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APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT

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Message  KOTA 22/10/2012, 11:07 pm

Hospitalisé suite au traitement inhumain subi pendant son enlèvement, Eugène Diomi Ndongala opéré à Kinshasa/TEMPETE DES TROPIQUES
APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT - Page 24 Img_0917

Hospitalisé suite au traitement inhumain subi pendant son enlèvement

Écrit par Lefils Matady
Lundi, 22 Octobre 2012 07:37
Eugène Diomi Ndongala opéré à Kinshasa


Après 100 jours de détention au secret, ce député de l’opposition a subi une intervention chirurgicale à l’hôpital sino-congolais de N’Djili

Un communiqué de la Démocratie chrétienne (DC) publié le week-end dernier informe l’opinion tant nationale qu’internationale que son président national, l’honorable Eugène Diomi Ndongala, a subi en urgence une intervention chirurgicale le vendredi 19 octobre 2012 à 15h00 à l’Hôpital Sino-Congolais à Kinshasa, dans la commune de N’Djili.

Selon ce document, le député Eugène Diomi est sorti de la salle de réanimation vendredi dernier à 20h00, son état est pour l’instant stationnaire. L’acte chirurgical a été la conséquence directe de sa longue séquestration qui a aggravé un problème abdominal, obligeant ainsi son chirurgien à intervenir en urgence.

Menaces du gouvernement

<BLOCKQUOTE>
Pendant ce temps, les militants de la Démocratie chrétienne (DC) dénoncent les interférences de l’exécutif congolais sur les responsablesde cet hôpital chinois afin de » nier » l’administration de soins à l’honorable Diomi dans cet établissement.


Heureusement, suite à l’intervention directe de la Monusco, des Ong de Droits de l’homme et de certains députés de l’Opposition, l’hôpital en question a autorisé l’admission au bloc opératoire du député Diomi Ndongala.

</BLOCKQUOTE>
Quelques députés de l’Opposition ont accédé directement dans la salle de réanimation pour rendre visite à leur collègue après que celui-ci ait subi une ablation douloureuse d’une masse abdominale.

Le président national de la Démocratie chrétienne (DC) souffre également de contusions au bras droit et au dos. Et il est toujours pris en charge dans le même établissement hospitalier.

Acaj contre la levée des immunités de Diomi et Lumbala

L’Organisation non gouvernementale Association congolaise pour l’accès à la justice (ACAJ), dans un communiqué rendu public vendredi 19 octobre courant, demande aux députés nationaux de rejeter la demande du procureur général de la République concernant la levée des immunités des députés Diomi Ndongala Nzomambu et Roger Lumbala Tshitenge.

Acaj s’inquiète que cette demande vise deux membres importants de l’Opposition politique congolaise, et intervient quelques jours seulement après la condamnation de l’Opposant Pierre-Jacques Chalupa par le tribunal de paix de Kinshasa/Ngaliema. Me Georges Kapiamba demande aux députés de constater dans le réquisitoire du procureur général de la République que sa demande n’est pas sérieuse, dans la mesure où elle ne serait pas basée sur des éléments fiables.
Mise à jour le Lundi, 22 Octobre 2012 07:45
http://democratiechretienne.org/2012/10/22/hospitalise-suite-au-traitement-inhumain-subi-pendant-son-enlevement-eugene-diomi-ndongala-opere-a-kinshasatempete-des-tropiques/
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Message  KOTA 23/10/2012, 6:38 pm


Eugène Diomi Ndongala place la justice devant un dilemme

APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT - Page 24 Diomi_ndongala_12_4
Mais quels obstacles
doit-il franchir pour en arriver à l'identification, au jugement et à la
condamnation de ses vrais bourreaux?

La forte tension perçue depuis trois
mois au sein des masses populaires en RDC en général, à Kinshasa et dans la
province du Bas-Congo en particulier, a baissé de plusieurs crans à l'annonce le
jeudi de la semaine écoulée de la réapparition en public d'Eugène Diomi Ndongala
!

Enlevé par des inconnus à la hauteur du camp Kokolo vers la première
quinzaine du mois de juillet, après que sa voiture eut été éperonnée par celle
occupée par ses vagues ravisseurs en simulant un accident, le président de la
Démocratie chrétienne et député national de son état s'était vu immédiatement
les yeux bandés avant d'être conduit à un endroit secret où il est resté pendant
trois mois !

Pendant tout le temps qu'avait duré sa mise sous séquestre
par lesdits inconnus, Eugène Diomi Ndongala avait fait l'objet de laborieuses
recherches de la part de sa famille biologique, de la direction de son parti
politique, de la direction de la Majorité présidentielle populaire, dont il est
le porte -parole, du collectif de ses avocats et, enfin, de plusieurs
organisations nationales et internationales de défense des droits de l'homme
!

Une sorte de glissement…

Deux mois environ
après sa disparition spectaculaire, la botte secrète tant recherchée par les uns
et les autres fut, enfin découverte " Diomi Nongala se trouve enfermé dans
un bureau des services des renseignements non loin de l'hôtel du gouvernement à
Gombe ",
avait rapporté des témoins sûrs ayant requis l'anonymat avant
d'être immédiatement relayés par les médias nationaux proches de l'opposition,
au travers d'une déclaration faite par le collectif des avocats du précité, à
l'issue d'une conférence de presse.

C'est en tout cas sur ces entrefaites
que l'opinion internationale s'était montrée très émue et commençait déjà à
exiger la libération immédiate du député national Diomi Ndongala.

Parmi
les voix qui s'étaient fait entendre avec autant de véhémence et parfois même
avec autant de passion se trouvent en bonne place celles de la gauche française
et de la diaspora congolaise basée en Europe occidentale, aux Etats-Unis
d'Amérique et au Canada !

Grâce à cette convergence des pressions venues
de l'intérieur et de l'extérieur du pays, on avait perçu une sorte de glissement
de terrain peu ordinaire du côté du pouvoir en place qui annonçait un événement
à l'approche de la tenue des assises du XIVe sommet de la Francophonie à
Kinshasa.

Effectivement, il y a eu cette sorte de glissement de terrain
qui n'avait pas été perçu au cours des trois mois ayant précédé la tenue
desdites assises et contre toute attente, le jeudi 11 octobre tard dans la nuit,
la veille donc de l'ouverture du sommet de l'Organisation Internationale de la
Francophonie (OIF), le député national et président de la Démocratie chrétienne
Diomi est sorti du carcan mortel où il était enfermé par ses impitoyables
tortionnaires !

De quelle justice parle Diomi ?

Après être revenu à la vie grâce à un heureux concours de
circonstances, il nous vient à l'esprit l'idée de poser les questions suivantes
: lorsque l'information sur l'enfermement d'Eugène Diomi Ndongala avait commencé
à circuler au pays et à l'étranger, les officiels de la RDC soutenaient tantôt
que ce dernier était en cavale sur le territoire national tantôt qu'il se la
coulait douce dans sa belle famille en Italie !

De quel coin de la RDC le
précité est-il venu s'il est admis qu'aucun endroit de ce pays échappe aux
services d'intelligence de l'Etat qui sont capables de suivre les moindres
mouvements des politiques en déplacement ?

Comment Diomi Ndongala est-il
arrivé le jeudi de la semaine écoulée d'Italie, alors que l'aéroport de N'djili
était fermé au trafic en ce qui concernait les aéronefs qui n'avaient pas de
délégués au sommet à leur bord ? Peut-on savoir si à cette occasion les
frontières terrestres étaient ouvertes pour permettre un quelconque mouvement de
voyageurs en provenance de l'étranger ?

Après tout ce qu'il aurait subi
injustement pendant les 100 jours d'enfermement, Diomi Ndongala veut recourir à
la justice de son pays aux fins d'en obtenir réparation !

On dit du
leader de la Démocratie chrétienne qu'il continue à faire confiance à cette
justice, malgré le goût des cendres qu'elle a donné aux résultats des élections
du 28 novembre 2011. Mais quels obstacles ce dernier doit-il franchir pour en
arriver à l'identification, au jugement et à la condamnation de ceux qui avaient
osé porter la main sur lui ?

