Le Dr. Mukwege agressé à Bukavu
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Re: Le Dr. Mukwege agressé à Bukavu
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[b]“Le deuil, c’est pour la vie. Ca ne s’en va jamais, ça fait progressivement partie de vous, à chaque pas, à chaque souffle.”
Mathilde
Re: Le Dr. Mukwege agressé à Bukavu
Ca ne serra une erreur monumentale pour cet illustre personnage, de laisser les con mbatas epouser recuperer son nom. Nous devons l'alerter et empecher celà. Au moins la femme de chebeya l'avait compris, la femme de tungulu n'avait pas compris.
piélé de dongo
Re: Le Dr. Mukwege agressé à Bukavu
Denis Mukwege sur RFI: "Il faut une sécurité pour toute la population» de RDC"
Le docteur Denis Mukwege.
AFPPar Guillaume Thibault
Primé pour son action en faveur des femmes violées en RDC, Denis Mukwege, gynécologue obstétricien, et dirigeant l’hôpital Panzi, à Bukavu, dans l’est de la RDC, à été contraint, suite à une tentative d’assassinat, de se réfugier à l’étranger. Au micro de RFI, il revient sur les circonstances de cette tentative, et rappelle la nécessité de venir en aide à la population, première victime de ces massacres.
Denis Mukwege, vous êtes, pour le moment, docteur réfugié à l’étranger. Comment allez-vous ?
Je me porte bien. Cela prend du temps, mais je me porte bien. Je crois que c’était très dur. Mais je suis avec mon épouse et mes enfants, je sens que je me rétablis progressivement.
Quel souvenir avez-vous de cette tentative d’assassinat – on peut le dire – à Bukavu ?
C’était un moment très, très difficile. Cela s’est passé très rapidement, en trois phases. La première phase c’est que les agresseurs ont maîtrisé d’abord toutes les personnes qui étaient à l’extérieur de la maison. Et dans la maison, donc, ils sont entrés. Ils ont maîtrisé les enfants. Ils m’attendaient à l’entrée, et quand j’avais klaxonné, c’est eux qui ont ouvert la porte et m’ont cueilli rapidement.
La deuxième phase, c’était de pouvoir partir après nous avoir forcés. Ils ont récupéré les clés de ma voiture. C’est à ce moment-là qu’ils ont commis l’irréparable. D’abord en me braquant, et puis après, quand mon gardien avait crié, ils se sont retournés. En fait, ils l’ont achevé à bout portant. Je suis tombé par terre. La suite était très rapide. Ils ont pu s’échapper avec le véhicule.
Et justement, à ce moment-là, docteur, vous vous cachez ?
Là vraiment, ils ont tiré. On a trouvé six douilles. Mais moi, j’avais l’impression qu’il y avait des coups, qu’ils avaient tiré vers la sentinelle. La suite, je ne peux pas vous dire. J’étais hors de moi-même.
Est-ce que vous avez souvenir de la tenue que portaient vous agresseurs ?
Ils étaient en tenue civile. Mais je pense que leur opération a été faite avec professionnalisme et rapidité. Ce sont des tueurs professionnels.
Est-ce que des gens vous en voulaient ou est-ce que vous vous sentiez menacé ?
Je n’ai pas vraiment de problèmes avec les gens. Je n’avais pas un système de protection spéciale. Je n’ai de problèmes avec personne.
Vous demandez que toute la lumière soit faite sur cette agression, qu’une enquête soit menée ?
En ce moment, je pense beaucoup. Si moi, j’ai été agressé en pleine ville, dans un quartier sécurisé, je crois que ma pensée va beaucoup plus à toutes les femmes qui sont à l’intérieur et qui subissent ce que j’ai subi, tous les jours. Donc finalement, j’ai pu réaliser que leur situation est très difficile. Et même plus difficile que je ne le pensais, puisque si cela se passe comme ça, en pleine ville, à dix-neuf heures, je peux imaginer que toutes les personnes qui sont sans défense et sans protection sont, en fait, à la merci de toutes les bandes armées.
Et je crois que ça devient périlleux. On ne peut pas continuer à assister impuissant aux massacres, aux tueries des innocents. Ma sécurité, c’est une bonne chose. Mais je crois qu’il faut une sécurité pour toute la population. Elle a droit à cette sécurité. Les responsables doivent prendre les responsabilités avec le sérieux qu’il faut.
Justement, docteur, mercredi 31 octobre était organisé à Bukavu, chez vous, « une ville morte », pour dénoncer cette insécurité, ces violences. Je suppose que d’où vous êtes, vous y avez pensé.
Je crois que « leur expression » doit être écoutée par les autorités nationales, par la communauté internationale. C’est impensable que pendant seize ans, un peuple soit meurtri de cette façon, au vu et au su de tout le monde, dans un silence complet.
Vous avez aussi, je suppose, un message à adresser à tout le personnel de l’hôpital de Panzi, où vous travaillez, votre hôpital ?
