APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
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Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
okapi79 a écrit:Esengo etondi ngayi na motema koyoka info ya boye! L'homme qui prendra le releve apres yha Tshitshi! Nzakomba akumbama. Diomi tchia bango na click clack de plus! Attaquez bango na ndenge ya Lion.
Ah oui, le vieux Diomi aza na position ya bien ya ko-remplacer Tshisekedi si ce dernier faillit par faiblesse physique. Mais eloko ya tres important est de savoir que politique pe mokili esi echanger, s'il faut kosala certains arrangements ou kozala flexible avec certains il faut le faire. Et Diomi sera obliger de le faire, sinon il risquera de rater(nalobi kaka dans le sens soki scenario ya ye a-remplacer Tshitshi arrivait).
Po tomata, tokita, influence ya ba mindele eza nanu makasi, il faut ko tenir compte n'ango pe.
-chricko-
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
RDC: un opposant porté disparu fin juin retrouvé affaibli mais vivant
MONDE | Mis à jour le jeudi 11 octobre 2012 à 16h00
"La Majorité présidentielle populaire (MPP), plate-forme de soutien au président élu de la RDC, Monsieur Etienne Tshisekedi Wa Mulumba, informe la communauté nationale tant qu'internationale que l'honorable Eugène Diomi Ndongala, porte-parole de la MPP et président de la DC, enlevé depuis le 27 juin 2012 par les agents de service de sécurité de Monsieur (Joseph) Kabila et détenu illégalement dans les cachot de l'ANR (Agence nationale de Renseignement) a été libéré", a indiqué un porte-parole de la MPP, Rigobert Kuta, dans un communiqué adressé à l'agence BELGA.
A Kinshasa, le secrétaire général de la RDC, Freddy Kita Bokusu, a précisé à la radio onusienne Okapi que l'opposant avait été retrouvé "vivant et affaibli", jeudi vers 02h00 dans la commune de Ngaliema, à l'ouest de Kinshasa.
M. Diomi et son parti ont rejoint la MPP, une plate-forme soutenant le leader de l'Union pour la Démocratie et le Progrès social (UDPS), Etienne Tshisekedi, et qui conteste les résultats des élections présidentielle et législatives du 28 novembre dernier. M. Tshisekedi s'est autoproclamé chef de l'Etat et a rejeté les résultats officiels donnant à la victoire à M. Kabila.
MONDE | Mis à jour le jeudi 11 octobre 2012 à 16h00
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Diomi Ndogala (ici sur photo d'archive) a réapparu après plusieurs mois de "disparition"
Mots clés- Elections,
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"La Majorité présidentielle populaire (MPP), plate-forme de soutien au président élu de la RDC, Monsieur Etienne Tshisekedi Wa Mulumba, informe la communauté nationale tant qu'internationale que l'honorable Eugène Diomi Ndongala, porte-parole de la MPP et président de la DC, enlevé depuis le 27 juin 2012 par les agents de service de sécurité de Monsieur (Joseph) Kabila et détenu illégalement dans les cachot de l'ANR (Agence nationale de Renseignement) a été libéré", a indiqué un porte-parole de la MPP, Rigobert Kuta, dans un communiqué adressé à l'agence BELGA.
A Kinshasa, le secrétaire général de la RDC, Freddy Kita Bokusu, a précisé à la radio onusienne Okapi que l'opposant avait été retrouvé "vivant et affaibli", jeudi vers 02h00 dans la commune de Ngaliema, à l'ouest de Kinshasa.
M. Diomi et son parti ont rejoint la MPP, une plate-forme soutenant le leader de l'Union pour la Démocratie et le Progrès social (UDPS), Etienne Tshisekedi, et qui conteste les résultats des élections présidentielle et législatives du 28 novembre dernier. M. Tshisekedi s'est autoproclamé chef de l'Etat et a rejeté les résultats officiels donnant à la victoire à M. Kabila.
KOTA
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
République Démocratique du Congo : libération d’un opposant politique/COMMUNIQUE OFFCIEL DU PARTI SOCIALISTE FRANCAIS
par mpp le 12 octobre 2012
République Démocratique du Congo : libération d’un opposant politique
<BLOCKQUOTE>
Le Parti socialiste apprend avec soulagement la libération du député congolais et président de la Démocratie chrétienne, Eugène Diomi Ndongala.
</BLOCKQUOTE>
Enlevé en plein jour le 27 juin 2012 par les services de sécurité de l’Etat, son lieu de détention reste à ce jour toujours inconnu. Le Parti socialiste souhaite que toute la lumière soit faite sur les circonstances de cette détention. Le Parti socialiste a toujours pensé que cet enlèvement était motivé pour contrecarrer les activités de cet animateur de l’opposition, mobilisée autour du principal opposant, Etienne Tshisekedi.
Le Parti socialiste avait dénoncé l’absence de transparence du scrutin présidentiel du 28 novembre. Il soutient la déclaration du président François Hollande qui a qualifié cette semaine de « tout à fait inacceptable » la situation de la démocratie en République démocratique du Congo.
http://www.parti-socialiste.fr/communiques/republique-democratique-du-congo-liberation-dun-opposant-politique
par mpp le 12 octobre 2012
République Démocratique du Congo : libération d’un opposant politique
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Le Parti socialiste apprend avec soulagement la libération du député congolais et président de la Démocratie chrétienne, Eugène Diomi Ndongala.
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Enlevé en plein jour le 27 juin 2012 par les services de sécurité de l’Etat, son lieu de détention reste à ce jour toujours inconnu. Le Parti socialiste souhaite que toute la lumière soit faite sur les circonstances de cette détention. Le Parti socialiste a toujours pensé que cet enlèvement était motivé pour contrecarrer les activités de cet animateur de l’opposition, mobilisée autour du principal opposant, Etienne Tshisekedi.
Le Parti socialiste avait dénoncé l’absence de transparence du scrutin présidentiel du 28 novembre. Il soutient la déclaration du président François Hollande qui a qualifié cette semaine de « tout à fait inacceptable » la situation de la démocratie en République démocratique du Congo.
http://www.parti-socialiste.fr/communiques/republique-democratique-du-congo-liberation-dun-opposant-politique
KOTA
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
LE MONDE: Un opposant congolais disparu réapparaît à la veille du sommet de la francophonie
par mpp le 12 octobre 2012
Un opposant congolais disparu réapparaît à la veille du sommet de la francophonie
(Le Monde 12/10/2012)
<BLOCKQUOTE>
Ce n’est sans doute pas une coïncidence. Deux jours après que le président Hollande a jugé « tout à fait inacceptable » la situation en République démocratique du Congo (RDC) sur le plan des droits de l’homme et de la démocratie, et à quelques heures de l’ouverture officielle du XIVe sommet de la francophonie à Kinshasa, un député de l’opposition, porté disparu depuis plus de trois mois, a été retrouvé, affaibli, jeudi 11 octobre, à 2 heures du matin, près d’un centre militaire de l’ouest de la capitale congolaise.
Eugène Diomi Ndongala, dirigeant de la Démocratie chrétienne (DC) avait quitté son domicile le 27 juin pour sceller une coalition avec d’autres partis politiques au centre-ville mais n’est jamais arrivé à destination.
</BLOCKQUOTE>
Le lendemain, le parquet de Kinshasa avait indiqué que M. Diomi avait « pris la fuite » après qu’un mandat d’arrêt lui avait été signifié pour le viol de deux mineures. La même accusation a été formulée contre plusieurs opposants politiques.
Amnesty International, les proches et le parti de M. Diomi avaient, eux, obtenu des informations confirmant son enlèvement et sa détention par des agents des services de renseignement congolais.
LES DÉFENSEURS DES DROITS DE L’HOMME MALMENÉS
De nombreuses ONG ont dénoncé une recrudescence d’agressions et d’actes d’intimidations à l’endroit de défenseurs des doits de l’homme et de journalistes à l’approche du sommet de la francophonie, qui doit rassembler, du 12 au 14 octobre, une trentaine de chefs d’État et de gouvernement à Kinshasa.
C’est par exemple le cas de René Kahukula, défenseur des paysans déshérités. Enlevé le 1er juin, il a fait parvenir une lettre d’une prison secrète décrivant ses conditions de détention par ces mêmes services de renseignement mais n’est pas réapparu à ce jour. Il avait mené campagne pour que soient jugés les policiers inculpés dans l’assassinat en 2010 de Floribert Chebeya, un défenseur des droits de l’homme unanimement respecté. Leur procès en appel a été récemment reporté au 23 octobre. Le réalisateur belge Thierry Michel, auteur d’un documentaire sur l’affaire Chebeya, s’est vu refuser un visa à l’ambassade de RDC en Belgique pour se rendre au sommet de Kinshasa et y présenter son film, en dépit des assurances qu’avait données le premier ministre congolais sur sa venue.
Promises par le gouvernement du président Joseph Kabila, deux avancées vers l’état de droit – la création d’une commission électorale indépendante et la mise sur pied d’une commission nationale des droits de l’homme – en sont toujours au stade des débats devant le Parlement congolais. La cour constitutionnelle, créée en 2006, n’a, elle, jamais été mise en place.