La réponse à cette question lancinante est
bien simple. Tout est ramené à l'existence de l'Etat de droit qui n'est pas
encore né en RDC, au respect des droits de l'homme et à la bonne gouvernance
comme valeurs défendues par l'OIF mais dont le grave déficit a été dénoncé aux
dernières assises de cette organisation à Kinshasa !

Kambale Mutogherwa
Kinshasa,
17/10/2012
(La Tempête des Tropiques
KOTA
KOTA


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Message  KOTA 24/10/2012, 3:55 pm

La Tempête des Tropiques

Un communiqué de la Démocratie chrétienne (DC) publié le week-end dernier informe l'opinion tant nationale qu'internationale que son président national, l'honorable Eugène Diomi Ndongala, a subi en urgence une intervention chirurgicale le vendredi 19 octobre 2012 à 15h00 à l'Hôpital Sino-Congolais à Kinshasa, dans la commune de N'Djili. Selon ce document, le député Eugène Diomi est sorti de la salle de réanimation vendredi dernier à 20h00, son état est pour l'instant stationnaire. L'acte chirurgical a été la conséquence directe de sa longue séquestration qui a aggravé un problème abdominal, obligeant ainsi son chirurgien à intervenir en urgence Evil or Very Mad. Pendant ce temps, les militants de la Démocratie chrétienne (DC) dénoncent les interférences de l'exécutif congolais sur les responsables de cet hôpital chinois afin de "nier" l'administration de soins à l'honorable Diomi dans cet établissement. Heureusement, suite à l'intervention directe de la MONUSCO, des ONG des Droits de l'homme et de certains députés de l'opposition, l'hôpital en question a autorisé l'admission au bloc opératoire du député Diomi Ndongala.Evil or Very Mad



http://www.afriquinfos.com/articles/2012/10/23/revue-presse-rd-congolaise-211789.asp
KOTA
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Message  L'avocat de Mobutu 24/10/2012, 4:04 pm


Quoi qu'il fasse, il ira dans le trou: les preuves sont tellement accablantes que je ne le vois s'en sortir dans ce dossier: fallait pas devierger des petites filles..

L'avocat de mobutu

KOTA a écrit:La Tempête des Tropiques

Un communiqué de la Démocratie chrétienne (DC) publié le week-end dernier informe l'opinion tant nationale qu'internationale que son président national, l'honorable Eugène Diomi Ndongala, a subi en urgence une intervention chirurgicale le vendredi 19 octobre 2012 à 15h00 à l'Hôpital Sino-Congolais à Kinshasa, dans la commune de N'Djili. Selon ce document, le député Eugène Diomi est sorti de la salle de réanimation vendredi dernier à 20h00, son état est pour l'instant stationnaire. L'acte chirurgical a été la conséquence directe de sa longue séquestration qui a aggravé un problème abdominal, obligeant ainsi son chirurgien à intervenir en urgence Evil or Very Mad. Pendant ce temps, les militants de la Démocratie chrétienne (DC) dénoncent les interférences de l'exécutif congolais sur les responsables de cet hôpital chinois afin de "nier" l'administration de soins à l'honorable Diomi dans cet établissement. Heureusement, suite à l'intervention directe de la MONUSCO, des ONG des Droits de l'homme et de certains députés de l'opposition, l'hôpital en question a autorisé l'admission au bloc opératoire du député Diomi Ndongala.Evil or Very Mad



http://www.afriquinfos.com/articles/2012/10/23/revue-presse-rd-congolaise-211789.asp

L'avocat de Mobutu


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Message  L'avocat de Mobutu 24/10/2012, 4:31 pm

A force de baiser n'importe comment, il est á present victime d'un mauvais sort jeté: ça n'a rien avoir avec des tortures ,ca:ça ressemble á un kiste ou une metastase, consequence d'un cancer qui est encore primaire...Si on te tape sur l'endroit ou il nous a montré, ça ne peut glonfler dans des proportions pareilles, NON ,...Il m'a fait, toute fois pitié, il est tres malade le gars..Mais il ne peut pas echapper á la tolerance 0..

L'avocat de Mobutu


KOTA a écrit:

L'avocat de Mobutu


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Message  KOTA 24/10/2012, 10:53 pm

ESPECE DE LACHE QUI TE CACHE DERRIERE LE PSEUDO TROMPEUR D AILLEURS D AVOCAT DE MOBUTU * POUR NE PAS DIRE PLUTOT D AVOCAT DE KABILA - TU REPONDRAS UN JOUR DE TES INSULTES: L AVOCAT DE MOBUTU DOIT SAVOIR QU AUCUN AVOCAT N A SAUVE LE DICTACTEUR DE KAWELE
KOTA
KOTA


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Message  KOTA 25/10/2012, 10:08 pm

L’UNION INTER PARLEMENTAIRE, UIP EN SIGLE, VIVEMENT PREOCCUPEE DU CAS DU DEPUTE DIOMI NDONGALA ET DEMANDE LA MISE EN PLACE D UNE COMMISSION D’ENQUETE INDEPENDANTE CONCERNANT SON ENLEVEMENT


par mpp le 25 octobre 2012
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APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT - Page 24 Logo-uipUnion interparlementaire

Communiqué de presse

Genève /Québec, le 24 octobre 2012


L’UNION INTER PARLEMENTAIRE, UIP EN SIGLE, VIVEMENT PREOCCUPEE DU CAS DU DEPUTE DIOMI NDONGALA ET DEMANDE LA MISE EN PLACE D UNE COMMISSION D’ENQUETE INDEPENDANTE CONCERNANT SON ENLEVEMENT



A l’occasion de sa 127ème Assemblée, qui se tient à Québec, l’Union interparlementaire a décidé aujourd’hui, sur recommandation de son Comité des droits de l’homme des parlementaires, d’envoyer des missions d’enquête aux Maldives et en Turquie.

L’UIP est en effet préoccupée par le climat de violence et d’affrontement qui règne actuellement aux Maldives, et profondément choquée par l’assassinat du parlementaire Afrasheem Ali.

Dans une résolution portant sur le dossier de 19 parlementaires issus du Parti démocratique des Maldives (MDP), qui seraient la cible de violences, d’arrestations arbitraires et d’inculpations motivées par des considérations politiques, l’Organisation se dit préoccupée par les allégations de mauvais traitements, de détentions arbitraires et de actes de harcèlement mettant en cause les forces de l’ordre.
Les Maldives traversent une crise politique depuis le mois de février, date à laquelle le Président Mohamed Nasheed a été remplacé par son Vice-Président Mohamed Waheed. L’intimidation politique et les manifestations de violence que connaît le pays, suscitent une inquiétude croissante de la communauté internationale.

Aussi la mission de l’UIP aux Maldives vise-t-elle à recueillir des informations de première main. A l’invitation du Gouvernement des Maldives, elle rencontrera les autorités parlementaires, gouvernementales et judiciaires ainsi que les intéressés.

Parallèlement, une autre mission sera envoyée en Turquie dans le cadre du dossier de neuf parlementaires, dont six Kurdes, emprisonnés soit pour appartenance à des organisations conspirant en vue de renverser le parti au pouvoir, soit pour leur participation présumée à des complots visant à renverser le gouvernement.

Bien que le Parlement turc ait adopté une loi qui leur permettrait d’obtenir une libération provisoire, les neuf intéressés sont toujours en détention préventive, et pour certains depuis trois ans.

Le Comité des droits de l’homme des parlementaires de l’UIP a étudié 37 cas concernant 135 parlementaires de 21 pays et a pris des décisions sur 20 de ces cas.

Durant les quatre jours qu’a duré sa session, le Comité a tenu des auditions avec les délégations de l’Indonésie, de la Malaisie des Maldives, des Philippines, de la République démocratique du Congo (RDC), du Tchad et de la Turquie.