C’est un personnel qui se donne corps et âme, qui fait son travail avec amour. Et je pense que le message que je donne à tout le personnel de l’hôpital de Panzi, est de continuer à répondre à la haine par l’amour. Je crois que c’est seulement l’amour qui peut vaincre la haine. Et donc, tous ceux qui commettent des actes barbares sur les malades que nous soignons, commencent à le faire sur eux-mêmes. Je crois qu’il ne faut pas lâcher. Il ne faut pas propager le message de haine. Il faut plutôt continuer à aimer. C’est seulement l’amour qui peut nous affranchir du combat que nous menons contre la violence, contre la haine.
Et justement, dans ce cadre-là, vous espérez retourner à vos activités à Bukavu le plus vite possible ?
En partant déjà, j’avais des malades qui sont venus chez moi. Et c’est très pénible de les avoir abandonnés. Quand je les ai vus en train de pleurer, j’ai pleuré avec eux. Et je dois dire que je suis avec eux. J’ai besoin de ce repli, mais je suis tout à fait avec eux. Dès que possible, je serai avec eux.
http://www.rfi.fr/afrique/20121101-docteur-denis-mukwege-RDC-viols-Bukavu-massacres-tuerie-femmes
Le docteur Denis Mukwege.
AFPPar Guillaume Thibault
Primé pour son action en faveur des femmes violées en RDC, Denis Mukwege, gynécologue obstétricien, et dirigeant l’hôpital Panzi, à Bukavu, dans l’est de la RDC, à été contraint, suite à une tentative d’assassinat, de se réfugier à l’étranger. Au micro de RFI, il revient sur les circonstances de cette tentative, et rappelle la nécessité de venir en aide à la population, première victime de ces massacres.
Denis Mukwege, vous êtes, pour le moment, docteur réfugié à l’étranger. Comment allez-vous ?
Je me porte bien. Cela prend du temps, mais je me porte bien. Je crois que c’était très dur. Mais je suis avec mon épouse et mes enfants, je sens que je me rétablis progressivement.
Quel souvenir avez-vous de cette tentative d’assassinat – on peut le dire – à Bukavu ?
C’était un moment très, très difficile. Cela s’est passé très rapidement, en trois phases. La première phase c’est que les agresseurs ont maîtrisé d’abord toutes les personnes qui étaient à l’extérieur de la maison. Et dans la maison, donc, ils sont entrés. Ils ont maîtrisé les enfants. Ils m’attendaient à l’entrée, et quand j’avais klaxonné, c’est eux qui ont ouvert la porte et m’ont cueilli rapidement.
La deuxième phase, c’était de pouvoir partir après nous avoir forcés. Ils ont récupéré les clés de ma voiture. C’est à ce moment-là qu’ils ont commis l’irréparable. D’abord en me braquant, et puis après, quand mon gardien avait crié, ils se sont retournés. En fait, ils l’ont achevé à bout portant. Je suis tombé par terre. La suite était très rapide. Ils ont pu s’échapper avec le véhicule.
Et justement, à ce moment-là, docteur, vous vous cachez ?
Là vraiment, ils ont tiré. On a trouvé six douilles. Mais moi, j’avais l’impression qu’il y avait des coups, qu’ils avaient tiré vers la sentinelle. La suite, je ne peux pas vous dire. J’étais hors de moi-même.
Est-ce que vous avez souvenir de la tenue que portaient vous agresseurs ?
Ils étaient en tenue civile. Mais je pense que leur opération a été faite avec professionnalisme et rapidité. Ce sont des tueurs professionnels.
Est-ce que des gens vous en voulaient ou est-ce que vous vous sentiez menacé ?
Je n’ai pas vraiment de problèmes avec les gens. Je n’avais pas un système de protection spéciale. Je n’ai de problèmes avec personne.
Vous demandez que toute la lumière soit faite sur cette agression, qu’une enquête soit menée ?
En ce moment, je pense beaucoup. Si moi, j’ai été agressé en pleine ville, dans un quartier sécurisé, je crois que ma pensée va beaucoup plus à toutes les femmes qui sont à l’intérieur et qui subissent ce que j’ai subi, tous les jours. Donc finalement, j’ai pu réaliser que leur situation est très difficile. Et même plus difficile que je ne le pensais, puisque si cela se passe comme ça, en pleine ville, à dix-neuf heures, je peux imaginer que toutes les personnes qui sont sans défense et sans protection sont, en fait, à la merci de toutes les bandes armées.
Et je crois que ça devient périlleux. On ne peut pas continuer à assister impuissant aux massacres, aux tueries des innocents. Ma sécurité, c’est une bonne chose. Mais je crois qu’il faut une sécurité pour toute la population. Elle a droit à cette sécurité. Les responsables doivent prendre les responsabilités avec le sérieux qu’il faut.
Justement, docteur, mercredi 31 octobre était organisé à Bukavu, chez vous, « une ville morte », pour dénoncer cette insécurité, ces violences. Je suppose que d’où vous êtes, vous y avez pensé.