Martine Jacot (Kinshasa, envoyée spéciale)
Le Monde.fr | 12.10.2012 à 08h07
Par Martine Jacot (Kinshasa, envoyée spéciale)
© Copyright Le Monde
http://democratiechretienne.org/2012/10/12/le-monde-un-opposant-congolais-disparu-reapparait-a-la-veille-du-sommet-de-la-francophonie/
par mpp le 12 octobre 2012
Un opposant congolais disparu réapparaît à la veille du sommet de la francophonie
(Le Monde 12/10/2012)
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Ce n’est sans doute pas une coïncidence. Deux jours après que le président Hollande a jugé « tout à fait inacceptable » la situation en République démocratique du Congo (RDC) sur le plan des droits de l’homme et de la démocratie, et à quelques heures de l’ouverture officielle du XIVe sommet de la francophonie à Kinshasa, un député de l’opposition, porté disparu depuis plus de trois mois, a été retrouvé, affaibli, jeudi 11 octobre, à 2 heures du matin, près d’un centre militaire de l’ouest de la capitale congolaise.
Eugène Diomi Ndongala, dirigeant de la Démocratie chrétienne (DC) avait quitté son domicile le 27 juin pour sceller une coalition avec d’autres partis politiques au centre-ville mais n’est jamais arrivé à destination.
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Le lendemain, le parquet de Kinshasa avait indiqué que M. Diomi avait « pris la fuite » après qu’un mandat d’arrêt lui avait été signifié pour le viol de deux mineures. La même accusation a été formulée contre plusieurs opposants politiques.
Amnesty International, les proches et le parti de M. Diomi avaient, eux, obtenu des informations confirmant son enlèvement et sa détention par des agents des services de renseignement congolais.
LES DÉFENSEURS DES DROITS DE L’HOMME MALMENÉS
De nombreuses ONG ont dénoncé une recrudescence d’agressions et d’actes d’intimidations à l’endroit de défenseurs des doits de l’homme et de journalistes à l’approche du sommet de la francophonie, qui doit rassembler, du 12 au 14 octobre, une trentaine de chefs d’État et de gouvernement à Kinshasa.
C’est par exemple le cas de René Kahukula, défenseur des paysans déshérités. Enlevé le 1er juin, il a fait parvenir une lettre d’une prison secrète décrivant ses conditions de détention par ces mêmes services de renseignement mais n’est pas réapparu à ce jour. Il avait mené campagne pour que soient jugés les policiers inculpés dans l’assassinat en 2010 de Floribert Chebeya, un défenseur des droits de l’homme unanimement respecté. Leur procès en appel a été récemment reporté au 23 octobre. Le réalisateur belge Thierry Michel, auteur d’un documentaire sur l’affaire Chebeya, s’est vu refuser un visa à l’ambassade de RDC en Belgique pour se rendre au sommet de Kinshasa et y présenter son film, en dépit des assurances qu’avait données le premier ministre congolais sur sa venue.
Promises par le gouvernement du président Joseph Kabila, deux avancées vers l’état de droit – la création d’une commission électorale indépendante et la mise sur pied d’une commission nationale des droits de l’homme – en sont toujours au stade des débats devant le Parlement congolais. La cour constitutionnelle, créée en 2006, n’a, elle, jamais été mise en place.
Martine Jacot (Kinshasa, envoyée spéciale)
Le Monde.fr | 12.10.2012 à 08h07
Par Martine Jacot (Kinshasa, envoyée spéciale)
© Copyright Le Monde
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Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
Diomi NDONGALA libéré : La dictature de Kinshasa doit tomber
par mpp le 12 octobre 2012
Diomi NDONGALA libéré : La dictature de Kinshasa doit tomber
11/10/2012 16:37:00KongoTimes!
Eugene Diomi Ndongala
Beaucoup de peines et de douleurs quand j’ai appris la libération de l’honorable Eugene Diomi Ndongala ce digne fis du pays arrêté injustement par le pouvoir dictatorial de Kinshasa pour n’avoir rien fait de mal. Alors qu’il défendait ses droits démocratiques, Diomi était devenu sujet gênant pour Kinshasa et il fallait coute que coute le mettre devant l’état de nuire.
Il est important que notre peuple continue la lutte pour faire tomber ce régime. Les souffrances et l’humiliation subies par Diomi de la part des tenants du pouvoir de Kinshasa doivent nous motiver à continuer notre combat pour la recherche de la vérité des urnes jusqu’à ce que ce dictateur au sommet de l’Etat congolais soit chasser du pouvoir. Il est inconcevable qu’un fils du congo qui n’a rien fait de mal soit arrêté arbitrairement par un monsieur soit disant Président de la Republique qui ne maitrise rien de la démocratie et ignore les concepts d’un Etat de droit.
Compatriotes congolais, ne reculons point car avec beaucoup de détermination ce régime fantôme de Kinshasa tombera un jour. La lutte continue jusqu’au triomphe de la démocratie. Pensons également a d’autres politiciens de l’opposition détenus arbitrairement a Makala tels que Mokia, Jean Jacques Chalupa, Kutino …. et faisons pression pour leur libération.
Pour terminer j’adresse une fois de plus à l’Honorable Diomi Ndongala mes sincères félicitations pour le courage dont il a fait preuve pendant tout ce temps de sa séquestration par ce régime dictatorial. Le peuple congolais ne le laissera pas seul et combattra toujours à ses cotes pour l’établissement d’un Etat de droit au Congo-Kinshasa.
http://afrique.kongotimes.info/rdc/politique/5108-diomi-ndongala-libere-dictature-kinshasa-doit-tomber.html
Poète Robert Kabemba Mangidi, Membre et Militant du Parti Ecide.
Published By www.KongoTimes.info – © KongoTimes! – All Rights Reserved.
par mpp le 12 octobre 2012
Diomi NDONGALA libéré : La dictature de Kinshasa doit tomber
11/10/2012 16:37:00KongoTimes!
Eugene Diomi Ndongala
Beaucoup de peines et de douleurs quand j’ai appris la libération de l’honorable Eugene Diomi Ndongala ce digne fis du pays arrêté injustement par le pouvoir dictatorial de Kinshasa pour n’avoir rien fait de mal. Alors qu’il défendait ses droits démocratiques, Diomi était devenu sujet gênant pour Kinshasa et il fallait coute que coute le mettre devant l’état de nuire.
Il est important que notre peuple continue la lutte pour faire tomber ce régime. Les souffrances et l’humiliation subies par Diomi de la part des tenants du pouvoir de Kinshasa doivent nous motiver à continuer notre combat pour la recherche de la vérité des urnes jusqu’à ce que ce dictateur au sommet de l’Etat congolais soit chasser du pouvoir. Il est inconcevable qu’un fils du congo qui n’a rien fait de mal soit arrêté arbitrairement par un monsieur soit disant Président de la Republique qui ne maitrise rien de la démocratie et ignore les concepts d’un Etat de droit.
Compatriotes congolais, ne reculons point car avec beaucoup de détermination ce régime fantôme de Kinshasa tombera un jour. La lutte continue jusqu’au triomphe de la démocratie. Pensons également a d’autres politiciens de l’opposition détenus arbitrairement a Makala tels que Mokia, Jean Jacques Chalupa, Kutino …. et faisons pression pour leur libération.
Pour terminer j’adresse une fois de plus à l’Honorable Diomi Ndongala mes sincères félicitations pour le courage dont il a fait preuve pendant tout ce temps de sa séquestration par ce régime dictatorial. Le peuple congolais ne le laissera pas seul et combattra toujours à ses cotes pour l’établissement d’un Etat de droit au Congo-Kinshasa.
http://afrique.kongotimes.info/rdc/politique/5108-diomi-ndongala-libere-dictature-kinshasa-doit-tomber.html
Poète Robert Kabemba Mangidi, Membre et Militant du Parti Ecide.
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KOTA
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
PHOTO DE DIOMI NDONGALA PRISE LA JOURNÉE AU LENDEMAIN DE SA LIBÉRATION.
Eugéne Diomi Ndongala vient de réagir sur Radio Okapi...pour ceux qui doutaient que c'était lui au vu de sa derniére photo,vous en avez la preuve ici! Nous attendons plus de précision quant aux conditions de sa détention.
Eugéne Diomi Ndongala vient de réagir sur Radio Okapi...pour ceux qui doutaient que c'était lui au vu de sa derniére photo,vous en avez la preuve ici! Nous attendons plus de précision quant aux conditions de sa détention.
_________________
[b]“Le deuil, c’est pour la vie. Ca ne s’en va jamais, ça fait progressivement partie de vous, à chaque pas, à chaque souffle.”
Mathilde
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
Congolese Member of Parliament Eugene Diomi Ndongala released
par mpp le 12 octobre 2012
Congolese Member of Parliament Eugene Diomi Ndongala released
Congolese Parliamentarian Diomi Ndongala at his release in Kinshasa 11/10/12 at 1.40 am.
After almost 100 days of jail, Congolese politician Diomi was released early morning today 11/10/12 at 1.40 am, declared his family in the Democratic Republic of Congo.
He was released as a consequence of political pressure from Congolese inside and in the Diaspora. There has also been strong condemnation from French president Francois Hollande for the absence of respect for people’s human rights.
Since the Conference France-Afrique is also being held in Kinshasa from 12 to 14/10/2012, it would have looked inappropriate for Kabila government not to make some gesture of a sort pretending to respect human rights.
<BLOCKQUOTE>
When the parliamentarian was imprisoned a few months ago, we wrote on these pages, advocating for his release. He has been one of the many victims of systematic human rights abuse in DRC.
</BLOCKQUOTE>
One interesting reference about Diomi Ndongala is a quote on his website
Diomi Ndongala
mentioning an interesting and important article of the Congolese constitution.
Article 64 of the Constitution of the Republic of Congo states Every Congolese has a right to defeat any individual or group which takes power by force or exercise power in violation of the Constitution.
