Si vous étiez un acteur politique de l'opposition ....

Admin, encore une fois, permettez-moi d'afficher d'abord in extenso une analyse pertinente
qui si elle ne répond pas spécifiquement à la question du sujet, y apporte beaucoup dans
la mesure où elle dépeint correctement la position et l'attitude de l'homme politique
Congolais au lendemain de ces élections et surtout à la veille de la publication
des resultats provisoires complets des législatives !

En effet, je ne sais pas si tout le monde saisit le risque explosif possible qui pourrait
provenir non de la population comme telle mais des hommes politiques et notamment des candidats
aux législatives ! Pourquoi ? Parce que les résultats supputés font éclater l'immensité
des tricheries, tripatouillages qui sont dénoncés non seulement par ceux de l'opposition
mais aussi par ceux de la majorité ! Aujourd'hui que ces "vautours" sont touchés à
leur portefeuille (la perte des 6.000 dollars qu'ils touchaient ou ceux qui étaient à
leur portée pour les nouveaux), cela entraîne leur (fausse!) prise de conscience
des manipulations inacceptables sans que cette dernière rejoigne toujours la bonne,
celle d'une démocratie bafouée qui n'apporte que malheur aux populations !

Ainsi donc la juste logique aurait du les faire réfuser aussi les résultats de la présidentielle :
les irrégularités ont été commises le même jour, dans les mêmes conditions, par la même
équipe; les présidentielles ayant forcément bénéficié des mêmes manipulations que celles
qu'ils reprochent aux législatives ! Mutatis mutandis les sanctions qu'ils réclament pour
les législatives, recomptage ou annulation devraient logiquement concerner aussi la présidenielle !
La décision de la CS n'est pas un obstacle insurmontable !
Que nenni, la présidentielle ne semble pas leur priorité alors que pour le Congolais moyen,
c'est bien elle qui le soucie en premier lieu; conséquence, leur possible révolte risque
fort de l'entraîner vers le rejet massif par la population en même temps que d'embraser
la contestation générale envers toute la classe politique, Kanambe en tête !
Attendons voir !!!

Je pense aussi à un autre facteur au delà de la pression propre de l'opposition et de
la population surtout dans la diaspora telle qu'elle reste aiguë aujourd'hui, au delà
de cette fronde des candidats, qui risque d'ajouter davantage de trouble à la situation;
c'est la prise de conscience elle-même de cette tourmente part le pouvoir !
Je me dis : Kanambe et les siens malgré leur puissance et leurs forts appuis extérieurs
ne sont pas aussi fous et irréalistes pour ne pas comprendre que s'instaure devant eux
une ère où gouverner par défi comme à leur habitude va être plus rude devant
un pays qui leur a manifesté un rejet si massif !
Voilà pourquoi la période ne doit pas être si sereine du côté de la dictaure, pourquoi
la pression devra continuer plus forte maintenant et partout et voilà pourquoi le rôle
de la classe politique surtout de l'opposition est plus que jamais par ces temps à
la stratégie et à l'action !


Je joins aussi d'autres liens d'articles aussi pertinents que toujours le même Potentiel
a consacré aujourd'hui à ces lendemains des élections !
Faites un effort de les lire tous, ils ne sont pas inintéressants !

"Crise postélectorale : l’insouciance des élites
Par Ben-Clet
° http://lepotentiel.com//afficher_article.php?id_article=119587&id_edition=10023
Comparé aux élections multipartites, mais opaques, de novembre 2011, le vote par acclamation, en vigueur sous le parti unique, n’a jamais soulevé autant de contestations. L’opinion nationale en est comme tétanisée.
Que font les Congolais quand, peu après l’élection présidentielle et les scrutins législatifs du 28 novembre 2011, ils se retrouvent avec, d’une part, un président de la République proclamé par la Commission électorale nationale indépendante, puis investi par la Cour suprême de justice. Et de l’autre, un président autoproclamé qui revendique la victoire des urnes ?