Je crois que « leur expression » doit être écoutée par les autorités nationales, par la communauté internationale. C’est impensable que pendant seize ans, un peuple soit meurtri de cette façon, au vu et au su de tout le monde, dans un silence complet.
Vous avez aussi, je suppose, un message à adresser à tout le personnel de l’hôpital de Panzi, où vous travaillez, votre hôpital ?
C’est un personnel qui se donne corps et âme, qui fait son travail avec amour. Et je pense que le message que je donne à tout le personnel de l’hôpital de Panzi, est de continuer à répondre à la haine par l’amour. Je crois que c’est seulement l’amour qui peut vaincre la haine. Et donc, tous ceux qui commettent des actes barbares sur les malades que nous soignons, commencent à le faire sur eux-mêmes. Je crois qu’il ne faut pas lâcher. Il ne faut pas propager le message de haine. Il faut plutôt continuer à aimer. C’est seulement l’amour qui peut nous affranchir du combat que nous menons contre la violence, contre la haine.
Et justement, dans ce cadre-là, vous espérez retourner à vos activités à Bukavu le plus vite possible ?
En partant déjà, j’avais des malades qui sont venus chez moi. Et c’est très pénible de les avoir abandonnés. Quand je les ai vus en train de pleurer, j’ai pleuré avec eux. Et je dois dire que je suis avec eux. J’ai besoin de ce repli, mais je suis tout à fait avec eux. Dès que possible, je serai avec eux.
http://www.rfi.fr/afrique/20121101-docteur-denis-mukwege-RDC-viols-Bukavu-massacres-tuerie-femmes
Jim KK
Re: Le Dr. Mukwege agressé à Bukavu
Content de te revoir Satya Okoma tres rareSatya a écrit:
première conference de presse du Dr mukwege après sa tentative d’assassinat :
http://www.bakolostates.com/v2.1.12/singleview.php?id=161
Admin- Admin
Re: Le Dr. Mukwege agressé à Bukavu
LE 24 NOVEMBRE 1965 HAUT COMMANDEMENT MILITAIRE EBIMISAKI LOKUTA YA BA POLITICIENS ALORS QUE DEVONS ATTENDRE DU 24 NOVEMBRE 2012? UN AUTRE HAUT COMMANDEMENT TUTSIPHONE
Invité- Invité
Re: Le Dr. Mukwege agressé à Bukavu
David,
Je crois avoir repondu aux questions qui sont posées par la tres professionnelle Colette Braekman, c'est une journaliste chevronnée qui sait ce que faire un article objectif veut dire. Elle n'est pas en train d'accuser Kabila comme vous autres le faites, elle pose plutot des constacts sur la table afin d'allumer le debat, sans avoir la toge d'un procureur ou la certitude d'un enqueteur...
Elle n'est pas aussi tordue pour conclure que c'est parce que Kabila n'a jamais reçu Mukwenge en audience et qu'il a refusé de de rendre dans des salles reservées aux femmes violées qu'il est á la base du tentative d'assassinat de Mukwenge ou encore qu'il collabore avec les rwandais...
Kabila, comme j'ai deja ecrit, en plus de ne pas etre un grand parleur, c'est un timide; il n'est pas du genre á aller visionner des blessures vaginaux des femmes violées.la plupart de gens qui le font sont par essence des pervers...
Quant á Mukwenge, faut savoir que ce n'est pas seuleument un medecin, c'est un homme d'affaire avisé: si on etait en français, la justice se serait deja interesser á lui pour savoir qu'est ce qu'il fait de milliers de containaires (40 pieds) des medicaments en tous genres, equipements et autres dons en especes qu'il recoit de facon continue...Reparer les femmes ne peut pas justifier que l'on s'enrichisse sur leurs dos ou c'est devenu un pretexte pour tisser une toile mafieuse.
L'avocat de Mobutu
Je crois avoir repondu aux questions qui sont posées par la tres professionnelle Colette Braekman, c'est une journaliste chevronnée qui sait ce que faire un article objectif veut dire. Elle n'est pas en train d'accuser Kabila comme vous autres le faites, elle pose plutot des constacts sur la table afin d'allumer le debat, sans avoir la toge d'un procureur ou la certitude d'un enqueteur...
Elle n'est pas aussi tordue pour conclure que c'est parce que Kabila n'a jamais reçu Mukwenge en audience et qu'il a refusé de de rendre dans des salles reservées aux femmes violées qu'il est á la base du tentative d'assassinat de Mukwenge ou encore qu'il collabore avec les rwandais...
Kabila, comme j'ai deja ecrit, en plus de ne pas etre un grand parleur, c'est un timide; il n'est pas du genre á aller visionner des blessures vaginaux des femmes violées.la plupart de gens qui le font sont par essence des pervers...