And if all constitutions could have such guarantees against usurpation of power and all citizens were aware and ready to defend their rights, wouldn’t the world be different?
http://therisingcontinent.wordpress.com/2012/10/11/congolese-member-of-parliament-eugene-diomi-ndongala-released/
http://democratiechretienne.org/2012/10/12/congolese-member-of-parliament-eugene-diomi-ndongala-released/
par mpp le 12 octobre 2012
Congolese Member of Parliament Eugene Diomi Ndongala released
Congolese Parliamentarian Diomi Ndongala at his release in Kinshasa 11/10/12 at 1.40 am.
After almost 100 days of jail, Congolese politician Diomi was released early morning today 11/10/12 at 1.40 am, declared his family in the Democratic Republic of Congo.
He was released as a consequence of political pressure from Congolese inside and in the Diaspora. There has also been strong condemnation from French president Francois Hollande for the absence of respect for people’s human rights.
Since the Conference France-Afrique is also being held in Kinshasa from 12 to 14/10/2012, it would have looked inappropriate for Kabila government not to make some gesture of a sort pretending to respect human rights.
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When the parliamentarian was imprisoned a few months ago, we wrote on these pages, advocating for his release. He has been one of the many victims of systematic human rights abuse in DRC.
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One interesting reference about Diomi Ndongala is a quote on his website
Diomi Ndongala
mentioning an interesting and important article of the Congolese constitution.
Article 64 of the Constitution of the Republic of Congo states Every Congolese has a right to defeat any individual or group which takes power by force or exercise power in violation of the Constitution.
And if all constitutions could have such guarantees against usurpation of power and all citizens were aware and ready to defend their rights, wouldn’t the world be different?
http://therisingcontinent.wordpress.com/2012/10/11/congolese-member-of-parliament-eugene-diomi-ndongala-released/
http://democratiechretienne.org/2012/10/12/congolese-member-of-parliament-eugene-diomi-ndongala-released/
KOTA
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
Exclusivité Diomi Ndongala: les premières images offert par le blog BANAMIKILI (site ya makasi)
Son épouse assure qu'elle n'était avertie de rien. Selon elle, Eugène Diomi Ndongala a sonné à la porte de sa maison vers 1 h 30 du matin. Pour Patricia Diomi, cette libération, à quelques heures de l'ouverture du Sommet de la Francophonie, n'est pas un hasard.
Mais selon Patricia Diomi, les zones d'ombre dans cette affaire seront levées par son mari, dès qu'il sera rétabli : « Il a été interrogé à plusieurs reprises, et cela n'avait rien à voir avec les fantomatiques problèmes de viol qui ont été montés de toutes pièces pour le salir. Mais on ne va pas s'arrêter là. Le moment est venu de faire tomber un peu les écrans de fumée sur certaines violations patentes des droits de l'homme ».
Pour l'heure, Eugène Diomi Ndongala a été placé sous surveillance. Le gouvernement demande à l'Assemblée d'enquêter sur le lieu de la prétendue détention de l'opposant, et de voter la levée de son immunité parlementaire.
Son épouse assure qu'elle n'était avertie de rien. Selon elle, Eugène Diomi Ndongala a sonné à la porte de sa maison vers 1 h 30 du matin. Pour Patricia Diomi, cette libération, à quelques heures de l'ouverture du Sommet de la Francophonie, n'est pas un hasard.
Mais selon Patricia Diomi, les zones d'ombre dans cette affaire seront levées par son mari, dès qu'il sera rétabli : « Il a été interrogé à plusieurs reprises, et cela n'avait rien à voir avec les fantomatiques problèmes de viol qui ont été montés de toutes pièces pour le salir. Mais on ne va pas s'arrêter là. Le moment est venu de faire tomber un peu les écrans de fumée sur certaines violations patentes des droits de l'homme ».
Pour l'heure, Eugène Diomi Ndongala a été placé sous surveillance. Le gouvernement demande à l'Assemblée d'enquêter sur le lieu de la prétendue détention de l'opposant, et de voter la levée de son immunité parlementaire.
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[b]“Le deuil, c’est pour la vie. Ca ne s’en va jamais, ça fait progressivement partie de vous, à chaque pas, à chaque souffle.”
Mathilde
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
Eugène Diomi Ndongala réapparaît après quatre mois de détention secret et illégal !
par mpp le 12 octobre 2012
Eugène Diomi Ndongala réapparaît après quatre mois de détention secret et illégal !
Par Freddy Mulongo, vendredi 12 octobre 2012 à 13:47 :: radio :: #2946 :: rss
<BLOCKQUOTE>
C’est un Diomi Ndongala méconnaissable, avec un regard hagard, une barbe hursute en poivre et sel, amigri et fatigué. Notre Vuvuzélateur national Lambert Mende est devenu aphone, il a avalé sa langue, lui qui devant les caméras et micros avait clamé qu’Eugène Diomi Ndongala avait pris la poudre d’escampette et se serait exilé en Italie. L’opposant congolais, Eugène Diomi Ndongala, le président de la Démocratie Chrétienne (DC) et opposant frondeur contre le hold-up électoral de Joseph Kabila, porté disparu depuis quatre mois, a été retrouvé vivant dans la nuit de mercredi à jeudi sur la route de Matadi vers Mont-Ngafula dans la ville de Kinshasa.
Eugène Diomi Ndongala, président de la Démocratie Chrétienne (DC) après 90 jours de détention arbitraire et illégal
La « libération » de Ndongala ne doit pourtant rien au hasard. Elle intervient moins de 24 heures avant l’ouverture du Sommet de la Francophonie ce vendredi à Kinshasa. Mais la pression sur le « Raïs imposteur » a été intense surtout lors de la 67è Assemblée Générale de l’ONU à New-York, il y a plusieurs jours. D’après nos fins limiers, Joseph Kabila a été mis au pied du mur avec sa réélection frauduleuse du 28 novembre dernier. Il avait promis à François Hollande, qu’il allait posé des gestes sur les droits de l’homme.
Quelques heures avant le lancement du 14ème Sommet de la Francophonie à Kinshasa, l’opposant politique Diomi Ndongala, a retrouvé la liberté. Sa « disparition » en juin dernier avait suscité la condamnation des résistant-patriotes-combattants Congolais dans le monde.
Eugène Diomi Ndongala a été enfermé au secret dans les locaux de la Gestapo congolaise- l’Agence nationale du Renseignement (ANR) au service uniquement de Joseph kabila. Le cas de la « disparition » de Ndongala constituait une affaire « embarrassante » pour Kinshasa, accusée par de nombreuses ONG de persécuter ses opposants politiques. Sa réapparition « surprise » tombe à pic autorités congolaises, qui s’apprêtent à recevoir samedi François Hollande. Le Président français avait dernièrement tancé Kinshasa sur la situation des droits de l’homme en RDC… visiblement le message a été reçu 5 sur 5.
</BLOCKQUOTE>
Pour les Mammouths Joséphistes, Eugène Diomi Ndongala était en « fuite » après une accusation pour « viol sur mineures ».
http://reveil-fm.over-blog.com/article-eugene-diomi-ndongala-reapparait-apres-quatre-mois-de-detention-secret-et-illegal-111168697.html
http://wp.me/p18AQh-1cN
par mpp le 12 octobre 2012
Eugène Diomi Ndongala réapparaît après quatre mois de détention secret et illégal !
Par Freddy Mulongo, vendredi 12 octobre 2012 à 13:47 :: radio :: #2946 :: rss
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C’est un Diomi Ndongala méconnaissable, avec un regard hagard, une barbe hursute en poivre et sel, amigri et fatigué. Notre Vuvuzélateur national Lambert Mende est devenu aphone, il a avalé sa langue, lui qui devant les caméras et micros avait clamé qu’Eugène Diomi Ndongala avait pris la poudre d’escampette et se serait exilé en Italie. L’opposant congolais, Eugène Diomi Ndongala, le président de la Démocratie Chrétienne (DC) et opposant frondeur contre le hold-up électoral de Joseph Kabila, porté disparu depuis quatre mois, a été retrouvé vivant dans la nuit de mercredi à jeudi sur la route de Matadi vers Mont-Ngafula dans la ville de Kinshasa.
Eugène Diomi Ndongala, président de la Démocratie Chrétienne (DC) après 90 jours de détention arbitraire et illégal
La « libération » de Ndongala ne doit pourtant rien au hasard. Elle intervient moins de 24 heures avant l’ouverture du Sommet de la Francophonie ce vendredi à Kinshasa. Mais la pression sur le « Raïs imposteur » a été intense surtout lors de la 67è Assemblée Générale de l’ONU à New-York, il y a plusieurs jours. D’après nos fins limiers, Joseph Kabila a été mis au pied du mur avec sa réélection frauduleuse du 28 novembre dernier. Il avait promis à François Hollande, qu’il allait posé des gestes sur les droits de l’homme.
Quelques heures avant le lancement du 14ème Sommet de la Francophonie à Kinshasa, l’opposant politique Diomi Ndongala, a retrouvé la liberté. Sa « disparition » en juin dernier avait suscité la condamnation des résistant-patriotes-combattants Congolais dans le monde.
Eugène Diomi Ndongala a été enfermé au secret dans les locaux de la Gestapo congolaise- l’Agence nationale du Renseignement (ANR) au service uniquement de Joseph kabila. Le cas de la « disparition » de Ndongala constituait une affaire « embarrassante » pour Kinshasa, accusée par de nombreuses ONG de persécuter ses opposants politiques. Sa réapparition « surprise » tombe à pic autorités congolaises, qui s’apprêtent à recevoir samedi François Hollande. Le Président français avait dernièrement tancé Kinshasa sur la situation des droits de l’homme en RDC… visiblement le message a été reçu 5 sur 5.
