Diomi Ndongala: « Les députés de la DC ne siégeront pas à l’Assemblée nationale »
+12
SpirituS
Tsippora
GHOST
ndonzwau
djino
brown-man
Arafat
piélé de dongo
lino
LORD MBAKAMA
zobattants
KOTA
16 participants
Page 2 sur 2
Page 2 sur 2 • 1, 2
Re: Diomi Ndongala: « Les députés de la DC ne siégeront pas à l’Assemblée nationale »
En quoi ne pas participer aux institutions serait subitement devenu un levier importantTsippora a écrit:Exactement ce qu'il faut, procéder par étapes. Il faudra que l'opposition fasse preuve d'imagination pour proposer des scénarios de sortie de crise qui seront constructives. Ne pas participer aux institutions est un levier important, certainement l'un des seuls, qui reste à l'opposition. (certains voudront me rappeler que j'ai proposé que Ya Tshitshi dirige le gouvernement, en s'étant au préalable assuré d'avoir coupé tous les pouvoirs à Joe et cie - chose qui n'est pas en contradiction avec ma proposition).KOTA a écrit:UNE "REVOLUTION DE VELOUR" EST BIEN POSSIBLE. TROLL A BIEN COMPRIS LA SENSIBILITE DE LA QUESTION ET NDOM A POSE LE PROBLEME DE FOND: A MON HUMBLE AVIS, QUI N ENGAGE QUE MOI-MEME, CETTE REVOLUTION DE VELOUR EST POSSIBLE PAR UNE EQUILIBRAGE DU POUVOIR SUR TROIS PLANS: ESPACE PRESIDENTIEL, PREMIER -MINISTRE ET GOUVERNEMENT AINSI QUE PARLEMENT (PRESIDENCE DEFINITIVE ET BUREAU).
d'une lutte alors meme que par ailleurs ça ne l'a jamais été durant 5 ans ou même 30 ans ?
Je serais bien curieux de savoir comment ce doux rêve peut enfin s'accomplir ?
Sans oublier qu'on s'est bien moqué de nous en nous affirmant que cette fois on y allait,
fini d'être dehors !
Quelle entourloupe !!! Si on l'avait su...
Compatriotiquement!
ndonzwau
Re: Diomi Ndongala: « Les députés de la DC ne siégeront pas à l’Assemblée nationale »
Ne pas participer aux institutions issues de ces élections est une façon de confirmer l'illégitimité de Joseph et surtout, c'est une position qui confirme que la fraude ne s'est pas limitée à l'élection présidentielle. C'est une solution temporaire qui a été très efficace car certaines chancelleries occidentales commencent à peine à reconnaître la victoire de Joseph, près de deux mois après sa prestation de serment. Pensez-vous que ce soir par hasard? Siéger à l'Assemblée comme si de rien n'était est insensé, si on conteste les résultats de la présidentielle....
ndonzwau a écrit:
En quoi ne pas participer aux institutions serait subitement devenu un levier important
d'une lutte alors meme que par ailleurs ça ne l'a jamais été durant 5 ans ou même 30 ans ?
Je serais bien curieux de savoir comment ce doux rêve peut enfin s'accomplir ?
Sans oublier qu'on s'est bien moqué de nous en nous affirmant que cette fois on y allait,
fini d'être dehors !
Quelle entourloupe !!! Si on l'avait su...
Compatriotiquement!
Tsippora
Re: Diomi Ndongala: « Les députés de la DC ne siégeront pas à l’Assemblée nationale »
Siéger à l'Assemblée est insensé, dixit Ma Tsippo...Tsippora a écrit:Ne pas participer aux institutions issues de ces élections est une façon de confirmer l'illégitimité de Joseph et surtout, c'est une position qui confirme que la fraude ne s'est pas limitée à l'élection présidentielle. C'est une solution temporaire qui a été très efficace car certaines chancelleries occidentales commencent à peine à reconnaître la victoire de Joseph, près de deux mois après sa prestation de serment. Pensez-vous que ce soir par hasard? Siéger à l'Assemblée comme si de rien n'était est insensé, si on conteste les résultats de la présidentielle....ndonzwau a écrit:
En quoi ne pas participer aux institutions serait subitement devenu un levier important
d'une lutte alors meme que par ailleurs ça ne l'a jamais été durant 5 ans ou même 30 ans ?
Je serais bien curieux de savoir comment ce doux rêve peut enfin s'accomplir ?
Sans oublier qu'on s'est bien moqué de nous en nous affirmant que cette fois on y allait,
fini d'être dehors !
Quelle entourloupe !!! Si on l'avait su...
Compatriotiquement!
Mais pour quelle fin ? Pour ne pas apparaitre insensé ???
Attendons la suite de notre position sensée avec Ya Tshitshi Président...
A quel horizon, dans une semaine, un mois 3mois, 6 mois, 1 an, 2ans, 5 ans ?
Que le Dieu de nos Ancetres vous écoute, Ma Tsippo !!!
Compatriotiquement!
ndonzwau
Re: Diomi Ndongala: « Les députés de la DC ne siégeront pas à l’Assemblée nationale »
Mbuta Ndozwau
En lisant dans Le Potentiel qu´un diplomate US á Kin "invite" les parlementaires de l´opposition á sièger á l´Assemblée nationale Ben..booom, entre les lignes, revoici les USA qui jouent la partition de la légalité ..
Pourquoi les USA souhaitent-ils voir une...participation de ceux qui ont été lesés dans cette tricherie..tout en parlant d´un gouvernement inclusif
C´est quoi le fond de ces negociation de la "pax americana" Nous disions que le refus de l´opposition est un argument pour obtenir quelque chose....mais quoi au juste
En lisant dans Le Potentiel qu´un diplomate US á Kin "invite" les parlementaires de l´opposition á sièger á l´Assemblée nationale Ben..booom, entre les lignes, revoici les USA qui jouent la partition de la légalité ..
Pourquoi les USA souhaitent-ils voir une...participation de ceux qui ont été lesés dans cette tricherie..tout en parlant d´un gouvernement inclusif
C´est quoi le fond de ces negociation de la "pax americana" Nous disions que le refus de l´opposition est un argument pour obtenir quelque chose....mais quoi au juste
GHOST
Re: Diomi Ndongala: « Les députés de la DC ne siégeront pas à l’Assemblée nationale »
Sir Troll,Troll a écrit: Mbuta Ndozwau
En lisant dans Le Potentiel qu´un diplomate US á Kin "invite" les parlementaires de l´opposition á sièger á l´Assemblée nationale Ben..booom, entre les lignes, revoici les USA qui jouent la partition de la légalité ..
Pourquoi les USA souhaitent-ils voir une...participation de ceux qui ont été lesés dans cette tricherie..tout en parlant d´un gouvernement inclusif
C´est quoi le fond de ces negociation de la "pax americana" Nous disions que le refus de l´opposition est un argument pour obtenir quelque chose....mais quoi au juste
1° Jusque là l'oppositin essentiellement Udps clamait à qui voulait l'entendre qu'elle ne pouvait
siéger au Parlement sorti des élections frauduleuses qu'elle contestait en confirmant ainsi
l'annulation des éligisatives décrétée par son Chef Tshisekedi pour revendiquer la victoire
de son élection volée !
J'étais contre, trouvant ça peu lucide et non pragmatique !
{Remarquons en passant quelques incohérences dans l'attitude du Lider Maximo qui milite
par ailleurs pour l'Etat de droit :
a) Comment se proclamer Président élu d'un scrutin fait le même jour et dans les mêmes
conditions que les législatives qu'il annule; il aurait été plus conséquent de demander aussi
l'anuation de son (non)-élection comme celle qu'il invoque pour les législatives...
b) Aurait-il élu légalement; était-ce alors au Chef de l'Etat le droit d'annuler les législatives ?