Quant á Mukwenge, faut savoir que ce n'est pas seuleument un medecin, c'est un homme d'affaire avisé: si on etait en français, la justice se serait deja interesser á lui pour savoir qu'est ce qu'il fait de milliers de containaires (40 pieds) des medicaments en tous genres, equipements et autres dons en especes qu'il recoit de facon continue...Reparer les femmes ne peut pas justifier que l'on s'enrichisse sur leurs dos ou c'est devenu un pretexte pour tisser une toile mafieuse.
L'avocat de Mobutu
King David a écrit:L'avocat de Mobutu a écrit:David,
Vous croyez argumenter en alignant des noms sans nous dire quel interet a Kabila dans la mort de de tous ces inconnus,si ses adversaires les plus redoutables sont encore en vie...
L'avocat de MobutuKing David a écrit:L'avocat de Mobutu a écrit:
Personne n'a interet á tuer Mukuenge parce autant son action sert l'action diplomatique de la RDC,
L'avocat de Mobutu
Le seul à n’avoir jamais reçu en audience particulière l’un des plus connus des Congolais est le président Kabila, qui, à plusieurs reprises, a cependant visité l’hôpital de Panzi et fait des dons privés à certaines de ses sections, dont la maternité, tout en refusant de se rendre dans les salles réservées aux femmes victimes de violences sexuelles. C’est que le Docteur Mukwege ne dérange pas seulement les voisins du Congo et en particulier le Rwanda, considéré comme la matrice de la violence qui déferle sur la région depuis 1994. Il dérange aussi le pouvoir de Kinshasa, qui, depuis les accords de paix conclus avec Kigali en 2009, aurait voulu faire croire que la région allait retrouver la paix et faisait preuve d’un optimisme que les populations locales ne partageaient guère.
http://blog.lesoir.be/colette-braeckman/
L'avocat de Mobutu
Re: Le Dr. Mukwege agressé à Bukavu
Déjà en juillet 2011 le DR Mukwege dénonçait les violences sexuelles subies par les femmes congolaises dans les Kivus et pendant ce temps, le président Kabila et son gouvernement niaient la réalité et prétendaient même que le Général tutsi Bosco ntangana et le CNDP/M23 étaient nécessaires pour la paix.
Au moins aujourd'hui le sujet n'est plus Taboo
Au moins aujourd'hui le sujet n'est plus Taboo
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Re: Le Dr. Mukwege agressé à Bukavu
RDC : les femmes du Sud-Kivu réclament le retour du docteur Mukwege
Des femmes regroupées au sein du « Caucus des femmes du Sud Kivu pour la paix » réclament le retour du docteur Denis Mukwege dans la province. Dans une déclaration faite samedi 3 novembre à Bukavu, elles déclarent que son retour est impérieux parce que les femmes victimes de violences sexuelles se sentent abandonnées à leur triste sort. Victime d’une agression à son domicile, le 25 octobre, Dr Mukwege est mondialement réputé pour les soins qu’il administre aux femmes victimes des violences sexuelles dans son hôpital de Panzi.
« Nous lançons un appel. Il faut que le Dr. Mukwege rentre. Nous demandons à ceux qui ont l’obligation de le sécuriser de le faire. Il faut que sa sécurité soit garantie », a affirmé la secrétaire exécutif du caucus des femmes du Sud-Kivu, Solange Lwashiga.
Le Dr. Mukwegw et sa famille on été évacués de Bukavu samedi 27 octobre après l’attaque de son domicile jeudi par des hommes armés. Ils se trouvent actuellement à Stockholm, en Suède.
Concernant l’attaque dont il a été victime, les femmes du Sud-Kivu encouragent les enquêtes mais exigent que « les résultats ne soient pas mis dans le même panier que d’autres actes criminels menés contre des défenseurs des Droits de l’homme qui n’ont jamais abouti à la vérité ».
Elles estiment que l’absence du Dr. Mukwege dans la province est une façon de maltraiter les femmes victimes des violences sexuelles.
« On ne doit pas continuer à maltraiter les femmes comme ça, alors que ces femmes trouvent un de soulagement grâce aux soins du Dr Mukwege. Ces femmes ne doivent pas rester dans un état de victimisation. Elles doivent être des actrices de paix », a ajouté Solange Lwashiga.
Gynécologue de formation, le Dr. Mukwege a crée l’Hôpital de Panzi, à Bukavu dans le but de prendre en charge gratuitement les femmes victimes des violences sexuelles. Ce traitement combine une prise en charge psychologique, médicale et sociale, afin de les aider à surmonter les traumatismes auxquels font face de nombreuses victimes des violences sexuelles après leur agression. Son hôpital s’est spécialisée notamment dans la réparation des fistules vaginales.
La fistule est en fait la constitution d’une communication anormale entre la vessie et le vagin ou entre la vessie et le rectum survenant à la suite de viol ou de violence sexuelle. Incapables de rester sèches, beaucoup de femmes souffrent des fistules endurent l’humiliation constante de dégager une odeur d’urine et/ou d’excréments. Il peut aussi leur être difficile de marcher parce que les nerfs des membres inférieurs sont atteints.