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Pour les Mammouths Joséphistes, Eugène Diomi Ndongala était en « fuite » après une accusation pour « viol sur mineures ».
http://reveil-fm.over-blog.com/article-eugene-diomi-ndongala-reapparait-apres-quatre-mois-de-detention-secret-et-illegal-111168697.html
http://wp.me/p18AQh-1cN
KOTA
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
http://democratiechretienne.org/2012/10/13/rdc-diomi-ndongala-affirme-avoir-ete-interroge-sur-les-activites-detienne-tshisekediradio-okapi/
RDC : Diomi Ndongala affirme avoir été interrogé sur les activités d’Etienne Tshisekedi
publié il y a 6 heures, 16 minutes, | Denière mise à jour le 13 octobre, 2012 à 8:48
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Disparu en juin dernier et réapparu à Kinshasa jeudi 11 octobre, l’opposant Eugène Diomi Ndongala accuse les services de sécurité congolais de l’avoir enlevé et détenu dans un lieu secret, avant de le déplacer deux fois. L’opposant congolais affirme avoir été interrogé au sujet des actions que mènerait le président de l’Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS), Etienne Tshisekedi, en vue de conquérir le pouvoir.
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Selon Eugène Diomi Ndongala, président du parti politique Démocratie chrétienne (DC), des inconnus l’ont enlevé, lui ont bandé les yeux et lui ont fait faire plusieurs fois le tour de la ville à bord d’un véhicule, avant de le conduire dans le sous-sol d’une maison.
« J’ai été enlevé sur la route qui mène vers le Camp Kokolo par cinq personnes dont trois étaient habillés en tenue de policiers et deux autres en tenue civile. Ils ont provoqué un petit accident avec mon véhicule. Quand je me suis arrêté, ils m’ont pris et m’ont embarqué », raconte-t-il.
Diomi Ndongala affirme qu’il a ensuite été conduit dans un autre lieu deux jours plus tard où il a subi un interrogatoire.
« Ils m’ont demandé quels militaires allaient nous aider pour prendre le pouvoir», explique-t-il, ajoutant n’avoir pas interrogé sur une histoire de viol.
« Cette histoire de viol est un prétexte que la police a trouvé pour salir ma personne », indique l’opposant que la justice recherche pour viol sur mineures.
(…)
Eugène Diomi Ndongala est l’un des principaux partisans d’Etienne Tshisekedi. Son parti s’est regroupé avec l’UDPS et d’autres partis de l’opposition, ainsi qu’avec certaines associations de la société civile, des autorités traditionnelles et des associations de jeunes pour former la Majorité présidentielle populaire (MPP), une plate-forme de soutien à Etienne Tshisekedi.
Ce dernier conteste toujours la réélection de Joseph Kabila et se considère comme le président élu de la RDC à la suite de la présidentielle du 28 novembre 2011.
Candidat aux législatives de novembre 2011, Diomi Ndongala avait été déclaré élu dans la circonscription de la Funa, à Kinshasa, mais avait annoncé que les députés élus sur la liste de son parti ne siégeraient pas à l’Assemblée nationale, conformément au mot d’ordre donné par Etienne Tshisekedi.
RDC : Diomi Ndongala affirme avoir été interrogé sur les activités d’Etienne Tshisekedi
publié il y a 6 heures, 16 minutes, | Denière mise à jour le 13 octobre, 2012 à 8:48
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L’opposant Diomi Ndongala à son domicile 3 mois après sa disparitin survenue fin juin 2012 (Kinshasa, 12 octobre 2012) L’opposant Diomi Ndongala à son domicile 3 mois après sa disparitin survenue fin juin 2012 (Kinshasa, 12 octobre 2012) |
Disparu en juin dernier et réapparu à Kinshasa jeudi 11 octobre, l’opposant Eugène Diomi Ndongala accuse les services de sécurité congolais de l’avoir enlevé et détenu dans un lieu secret, avant de le déplacer deux fois. L’opposant congolais affirme avoir été interrogé au sujet des actions que mènerait le président de l’Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS), Etienne Tshisekedi, en vue de conquérir le pouvoir.
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Selon Eugène Diomi Ndongala, président du parti politique Démocratie chrétienne (DC), des inconnus l’ont enlevé, lui ont bandé les yeux et lui ont fait faire plusieurs fois le tour de la ville à bord d’un véhicule, avant de le conduire dans le sous-sol d’une maison.
« J’ai été enlevé sur la route qui mène vers le Camp Kokolo par cinq personnes dont trois étaient habillés en tenue de policiers et deux autres en tenue civile. Ils ont provoqué un petit accident avec mon véhicule. Quand je me suis arrêté, ils m’ont pris et m’ont embarqué », raconte-t-il.
Diomi Ndongala affirme qu’il a ensuite été conduit dans un autre lieu deux jours plus tard où il a subi un interrogatoire.
« Ils m’ont demandé quels militaires allaient nous aider pour prendre le pouvoir», explique-t-il, ajoutant n’avoir pas interrogé sur une histoire de viol.
« Cette histoire de viol est un prétexte que la police a trouvé pour salir ma personne », indique l’opposant que la justice recherche pour viol sur mineures.
(…)
Eugène Diomi Ndongala est l’un des principaux partisans d’Etienne Tshisekedi. Son parti s’est regroupé avec l’UDPS et d’autres partis de l’opposition, ainsi qu’avec certaines associations de la société civile, des autorités traditionnelles et des associations de jeunes pour former la Majorité présidentielle populaire (MPP), une plate-forme de soutien à Etienne Tshisekedi.
Ce dernier conteste toujours la réélection de Joseph Kabila et se considère comme le président élu de la RDC à la suite de la présidentielle du 28 novembre 2011.
Candidat aux législatives de novembre 2011, Diomi Ndongala avait été déclaré élu dans la circonscription de la Funa, à Kinshasa, mais avait annoncé que les députés élus sur la liste de son parti ne siégeraient pas à l’Assemblée nationale, conformément au mot d’ordre donné par Etienne Tshisekedi.
KOTA
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
A LA SORTIE DE SON AUDIENCE AVEC KABILA, LE PRESIDENT HOLLANDE FAIT CLAIREMENT REFERENCE A LA LIBERATION DU DISSIDENT DIOMI NDONGALA, DETENU JUSQU’AU 11/10/2012 AU SECRET PAR LES SERVICES DE SECURITE
par mpp le 13 octobre 2012
A LA SORTIE DE SON AUDIENCE AVEC KABILA, LE PRESIDENT HOLLANDE FAIT CLAIREMENT REFERENCE A LA LIBERATION DU DISSIDENT DIOMI NDONGALA, DETENU JUSQU’AU 11/10/2012 AU SECRET PAR LES SERVICES DE SECURITE:
Il a declaré en se référant aux droits de l’homme, ceci: « S’il y a eu des progrès, encore trop timides, ces derniers jours, il y a un processus en RDC et je souhaite qu’il soit conduit jusqu’à son terme »
Hollande, avocat des droits de l’Homme à Kinshasa
13 oct 2012 dansTF1
Le président François Hollande s’est fait l’avocat des droits de l’homme et de la démocratie lors d’un entretien « franc et direct » samedi avec le président de la République démocratique du Congo Joseph Kabila.
François Hollande, venu à Kinshasa pour participer au sommet de la Francophonie, a tout particulièrement insisté sur la nécessité que le procès des assassins du journaliste et militant des droits de l’homme congolais Floribert Chebeya se tienne et que ses agresseurs soient condamnés.
Une audience cruciale du procès en appel des huit policiers, accusés de l’assassinat en 2010 de Floribert Chebeya, a été reportée au 23 octobre, une dizaine de jours après le sommet de la Francophonie. Dans la perspective des élections locales qui se tiendront en 2014 en RDC, François Hollande a également estimé que la réforme attendue de la Commission électorale (Céni) tout comme la création d’une commission des droits de l’Homme, adresseraient des « signaux positifs » à la communauté internationale.
« S’il y a eu des progrès, encore trop timides, ces derniers jours , il y a un processus en RDC et je souhaite qu’il soit conduit jusqu’à son terme », a-t-il déclaré à la presse, à l’issue de son entretien avec le président congolais.
Les ministres français Laurent Fabius (Affaires étrangères), Yamina Benguigui (Francophonie) et Pascal Canfin (Développement) assistaient à cet entretien d’une trentaine de minutes.
Le président français a également condamné les « agressions extérieures » dans l’est de la RDC où l’armée congolaise est opposée à des groupes armés qui sèment la terreur, soulignant la nécessité d’accroître l’efficacité des actions des Nations unies et d’un renforcement du mandat de la mission de l’ONU, la Monusco. Selon l’entourage du président français, qui avait hésité à se rendre en RDC, il était « indispensable » de s’y rendre et d’organiser cette rencontre avec Joseph Kabila pour « être écoutés, entendus et porter le message des droits de l’Homme ».
Dans la foulée de cet entretien, François Hollande a rencontré cinq personnalités de l’opposition parlementaire et des représentants d’ONG de défense des droits de l’Homme en RDC. « La France est aux côtés des défenseurs des droits de l’Homme », leur a-t-il dit, toujours selon son entourage.
