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APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT

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APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT - Page 29 Empty Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT

Message  mongo elombe 11/4/2013, 2:33 pm

La justice congolaise une honte........
°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°

Après la levée de son immunité parlementaire, Eugène Diomi Ndongala aux arrêts


L'opposant congolais Eugène Diomi Ndongala a été arrêté lundi 8 avril dans la soirée par les forces de police et placé en détention provisoire par un magistrat instructeur de Kinshasa. Le chef de la Démocratie chrétienne est inculpé de viol sur mineur, qu’il nie. Son avocat parle d'acharnement visant à écarter un opposant. Il dénonce aussi les méthodes de la justice congolaise.
Au terme d'une arrestation rocambolesque, Eugène Diomi Ndongala est désormais en prison. Le chef de la Démocratie chrétienne a été arrêté lundi 8 avril dans l'hôtel qu'il possède à Kinshasa.

Ses avocats n'ont découvert que mardi qu'un mandat d'amener avait été délivré par le magistrat chargé d'instruire la plainte pour viol déposé contre lui. L'avocat de l'opposant s'insurge d'abord contre la méthode, puisqu'il affirme qu'Eugène Diomi Ndongala n'a « jamais été convoqué par la justice ».

De plus, selon maitre Fustin Yalla, cette affaire de viol est un « montage » contre son client. Depuis juin dernier, l'opposant lui-même ne cesse de clamer qu'il est victime d'un complot visant à l'écarter de la scène politique.

Les interrogations persistent sur sa précédente disparition

Allié d’Etienne Tshisekedi, le chef de l’UDPS, Eugène Ndongala avait disparu durant trois mois entre juin et octobre dernier. Il avait ensuite accusé les services secrets de l'avoir kidnappé. Le gouvernement l'accusait alors d'affabulation. Les députés ont pour leur part levé son immunité parlementaire en janvier dernier.

Devant les magistrats instructeurs, Eugène Diomi Ndongala a réclamé une confrontation avec les deux mineures qui ont déposé plainte contre lui. Pour son avocat, la justice congolaise est partiale dans cette affaire. Il en veut pour preuve que les plaintes déposées par l'opposant pour cambriolage et enlèvement n'ont toujours pas été examinées par la justice.



M.M.
Kinshasa, 10/04/2013 (RFI / MCN, via mediacongo.net)






mongo elombe
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APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT - Page 29 Empty Re: APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT

Message  KOTA 11/4/2013, 10:05 pm

http://democratiechretienne.org/2013/04/11/les-ong-des-droits-de-lhomme-denoncent-lenelevement-violent-du-depute-diomi-ndongala/

LES ONGS DES DROITS DE L’HOMME (ONGDH) DENONCENT L’ENELEVEMENT VIOLENT DU DEPUTE DIOMI NDONGALA


par mpp le 11 avril 2013
COMMUNIQUE DE PRESSE DU COLLECTIF DES ONGS DES DROITS DE L’ HOMME EN RDC

Les Organisations non gouvernementales de défense des droits de l’homme condamnent avec la dernière énergie l’enlèvement et les brutalités dont l’Honorable Député national Eugène DIOMI NDONGALA a fait l’objet de la part des éléments de la Police Nationale Congolaise conduits par le Colonel KANYAMA.
Le Député National, Monsieur Eugène Diomi Ndongala, Président du parti de l’opposition politique dénommé Démocratie Chrétienne « D.C » en sigle, et porte-parole de la Majorité Présidentielle Populaire, « MPP » en sigle, a été enlevé brutalement dans la nuit du lundi 8 avril 2013, au Centre Cana, situé sur l’avenue des Palmier n°5273, dans la commune de la Gombe, ville-province de Kinshasa, par des éléments de la Police Nationale Congolaise (PNC), sous le commandement du colonel Kanyama, commandant de la Police nationale, district de la Lukunga, ville-province de Kinshasa.
L’opération a commencé par la présence suspecte d’un véhicule Prado de couleur blanche qui a stationné devant le Centre Cana et qui avait à son bord le Colonel Kanyama.
Quelques minutes après, un véhicule SUZUKI fait irruption et deux personnes en tenue civile débarquent de ce véhicule, forcent brutalement la porte principale pour entrer dans l’enceinte dudit Centre pendant qu’un véhicule de la Police Nationale Congolaise arrivait, transportant à son bord une dizaine de policiers.
Le Colonel Kanyama descendra par la suite du véhicule Prado et donnera l’ordre aux policiers d’entrer dans l’enceinte du Centre Cana et de se déployer tout autour du bâtiment et de bloquer toutes les issues. Le Colonel Kanyama, en personne, pénétra à l’intérieur du bâtiment, jusqu’à la réception, où il va prendre en otage la réceptionniste de nuit Mademoiselle Solange Longombo. Il va la faire promener dans la cour du Centre Cana, à la recherche du Député National Eugène Diomi Ndongala. Le bras gauche tordu par deux policiers, la femme fera l’objet des menaces de la part du Colonel qui n’arrêtait pas de lui répéter qu’elle sera amenée à la place du Député introuvable.
Par ces entrefaites, ce dernier fera son apparition dans la cour du Centre Cana où il sera récupéré brutalement par un policier sur ordre du Colonel Kanyama. Il sera bousculé et jeté par terre, son bras gauche sera grièvement blessé.
Le Député National sera ensuite conduit vers le véhicule Prado et Monsieur Sonika Kabeya, l’élément de garde et de protection du Centre Cana, agent de sécurité de l’entreprise de gardiennage MAMBA SECURITE, trouvé sur les lieux sera, lui aussi, emmené dans le véhicule de la Police nationale congolaise. Les deux véhicules prendront la direction de l’Etat-major du Commissariat provincial Ville de Kinshasa (COMPROVKIN), ex-Inspection provinciale de la Police nationale congolaise, ville-province de Kinshasa sur l’avenue de la Libération (ex-24 Novembre), dans la commune de la Gombe, où le député National Eugène Diomi Ndongala prendra connaissance de son dossier dans lequel il va trouver un mandat d’amener daté du 18 janvier 2013, émis à sa charge, pour viol sur deux mineures. Monsieur Sonika Kabeya sera libéré la même.
Le mardi 9 avril 2013, le Député National sera transféré vers 8 heures aux bureaux du Procureur Général de la République, situés sur le Boulevard du 30 Juin à Kinshasa-Gombe où il sera entendu sur procès-verbal avant d’être acheminé aux environs de 19 heures à la Prison Centrale de Makala.
<blockquote>L’Honorable Eugène Diomi Ndongala et les membres de son parti Démocratie Chrétienne (D.C), ne sont toujours pas au bout de leur peine judiciaire. Il a été soumis à 3 mois de séquestration en juillet 2012 dans les cachots privés des services de sécurité après avoir été enlevé au croisement des avenues Kalembe-Lembe et Libération par les agents des services de sécurité Rd Congolais. Il sied de noter que l’Honorable Eugene Diomi Ndongala en est à son septième enlèvement.

</blockquote>L’opinion se souviendra qu’au mois d’octobre 2012, trois (3) membres de la Démocratie Chrétienne avaient été enlevés à proximité du siège de leur parti situé sur l’avenue Tombalbaye dans la Commune de la Gombe. Ils furent détenus au secret, dans les cachots du Commissariat de la police basé dans le bâtiment Regina sur le boulevard du 30 juin avant d’être transférés dans les cachots de l’Agence Nationale des Renseignements où ils passeront 45 jours. Il s’agit de Messieurs Héritier Kazadi, Jean Paul Mabondo et Jean Claude Yongo Kasele. Ils ont été libérés sans connaitre les griefs mis à leur charge.
Messieurs Verdict Akobia Motitia et François Stallone Katumba, respectivement journaliste, Chargé de communication et presse de la Démocratie Chrétienne, et membre de la Majorité Présidentielle Populaire (MPP), sont gardés au secret depuis le 18 janvier 2013 ; le premier dans les geôles de l’Agence Nationale des Renseignements (ANR) sise sur avenue Lemera, en face de la Primature, commune de la Gombe et le second dans les cachots des services des renseignements militaires (ex-DEMIAP), basés dans la commune de Kintambo. Ils n’ont jamais été présentés devant leurs juges naturels afin qu’ils soient entendus et prévaloir leurs moyens de défense.
Enfin, un autre cas à signaler est celui de Madame Kabungana Marie-Josée, membre de la Majorité Présidentielle Populaire ; celle-ci est détenue au secret depuis près de 3 mois à l’Agence Nationale des Renseignements (ANR), située sur l’avenue Lemera (ex-3Z) dans la Commune de la Gombe.
<blockquote>Les ONDGH signataires tiennent à dénoncer le harcèlement dont sont victimes Monsieur Eugène DIOMI NDONGALA et les membres de son parti politique, la Démocratie Chrétienne pour la simple raison de leur appartenance à la frange de l’opposition restée fidèle à Monsieur Etienne Tshisekedi wa Mulumba, Président national de l’Union pour la Démocratie et le Progrès Social « UDPS » ce, en violation flagrante des articles 16, 17, 18 et 19 de la constitution.

</blockquote>Les ONGDH signataires condamnent en outre :
- l’opération organisée par le Colonel Kanyama nuitamment à des heures non autorisées, et sans un document requis, en l’absence des responsables ou propriétaires des lieux en violation des lois du pays mettant ainsi en danger et traumatisant les clients présents sur les lieux;

- les actes de torture, brutalité et violence devenus mode opératoire de prédilection de la Police nationale congolaise et du Colonel Kanyama, en particulier ;

- la torture et autres traitements cruels, inhumains ou dégradants auxquels l’honorable Diomi Ndongala a été soumis, en faisant fi de son statut de « Député National » ;
- l’interdiction qui a été faite à son médecin de le visiter pour évaluer son état de santé et exigeons l’examen médical de son bras gauche dans les meilleures délais et que des soins appropriés lui soient administrés.