Au Nord et Sud-Kivu, des régions déchirées par la guerre, la violence sexuelle est utilisée comme arme de guerre, perpétrée de façon stratégique, afin d’instaurer un climat de terreur et prendre le contrôle de zones riches en minerais.
Des femmes regroupées au sein du « Caucus des femmes du Sud Kivu pour la paix » réclament le retour du docteur Denis Mukwege dans la province. Dans une déclaration faite samedi 3 novembre à Bukavu, elles déclarent que son retour est impérieux parce que les femmes victimes de violences sexuelles se sentent abandonnées à leur triste sort. Victime d’une agression à son domicile, le 25 octobre, Dr Mukwege est mondialement réputé pour les soins qu’il administre aux femmes victimes des violences sexuelles dans son hôpital de Panzi.
« Nous lançons un appel. Il faut que le Dr. Mukwege rentre. Nous demandons à ceux qui ont l’obligation de le sécuriser de le faire. Il faut que sa sécurité soit garantie », a affirmé la secrétaire exécutif du caucus des femmes du Sud-Kivu, Solange Lwashiga.
Le Dr. Mukwegw et sa famille on été évacués de Bukavu samedi 27 octobre après l’attaque de son domicile jeudi par des hommes armés. Ils se trouvent actuellement à Stockholm, en Suède.
Concernant l’attaque dont il a été victime, les femmes du Sud-Kivu encouragent les enquêtes mais exigent que « les résultats ne soient pas mis dans le même panier que d’autres actes criminels menés contre des défenseurs des Droits de l’homme qui n’ont jamais abouti à la vérité ».
Elles estiment que l’absence du Dr. Mukwege dans la province est une façon de maltraiter les femmes victimes des violences sexuelles.
« On ne doit pas continuer à maltraiter les femmes comme ça, alors que ces femmes trouvent un de soulagement grâce aux soins du Dr Mukwege. Ces femmes ne doivent pas rester dans un état de victimisation. Elles doivent être des actrices de paix », a ajouté Solange Lwashiga.
Gynécologue de formation, le Dr. Mukwege a crée l’Hôpital de Panzi, à Bukavu dans le but de prendre en charge gratuitement les femmes victimes des violences sexuelles. Ce traitement combine une prise en charge psychologique, médicale et sociale, afin de les aider à surmonter les traumatismes auxquels font face de nombreuses victimes des violences sexuelles après leur agression. Son hôpital s’est spécialisée notamment dans la réparation des fistules vaginales.
La fistule est en fait la constitution d’une communication anormale entre la vessie et le vagin ou entre la vessie et le rectum survenant à la suite de viol ou de violence sexuelle. Incapables de rester sèches, beaucoup de femmes souffrent des fistules endurent l’humiliation constante de dégager une odeur d’urine et/ou d’excréments. Il peut aussi leur être difficile de marcher parce que les nerfs des membres inférieurs sont atteints.
Au Nord et Sud-Kivu, des régions déchirées par la guerre, la violence sexuelle est utilisée comme arme de guerre, perpétrée de façon stratégique, afin d’instaurer un climat de terreur et prendre le contrôle de zones riches en minerais.
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[b]“Le deuil, c’est pour la vie. Ca ne s’en va jamais, ça fait progressivement partie de vous, à chaque pas, à chaque souffle.”
Mathilde
Re: Le Dr. Mukwege agressé à Bukavu
On peut tjr envoyer le Docteur Kashala en attendant.
Mathilde a écrit:RDC : les femmes du Sud-Kivu réclament le retour du docteur Mukwege
Des femmes regroupées au sein du « Caucus des femmes du Sud Kivu pour la paix » réclament le retour du docteur Denis Mukwege dans la province. Dans une déclaration faite samedi 3 novembre à Bukavu, elles déclarent que son retour est impérieux parce que les femmes victimes de violences sexuelles se sentent abandonnées à leur triste sort. Victime d’une agression à son domicile, le 25 octobre, Dr Mukwege est mondialement réputé pour les soins qu’il administre aux femmes victimes des violences sexuelles dans son hôpital de Panzi.
« Nous lançons un appel. Il faut que le Dr. Mukwege rentre. Nous demandons à ceux qui ont l’obligation de le sécuriser de le faire. Il faut que sa sécurité soit garantie », a affirmé la secrétaire exécutif du caucus des femmes du Sud-Kivu, Solange Lwashiga.
Le Dr. Mukwegw et sa famille on été évacués de Bukavu samedi 27 octobre après l’attaque de son domicile jeudi par des hommes armés. Ils se trouvent actuellement à Stockholm, en Suède.
Concernant l’attaque dont il a été victime, les femmes du Sud-Kivu encouragent les enquêtes mais exigent que « les résultats ne soient pas mis dans le même panier que d’autres actes criminels menés contre des défenseurs des Droits de l’homme qui n’ont jamais abouti à la vérité ».