Je doute que cela soit constitutionnel...
Bon, passons...}
2° Si aujourd'hui, forts de leur esxpérience d'échec ou d'impasse devant leur objectif qui s'éloigne,
les gens de l'opposition "aradjicale" (pardon c'est pour rire un peu) me disent que c'est pour
"monter les enchères dans une négociation"; me voilà fort ravi de cette sensée(!) évolution !
C'est dans le sens de ma logique moins idéologique, plus pragmatique, cherchant l"efficacité !
Mais je ne demanderais pas comme vous aux Yankkes les termes de la palabre dans
le cadre de la "pax romana" mais à notre opposition leur cahier de charges, les conditions
selon lesquelles ils peuvent "négocier" avec le pouvoir !
Y ont-ils pensé ? Il semble qu'une aile plus soucieuse de l'efficacité dans l'Udps s'y est attelée
pour ne pas repeter les rdv manqués passés; tant mieux, il faut seulement qu'elle ait enfin voix au chapitre ! Voilà !
Compatriotiquement!
ndonzwau
Re: Diomi Ndongala: « Les députés de la DC ne siégeront pas à l’Assemblée nationale »
NDON, ON N EST PAS NE DE LA DERNIERE PLUIE, QUAND MEME....
KOTA
Re: Diomi Ndongala: « Les députés de la DC ne siégeront pas à l’Assemblée nationale »
Ne perdons pas de vue deux détails.
(1) Kanambe a besoin de la CI pour légitimer son pouvoir illégal et quand à la CI lui a plutôt plus peur de la diaspora congolaise à travers le monde qui est le donateur/ bailleur de fond au Congo avec ces +/- 3 milliards de contribution par année. Cette diaspora qui se mobilise et illumine les opinions publique à l’intérieure même des leur systèmes en Europe et Amérique. Cette diaspora a acquis les droits d’être protégé par cette même CI est devenue la manifestation physique de leur Karma (la CI). Le sabotage économique appliqué indirectement par cette diaspora favorise l’économie informelle qui accentue ensuite les pertes de recettes de l’état Congolais. Les hôtels sont vides car les affaires ne tournent plus. Il y a carence de liquidité dans le pays, npiaka ezali makasi na RD Congo mikolo oyo. Donc la révolte populaire ou le pillage n’est pas à exclure dans un avenir proche.
(2) il y a un malaise, crise politique et crise morale au Congo suite à cette tricherie électorale , le peuple même passif n’est pas moralement et spirituellement disposé à soutenir ce régime cela crée sur le plan spirituel un désaccord cad LISUMA pour ce régime. Il y a dans le pays chaque jour des rituels de malédiction contre ce régime chacun selon ces croyances mais le résultat se fait déjà sentir. Les maitres de ce monde qui sont continuellement à la recherche des brebis pour augmenter le nombre de leurs troupeaux d’adorateurs avant qu’ils les abattent à l’abattoir pour se nourrir de leurs énergie vitale on aussi intérêt que ce troupeau soit en bonne santé cad qu’il vibre positivement or ce n’est plus le cas au Congo !
To lobaki que nous laissons les politiciens finir leur parable avant de faire comme en 1965 et s’ils ne sont pas capable de compromis, hélas l’histoire va se répéter une fois de plus au Congo dans ce cas même cette fameuse CI sera surpris!
SpirituS
(1) Kanambe a besoin de la CI pour légitimer son pouvoir illégal et quand à la CI lui a plutôt plus peur de la diaspora congolaise à travers le monde qui est le donateur/ bailleur de fond au Congo avec ces +/- 3 milliards de contribution par année. Cette diaspora qui se mobilise et illumine les opinions publique à l’intérieure même des leur systèmes en Europe et Amérique. Cette diaspora a acquis les droits d’être protégé par cette même CI est devenue la manifestation physique de leur Karma (la CI). Le sabotage économique appliqué indirectement par cette diaspora favorise l’économie informelle qui accentue ensuite les pertes de recettes de l’état Congolais. Les hôtels sont vides car les affaires ne tournent plus. Il y a carence de liquidité dans le pays, npiaka ezali makasi na RD Congo mikolo oyo. Donc la révolte populaire ou le pillage n’est pas à exclure dans un avenir proche.
(2) il y a un malaise, crise politique et crise morale au Congo suite à cette tricherie électorale , le peuple même passif n’est pas moralement et spirituellement disposé à soutenir ce régime cela crée sur le plan spirituel un désaccord cad LISUMA pour ce régime. Il y a dans le pays chaque jour des rituels de malédiction contre ce régime chacun selon ces croyances mais le résultat se fait déjà sentir. Les maitres de ce monde qui sont continuellement à la recherche des brebis pour augmenter le nombre de leurs troupeaux d’adorateurs avant qu’ils les abattent à l’abattoir pour se nourrir de leurs énergie vitale on aussi intérêt que ce troupeau soit en bonne santé cad qu’il vibre positivement or ce n’est plus le cas au Congo !
To lobaki que nous laissons les politiciens finir leur parable avant de faire comme en 1965 et s’ils ne sont pas capable de compromis, hélas l’histoire va se répéter une fois de plus au Congo dans ce cas même cette fameuse CI sera surpris!
SpirituS
SpirituS
Re: Diomi Ndongala: « Les députés de la DC ne siégeront pas à l’Assemblée nationale »
Assemblée nationale : Enfin, les élus de l’UDPS vont siéger
(L'Avenir Quotidien 02/03/2012)
Les élus de l’Union pour la Démocratie et le Progrès Social, l’UDPS ont pris l’option de participer aux travaux en plénière de l’Assemblée nationale. Deux semaines de « parlement buissonnier » après l’installation de la chambre basse du parlement et 72 heures après la validation des mandats des députés nationaux, les élus de l’UDPS ont choisi de servir l’Etat Congolais. De ce fait, 55 délégués de la commission spéciale vont amender, actualiser le Règlement d’ordre intérieur de l’Assemblée nationale endéans 5 jours.
Deux semaines après l’installation du bureau provisoire de l’Assemblée nationale dirigé par le doyen d’âge, l’Udps Nkombo Nkisi secondé de deux benjamins, les élus de l’Union pour la Démocratie et le Progrès Social, UDPS ne prenaient toujours pas part aux travaux en plénière de l’Assemblée nationale. Raison évoquée : respecter le mot d’ordre du lider maximo Etienne Tshisekedi qui avait annulé les élections présidentielle et législative du 28 novembre 2011.
Septante-deux heures après la validation des mandats des tous les députés nationaux, à l’exception de ceux des circonscriptions à problèmes, les députés nationaux de l’opposition aile UDPS ont jugé bon de rompre leur « parlement buissonnier » et de servir la nation congolaise. Cette décision, a dit l’Honorable Kalonji Mukendi Romain est la résultante d’une longue concertation au sein de cette famille politique : « Comme vous nous avez vus, c’est que nous avons commencé à participer puisqu’il y a eu des préalables entre notre famille politique. Nous venons de terminer, c’est ainsi que nous avions pris l’option de venir siéger », a confirmé l’élu de Miabi, dans le Kasaï-Oriental.
La raison de cette décision est de contribuer à l’édification de la nation et de l’Etat congolais, mettant en première position les intérêts du peuple : « Nous siégeons d’abord pour défendre le peuple et nous avions comme mot d’ordre de la campagne ‘le peuple d’abord’. Nous sommes là pour défendre notre peuple et notre président », plaide Kalonji Mukendi Romain. Il poursuit également que les motifs qui les ont poussés à siéger sont simples : « Nous avons montré à notre président (Ndlr Etienne Tshisekedi) les avantages pour lesquels nous devons être à l’Assemblée nationale et les inconvénients à ne pas y participer. Donc, après avoir analysé tous ces points-là, la majorité (Ndlr des opposants) a décidé de siéger valablement.