- Le caractère arbitraire de cette arrestation-enlèvement faite sur base d’un mandat d’amener daté du 18 janvier 2013 et donc invalide, alors que l’Honorable Eugène Diomi Ndongala n’a jamais été ni saisi ni invité une seule fois par le Parquet général de la République depuis sa levée d’immunité par l’Assemblée Nationale.

Eu égard à ce qui précède, les ONGDH signataires exigent :

- La libération immédiate et sans condition de toutes les personnes en détention illégale et anormalement prolongées dans les cachots des services de sécurité civil et militaire (ANR et DEMIAP) du fait de leur appartenance politique à la Démocratie Chrétienne (DC) et/ou à la Majorité Présidentielle Populaire (MPP) ou, à défaut les déférés devant leur juge naturel ;

- Le respect strict des règles de procédure en matière d’arrestation et de détention telle que prévue par la constitution et les lois de la République eu égard à la qualité de député national de l’Honorable Eugène DIOMI NDONGALA tant au niveau de la Police que du Parquet général de la République


Fait à Kinshasa, le 11 avril 2013.
Pour les ONGDH Signataires :


  • Les Amis de Nelson Mandela pour les Droits de l’Homme, ANMDH
  • Association Africaine de Défense des Droits de l’Homme, ASADHO
  • Anges du Ciel
  • Avocats Sans Frontières, ASF/ RDC
  • Centre des droits de l’Homme et du Droit Humanitaire, CDH
  • Comité Droits de l’Homme Maintenant, CDHM
  • Ligue des Electeurs, LE
  • Observatoire Congolais des Droits Humains, OCDH
  • Œuvres Sociales pour le Développement, OSD
  • Synergie Culture Congo Développement, SCCD
  • Toges Noires
KOTA
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Message  KOTA 17/4/2013, 11:07 am

DIOMI NDONGALA : » LE CONGO AUX CONGOLAIS ! » 4 JANVIER 2005 KINSHASA


par mpp le 4 janvier 2013
APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT - Page 29 Meeting_dc_stade_des_martyrs_facer_50000_personnes11
DIOMI NDONGALA :

» LE CONGO AUX CONGOLAIS ! »




APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT - Page 29 Meeting_dc_stade_des_martyrs_facer_50000_personnes1

ADRESSE DU PRESIDENT NATIONAL DE LA DEMOCRATIE CHRETIENNE, EUGENE DIOMI NDONGALA AU MEETING DU 4 JANVIER 2005 AU
STADE DES MARTYRS

Chers militantes et militants de la DC,

Mbote na bino !

C’est merveilleux de nous retrouver si nombreux, dans la joie et la prière, dans ce cadre majestueux et en ce jour si cher à la mémoire
collective des congolais ; tous unis, pour nous rappeler des martyrs du 4 Janvier 1959 qui ont obtenu notre indépendance, au prix du sacrifice de leurs vies, bravant l’idéologie dominatrice du colonialisme et son système de pouvoir, pour affirmer leur droit à la pleine citoyenneté et aux droits inaliénables de la personne humaine, dont la sacralité nous a été enseigné par l’Evangile. Aussi, souvenons-nous du combat de Simon KIMBANGU, de nos sœurs et frères Chrétiens tombés le 16 février 1991, du sacrifice
extrême de Monseigneur Christophe MUNZIHIRWA et de Monseigneur Emmanuel KATALIKO ainsi que dernièrement, du Pasteur Albert LUKUSA LUVUNGU, à la mémoire desquels nous allons dédier une minute de silence ….

Que reste-t-il, aujourd’hui, de la lutte héroïque de ces martyrs, de leur combat d’amour absolu, au sacrifice de leurs vies ?

APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT - Page 29 Stade_des_martyrs3_04012004-3Regardons autour de nous :

Nous vivons dans un pays déchiré, où le mensonge d’état,la violence règnent encore en maître :

Que reste-t-il du rêve d’un Congo fort et prospère de nos pères de l’indépendance ?

Nos martyrs sont-ils morts en vain ?

Aujourd’hui, plus que jamais dans notre histoire, il est nécessaire de nous rappeler de ce combat, de ces morts et de l’espoir qui les
animait d’un futur de paix, de dignité et d’amour pour la nation congolaise.

« Il est temps d’abandonner la guerre, les divisions, les discriminations sociales, tribales, et de former finalement une famille de Chrétiens unis et engagés pour sauver le Congo ; il est temps de « libérer » le processus électoral, pris manifestement en otage, pour nous réapproprier du destin de ce pays et rappeler au monde quenos martyrs ne sont pas morts en vain»Notre peuple est en train de perdre l’espoir et sans l’espoir, ni la foi,ni les oeuvres ne sont possibles !

Puisons dans notre mémoire collective la force et la déterminationpour bâtir notre pays :

Avec courage, force et détermination crions notre volonté de paix, de reconstruction et surtout, le besoin absolu d’affirmer notre
dignité en tant que peuple congolais :

Nous disons, à ceux qui veulent l’entendre, QUE NOTRE MESSAGE EST LE MEME QUE CELUI DES CONGOLAIS TUES le 4 janvier 1959 A KINSHASA:

IL SE RESUME EN UNE SEULE ET UNIQUE PHRASE qui traduit l’essence du combat de tous nos martyrs:

LE CONGO AUX CONGOLAIS !

LE CONGO AUX CONGOLAIS !

LE CONGO AUX CONGOLAIS !


Après 46 ans, nous sommes encore à la recherche de cette indépendance politique qui fait d’un peuple le maître de son destin.Après 45 ans, exactement le 30 juin 2005, nous voulons être enmesure de devenir enfin, une démocratie gouvernante et nonplus une démocratie gouvernée, en éternelle transition.

Pour obtenir cet objectif, l’engagement des chrétiens devra

être total et exemplaire :

Engageons nos actes, nos prières, notre volonté pour le changement du Congo Démocratique, pour faire renaître l’espoir d’un futur meilleur dans nos cœurs :

Mais en bons chrétiens, ne limitons pas notre engagement à la prière, à la passivité ou bien à l’amertume et l’acceptation passive d’un destin que nous n’avons pas choisi:

La foi a besoin des actes, comme la politique congolaise a besoin d’unengagement sans faille des chrétiens congolais.

<BLOCKQUOTE>
Que faire, pour nous réapproprier des rêves des nos aînés ?

Que faire, pour ne plus jamais devenir la chair à canon de batailles perdues d’avance, les civils déplacés ou meurtris, les jeunes qui ont arrêté de rêver ?

Que faire, pour que le Congo ne soit plus un pays déchiré par la guerre, sanssouveraineté respectée et sans défense effective?
</BLOCKQUOTE>
La réponse est toujours la même, mes sœurs et frères :


Son essence se résume en une seule phrase :


LE CONGO AUX CONGOLAIS !


Résistons contre les politiques de compromission qu’on voudrait nous imposer ;

Vainquons la peur, car la meilleure arme de l’oppresseur est la peur de l’opprimé !!!

Suivons l’Evangile, pour distinguer le bien et le mal :

« Vous reconnaîtrez l’arbre par ses fruits ».

La guerre et le manque de vision politique sont les plus graves problèmes du Congo, en ce moment :

C’est une guerre que nous ne voulons pas et que nous subissons depuis 9 ans, avec des millions de morts, la destruction, la maladie
qu’elle nous apporte, dans la substantielle indifférence du reste du monde !

<BLOCKQUOTE>
Les hautes autorités de ce pays continuent à signer des traités de paix avec nos voisins mais ces traités sont toujours violés.

</BLOCKQUOTE>
Nos richesses naturelles continuent à être pillées à l’Est de la RDC par nos voisins, alors qu’à l’Ouest des réseaux de fraude très puissants veulent continuer à imposer leurs logiques maffieuses au détriment des intérêts supérieurs de l’état congolais !!!


Combattons notre peur et soyons conscients de notre force :

Ensemble nous pouvons relever le défi du changement au Congo Démocratique ;

<BLOCKQUOTE>
Pas de compromission, avec les forces qui vivent du fond du commerce du génocide rwandais de 1994 et celles qui l’ont commis, car les deux sont devenues des alliées dans leur entreprise néfaste visant à détruire le rêve d’un Congo uni et prospère !


Pas de compromission, avec ceux qui ont peur du jugement du peuple et veulent à tout prix nous priver du droit d’élire nos dirigeants !


Pas de compromission, avec ceux qui aliènent notre souveraineté pour s’éterniser dans un système de pouvoir sans légitimation des urnes !!

Un système basé sur l’exclusion, la médisance, le mensonge d’état pour salir ses adversaires politiques et les réduire au silence !

Pas de compromission, avec ceux qui veulent échapper à la justice internationale, pour ne pas rendre compte des crimes de sang commis dans ce pays, ou la sacralité de la vie est méconnue :

Makobola, Kasika, Kinshasa en août 1998, Ankoro, Bukavu, Ituri….des millions de morts qui réclament justice !
</BLOCKQUOTE>
Le Congo est objectivement divisé :

<BLOCKQUOTE>
A l’Est, nos frères subissent encore aujourd’hui les affres de la guerre, le martyre du déplacement à travers les forêts hostiles pour échapper à la folie meurtrière des envahisseurs rwandais et leurs complices congolais ;

A l’Ouest, nous sommes victimes de l’instabilité devenue chronique d’un Etat qui recherche encore ses repères politiques :
</BLOCKQUOTE>
Nous perdons l’espoir et nous vivons affligés par la misère et la désolation de nos villes délabrées, de nos enfants déscolarisés, des nos vieux abandonnés.