Elles estiment que l’absence du Dr. Mukwege dans la province est une façon de maltraiter les femmes victimes des violences sexuelles.
« On ne doit pas continuer à maltraiter les femmes comme ça, alors que ces femmes trouvent un de soulagement grâce aux soins du Dr Mukwege. Ces femmes ne doivent pas rester dans un état de victimisation. Elles doivent être des actrices de paix », a ajouté Solange Lwashiga.
Gynécologue de formation, le Dr. Mukwege a crée l’Hôpital de Panzi, à Bukavu dans le but de prendre en charge gratuitement les femmes victimes des violences sexuelles. Ce traitement combine une prise en charge psychologique, médicale et sociale, afin de les aider à surmonter les traumatismes auxquels font face de nombreuses victimes des violences sexuelles après leur agression. Son hôpital s’est spécialisée notamment dans la réparation des fistules vaginales.
La fistule est en fait la constitution d’une communication anormale entre la vessie et le vagin ou entre la vessie et le rectum survenant à la suite de viol ou de violence sexuelle. Incapables de rester sèches, beaucoup de femmes souffrent des fistules endurent l’humiliation constante de dégager une odeur d’urine et/ou d’excréments. Il peut aussi leur être difficile de marcher parce que les nerfs des membres inférieurs sont atteints.
Au Nord et Sud-Kivu, des régions déchirées par la guerre, la violence sexuelle est utilisée comme arme de guerre, perpétrée de façon stratégique, afin d’instaurer un climat de terreur et prendre le contrôle de zones riches en minerais.
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I demand respect, if I can't get it, I'll take it
et que celui qui n'a pas d'épée vende son vêtement et achète une épée. Luc 22:36
Hiro-Hito- Admin
Re: Le Dr. Mukwege agressé à Bukavu
Dr. Mukwege compte rentrer à Bukavu
« Bouleversés » par l’attentat qui a failli coûter la vie au médecin chef de l’hôpital de Panzi (Sud Kivu) le commissaire européen au développement Andris Pielbags et sa collègue chargée de l’aide humanitaire Kristalina Georgieva ont tenu à recevoir le Dr Denis Mukwege. Il se sont entretenus avec lui de la situation sécuritaire dans l’Est du Congo, déplorant l’existence de 650.000 déplacés et de nouvelles vagues de violences contre les femmes et promettant de délivrer une nouvelle tranche d’aide de 20 millions de dollars.
Quant au Docteur Mukwege, qui se remet progressivement du traumatisme causé par cette attaque à main armée survenue le 25 octobre à son domicile, dans l’un des lieux les plus sécurisés de Bukavu, ses pensées vont surtout aux femmes de son pays : «j’espère que la sécurité qui m’a été promise me permettra de rentrer au plus tôt… »Cette sécurité n’est cependant pas individuelle : « si en pleine ville un tel attentat a pu être commis, que faut il penser de la situation des femmes de Shabunda, de Mwenga et d’ailleurs ? C’est elles qu’il faut protéger en premier lieu. Comme on ne peut pas mettre un Casque bleu derrière chaque femme qui va aux champs, ce qu’il faut, c’est une réforme complète, globale, du système de sécurité congolais, afin de pouvoir agir de manière dissuasive… »C’est à ses compatriotes que le médecin s’adresse : «c’est aux Congolais qu’il appartient de sécuriser leur pays, de ne pas stigmatiser les femmes victimes de violences lorsqu’elles rentrent dans leur communauté. »
Soulignant que « toute aide, si modeste soit-elle, est la bienvenue », le médecin rappelle aussi « le courage des femmes qui, dotées de petites sommes, sont capables de se relancer et de prendre soin de leur famille. »
Quant aux auteurs de l’attentat qui a failli coûter lui la vie, le médecin est aussi perplexe qu’au premier jour : « tapis dans ma demeure, tenant mes filles en respect pour qu’elles se taisent, ces cinq hommes, en civil et lourdement armés, ont attendu mon retour durant une vingtaine de minutes, sans toucher à rien ni voler quoi que ce soit. Même le chauffeur qui a pris le volant de mon véhicule après m’avoir arraché les clefs s’est comporté en professionnel, réussissant à fuir en marche arrière ! Quant au tueur qui, après avoir abattu ma sentinelle, a tiré quatre coups de feu dans ma direction alors que j’étais couché au sol, il a attendu pour ce faire que ses compagnons soient tous embarqués dans la jeep. Lorsqu’ils ont démarré, alors que six douilles gisaient au sol, je ne croyais pas que j’étais encore vivant ! S’agît il de banditisme ou d’un acte de pure terreur ? Comment le savoir ? Sans même interroger les témoins du drame, les autorités chargées de l’enquête se sont contentées d’envoyer deux policiers sur les lieux… » Il a conclu : « désormais je comprends mieux la détresse des femmes dans les régions perdues… »
http://blog.lesoir.be/colette-braeckman/2012/11/06/le-dr-mukwege-compte-rentrer-a-bukavu/
« Bouleversés » par l’attentat qui a failli coûter la vie au médecin chef de l’hôpital de Panzi (Sud Kivu) le commissaire européen au développement Andris Pielbags et sa collègue chargée de l’aide humanitaire Kristalina Georgieva ont tenu à recevoir le Dr Denis Mukwege. Il se sont entretenus avec lui de la situation sécuritaire dans l’Est du Congo, déplorant l’existence de 650.000 déplacés et de nouvelles vagues de violences contre les femmes et promettant de délivrer une nouvelle tranche d’aide de 20 millions de dollars.