Cependant, l’opinion congolaise voudrait savoir si cette décision a l’aval d’Etienne Tshisekedi qui avait annulé les élections en sa qualité de président autoproclamé. L’élu de Miabi dans le Kasaï-Oriental, Kalonji Mukendi Romain a levé l’équivoque à ce sujet : « C’était une façon explicite compte tenu des irrégularités qui avaient eues lieu dans plusieurs circonscriptions électorales », souligne-t-il.
Le motif de cette annulation « 168 CLCR sur 169 sont en contestation. C’est ainsi qu’il avait pris cette décision d’annuler les législatives de tous les partis politiques et sur toute l’étendue de la République. Cette annulation ne concernait pas que les élus de l’Udps, parce qu’il n’a jamais signé un quelconque décret ou une quelconque décision interdisant ses élus (Ndlr de l’Udps) d’aller siéger », se contredit l’élu de Miabi.
L’opinion estime que la décision d’Etienne Tshisekedi n’était que du bluff, tendant à amuser la galerie. Sous pression de ses élus qui ont choisi les avantages financiers que d’être au service d’un homme politique aux caprices politiques puérils d’un président national amoindri, les élus de l’Udps vont participer aux travaux durant les 5 ans de la législature, en tenant bien sûr compte des pressions de leurs électeurs et familles qui ont vu en leurs élus un secours financier certain.
Cinquante-cinq délégués pour une Commission spéciale et technique
Les travaux en plénière d’hier jeudi 01 mars avaient inscrit un seul point au projet d’ordre du jour, à savoir : « La mise en place de la Commission spéciale chargée d’amender et d’actualiser le Règlement d’Ordre Intérieur de l’Assemblée nationale ». 55 délégués ont été choisis à raison de 5 délégués par province pour modifier un document de 232 pages et le conformer à l’esprit de la Constitution telle que modifiée. Cette donne respecte l’esprit de la configuration des deux précédentes commissions en respectant le critère provincial, étant donné que le bureau de l’Assemblée nationale est encore provisoire.
La commission spéciale dispose de 5 jours pour rendre les conclusions de leur travail. Celle-ci doit aussi respecter le même critère d’âge quant à sa mise en place de son bureau dont le président sera le doyen d’âge secondé de deux benjamins. On y retrouve les députés expérimentés en cette matière, à savoir les honorables Pius Muabilu Mbayu Mukala, Christophe Lutundula Pene Apala, Charles Mwando Nsimba, Kalombo Tambwa Francis, Lumeya Dhu Maledi, Matadi Wamba , Mbadu Situ Jacques, Nzau Tshobo Clément, Vuemba Luzamba Jean-Claude, Jaynet Kabila Kyungu , Adèle Kayinda, Delly Sessanga, Ngandu Molomelay Pierre, Mbuyu Kabangu Célestin, Mumba Gama Barthélemy, Didier Manara, Ramazani Shadary, Mutiri wa Bashara Elvis, Justin Bitakwira, etc.
Toutefois, cette commission doit travailler sur base d’un nombre de documents, selon la proposition de l’Honorable Christophe Lutundula Pene Apala, lesquels documents sont : « la Constitution de la République Démocratique du Congo telle que modifiée, le Règlement d’ordre intérieur de la législature précédente, la loi portant statut de l’opposition, la loi relative à la SESOPA et le Code de conduite de l’agent de l’administration publique ». Car, dit-il, ces documents constituent un paquet normatif qui définit le comportement et le travail des députés nationaux durant leur mandat.
Cependant, l’Honorable Christophe Lutundula Pene Apala avait proposé à l’auguste Assemblée que les honorables députés puissent déposer leurs amendements au Règlement intérieur en vue de rester dans le délai. Bref, il souhaite que le service administratif puisse distribuer les textes y relatifs et que les députés nationaux déposent leurs amendements d’ici lundi 05 mars en vue de permettre à la Commission d’examiner et statuer sur les amendements ; ainsi donc la plénière va examiner les amendements et certifier la conformité de la Constitution sur les amendements.
Suite aux propositions de l’Honorable Christophe Lutundula Apala, le délai de 5 jours semble court, ainsi donc le Président du bureau provisoire, Timothée Nkombo Nkisi avait proposé un délai de 10 jours à la plénière et la mise en place d’un bureau de la Commission qui doit respecter le même critère que les commissions précédentes, à savoir un doyen en âge secondé de deux benjamins.
Malheureusement, cette dernière proposition n’a pas attiré l’assentiment de certains honorables députés, tel l’Honorable Franck Diongo. Ce dernier estime donc « que l’opposition risque de ne pas se retrouver avec un schéma préalablement établi ». il estime que la configuration de l’Assemblée nationale où il y a la majorité et l’opposition doit lever deux options en raison des innovations qui viendraient de l’opposition quant à l’installation du bureau de la Commission puisque celle-ci va traiter des matières essentiellement politiques et qui doit avoir deux options politiques et deux compromis.
Cette procédure permettra de faire le travail pendant 5 jours d’une part, et d’autre part sur le plan scientifique, technique, juridique et politique que la Commission soit en mesure de ramener la réponse aux questions que la population attend. Pour Franck Diongo, la Commission n’est pas essentiellement juridique, estime-t-il, où la majorité va imposer à l’opposition l’orientation.
Couper la poire en deux
Quant aux honorables Justin Bitakwira et Emery Okundji estiment que toutes les commissions mises en place ont été soumises au critère d’un doyen d’âge et de deux benjamins. Car, disent- ils, la rédaction du Règlement d’ordre intérieur n’est pas uniquement une question juridique, ni une question politique, elle tient compte des intérêts supérieurs de la nation. Pour l’honorable Justin Bitakwira, « que le président de la Commission soit de la Majorité ou de l’opposition qui sera le doyen d’âge, nous sommes là (Ndlr députés nationaux) pour l’aider et l’orienter positivement ». S’agissant des documents suggérés par l’Honorable Christophe Lutundula Apala, l’Honorable Justin Bitakwira estime que les députés nationaux peuvent se documenter librement.
Enfin, l’Honorable Emery Okundji Ndjovu a estimé quant à lui « que quand on est un véritable élu, celui- là met les intérêts de la nation avant toutes choses et les intérêts du peuple qui l’a mandaté avant son appartenance politique, avant ses couleurs politiques, avant ses intérêts politiques. En tant qu’élu de l’opposition, dans une Assemblée de la Majorité, j’ai fait passer beaucoup de choses à la législature passée puisque j’ai mis avant tout les intérêts du peuple au premier plan. Puisque pour défendre les intérêts du peuple on ne tient pas seulement compte de la spécialité de tel ou tel domaine. Car la diversité crée l’harmonie. Donc, lorsqu’on est dans une étape provisoire, les règles du jeu sont définies en termes de critère d’âge, soit un doyen et de deux benjamins ».
P. Romain Roland
© Copyright L'Avenir Quotidien
(L'Avenir Quotidien 02/03/2012)
Les élus de l’Union pour la Démocratie et le Progrès Social, l’UDPS ont pris l’option de participer aux travaux en plénière de l’Assemblée nationale. Deux semaines de « parlement buissonnier » après l’installation de la chambre basse du parlement et 72 heures après la validation des mandats des députés nationaux, les élus de l’UDPS ont choisi de servir l’Etat Congolais. De ce fait, 55 délégués de la commission spéciale vont amender, actualiser le Règlement d’ordre intérieur de l’Assemblée nationale endéans 5 jours.