<BLOCKQUOTE>
Sommes-nous victimes d’une fatalité ?

D’une malédiction ?

Non, mes sœurs et frères, non, nous devons agir !
</BLOCKQUOTE>
Nous devons vaincre d’abord la peur, le fatalisme et le désespoir :

N’ayons pas peur de dire que l’accord Global et Inclusif est manifestement défaillant, car tout un gouvernement est à la merci d’un espace présidentiel incapable de définir une ligne politique cohérente pour cette nation!

N’ayons pas peur de dire que les agendas cachés des uns et des autres bloquent la transition, torpillée par une mauvaise gestion des priorités nationales :

<BLOCKQUOTE>
Où sont-elles finies, les grandes priorités du Congo telles que prévues par le Dialogue Inter congolais ?

</BLOCKQUOTE>
Pourquoi les organes législatifs de la Transition retardent-ils artificiellement l’adoption des textes fondamentaux sous-jacents la mise en œuvre du processus électoral en privilégiant, au contraire, les jeux de dominos politiques et les violations de la Constitution?

Ou est-il fini le leadership exemplaire exigée par la Constitution de la transition si l’on continue encore à entretenir le jeu néfaste des
cabales politiques des uns contre les autres, en utilisant ses adversaires politiques tels que des « fusibles » qu’on voudrait faire
sauter, maintenant, pour ériger des écrans de fumée qui cachent mal des mauvaises consciences ?

La démocratie et la bonne gouvernance ne sont pas un« Jeu de dominos » destiné au marketing politique et à la consommation extérieure :

Elles sont un devoir envers notre peuple !!!

Tirons les conséquences de ce constat amer de dysfonctionnement et trouvons des véritables solutions aux problèmes institutionnels
qui se posent et nous empêchent d’aller de l’avant :

<BLOCKQUOTE>
les congolais ne peuvent continuer d’être
les esclaves d’un système défaillant qui ne leur donne aucun espoir.
</BLOCKQUOTE>
La vérité est un bien très précieux pour les Chrétiens :

rappelons – nous de celui qui représente, pour nous, le « Chemin, la Vérité et la Vie »

Nos aînés, nos pères nous ont démontré, le 4 Janvier 1959, que la vérité et la justice ne peuvent pas être vaincues :

Débarrassons-nous de la peur de reconnaître nos erreurs, débarrassons-nous de la peur envers ceux qui veulent nous régenter par la force et la violence :

« Mon peuple périt par manque de connaissance », dit le prophète Osée dan la Bible :

Dorénavant, soyons conscients de notre force et surtout, vainquons la peur, car Jésus Christ – le Chemin, la Vérité et la Vie – est avec nous !

Aux jeunes, ici présents, je vous dis de ne pas regarder seulement aux biens extérieurs ;

Débarrassez- vous de la culture de la facilité, de la sape, de l’ivresse: construisez votre futur, par votre engagement social et politique et surtout par le travail, par vos études, par votre volonté de construire le futur dans l’honnêteté et la moralité !

Aux pères et mères de famille, je vous demande de ne jamais vous contenter de survivre :

Votre futur aussi doit changer et vous aussi avez droit à l’espoir d’une vie meilleure, dans la paix et la garantie de vos droits civils et politiques : droit à la santé, au travail, à la sécurité sociale et juridique.

Aux militantes et militants de la Démocratie Chrétienne, ici nombreux, je vous demande d’être le fer de lance du changement, la référence politique de l’engagement chrétien et surtout, soyez courageux et fiers car l’idéologie que vous prônez et défendez sera
celle qui sauvera le Congo Démocratique !!!

JE LE REPETE, ENCORE UNE FOIS, POUR QUE NOUS TOUS EN SOYONS PLEINEMENT CONSCIENTS :

<BLOCKQUOTE>
« Il est temps d’abandonner la guerre, les divisions, les discriminations sociales, tribales, et de former finalement une famille de Chrétiens unis et engagés pour sauver le Congo ! ».
</BLOCKQUOTE>
Le pays ressemble aujourd’hui à un grand malade dont la guérison dépend d’un traitement de choc ou bien d’un miracle que seuls les
chrétiens peuvent demander au Très Haut :

Comme au début du lancement du processus de démocratisation le 24 avril 1990, les Congolais sont toujours et encore demandeurs d’
un changement fort.15 années après !

Les Chrétiens morts le 16 Février 1991, sont-ils morts en vain ?Néanmoins, notre peuple est très conscient de ses revendications politiques :

Les Congolais veulent que le Congo de demain retrouve la respectabilité par la réhabilitation de son indépendance et sa pleine souveraineté.


Les Congolais veulent que le Congo de demain soit dirigé par des hommes et des femmes qui les rassemblent.


Des hommes et des femmes qui mettent la cohésion nationale au-dessus de tout.


Les Congolais veulent que le Congo de demain soit gouverné par des vrais serviteurs de l’état.


Je vous dis que le Congo de demain sera ce que les Congolais et surtout les Chrétiens, décideront en juin 2005 :

<BLOCKQUOTE>
Un pays en perpétuelle régression ou bien un Etat ouvert à la modernité, à la justice et au progrès.

</BLOCKQUOTE>
Le choix paraît clair, mes sœurs et frères en Christ!

L’essence de ce choix et de toutes ces revendications est contenue en une seule et unique phrase, que vousconnaissez déjà, car elle a été prononcée par tous nos martyrs :

<BLOCKQUOTE>
Le Congo aux Congolais !!!


Le Congo aux Congolais !!!


Le Congo aux Congolais !!!

</BLOCKQUOTE>
Que le Très Haut bénisse le Congo.

EUGENE DIOMI NDONGALA,

Le 4 Janvier 2005

*****************************************************************************************

LE PRESIDENT DIOMI NDONGALA ASSIGNE A
PREVENU PAR
LE REGIME KABILA A CAUSE DE SON MEETING DU 04 JANVIER 2005


http://dc-kin.net/assignation_stadedesmartyrs.html






http://democratiechretienne.org/2013/01/04/diomi-ndongala-le-congo-aux-congolais-4-janvier-2005-kinshasa/
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Message  KOTA 17/4/2013, 9:09 pm

RD Congo : CODHO dénonce la persécution contre le député Eugène Diomi Ndongala et ses proches à Kinshasa


par mpp le 17 avril 2013
APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT - Page 29 Diomi9



COMITE DES OBSERVATEURS DES DROITS DE L’HOMME


CODHO


—————————————————————————————————
-Bâtir une Justice pour Tous, Consolider la Démocratie, la Bonne Gouvernance et la Paix
-Travailler pour Promouvoir et Protéger les Droits de l’Homme pour Tous
-Building a Justice for All, Consolidate Democracy, Good Governance and Peace
-Working to promote and protect Human Rights for All
————————————————————————————————————————————-
Communiqué de presse n°2013417/CODHO
RD Congo : CODHO dénonce la persécution contre le député Eugène Diomi Ndongala et ses proches à Kinshasa[1]


<BLOCKQUOTE>
MALGRE LA DECISION DE LA COUR SUPREME D’ASSIGNER LE DEPUTE EUGENE DIOMI NDONGALA EN RESIDENCE SURVEILLE DANS SA RESIDENCE (à l’instar d’Etienne Tshisekedi, UDPS), LE PARQUET NE S’EXECUTE PAS ET IL EST ENCORE A LA PRISON CPRK.

</BLOCKQUOTE>
Kinshasa-Paris, le 17 avril 2013 – Le Comité des Observateurs des Droits de l’Homme (CODHO) esttrès préoccupé parle climat de persécution dont les membres des partis politiques de l’opposition, particulièrement le député Eugène Diomi Ndongala est victime et ses proches.

Le député Eugène Diomi Ndongala ne serait plus poursuivi pour un prétendu viol imaginaire mais pour être à la tête d’un mouvement insurrectionnel appelé « IMPERIUM ».

Le 16 avril 2013, la Cour Suprême de Justice, statuant sur la validité de l’arrestation du député Eugène Diomi Ndongala, a rendu sa décision assignant en résidence surveillé Eugène Diomi Ndongala.

Il sied de rappeler que le 08 avril 2013 le Député Diomi Ndongala a été nuitamment enlevé par la police politique dirigé par le Colonel Kanyama pour être acheminé dans un lieu de détention secret et par la suite seulement il sera informé de l’existence d’un mandat d’arrêt émis curieusement le 18/01/2013 par l’Avocat Général Ikoba. L’irrégularité de cette énième arrestation du Député du Peuple ne ressorte pas seulement par rapport au fait qu’elle a été effectuée la nuit, avec violence, à environ 22h30 et sans mandat mais aussi pour l’absence dans le dossier au parquet d’un quelconque convocation ou bien de mandant d’amener préalables.

<BLOCKQUOTE>
Au contraire, un faux en écriture apparait dans le mandat d’arrêt daté 18/01/2013 car celui-ci indique que le député ne s’était pas présenté à la convocation ni à la suite d’un mandat d’amener mais, curieusement, ni la convocation ni le mandat d’amener ne sont présents dans le dossier du parquet : ils n’existent pas, tout simplement.

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Face à la Cour Suprême de Justice devant statuer sur la validité de l’arrestation, les avocats du député Diomi Ndongala ont fait relever le faux en écriture contenu dans le dossier par rapport au mandat d’arrêt daté 18/01/2013 et ils ont aussi fait noter que la loi ne prévoit pas la détention d’un Député en fonction d’en dehors de sa propre résidence.