Quant au Docteur Mukwege, qui se remet progressivement du traumatisme causé par cette attaque à main armée survenue le 25 octobre à son domicile, dans l’un des lieux les plus sécurisés de Bukavu, ses pensées vont surtout aux femmes de son pays : «j’espère que la sécurité qui m’a été promise me permettra de rentrer au plus tôt… »Cette sécurité n’est cependant pas individuelle : « si en pleine ville un tel attentat a pu être commis, que faut il penser de la situation des femmes de Shabunda, de Mwenga et d’ailleurs ? C’est elles qu’il faut protéger en premier lieu. Comme on ne peut pas mettre un Casque bleu derrière chaque femme qui va aux champs, ce qu’il faut, c’est une réforme complète, globale, du système de sécurité congolais, afin de pouvoir agir de manière dissuasive… »C’est à ses compatriotes que le médecin s’adresse : «c’est aux Congolais qu’il appartient de sécuriser leur pays, de ne pas stigmatiser les femmes victimes de violences lorsqu’elles rentrent dans leur communauté. »
Soulignant que « toute aide, si modeste soit-elle, est la bienvenue », le médecin rappelle aussi « le courage des femmes qui, dotées de petites sommes, sont capables de se relancer et de prendre soin de leur famille. »
Quant aux auteurs de l’attentat qui a failli coûter lui la vie, le médecin est aussi perplexe qu’au premier jour : « tapis dans ma demeure, tenant mes filles en respect pour qu’elles se taisent, ces cinq hommes, en civil et lourdement armés, ont attendu mon retour durant une vingtaine de minutes, sans toucher à rien ni voler quoi que ce soit. Même le chauffeur qui a pris le volant de mon véhicule après m’avoir arraché les clefs s’est comporté en professionnel, réussissant à fuir en marche arrière ! Quant au tueur qui, après avoir abattu ma sentinelle, a tiré quatre coups de feu dans ma direction alors que j’étais couché au sol, il a attendu pour ce faire que ses compagnons soient tous embarqués dans la jeep. Lorsqu’ils ont démarré, alors que six douilles gisaient au sol, je ne croyais pas que j’étais encore vivant ! S’agît il de banditisme ou d’un acte de pure terreur ? Comment le savoir ? Sans même interroger les témoins du drame, les autorités chargées de l’enquête se sont contentées d’envoyer deux policiers sur les lieux… » Il a conclu : « désormais je comprends mieux la détresse des femmes dans les régions perdues… »
http://blog.lesoir.be/colette-braeckman/2012/11/06/le-dr-mukwege-compte-rentrer-a-bukavu/
Jim KK
Re: Le Dr. Mukwege agressé à Bukavu
La Monusco s'exprime la tentative d'assassinat du Dr Denis Mukwege
djino
Re: Le Dr. Mukwege agressé à Bukavu
djino a écrit:La Monusco s'exprime la tentative d'assassinat du Dr Denis Mukwege
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[b]“Le deuil, c’est pour la vie. Ca ne s’en va jamais, ça fait progressivement partie de vous, à chaque pas, à chaque souffle.”
Mathilde
Re: Le Dr. Mukwege agressé à Bukavu
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Mathilde
Re: Le Dr. Mukwege agressé à Bukavu
Collette Braeckman publie : «L’homme qui répare les femmes. Violences sexuelles au Congo: le combat du docteur Mukwege» !
djino
Re: Le Dr. Mukwege agressé à Bukavu
Conclusion du Livre :
"«Le viol n’est pas une constante à la culture congolaise. C’est quelque chose qui a été inoculé au Congo. C’est un phénomène nouveau au Congo. C’est comme une épidémie et le Congolais n’est pas plus disposé aux chaos, aux désordres et aux violences que le peuple Rwandais , Ougandais que n’importe quel autre».
"«Le viol n’est pas une constante à la culture congolaise. C’est quelque chose qui a été inoculé au Congo. C’est un phénomène nouveau au Congo. C’est comme une épidémie et le Congolais n’est pas plus disposé aux chaos, aux désordres et aux violences que le peuple Rwandais , Ougandais que n’importe quel autre».
djino
Re: Le Dr. Mukwege agressé à Bukavu
Kieeeee....Mon frère Jeannot Kabuya ozali danger osepelisi ngai makasi!! INGETA!!!!