Deux semaines après l’installation du bureau provisoire de l’Assemblée nationale dirigé par le doyen d’âge, l’Udps Nkombo Nkisi secondé de deux benjamins, les élus de l’Union pour la Démocratie et le Progrès Social, UDPS ne prenaient toujours pas part aux travaux en plénière de l’Assemblée nationale. Raison évoquée : respecter le mot d’ordre du lider maximo Etienne Tshisekedi qui avait annulé les élections présidentielle et législative du 28 novembre 2011.
Septante-deux heures après la validation des mandats des tous les députés nationaux, à l’exception de ceux des circonscriptions à problèmes, les députés nationaux de l’opposition aile UDPS ont jugé bon de rompre leur « parlement buissonnier » et de servir la nation congolaise. Cette décision, a dit l’Honorable Kalonji Mukendi Romain est la résultante d’une longue concertation au sein de cette famille politique : « Comme vous nous avez vus, c’est que nous avons commencé à participer puisqu’il y a eu des préalables entre notre famille politique. Nous venons de terminer, c’est ainsi que nous avions pris l’option de venir siéger », a confirmé l’élu de Miabi, dans le Kasaï-Oriental.
La raison de cette décision est de contribuer à l’édification de la nation et de l’Etat congolais, mettant en première position les intérêts du peuple : « Nous siégeons d’abord pour défendre le peuple et nous avions comme mot d’ordre de la campagne ‘le peuple d’abord’. Nous sommes là pour défendre notre peuple et notre président », plaide Kalonji Mukendi Romain. Il poursuit également que les motifs qui les ont poussés à siéger sont simples : « Nous avons montré à notre président (Ndlr Etienne Tshisekedi) les avantages pour lesquels nous devons être à l’Assemblée nationale et les inconvénients à ne pas y participer. Donc, après avoir analysé tous ces points-là, la majorité (Ndlr des opposants) a décidé de siéger valablement.
Cependant, l’opinion congolaise voudrait savoir si cette décision a l’aval d’Etienne Tshisekedi qui avait annulé les élections en sa qualité de président autoproclamé. L’élu de Miabi dans le Kasaï-Oriental, Kalonji Mukendi Romain a levé l’équivoque à ce sujet : « C’était une façon explicite compte tenu des irrégularités qui avaient eues lieu dans plusieurs circonscriptions électorales », souligne-t-il.
Le motif de cette annulation « 168 CLCR sur 169 sont en contestation. C’est ainsi qu’il avait pris cette décision d’annuler les législatives de tous les partis politiques et sur toute l’étendue de la République. Cette annulation ne concernait pas que les élus de l’Udps, parce qu’il n’a jamais signé un quelconque décret ou une quelconque décision interdisant ses élus (Ndlr de l’Udps) d’aller siéger », se contredit l’élu de Miabi.
L’opinion estime que la décision d’Etienne Tshisekedi n’était que du bluff, tendant à amuser la galerie. Sous pression de ses élus qui ont choisi les avantages financiers que d’être au service d’un homme politique aux caprices politiques puérils d’un président national amoindri, les élus de l’Udps vont participer aux travaux durant les 5 ans de la législature, en tenant bien sûr compte des pressions de leurs électeurs et familles qui ont vu en leurs élus un secours financier certain.
Cinquante-cinq délégués pour une Commission spéciale et technique
Les travaux en plénière d’hier jeudi 01 mars avaient inscrit un seul point au projet d’ordre du jour, à savoir : « La mise en place de la Commission spéciale chargée d’amender et d’actualiser le Règlement d’Ordre Intérieur de l’Assemblée nationale ». 55 délégués ont été choisis à raison de 5 délégués par province pour modifier un document de 232 pages et le conformer à l’esprit de la Constitution telle que modifiée. Cette donne respecte l’esprit de la configuration des deux précédentes commissions en respectant le critère provincial, étant donné que le bureau de l’Assemblée nationale est encore provisoire.
La commission spéciale dispose de 5 jours pour rendre les conclusions de leur travail. Celle-ci doit aussi respecter le même critère d’âge quant à sa mise en place de son bureau dont le président sera le doyen d’âge secondé de deux benjamins. On y retrouve les députés expérimentés en cette matière, à savoir les honorables Pius Muabilu Mbayu Mukala, Christophe Lutundula Pene Apala, Charles Mwando Nsimba, Kalombo Tambwa Francis, Lumeya Dhu Maledi, Matadi Wamba , Mbadu Situ Jacques, Nzau Tshobo Clément, Vuemba Luzamba Jean-Claude, Jaynet Kabila Kyungu , Adèle Kayinda, Delly Sessanga, Ngandu Molomelay Pierre, Mbuyu Kabangu Célestin, Mumba Gama Barthélemy, Didier Manara, Ramazani Shadary, Mutiri wa Bashara Elvis, Justin Bitakwira, etc.
Toutefois, cette commission doit travailler sur base d’un nombre de documents, selon la proposition de l’Honorable Christophe Lutundula Pene Apala, lesquels documents sont : « la Constitution de la République Démocratique du Congo telle que modifiée, le Règlement d’ordre intérieur de la législature précédente, la loi portant statut de l’opposition, la loi relative à la SESOPA et le Code de conduite de l’agent de l’administration publique ». Car, dit-il, ces documents constituent un paquet normatif qui définit le comportement et le travail des députés nationaux durant leur mandat.
Cependant, l’Honorable Christophe Lutundula Pene Apala avait proposé à l’auguste Assemblée que les honorables députés puissent déposer leurs amendements au Règlement intérieur en vue de rester dans le délai. Bref, il souhaite que le service administratif puisse distribuer les textes y relatifs et que les députés nationaux déposent leurs amendements d’ici lundi 05 mars en vue de permettre à la Commission d’examiner et statuer sur les amendements ; ainsi donc la plénière va examiner les amendements et certifier la conformité de la Constitution sur les amendements.
Suite aux propositions de l’Honorable Christophe Lutundula Apala, le délai de 5 jours semble court, ainsi donc le Président du bureau provisoire, Timothée Nkombo Nkisi avait proposé un délai de 10 jours à la plénière et la mise en place d’un bureau de la Commission qui doit respecter le même critère que les commissions précédentes, à savoir un doyen en âge secondé de deux benjamins.
Malheureusement, cette dernière proposition n’a pas attiré l’assentiment de certains honorables députés, tel l’Honorable Franck Diongo. Ce dernier estime donc « que l’opposition risque de ne pas se retrouver avec un schéma préalablement établi ». il estime que la configuration de l’Assemblée nationale où il y a la majorité et l’opposition doit lever deux options en raison des innovations qui viendraient de l’opposition quant à l’installation du bureau de la Commission puisque celle-ci va traiter des matières essentiellement politiques et qui doit avoir deux options politiques et deux compromis.
Cette procédure permettra de faire le travail pendant 5 jours d’une part, et d’autre part sur le plan scientifique, technique, juridique et politique que la Commission soit en mesure de ramener la réponse aux questions que la population attend. Pour Franck Diongo, la Commission n’est pas essentiellement juridique, estime-t-il, où la majorité va imposer à l’opposition l’orientation.
Couper la poire en deux
Quant aux honorables Justin Bitakwira et Emery Okundji estiment que toutes les commissions mises en place ont été soumises au critère d’un doyen d’âge et de deux benjamins. Car, disent- ils, la rédaction du Règlement d’ordre intérieur n’est pas uniquement une question juridique, ni une question politique, elle tient compte des intérêts supérieurs de la nation. Pour l’honorable Justin Bitakwira, « que le président de la Commission soit de la Majorité ou de l’opposition qui sera le doyen d’âge, nous sommes là (Ndlr députés nationaux) pour l’aider et l’orienter positivement ». S’agissant des documents suggérés par l’Honorable Christophe Lutundula Apala, l’Honorable Justin Bitakwira estime que les députés nationaux peuvent se documenter librement.