Il s’observe que, dans la Mouvance du président Kabila, des gens haut placés dans la nomenklatura minimisent publiquement la situation de crise, faisant semblant de banaliser l’étincelle annonciatrice d’un incendie. Il est cependant paradoxal que, dès la publication des résultats des législatives, les mêmes soi-disant kabilistes sortent les griffes dehors, dénonçant avec une rage insoupçonnée des fraudes massives et des irrégularités monstrueuses lors des derniers scrutins.
Entretemps, dans le camp de l’Opposition, où l’on vitupère contre les fraudeurs du bloc adverse, les tshisekedistes affichent une certaine impatience à être rétablis dans leur droit. C’est-à-dire la reconnaissance de la victoire de leur leader.
Pour être objectif, il faut ajouter à ce tableau noir les autres acteurs majeurs qui ont un mot à dire sur la vie de la RDC. Citons les évêques catholiques dont le verdict a été sans appel : les résultats de la présidentielle annoncés par la Commission électorale et validés par la Cour suprême de justice ne reflètent « ni la justice ni la vérité des urnes ».
Le point de vue de la puissante Eglise catholique est d’ailleurs réconforté par tous les observateurs internationaux : du Carter Center américain à l’Union européenne, en passant par la SADC (Southern african development community) et les centaines d’ONG congolaises.

Comment réagissent alors les Congolais face au dilemme ? Un contraste. En effet, selon que l’on se réclame officiellement du pouvoir, de l’Opposition ou simple citoyen, les avis sont nuancés. Ils vont de l’acceptation du verdict des urnes à l’invalidation des scrutins, en passant pas la restitution du pouvoir au gagnant, en l’occurrence Etienne Tshisekedi.

ELITES, LA SOURCE DU MAL
Les élites congolaises, voilà la source du mal dont a souffert et continue à souffrir le peuple. Pour une question requérant justice, éthique, moralité, vérité, les élites se lancent dans un juridisme débridé, assurées d’être récompensées pour avoir (encore) vendu leur âme, leur conscience contre des choses éphémères.
Néanmoins, ces élites jouisseuses sont rapidement rattrapées par leur inconstance. C’est ce qui explique la levée des boucliers dans leur camp au lendemain de la publication perlée des résultants des législatives.
Chaque jour qui passe, la radio, la télévision, la presse écrite sont littéralement inondées par des tonitruantes déclarations. Elles émanent de toutes les provinces avec cette particularité que celles où le président sortant aurait été élu avec une majorité statistique effarante, sont les premières à crier aux fraudes massives, aux bourrages des urnes.
La dernière déclaration en date explique mieux qu’un discours la légèreté des élites politiques. Un témoignage de Radio Okapi : « Une quarantaine de députés nationaux sortants de la Majorité présidentielle (MP) et de l’opposition, candidats aux élections législatives du 28 novembre, exigent l’annulation de ce scrutin sur toute l’étendue de la République ».

Cela paraît surprenant car, s’agissant hier de la présidentielle, ces députés et tant d’autres candidats inscrits, ont gardé un mutisme de cimetière. C’est à penser qu’ils avaient l’assurance que le « mal » électoral ne les atteindrait pas. Les voilà pris en étau. Que reprochent-ils au processus piloté par la Céni ?
Dans leur déclaration lue devant la presse, mardi 17 janvier, par le député Jean-Baudouin Idambito Bakaato, ils en appellent à des concertations politiques en vue de trouver des solutions appropriées aux différentes questions qui bloquent aujourd’hui «la marche normale du pays».
Au fond, ces députés de la Majorité et de l’Opposition estiment que les élections manquent de crédibilité, à cause «des irrégularités et des fraudes massives». Ils se disent soucieux «de sauver le pays du déchirement politique aux conséquences incalculables ». Comme des girouettes, les élites réagissent non pas pour la bonne cause nationale. Mais surtout pour sauvegarder leurs intérêts. Ils connaissent, par expérience, tous les leviers à actionner, si jamais des concertations ont lieu, pour revenir au pouvoir.
Certes, tous n’ont pas démérité. Mais à étudier les cas individuellement, l’on se rendra compte que la majorité d’entre eux a été sanctionnée par le souverain primaire pour égoïsme avéré, incompétence et antivaleurs.