De plus, une grosse lacune était contenue dans le dossier présenté par le Magistère public à la Cour Suprême en violation de l’Art. 107 de la Constitution. En effet, alors que la Constitution interdit toute forme d’arrestation ou bien arrêt d’un député en cours de session sans l’autorisation expresse du Parlement, le magistère public a été incapable de présenter l’autorisation du parlement dont il est question à l’art. 107. A cause de cette lacune insurmontable par un juge constitutionnel impartial, le député Diomi Ndongala aurait dû être libéré sans autre forme de limitation de sa liberté, son arrestation étant irrégulière.


En violant les prescrits de la Constitution, art 107, la Cours Suprême a statué pour l’assignation en résidence du Président National de la Démocratie Chrétienne et Porte-Parole de la Majorité Présidentielle Populaire, MPP en sigle.

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Cette décision n’apaise pas les nombreux congolais qui ont exprimé leur indignation face à l’arrestation illégale de Diomi Ndongala, car l’application concrète de ladite décision dépend du Parquet où l’actuel Procureur Général de La République refuserait d’assigner le Député Diomi Ndongala dans sa propre résidence à Kinshasa pour le faire installer, bien au contraire, dans un Hôtel de son choix ou bien dans une Safe House de l’Anr. Ce placement irrégulier et illégitime exposerait gravement la sécurité de Diomi Ndongala qui se retrouverait otage des services de sécurité, avec une grave menace pour sa sécurité et intégrité physique.

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Le CODHO –Comité des Observateurs des Droits de l’Homme rappelle que depuis le déclanchement de l’opération montée par les services de sécurité pour arrêter abusivement le député Diomi Ndongala en juin 2012, le Procureur Général de la République a posé une série d’actes illégaux et irréguliers dans cet affaire au point que des ONG des droits de l’homme avaient demandé – dans une prise de position publique – sa démission pour des violations gravissimes de la Constitution et du code de procédure pénal : occupation d’un siège d’un parti politique sans mandat ; perquisition sans mandat et pillage des biens de Diomi Ndongala et de tous les documents et autres biens se trouvant au siège de la Démocratie Chrétienne ; le lancement d’une poursuite en RMP plutôt que RI contre un député en fonction et sans l’autorisation du parlement ; violation de la présomption d’innocence par la tenue de conférences de presse dont le Procureur général de la République (PGR) a fait des accusations qui contredisent celles contenues dans son propre réquisitoire daté 19/07/2013 adressé au parlement, démontrant ainsi l’inconsistance et le caractère politique de l’accusation ; graves interférences sur les magistrats et juges du Tribunal de Matete où Diomi Ndongala a assigné en justice par 4 citations directes le groupe de malfaiteurs instrumentalisés contre lui mais cela a donné comme résultat un évident « déni de justice ».

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Tout en avouant à plusieurs reprises que le dossier monté contre Diomi Ndongala est politique et pas juridique, le PGR voudrait pousser son attitude partisane de simple exécuteurs des dictats du régime Kabila jusqu’ ‘à exposer la vie du député Diomi Ndongala en le plaçant entre les mains de la mortifère « ANR », agence nationale de renseignement.

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Le CODHO signale que tout porte à croire que les forces de la défense et de sécurité sont à sa énième tentative d’élimination physique du d


éputé Eugène Diomi Ndongala après sa détention au secret de juin 2012 à octobre 2013 à Kinshasa, visant à le briser physiquement au point qu’il a dû subir une intervention chirurgicale d’urgence le 18/10/2012. Il présente depuis sa libération, intervenue à la veille de la tenue du sommet de la Francophonie à Kinshasa, des indices graves d’empoisonnement.


Rappel des faits et autres allégations de persécution antérieurs[2]

Le Comité des Observateurs des Droits de l’Homme (CODHO) rappelle l’opinion[3]qu’un groupe de près de 20 éléments des forces de la défense et de sécurité ont enlevé le député Eugène Diomi Ndongala, président du parti Démocratie Chrétienne (DC) et Porte-parole de la plate-forme de l’opposition Majorité Présidentielle Populaire (MPP). Celle-ci réclame la victoire d’Etienne Tshisekedi Wa Mulumba à l’élection présidentielle du 28 novembre 2011.

Ces forces de la défense et de sécurité sont instamment aux trousses de plusieurs militants et sympathisants de l’UDPS et alliés, et d’autres activistes des droits de l’homme, y compris des journalistes. Les élections du 28 novembre 2011 sont certes passées mais l’alerte semble être au plus haut niveau au sein de ces forces de sécurité non seulement à Kinshasa, mais aussi à Mbuji-Mayi (province du Kasaï Oriental), Kananga (province du Kasaï Occidental), Matadi (province du Bas-Congo), Kisangani (province orientale) et à Lubumbashi.

Des cadres, membres et sympathisants de l’UDPS et ceux de plusieurs autres partis de l’opposition sont toujours fortement recherchés par les forces de la défense et de sécurité à Kinshasa. Beaucoup d’entre eux vivent toujours en clandestinité depuis les manifestations répétées pré-électorales et post-électorales de 2011 et 2012. L’équipe de CODHO s’occupe du suivi de quelques cas en détention et ceux portés disparus, lesquels cas ont été portés à sa connaissance, depuis les premiers événements de 2011 à Kinshasa. Il s’agit notamment des membres et sympathisants de l’UDPS, DC, UNC, MLC, BDK et de l’ECIDé dont des agents des forces de la défense et de sécurité n’ont jamais cessé leurs actes de filature, soit aux environs de leurs habitations ou celles de leurs proches soit à leurs lieux de travail respectifs.

Cas illustratif d’intolérance politique contre les membres et sympathisants des partis de l’opposition politique

1. Les membres du parti d’Eugène Diomi Ndongola toujours persécutés :



Photo –Député Eugène Diomi Ndongala (DC)

Actuellement à Kinshasa, tous les responsables de la Démocratie Chrétienne sont suivis par des agents des forces de la défense et de sécurité et le parti n’a jamais été dédommagé pour la destruction de ses locaux ainsi que la séquestration de tous les documents internes du parti. En voici un essai de chronique :

Le 26/06/2012, le député National Eugène Diomi Ndongala projette pour le lendemain, le 27/06/2012, une manifestation de signature de la Charte Constitutive de la plateforme politiqueMajorité présidentielle Populaire, MPP, qui devra avoir lieu dans la salle de la Cathédrale Notre Dame du Congo à Lingwala. A cet effet, il reçoit des nombreuses délégations de partis et organisations politiques au siège de la Démocratie Chrétienne, DC, sur avenue Colonel Ebeya 7/b. Il quitte les locaux à environ 17h30, avec le véhicule d’un membre du parti, sa voiture étant en panne.

Le 26/06/2013 à 21h30, une dizaine de jeeps de policiers avec plus d’une quarantaine d’hommes armés dirigés par le Colonel Kanyama en personne, descendent nuitamment au siège de la Démocraties Chrétienne. Ils pénètrent dans les locaux de la DC, cassent toutes les portes et s’approprient de tous les documents et biens de valeur qu’ils trouvent dans les bureaux et dans un chantier en construction dans la même parcelle. Ils ne sont porteurs d’aucun document officiel. Les policiers occuperont les locaux de la Démocratie Chrétienne, sans aucun document de saisi des lieux ou mandat, pendant plus de deux mois. Ils seront délogés après deux mois par des inspecteurs de l’auditorat militaire qui néanmoins ne poursuivront pas les coupables des délits de destruction méchante et vol et encore moins la descente illégale de Kanyama, la nuit, au siège d’un parti politique de l’opposition, la veille d’une manifestation politique.

Le 27/06/2012, le président de la Démocratie Chrétienne quitte son domicilie à environ 11h00 pour se rendre à la Cathédrale Notre Dame du Congo. Il est sans garde de corps. Il sera intercepté en cours de route par des éléments des services de sécurité qui prendront le contrôle de son véhicule et l’amèneront dans un lieu non identifié (safe house de l’Anr) où il sera détenus pendant environ 100 jours. Pendant sa détention il sera à trois reprises interrogées sur ses rapports avec Etienne Tshisekedi ainsi que la stratégie envisagée afin de récupérer l’ « imperium »après les élections contestées de novembre 2011.

Le 11/10/2012, le Député Diomi Ndongala est libéré, la nuit, sur la route Avenue de Matadi, à la veille de la tenue à Kinshasa du Sommet de la Francophonie.

Le 13/10/2012, trois membres du parti DC sont encore enlevés à partir de son siège situé sur avenue Colonel Ebeya, dans la Commune de la Gombe à Kinshasa, par les forces de sécurité et détenus au secret pendant un mois dans les locaux de l’Anr. Il s’agit de :Héritier Kazadi (h), Jean Paul Mabondo (h) et. Jean- Claude Yongo Kasele (h).

Une fois terminé le sommet de la Francophonie – caractérisé par la dénonciation de l’intolérance politique et les violations des droits de l’homme en RDC – la majorité acquise au Président Kabila lance la procédure de levée de l’immunité du député Diomi Ndongala, sur la base d’une accusation montée de toute pièce de viol que le régime compte exploiter contre le Député Diomi Ndongala pour le discréditer et – selon le complot initialement prévu – pour le soumettre à un procès infamant et expéditif afin de le neutraliser politiquement.

Le 18/10/2012,le député Diomi Ndongala doit subir une délicate intervention chirurgicale en urgence, à la suite des séquelles physiques provoquées par les mauvaises conditions de sa détention au secret. Les agents de l’Anr se manifesteront continuellement à l’Hôpital, exerçant même des pressions sur les responsables de l’Hôpital de l’Alliance Congolo-Chinoise de Ndjili pour que les soins ne soient pas prêtés à Diomi Ndongala.