<BLOCKQUOTE>
Parmi les nombreux cas africains qu’il a dû examiner, le Comité s’est dit vivement préoccupé par celui de M. Diomi Ndongala, parlementaire de l’opposition en République démocratique du Congo (RDC), qui aurait été arrêté arbitrairement, le 27 juin de cette année, alors qu’il s’apprêtait à signer la charte fondatrice d’un nouveau parti d’opposition. M. Ndongala allègue avoir été détenu au secret par les services du renseignement pendant près de quatre mois avant de réapparaître le 11 octobre très affaibli, son état nécessitant des soins médicaux.


Les autorités ont nié ses allegations.

L’UIP a aussi noté avec préoccupation que la famille et les amis de M. Ndongala avaient fait l’objet de menaces et d’actes d’intimidation et qu’ils étaient surveillés depuis son arrestation, situation qui se serait encore aggravée depuis sa sortie de prison. L’UIP appelle les autorités congolaises à veiller sur sa sécurité et celle de ses proches et demande qu’une enquête indépendante soit menée sur cette affaire.

</BLOCKQUOTE>
Toutefois, il y a aussi matière à se réjouir. Le Comité vient en effet de clore des dossiers tchadiens et cambodgiens.

L’UIP se félicite en outre de la libération, ces derniers mois, de 18 membres du Conseil législatif palestinien, qui faisaient l’objet d’une rétention administrative, notamment de son Président. L’UIP ne doute pas que les cinq parlementaires palestiniens toujours détenus seront eux aussi libérés prochainement ou inculpés selon les procédures pénales ordinaires, si des faits précis leur sont reprochés.

Le Comité des droits de l’homme des parlementaires de l’UIP est un organe unique en son genre qui a vocation à protéger les parlementaires des atteintes à leurs droits fondamentaux. Il est actuellement saisi de 83 cas qui concernent 236 parlementaires dans 39 pays.

RESUME DES CAS ET DES RESOLUTIONS RELATIFS AUX DROITS DE L’HOMME PAR REGION

Afrique Onze cas de violations des droits de l’homme concernant 64 parlementaires au Cameroun, au Tchad, en République démocratique du Congo, en Egypte, à Madagascar et au Zimbabwe ont été examinés. L’UIP a adopté des résolutions sur quatre de ces cas qui portaient sur des arrestations et détention arbitraires, sur l’invalidation arbitraire des résultats d’un scrutin et sur des procès irréguliers.

Au Tchad, les cas concernaient Ngarleji Yorongar et Gali Ngote Gata, ce dernier cas ayant été résolu et le dossier clos; en RDC, les cas concernaient Jacques Chalupa, Eugène Diomi Ndongala et un autre groupe de 29 autres parlementaires.

Amérique latine En Amérique latine, le Comité a examiné deux cas d’atteintes aux droits de l’homme qui concernaient six parlementaires colombiens.

L’UIP a adopté une résolution sur le cas de Javier Enrique Caceres Leal où elle souligne la nécessité de juger les parlementaires devant des tribunaux impartiaux et de leur accorder des voies de recours, et met en doute la crédibilité des témoignages de miliciens qui ont déposé les armes. L’UIP continuera de suivre la situation d’Ivan Cepeda Castro, d’Alexander López, de Jorge Enrique Robledo, de Guillermo Alfonso Jaramillo et de Wilson Arias Castillo.

Asie En Asie, le Comité a examiné 14 cas d’atteintes aux droits de l’homme concernant 35 parlementaires dans les pays suivants : Maldives, Cambodge, Indonésie, Malaisie, Pakistan, Philippines, Sri Lanka et Thaïlande.

L’UIP a adopté des résolutions sur sept de ces cas, qui avaient trait à des poursuites et des condamnations pénales à caractère politique, à des détentions illégales, à des atteintes à la liberté d’expression, à l’immunité parlementaire, ainsi qu’à des révocations arbitraires. Aux Maldives, le cas examiné concerne un groupe de 19 parlementaires. Au Cambodge, le Comité s’est occupé des cas de Sam Rainsy et de Mu Socha. Seul celui de Mu Sochua a été réglé.

D’autres résolutions ont été adoptées concernant Anwar Ibrahim en Malaisie et Syed Hamid Saeed Kazmi et Riaz Fatyana au Pakistan, quatre parlementaires philippins et Jatuporn Prompan en Thaïlande.

Moyen-Orient Le Comité a examiné six cas d’atteintes aux droits de l’homme concernant 18 parlementaires dans les pays suivants : Bahreïn, Iraq et Palestine/Israël. Le Comité des droits de l’homme des parlementaires a adopté des résolutions sur cinq de ces cas, qui portaient sur des traitements cruels, inhumains ou dégradants, des détentions sans procès, des procès irréguliers et
des accusations d’origine politique.

A Bahreïn, les cas concernaient Matar Ebrahim Matar et Jawad Fairuz Ghluloom; le cas irakien concernait Mohamed Gatof Mansour al-Dainy. D’autres résolutions ont été adoptées sur les cas de Marwan Barghouti, Ahmad Sa’adat et d’un groupe de douze autres parlementaires palestiniens.

Europe En Europe, le Comité a examiné quatre cas d’atteintes aux droits de l’homme concernant 13 parlementaires dans trois pays : Islande, Fédération de Russie et Turquie.

Le Comité a adopté une résolution sur un groupe de neuf parlementaires turcs, dans laquelle il a soulevé des questions fondamentales relatives à l’équité des procès, aux détentions illégales, ainsi qu’à l’ingérence politique dans la liberté d’expression et le droit de participer à la vie politique.

Toutes les résolutions seront publiées dans leur intégralité à l’adresse suivante : www.ipu.org COB 24/10.

Pour en savoir plus sur l’Assemblée, prière de consulter : http://www.ipu.org/conf-f/127agnd.htmPour les journalistes qui souhaitent assister à la 127ème Assemblée à Québec, prière de consulter : http://www.ipu2012uip.ca/press-corner/media-accreditation/.

Suivez la 127ème Assemblée sur Twitter #UIP127 (français) ou #IPU127 (anglais)



***************************************

DEMAIN 26/10/2012 LES RESOLUTIONS CONCERNANT LES CAS DE VIOLATIONS DES DROITS DES PARLEMENTAIRES EN RDC SERONT PUBLIEES DANS LE SITE DE L’UIP

http://www.ipu.org/french/home.htm



http://democratiechretienne.org/2012/10/25/lunion-inter-parlementaire-uip-en-sigle-vivement-preoccupee-du-cas-du-depute-diomi-ndongala-et-demande-la-mise-en-place-d-une-commission-denquete-independante-concernant-son-enlevement/
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Message  KOTA 26/10/2012, 11:14 am

RESOLUTION DE L’UNION INTERPARLEMENTAIRE (UIP) SUR LE CAS DU DEPUTE EUGENE DIOMI NDONGALA: NON A LA PRECIPITATION A LEVER L’IMMUNITE ET MISE EN PLACE D’UNE COMMISSION D’ENQUETE INDEPRENDANTE SUR L’ENELVEMENT DU DEPUTE DIOMI NDONGALA


par mpp le 26 octobre 2012
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CL/191/11b)-R.1


- 10 – 24 octobre 2012

RÉPUBLIQUE DÉMOCRATIQUE DU CONGO

CAS N° DRC/71 – EUGÈNE DIOMI NDONGALA


Résolution adoptée par consensus par le Conseil directeur de l’UIP à sa 191

ème session (Québec, 24 octobre 2012) 3

3



Le Conseil directeur de l’Union interparlementaire,


saisi


du cas de M. Eugène Diomi Ndongala, membre de l’Assemblée nationale de la République démocratique du Congo, conformément à la Procédure d’examen et de traitement, par l’Union interparlementaire, de communications relatives à des violations des droits de l’homme dont sont victimes des parlementaires,

se référant

aux informations fournies par le Président de l’Assemblée nationale dans sa lettre du 16 octobre 2012 et par la délégation de l’Assemblée nationale entendue par le Comité pendant la 127ème Assemblée de l’UIP à Québec, ainsi qu’aux informations transmises par les sources,

considérant


les éléments ci-après versés au dossier :