Le président français, arrivé samedi matin pour participer au 14e sommet de la Francophonie à Kinshasa, devait repartir le soir même, après le dîner de gala offert par le président congolais Joseph Kabila.
http://democratiechretienne.org/2012/10/13/a-la-sortie-de-son-audience-avec-kabila-le-president-hollande-fait-clairement-reference-a-la-liberation-du-dissident-diomi-ndongala-detenu-jusquau-11102012-au-secret-par-les-services-de-securite/
par mpp le 13 octobre 2012
A LA SORTIE DE SON AUDIENCE AVEC KABILA, LE PRESIDENT HOLLANDE FAIT CLAIREMENT REFERENCE A LA LIBERATION DU DISSIDENT DIOMI NDONGALA, DETENU JUSQU’AU 11/10/2012 AU SECRET PAR LES SERVICES DE SECURITE:
Il a declaré en se référant aux droits de l’homme, ceci: « S’il y a eu des progrès, encore trop timides, ces derniers jours, il y a un processus en RDC et je souhaite qu’il soit conduit jusqu’à son terme »
Hollande, avocat des droits de l’Homme à Kinshasa
13 oct 2012 dansTF1
Le président François Hollande s’est fait l’avocat des droits de l’homme et de la démocratie lors d’un entretien « franc et direct » samedi avec le président de la République démocratique du Congo Joseph Kabila.
François Hollande, venu à Kinshasa pour participer au sommet de la Francophonie, a tout particulièrement insisté sur la nécessité que le procès des assassins du journaliste et militant des droits de l’homme congolais Floribert Chebeya se tienne et que ses agresseurs soient condamnés.
Une audience cruciale du procès en appel des huit policiers, accusés de l’assassinat en 2010 de Floribert Chebeya, a été reportée au 23 octobre, une dizaine de jours après le sommet de la Francophonie. Dans la perspective des élections locales qui se tiendront en 2014 en RDC, François Hollande a également estimé que la réforme attendue de la Commission électorale (Céni) tout comme la création d’une commission des droits de l’Homme, adresseraient des « signaux positifs » à la communauté internationale.
« S’il y a eu des progrès, encore trop timides, ces derniers jours , il y a un processus en RDC et je souhaite qu’il soit conduit jusqu’à son terme », a-t-il déclaré à la presse, à l’issue de son entretien avec le président congolais.
Les ministres français Laurent Fabius (Affaires étrangères), Yamina Benguigui (Francophonie) et Pascal Canfin (Développement) assistaient à cet entretien d’une trentaine de minutes.
Le président français a également condamné les « agressions extérieures » dans l’est de la RDC où l’armée congolaise est opposée à des groupes armés qui sèment la terreur, soulignant la nécessité d’accroître l’efficacité des actions des Nations unies et d’un renforcement du mandat de la mission de l’ONU, la Monusco. Selon l’entourage du président français, qui avait hésité à se rendre en RDC, il était « indispensable » de s’y rendre et d’organiser cette rencontre avec Joseph Kabila pour « être écoutés, entendus et porter le message des droits de l’Homme ».
Dans la foulée de cet entretien, François Hollande a rencontré cinq personnalités de l’opposition parlementaire et des représentants d’ONG de défense des droits de l’Homme en RDC. « La France est aux côtés des défenseurs des droits de l’Homme », leur a-t-il dit, toujours selon son entourage.
Le président français, arrivé samedi matin pour participer au 14e sommet de la Francophonie à Kinshasa, devait repartir le soir même, après le dîner de gala offert par le président congolais Joseph Kabila.
http://democratiechretienne.org/2012/10/13/a-la-sortie-de-son-audience-avec-kabila-le-president-hollande-fait-clairement-reference-a-la-liberation-du-dissident-diomi-ndongala-detenu-jusquau-11102012-au-secret-par-les-services-de-securite/
KOTA
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
Enlevé puis détenu au secret pendant 100 jours, Eugène Diomi Ndongala raconte son calvaire/TEMPETE DES TROPIQUES
par mpp le 15 octobre 2012
http://democratiechretienne.org/2012/10/15/enleve-puis-detenu-au-secret-pendant-100-jours-eugene-diomi-ndongala-raconte-son-calvairetempete-des-tropiques/
par mpp le 15 octobre 2012
Enlevé puis détenu au secret pendant 100 jours |
Écrit par Godé Kalonji Mukendi |
Lundi, 15 Octobre 2012 08:02 |
Eugène Diomi Ndongala raconte son calvaire Le président de la Démocratie Chrétienne (DC) remercie les ONGDH Après avoir passé plus de 100 jours de détention au secret, le député national de l’opposition, Eugène Diomi Ndongala, a été relâché jeudi 11 octobre courant par ses bourreaux. Contacté par un journaliste de la Tempête des Tropiques, Eugène Diomi Ndongala a raconté son calvaire. Il avoue avoir été enlevé à bord d’une voiture le 27 juin 2012, puis détenu dans trois lieux différents, qu’il ne saurait identifier. Il affirme qu’il a été frappé deux fois à coups de matraque par ses ravisseurs. » Certains, je les ai vus mais je ne les connais pas. D’autres m’ont interrogé et m’ont bandé les yeux. En tout cas, ils avaient trois sortes de tenues : la tenue de la Garde républicaine, la tenue de la police et en tenue civile. Dans notre pays, il y a des lieux de détention illégaux. Moi je vais porter plainte contre les services de sécurité pour que l’on mène une enquête « , a-t-il témoigné. » Je n’étais pas enlevé pour un problème de viol, j’ai été arrêté pour mes activités politiques surtout pour mon attachement à Etienne Tshisekedi « , a -t-il dit. Et d’ajouter, » après mon enlèvement et durant ma détention au secret, j’ai été bandé aux yeux et j’ai subi des interrogatoires serrés à Kinsuka, Gombe … sur mon attachement avec le président Etienne Tshisekedi « , a-t-il déclaré. » J’ai été tabassé plusieurs fois « , a-t-il ajouté. <BLOCKQUOTE> » Comme j’avais les yeux bandés, il était difficile pour moi de connaitre ceux qui étaient en face de moi. Ils m’ont proposé de m’aider à me faire traverser le fleuve pour Brazzaville, mais j’ai refusé cette offre, préférant mourir au pays « , a révélé la victime. » J’étais candidat à la mort, mais je remercie les organisations de la société civile de défense et de promotion des droits de l’homme qui ont milité en ma faveur durant ma détention au secret » a-t-il renchéri. Eugène Diomi est affaibli par la maladie et est soumis au traitement dans un centre hospitalier de la place. Chose étonnante, en diagonal de sa résidence, des hommes suspects contrôlent tout mouvement. </BLOCKQUOTE> La voix judiciaire envisagée, mais attention à son instrumentalisation Fidèle à sa tradition, le ministre des Médias et de la Communication et porte-parole du gouvernement, Lambert Mende Omalanga, a rejeté toutes les allégations faites par ce député. Pour Mende, Eugène Diomi est un criminel et sera mis à la disposition de la justice pour être entendu pour viol sur deux mineures. Au cours d’une conférence de presse à Kinshasa, le même ministre des Médias avait déclaré la main sur le cœur que » Diomi est en cavale en Italie « . Thèse contredite par les organisations des droits humains qui, d’après leurs investigations, l’élu de la Funa était bel et bien détenu au secret à l’ANR. Avec l’appui des Ongdh, Diomi promet de ne pas baisser les bras quelles que soient les déclarations de Mende. » Mon image est ternie, j’ai été enlevé puis détenu au secret. Mon avocat va déposer une plainte dès ce lundi au Parquet Général « , a annoncé le député. D’après Me Yala Tutu, avocat conseil de l’honorable Eugène Diomi, » 24 heures après que mon client ait été abandonné sur la route Matadi à Ngaliema, nous sommes en droit de saisir la justice « . Pour lui, Eugène Diomi est victime d’une machination politique. Pour l’avocat de Diomi, le principe du partage des pouvoirs tel que défini par la constitution ne permet pas au porte parole du gouvernement de donner des injonctions au parlement pour lever l’immunité de son client qui est député national. Dans son réquisitoire général du 18 juillet 2012 tendant à obtenir la levée de l’immunité parlementaire d’Eugène Diomi Ndongala, le procureur général de la République s’était lui-même contredit sur l’âge exacte des présumées victimes. Etant Africain et père de famille, l’opinion se demande comment le porte-parole de la MPP devrait avoir l’audace et le courage de violer les filles d’une même famille ? Machination pure et simple du pouvoir en place pour faire taire ce député national proche d’Etienne Tshisekedi, disent les défenseurs des droits de l’homme. |
Mise à jour le Lundi, 15 Octobre 2012 08:24 |
KOTA
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
Intégralité :Eugène Diomi Ndongala raconte son enlèvement et la cruauté de Kabila Kanambe
http://democratiechretienne.org/2012/10/15/integralite-eugene-diomi-ndongala-raconte-son-enlevement-et-la-cruaute-de-kabila-kanambe/
http://democratiechretienne.org/2012/10/15/integralite-eugene-diomi-ndongala-raconte-son-enlevement-et-la-cruaute-de-kabila-kanambe/
KOTA
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
KINSHASA COMPAREE A UNE VILLE DE LA COREE DU NORD PENDANT LE SOMMET / LIBERATION
par mpp le 15 octobre 2012
Hollande-Kabila, crispations à Kinshasa
14 octobre 2012 à 20:46
Joseph Kabila et Francois Hollande samedi à Kinshasa. (REUTERS
Reportage Le chef de l’Etat, qui a durement critiqué la situation en RDC, était l’hôte ce week-end du Congolais au sommet de la Francophonie.