Enfin, l’Honorable Emery Okundji Ndjovu a estimé quant à lui « que quand on est un véritable élu, celui- là met les intérêts de la nation avant toutes choses et les intérêts du peuple qui l’a mandaté avant son appartenance politique, avant ses couleurs politiques, avant ses intérêts politiques. En tant qu’élu de l’opposition, dans une Assemblée de la Majorité, j’ai fait passer beaucoup de choses à la législature passée puisque j’ai mis avant tout les intérêts du peuple au premier plan. Puisque pour défendre les intérêts du peuple on ne tient pas seulement compte de la spécialité de tel ou tel domaine. Car la diversité crée l’harmonie. Donc, lorsqu’on est dans une étape provisoire, les règles du jeu sont définies en termes de critère d’âge, soit un doyen et de deux benjamins ».
P. Romain Roland
© Copyright L'Avenir Quotidien
AKABANGA
Re: Diomi Ndongala: « Les députés de la DC ne siégeront pas à l’Assemblée nationale »
AKABANGA a écrit:Assemblée nationale : Enfin, les élus de l’UDPS vont siéger
(L'Avenir Quotidien 02/03/2012)
Les élus de l’Union pour la Démocratie et le Progrès Social, l’UDPS ont pris l’option de participer aux travaux en plénière de l’Assemblée nationale. Deux semaines de « parlement buissonnier » après l’installation de la chambre basse du parlement et 72 heures après la validation des mandats des députés nationaux, les élus de l’UDPS ont choisi de servir l’Etat Congolais. De ce fait, 55 délégués de la commission spéciale vont amender, actualiser le Règlement d’ordre intérieur de l’Assemblée nationale endéans 5 jours.
Deux semaines après l’installation du bureau provisoire de l’Assemblée nationale dirigé par le doyen d’âge, l’Udps Nkombo Nkisi secondé de deux benjamins, les élus de l’Union pour la Démocratie et le Progrès Social, UDPS ne prenaient toujours pas part aux travaux en plénière de l’Assemblée nationale. Raison évoquée : respecter le mot d’ordre du lider maximo Etienne Tshisekedi qui avait annulé les élections présidentielle et législative du 28 novembre 2011.
Septante-deux heures après la validation des mandats des tous les députés nationaux, à l’exception de ceux des circonscriptions à problèmes, les députés nationaux de l’opposition aile UDPS ont jugé bon de rompre leur « parlement buissonnier » et de servir la nation congolaise. Cette décision, a dit l’Honorable Kalonji Mukendi Romain est la résultante d’une longue concertation au sein de cette famille politique : « Comme vous nous avez vus, c’est que nous avons commencé à participer puisqu’il y a eu des préalables entre notre famille politique. Nous venons de terminer, c’est ainsi que nous avions pris l’option de venir siéger », a confirmé l’élu de Miabi, dans le Kasaï-Oriental.
La raison de cette décision est de contribuer à l’édification de la nation et de l’Etat congolais, mettant en première position les intérêts du peuple : « Nous siégeons d’abord pour défendre le peuple et nous avions comme mot d’ordre de la campagne ‘le peuple d’abord’. Nous sommes là pour défendre notre peuple et notre président », plaide Kalonji Mukendi Romain. Il poursuit également que les motifs qui les ont poussés à siéger sont simples : « Nous avons montré à notre président (Ndlr Etienne Tshisekedi) les avantages pour lesquels nous devons être à l’Assemblée nationale et les inconvénients à ne pas y participer. Donc, après avoir analysé tous ces points-là, la majorité (Ndlr des opposants) a décidé de siéger valablement.
Cependant, l’opinion congolaise voudrait savoir si cette décision a l’aval d’Etienne Tshisekedi qui avait annulé les élections en sa qualité de président autoproclamé. L’élu de Miabi dans le Kasaï-Oriental, Kalonji Mukendi Romain a levé l’équivoque à ce sujet : « C’était une façon explicite compte tenu des irrégularités qui avaient eues lieu dans plusieurs circonscriptions électorales », souligne-t-il.
Le motif de cette annulation « 168 CLCR sur 169 sont en contestation. C’est ainsi qu’il avait pris cette décision d’annuler les législatives de tous les partis politiques et sur toute l’étendue de la République. Cette annulation ne concernait pas que les élus de l’Udps, parce qu’il n’a jamais signé un quelconque décret ou une quelconque décision interdisant ses élus (Ndlr de l’Udps) d’aller siéger », se contredit l’élu de Miabi.
L’opinion estime que la décision d’Etienne Tshisekedi n’était que du bluff, tendant à amuser la galerie. Sous pression de ses élus qui ont choisi les avantages financiers que d’être au service d’un homme politique aux caprices politiques puérils d’un président national amoindri, les élus de l’Udps vont participer aux travaux durant les 5 ans de la législature, en tenant bien sûr compte des pressions de leurs électeurs et familles qui ont vu en leurs élus un secours financier certain.
Cinquante-cinq délégués pour une Commission spéciale et technique
Les travaux en plénière d’hier jeudi 01 mars avaient inscrit un seul point au projet d’ordre du jour, à savoir : « La mise en place de la Commission spéciale chargée d’amender et d’actualiser le Règlement d’Ordre Intérieur de l’Assemblée nationale ». 55 délégués ont été choisis à raison de 5 délégués par province pour modifier un document de 232 pages et le conformer à l’esprit de la Constitution telle que modifiée. Cette donne respecte l’esprit de la configuration des deux précédentes commissions en respectant le critère provincial, étant donné que le bureau de l’Assemblée nationale est encore provisoire.
La commission spéciale dispose de 5 jours pour rendre les conclusions de leur travail. Celle-ci doit aussi respecter le même critère d’âge quant à sa mise en place de son bureau dont le président sera le doyen d’âge secondé de deux benjamins. On y retrouve les députés expérimentés en cette matière, à savoir les honorables Pius Muabilu Mbayu Mukala, Christophe Lutundula Pene Apala, Charles Mwando Nsimba, Kalombo Tambwa Francis, Lumeya Dhu Maledi, Matadi Wamba , Mbadu Situ Jacques, Nzau Tshobo Clément, Vuemba Luzamba Jean-Claude, Jaynet Kabila Kyungu , Adèle Kayinda, Delly Sessanga, Ngandu Molomelay Pierre, Mbuyu Kabangu Célestin, Mumba Gama Barthélemy, Didier Manara, Ramazani Shadary, Mutiri wa Bashara Elvis, Justin Bitakwira, etc.
Toutefois, cette commission doit travailler sur base d’un nombre de documents, selon la proposition de l’Honorable Christophe Lutundula Pene Apala, lesquels documents sont : « la Constitution de la République Démocratique du Congo telle que modifiée, le Règlement d’ordre intérieur de la législature précédente, la loi portant statut de l’opposition, la loi relative à la SESOPA et le Code de conduite de l’agent de l’administration publique ». Car, dit-il, ces documents constituent un paquet normatif qui définit le comportement et le travail des députés nationaux durant leur mandat.
Cependant, l’Honorable Christophe Lutundula Pene Apala avait proposé à l’auguste Assemblée que les honorables députés puissent déposer leurs amendements au Règlement intérieur en vue de rester dans le délai. Bref, il souhaite que le service administratif puisse distribuer les textes y relatifs et que les députés nationaux déposent leurs amendements d’ici lundi 05 mars en vue de permettre à la Commission d’examiner et statuer sur les amendements ; ainsi donc la plénière va examiner les amendements et certifier la conformité de la Constitution sur les amendements.
Suite aux propositions de l’Honorable Christophe Lutundula Apala, le délai de 5 jours semble court, ainsi donc le Président du bureau provisoire, Timothée Nkombo Nkisi avait proposé un délai de 10 jours à la plénière et la mise en place d’un bureau de la Commission qui doit respecter le même critère que les commissions précédentes, à savoir un doyen en âge secondé de deux benjamins.