- selon les sources, M. Diomi Ndongala, député de l’opposition, aurait été « enlevé » par la police nationale sur ordre du colonel Kanyama le 27 juin 2012, jour où il s’apprêtait à procéder à une cérémonie de signature de la charte d’une nouvelle plateforme des partis d’opposition;


- toujours selon les sources, la veille de sa disparition, le 26 juin 2012, les forces de police auraient fouillé puis occupé le siège de son parti politique sans mandat de perquisition, jusqu’à ce que le Procureur général se rende sur les lieux, le lendemain matin, pour tenir une conférence de presse relative à l’inculpation de M. Ndongala pour des viols commis la veille en flagrant délit au siège de son parti politique; le siège du parti aurait été occupé par les forces de police pendant plusieurs semaines jusqu’à l’intervention de l’auditorat militaire fin juillet 2012, suite à une plainte déposée par le parti contre l’occupation illégale de ses locaux par la police et l’obstruction de ses activités politiques;

- M. Ndongala a été ensuite porté disparu pendant près de quatre mois au cours desquels sa famille et ses proches, sans aucune nouvelle de lui, ont exprimé à plusieurs reprises des craintes pour sa vie et son intégrité physique, et allégué qu’il était détenu illégalement au secret par les services de renseignements congolais;


- M. Diomi Ndongala est réapparu le 11 octobre 2012 et a confirmé publiquement avoir été enlevé et détenu par les services de renseignements; il a déclaré avoir été interrogé sur les actions militaires envisagées par l’opposition pour prendre le pouvoir, mais jamais sur des infractions de viol; très affaibli, il semblait avoir besoin de soins médicaux d’urgence;


- selon les autorités, M. Ndongala fait l’objet d’une enquête du Parquet général de la République pour viol sur mineurs depuis le 26 juin 2012; la police est intervenue pour arrêter M. Ndongala en flagrant délit à son bureau mais il n’était pas présent sur les lieux et avait, selon les autorités, pris la fuite pour éviter d’être arrêté; le Procureur général de la République a saisi l’Assemblée nationale le 19 juillet 2012 d’une demande de levée de l’immunité de M. Ndongala; en vertu du Code pénal, M. Ndongala est passible d’une peine d’emprisonnement de 7 à 20 ans;




- dans une lettre adressée par M. Ndongala au Président de l’Assemblée nationale en date du 16 octobre 2011, celui-ci fournit sa version des faits et affirme que les


-

11 – CL/191/11b)-R.1 24 octobre 2012

accusations de viol portées contre lui ne sont pas fondées; il fait référence à des procès-verbaux d’audition de deux de ses collaborateurs arrêtés pour complicité de viol le 26 juin, car ils étaient présents au siège du parti politique lors de l’opération policière et indique que ces procès-verbaux semblent constituer les preuves du procureur à son encontre; il précise dans sa lettre que ces deux personnes auraient été entendues en français, alors qu’elles ne maîtrisent pas cette langue, et auraient été privées du droit à l’assistance d’un avocat et qu’elles seraient actuellement toujours en détention; M. Diomi Ndongala estime que les aveux figurant dans leurs procès-verbaux d’audition leur auraient été extorqués par les autorités judiciaires; il invoque également des contradictions flagrantes et des incohérences dans le réquisitoire du Procureur général du 19 juillet 2012; selon l’avocat de M. Ndongala, les dispositions du code de procédure pénale relatives à la procédure d’instruction du viol n’auraient pas été respectées, ce dont il a informé le Président de l’Assemblée nationale dès le 2 juillet 2012; enfin, selon d’autres sources, les victimes des viols présumés auraient reçu une grosse somme d’argent, l’auteur de la plainte présenté comme leur père n’aurait en fait pas de lien de parenté avec elles, l’âge des filles serait sujet à controverse, et les conditions dans lesquelles des preuves auraient été collectées au cours de la perquisition illégale du siège du parti politique par la police laisseraient à désirer;

- dans sa lettre au Président de l’Assemblée nationale, M. Ndongala relève que son immunité parlementaire a été violée dans la mesure où un mandat d’arrêt a été lancé contre lui et où les poursuites à son encontre ont été largement médiatisées avant même que le Procureur n’ait demandé la levée de son immunité;

- le Président de l’Assemblée nationale a indiqué dans sa lettre du 16 octobre 2012 que, puisque depuis le 11 octobre 2012, la famille de M. Ndongala « a annoncé à la presse le retour de ce dernier à son domicile », la procédure de levée de son immunité parlementaire allait se poursuivre; le 17 octobre, les députés se sont réunis en plénière pour débattre de la demande de levée de l’immunité de M. Ndongala et auraient demandé à ce dernier de se présenter dans les 24 heures pour se défendre; selon les sources, il n’aurait pas été avisé officiellement par l’Assemblée nationale et n’était pas, en tout état de cause, en mesure de se rendre à l’Assemblée, compte tenu de son état de santé nécessitant des soins médicaux urgents, ce dont il avait déjà informé le Président de l’Assemblée nationale par sa lettre du 16 octobre à laquelle était joint un certificat médical;

- la délégation entendue par le Comité au cours de la 127

ème Assemblée de l’UIP, après avoir indiqué que M. Ndongala était actuellement hospitalisé et serait entendu ultérieurement quand sa santé le lui permettrait, a déclaré que M. Ndongala avait refusé de se présenter à la plénière, n’avait pas informé l’Assemblée nationale de son état de santé et avait refusé de consulter le médecin de l’Assemblée nationale avant d’être hospitalisé; il avait ainsi manqué l’occasion de présenter sa défense publiquement devant l’Assemblée plénière et les médias; le Président de l’Assemblée nationale a néanmoins décidé d’établir une commission parlementaire « spéciale » afin de l’entendre et de statuer sur son cas à huis clos avant de soumettre au vote de la plénière une recommandation relative à la levée de son immunité;

- selon les sources, M. Ndongala avait été hospitalisé d’urgence dès sa réapparition, puis avait pu poursuivre son traitement médical à domicile; il a cependant de nouveau dû être hospitalisé le matin du 19 octobre 2012 pour subir une opération chirurgicale d’urgence d’après les médecins; néanmoins, selon les sources, le Ministre de la santé et l’Agence nationale des renseignements seraient alors intervenus auprès du Directeur général de l’hôpital et du personnel soignant pour interdire la prise en charge de M. Ndongala; le personnel médical aurait fini malgré tout par accepter de pratiquer l’intervention en milieu d’après-midi, car l’état de M. Ndongala était critique; depuis cet incident, les menaces et intimidations – dont étaient déjà victimes la famille et les proches de M. Ndongala depuis le mois de juillet – se sont intensifiées et ceux-ci ont exprimé des craintes pour la vie de M. Ndongala, ainsi que pour leur sécurité;


CL/191/11b)-R.1

- 12 – 24 octobre 2012
- selon les autorités, M. Ndongala ne s’est jamais présenté à aucune séance de l’Assemblée nationale depuis son élection et ne participe pas aux travaux parlementaires, car il conteste la validité des élections présidentielles et législatives de novembre 2011 et les institutions qui en sont issues, au même titre que le leader de l’opposition congolaise, M. Etienne Tshisekedi du parti UDPS, que M. Ndongala estime être le Président légitimement élu en lieu et place du Président Kabila,

considérant


que Me Agboyibo, ancien Premier ministre du Togo, a été mandaté pour se rendre à Kinshasa du 25 juillet au 2 août 2012 afin, entre autres, de solliciter des compléments d’information des autorités et des sources sur la situation de M. Ndongala (alors encore porté disparu); que les autorités parlementaires ont accueilli favorablement cette mission et en ont facilité le bon déroulement; que le rapport de mission de Me Agboyibo a été transmis aux autorités et aux sources le 13 septembre 2012; que Me Agboyibo a souligné dans ses conclusions que des vérifications complémentaires étaient nécessaires pour clarifier le dossier, qu’il a également exprimé sa préoccupation du fait des graves allégations transmises par les sources et de l’absence totale de nouvelles de M. Diomi Ndongala depuis sa disparition, et qu’il a indiqué ne pas comprendre qu’une enquête n’ait pas été ouverte par les autorités sur sa disparition, bien que celle-ci remonte à la fin juin 2012,




relevant


que la délégation congolaise entendue par le Comité au cours de la 127ème Assemblée de l’UIP a accueilli favorablement le fait que Me Agboyibo ait souligné que le dossier nécessitait des clarifications, tout en regrettant qu’il n’ait pas rencontré les victimes présumées de viol et leur famille pour entendre leur version des faits,

considérant


que de nombreuses zones d’ombre subsistent actuellement dans ce dossier, compte tenu des contradictions fondamentales entre la version des faits fournie par les autorités et celle donnée par les sources,

1.