Par MARIA MALAGARDIS Envoyée spéciale à Kinshasa
Ce week-end, sous un ciel gris souris, le Palais du peuple de Kinshasa semblait avoir été soudain téléporté en Corée du Nord. Ce monumental bâtiment accueillait le XIVe sommet de la Francophonie, le premier jamais organisé en république démocratique du Congo. Mais où était la foule ? Où se cachait cette jeunesse africaine dont la vitalité a été maintes fois célébrée par François Hollande depuis son arrivée, vendredi, sur le continent noir ? Non loin de là, sur la place du Triomphe, un petit attroupement tentait vainement de donner une image festive au milieu d’une ville soudain désertée.
Manifestants. Pour retrouver un peu d’animation, il fallait franchir l’impressionnant dispositif policier qui quadrillait le centre-ville auquel les Kinois ordinaires n’avaient plus accès. Etrange ambiance qui en dit long sur les crispations ayant entouré ce sommet un peu particulier. Cette curieuse glaciation tropicale semblait d’ailleurs caractériser aussi les relations entre le président français et Joseph Kabila, son homologue congolais. Tout le monde a noté la froideur de leurs salutations à l’entrée du Palais du peuple, samedi matin.
Peu après, au moment même où François Hollande s’adressait à ses pairs francophones, des manifestants, qui tentaient de se regrouper dans un quartier périphérique, étaient dissuadés à coups de gaz lacrymogènes. On ignore le nombre exact de blessés mais il y aurait eu plusieurs arrestations : «Au moins cinq», suggérait dans la soirée Eugène Tshisekedi, le principal leader de l’opposition, persuadé que Kabila lui a «volé» sa victoire à la présidentielle de 2011. Tshisekedi et son parti, l’Union pour la démocratie et le progrès social, ont longtemps été les plus farouches opposants à la venue de Hollande. Une visite alors perçue comme une «caution» au régime en place.
Mais, samedi, alors qu’Hollande vantait les valeurs de la francophonie dans l’auditorium du Palais du peuple, un proche de Tshisekedi se réjouissait, lui, de cette occasion inespérée pour placer la RDC sous les projecteurs du monde entier. A condition d’oser quelques vérités. Or, l’opposant Eugène Diomi Ndongala est persuadé que le durcissement de ton du président français, mardi depuis Paris, a favorisé sa libération. «Le pouvoir congolais a dû penser qu’il fallait lâcher un peu de lest», souligne-t-il, assis aux côtés de Patrizia, sa femme d’origine italienne, dans sa jolie villa du quartier résidentiel de Ma Campagne.
Diomi avait soudain disparu le 27 juin, enlevé par cinq hommes non loin de la cathédrale. Très vite, les autorités ont prétendu qu’il était en fuite après avoir violé deux mineures. Les policiers qui avaient déjà saccagé le siège de son parti, Démocratie chrétienne, y auraient retrouvé du Viagra et des préservatifs usagers par dizaines. Très vite, les proches de Diomi réussissent à démonter ces accusations. Mais leur mobilisation semblait vaine jusqu’à ce que Diomi réapparaisse, mercredi soir, largué sur une route en pleine nuit. Baladé dans trois lieux de détention, les yeux toujours bandés, interrogé parfois de manière musclée «sur les soutiens de l’opposition dans l’armée», Diomi est aujourd’hui persuadé que le «miracle» de sa libération doit beaucoup aux premières critiques publiques du président français, qui avait jugé «inacceptable» la situation des droits de l’homme et l’absence de démocratie en RDC.
Opposants. Samedi, au Palais du peuple, Hollande a certes été moins véhément, tout en réaffirmant que la démocratie devait être «une priorité» de la francophonie face à un parterre de chefs d’Etats qui n’ont pas tous un pedigree irréprochable dans ce domaine. Dans son discours, le chef de l’Etat a surtout apporté son «soutien» au peuple congolais, en réalisant la prouesse de ne jamais mentionner le président hôte. Le même jour, il a inauguré à l’Institut français une médiathèque Floribert-Chebaya, du nom d’un défenseur des droits de l’homme assassiné en juin 2010, et un temps accusé, lui aussi, de viol par les autorités. Hollande a également rencontré des opposants, dont, en fin de journée, Etienne Tshisekedi, à la résidence de l’ambassadeur de France.
A l’extérieur, dans les jardins qui dominent le fleuve Congo, la communauté française se pressait déjà autour des petits fours. «Si je suis si exigeant, c’est parce que j’aime l’Afrique», s’est enthousiasmé le Président, qui venait de passer ses premières vingt-quatre heures sur le continent en tant que chef d’Etat. Mais, en réalité, dans chacun de ses discours, il a également su conforter le régime congolais en dénonçant très durement la guerre qui sévit dans l’est du pays depuis que des rebelles ont repris les armes, en mars. «La guerre dans l’Est ? C’est un prétexte qui permet à Kabila de détourner l’attention», considère pour sa part Diomi, qui n’a guère d’illusions sur le projet français, également annoncé par Hollande, d’élargir le statut de la Monusco, la mission de l’ONU présente au Congo : «La plus chère et la plus inefficace des missions de l’ONU», rappelle-t-il. L’opposant s’inquiète : «Hollande reparti, le sommet achevé, qui va nous protéger?»
http://www.liberation.fr/monde/2012/10/14/hollande-kabila-crispations-a-kinshasa_853210
http://democratiechretienne.org/2012/10/15/kinshasa-comparee-a-une-ville-de-la-coree-du-nord-pendant-le-sommet-liberation/
par mpp le 15 octobre 2012
Hollande-Kabila, crispations à Kinshasa
14 octobre 2012 à 20:46
Joseph Kabila et Francois Hollande samedi à Kinshasa. (REUTERS
Reportage Le chef de l’Etat, qui a durement critiqué la situation en RDC, était l’hôte ce week-end du Congolais au sommet de la Francophonie.
Par MARIA MALAGARDIS Envoyée spéciale à Kinshasa
Ce week-end, sous un ciel gris souris, le Palais du peuple de Kinshasa semblait avoir été soudain téléporté en Corée du Nord. Ce monumental bâtiment accueillait le XIVe sommet de la Francophonie, le premier jamais organisé en république démocratique du Congo. Mais où était la foule ? Où se cachait cette jeunesse africaine dont la vitalité a été maintes fois célébrée par François Hollande depuis son arrivée, vendredi, sur le continent noir ? Non loin de là, sur la place du Triomphe, un petit attroupement tentait vainement de donner une image festive au milieu d’une ville soudain désertée.
Manifestants. Pour retrouver un peu d’animation, il fallait franchir l’impressionnant dispositif policier qui quadrillait le centre-ville auquel les Kinois ordinaires n’avaient plus accès. Etrange ambiance qui en dit long sur les crispations ayant entouré ce sommet un peu particulier. Cette curieuse glaciation tropicale semblait d’ailleurs caractériser aussi les relations entre le président français et Joseph Kabila, son homologue congolais. Tout le monde a noté la froideur de leurs salutations à l’entrée du Palais du peuple, samedi matin.
Peu après, au moment même où François Hollande s’adressait à ses pairs francophones, des manifestants, qui tentaient de se regrouper dans un quartier périphérique, étaient dissuadés à coups de gaz lacrymogènes. On ignore le nombre exact de blessés mais il y aurait eu plusieurs arrestations : «Au moins cinq», suggérait dans la soirée Eugène Tshisekedi, le principal leader de l’opposition, persuadé que Kabila lui a «volé» sa victoire à la présidentielle de 2011. Tshisekedi et son parti, l’Union pour la démocratie et le progrès social, ont longtemps été les plus farouches opposants à la venue de Hollande. Une visite alors perçue comme une «caution» au régime en place.
Mais, samedi, alors qu’Hollande vantait les valeurs de la francophonie dans l’auditorium du Palais du peuple, un proche de Tshisekedi se réjouissait, lui, de cette occasion inespérée pour placer la RDC sous les projecteurs du monde entier. A condition d’oser quelques vérités. Or, l’opposant Eugène Diomi Ndongala est persuadé que le durcissement de ton du président français, mardi depuis Paris, a favorisé sa libération. «Le pouvoir congolais a dû penser qu’il fallait lâcher un peu de lest», souligne-t-il, assis aux côtés de Patrizia, sa femme d’origine italienne, dans sa jolie villa du quartier résidentiel de Ma Campagne.
Diomi avait soudain disparu le 27 juin, enlevé par cinq hommes non loin de la cathédrale. Très vite, les autorités ont prétendu qu’il était en fuite après avoir violé deux mineures. Les policiers qui avaient déjà saccagé le siège de son parti, Démocratie chrétienne, y auraient retrouvé du Viagra et des préservatifs usagers par dizaines. Très vite, les proches de Diomi réussissent à démonter ces accusations. Mais leur mobilisation semblait vaine jusqu’à ce que Diomi réapparaisse, mercredi soir, largué sur une route en pleine nuit. Baladé dans trois lieux de détention, les yeux toujours bandés, interrogé parfois de manière musclée «sur les soutiens de l’opposition dans l’armée», Diomi est aujourd’hui persuadé que le «miracle» de sa libération doit beaucoup aux premières critiques publiques du président français, qui avait jugé «inacceptable» la situation des droits de l’homme et l’absence de démocratie en RDC.