Malheureusement, cette dernière proposition n’a pas attiré l’assentiment de certains honorables députés, tel l’Honorable Franck Diongo. Ce dernier estime donc « que l’opposition risque de ne pas se retrouver avec un schéma préalablement établi ». il estime que la configuration de l’Assemblée nationale où il y a la majorité et l’opposition doit lever deux options en raison des innovations qui viendraient de l’opposition quant à l’installation du bureau de la Commission puisque celle-ci va traiter des matières essentiellement politiques et qui doit avoir deux options politiques et deux compromis.
Cette procédure permettra de faire le travail pendant 5 jours d’une part, et d’autre part sur le plan scientifique, technique, juridique et politique que la Commission soit en mesure de ramener la réponse aux questions que la population attend. Pour Franck Diongo, la Commission n’est pas essentiellement juridique, estime-t-il, où la majorité va imposer à l’opposition l’orientation.
Couper la poire en deux
Quant aux honorables Justin Bitakwira et Emery Okundji estiment que toutes les commissions mises en place ont été soumises au critère d’un doyen d’âge et de deux benjamins. Car, disent- ils, la rédaction du Règlement d’ordre intérieur n’est pas uniquement une question juridique, ni une question politique, elle tient compte des intérêts supérieurs de la nation. Pour l’honorable Justin Bitakwira, « que le président de la Commission soit de la Majorité ou de l’opposition qui sera le doyen d’âge, nous sommes là (Ndlr députés nationaux) pour l’aider et l’orienter positivement ». S’agissant des documents suggérés par l’Honorable Christophe Lutundula Apala, l’Honorable Justin Bitakwira estime que les députés nationaux peuvent se documenter librement.
Enfin, l’Honorable Emery Okundji Ndjovu a estimé quant à lui « que quand on est un véritable élu, celui- là met les intérêts de la nation avant toutes choses et les intérêts du peuple qui l’a mandaté avant son appartenance politique, avant ses couleurs politiques, avant ses intérêts politiques. En tant qu’élu de l’opposition, dans une Assemblée de la Majorité, j’ai fait passer beaucoup de choses à la législature passée puisque j’ai mis avant tout les intérêts du peuple au premier plan. Puisque pour défendre les intérêts du peuple on ne tient pas seulement compte de la spécialité de tel ou tel domaine. Car la diversité crée l’harmonie. Donc, lorsqu’on est dans une étape provisoire, les règles du jeu sont définies en termes de critère d’âge, soit un doyen et de deux benjamins ».
P. Romain Roland
Copyright L'Avenir Quotidien
Si c'est vrai qu'ils vont sieger, attendons voir les DEUX ELUS de la DC s'ils siegeront ou pas...
Opposition congolaise...Tshinvundu na tshivundu...
zobattants
Re: Diomi Ndongala: « Les députés de la DC ne siégeront pas à l’Assemblée nationale »
SANS COMMENTAIRE
1ère gaffe à l’Assemblée nationale - L’Opposition empêchée de présenter une motion
Vendredi, 02 Mars 2012 10:42
8 Commentaires
Envoyer
Les Forces du changement tenaient à fixer l’opinion sur la crise politique postélectorale et la problématique de la participation aux travaux de l’Assemblée nationale. Un député national membre de l’Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS) a été contraint de quitter le podium au cours d’une séance plénière de l’Assemblée nationale organisée hier jeudi 1er mars en la salle des Congrès du Palais du peuple, siège du Parlement de la République.
Romain Kalonji Mukendi avait pourtant demandé la parole à Timothée Kombo Nkisi, président du bureau provisoire de la Chambre, pour présenter une motion d’information devant ses pairs.
A peine même qu’il a commencé à parler, l’élu du territoire de Miabi dans la province du Kasaï Oriental a été hué par les députés de la majorité, à telle enseigne qu’il s’est vu obligé de regagner sa place, sans avoir fait entendre la voix de son mouvement politique. Il est allé présenter cette motion devant la presse après la plénière, dans le hall du Palais du peuple.
Le contenu de la motion
Dans cette motion, les Forces politiques acquises au changement tenaient à fixer l’opinion tant nationale qu’internationale, par la bouche de son député, d’abord sur la crise politique postélectorale.
Elles considèrent que les élections du 28 novembre 2011 étaient une mascarade organisée par la Commission électorale nationale indépendante afin de permette à la majorité sortante de conserver le pouvoir.
Cette immoralité politique caractérisée par l’octroi des voix aux personnes n’ayant pas été élues par le peuple souverain au détriment des gagnants issus des véritables forces du changement, nécessite d’être corrigée par un engagement politique réel, a ajouté la plate-forme chère à Romain Kalonji.
Elle estime que c’est avec raison que la population congolaise fait actuellement une nette différence entre les députés élus et les députés nommés, et que cette situation appelle le rétablissement de la vérité des urnes.
En condamnant ce comportement, les Forces acquises au changement continuent d’exiger la démission immédiate des membres du bureau de la CENI, auteurs incontestables de nombreuses irrégularités et fraudes massives qui ont émaillé le processus électoral, et insistent sur la nécessité impérieuse d’amorcer un dialogue politique qui, selon elles, demeurent la voie obligée pour trouver des solutions à cette crise de légitimité.
A propos de la problématique de la participation aux travaux de l’Assemblée nationale, les Forces politiques acquises au changement ont rassuré les Congolais que la présence des députés nommés au sein de l’Assemblée nationale est con traire à l’engagement de ce mouvement politique, dont la responsabilité politique commande de ne pas céder aux manoeuvres et aux provocations des ennemis de la démocratie.
“En effet, ont-elles précisé, les animateurs du pouvoir sortant nous poussent à boycotter ce mandat pour leur offrir l’opportunité notamment de décider seuls du choix des responsables des institutions politiques et celles d’appui à la démocratie, telles que la Cour constitutionnelle, la CENI et le CSAC ainsi que le contrôle des élections à venir.
Les Forces du changement affirment également que, c’est par souci de barrer la route aux prédateurs et de sécuriser les intérêts du peuple meurtri qu’elles ont levé l’option de faire valider les mandats de leurs élus, de démasquer tous les fraudeurs et d’engager des discussions pour résoudre la crise postélectorale.
“Avec ce choix stratégique, nous tenons à rassurer le peuple congolais, de notre fidélité, de notre indéfectible attachement, et de notre loyauté à son élu, le Président Etienne Tshisekedi wa Mulumba afin de doter le pays du protocole d’un Etat de droit moderne et démocratique, pour l’accomplissement du progrès social », ont-elles conclu, ajoutant que l’acceptation des mandats de leurs députés ne veut pas dire qu’elles acceptent les résultats des élections qu’elles qualifient de non démocratiques.
Les USA interpellés
Aux yeux des observateurs, les huées essuyées hier par Romain Kalonji ont été perçues comme une 1ère gaffe des députés du camp Kabila au sein d’une Assemblée censée être démocratique.
Ce comportement reflète, ni plus ni moins,.l’intolérance politique et le refus d’écouter une famille politique à l’heure où l’opinion attend voir les députés congolais faire preuve de maturité en se livrant à un débat profond sur des questions majeures qui préoccupent leurs électeurs, au lieu de se transformer en chahuteurs et applaudisseurs au service de leurs partis respectifs, alors que le peuple est en train de pleurer et grincer les dents.
L’ambassadeur des Etat-Unis d’Amérique qui a tenu deux conférences de presse pour encourager les députés de l’UDPS à participer aux délibérations de l’Assemblée nationale a sans doute reçu la réponse à travers cet incident et doit chercher des voies et moyens d’y remédier.