<BLOCKQUOTE>
note avec une profonde préoccupation la gravité des allégations selon lesquelles M. Ndongala, député de l’opposition, aurait été arrêté et détenu arbitrairement au secret par les services de renseignements pendant près de quatre mois; s’étonne que des contradictions aussi fondamentales entre la version des faits fournie par les autorités et celle donnée par les sources puissent persister à l’heure actuelle et qu’aucune mesure n’ait été prise par les autorités pour enquêter sur la disparition de M. Ndongala, établir s’il était en vie et en bonne santé, où il se trouvait et les circonstances et les motifs de sa disparition, cela malgré les plaintes introduites en justice par sa famille;
</BLOCKQUOTE>
2.

souligne tout en prenant pleinement en compte la gravité indéniable de l’infraction de viol reprochée à M. Ndongala par le Procureur général de la République, ses préoccupations importantes dans le cas d’espèce s’agissant du respect des normes internationales auxquelles a souscrit la RDC en matière de procédure équitable au stade des enquêtes et de l’instruction, y compris en matière de viol, alors que des contradictions fondamentales persistent notamment sur :




-

le présumé caractère flagrant du viol, alors même que M. Ndongala n’était pas présent sur le lieu du viol présumé lors de l’intervention policière, et que la flagrance était la seule base juridique susceptible de fonder en droit l’arrestation d’un député sans saisine préalable de l’Assemblée nationale pour obtenir la levée de l’immunité parlementaire;



-

la réalité des faits allégués et l’adéquation de la qualification juridique de viol au regard des nombreuses contradictions rapportées notamment quant au lieu, au moment et aux circonstances exactes de l’infraction présumée, aux preuves établissant la réalité de l’infraction présumée, à l’âge exact des victimes présumées (qui ne seraient peut-être pas mineures), et aux sommes d’argent reçues par les présumées victimes de M. Ndongala ou d’une autre personne;

-

13 – CL/191/11b)-R.1 24 octobre 2012

-

le respect effectif des droits de la défense, M. Ndongala n’ayant jamais été entendu par les autorités judiciaires et ayant appris les charges qui pesaient sur lui par voie de presse;

3.

ne comprend pas la précipitation des autorités à vouloir lever l’immunité de M. Diomi Ndongala, compte tenu des importantes zones d’ombre du dossier et des graves irrégularités invoquées et compte qu’une enquête indépendante sera menée dans les plus brefs délais sur la disparition de M. Ndongala pour établir les faits et les responsabilités de manière transparente et équitable, afin que le Procureur général et l’Assemblée nationale puissent disposer de l’ensemble des éléments pertinents leur permettant d’apprécier, en l’état actuel des choses, la suite à donner aux poursuites judiciaires et à la demande de levée de l’immunité de M. Ndongala;


4.

espère vivement que la commission parlementaire spéciale mise en place pour examiner la question de la levée de l’immunité parlementaire de M. Ndongala sera composée équitablement de représentants de la majorité et de l’opposition et permettra à M. Ndongala, ou à son avocat, de présenter sa défense en public s’il le souhaite, quand son état de santé le lui permettra, afin d’assurer un maximum de transparence dans ce dossier, ainsi que le plein respect des droits de la défense;

5.

relève également son inquiétude s’agissant de la surveillance, des menaces et des intimidations dont la famille et les proches de M. Ndongala font l’objet depuis juillet 2012; note que, d’après les sources, cette situation s’est considérablement aggravée depuis la réapparition de M. Ndongala; est profondément troublé d’apprendre que les autorités auraient fait obstacle à une opération médicale d’urgence de M. Ndongala le 19 octobre 2012 et les prie instamment de fournir leurs observations à cet égard et d’indiquer les mesures prises pour garantir la sécurité de M. Ndongala et de sa famille;

6.

prie le Secrétaire général de communiquer la présente résolution au Président de l’Assemblée nationale, au Ministre de la justice, au Procureur général de la République, ainsi qu’aux sources;

7.

prie le Comité de poursuivre l’examen de ce cas et de lui faire rapport en temps utile

http://www.ipu.org/pdf/hrres191_fr.pdf



http://democratiechretienne.org/2012/10/26/resolution-de-lunion-parlementaire-sur-le-cas-du-depute-eugene-diomi-ndongala-non-a-la-precipitation-a-lever-limmunite-et-mise-en-place-dune-commission-denquete-indeprendante-sur-lenelvemen/
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Message  KOTA 29/10/2012, 9:36 pm



L’Union interparlementaire exige une commission d’enquête indépendante pour le cas Diomi Ndongala / TEMPETE DES TROPIQUES


A l’occasion de sa 127ème assemblée tenue à Québec
Écrit par Lefils Matady
Lundi, 29 Octobre 2012 08:12
L’Union interparlementaire exige une commission d’enquête indépendante pour le cas Diomi Ndongala


Cette structure dit non à la précipitation concernant la levée de l’immunité de ce député proche d’Etienne Tshisekedi et exige des garanties pour sa sécurité et celle de ses proches

APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT - Page 24 Diomi-ndongala-prisonnier-politique-20123Dans un communiqué de presse publié le 24 octobre dernier à Québec, l’Union interparlementaire, à l’occasion de sa 127ème assemblée tenue à Québec, se dit vivement préoccupée par le cas du député national Eugène Diomi Ndongala et demande la mise en place d’une commission d’enquête indépendante concernant son enlèvement.

Elle demande aux autorités congolaises de veiller à sa sécurité et celle de ses proches, car ces derniers sont quotidiennement victimes de menaces et d’actes d’intimidation. En effet, après s’être imprégnée du dossier de ce député de la Funa depuis son enlèvement jusqu’à sa libération en passant par les accusations de viol portées contre lui et l’enclenchement de la procédure pour lever son immunité, l’UIP souhaite ardemment que ce dossier soit ponctué d’un maximum de transparence.

Elle se dit profondément troublée d’apprendre que les autorités congolaises auraient fait obstacle à une opération médicale d’urgence de l’élu de la Funa le 19 octobre 2012 dans un centre hospitalier chinois dans la commune de N’Djili, à Kinshasa. L’Union interparlementaire prie donc à ces autorités congolaises de fournir des explications à cet égard et d’indiquer les mesures prises pour garantir sa sécurité.
Afrique : 64 parlementaires victimes de violations de Droits de l’homme

Parlant d’autres pays africains, 11 cas de violations des Droits de l’homme concernant 64 parlementaires au Congo, au Tchad, en République démocratique du Congo, en Egypte, à Madagascar et au Zimbabwe ont été examinés.

L’Union interparlementaire a adopté des résolutions sur quatre de ces cas qui portaient sur des arrestations et détentions arbitraires, l’invalidation arbitraire des résultats d’un scrutin et sur des procès irréguliers.
Au Tchad, renseigne le communiqué, les cas concernaient Ngarleji Yorongar et Gali Ngote Gata, ce dernier cas ayant été résolu et le dossier clos. En République démocratique du Congo, il était question de se pencher sur les dossiers Jacques Chalupa, Eugène Diomi Ndongala et un groupe de 29 autres parlementaires.