La famille Diomi a dû, à plusieurs reprises, alerter la Monusco et les ONG tant nationales qu’internationales des droits de l’homme pour obtenir leur soutien afin que les soins urgentes soient prêtés à Diomi Ndongala, qui demeurera interné à l’hôpital pendant deux semaines.

Au cours de la procédure de levée de l’immunité, le parlement décidé d’ignorer la gravité de l’état de santé du député Diomi Ndongala, qui a d’ailleurs subi une délicate intervention chirurgicale juste ‘après sa libération.

Egalement, le Parlement décide d’ignorer la demande de l’Union interparlementaire et de la famille Diomi de mettre en place une commission d’enquête pour investiguer sur les responsables de l’enlèvement du député de l’opposition. A la place, une commission – composée essentiellement de députés de la majorité kabiliste – est mise en place en violation du règlement d’ordre intérieur pour la levée de l’immunité de celui-ci.

Le député Diomi Ndongala, par le biais de ses avocats, attaque la mise en place de la commission ad hoc devant la Cour Suprême pour inconstitutionnalité de la procédure ayant abouti à sa mise en place. Le Parlement ignore la saisine et son caractère suspensif de tout acte administratif et judiciaire, et, illégalement, lève l’immunité parlementaire le 06/01/2013, malgré le manque total de crédibilité et l’absence de preuves pouvant fonder les accusations fantaisistes portées contre le député Diomi Ndongala.

Le 28/12/2012, le député Diomi Ndongala demande et obtient un laissez-passer d’un jour pour se rendre à Brazzaville afin de se soumettre à des examens toxicologiques qu’il ne peut pas passer à Kinshasa, faute de laboratoire capable de les effectuer. En effet, des indices d’empoisonnement sont détectés par un médecin congolais sur sa personne.

Il obtient son laissez-passer en présentant officiellement son document d’identité mais au moment d’embarquer pour Brazzaville, il est arrêté par des éléments de l’Agence nationale de Renseignement (Anr) qui essayent de l’amener de force dans les locaux de l’agence. Face à son refus catégorique et grâce à l’intervention de certains officiels de la Monusco alertés, il sera retenu 4 heures au Beach Ngobila, par M. Kalev Mutomb, Directeur Général de l’Anr, M. Bisengimana, Inspecteur Général de la Police et M. Beya, Administrateur Général de la DGM. Les trois personnalités – tous hauts responsables des services de sécurité du régime Kabila– n’ont aucun document officiel ni pour le détenir ni pour empêcher le déplacement du député Diomi Ndongala mais, dans les faits, ils l’empêchent de voyager. Ils ont confisqué sa carte d’électeur qu’ils détiennent sans aucun motif valable jusqu’ à ce jour.

Le 01/01/2013, Mlle Indra Diomi Ndongala (fille de Diomi Ndongala est âgée de 19 ans) a été interpellée à l’aéroport de Ndjili et ses documents de voyage séquestrés sans aucune raison juste avant son embarquement dans l’avion. Son passeport et ses billets lui seront remis au dernier moment – après l’intervention de la Monusco auprès d’un agent de l’Anr.

Le 12/01/2013, les avocats de Diomi Ndongala introduisent une deuxième requête en inconstitutionnalité contre la décision du parlement de la levée de l’immunité parlementaire, entre autre pour violation du règlement d’ordre intérieur du Parlement et pour violation de plusieurs dispositions de la Constitutions en vigueur en RDC.

Depuis la levée de son immunité, le Député Diomi Ndongla n’a été ni convoqué ni interrogé par la justice. Le dossier que le régime voulait utiliser contre lui demeurant vide et incohérent, à ce jour.

Le 18/01/2013, le chargé de la Communication et presse du parti Démocratie Chrétienne (DC), M.VERDICT NKOBA MITUNTIA, ainsi que 3 militants de la plate-forme politique Majorité Présidentielle Populaire (MPP). Il s’agit de STALLONE KATUMBA MUMPOY (h), KATUMBA François (h), http://m.me/KABUNGANA Marie-Josée (f)) sont enlevés nuitamment de leur domicile et conduits vers une destination inconnue par des agents des forces de la défense et de sécurité. Grace aux informations obtenues après la libération du plus âgé parmi eux, ils sont localisés dans les locaux de l’Anr, sans assistance juridique étant privés de visite.

Ils sont tous à leur deuxième mois de détention au secret extra- judiciaire, au moment où nous écrivons le présent mémorandum.

Depuis sa libération, le député Diomi Ndongala a introduit plusieurs plaintes contre les services de sécurité auprès de l’auditorat militaire. Ainsi au total 3 citations directes pour accusations dommageables, diffamation, association de malfaiteurs et séquestration contre les personnes manipulées par le régime Kabila pour l’accuser d’un viol imaginaire curieusement au siège de son parti le 26/06/2012. De plus, il a attaqué la la fausse identité, le faux lien de famille ainsi que l’âge des personnes qui ont été utilisées par le régime Kabila pour le calomnier et le neutraliser politiquement.

Des interférences gravissimes sur les juges et les magistrats du Tribunal de Matete – où les citations directes ont été déposées – ont fait en sorte que depuis octobre 2012, aucune sentence ne soit prononcée et que les personnes visées par les citations directes évitent même de se présenter face aux juges, avec la totale complaisance des ceux-ci. L’épisode le plus remarquable est celui d’un juge qui, sur le point de lire un jugement par défaut contre les accusés, a reçu un message écrit en pleine audience et a décidé sur le champ de se retirer du procès.

Egalement, il sied de souligner que toutes les plaintes déposées par la famille Diomi pendant la détention de celui-ci, sont restées lettre morte et parmi ces plaintes, il faut évoquer les plaintes contre le Colonel Kanyama, contre la Police pour le pillage et la destruction méchante du siège de la DC ainsi que celle contre les faux accusateurs de Diomi Ndongala. Aucune de ces plaintes n’est instruite à ce jour.

Le 20/02/2013, le Député Eugène Diomi Ndongala a écrit au Procureur Général de la République pour protester contre la privation de ces droits civils et politiques. En particulier, il est privé de la liberté de mouvement alors qu’il doit urgemment subir des examens toxicologiques à l’étranger.

RECOMMANDATIONS :

Le Comité des Observateurs des Droits de l’Homme (CODHO) recommande aux autorités compétentes, notamment le gouvernement de la République démocratique du Congo de/d’:

1) observer scrupuleusement les engagements juridiques internationaux et régionaux pris dans le cadre des Nations Unies et de l’Union africaine en matière des droits humains, notamment en ce qui concerne les détenues ;

2) mettre un terme aux actes de répression contre les leaders de l’opposition politique;

3) veiller à l’intégrité physique et la santé physique et psychologique des détenus politiques, notamment du député Eugène Diomi Ndongala ;

4) veiller à la sécurité physique des membres de la famille des détenus politiques, notamment ceux de député Eugène Diomi Ndongala.

Fait à Kinshasa, le 17 avril 2013

Pour tout contact : Maître N’Sii LUANDA S. – Maître SHAMAMBA LUKOO

Tél. : +243(0)815089970 – Tél. :+33669724810

Email : nsiiluanda_codho@yahoo.fr

Bureau de Kinshasa: CODHO – Comité des Observateurs des Droits de l’Homme

2, rue Bongandanga, Quartier Anciens Combattants, Commune

Kasa-Vubu, Ville Kinshasa, RD Congo



http://democratiechretienne.org/2013/04/17/rd-congo-codho-denonce-la-persecution-contre-le-depute-eugene-diomi-ndongala-et-ses-proches-a-kinshasa/
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Message  KOTA 19/4/2013, 9:28 am

DRC Parliamentarian Diomi Ndongala was Kidnapped by Joseph Kabila’s mercenaries from South African


avr12



APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT - Page 29 Diomi-speaking-to-people

Eugene Diomi Ngongala speaking to his fans at kamanyola stadium in Kinshasa

It is strange indeed how time and power corrupts; the South African freedom fighters of yesterday have now turned into terrorists against other present day freedom fighters (or rebels) on the African continent. One cannot forget that South Africa prosecuted white South Africans for acting as mercenaries in other African countries and yet here is ANC doing exactly what they locked up the white South Africans for doing. What is the motivebehind this venture into Kivu and who are the beneficiaries of using the South African army to wage war in other African countries?

Congolese Opposition Parliamentarian Eugene Diomi Ndongala was abducted on Monday April 8 2013 by Joseph Kabila’s security agents; the same Joseph Kabila whom Jacob Zuma wants to help maintain in power for unclear reasons. According to our sources SANDF in the UN peacekeeping force arrived and were unable to show any authorization to take away the MP. Mamba’s agent who was stationed at the door and the girls at the reception were brutalized. Diomi Ndongala, who asked what was taking place,was physically assaulted and sustained an arm injury before he was whisked off to an unknown destination.

Last year Opposition Parliamentarian Ndongala was similarly abducted by Kabila’s security agents and South African mercenaries. He was found alive in October 2012. His family and the opposition have always maintained that the opposition politician was abducted and detained by the Secret Service because of his stance in favor of Etienne Tshisekedi, one of the unsuccessful candidates in the 2011 presidential race who challenged the re-election of Joseph Kabila, the most corrupt and among the weakest presidents in the world who is causing trouble in DR Congo because of his bad governance and unscrupulous connections with Zuma’s family.

It is strange indeed how time and power corrupts; the South African freedom fighters of yesterday have now turned into terrorists against other present day freedom fighters (or rebels) on the African continent. One cannot forget that South Africa prosecuted white South Africans for acting as mercenaries in other African countries and yet here is ANC doing exactly what they locked up the white South Africans for doing. What is the motivebehind this venture into Kivu and who are the beneficiaries of using the South African army to wage war in other African countries?