Au fond, la sortie des députés de la Majorité sonne comme un aveu du manque criant de crédibilité des élections de novembre 2011. Une preuve de plus, qui apporte de l’eau au moulin de ceux – et ils sont de plus en plus nombreux – qui réclament le rétablissement de la vérité des urnes.
Est-ce que cette évolution de la situation postélectorale peut réveiller les consciences et pousser à chercher des voies de sortie au blocage ? Nous réservons notre réponse."


"Sans repères
La classe politique congolaise déboussolée
° http://lepotentiel.com//afficher_article.php?id_article=119568&id_edition=10023
La République démocratique du Congo navigue à vue, visiblement sans repères. Le gouvernement, réputé «démissionnaire» depuis le 20 décembre 2011, ne se réunit pratiquement plus. La Commission électorale nationale indépendante (CENI) n’est pas en mesure de publier les résultats provisoires des législatives à la date de son propre calendrier (13 janvier 2012). Les candidats à la députation nationale, toutes tendances confondues, crient à la «fraude massive» et à la «manipulation» des résultats. Déboussolée, la classe politique congolaise donne à penser qu’elle ne maîtrise rien. Sans idée exacte de véritables enjeux d’un pays promis à un bel avenir.
(...)
L’élite, la RDC n’en manque pas. Ils sont légion les Congolais formés dans les meilleures universités et les académies les plus prestigieuses du monde. Partout où ils œuvrent, sauf en RDC, ils brillent par leur expertise saluée par les pays qu’ils utilisent. Un savant américain, d’origine congolaise, a même travaillé à la NASA !
Mais, dès que ces brillants cerveaux rentrent au pays, c’est comme si un virus «made in RDC» leur est inoculé pour mieux les «intégrer» dans les anti-valeurs devenues des vertus au Congo-Kinshasa. Ils sont partagés entre la «morale» et «l’immorale». Méprisant la «justice» et la «vérité» pour s’accommoder au «fait accompli», sans effort remarquable en vue d’apprécier la «forme» et le «fond».
Sinon, comment expliquer que de brillants professeurs d’université et des intellectuels bien formés, évoluant dans les institutions de la République, viennent à oublier l’essentiel pour la RDC et le peuple congolais.
(...)
Le travail de conscientisation, d’éveil national, de prise en charge par les Congolais ne peut qu’être inspiré par cette même classe politique, loin des slogans creux et des comportements démobilisateurs. Bien plus, ce travail doit s’appuyer plus sur des «hommes d’Etat», hautement responsables, que sur des «hommes politiques» opportunistes pour les privilèges du pouvoir et malléables à souhait.
La valse saccadée des élections, au rythme d’une musique tonitruante marquée par de couplets au son des accusations sur la fraude, la corruption, la tricherie, la falsification des résultats, n’est rien d’autre que de l’opprobre. Cela suscite de l’indignation."

"Aveu d’irrégularités"
° http://lepotentiel.com//afficher_article.php?id_article=119541&id_edition=10023