Il faut rappeler par ailleurs que le député Eugène Diomi Ndongala est jusqu’à ce jour hospitalisé à Kinshasa, suite à l’intervention chirurgicale subie, consécutive au mauvais traitement auquel il a été soumis durant les 100 jours de sa détention.

Mise à jour le Lundi, 29 Octobre 2012 08:23http://www.latempete.cd/component/content/article/1-nation/778-a-loccasion-de-sa-127eme-assemblee-tenue-a-quebec-.html

http://democratiechretienne.org/2012/10/29/lunion-interparlementaire-exige-une-commission-denquete-independante-pour-le-cas-diomi-ndongala-tempete-des-tropiques/


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Message  KOTA 29/10/2012, 10:40 pm


Hier Chalupa, Diomi, Lumbala, etc., aujourd’hui Puela Les ONGDH dénoncent les violences politiques contre les opposants

http://democratiechretienne.org/2012/10/29/hier-chalupa-diomi-lumbala-etc-aujourdhui-puela-les-ongdh-denoncent-les-violences-politiques-contre-les-opposants/

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Hier Chalupa, Diomi, Lumbala, etc., aujourd’hui Puela Les ONGDH dénoncent les violences politiques.
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Message  KOTA 1/11/2012, 4:02 pm








DIOMI NDONGALA, ENCORE CONVALESCENT, ENVOYE UN MESSAGE AUX COMBATTANTS
https://www.youtube.com/watch?v=AIeOzb0t20Y

http://democratiechretienne.org/2012/11/01/le-president-diomi-ndongala-encore-convalescent-envoye-un-message-aux-combattants/


Dernière édition par KOTA le 1/11/2012, 9:05 pm, édité 1 fois
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Message  L'avocat de Mobutu 1/11/2012, 5:54 pm

Very Happy Very Happy Very Happy Very Happy C'est en prison que vous irez continuer le combat:on ne va plus vous laisser devierger les petites filles..


L'avocat de Mobutu




KOTA a écrit:






DIOMI NDONGALA, ENCORE CONVALESCENT, ENVOYE UN MESSAGE AUX COMBATTANTS
https://www.youtube.com/watch?v=AIeOzb0t20Y

http://democratiechretienne.org/2012/11/01/le-president-diomi-ndongala-encore-convalescent-envoye-un-message-aux-combattants/

L'avocat de Mobutu


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Message  King David 1/11/2012, 6:51 pm

L'avocat de Mobutu a écrit: Very Happy Very Happy Very Happy Very Happy C'est en prison que vous irez continuer le combat:on ne va plus vous laisser devierger les petites filles..


L'avocat de Mobutu

Je croyais que vous seriez assez courageux pour venir affronter vos idioties dans l'affaire Mukwege, mais vous avez préféré vous réfuger dans la discussion ayant trait à Diomi. Mais ici aussi, vous ne serez nullement à l'ombre.

Lorsque l'ONU avait publié un rapport selon lequel 1100 femmes avaient été violées au Kivu, Lambert Mende s'était énervé et n'avait pas hésité à réfuter ces accusations disant qu'on devrait dire plutôt "allégation" car l'accusation n'est prononcée que par un juge après un procès.

Maintenant, lorsque l'avocat de kanambe déclare que Diomi est violeur, peut-il exhiber le procès-verbal de son procès?
King David
King David


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Message  KOTA 1/11/2012, 7:41 pm

MAIS DE QUELLES "PETITES" PARLEZ-VOUS? LES DAMES DITES FILLES DE KENNEDY KAMBALA, NEES A 6 MOIS DE DIFFERENCE L UNE DE L AUTRE, SELON LEURS DECLARATIONS VERBALE QUINE S APPUYENT SUR AUCUN DOCUMENT, NE SONT PLUS A KIN Cool: LE POUVOIR A DEJA PAYE POUR LE FAIRE VOYAGER --SEULES --A L ETRANGER, COMME PROMIS EN ECHANGE DE LEURS PRESTATIONS EN TANT QUE FAUX TEMOINS ET FAUX VICTIMES.

MAIS LES REBONDISSEMENTS, DANS CETTE AFFAIRE, NE FONT QUE COMMENCER: AVOCAT DE MOBUTU, VOUS IREZ DONNER VOTRE LANGUE AUX CHATS BIENTOT
KOTA
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Message  KOTA 1/11/2012, 10:09 pm

Affaire Eugène Diomi : l’ASADHO plaide pour la fin de la violation des droits fondamentaux du député


par mpp le 1 novembre 2012

Affaire Eugène Diomi : l’ASADHO plaide pour la fin de la violation des droits fondamentaux du député



Jeudi, 01 Novembre 2012 09:01

APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT - Page 24 Depeche2

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APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT - Page 24 135255_DK210986
L’Asadho recommande le respect des prérogatives et garanties constitutionnelles reconnues à l’élu du peuple. Pour l’Association africaine de défense des droits de l’Homme (Asadho), le comportement du président de l’Assemblée nationale (AN) et du procureur général de la République (PGR), dans l’affaire du député Eugène Diomi Ndongala, n’est pas de nature à favoriser l’émergence d’un État de droit et de la démocratie dans le pays.


</BLOCKQUOTE>
« L’Asadho estime qu’en permettant au PGR d’exposer les éléments du dossier devant les députés et tout le peuple congolais, le but serait de préparer l’opinion nationale à la condamnation de M. Eugène Diomi, en démontrant qu’il est coupable », a noté l’ONG.
Dans un communiqué daté du 31 octobre, cette ONG a dit s’inquiéter que « la violation de la procédure en cette matière n’aboutisse qu’à la levée de l’immunité du député mis en cause et à sa condamnation par les autorités judiciaires totalement accusées au musellement de l’opposition politique par la majorité au pouvoir ».

<BLOCKQUOTE>
Selon l’Asadho, le respect des droits du député mis en cause passe par un comportement concret des autres membres de l’Assemblée nationale. Ce qui l’avait amenée à solliciter des députés de veiller à ce que les droits fondamentaux et les garanties constitutionnelles reconnus à Eugène Diomi soient respectés lors de l’examen de la demande de levée de son immunité parlementaire. Les députés sont aussi appelés à s’opposer à toute instrumentalisation de la justice par les hommes politiques dans ce dossier.

</BLOCKQUOTE>
L’ONG demande au président de l’Assemblée nationale notamment de respecter les droits et garanties constitutionnels reconnus à ce député et à s’abstenir de toute instrumentalisation du PGR dans ledit dossier. Alors qu’à la communauté internationale, cette association a conseillé de faire pression sur les autorités congolaises pour qu’elles cessent d’instrumentaliser la justice contre les hommes politiques de l’opposition.
APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT - Page 24 135254_DK110986



Des prémisses d’une décision marquée


Selon l’Asadho, la conférence de presse organisée le 28 juin par le PGR, au cours de laquelle il avait exposé tous les éléments du dossier (faits et témoignages), a violé de manière flagrante les principes qui fondent une justice indépendante et équitable, à savoir le secret de l’instruction préjuridictionnelle et la présomption d’innocence.


« Appelé à instruire à charge et à décharge, le PGR avait déjà montré son penchant à faire poursuivre Eugène Diomi », a critiqué l’ONG.


L’Asadho a également estimé que le PGR ne pouvait prendre la parole à l’Assemblée nationale qu’après le dépôt du rapport de la commission spéciale constituée pour suivre ce dossier, alors que le député devrait être entendu avant la mise en place de ladite commission spéciale.


Pour l’ONG, la parole donnée au PGR au cours de la séance du 17 octobre et la constitution de la commission spéciale ont été en violation de l’article 92 du Règlement intérieur de l’AN, qui ne prévoit pas cette prise de parole, et de l’article 17 de la Constitution qui protège le droit de la défense.