Opposants. Samedi, au Palais du peuple, Hollande a certes été moins véhément, tout en réaffirmant que la démocratie devait être «une priorité» de la francophonie face à un parterre de chefs d’Etats qui n’ont pas tous un pedigree irréprochable dans ce domaine. Dans son discours, le chef de l’Etat a surtout apporté son «soutien» au peuple congolais, en réalisant la prouesse de ne jamais mentionner le président hôte. Le même jour, il a inauguré à l’Institut français une médiathèque Floribert-Chebaya, du nom d’un défenseur des droits de l’homme assassiné en juin 2010, et un temps accusé, lui aussi, de viol par les autorités. Hollande a également rencontré des opposants, dont, en fin de journée, Etienne Tshisekedi, à la résidence de l’ambassadeur de France.
A l’extérieur, dans les jardins qui dominent le fleuve Congo, la communauté française se pressait déjà autour des petits fours. «Si je suis si exigeant, c’est parce que j’aime l’Afrique», s’est enthousiasmé le Président, qui venait de passer ses premières vingt-quatre heures sur le continent en tant que chef d’Etat. Mais, en réalité, dans chacun de ses discours, il a également su conforter le régime congolais en dénonçant très durement la guerre qui sévit dans l’est du pays depuis que des rebelles ont repris les armes, en mars. «La guerre dans l’Est ? C’est un prétexte qui permet à Kabila de détourner l’attention», considère pour sa part Diomi, qui n’a guère d’illusions sur le projet français, également annoncé par Hollande, d’élargir le statut de la Monusco, la mission de l’ONU présente au Congo : «La plus chère et la plus inefficace des missions de l’ONU», rappelle-t-il. L’opposant s’inquiète : «Hollande reparti, le sommet achevé, qui va nous protéger?»
http://www.liberation.fr/monde/2012/10/14/hollande-kabila-crispations-a-kinshasa_853210
http://democratiechretienne.org/2012/10/15/kinshasa-comparee-a-une-ville-de-la-coree-du-nord-pendant-le-sommet-liberation/
KOTA
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
Exclusivité: Point de presse de Eugène Diomi Dongala après sa réaapparition congomikili
_________________
[b]“Le deuil, c’est pour la vie. Ca ne s’en va jamais, ça fait progressivement partie de vous, à chaque pas, à chaque souffle.”
Mathilde
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
DIOMI NDONGALA PORTE PLAINTE CONTRE LE SERVICES DE SECURITE / LE PHARE
Diomi porter plainte contre les services de sécurité de la RDC
Mardi, 16 Octobre 2012
C’est un Diomi apparemment sous le choc qui a dévoilé sa résolution de porter plainte contre les services de sécurité de la République Démocratique au cours d’un point de presse qu’il a animé hier lundi dans sa résidence située Allée verte à Binza / Macampagne, dans la commune de Ngaliema.
<BLOCKQUOTE>
Il a accusé les services de sécurité de l’avoir enlevé sur la route qui mène vers Camp Kokolo alors qu’il se dirigeait à la Cathédrale Notre Dame du Congo pour la signature de la Charte de la plate-forme « Majorité présidentielle populaire» dont il est l’initiateur. Diomi a souligné que son enlèvement a été opéré par cinq personnes dont trois habillées en tenue de policier et deux autres en tenue de ville. Ses bourreaux ont provoqué selon lui un accident avec son véhicule avant de l’arrêter pour le conduire les yeux bandés dans trois lieux secrets où il a subi des tortures et des traitements dégradants.
</BLOCKQUOTE>
Parlant de l’affaire de viol de deux mineures, le président de la Démocratie Chrétienne a soutenu la thèse d’une cabale montée contre lui par les services de sécurité dans le but de le salir et de le neutraliser politiquement. Il s’est dit victime de son combat pour la vérité des urnes et dans sa loyauté à son leader, Etienne Tshisekedi après les élections bâclée du 28 novembre qui ont provoqué d’après lui la crise de légitimité en RDC.
Le porte-parole de la DC a fustigé l’instrumentalisation de la justice par le pouvoir en place qui a décidé la traque des opposants dans le but d’instaurer la pensée unique en RDC. Diomi Ndongala s’est dit indigné par la destruction méchante du siège de son parti par les policiers qui ont emporté 32 mille dollars des cotisations des membres de son parti et plusieurs biens qui s’y trouvaient. Il a déploré le fait que le Procureur général de la République, gardien de la loi qui s’est discrédité en collaborant à cette mise en scène de mauvais goût. Tout en pardonnant en tant que Chrétien ses bourreaux, Diomi a néanmoins confirmé sa décision de saisir la justice pour faire éclater la vérité au grand jour afin de recouvrer son honneur souillé dans cette affaire. Toutefois, cet opposant a témoigné qu’il a trouvé dans son calvaire plusieurs de ses compatriotes détenus dans les cachots secrets en violation de la Charte universelle des droits de l’homme que la République Démocratique du Congo a pourtant ratifié.
En dépit de ce coup dur, Diomi a réaffirmé son engagement dans le combat pour la vérité des urnes, afin de doter le pays d’un gouvernement apte à répondre aux aspirations profondes du peuple congolais. Il a remercié les ONG des droits de l’homme et le président français, François Hollande, pour des pressions exercées en vue d’obtenir sa libération.
Eric WEMBA
**************************************************************************
Exclusivité: Point de presse de Eugène Diomi Dongala après sa libération congomikili
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http://democratiechretienne.org/2012/10/17/diomi-ndongala-porte-plainte-contre-le-services-de-securite-le-phare/
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Diomi porter plainte contre les services de sécurité de la RDC
Mardi, 16 Octobre 2012
C’est un Diomi apparemment sous le choc qui a dévoilé sa résolution de porter plainte contre les services de sécurité de la République Démocratique au cours d’un point de presse qu’il a animé hier lundi dans sa résidence située Allée verte à Binza / Macampagne, dans la commune de Ngaliema.
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Il a accusé les services de sécurité de l’avoir enlevé sur la route qui mène vers Camp Kokolo alors qu’il se dirigeait à la Cathédrale Notre Dame du Congo pour la signature de la Charte de la plate-forme « Majorité présidentielle populaire» dont il est l’initiateur. Diomi a souligné que son enlèvement a été opéré par cinq personnes dont trois habillées en tenue de policier et deux autres en tenue de ville. Ses bourreaux ont provoqué selon lui un accident avec son véhicule avant de l’arrêter pour le conduire les yeux bandés dans trois lieux secrets où il a subi des tortures et des traitements dégradants.
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Parlant de l’affaire de viol de deux mineures, le président de la Démocratie Chrétienne a soutenu la thèse d’une cabale montée contre lui par les services de sécurité dans le but de le salir et de le neutraliser politiquement. Il s’est dit victime de son combat pour la vérité des urnes et dans sa loyauté à son leader, Etienne Tshisekedi après les élections bâclée du 28 novembre qui ont provoqué d’après lui la crise de légitimité en RDC.
Le porte-parole de la DC a fustigé l’instrumentalisation de la justice par le pouvoir en place qui a décidé la traque des opposants dans le but d’instaurer la pensée unique en RDC. Diomi Ndongala s’est dit indigné par la destruction méchante du siège de son parti par les policiers qui ont emporté 32 mille dollars des cotisations des membres de son parti et plusieurs biens qui s’y trouvaient. Il a déploré le fait que le Procureur général de la République, gardien de la loi qui s’est discrédité en collaborant à cette mise en scène de mauvais goût. Tout en pardonnant en tant que Chrétien ses bourreaux, Diomi a néanmoins confirmé sa décision de saisir la justice pour faire éclater la vérité au grand jour afin de recouvrer son honneur souillé dans cette affaire. Toutefois, cet opposant a témoigné qu’il a trouvé dans son calvaire plusieurs de ses compatriotes détenus dans les cachots secrets en violation de la Charte universelle des droits de l’homme que la République Démocratique du Congo a pourtant ratifié.
En dépit de ce coup dur, Diomi a réaffirmé son engagement dans le combat pour la vérité des urnes, afin de doter le pays d’un gouvernement apte à répondre aux aspirations profondes du peuple congolais. Il a remercié les ONG des droits de l’homme et le président français, François Hollande, pour des pressions exercées en vue d’obtenir sa libération.
