LA PENSEE DU JOUR.......!

hihihihihihi I like that quote!  

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Josée Likembe
Nos corps, leur champ de bataille

Ils nous trouvent dans les champs lorsque nous travaillons la terre.
Ils nous trouvent près de la rivière lorsque nous puisons de l'eau.
Ils nous trouvent dans la forêt lorsque nous cherchons du bois.

Ce sont des bandits, rebelles ou militaires sans noms et sans visages.
Ils violent nos corps, volent nos âmes, arrachent nos triples et puis nous jettent tels des déchets.

Nous sommes les rébus de leur guerres. Nous sommes ces visages silencieuses au bord de la route.
Certains jours on nous a appelé :" Mère, soeurs, femmes ou fille".

Nous sommes celles que leur mari ont rejeté.
Nous sommes gâchées, souillées par d'autres hommes , salit, repoussées, ignorées, abandonnées, détruites.

Nous sommes les champs de batailles.
Les munitions dans une guerre invisible dont personne ne parle, dont nous seule payons le prix.

A travers le monde, dans tout les conflits armés, femmes, filles et enfants sont soumis à une terreur inimaginable. Non par la peur des balles ou des bombes mais par la menace de violence sexuelle. Une arme de guerre qui se propage comme une épidémie.

Selon l'organisation mondiale de la santé, les violences sexuelles, tuent et mutilent plus de femmes entre 10 et 50 ans que les effets cumulés du cancer, paludisme, des accidents de la route.

Des viols de masse en temps de guerres ont été documenté en Bosnie, au Rwanda, au Soudan et en RDC . Pourtant le viol et tous les autres formes de violences sexuelles n'ont pas reçu l'attention humanitaire et médiatique requises.

Ensemble avec moi , crions haut et fort :

STOP AUX VIOLS AU CONGO

mongo elombe a écrit:Lue sur Facebook:


Josée Likembe
Nos corps, leur champ de bataille

Ils nous trouvent dans les champs lorsque nous travaillons la terre.
Ils nous trouvent près de la rivière lorsque nous puisons de l'eau.
Ils nous trouvent dans la forêt lorsque nous cherchons du bois.

Ce sont des bandits, rebelles ou militaires sans noms et sans visages.
Ils violent nos corps, volent nos âmes, arrachent nos triples et puis nous jettent tels des déchets.

Nous sommes les rébus de leur guerres. Nous sommes ces visages silencieuses au bord de la route.
Certains jours on nous a appelé :" Mère, soeurs, femmes ou fille".

Nous sommes celles que leur mari ont rejeté.
Nous sommes gâchées, souillées par d'autres hommes , salit, repoussées, ignorées, abandonnées, détruites.

Nous sommes les champs de batailles.
Les munitions dans une guerre invisible dont personne ne parle, dont nous seule payons le prix.

A travers le monde, dans tout les conflits armés, femmes, filles et enfants sont soumis à une terreur inimaginable. Non par la peur des balles ou des bombes mais par la menace de violence sexuelle. Une arme de guerre qui se propage comme une épidémie.

Selon l'organisation mondiale de la santé, les violences sexuelles, tuent et mutilent plus de femmes entre 10 et 50 ans que les effets cumulés du cancer, paludisme, des accidents de la route.

Des viols de masse en temps de guerres ont été documenté en Bosnie, au Rwanda, au Soudan et en RDC . Pourtant le viol et tous les autres formes de violences sexuelles n'ont pas reçu l'attention humanitaire et médiatique requises.

Ensemble avec moi , crions haut et fort :

STOP AUX VIOLS AU CONGO

  

Cavalier a écrit:

  

So True !

Zik a écrit:"L'amour, que nous avons tant de mal à définir, est la seule expérience humaine véritablement réelle et durable. Il est le
contraire de la peur. Il est l'essence de toute relation, le coeur de la créativité, le pouvoir des pouvoirs. Il est ce qu'il y a de plus complexe dans l'être humain. Il est la source du bonheur, l'énergie qui nous relie les uns aux autres et qui vit en nous..
Enfin, c'est la seule chose que l'on peut vraiment donner. Dans un monde d'illusions, de rêves et de vide, l'amour est source de vérité."
Elisabeth Kubler-Ross

C'est pour toi Thld...

 

Thanks Zik.