Lucien Dianzenza
Photo 1 : Le député Diomi dans son lit d’hôpital.
Photo 2 : Le député Eugène Diomi lors d’une conférence de presse tenue après sa libération.





http://democratiechretienne.org/2012/11/01/affaire-eugene-diomi-lasadho-plaide-pour-la-fin-de-la-violation-des-droits-fondamentaux-du-depute/
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Message  KOTA 1/11/2012, 10:39 pm

APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT - Page 24 A6pFQDHCIAI7XXm

COMMUNIQUE DE PRESSE N°47/ASADHO/2012:L’ASADHO appelle les autorités de la R.D.Congo à mettre fin à la violation des droits fondamentaux de Monsieur Eugene DIOMI NDONGALA


APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT - Page 24 Diomi-01-11
HON. EUGENE DIOMI NDONGALA – NOV.2012

COMMUNIQUE DE PRESSE N°47/ASADHO/2012


L’ASADHO appelle les autorités de la R.D.Congo à mettre fin à la violation des droits fondamentaux de Monsieur Eugene DIOMI NDONGALA


ASADHO


Mercredi 31 octobre 2012, par ASADHO // Communiqué de presse 2012


L’Association Africaine de défense des Droits de l’Homme « ASADHO » en sigle est très préoccupée par la violation des droits fondamentaux et garanties constitutionnels reconnus à Monsieur Eugene DIOMI NDONGALA par les instruments juridiques nationaux et internationaux relatifs aux droits de l’Homme.


Depuis le mois de juin 2012 dernier, le Procureur Général de la République Monsieur Flory KABANGE NUMBI a ouvert un dossier judiciaire contre Monsieur Eugene DIOMI NDONGALA aux motifs qu’il aurait violé deux filles mineures d’âge.

Lors de la conférence de presse qu’il avait organisée en date du 28 juin 2012, le Procureur Général de la République avait exposé tous les éléments du dossier (faits et témoignages) en violant de manière flagrante les principes qui fondent une justice indépendante et équitable, à savoir le secret de l’instruction préjuridictionnelle et la présomption d’innocence.

Appelé à instruire à charge et à décharge, le Procureur Général de la République avait déjà montré son penchant à faire poursuivre Monsieur Eugene DIOMI NDONGALA.

<BLOCKQUOTE>
Malgré cette violation des garanties constitutionnelles reconnues à Monsieur Eugene DIOMI NDONGALA, Monsieur Flory KABANGE n’a jamais été sanctionné ni par la justice ni par les autorités politiques dont il dépend.
</BLOCKQUOTE>
Lors de la plénière de l’Assemblée Nationale du 17 octobre 2012 dont l’un des points inscrits à l’ordre du jour était l’examen de la demande de levée de l’immunité parlementaire du député Eugene DOMI NDONGALA, le Président de cette institution, Monsieur AUBIN MINAKU, a donné la parole au Procureur Général de la République pour qu’il expose devant les députés et tous les peuples congolais les motifs qui sou tendent sa demande de levée de l’immunité du député mis en cause ; en violation des l’article 924 du Règlement intérieur de l’Assemblée Nationale qui ne prévoit pas cette prise de parole et de l’article 17 de la Constitution qui protège le droit de la défense.

<BLOCKQUOTE>
Selon les dispositions de cet article, le député doit être entendu avant la mise en place de la Commission spéciale. En l’espèce, le député DIOMI NDONGALA n’était pas entendu, il était malade.
</BLOCKQUOTE>
Il était permis au Procureur Général de la République de prendre la parole, en plénière, avant la constitution de la Commission spéciale, alors que sa prise de parole n’est prévue que le jour où le rapporteur de la Commission spéciale fait son rapport.

A la plénière du 17 octobre 2012, sans tenir compte de la correspondance du député mis en cause et du rapport médical de son médecin en sa possession, le Président de l’Assemblée Nationale a proposé au vote la Constitution de la Commission spéciale, en violant le Règlement intérieur de l’Assemblée Nationale et le droit de la défense garanti par l’article 17 de la Constitution.

L’ASADHO estime qu’en permettant au Procureur Général de la République d’exposer les éléments du dossier devant les députés et tout le peuple congolais, le but serait de préparer l’opinion nationale à la condamnation de Monsieur Eugene DIOMI NDONGALA en démontrant qu’il est coupable.

Elle relève que le comportement du Président de l’Assemblée National et du Procureur Général de la République n’est pas de nature à favoriser l’émergence d’un Etat de droit et de la démocratie en République Démocratique du Congo.

<BLOCKQUOTE>
L’ASADHO s’inquiète du fait que la violation de la procédure en cette matière n’aboutisse qu’à la levée de l’immunité du député mis en cause et à sa condamnation par les autorités judiciaires totalement accusées au musellement de l’opposition politique par la majorité au pouvoir.
</BLOCKQUOTE>
De ce qui précède, l’ASADHO recommande :

Aux Députés Nationaux :



  • De veiller à ce que les droits fondamentaux et les garanties constitutionnels reconnus au député DIOMI NDONGALA soient respectés lors de l’examen de la demande de levée de son immunité parlementaire ;

  • De s’opposer à toute instrumentalisation de la justice dans le dossier DIOMI NDONGALA par les hommes politiques

ƒAu Président de l’Assemblée Nationale :



  • De respecter les droits et garanties constitutionnels reconnus au député Eugene DIOMI NDONGALA ;

  • De s’abstenir de toute instrumentalisation du Procureur General de la République dans le dossier de DIOMI NDONGALA.

A la Communauté internationale :



  • De faire pression sur les autorités congolaises pour qu’elles cessent d’instrumentaliser la justice contre les hommes politiques de l’opposition.

Kinshasa, le 31 octobre 2012.

ASADHO

Pour toutes informations, constatez :


  • Me Jean Claude KATENDE : Président National. Tél : +24381 17 29 908
  • Me Dora ZAKI : Vice Présidente Nationale. Tél : +243 99 4096 131

http://asadho-rdc.net/spip.php?article208



http://democratiechretienne.org/2012/11/01/communique-de-presse-n47asadho2012lasadho-appelle-les-autorites-de-la-r-d-congo-a-mettre-fin-a-la-violation-des-droits-fondamentaux-de-monsieur-eugene-diomi-ndongala/
KOTA
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Message  L'avocat de Mobutu 2/11/2012, 3:25 pm

David,

Il s'etait enervé avec raison puisque ces 1100 femmes par heure, ayez l'honetete intellectuel de ne pas hacher les textes..Encore une fois, 1100 femmes violées par heure...Y a de quoi á s'enever, comment peut on presenter une extrapolation se basant sur une observation stochastique comme une realité...C'est du statisque! Rien á voir avec la realité, c'est un peu comme le sondage...Seuls, les petits combattants croient que c'est une realité..

Quant á Diomi, le procureur, qui a tous les elements,y compris audios, est sur de son affaire. Même Diomi ne conteste pas sur le fond, il evoque plutot des vices de procedures et autres circonstances atenuantes..Maintenant, il pretend qu'elles n'etaient pas mineures, ce n' est pas une raison pour faire un trio avec deux soeurs Rolling Eyes Rolling Eyes ..Voyez le degré de la perversité de cet individu. Il est tres dangereux pour notre societé...Il doit etre mis hors d'etat de nuire..

L'avocat de Mobutu



King David a écrit:
L'avocat de Mobutu a écrit: Very Happy Very Happy Very Happy Very Happy C'est en prison que vous irez continuer le combat:on ne va plus vous laisser devierger les petites filles..


L'avocat de Mobutu

Je croyais que vous seriez assez courageux pour venir affronter vos idioties dans l'affaire Mukwege, mais vous avez préféré vous réfuger dans la discussion ayant trait à Diomi. Mais ici aussi, vous ne serez nullement à l'ombre.

Lorsque l'ONU avait publié un rapport selon lequel 1100 femmes avaient été violées au Kivu, Lambert Mende s'était énervé et n'avait pas hésité à réfuter ces accusations disant qu'on devrait dire plutôt "allégation" car l'accusation n'est prononcée que par un juge après un procès.

Maintenant, lorsque l'avocat de kanambe déclare que Diomi est violeur, peut-il exhiber le procès-verbal de son procès?