Eric WEMBA
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KOTA
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
Eugène Diomi porte plainte contre ses bourreaux/LA TEMPETE DES TROPIQUES
par mpp le 17 octobre 2012
par mpp le 17 octobre 2012
Détenu au secret pendant 100 jours puis relâché |
Écrit par Lefils Matady |
Mardi, 16 Octobre 2012 08:26 |
LES DEPUTES DE L’OPPOSITION VENUS RENDRE VISITE A LEUR COLLEGUE L’HON. EUGENE DIOMI NDONGALA ENCORE MALADE-16/10/2012 Eugène Diomi porte plainte contre ses bourreaux C’est un Diomi barbu, quasi méconnaissable, qui a fait sa première sortie médiatique hier lundi 15 octobre 2012 à Kinshasa, 100 jours après son enlèvement, dans des circonstances obscures. Très reconnaissant, ce député a remercié tous ceux qui l’ont soutenu pendant les moments difficiles de sa détention, particulièrement les organisations de défense de Droits de l’homme, la communauté internationale ainsi que la presse locale et étrangère. » je pardonne à tous ceux qui m’ont fait du mal « , a-t-il lancé, avant d’annoncer qu’il porte néanmoins plainte contre ses bourreaux, plainte qui sera déposée très bientôt auprès du procureur général de la République. Pour lui, » toute la vérité doit être rétablie sur cette affaire, car mon image a été ternie « . Mais déjà, se réjouit-il, » l’opinion tant nationale qu’internationale connait aujourd’hui les véritables contours de cette affaire, et la vérité a triomphé « Le viol, selon lui, n’était qu’un montage, complot » pour obtenir ma mort « . Heureusement, » grâce à votre implication, ce plan n’a pas marché « . Curieusement, révèle l’orateur, pendant les 100 jours de sa détention, il n’a subi aucun interrogatoire concernant le présumé viol sur deux mineures. Seulement, ses bourreaux lui ont plusieurs fois posé la question de savoir » où avez-vous caché les armes pour renverser le pouvoir et récupérer l’impérium ? « . Pour toute réponse, » nous n’avons jamais eu d’armes, elles n’existent pas « . Il affirme avoir subi plusieurs tortures pour répondre par l’affirmatif, mais en vain. Par rapport à son état de santé, » je me porte de mieux en mieux, malgré que je dois subir des contrôles sérieux pour m’assurer de mon avenir « . Malgré tout ce qu’il vient de subir comme traitement dégradant, Diomi Ndongala réitère sa volonté de poursuivre son combat et sa lutte auprès d’Etienne Tshisekedi pour rétablir la vérité des urnes des scrutins du 28 novembre 2011, restaurer l’Etat de droit en République démocratique du Congo, la bonne gouvernance et la démocratie. Il invite tous les autres Congolais à se ranger derrière Tshisekedi pour mener ensemble cette lutte et sortir le pays de la boue. L’honorable Eugène Diomi poursuit donc son combat alors que ses bourreaux lui ont prévenu, au moment de sa libération, que » si tu oses dire en public ce qui t’est arrivé, cette fois-ci, on ne te ratera plus « . Il faut signaler que la victime s’en est sortie avec des lésions sur le corps, des traces de coups de matraque sur le dos et autres traces de tortures. |
Mise à jour le Mardi, 16 Octobre 2012 08:46 http://democratiechretienne.org/2012/10/17/eugene-diomi-porte-plainte-contre-ses-bourreauxla-tempete-des-tropiques/ |
KOTA
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
Admin a écrit:HH,Hiro-Hito a écrit:Je pense q ceci n'est pas passe inapercu. Si Kamerhe connait ou se trouve Diomi, n'a t-il pas le devoir de le dire au peuple?Et rassurer Mbusa NYAMUISI, DIOMI Ndongala et Roger LUMBALA, qu'ils peuvent revenir au pays en toute quiétude participer à la recherche de la paix.
http://www.lepotentielonline.com/1671-guerre-dans-l-est-kamerhe-propose-la-solution-politique
Des députés/sénateurs à qui j'ai parlé de cette histoire au simple kinois de la rue, je me suis senti idiot et ridicule en affirmant que Diomi est en détention. Plus aucun doute ... Diomi est hors de la RDC. S'ils avaient Diomi, ils l'auraient bien exhibé jeter à Makala par après.
Voyez seulement comment des députés/sénateurs ont traité avec une si grande légèreté, une si grande indifférence la disparition d'un homme politique de la trempe de Diomi. Qu'en est-il dès lors du petit peuple ? De ces femmes et hommes qui disparaissent et se font emprisonner chaque jour parfois sous les ordres de ces mêmes députés/sénateurs ? Qui va parler pour ces femmes et ces hommes qui n'ont personne pour se défendre ? Allons-nous laisser leur sort entre les mains des députés/sénateurs ? Il y a de quoi se demander quelles valeurs ces députés/sénateurs accordent à la vie humaine, particulièrement à la vie des Congolaises et Congolais ? Je ne pense pas qu'ils y accordent la moindre valeur.
Vous et moi, nous ne valons rien. Nous pouvons disparaitre du jour au-lendemain sans que ça n'émeuve personne. Et, il y aura ici même sur CD des gens pour nous condamner, pour justifier nos bourreaux, pour justifier les bourreaux du peuple congolais. On l'a déjà vécu et on le vit.
Combien des femmes et d'hommes sont victimes de nos députés/sénateurs ?
Libre Examen
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
Libre Examen a écrit:
Des députés/sénateurs à qui j'ai parlé de cette histoire au simple kinois de la rue, je me suis senti idiot et ridicule en affirmant que Diomi est en détention. Plus aucun doute ... Diomi est hors de la RDC. S'ils avaient Diomi, ils l'auraient bien exhibé jeter à Makala par après.
Voyez seulement comment des députés/sénateurs ont traité avec une si grande légèreté, une si grande indifférence la disparition d'un homme politique de la trempe de Diomi. Qu'en est-il dès lors du petit peuple ? De ces femmes et hommes qui disparaissent et se font emprisonner chaque jour parfois sous les ordres de ces mêmes députés/sénateurs ? Qui va parler pour ces femmes et ces hommes qui n'ont personne pour se défendre ? Allons-nous laisser leur sort entre les mains des députés/sénateurs ? Il y a de quoi se demander quelles valeurs ces députés/sénateurs accordent à la vie humaine, particulièrement à la vie des Congolaises et Congolais ? Je ne pense pas qu'ils y accordent la moindre valeur.
Vous et moi, nous ne valons rien. Nous pouvons disparaitre du jour au-lendemain sans que ça n'émeuve personne. Et, il y aura ici même sur CD des gens pour nous condamner, pour justifier nos bourreaux, pour justifier les bourreaux du peuple congolais. On l'a déjà vécu et on le vit.
Combien des femmes et d'hommes sont victimes de nos députés/sénateurs ?[/quote]
Légerté cher ami, légerté est le maître mot qui nous a toujours caractérisés et qui continuera à nous caractériser à moins d’en avoir une profonde conscience et de mener un profond combat contre notre propre personne. Or le problème de la légerté est qu'elle ne peut justement pas nous permettre d'avoir une conscience claire des choses et de nous mêmes. Elle nous fait souvent croire que nous sommes à la Hauteur des affaires, des choses alors que nous en sommes incapables. Et souvent nous ne voyons les fautes que quant elles sont commises par les autres mais quand ce sont des proches à nous ou nous mêmes, nous devenons complaisants. Comment se fait-il que Pasteurs, politiciens, artistes, intellectuels, tous chez nous se compromettent, oublient leurs missions et nagent dans la médiocrité? Et pourtant tous nous excellons dans les discussions verbales. A mon avis, nous nous surévaluons. Lorsque nous ne sommes pas aux affaires nous croyons que nous valons plus et ferons plus, lors que nous y sommes nous estimons que notre mission est de garder notre position, notre pouvoir peut importe ce qui se passe.
Ainsi un député un sénateur n’est au perçoire que pour obtenir son salaire et profiter des magouilles, de même pour un ministre. Ainsi tous pourris, tous croient qu’ils restent des gens justes et bons du fait qu’ils continuent à aller le dimanche à la messe à Sainte Anne et même à faire des aumônes. Ils sont incapables de voir que le pays est pris en otage du fait de leur propre compromission, du fait d’accepter de travailler pour un système pourri. Ils se disent certainement : « Si je ne suis pas là, quelqu’un d’autre va être à ma place et va donc servir le système, alors autant rester là moi-même pour en profiter, en faire profiter ma famille et au besoin aider autour de moi. » Mais il ne voit pas que ne pouvant servir deux maître, il est lentement et sûrement conduit à soutenir le mal.
De même l’opposant qui se croit juste simplement parce que, dans son envie pour le pouvoir, il a les yeux grandement ouverts sur les fautes des autres, les critiquer pour ainsi gagner le moyen d’accéder au pouvoir mais sans avoir fait le travail primordial de se connaitre, de se faire violence et de comprendre la nature de sa mission pour la société, celui-là ne devrait prétendre être mieux que ceux qu’il veut remplacer.
Ce qui veut dire que pour lutter contre la légerté il convient d'être dur et sévère envers tous: 1.envers soi-même, 2.envers ses proches, ses partisants, 3.envers les autres. C'est la raison pour laquelle, même parmi les combattants il faut exiger de s'abstenir des comportements signant la légerté. Il faut se prendre au sérieux, condamner toute légerté sans parti pris.
Comment voulez-vous que des députés d l’opposition restent aussi passifs devant ce qui semble être une entame visible à leur fonction que la disparition d’un de leur ? C'est ce qui me conduit à penser que nous sommes ognorants de nous mêmes, mais orgueilleux parce que nous prétendons que nous valons mieux alors que non. Si nous étions humbles, nous allions reconnaitre nos faiblesses, les voir comme dans un miroir et nous repentir. Malheureusement il y a lieu de constater l'Orgueil, l’outrecuidance qui nous carctérisent, signes d’un mauvais état d’esprit vis-à-vis des autres, vis-à-vis de nos concitoyens, une incapacité mentale ou morale à comprendre sa propre mission en tant que citoyen, en tant politicien, en tant que opposant.
henrija1
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
Il est temps, en tout cas, de nous resaisir sans attendre!
henrija1
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
FLASH! FLASH! FLASH!
COMPLOT CONTRE DIOMI NDONGALA ET ROGER LUMBALA A UN PARLEMENT FANTOCHE AU SERVICE DE L'INCULTE RWANDAIS ALIAS JOSEPH KABILA.
COMPLOT CONTRE DIOMI NDONGALA ET ROGER LUMBALA A UN PARLEMENT FANTOCHE AU SERVICE DE L'INCULTE RWANDAIS ALIAS JOSEPH KABILA.
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[b]“Le deuil, c’est pour la vie. Ca ne s’en va jamais, ça fait progressivement partie de vous, à chaque pas, à chaque souffle.”
Mathilde
Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT
Pourquoi jusqu’à maintenant il ne s'est toujours pas rasé ??
joss0
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