We assure the South Africans that more tears will be shed as it will be inevitable for more SANDF to lose their lives in Kivu, Eastern DRC should they launch an attack on M23. We predict that Jacob Zuma willlive to greatly regret his decision to involve SANDF in warfare in Kivu.

In Kivu SANDF will come face to face with true freedom fighters in the mountain ranges of Virunga, who are ready to liberate DR Congo from the clutches of Joseph Kabila and Jacob Zuma. Furthermore, it is worth noting that M23 is NOT Seleka. SANDF may have good equipment but M23 has well trained, battle hardened, dedicated fighters who know exactly what they are fighting for which is their very existence and the existence of their communities unlike SANDF who will no doubt while away the days drinking alcohol, frolicking with underage girls, smoking ganja, sun bathing on Lake Kivu and spreading aids in our country; no different from MONUSCO and MONUC before them·

By Ken. N & Diana .S

http://congodrcnews.com/2013/04/12/congolese-parliamentarian-diomi-ndongala-was-kidnapped-by-joseph-kabilas-mercenaries-from-south-african/

http://democratiechretienne.org/2013/04/18/drc-parliamentarian-diomi-ndongala-was-kidnapped-by-joseph-kabilas-mercenaries-from-south-african/
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Message  KOTA 19/4/2013, 10:19 am

Diomi Ndongala Free@fsddc29 min
DEPUTE OPP. #DIOMI EN PRISON ARBITR. DEPUIS 15/04 EN VIOLATION ORDONNANCE COUR SUPREME: LE PGR EN REBELLION CONTRE LA COUR SUPREME #RDC #DRC
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Message  KOTA 19/4/2013, 1:08 pm

Eugène Diomi Ndongala envisage de poursuivre le PGR En cas d’inexécution de l’ordonnance rendue par la CSJ sur sa mise en résidence surveillée chez lui à la maison /TEMPETE DES TROPIQUES 19/04/2013


par mpp le 19 avril 2013
En cas d’inexécution de l’ordonnance rendue par la CSJ sur sa mise en résidence surveillée chez lui à la maison
Actualités – Nation
Écrit par Stone
Vendredi, 19 Avril 2013 08:59
Eugène Diomi Ndongala envisage de poursuivre le PGR

APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT - Page 29 Diomi01
Depuis lundi 15 avril 2013, la Cour suprême de justice (CSJ) a ordonné l’assignation à résidence du député Eugène Diomi Ndongala, arrêté le 8 avril pour une présumée affaire de viol imaginaire.
En effet, la Cour a constaté qu’il n’y a aucune preuve dans cette affaire que l’UDPS qualifie de » montage grossier « . Les deux filles mineures supposées violées à une date imprécisée au même moment ainsi que leur père sont invisibles sans considérer qu’elle seraient un myracle de la nature étant présentées comme deux soeurs de la même mère et avec une différence d’âge de…6 mois.
Rien ne démontre que le député Diomi est coupable dans cette affaire qui devrait être classé sans suite. Raison pour laquelle elle a décidé de le libérer du CPRK pour être assigné à résidence, c’est-à-dire chez lui à la maison.
<blockquote>Malheureusement, quatre jours après cette décision de la CSJ, l’exécution tarde à venir. Me Richard Bondo, avocat conseil de Diomi Ndongala, a dénoncé ce comportement relatif à l’inexécution de l’ordonnance rendue par la Cour suprême de justice.

Dans une conférence de presse animée hier jeudi 18 avril 2013, il a annoncé que » mon client envisage de poursuivre le procureur général de la République « . Car, selon lui, refuser d’exécuter une telle décision, c’est une violation flagrante de la loi. Et » si jusqu’à ce jour, Diomi reste toujours à Makala, c’est à cause du PGR, Flory Numbi, en rébellion envers la haute Cour », a-t-il poursuivi.

</blockquote>Répondant à une préoccupation de la presse sur la démarche envisagée par son client, Me Richard Bondo a soutenu qu’il est possible de poursuivre ce PGR dans la procédure de prise à partie pour déni de justice. Car il n’avait comme devoir que d’exécuter fidèlement l’arrêt de la Cour.
Mise à jour Vendredi, 19 Avril 2013 09:04
http://democratiechretienne.org/2013/04/19/eugene-diomi-ndongala-envisage-de-poursuivre-le-pgr-en-cas-dinexecution-de-lordonnance-rendue-par-la-csj-sur-sa-mise-en-residence-surveillee-chez-lui-a-la-maison-tempete-des-tropiques-19042013/

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Message  KOTA 19/4/2013, 7:55 pm

Your Right Ton Droit, Groupe de pression international de droit de l’homme, condamne l’instumentalisation de la justice contre le prisonnier politique Eugène Diomi Ndongala


par mpp le 19 avril 2013

Y.R.T.D


LONDRES


ROYAUME UNI


itisyourright85@yahoo.com
www.yourighttondroit.com
Your Right Ton Droit


Groupe de pression international de droit de l’homme


Londres 17/04/2013


COMMUNIQUE N°003/Y.R.T.D/2013



Your Right Ton Droit est vivement préoccupé suite à l’arrestation brutale, arbitraire et illégale du député national l’honorable Eugene Diomi Ndongala élu de la ville de Kinshasa et membre de la plateforme dénommée, Majorité Présidentielle Populaire (MPP) qui défend à cor et à cri la victoire du Président Etienne Tshisekedi à l’élection présidentielle du 28 novembre 2011.

<BLOCKQUOTE>
Your Right Ton Droit constate malheureusement que le ministère de l’intérieur de la République Démocratique du Congo sensé travailler pour le bien-être du peuple congolais, se transforme petit à petit en un show de télévision que les tenants du pouvoir utilisent pour fabriquer toute sorte d’accusation et créer des infractions dénuées de tous sens, contre toute personne qui partage un point de vue, autre que celui de la mouvance du Président Joseph Kabila.

</BLOCKQUOTE>



La communauté internationale et le peuple congolais se souviendront qu’en date du 22 mars 2013, le ministre congolais de l’intérieur avait annoncé l ‘échec d’un coup d’état dirigé par un certain Jean-Pierre Kanku Mukandi et un certain Madimba Mongombe appuyé par le député national Belge, l’honorable Laurent Louis contre le président Joseph Kabila.

Par plus tard que le jeudi 11 Avril 2013, le même ministère de l’intérieur, par le truchement de la police nationale, présente un second complot de coup d’état, organisé par un groupe insurrectionnel dénommé « imperium »,terme utilisé fréquemment et publiquement par le Président Etienne Tshisekedi, dans le bras de fer qui l’oppose au Président Joseph Kabila depuis la mascarade électorale du 28 novembre 2011.


<BLOCKQUOTE>
Cette fois ci, dans cet autre coup d’état, les personnes visées sont, le Président Joseph Kabila et son premier ministre Matata Ponyo, et parmi les personnes mises en cause on trouve curieusement en tête le député national, l’honorable Eugene Diomi Ndongala élu de la ville de Kinshasa et membre de la plateforme dénommée Majorité Présidentielle Populaire (MPP).

</BLOCKQUOTE>




<BLOCKQUOTE>
Your Right Ton Droit s’indigne toute de même de constater que le Président Joseph Kabila et tout son gouvernement trouvent que c’est normal de négocier facilement en toute quiétude avec le M23,véritable mouvement insurrectionnel à Kampala, un mouvement d’ailleurs indexé par l’ONU et par toute la communauté internationale comme force négative, et en même temps , quand il s’agit des personnes non armées et de ses adversaires politiques , le Président Joseph Kabila et sa cour, utilisent les moyens de l’état, en instrumentalisant l’appareil judiciaire pour taire les adversaires politiques.
</BLOCKQUOTE>



Pour rappel, le président Joseph Kabila et le président Etienne Tshisekedi s’étaient tous deux auto proclamés élus à la magistrature suprême en Décembre 2011, lors d’une élection largement imparfaite, violente, entachée d’irrégularités et jugée par les observateurs, européens, africains, américains et congolais , non crédibles.

Depuis lors, le Président Joseph Kabila et son gouvernement souffrent d’une crise de légitimité sérieuse, car rejetés par une frange importante de la population congolaise, combinée de plusieurs années de corruption, dans un régime où toutes les décisions importantes émanent du Président Joseph Kabila seul , malgré la constitution adoptée en 2006.


<BLOCKQUOTE>
Conscient de cette situation peu confortable, le président Joseph Kabila et son gouvernement instrumentalisent la justice d’une façon quasi permanente pour se maintenir à tout prix au pouvoir , l’application du code juridique reste sélective, les violations massives des droits de l’homme et l’impunité au sein des forces de l’ordre sont constatées au jour le jour.

</BLOCKQUOTE>



A cause de tous ces maux qui rongent le régime du Président Joseph Kabila et vu la gravité de chef d’accusation contre le député national l’honorable Eugene Diomi Ndongala et tous les autres détenus dans cette affaire des fameux coups d’états à répétition, considérant que l’application de la justice dépend de la seule volonté du Président Joseph Kabila et de son gouvernement, Your Right Ton Droit reste convaincu que les accusés ne bénéficieront pas d’une vraie justice, en même temps craint aussi que le gouvernement du Président Joseph Kabila utilise le prétexte de coup d’état pour réprimer des adversaires politiques.

<BLOCKQUOTE>
Voilà pourquoi Your Right Ton Droit exige la libération sans condition du député national l’honorable Eugene Diomi Ndongala et de tous les autres détenus, car pour

</BLOCKQUOTE>

<BLOCKQUOTE>
Your Right Ton Droit ils ont été arrêtés tout simplement à cause de leurs opinions politiques.