"Au tricheur
° http://lepotentiel.com//afficher_article.php?id_article=119586&id_edition=10023
On se plaint à Idiofa. On sanglote à Kabongo. On accuse à Kabare. On dénonce à Mbandaka. On pleure à Bumba. On menace à Mbuji-Mayi. On s’étonne à Lubumbashi. Ça grogne à Kinshasa…. Les législatives ont-elles sonné le glas d’un système qui a longtemps masqué la tricherie et le mensonge, les faisant passer pour la vérité ? De partout, tout le monde se sent embarrassé : gouvernement, opposition, Société civile, experts internationaux,… tous crient au tricheur ! Même si c’est en des termes différents, le dénominateur commun demeure : il y a d’énormes erreurs et une tricherie quasiment planifiée.
«Apportez des preuves», rétorquent des illustres «tricheurs» accusés ou supposés. Des preuves ! Ce n’est pas puisqu’un étudiant, tricheur de son état, n’a pas été attrapé par le surveillant qu’il cesse de l’être. Aussi, en morale, un mal ne se transforme pas en bien puisqu’il n’a pas été ébruité. Le mal reste le mal et le bien reste le bien. On n’a pas besoin d’être attrapé en flagrant délit de tricherie pour reconnaître qu’il y a eu tricherie le 28 novembre 2011. Que faites-vous alors de votre conscience ?
Dans son célèbre «jugement», le Roi Salomon n’avait pas exigé à l’une des femmes qui se disputaient un enfant vivant la preuve de la maternité. Sage, c’est lui, Salomon, qui a usé de sa sagesse pour retrouver la vraie mère de l’enfant. Voulez-vous alors dire que dans notre cas, les Congolais auraient uniquement le droit de voter mais pas celui d’élire ? Pourquoi, bon Dieu, ne veut-on pas respecter la volonté du peuple si réellement, la démocratie est le pouvoir du peuple, par le peuple et pour le peuple ?
Avec ces élections à la congolaise, tout le monde à travers le Congo profond aurait sa vérité des urnes – puisque tous les résultats étaient affichés – sauf le président pasteur et « sa » CENI. Décidemment, au Congo démocratique, la démocratie devient un démon de division et, l’élection, une malédiction.
Sinon, pourquoi continue-t-on d’imposer au peuple une démocratie qui s’écrit à reculons, à tâtons ; une démocratie accaparée par des manitous dont la seule et unique préoccupation consiste à rechercher la jouissance, leur jouissance ? Mais, tenez ceci pour dit, chers messieurs : le ventre du Congo remue de plus en plus et les antidotes classiques ne servent plus à grand-chose. Il ne sert donc à rien de «vouloir diriger par défi». Il faut une justice ainsi qu’un dialogue vrai et sincère pour avancer vers la paix tant souhaitée par toutes les parties."

Compatriotiquement!

geetaime a écrit:On aura peut-etre une reponse a nos questions ce vendredi. Le president Tshisekedi tiendra une conference de presse ce vendredi.

Serait-ce lié à la conférence de ya Tshitshi ? On ne saurait le dire. Toujours est-il qu'il semblerait qu'on ait demandé à tout le monde d'éteindre son cellulaire pour des raisons de sécurité... à vérifier !

Libre Examen a écrit:

geetaime a écrit:On aura peut-etre une reponse a nos questions ce vendredi. Le president Tshisekedi tiendra une conference de presse ce vendredi.

Serait-ce lié à la conférence de ya Tshitshi ? On ne saurait le dire. Toujours est-il qu'il semblerait qu'on ait demandé à tout le monde d'éteindre son cellulaire pour des raisons de sécurité... à vérifier !

Il semblerait que c'était une décision de l'UDPS.

On pourrait suivre ya Tshitshi sur laredondance.com

Ya Tshitshi aurait déclaré qu'il rentre en fonction à partir d'aujourd'hui...

Libre Examen a écrit:Ya Tshitshi aurait déclaré qu'il rentre en fonction à partir d'aujourd'hui...

Libre Examen,

J'ai ouvert un autre sujet. Je suis aussi entrain d'ecouter la conference de ya Tshitshi. L'adm peut effacer mon sujet et reposter tes messages.

Je vais relire les interventions des uns et des autres mais pour ma part, il est difficile d'envisager une stratégie lorsqu'on ne connaît pas les tenants et aboutissants d'une situation. Je viens de lire que Tshitshi a porté plainte contre Joseph à laCPI...Il avait demandé l'aide de la Monusco pour sa sécurité et s'était plaint de ne pas être libre de ses mouvements. Nous n'en connaissons pas la suite. Des déclarations que ya Tshitshi a faites hier, nous ne savons pas si elles sont basées sur des faits vérifiables (le soutien de l'armée et de la police par ex.) ou si c'est une stratégie... On n'a pas tous les éléments donc difficile de proposer des actions hypothétiques, basées sur...rien!

