati na bino"? (1 Cor 1:10).
Exorcisme? bo banda nanu na Kabila ye moko, sima bo combattre nanu milimo ya likunya, mbasu, kindoki. Bo tala ndenge mboka e komi? deuxieme lien, attentions aux ames sensibles

http://www.exaltnews.com/index.php?option=com_content&view=article&id=1206:le-congo-et-son-destin-spirituel-joseph-kabila-decide-de-dedier-la-rdc-a-jesus-christ&catid=2:societe&Itemid=3


https://www.youtube.com/watch?v=KYZv8LZl0Mk

Quelle est la vision du chef de l'Etat
Pour sa part, le frère André Ngwej Katot, directeur de la presse présidentielle, a livré à l'assistance, la vision du cher de l'Etat sur la nécessité de dédier la RDC à Jésus-Christ. Il a , souligné que le président Joseph Kabila n'a jamais oublié de confier les destinées de cette nation à Dieu. Cela transparaît précisément dans tous ses discours à la nation. Il est convaincu que cette nation, à l'instar d'autres ; a besoin de Dieu pour son développement. Raison pour laquelle l'exorcisme collectif s'impose.

lino a écrit:

KD,

Voici ce que vous a laissé au peuple congolais pendant vos 32 ans de règne et de pillage....
Vous nous avez suffisamment prouvé que la santé du peuple congolais n'avait aucune valeur à vos yeux

Kamerhe a écrit:
J’ai comme vous tous entendu une fois que le Congo se porte mieux aujourd’hui qu’il y a 15 ans. Je me demande si on ne voulait pas plutôt parler des dirigeants du Congo qui se portent mieux aujourd’hui qu’il y a 15 ans.

Tenez, il y a 15 ans Mobutu a laissé le carton de Mpiodi (chinchard) à 25 USD ; Mzee Laurent Désiré Kabila l’a laissé à 30 USD et aujourd’hui il est à 90 USD.

Il y a 15 ans, les restaurants de grandes universités et le système de transport des étudiants et des professeurs fonctionnaient.

Il y a 15 ans, il existait un réseau de transport en commun public (SOTRAZ, CITY TRAIN), aujourd’hui, rien de tel. Chaque soir, nous assistons à un spectacle désolant de nombreux compatriotes qui rentrent à pied de la Gombe à Masina par manque de transport approprié.

Il y a 15 ans, la société nationale aérienne des transports avec des pilotes bien formés et régulièrement soumis au training faisaient la fierté du grand Zaïre, aujourd’hui la RDC.

Il y a 15 ans, on pouvait de Kolwezi atteindre Lubumbashi en 3
heures de temps.

Il y a 15 ans, la poste, la caisse d’épargne (CADECO) fonctionnaient partout,

Il y a 15 ans il n’y avait pas des massacres, des viols et de déplacements massifs des populations à l’Est, Il y a 15 ans, non seulement les trains de la SNCC arrivaient à Ilebo deux fois par semaine, mais ne connaissaient pas des
déraillements intempestifs ;

Il y a 15 ans, les bateaux de l’ONATRA reliaient Kinshasa à Kisangani en 3 jours et de façon régulière et dans des bonnes conditions de voyage.

Il y a 15 ans, quand on payait les cadres et agents de la Gécamines, de la MIBA, de l’Okimo, de la SNCC, de l’Onatra… leurs familles pouvaient se procurer tous les biens nécessaires, subvenir aux autres besoins et épargner.

King David a écrit:
Ceux qui ont suivi l'émission "ROUTES IMPOSSIBLES" sur TV5 ont été étonnés de constater que pour faire 650 km de Lubumbashi en direction de Kolwezi, le trajet se fait en 30 jours par route. Trente jours pour faire 650 km
Vive la Kanambie

Et dire que cela se passe bel et bien au Katanga Parcourir le trajet Lubumbashi-Bukama = 650 KMS, en 1 mois, au lieu de 4 jours

Tout cela à cause de Mobutu Devrons-nous attendre la "RÉSURRECTION" de Mobutu qui viendrait "réparer ses erreurs, avant que tout change au Congo

Orduna a écrit:

King David a écrit:
Ceux qui ont suivi l'émission "ROUTES IMPOSSIBLES" sur TV5 ont été étonnés de constater que pour faire 650 km de Lubumbashi en direction de Kolwezi, le trajet se fait en 30 jours par route. Trente jours pour faire 650 km
Vive la Kanambie

M. KING DAVID,
C'est avec grande de tristesse que j'ai regardé, à deux reprises, ce documentaire (Congo : le salaire de la peur) Et dire que cela se passe bel et bien au Katanga Parcourir le trajet Lubumbashi-Bukama = 650 KMS, en 1 mois, au lieu de 4 jours Tout cela à cause de Mobutu Devrons-nous attendre la "RÉSURRECTION" de Mobutu qui viendrait "réparer ses erreurs, avant que tout change au Congo Vive les CINQ SENTIERS

King David a écrit:

Ceux qui ont suivi l'émission "ROUTES IMPOSSIBLES" sur TV5 ont été étonnés de constater que pour faire 650 km de Lubumbashi en direction de Kolwezi, le trajet se fait en 30 jours par route. Trente jours pour faire 650 km

Vive la Kanambie

mongo elombe a écrit:La suite et j'attends un démenti de ta part.......... kieee tika mba distraction, j'ai des doutes sur la sincérité de KAMHERE mais là au moins atiei ton RAIS au poteau TOLEKA TIKA MBA DISTRACTION......




« …..Concernant la voirie, en plus des travaux en cours à Kinshasa et à Lubumbashi, le début de l’année 2011 coïncidera avec l’ouverture des chantiers de Kisangani, dont le pont reliant les deux rives de la ville, ainsi que ceux de Goma, Bunia, Bukavu, Kindu, Mbuji-Mayi, Kananga, Tshikapa, Mbandaka et Gemena…. » …..

J’ai comme vous tous attendu qu’une fois que le Congo se porte mieux aujourd’hui qu’il y a 15 ans. Je me demande si on ne voulait pas plutôt parler des dirigeants du Congo qui se portent mieux aujourd’hui qu’il y a 15 ans.

Tenez, il y a 15 ans Mobutu a laissé le carton de Mpiodi (chinchard) à 25 USD ; Mzee Laurent Désiré Kabila l’a laissé à 30 USD et aujourd’hui il est à 90 USD.