</BLOCKQUOTE>



Your Right Ton Droit condamne fermement l’instrumentalisation des forces de l’ordre et de la justice, l’impunité au sein de la police, l’abus du pouvoir ainsi que l’utilisation du terrorisme d’état comme méthode de gouvernance par le gouvernement du Président Joseph Kabila.

Your Right Ton Droit encourage par contre le Président Joseph Kabila et son gouvernement à dialoguer avec les adversaires politiques, de la même façon qu’ils le font avec le mouvement insurrectionnel du M23, pour sortir la RDC de la crise de légitimité qui frappe le pays de plein fouet depuis les élections contestées du 28 Novembre 2011.

Your Right Ton Droit encourage aussi le Président Joseph Kabila et son gouvernement à mettre fin à l’oppression des adversaires politiques.


<BLOCKQUOTE>
Your Right Ton droit invite instamment le Président Joseph Kabila au respect strict de la constitution de la RDC, ainsi qu’au respect des droits fondamentaux garantis par la déclaration universelle des droits de l’homme , enfin Your Right Ton Droit invite pour une fois de plus le Président Joseph Kabila à tout faire, pour mettre fin à l’impunité générale qui caractérise son gouvernement.

</BLOCKQUOTE>



Fait à Londres le 17/04/2013
Your Right/Ton Droit
Le Secrétaire Exécutif

http://democratiechretienne.org/2013/04/19/your-right-ton-droit-groupe-de-pression-international-de-droit-de-lhomme-condamne-linstumentalisation-de-la-justice-contre-le-prisonnier-politique-eugene-diomi-ndongala/
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Message  Invité 19/4/2013, 8:39 pm

OUPS! je me suis trompée de sujet


Je voulais juste dire une chose après avoir lu les autres à mon avis je pense que la responsabilté ne revient pas à l'Udps pour un mot d'order c vrai mais ds la logique des election selon quoi le president du pays serait Tshisekedi je pense que par simple solidarité toute l'opposition y compris Tshisekedi par cette envie du respect d'un etat de droit qu'ils ont tjrs defendu et ce discour de sauver le peuple en danger Diomi aussi fait parti du peuple je pense que par solidarité,amour à la nation tout ces gens là y compris les Mfumu Toto devrait montrer haut et fort leurs mécontentement sur c qui arrive à Diomi voir mm la population d'une façon spotanée protester mais la RDC est un pays special.

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Message  KOTA 21/4/2013, 9:11 am

Ils tiennent à tout prix à tuer Diomi Ndongala et plusieurs autres compatriotes/ CONGOONE


par mpp le 21 avril 2013
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Ils tiennent à tout prix à tuer Diomi Ndongala




Samedi, 20 Avril 2013


APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT - Page 29 Diomi
Parler, décrier sur les toits les pratiques des vampires, peut, à première vue, paraîtres dérisoires face aux moyens matériels dont ils disposent pour imposer la mort. Croire en cela, c’est oublier que « les suceurs de sang » ont peur de la lumière du jour.
Dès que leurs pratiques sont mies à nu, ils deviennent trop fragiles et sèment la mort et la peur pour se protéger. Ainsi peuvent-ils re-opérer en toute quiétude, à l’abri des témoins gênants. « Kasi,bakanga mopepe te » ; la vérité est plus que têtue. Il ne sert à rien de lutter contre elle.
Les informations en provenance de Kinshasa sur le Président de la Démocratie Chrétienne ne sont pas bonnes. L’ordonnance signée par la Cour suprême pour qu’il soit mis en résidence surveillée n’a pas été appliquée par le Procureur général de la République.
Cette ordonnance a été signée le 15 avril 2013. Et qu’est-ce qui se passe ? Le Procureur de la République a écrit au Ministre de l’intérieur (et non au Ministre de la justice) pour lui demander de s’occuper du cas Diomi.
C’est-à-dire de l’assigner à résidence sous la supervision des services de sécurité de la kabilie. C’est-à-dire de le garder au « secret ». Et des messages envoyés sur le facebook de certains de ses proches soulignent que Diomi va être tué.
Et le Président de la DC n’est pas seul dans son cas. Plusieurs défenseurs des droits de l’homme sont présentement inquiétés à travers plusieurs provinces de notre pays dont le Bandundu , Kinshasa et le Katanga. Au Katanga, trois de ceux qui ont écrit sur les commanditaires des Maï Maï Bakata sont allés en exil.
Aussi plusieurs compatriotes critiques du pouvoir usurpateur de Kinshasa sont-ils dans son collimateur. Ils vont, dans les jours et les mois à venir, se retrouver impliqués dans « les coups d’Etat » contre celui qui, aux mois de novembre et décembre 2011, a fait un coup d’Etat à notre pays et décidé de régner par défi.
Les enfants et les parents des compatriotes décidés à décrier les pratiques mortifères de la kabilie sont, souvent, enlevés ou carrément tués. La kabilie ne peut s’épanouir qu’en sous-humanisant la majorité de nos populations en en faisant un ensemble d’êtres indignes, sans droits ni libertés fondamentales. Elle réussit avec le soutien de « la communauté internationale » et ses proxies aux ordres du marché financier.
Tuer les dignes filles et fils du Congo, fabriquer des coups d’un Etat bidons, salir les compatriotes engagés dans la lutte pour la récupération de notre patrimoine commun et la refondation d’un Etat de droit démocratique, etc. sont des méthodes des criminels économiques et des criminels de guerre incapables d’obéir aux règles d’un Etat moderne digne de ce nom.
Ce recours à la violence et à la guerre du 1% de nouveaux prédateurs de la kabilie contre la majorité congolaise est l’une des manifestations d’un réseau d’élites aux abois, peureux et prêt à tout pour servir son ventre.
Vivre dans la confrontation permanente avec ce réseau peut devenir un esclavage empêchant d’apporter sa part à l’édification de notre cité sociale. Nous sommes dans l’obligation de trouver des méthodes de contournement de cette confrontation stérile tout en restant mobilisés pour éviter la permanence de cet esclavage volontaire.
De toutes les façons, la fraude corrompt tout. Un pouvoir-os fondé sur la fraude et le mensonge est voué à sa perte. Tôt ou tard.

Mbelu Babanya Kabudi
Congoone

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Message  KOTA 21/4/2013, 2:37 pm

CHALUPA P Jacques@tshoutshouna17 h
LETTRE DE DIOMI NDONGALA, Hier Mokia, Kouthino, puis CHALUPA aujourd'hui Diomi NDongala,demain le peuple,dit, ba koka biso te !
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Message  KOTA 23/4/2013, 5:04 pm

Un commentaire
PLAINTE A CHARGE DU MAGISTRAT FLORY KABANGE NUMBI, PROCUREUR GENERAL DE LA REPUBLIQUE – PLAIGNANT: DEPUTE EUGENE DIOMI NDONGALA/ 23/04/2013

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Message  KOTA 24/4/2013, 5:37 am

PAS DE DIALOGUE SANS LIBERATION DES PRISONNIERS POLITIQUES #RDC #DRC #CONGO #KINSHASA
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Message  KOTA 24/4/2013, 11:15 pm

RDC : 23 ans de démocratie de façade /LA TEMPETE DES TROPIQUES


par mpp le 24 avril 2013

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Écrit par Lefils Matady
Mercredi, 24 Avril 2013 08:12
RDC : 23 ans de démocratie de façade


Depuis la IIème République jusqu’à ce jour, le pays a tendance à renouer avec la pensée unique Le 24 avril 1990 reste une date inoubliable dans l’histoire politique de l’ex-Zaïre. Suite aux nombreuses pressions exercées aussi bien de l’extérieur que de l’intérieur du pays, le président Mobutu Sese Seko, qui dirigeait le pays d’une main de fer depuis près de 25 ans, s’est vu obligé de libéraliser les activités politiques en annonçant le multipartisme, consacrant ainsi la fin du régime monolithique et du Mouvement populaire de la révolution (MPR) en tant que parti unique au Congo-Kinshasa.

Si Mobutu a été contraint par la pression de la rue et par l’Occident de s’adapter à l’évolution du monde et démocratiser le pays, la souffrance et la misère de la population avaient déjà atteint un niveau tel qu’on n’était pas loin d’une révolution à l’égyptienne ou à la tunisienne.

Inflation galopante, injustice dans les parquets, les cours et les tribunaux, intolérance politique, arrestations arbitraires, enlèvements, exécutions sommaires, non respect de droits de l’homme, taux de chômage élevé, salaires misérables, insécurité physique (hiboux) et sociale… tout était réuni pour que les Zaïrois de l’époque vomissent leurs dirigeants.

Mobutu qui, de son vivant, n’avait imaginé un seul instant qu’il y aurait d’autres partis politiques concurrents au MPR sous son règne (parti bo moko), a vu les choses se précipiter contre sa volonté. » Comprenez mon émotion ! « , a-t-il avoué devant les cadres et militants de son parti à la N’Sele le 24 avril 1990.

Le premier parti à s’annoncer fut l’Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS) d’Etienne Tshisekedi, une formation politique qui a longtemps travaillé dans la clandestinité. Ce parti a aussitôt attiré la sympathie d’une frange très importante de la population congolaise meurtrie, clochardisée et réduite au néant, pour chasser le régime dictatorial mis en place depuis le 24 novembre 1965.

Grâce à ce parti, le Zaïre a organisé la conférence nationale souveraine, malgré ses péripéties. Plusieurs exilés politiques ont regagné le pays pour mener la lutte ensemble.

Beaucoup d’autres formations politiques ont vu le jour, avec un seul objectif de se libérer du carcan de Mobutu.