ndonzwau a écrit:

joss0 a écrit:Belgique : aucune structure d'observation n'a remis en cause le classement des candidats à la présidentielle congolaise
(Xinhuanet 18/01/2012)

BRUXELLES -- Aucune structure composée d'observateurs internationaux n'a remis en cause jusqu'à présent le classement des candidats à l'élection présidentielle en RDcongo, a souligné mardi le vice-Premier ministre et ministre belge des Affaires étrangères Didier Reynders en réaction à la situation post-électorale dans cette ancienne colonie belge en Afrique centrale.

Il y avait de nombreuses irrégularités, mais elles ne peuvent pas changer le résultat de l'élection présidentielle du novembre dernier, a-t-il dit lors de sa première rencontre officielle avec la presse nationale et internationale comme le chef de la diplomatie belge et à l'occasion du Nouvel An.

M. Reynders a présenté, entre autres, la position de Bruxelles sur le dossier de la RDCongo à cette occasion.

La Belgique souhaite qu'une "nouvelle Assemblée dans de meilleures conditions de compilation des résultats de l'élection présidentielle" soit installée à Kinshasa pour rassembler l'ensemble des acteurs et que lors des prochaines élections locales, le processus se déroule mieux pour le dépouillement, a déclaré M. Reynders.

© Copyright Xinhuanet

http://www.africatime.com/rdc/nouvelle.asp?no_nouvelle=646873&no_categorie=

Mon pauvre JossO, mais qui vous a si facilement fait gober cette belle sottise
que les observateurs (sauf ceux comme les nôtres sur place qui en avaient envoyé
assez pour surveiller sur près de la moitié de bureaux) étaient là pour donner
des résultats précis ? Ils ont tous donné leur appréciation synthétique :
ces résultats manquaient de crédibilité... Et ceux qui comme les Catho et les Congolais
de l'Observatoire pouvaient le faire (30.000-27.000 observateurs) ont noté la victoire de Tshisekedi...
Que voulez-vous d'autre; que ne comprend pas votre petite cervelle, mon pauvre Mr ?

Si en raison de votre indigence intellectuelle et votre perversité mentale et morale,
vous avez besoin d'un avocat en la personne de ce Ministre belge dont le pays n'a
pas été capable de former un gouvernement pendant près de 2 ans, et bien beaucoup
de Congolais sont capables de lire la situation d'eux même...
Au cas où vous n'aurez toujours pas compris : on ne peut pas raisonnablement dire que
les tricheries immenses et planifiées font que ces résultats manquent de crédibilité
et en même temps conclure sur le bon ordre d'arrivée ! Il y aurait maldonne !
La triche était partout et encore davantage dans le fameux écart de 3 Millions
d'électeurs, il ne faut pas être super diplômé pour le saisir, mon pauvre JossO !

Dites-le à votre Ministre moi je lui ai écrit que nous n'étions plus les pauvres
nègres que ces ancêtres ont colonnisés et méprisés pour gober ses salades...
Il n'a qu'à se les mettre là où il veut mais désormais ce ne sera plus comme avant;
tenez-le pour dit !


Compatriotiquement!