L'avocat de Mobutu


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Message  King David 2/11/2012, 5:47 pm

Mobutu,
Je parle d'allégation et de présomption d'innocence.
Est-il vraiment logique qu'un père à qui on vient le soutenir pour le viol dont ses filles ont été victimes, dise que ce ne sont pas de viols mais plutôt d'allégation?
Pourquoi Mende doit-il s'énerver alors qu'il n'est ni cité, ni accusé? On accuse ici les rwandais qui violent nos soeurs du Kivu.
Qui se sent morveux, se mouche dit-on.

Pourquoi les rwandais, sur le sol congolais, doivent bénéficier de la "compréhension" de Mende par minimiser tout les crimes commis sur nos femmes en parlant d'allégation et appeler toute la planète à assassiner Diomi qui ne bénéficie d'aucun apport dans son propre pays?
King David
King David


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Message  GHOST 2/11/2012, 6:02 pm

Sad

Les Rwandais peuvent venir et se promener au Congo..malgré les crimes dont l´ONU les accusent.. Il n´ya qu´a ouvrir le site de Radio Okapi pour lire la recente visite des parlementaires Rwandais á Kin..qui sont entrain de "parler de la paix" quand plus de 500 congolais sont deplacés en ce moment et la liste des souffrances des congolais continue de s´allonger Like a Star @ heaven

On s´acharne sur Diomi..mais on ne ferme pas l´ambassade du Congo au Rwanda..pays auteur de la mort de plus de 5 millions des congolais et des milliers des femmes violées What a Face APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT - Page 24 375270 APRES 100 JOURS DE DETENTION AU SECRET, DIOMI NDONGALA LIBERE LA VEILLE DU SOMMET DE LA FRANCOPHONIE, HOSPITALISE EN URGENCE SUITE AUX SEQUELLES DE SON ENLEVEMENT - Page 24 170322
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Message  Admin 2/11/2012, 6:33 pm

King David a écrit:Mobutu,
Je parle d'allégation et de présomption d'innocence.
Est-il vraiment logique qu'un père à qui on vient le soutenir pour le viol dont ses filles ont été victimes, dise que ce ne sont pas de viols mais plutôt d'allégation?
Pourquoi Mende doit-il s'énerver alors qu'il n'est ni cité, ni accusé? On accuse ici les rwandais qui violent nos soeurs du Kivu.
Qui se sent morveux, se mouche dit-on.

Pourquoi les rwandais, sur le sol congolais, doivent bénéficier de la "compréhension" de Mende par minimiser tout les crimes commis sur nos femmes en parlant d'allégation et appeler toute la planète à assassiner Diomi qui ne bénéficie d'aucun apport dans son propre pays?
Kind D,
Mende comme une bonne partie des kabilistes aujourd'hui ne sont pas tous issus du RCD (pro Rwanda) pour rien.
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Message  L'avocat de Mobutu 3/11/2012, 4:27 pm

David,

Dans tous ces histoires des viols, il y a tellement de profit que chacun en y allant de ses chiffres espere tirer le marron du feux: de ONG á MUkwenge en passant par la croix rouge, chacun veut avoir des chiffres pour mobiliser des fonds que les pauvres femmes violées ne palpent que des miettes aux travers une petite houe, machette, ou babouche: c'est devenu un vrai fond de commerce pour certains...
Si vous etiez á la place de Mende et que vous compreniez comment l'on a obtenu ces chiffres ç'allait vous revulser certainement et vous vous auriez insurger comme lui..
Si ces encheres en chiffres permettaient á ce que la CI reagisse vigoureusement vis á vis de rwandais, moi et Mende, allions les soutenir, mais ce n'est pas le cas, alors pas du tout..Puisque Ils presentent plutot le Mayi mayi et FARDC et autres groupes, presentés comme congolais, comme etant á la base de ces abominables faits: brouillant sciemment les pistes pour ne pas incriminer le Rwanda...

Puisque vous semblez ne pas connaitre la methodologie qui est á la base de ces chiffres, je m'en vais vous l'expliquer simplement:

Vous avez une fille qui amene 3 mec á la maison dans une frequence de 42 heures la premiere semaine, de 48 heures la deuxieme semaine et de 4 jours ou 192 heures chaque deux semaine..
Si un statisticien veut calculer combien de mecs cette fille amene á la maison dans le premier cas de figure, dans une frequence d'une heure ou par heure, il arrivera á un resultat tendant á 0,00~~de mecs par heure...
Ce n'est pas une realité, puisque il a choisi d'abord un cas de figure parmis les 3 et elude la problematique d'identification et l'objet de visite: il ne calcule que pour savoir si la fille recoive combien de mec par heure, selon le premier scenario...'Donc lorsque on arrive á 1100 femmes violées par heure: on est parti d'une situation determiné dans le temps et espace...

Mende, connaissant ces methodes, il a raison de dire á ces gens que c'est une realité statistique qui est tres loin de la realité et qui renforce la cliché selon la quelle; la RDC n'est pas dirigée, ce n'est pas un etat et ne le deviendra jamais, faut donc la diviser....Certains chiffres et propos que vous relayez souvent vont dans ce sens la..Voyez!

L'avocat de Mobutu






King David a écrit:Mobutu,
Je parle d'allégation et de présomption d'innocence.
Est-il vraiment logique qu'un père à qui on vient le soutenir pour le viol dont ses filles ont été victimes, dise que ce ne sont pas de viols mais plutôt d'allégation?
Pourquoi Mende doit-il s'énerver alors qu'il n'est ni cité, ni accusé? On accuse ici les rwandais qui violent nos soeurs du Kivu.
Qui se sent morveux, se mouche dit-on.

Pourquoi les rwandais, sur le sol congolais, doivent bénéficier de la "compréhension" de Mende par minimiser tout les crimes commis sur nos femmes en parlant d'allégation et appeler toute la planète à assassiner Diomi qui ne bénéficie d'aucun apport dans son propre pays?

L'avocat de Mobutu


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Message  KOTA 3/11/2012, 4:34 pm

AVOCAT DE MOBUTU, JE VOUS CONSEILLE DE CHANGER DE NOM: AVOCAT DU DIABLE Twisted Evil VU LES THESES IMMONDES QUE VOUS OSEZ DEFENDRE....
KOTA
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Message  L'avocat de Mobutu 4/11/2012, 5:55 pm

Kota,

Vous avez des yeux mais vous ne voyez pas, laissez nous donc voir á votre place... Rolling Eyes Rolling Eyes
Ce que vous ne savez pas c'est que dans votre courant des pourfendeurs du kabilisme, vous avez aussi des lobbys invisibles pro-rwandais qui travaillent aussi dans le but de faire passer la RDC comme un non etat ou etat inutilement grand qui n'a de future que si on le morcele...
Croyez vous que vous et certains entreprises de diabolisations nommées ONG+ radio Okapi( qui est massivement subventionnée de l'exterieur)- derrieres lequelles se cachent des multinationaux juifs rwandalisant- travaillez dans le même but?
Dans un premier temps votre objectif commun est d'abattre Kabila, la vous etes la main dans la main, mais une fois Kabila abattu, on ne vous donnera pas le pouvoir,non, on va plutot manipuler les katanguais et manipuler á fond les groupes armés...
Moi je veux bien que vous combattiez, mais faites gaffes aux interets superieurs..
Lorsque Tshitshi a sur-diabolisé Mobutu dans les années 90, lui collant meme des massacres inexistants(dits de Lubumbashi), qu'a-t-il recolté á la fin? Un pays sur-affaibli par des embargos en tous genres, une horde de rwandais et Kabila pere et fils...

Les mêmes causes produisent les mêmes effets!

L'avocat de Mobutu











KOTA a écrit:AVOCAT DE MOBUTU, JE VOUS CONSEILLE DE CHANGER DE NOM: AVOCAT DU DIABLE Twisted Evil VU LES THESES IMMONDES QUE VOUS OSEZ DEFENDRE....

L'avocat de Mobutu


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