Le vent de la démocratie a obligé le maréchal Mobutu de se retirer de la ville de Kinshasa pour se réfugier dans sa province natale de l’Equateur, loin de toutes les pressions psycho-politiques.

Terrassé par la maladie, Mobutu a été surpris par la guerre de l’AFDL (Alliance des Forces Démocratiques pour la Libération du Congo) menée par la coalition rwando-ougando-angolaise, baptisée AFDL, avec à sa tête le Congolais Laurent-Désiré Kabila.

Le 17 mai 1997, fatigué par la maladie, Mobutu a quitté le pouvoir en prenant fuite pour ne plus revenir sur la terre de ses ancêtres, alors que la démocratie décrétée n’était encore pas effective.
L’AFDL enfonce le clou

Soutenue aussi bien par les voisins de la RDC que par l’ensemble de la population congolaise, l’AFDL a bouté dehors, haut la main, Mobutu et son armée. Autoproclamé président de la République, Laurent-Désiré Kabila a aussitôt suspendu toutes les activités politiques sur l’ensemble du territoire national. Un coup dur à cette démocratie en gestation.

Des personnalités politiques ont été arrêtées et jetées dans les prisons, aucun parti politique ne pouvait fonctionner, à l’exception de l’AFDL. Etienne Tshisekedi, celui-là même qui a affaibli la dictature de Mobutu de l’intérieur, a été relégué à Kabeya Kamwanga, son territoire d’origine, dans la province du Kasaï Oriental.

La situation est devenue pire qu’à l’époque de la deuxième République. Après une année d’exercice de pouvoir, LD Kabila a dû faire face à une guerre déclenchée contre lui par les Armées du Rwanda et de l’Ouganda sous couvert de la pseudo rébellion du RCD. Ces deux pays l’avaient pourtant aidé à accéder au pouvoir à Kinshasa. Il sera assassiné trois ans et 8 mois seulement après son accession au pouvoir. Le chaos

Après la mort de LD Kabila, l’architecture gouvernementale 1+4 a vu le jour. Tous les belligérants se sont mis d’accord lors du dialogue intercongolais en Afrique du Sud pour former, en 2003, un gouvernement d’union nationale et conduire le pays vers les élections démocratiques en 2006, après trois ans de transition.

Pendant cette période, la situation de la démocratie était quelque peu encourageante, malgré quelques dérapages constatés ça et là, comme l’interdiction faite aux militants de l’UDPS de manifester contre la prolongation de la transition après les accords de Sun City.

Depuis les élections de 2006 jusqu’à ce jour, la démocratie est foulée au pied par le régime au pouvoir, malgré des libertés apparentes observées dans certains secteurs.

Aujourd’hui, l’Opposition ne peut pas organiser des manifestations, pacifiques soient-elles, alors que la constitution lui garantit cette prérogative. Dans chacune de ces expressions populaires, on déplore des cas d’enlèvements, tortures, arrestations et autres traitements dégradants.

<BLOCKQUOTE>
La justice, supposée être indépendante, est au service du régime. L’Assemblée nationale est une véritable caisse de résonnance du gouvernement. La police, l’armée et les services de sécurité sont dans la même situation. L’administration publique est politisée. Bref, on tend vers une pensée unique. Museler l’Opposition

</BLOCKQUOTE>
Personne n’aurait cru qu’après 23 ans de pluralisme en République démocratique du Congo, les Congolais seraient à ce stade embryonnaire de la démocratie. Comme à l’époque de la dictature de Mobutu, l’Opposition tend vers son musèlement, si pas son anéantissement.

Les opposants les plus faibles sont » achetés » par le pouvoir. Les plus résistants sont jetés en prison ou muselés. Les cas d’Etienne Tshisekedi qui est assigné à résidence depuis plus d’une année, de Gabriel Mokia, de Jacques Chalupa ou encore de Kutino Fernando, en disent long. Ils sont victimes de leurs prises de position politique.

<BLOCKQUOTE>
Aujourd’hui encore, Eugène Diomi Ndongala, porte-parole de la Majorité présidentielle populaire (MPP) et président national de la Démocratie chrétienne (DC), est victime d’un acharnement politique qui ne dit pas son nom. Enlevé en juin 2012 et relaxé en octobre de la même année, il vient à nouveau d’être coffré au à la prison de Makala à Kinshasa pour un grossier montage d’une présumée affaire de viol sur deux mineures.


Faute de preuves, la Cour suprême de justice décide de le placer en résidence surveillée, mais le procureur général de la République s’y oppose. Un manquement grave contre l’ordonnance de la haute cour.

</BLOCKQUOTE>
En outre, des innocents inondent des prisons entières à travers la République démocratique du Congo sans cause, alors que les coupables circulent librement en toute quiétude, dans l’impunité la plus totale.
Mise à jour le Mercredi, 24 Avril 2013 08:27



http://democratiechretienne.org/2013/04/24/rdc-23-ans-de-democratie-de-facade-la-tempete-des-tropiques/
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Message  KOTA 27/4/2013, 1:35 pm

FLASH !
BANDEKO TOYA EBELE EBELE PENZA SAMEDI YA LE 27 AVRIL OYO YA LOBI NA MANIFESTATION A PARTIR DE 1H30 NA BRUXELLES !
DEPART METRO PORTE DE NAMUR
KABILA KANAMBE DEGAGE !!!
VERITES DES URNES = TSHISEKEDI PRESIDENT !!!
DIDIER REYNDERS,LOUIS MICHEL,ANDRE FLAHAUT...LIBEREZ DIOMI NDONGALA !!! (6 photos)



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Message  KOTA 30/4/2013, 9:30 am







PASTEUR PAPY SAKILA DE FRANCE: « J’AI ÉTÉ ARRETE AVEC DIOMI NDONGALA EN JUIN 2012″

UN TEMOIN ET VICTIME DE L’ENLEVEMENT DE DIOMI NDONGALA LE 27 JUIN 2012 PAR LES SERVICES DE SECURITE DONNE SON TEMOIGNAGE ET SOUTIEN. PAPY SAKILA CONFIRME AVOIR ETE ARRETE LE MEME JOUR QUE LE PRESIDENT DIOMI NDONGALA ( le jour prevu pour la signature de la charte de MPP )ET APRES SON ARRESTATION AVOIR FUI LE PAYS

http://democratiechretienne.org/2013/04/30/pasteur-papy-sakila-de-france-jai-ete-arrete-avec-diomi-ndongala-en-juin-2012/
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Message  KOTA 7/10/2013, 4:32 pm

http://www.scoop.it/t/eugene-diomi-ndongala-prisonier-politique-en-rdc
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Message  KOTA 10/10/2014, 3:48 pm

Une centaine de personnes sont détenues à l’ANR, selon la VSV
par FreeDiomi le 10 octobre 2014
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Une centaine de personnes sont détenues à l’ANR, selon la VSV

publié il y a 1 heure, 43 minutes, | Denière mise à jour le 10 octobre, 2014 à 12:01 | sous Actualité, Kinshasa, Politique, Sécurité, Société. Mots clés: ANR, Détention, Enlèvement, VSV


 
[img(299.79999999999995px,199.8px)]http://lh4.ggpht.com/-o_oFh1_qHRg/TP9ucp_ettI/AAAAAAAAA3I/BfcyWNYb88U/Simulation%252520d%252527une%252520arrestation%252520par%252520la%252520PNC.JPG?imgmax=320[/img]Simulation d’une arrestation par la police à Kisangani, décembre 2010.


Simulation d’une arrestation par la police à Kisangani, décembre 2010.

La Voix des sans voix (VSV) affirme qu’une centaine de personnes sont illégalement enlevées et détenues, ces derniers temps, aux cachots de l’Agence nationale des renseignements (ANR), à Kinshasa. Cette ONG a livré ses chiffres, jeudi 9 octobre, au cours d’une conférence de presse.

A l’occasion, la VSV a également présenté un échantillon de victimes de ces actes qui violent, selon l’ONG, les droits et libertés individuelles.
«Je suis fonctionnaire de l’Etat au ministère de la Justice. J’étais victime d’une arrestation arbitraire le 10 septembre dernier. J’avais reçu la visite de trois personnes qui sont venues chez moi vers 17 heures, soit disant qu’elles étaient de la Demiap et de l’ANR. Elles m’ont demandé de les suivre. Ensuite, elles m’ont accusé d’avoir enlevé le compteur de la Regideso pour ne pas payer la facture», témoigne une personne qui se présente comme victime d’abus.
Selon la VSV, plusieurs personnes sont victimes d’extorsion des biens, de tortures et d’autres traitements inhumains ou dégradants de la part de l’ANR.
«Ces derniers temps, la VSV a été saisie par les membres de familles de certaines victimes qui sont enlevées et détenues au secret à l’ANR. On parle d’une centaine qui serait en détention dans les cachots de l’ANR. Parmi ces victimes, on parle d’un certain Crispin Mbayo, britannique d’origine congolaise qui a été enlevé deux jours après son arrivée à Kinshasa pour les vacances», a dénoncé le président de la VSV, Dolly Ibefu.
En septembre dernier, la VSV avait exprimé «ses vives inquiétudes consécutivement aux menaces qui pèsent sur madame Bernadette Tokwaulu», actrice politique de la MP et directrice à la Société nationale d’électricité (Snel).

La VSV avait également exigé la libération des détenus politiques membres de l’opposition pour décrisper le climat politique et favoriser la cohésion nationale.

http://radiookapi.net/actualite/2014/10/10/une-centaine-de-personnes-sont-detenues-lanr-selon-la-vsv/


http://democratiechretienne.org/2014/10/10/une-centaine-de-personnes-sont-detenues-a-lanr-selon-la-vsv/
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