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Mathilde
Re: Le Dr. Mukwege agressé à Bukavu
Kie kie kie Jeannot kabuya ngayi na yebaka te que ozalaka sonzo;)
Kia kia kia o kangami Louis le voleur na nzoto on dirait kaka kombo na yo sonzo kie kie kie. Ingetaaaaaa ... Eh bongo bato ya Kabila na ya masese ba monanaka te na ba bisika y boye mpo na nini?
Kia kia kia o kangami Louis le voleur na nzoto on dirait kaka kombo na yo sonzo kie kie kie. Ingetaaaaaa ... Eh bongo bato ya Kabila na ya masese ba monanaka te na ba bisika y boye mpo na nini?
Invité- Invité
Re: Le Dr. Mukwege agressé à Bukavu
okapi79 a écrit:Kie kie kie Jeannot kabuya ngayi na yebaka te que ozalaka sonzo;)
Kia kia kia o kangami Louis le voleur na nzoto on dirait kaka kombo na yo sonzo kie kie kie. Ingetaaaaaa ... Eh bongo bato ya Kabila na ya masese ba monanaka te na ba bisika y boye mpo na nini?
Et la jeune femme aboyi mbote ya c fd de Michel.....
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Mathilde
Re: Le Dr. Mukwege agressé à Bukavu
Le Dr Mukwege met en cause la responsabilité des autorités congolaises
Le gynécologue congolais Denis Mukwege, réputé pour son aide aux femmes violées et qui a trouvé refuge en Belgique après une tentative d'assassinat fin octobre à Bukavu (est de la République démocratique du Congo), a appelé mercredi les autorités de Kinshasa à restaurer leur autorité sur l'est de leur territoire pour mettre fin aux violences, notamment sexuelles qui touchent les femmes.
14 Novembre 2012 20h10
http://www.rtl.be/info/monde/international/921678/le-dr-mukwege-met-en-cause-la-responsabilite-des-autorites-congolaises
Le gynécologue congolais Denis Mukwege, réputé pour son aide aux femmes violées et qui a trouvé refuge en Belgique après une tentative d'assassinat fin octobre à Bukavu (est de la République démocratique du Congo), a appelé mercredi les autorités de Kinshasa à restaurer leur autorité sur l'est de leur territoire pour mettre fin aux violences, notamment sexuelles qui touchent les femmes.
14 Novembre 2012 20h10
http://www.rtl.be/info/monde/international/921678/le-dr-mukwege-met-en-cause-la-responsabilite-des-autorites-congolaises
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Re: Le Dr. Mukwege agressé à Bukavu
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Mathilde
Re: Le Dr. Mukwege agressé à Bukavu
Colette Braeckman
L'Homme qui répare les femmes
Violences sexuelles au Congo. Le combat du docteur Mukwege
Depuis 15 ans, Denis Mukwege, médecin chef à l’hôpital de Panzi (Sud Kivu), soigne gratuitement des femmes victimes de violences sexuelles. Au cours des 10 dernières années, il a ainsi prodigué des soins à plus de 30 000 femmes. Vagins détruits et âmes mortes. Le gynécologue recoud et répare.
Denis Mukwege parcourt le monde pour témoigner de la souffrance de ces femmes et dénoncer les viols massifs, véritables armes de guerre. Pour son combat, il a reçu de nombreux prix, dont celui des droits de l’homme des Nations unies en 2008, ainsi que le prix international Roi Baudouin, en 2011.
LE DR MUKWEGE A ÉCHAPPÉ À UNE TENTATIVE D'ASSASSINAT…
link
Re: Le Dr. Mukwege agressé à Bukavu
Ce docteur a travaille' aux aides des femmes violees', je le respecte. Mais ce n'est pas une personne sur qu'il faut fonder l'espoir. Il reflete le prototype congolais que nous connaissons. Je n'avais pas aime' du tout ses interventions vis a` vis des combattants lors d'une conference en Belgique je crois. A` l'heure actuelle, quelqu'un comme moi, je ne me permettrais jamais s'attaquer ou se moquer directement ou indirectement aux combattants devant le micro et la camera. Si j'ai des differents en terme de vision ou d'option, je prefererais le faire derriere les portes et non en public devant les occidentaux, parce que dans certaines circonstances comme la notre il faut presenter que nous sommes main dans la main malgre' nos divergences et non faire(comme lui il faisait pendant cette conference) que les combattants combattent en l'air et n'amenent rien de solution au pays, tandis que moi le docteur je combats en faisant quelque chose. Ba malice wana de sa part tolingi yango te.
regarder et bien voir
Re: Le Dr. Mukwege agressé à Bukavu
Dr MUKWEGE avec Kerry just'avant sa nomination ! Ingéta !
Hillary CLINTON : Tumeur au cerveau !!!
Les signes du temps , lisons les ....
Hillary CLINTON : Tumeur au cerveau !!!
Les signes du temps , lisons les ....
djino
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