Marcel TSHISHIKU
1ère gaffe à l’Assemblée nationale - L’Opposition empêchée de présenter une motion
Vendredi, 02 Mars 2012 10:42
8 Commentaires
Envoyer
Les Forces du changement tenaient à fixer l’opinion sur la crise politique postélectorale et la problématique de la participation aux travaux de l’Assemblée nationale. Un député national membre de l’Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS) a été contraint de quitter le podium au cours d’une séance plénière de l’Assemblée nationale organisée hier jeudi 1er mars en la salle des Congrès du Palais du peuple, siège du Parlement de la République.
Romain Kalonji Mukendi avait pourtant demandé la parole à Timothée Kombo Nkisi, président du bureau provisoire de la Chambre, pour présenter une motion d’information devant ses pairs.
A peine même qu’il a commencé à parler, l’élu du territoire de Miabi dans la province du Kasaï Oriental a été hué par les députés de la majorité, à telle enseigne qu’il s’est vu obligé de regagner sa place, sans avoir fait entendre la voix de son mouvement politique. Il est allé présenter cette motion devant la presse après la plénière, dans le hall du Palais du peuple.
Le contenu de la motion
Dans cette motion, les Forces politiques acquises au changement tenaient à fixer l’opinion tant nationale qu’internationale, par la bouche de son député, d’abord sur la crise politique postélectorale.
Elles considèrent que les élections du 28 novembre 2011 étaient une mascarade organisée par la Commission électorale nationale indépendante afin de permette à la majorité sortante de conserver le pouvoir.
Cette immoralité politique caractérisée par l’octroi des voix aux personnes n’ayant pas été élues par le peuple souverain au détriment des gagnants issus des véritables forces du changement, nécessite d’être corrigée par un engagement politique réel, a ajouté la plate-forme chère à Romain Kalonji.
Elle estime que c’est avec raison que la population congolaise fait actuellement une nette différence entre les députés élus et les députés nommés, et que cette situation appelle le rétablissement de la vérité des urnes.
En condamnant ce comportement, les Forces acquises au changement continuent d’exiger la démission immédiate des membres du bureau de la CENI, auteurs incontestables de nombreuses irrégularités et fraudes massives qui ont émaillé le processus électoral, et insistent sur la nécessité impérieuse d’amorcer un dialogue politique qui, selon elles, demeurent la voie obligée pour trouver des solutions à cette crise de légitimité.
A propos de la problématique de la participation aux travaux de l’Assemblée nationale, les Forces politiques acquises au changement ont rassuré les Congolais que la présence des députés nommés au sein de l’Assemblée nationale est con traire à l’engagement de ce mouvement politique, dont la responsabilité politique commande de ne pas céder aux manoeuvres et aux provocations des ennemis de la démocratie.
“En effet, ont-elles précisé, les animateurs du pouvoir sortant nous poussent à boycotter ce mandat pour leur offrir l’opportunité notamment de décider seuls du choix des responsables des institutions politiques et celles d’appui à la démocratie, telles que la Cour constitutionnelle, la CENI et le CSAC ainsi que le contrôle des élections à venir.
Les Forces du changement affirment également que, c’est par souci de barrer la route aux prédateurs et de sécuriser les intérêts du peuple meurtri qu’elles ont levé l’option de faire valider les mandats de leurs élus, de démasquer tous les fraudeurs et d’engager des discussions pour résoudre la crise postélectorale.
“Avec ce choix stratégique, nous tenons à rassurer le peuple congolais, de notre fidélité, de notre indéfectible attachement, et de notre loyauté à son élu, le Président Etienne Tshisekedi wa Mulumba afin de doter le pays du protocole d’un Etat de droit moderne et démocratique, pour l’accomplissement du progrès social », ont-elles conclu, ajoutant que l’acceptation des mandats de leurs députés ne veut pas dire qu’elles acceptent les résultats des élections qu’elles qualifient de non démocratiques.
Les USA interpellés
Aux yeux des observateurs, les huées essuyées hier par Romain Kalonji ont été perçues comme une 1ère gaffe des députés du camp Kabila au sein d’une Assemblée censée être démocratique.
Ce comportement reflète, ni plus ni moins,.l’intolérance politique et le refus d’écouter une famille politique à l’heure où l’opinion attend voir les députés congolais faire preuve de maturité en se livrant à un débat profond sur des questions majeures qui préoccupent leurs électeurs, au lieu de se transformer en chahuteurs et applaudisseurs au service de leurs partis respectifs, alors que le peuple est en train de pleurer et grincer les dents.
L’ambassadeur des Etat-Unis d’Amérique qui a tenu deux conférences de presse pour encourager les députés de l’UDPS à participer aux délibérations de l’Assemblée nationale a sans doute reçu la réponse à travers cet incident et doit chercher des voies et moyens d’y remédier.
Marcel TSHISHIKU
KOTA
Re: Diomi Ndongala: « Les députés de la DC ne siégeront pas à l’Assemblée nationale »
Romain Kalonji Mukendi avait pourtant demandé la parole à Timothée Kombo Nkisi, président du bureau provisoire de la Chambre, pour présenter une motion d’information devant ses pairs.
A peine même qu’il a commencé à parler, l’élu du territoire de Miabi dans la province du Kasaï Oriental a été hué par les députés de la majorité, à telle enseigne qu’il s’est vu obligé de regagner sa place
Kieeeeee eteya bango de toutes les façons ils ne sont tous là que pour les privilèges députés que de nom.
A peine même qu’il a commencé à parler, l’élu du territoire de Miabi dans la province du Kasaï Oriental a été hué par les députés de la majorité, à telle enseigne qu’il s’est vu obligé de regagner sa place
Kieeeeee eteya bango de toutes les façons ils ne sont tous là que pour les privilèges députés que de nom.
mongo elombe
Re: Diomi Ndongala: « Les députés de la DC ne siégeront pas à l’Assemblée nationale »
mongo,
ozo kima ngai pona nini
solola nde
ozo kima ngai pona nini
solola nde
brown-man
Re: Diomi Ndongala: « Les députés de la DC ne siégeront pas à l’Assemblée nationale »
Brown man toyebani? Nazali obligé napesa yo réponse? d'après toi est ce que tu fais parti des forumeurs de congodiaspora avec qui j'ai des affinités? Je ne pense pas donc koma et zappe moi ok?
Merci d'avance...........Des comme toi sur congo'2000 je les ai subie pendant 10 ans nakima te maintenant je n'ai plus le temps.
TOLEKAAAAAAAAAAAAAAAA;
Merci d'avance...........Des comme toi sur congo'2000 je les ai subie pendant 10 ans nakima te maintenant je n'ai plus le temps.
TOLEKAAAAAAAAAAAAAAAA;
mongo elombe
Re: Diomi Ndongala: « Les députés de la DC ne siégeront pas à l’Assemblée nationale »
mongo elombe a écrit: d'après toi est ce que tu fais parti des forumeurs de congodiaspora avec qui j'ai des affinités? Je ne pense pas donc koma et zappe moi ok?
Merci d'avance...........
TOLEKAAAAAAAAAAAAAAAA;
Mais, mais ... donc il y a des affinités entre membres ici?
Dans ce cas, je choisirai piele, joss0 et Lino s'ils le veulent bien entendu.
King David
Re: Diomi Ndongala: « Les députés de la DC ne siégeront pas à l’Assemblée nationale »
J'avais annoncé trop tôt de bonnes nouvelles, elles n'en sont plus tant que ça :
1° Le "dialogue" à travers des "négociations" non pour un "gouvernement d'union nationale" qui ne serait d'ailleurs qu'un moyen et non une fin (tout le monde connait l'impuissance de tels attelages; à éviter donc tant qu'on peut) mais pour une "gouvernance inclusive" (il n'y a pas que l'Exécutif en l'occurence dans une gouvernance; j'essaierai dès que je peux d'avancer quelques conditions primordiales qu'une opposition doit opposer à une telle participation, selon moi) a peu de chances d'aboutir vu la adicalité persistante de différents protagonistes !