Mr ndonzwau vous voulez entendre que ce qui vous intéresse et non la vérité, ne me dit pas que l'oposition n'ai pas capable de triché et de mentir.
dit moi croi tu que l'opposition aurait reconnu sa défaite?
Tshisekedi est une personne fini et il le sait, même si il a perdu il ne l’admettra jamais, il c’était déclaré vainqueur de l’élection avant même que les congolais parte voté, c’était un acte ridicule qui a enlevé sa credibilité et a montré sont non respect des électeur congolais.
Mr ndonzwau arrêté de rêvé, maintenant sur les fait, tshitshi a fait un discours demandant au congolais de l'accompagné jusqu'au palais du peuple pour qu'il prenne ses fonctions.
Dite moi Mr Ndonzwau dans une population Kinoise estimé a plus ou moins 10 millions d'habitant combien de kinois et parti soutenir Tshitshi a limeté?
1million
100 000
50 000
10 000
Donc Mr ndonzwau arrêtez de rêvé et réveillez vous SVP, vos cris, vos bruits, vos manifestations ou n'importe quoi, ne changerons rien au fait.
Kabila est vainqueur le 6 décembre est passé et la vie continu.
Les Kinois le savent mai vous vous persisté sur des choses sans queue ni tête.
si sa vous fait plaisir de nous traité de tout les noms ou de tricheur vas y, mai tu perds ton temps pour rien sur des choses terre a terre.
Les Kinois on voté en masse Tshitshi, personne ne dit le contraire, mai en démocratie il faut un gagnant et un perdant et admettre le gagnant, donc je pense que les Kinois acceptent le verdict des urnes car je pense pas que le pouvoir tirera sur 1millions ou même 10 000 congolais qui iraient à limeté pour manifesté avec tshitshi.
Mr ndonzwau, c'est pas moi qui traite Kabila de Rwandais alors que les Rwandais sont les protégés des américains et des anglais, donc vos stratégies sont nul. vous aurez du le traité de zimbabwéen ou un pays ennemie des américains pour espéré avoir le moindre impact.
Mr ndonzwau vous vous acharnez et dans 6 mois on aura le même discours et rien aura changé.
Mr ndonzwau je vous conseil d'aidé le gouvernement a faire venir les investisseur au Congo et permettre a plusieurs famille de vivre en travaillant, ou d'ouvrir comme on le fait en France les restos du cœur ou même secours populaire congolais, sa montrera ton vrai amour pour ton pays au lieu de prendre ton temps et tout ton énergie à le salir.
Mr Ndonzwau, vous êtes de l’opposition, donc faite votre opposition constructive en toute démocratie sans freiné le développement du Congo, aidé le gouvernement a faire les bons choix, dénoncé les choses injuste sans démagogie, faite votre par dans la société congolaise en vous impliquant activement pour aidé le Congo a allé de l’avant et surement que dans 5 ans votre candidat sera notre future président si le peuple le décide.

"Qui la cour suprême devrait-elle proclamer vainqueur ?
° http://www.congoindependant.com/article.php?articleid=7087
(...)
Les adeptes inconditionnels de l’importation de la formule démocratique occidentale ont décidément du pain sur la planche. En dépit de la récurrence et de la généralisation de cette greffe, elle s’est toujours illustrée par ses nuisances plutôt que par les services que les nations africaines sont en droit d’attendre d’elle. Cinq décennies après les indépendances, les élections libres, justes et transparentes dans le cadre de la démocratie partisane et conflictuelle sont l’exception tandis que les élections plus ou moins truquées constituent la règle générale. Sous d’autres cieux, on se serait arrêté net pour enfin réfléchir et mettre en place des mécanismes de gouverne alternatifs. Mais hélas, l’amnésie collective demeure une constance en Afrique dès qu’il s’agit de démocratie. Il y a fort à parier qu’après le départ d’une manière ou d’une autre du nouveau dictateur congolais, les nouvelles périodes de transition continueront à vouer un culte béat au modèle Westminster de démocratie. Est-ce une fatalité ? Non. Quand le peuple congolais assiste impuissant à ce qu’un Joseph Kabila nomme les membres de la cour suprême de justice pendant la campagne électorale, quand en prévision de sa candidature actuelle à la présidence l’opposant historique Abdoulaye Wade augmente les émoluments des membres de la cour constitutionnelle de son pays et leur offre des limousines sans que personne ne bouge, il est clair que le mal qui ronge les Etats africains plonge ses racines dans l’impunité dont jouissent les chefs d’Etat, elle-même consécutive à la grande capacité de patronage que leur laissent des institutions dites démocratiques. La solution ? Elle est forcément ailleurs que dans la démocratie de façade. Alors, cherchons-la. Discutons en aussitôt que quelqu’un prétend l’avoir trouvée. Ainsi avancent les sociétés humaines."

Compatriotiquement!