Dommage vraiment dommage : c'était, c'est à mon sens, une autre modalité qui peut installer progressivement le changement dans la manière de conduire le pays...
2° Le conclave projeté par l'opposition est fortement vidé de sa substance par la non participation de l'Udps !
Une nouvelle occasion manquée : non seulement l'union fait souvent la force mais aussi de la concertation peut naître un meilleur entendement des situations et des décisions apaisées !
Une parenthèse en curiosité !
J'ai oui dire que dehors mais peut-être aussi en interne, un schéma à la sénégalaise est envisagé (Wade qui pour appater les électeurs et peut-être ses partenaires extérieurs avait évoqué un mandat raccourci avec possibilité d'élections anticipées dans 2-3 ans au cas où il serait réélu...) où l'intransigeance de Tshisekedi et la mini-crise qui s'ensuit fourbirait chez-nous aussi des raisons d'élections anticipées pour applanir la situation...
Je n'en sais rien mais pour moi c'est plus rêvé que probable : à moins que la crise en devienne plus palpable au point de rendre le pays difficilement gouvernable, je ne vois pas tout ce monde se faire facilement hara-kiri abandonnant leurs positions et avantages acquis malgré les pressions extérieures possibles !
Compatriotiquement!
1° Le "dialogue" à travers des "négociations" non pour un "gouvernement d'union nationale" qui ne serait d'ailleurs qu'un moyen et non une fin (tout le monde connait l'impuissance de tels attelages; à éviter donc tant qu'on peut) mais pour une "gouvernance inclusive" (il n'y a pas que l'Exécutif en l'occurence dans une gouvernance; j'essaierai dès que je peux d'avancer quelques conditions primordiales qu'une opposition doit opposer à une telle participation, selon moi) a peu de chances d'aboutir vu la adicalité persistante de différents protagonistes !
Dommage vraiment dommage : c'était, c'est à mon sens, une autre modalité qui peut installer progressivement le changement dans la manière de conduire le pays...
2° Le conclave projeté par l'opposition est fortement vidé de sa substance par la non participation de l'Udps !
Une nouvelle occasion manquée : non seulement l'union fait souvent la force mais aussi de la concertation peut naître un meilleur entendement des situations et des décisions apaisées !
"Conclave de l’Opposition : l’UDPS non partante
° http://lepotentiel.com//afficher_article.php?id_article=121331&id_edition=10066
L’espoir d’un consensus autour de la participation des élus de l’Opposition rangés derrière le président national de l’UDPS, Etienne Tshisekedi, se dissipe à nouveau. Et pour cause. Le conclave des Forces politiques dites «acquises au changement», cadre souhaité pour résoudre l’épineux problème de la participation des élus de l’UDPS et alliés à l’Assemblée nationale, a connu l’absence remarquable des délégués de l’UDPS/Tshisekedi.(...)"
Une parenthèse en curiosité !
J'ai oui dire que dehors mais peut-être aussi en interne, un schéma à la sénégalaise est envisagé (Wade qui pour appater les électeurs et peut-être ses partenaires extérieurs avait évoqué un mandat raccourci avec possibilité d'élections anticipées dans 2-3 ans au cas où il serait réélu...) où l'intransigeance de Tshisekedi et la mini-crise qui s'ensuit fourbirait chez-nous aussi des raisons d'élections anticipées pour applanir la situation...
Je n'en sais rien mais pour moi c'est plus rêvé que probable : à moins que la crise en devienne plus palpable au point de rendre le pays difficilement gouvernable, je ne vois pas tout ce monde se faire facilement hara-kiri abandonnant leurs positions et avantages acquis malgré les pressions extérieures possibles !
Compatriotiquement!
ndonzwau
Re: Diomi Ndongala: « Les députés de la DC ne siégeront pas à l’Assemblée nationale »
]
DIOMI NDONGALA INSTALLE DES NOUVEAU COMITES DE LA D.C. A SELEMBAO/FUNA
Publié le 28 mai 2012by mpp
L’HON. DIOMI NDONGALA INSTALLE DES NOUVEAUX COMITES DE LA DC A LA FUNA: DIOGAS REVIENT A LA BASE POUR EXPLIQUER AUX KINOIS QUI L ONT ELU SON CHOIX DE BOYCOTTER L ASSEMBLEE NATIONALE A LA SUITE DES FRAUDES ELECTORALES DE NOVEMBRE 2011.
https://www.youtube.com/watch?v=NnTy6z_Tfo8
http://democratiechretienne.org/2012/05/28/diomi-ndongala-installe-des-nouveau-comites-de-la-d-c-a-selembaofuna/
DIOMI NDONGALA INSTALLE DES NOUVEAU COMITES DE LA D.C. A SELEMBAO/FUNA
Publié le 28 mai 2012by mpp
L’HON. DIOMI NDONGALA INSTALLE DES NOUVEAUX COMITES DE LA DC A LA FUNA: DIOGAS REVIENT A LA BASE POUR EXPLIQUER AUX KINOIS QUI L ONT ELU SON CHOIX DE BOYCOTTER L ASSEMBLEE NATIONALE A LA SUITE DES FRAUDES ELECTORALES DE NOVEMBRE 2011.
https://www.youtube.com/watch?v=NnTy6z_Tfo8
http://democratiechretienne.org/2012/05/28/diomi-ndongala-installe-des-nouveau-comites-de-la-d-c-a-selembaofuna/
KOTA
Page 2 sur 2 • 1, 2
Sujets similaires
» L’ASSEMBLEE DE L’UNION INTERPARLEMENTAIRE APPELLE A LA LIBERATION D’EUGENE DIOMI NDONGALA, AU COURS DE SA 139ème SESSION A GENEVE / LE POTENTIEL
» LES PIEGES DU PROJET DE LOI ELECTORALE: le nombre de députés à l’Assemblée nationale ainsi que celui des sièges par circonscription électorale seraient fixés en fonction de l’évolution de données démographiques de l'Onip
» DENONCIATION DE TENTATIVE D’ASSASSINAT DES ENFANTS DIOMI NDONGALA ET DU PRESIDENT EUGENE DIOMI NDONGALA PAR UN AGENT DE LA SECURITE DU PRESIDENT DU PARLEMENT CONGOLAIS
» APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
» EUGENE DIOMI NDONGALA ALERTE LES CONGOLAIS: « UNE SEMAINE DE REPORT DES ELECTIONS AU BENEFICE DU PARACHEVEMENT DU DÉPLOIEMENT DU MATERIEL DE LA COMMISSION ELECTORALE NATIONALE INDEPENDENTE (CENI), OU BIEN DE CELUI TACTIQUE ET MASSIF DE L’ ARMEE ?"
» LES PIEGES DU PROJET DE LOI ELECTORALE: le nombre de députés à l’Assemblée nationale ainsi que celui des sièges par circonscription électorale seraient fixés en fonction de l’évolution de données démographiques de l'Onip
» DENONCIATION DE TENTATIVE D’ASSASSINAT DES ENFANTS DIOMI NDONGALA ET DU PRESIDENT EUGENE DIOMI NDONGALA PAR UN AGENT DE LA SECURITE DU PRESIDENT DU PARLEMENT CONGOLAIS
» APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
» EUGENE DIOMI NDONGALA ALERTE LES CONGOLAIS: « UNE SEMAINE DE REPORT DES ELECTIONS AU BENEFICE DU PARACHEVEMENT DU DÉPLOIEMENT DU MATERIEL DE LA COMMISSION ELECTORALE NATIONALE INDEPENDENTE (CENI), OU BIEN DE CELUI TACTIQUE ET MASSIF DE L’ ARMEE ?"
Page 2 sur 2
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum