++ CHRISTOPHER NGOY EST LIBRE ++
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++ CHRISTOPHER NGOY EST LIBRE ++
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Festival des sorties des prisonniers.. 🇨🇩
"Dans le cadre de la décrispation du climat politique et en guise de test de sincérité".
Alexis Thambwe Mwamba a déclaré avoir repris la liste des prisonniers lui remises par une délégation de l'Union Européenne.
Parmi les bénéficiaires de cette mesure, figurent Christopher Ngoy et les deux militants Filimbi Yves Makwambala et Fred Bauma (photo).
"Ne seront pas libérés les prisonniers impliqués dans le viol et l'escroquerie", tels que Jean-Claude Muyambo et Eugene Diomi Ndongala, qui ne seront peut-être pas libérés, meme si le ministre de la justice ne les a pas cités.
La levée de mesure d'interdiction d'émettre est levée pour Canal Kin (Jean-Pierre Bemba) et Canal Futur (Vital Kamerhe).
À suivre
Mathilde
Re: ++ CHRISTOPHER NGOY EST LIBRE ++
Le ministre de la justice vient d'annoncer la libération des prisonniers dits d'opinion et la réouverture des medias proches de l'opposition.
"Dans le cadre de la décrispation du climat politique et en guise de test de sincérité".
Pour voir la liste : http://goo.gl/Op1OZG
http://www.voiceofcongo.net/rdc-kabila-libere-des-prisonniers-dopinion-et-reouverture-des-medias-proches-de-lopposition
"Dans le cadre de la décrispation du climat politique et en guise de test de sincérité".
Pour voir la liste : http://goo.gl/Op1OZG
http://www.voiceofcongo.net/rdc-kabila-libere-des-prisonniers-dopinion-et-reouverture-des-medias-proches-de-lopposition
Mathilde
Re: ++ CHRISTOPHER NGOY EST LIBRE ++
MANIFESTEMENT M TAMBWE NE MAITRISE PAS NI LE FOND NI LA FORME DU DOSSIER DES PRISONNIERS POLITIQUES AU POINT DE PUBLIER CE 19/08/2016 UNE LISTE DE 24 PERSONNES A LIBERER ALORS QUE SEULEMENT 4 DANS CETTE LISTE SONT ENCORE UN PRISON, LES AUTRES ETANT DES PERSONNES LIBEREES DEPUIS LONGTEMPS! UNE ENIEME GESTICULATION POUR ESSAYER D ELUDER LE MAINTIEN EN PRISON DES LEADERS DE L OPPOSITION Q LE POUVOIR REFUSE DE LIBERER : DIOMI NDONGALA MUYAMBO ET AUSSI KATUMBI
LISEZ ET SCNADALISEZ-VOUS: A SOULIGNER QUE CE DOC EST SIGNE PAR LE MINISTRE DE LA JUSTICE EN PERSONNE QUI MANIFESTEMENT NE SAIT QUI EST EN PRISON ET QUI NE L EST PAS.....
KABILA VEUT DECRISPER LA SITUATION POLITIQUE EN LIBERANT DES PERSONNES « DEJA LIBRES » ALORS QUE LES FIGURES PHARE DE L’ OPPOSITION RESTENT EN PRISON
par webmaster le 19 août 2016
Les observateurs avertis de la vie politiques congolaise ont été surpris de lie la liste de prisonniers « libérés » – on ne sait ni quand ni comment – sous la signature du ministre Tambwe Mwamba, Ministre de la Justice.
Sur les 25 noms repris dans la dite liste de personne qui dont être libérés, seulement 4 sont encore en prison, les autres 21 ont tous été libérés depuis longtemps!
Il est difficilement compréhensible qu’un gouvernement ignore superbement la liste des prisonniers politiques et fasse semblent d’en libérer un certain nombre, parmis eux, alors que le prisonniers politiques « phare » restent en prison – Eugène Diomi Ndongala, Muyambo, etc. et la presque totalité de ceux qui sont présentés en instance d’être libérés, à titre de mesure de « décrispation politique » sont, en réalité, des personnes libres depuis longtemps…
Aux lecteurs d’en juger
https://rassop.org/2016/08/19/kabila-veut-decrisper-la-situation-politique-en-liberant-des-personnes-deja-libres-alors-que-les-figures-phare-de-l-opposition-restent-en-prison-par-webmaster-le-19-ao/
KOTA
Re: ++ CHRISTOPHER NGOY EST LIBRE ++
"RDC : décrispation politique sélective à Kinshasa
° http://afrikarabia.com/wordpress/rdc-decrispation-politique-selective-a-kinshasa/
Le président Joseph Kabila a ordonné la libération de 24 prisonnier politiques et la réouverture de deux médias proches de l’opposition. Un geste qui bénéficie à la société civile, à l’UNC et au MLC, mais semble oublier l’opposant Moïse Katumbi.
Face à une crise politique majeure, Joseph Kabila lâche du lest. Accusé pour ses opposants de retarder volontairement l’élection présidentielle de novembre pour se maintenir au pouvoir au-delà de son mandat, le président Kabila vient d’ordonner par la voix de son ministre de la Justice, la libération de 24 prisonniers politiques. Parmi eux, le célèbre défenseur des droits de l’homme, Christopher Ngoyi, arrêté pendant les violentes manifestations contre la loi électorale de janvier 2015. Suivent les militants des mouvements citoyens, Filimbi et la Lucha, Fred Bauma, Yves Makwambala et Jean-Marie Kalonji. Des jeunes accusés de « complot contre le chef de l’Etat » alors qu’ils organisaient une conférence sur les alternances démocratiques en Afrique à Kinshasa.
Ouverture en trompe l’oeil ?
Toujours en signe « d’apaisement », le ministre de la Justice a annoncé la réouverture de deux médias d’opposition : CCTV, proche de Jean-Pierre Bemba et Canal Futur de Vital Kamerhe. Les Nations unies avaient dénoncé à nombreuses reprises le rétrécissement de l’espace démocratique en RD Congo, le harcèlement judiciaire contre des opposants et la fermeture de plusieurs médias d’opposition. Présentées comme un geste de « décrispation politique », ces libérations représentent pourtant une ouverture en trompe l’oeil. Du coté des prisonniers politiques, deux prisonniers sont absents de la liste : Eugène Diomi Ndongala, accusé de viol et proche de l’opposant historique Etienne Tshisekedi, derrière les barreaux depuis 2013 ; et Jean-Claude Muyambo, accusé d’escroquerie et proche de Moïse Katumbi, en prison depuis 2015. Autre « bizarrerie » de ses libérations annoncées par le ministre de la Justice, 20 prisonniers de la liste seraient déjà libres, selon plusieurs sources. Ce qui ramènerai le nombre des libérés de 24… à seulement 4. Plusieurs détenus liés à l’affaire trouble des « mercenaires » de Moïse Katumbi et de l’UNAFEC de Gabriel Kyungu sont également absents de la liste.
Dialogue politique moribond
Du côté des médias, les chaînes proches des opposants Moïse Katumbi et Gabriel Kyungu (TV Nyota et Mapendo) ne sont pas concernées par les réouvertures décrétées par le ministre de la Justice. Ce qui fait dire à certains observateurs que les gagnants de cette décrispation sont l’UNC de Vital Kamerhe et le MLC de Jean-Pierre Bemba, ignorant le camp Katumbi, dont 27 de ses proches sont toujours détenus. Ce geste d’ouverture intervient alors que le président Joseph Kabila tente depuis plusieurs mois de convoquer un dialogue avec l’opposition afin de régler la crise politique. Beaucoup voient dans ce dialogue une simple manoeuvre pour légitimer son maintient au pouvoir au-delà de son dernier mandat, le 19 décembre 2016. Le chef de l’Etat doit donc l’organiser au plus vite. Les principaux partis refusent un dialogue « made in Kabila » et prônent des discussions sous médiation avec un large panel d’internationaux. Mais depuis plusieurs semaines, des rumeurs courent sur un possible revirement de Vital Kamerhe et du MLC qui pourraient accepter finalement de se mettre autour de la table et de négocier. Des rumeurs jamais confirmées pour le moment. Cette décrispation vise-t-elle à apporter des gages de bonne volonté à l’UNC et au MLC, ou tout simplement à semer le trouble au sein de l’opposition ? Une chose est sûre, Joseph Kabila abat ses dernières cartes et tente de reprendre la main sur un dialogue politique moribond. Et le temps presse. Il lui reste moins de quatre mois avant la fin de son mandat."
"RD Congo : le gouvernement ordonne la libération de Fred Bauma, Christopher Ngoyi Mutamba et Yves Makwambala
° http://www.jeuneafrique.com/350510/societe/rd-congo-gouvernement-ordonne-liberation-de-fred-bauma-christopher-ngoyi-mutamba-yves-makwambala/
Le militant de Lucha, Fred Bauma, ainsi que Christopher Ngoyi Mutamba, Yves Makwambala et 21 autres personnes vont être remises en liberté sur décision du ministre congolais de la Justice, Alexis Thambwe Mwanba. Cette mesure dite de « décrispation politique » a été signée vendredi.(...)"
"RDC : Une amnistie qui ne passe pas
° http://www.lalibre.be/actu/international/rdc-une-amnistie-qui-ne-passe-pas-57b7825835704fe6c1dc22c9
INTERNATIONAL
Ce vendredi, le président de la République démocratique du Congo, Joseph Kabila, comme il l'avait annoncé voici quelques jours, a libéré des prisonniers politiques pour tenter de « décrisper » la tension politique en rencontrant une des demandes formulées par le Rassemblement de l'opposition.
Mais la liste des prisonniers concernés par ce « geste de bonne volonté » n'est pas vraiment du goût des opposants qui ne retrouvent pas dans cette liste, notamment, les noms de Diomi Ndongala et de de Jean-Claude Muyambo, deux prisonniers politiques incarcérés de longue date à Kinshasa.
Pour les membres du collectif pour la Lutte pour le Changement (Lucha), devenu un des symboles du combat contre la tentative de Joseph Kabila de se maintenir au pouvoir, ce geste présidentiel « n'est absolument pas satisfaisant », écrivent-ils dans un communiqué.
« Joseph Kabila se moque de nous », nous explique un membre de ce mouvement. « La liberté provisoire dont bénéficieront Fred Bauma et Yves Makwambala (deux figures centrales de ce mouvement) est une mesure carrément fantaisiste! Une cessation des poursuites serait mieux indiquée. Kabila a reconnu qu'on n'était pas des terroristes. De ce fait, toutes les accusations devraient tomber contre Yves et Fred. La liberté provisoire n'a donc pas de sens. Le pouvoir veut, par cette demi-mesure, les tenir en laisse en gardant la possibilité de rouvrir le dossier à tout moment.C'est évidemment tout à fait inacceptable »
L'opposition congolaise dans sa quasi totalité pointe un doigt accusateur en direction du ministre de la Justice, Alexis Thambwe. Pour la Lucha, ce ministre « n'a tout simplement pas respecté la parole du Chef de l'Etat. Joseph Kabila a donné sa parole d'honneur en promettant la libération de tous les membres de la Lucha à Kinshasa. Or, nous constatons que seuls deux ont été libérés et encore de manière provisoire, tandis que 4 autres croupissent toujours dans les geôles de Kinshasa. ».
Des libérés... déjà libérés
Autre élément à charge du ministre de la Justice de la RDC, le fait que la plupart des prisonniers qui bénéficient de cette amnistie avaient déjà été libérés. « Sur les 26 noms qui bénéficient de cette largesse, 20 au moins avaient déjà quitté la prison », explique un membre de la Dynamique de l'opposition congolaise. Pour la Lucha, cette « erreur démontre à souhait soit la volonté de se moquer de nous, soit la méconnaissance coupable du ministre de la Justice, ce qui serait encore bien plus grave. Seuls quatre détenus d'opinion (Christopher Ngoy, Jean Marie Kalondji, Yves Makwambala et Fred Bauma) sont encore en prison. Les autres sont des hommes libres ».
Le « geste de bonne volonté » de Joseph Kabila ne fait donc finalement qu'accroître la colère de l'opposition et des mouvements citoyens congolais.
« Ces libérations étaient un des prérequis pour que nous acceptions de participer au dialogue national inclusif qui doit permettre d'aller vers des élections apaisées. Un des prérequis qui ne nous satisfait pas et nous espérons que la communauté internationale qui est très attentive à la situation en RDC ne se laissera pas berner par ce geste », explique un autre opposant. « Joseph Kabila et son ministre de la Justice ne font que jeter de l'huile sur le feu. Ils savent que nous ne pouvons pas être satisfaits par ces libérations qui n'en sont pas, mais ils espèrent que les parrains internationaux du dialogue se .laisseront gruger. La situation ne fait que s'envenimer.»
Tous fixent rendez-vous le 20 septembre pour « une grande démonstration de force si rien n'évolue vraiment d'ici là et si, surtout, la Commission électorale nationale indépendante ne convoque pas la présidentielle le 19, comme le prévoit la Constitution», met en garde un des leaders de la Dynamique. « Nous savons que ces pseudo libérations doivent surtout servir à permettre à certains pseudos opposants tentés par les promesses de postes alléchants et rémunérateurs d'entrer dans le dialogue dont la population congolaise ne veut pas entendre parler dans sa très grande majorité. »"
"RDC: le gouvernement annonce la libération de 24 prisonniers politique
° http://www.radiookapi.net/2016/08/19/actualite/justice/rdc-le-gouvernement-annonce-la-liberation-de-24-prisonniers-politiques
b]Le ministre de la Justice, Alexis Thambwe Mwamba annonce la libération de vingt-quatre prisonniers politiques et d’opinion en vue de décrisper le climat politique à l’approche du dialogue national.
Il a fait cette annonce, vendredi 19 août à Kinshasa, en présence de différents services de l'Etat (police nationale, parquet général de la République et autres ainsi que du facilitateur Edem Kodjo).[/b]
«Le gouvernement de la République, après concertation avec ses différents services, a décidé de prendre les mesures de décrispation. Sur l’ensemble de la liste qui nous a été fournie à la demande de l’opposition politique, le gouvernement de la République, avec ses services, ont décidé de pouvoir lever ces mesures et permettre à ces gens d’être immédiatement libérés», a indiqué Alexis Thambwe Mwamba.
Sur la liste de 26 prisonniers dits politiques et d’opinion transmise à la délégation de l’Union européenne par le Rassemblement de l’opposition, seuls les détenus pour viol et escroquerie qui n’ont pas bénéficié de cette mesure de grâce.
(...)
Cliquez ici] pour voir la liste de 24 bénéficiaires de cette grâce."
"RDC: Kinshasa fait libérer plus de vingt prisonniers
° http://www.rfi.fr/afrique/20160819-rdc-kinshasa-vingt-prisonniers-elections
Est-ce un premier pas vers la décrispation du climat politique ? C'est en tout cas ce qu'espère le gouvernement de Kinshasa qui vient d'annoncer une série de libérations de prisonniers politiques. Des libérations attendues, pour certaines, depuis plus d'un an par la société civile et la communauté inernationale. Au total, 24 personnes devraient retrouver une liberté provisoire ou complète dans les prochains jours.
Parmi les plus connus figure Christopher Ngoy Mutamba. Ce militant de la société civile a été arrêté en janvier 2015, dans la foulée des manifestations contre un troisième mandat de Joseph Kabila. Il y a aussi deux jeunes activistes de l'est du Congo, Fred Bahuma de Lucha et Yves Makwalamba de Filimbi, incarcérés après avoir participé à une réunion avec les militants sénégalais et burkinabè des mouvements Y'en a marre et Balai citoyen, et aussi Jean Marie Kalonji, de 4e voie.
Vingt-quatre personnes au total devraient être libérées dans les prochains jours. Deux médias de l'opposition vont également être autorisés à émettre à nouveau, après des mois de coupure.
Apaisement
Pour le pouvoir, c'est donc une main tendue aujourd'hui vers l'opposition. Des mesures de décrispation politique pour aller au dialogue voulu par le président Joseph Kabila. Et acter le report de la présidentielle censée se tenir en novembre prochain.
Reste à savoir si ces mesures vont suffire à satisfaire l'opposition. Deux noms au moins manquent à l'appel des libérations demandées. Ceux des chefs de deux partis d'opposition : Eugène Diomi Ndongala derrière les barreaux depuis près de trois ans et Jean-Claude Muyambo. Tous deux ne sont pas concernés par ces libérations, car il s'agit selon le ministre de la Justice Alexis Thambwe Mwamba « de cas de viol et d'escroquerie » et « cela pourrait choquer l'opinion publique », dit-il.
L'opposition avait également demandé à ce que les poursuites contre l'un des principaux candidats à la présidentielle Mo ïse Katumbisoient abandonnées.
Edem Kodjo satisfait
Le facilitateur Edem Kodjo a fait part de sa satisfaction et annoncé la reprise du dialogue politique pour la semaine prochaine. Toutefois, plusieurs voix s'élèvent déjà au sein de l'opposition et de la société civile pour dénoncer « un effet d'annonce au lieu d'être un réel geste politique des autorités ».
L'avocat de plusieurs des personnalités concernées affirme notamment que seuls 4 prisonniers sont réellement concernés par la mesure du ministre de la Justice congolais, car les 20 autres avaient déjà quitté la prison ou étaient en liberté provisoire.
« Nous pensons que le gouvernement congolais doit faire encore plus pour détendre le climat politique et favoriser la confiance entre les différents acteurs, parce que pour nous, la libération des prisonniers politiques et d'opinion est fondamentalement une question de droits de l'homme dans le contexte en RDC », Me Georges Kapiamba, président de l'ACAJ, l'Association congolaise pour l'accès à la justice et représentant de la société civile dans le rassemblement de l'opposition.
L'opposition sceptique
Cette libération de prisonniers politiques est en tout cas accueillie « avec réticence et réserve » par le rassemblement de l'opposition. Pour le porte-parole de l'Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS), cette « demi-mesure » ne suffira pas pour que l'opposition s'assoie à la table des discussions. « Pour le rassemblement, rien n'est fait. Il s'agit d'une libération partielle. Nous attendons la libération de tous les prisonniers politiques », rappelle Bruno Tshibala.
Il rappelle également que le rassemblement de l'opposition ne participera pas au dialogue, « d'autant plus qu'il y a deux problèmes qui demeurent : le facilitateur Edem Kodjo n'a pas été récusé, nous n'avons pas encore revu notre position, et il y a tous les prisonniers qui ne sont pas libérés ».
Cette mesure « nous conforte dans l'idée que M. Kodjo a une certaine complicité avec les hommes du pouvoir. Voilà pourquoi il ne nous donne pas de garantie pour être un bon facilitateur », dénonce M. Tshibala."
Compatriotiquement!
# Si haut que l'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul #
# Que faisait Dieu avant la création ? De toute éternité, il préparait d'épouvantables supplices pour celui qui poserait cette question. #
ndonzwau
Re: ++ CHRISTOPHER NGOY EST LIBRE ++
BOURDE 1* TAMBWE MWAMBA
On croyait que c´est Mende qui devait ordoner la reprise des activités des chaînes TV de l´opposition Et pourquoi seulement deux chaînes de TV, quand la liste est plus longue...la chaîne de Katumbi par exemple.....
La plus grande bourde de Tambwe est sans doute cette liste rafistolée et contestée publiquement qu´on retrouve dans les médias Comment monsieur le ministre de la Justice (injustice) va justifier la présence des noms des gens qui sont dèjà libre et l´omission des noms "phares" comme Diomi et Muyambo
BOURDE 2 KODJO
Toujours "recusé" par le Rassemblement Kodjo qui se precipite pour "remercier" le gouvernement Un facilitateur qui "remercie" Kanambe Franchement, il devait "remercier" la CENCO qui fait le travail que lui devait faire
La plus grande bourde de Kodjo est de se precipiter devant les medias pour annoncer le dialogue qui selon lui serait pour la semaine prochaine
Au lieu d´attendre..et de retourner consulter toutes les parties pour "verifier" si les revendications ne font plus obstacle...il se pointe rapidemet:lol: cette precipitation et ces remerciements...sont une fois de plus un mauvais signal
En attendant, Kodjo est toujours "recusé" et le dialogue risque de se faire sans lui
On croyait que c´est Mende qui devait ordoner la reprise des activités des chaînes TV de l´opposition Et pourquoi seulement deux chaînes de TV, quand la liste est plus longue...la chaîne de Katumbi par exemple.....
La plus grande bourde de Tambwe est sans doute cette liste rafistolée et contestée publiquement qu´on retrouve dans les médias Comment monsieur le ministre de la Justice (injustice) va justifier la présence des noms des gens qui sont dèjà libre et l´omission des noms "phares" comme Diomi et Muyambo
BOURDE 2 KODJO
Toujours "recusé" par le Rassemblement Kodjo qui se precipite pour "remercier" le gouvernement Un facilitateur qui "remercie" Kanambe Franchement, il devait "remercier" la CENCO qui fait le travail que lui devait faire
La plus grande bourde de Kodjo est de se precipiter devant les medias pour annoncer le dialogue qui selon lui serait pour la semaine prochaine
Au lieu d´attendre..et de retourner consulter toutes les parties pour "verifier" si les revendications ne font plus obstacle...il se pointe rapidemet:lol: cette precipitation et ces remerciements...sont une fois de plus un mauvais signal
En attendant, Kodjo est toujours "recusé" et le dialogue risque de se faire sans lui
GHOST
Re: ++ CHRISTOPHER NGOY EST LIBRE ++
PS
La question qui se pose avec la libération supplémentaire de quatre prisonniers d’opinion parce qu’en fait d’autres y restent et surtout aucun véritable prisonnier politique n’ a été libéré sous prétexte que les deux principaux, Diomi et Muyambo ont été condamnés au titre du droit commun est de savoir si à ce stade l’opposition doit en savoir gré de la bonne foi de "JK" et accepter le début du dialogue ou doit-il continuer à exiger la libération de tous les autres prisonniers, politiques et d’opinion pour s’engager dans cette "arlésienne" quest devenu le dialogue ?
Relevons que la meilleure voie serait peut-être d’abord de contester juridiquement les condamnations des prisonniers politiques car personne n’est dupe qu’au Congo comme dans toute démocrature bananière de cette sauce, de principe officiellement il n’existe pas de prisonniers politiques, ceux-ci sont condamnés malicieusement sous des délits ou crimes de droit commun, viol pour Diomi, escroquerie pour Muyambo !
Personnellement je n’ai pas la réponse à ce stade mais apparemment le gros de l’opposition n’est pas satisfaite de ces libérations insuffisantes à ses yeux tandis que Kodjo s’en contente pour déclarer incessamment le début du dialogue…
Et puis quid de cette insistante récusation de Kodjo; pouvons-nous mieux nous en sortir en la maintenant contre vents et marrées ou à l'acceptant sous conditions ?
Qu’en pensez-vous de votre côté ?
Compatriotiquement!
# Si haut que l'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul #
# Que faisait Dieu avant la création ? De toute éternité, il préparait d'épouvantables supplices pour celui qui poserait cette question. #
La question qui se pose avec la libération supplémentaire de quatre prisonniers d’opinion parce qu’en fait d’autres y restent et surtout aucun véritable prisonnier politique n’ a été libéré sous prétexte que les deux principaux, Diomi et Muyambo ont été condamnés au titre du droit commun est de savoir si à ce stade l’opposition doit en savoir gré de la bonne foi de "JK" et accepter le début du dialogue ou doit-il continuer à exiger la libération de tous les autres prisonniers, politiques et d’opinion pour s’engager dans cette "arlésienne" quest devenu le dialogue ?
Relevons que la meilleure voie serait peut-être d’abord de contester juridiquement les condamnations des prisonniers politiques car personne n’est dupe qu’au Congo comme dans toute démocrature bananière de cette sauce, de principe officiellement il n’existe pas de prisonniers politiques, ceux-ci sont condamnés malicieusement sous des délits ou crimes de droit commun, viol pour Diomi, escroquerie pour Muyambo !
Personnellement je n’ai pas la réponse à ce stade mais apparemment le gros de l’opposition n’est pas satisfaite de ces libérations insuffisantes à ses yeux tandis que Kodjo s’en contente pour déclarer incessamment le début du dialogue…
Et puis quid de cette insistante récusation de Kodjo; pouvons-nous mieux nous en sortir en la maintenant contre vents et marrées ou à l'acceptant sous conditions ?
Qu’en pensez-vous de votre côté ?
"Dialogue: «Le chef de l’Etat a satisfait à toutes» les exigences de l’opposition
° http://www.radiookapi.net/2016/08/20/actualite/politique/dialogue-le-chef-de-letat-satisfait-toutes-les-exigences-de
Le gouvernement congolais a annoncé, vendredi 19 août, la libération de vingt-quatre prisonniers politiques et la réouverture de deux chaines de télévision de l’opposition. La Majorité présidentielle (MP) pense que le chef de l’Etat vient là de balayer un à un les préalables posés par une frange de l’opposition pour participer au dialogue politique. Alors que l’opposant Joseph Olenghankoy crie à la «tricherie» du Gouvernement.
Le secrétaire général-adjoint de la MP, Joseph Kokonyangi, est d’avis que l'opposition n’a plus de prétextes pour barrer la voie du dialogue:Il a rappelé que la première demande de l’opposition concernait la tenue du dialogue. Ce que le président de la République avait fait dans son ordonnance promulguée en novembre 2015«Nos compatriotes de l’opposition, s’ils sont de bonne foi, il n’y a plus d’alibi car le chef de l’Etat a satisfait à toutes les leurs demandes. Je crois que tout a été fixé».
« La deuxième demande de l’opposition était que ce dialogue soit accompagné d’une facilitation internationale. Le chef de l’Etat a répondu à sa demande.
La troisième demande était qu’un panel [soit constitué autour de la facilitation]. Vous avez vu le panel séjourner pendant quatre jours ici à Kinshasa.
La quatrième était de libérer les prisonniers politiques et les médias fermés», a poursuivi M. Kokonyangi.
Olenghankoy récuse
De son côté, le président des Forces novatrices pour l’unité et la solidarité (FONUS), parti membre du Rassemblement de l’opposition, Joseph Olenghankoy, qualifie cette mesure du Gouvernement de «tricherie ». Il a indiqué que dans la liste de 24 personnes, publiée par le ministre de la Justice, Alexis Thambwe Mwamba, il y avait des noms des personnes déjà libérées depuis longtemps:Pour Joseph Olenghankoy, le Gouvernement n’a pas du tout vidé le cahier des charges et des préalables du Rassemblement de l’opposition. Cette plateforme de l’opposition exige notamment la démission d’Edem Kodjo du poste de facilitateur du dialogue national et la dépolitisation de la chaine publique«Les militants des FONUS ont été libérés depuis plus de trois mois. Dans la liste-là, il n’y a que quatre personnes libérées effectivement. Tout le reste, c’est du mensonge. La liste qui a été transmise par l’opposition est de 116 personnes. C’est vraiment de la fiction et bien dommage pour l’avenir de notre pays. Cette liste [publiée par Thambwe Mwamba] n’est pas correcte».
«Il n’est pas question, pour nous, d’aller dans un dialogue où il n’y a pas de vérité. Ils sont en train de faire la politique de fiction», a conclu le président des FONUS.
Préjudice causé à CKTV
Le directeur général de Canal Kin-Télévision (CKTV), l’une des chaines de télévision rouvertes, Moïse Musangana, a salué cette mesure gouvernementale :
«C’est une joie pour nous que nous soyons rouverts. C’est une mesure visant la décrispation, c’est-à-dire quelle que part la démocratie a été énervée par cette décision [fermeture de la chaine]. Voilà qu’on est en train de rétablir la démocratie en RDC. C’est notre cheval de bataille.»
Cependant, il a noté que le préjudice subi pendant une année et sept mois de fermeture était énorme, sans le chiffré.
«On ne peut être que satisfait. On a rouvert après une année et sept mois. Le préjudice a été énorme. Est-ce qu’il sera réparé ? », s’est-il interrogé."[/size]
"Questions directes à Floribert Anzuluni
° http://www.congoindependant.com/article.php?articleid=11056
Floribert Anzuluni Isiloketsi, coordonnateur du mouvement citoyen "Filimbi" et du Front Citoyen 2016
Coordinateur du mouvement citoyen «Filimbi» - qui signifie « coup de siflet » en Swahili - et du Front Citoyen 2016, Floribert Anzuluni Isiloketsi, vit en exil depuis le mois de mars 2015. Il livre sa lecture du double "geste" posé par "Joseph Kabila". Jeudi 18 août 2016, Celui-ci a reçu, à sa demande, à Goma, une cinquantaine des activistes du mouvement citoyen "Lucha" (Lutte pour le Changement) dont les six camarades qui venaient de bénéficier d’une mesure de grâce collective. A en croire l’un des participants à cetteRENCONTRE en l’occurrence Luc Nkulula, le locataire du Palais de la nation leur avait promis de se pencher, « dans les 48 heures », sur le sort de leurs camarades qui étaient encore en détention. Vingt-quatre heures après, on apprenait, vendredi 19 août, la remise en liberté dans les prochains jours d’une trentaine de "prisonniers politiques et d’opinion". Fred Bauma et Yves Makwambala, activistes de la Lucha et de Filimbi en font partie. Le défenseur des droits humains Christopher Ngoy Mutamba, mêmement. Pour mémoire, le 15 mars 2015, des membres des associations précitées ont été arrêtés avec une brutalité inouïe dans la commune kinoise de Masina. ils y avaient organisé un "atelier de réflexions et d’échange" sur "l’engagement citoyen" de la jeunesse congolaise. Leurs invités sénégalais de "Y en a marre" et burkinabé du "Balai citoyen" subirent le même sort avant d’être expulsés. Au cours d’un point de presse qu’il a tenu le 19 mars 2015, le ministre de la communication et des médias Lambert Mende Omalanga a qualifié cet événement de "tentative de déstabilisation des institutions nationales inspirée de l’extérieur". Et d’accuser au passage les jeunes de Filimbi et de la Lucha d’avoir fait appel "à des instructeurs étrangers spécialistes en insurrections violentes (...)". Pour "Floribert", "Joseph Kabila" devrait congédier non seulement l’administrateur général de l’ANR, Kalev Mutondo, mais aussi le ministre de la Communication et des médias, Lambert Mende Omalanga. Au motif que ces deux responsables avaient qualifié faussement leurs mouvements de "terroristes". Interview.
Quel sentiment avez -vous éprouvé à la vue de la photo de "Joseph Kabila" en compagnie des membres de la Lucha qui venaient de s’entretenir avec lui?
Nous avons constaté que le pouvoir a savamment monté ce scénario. Cette photo avait pour but de démontrer que le président Kabila est à l’écoute de la jeunesse congolaise. L’autre objectif est de diviser cette même jeunesse en faisant croire que le chef de l’Etat n’a aucun problème avec les jeunes. Et qu’à la limite, ce sont les membres de son entourage qui ne lui transmettent pas, semble-t-il, des "informations fiables". Nous avons été particulièrement affligés par cette photographie parce qu’elle ne reflète pas, alors pas du tout, la réalité de la répression dont le président Kabila est lui-même l’initiateur.
Que répondez-vous à ceux qui redoutent un dédoublement prochain de la Lucha?(...)"
"Kinshasa libère les deux militants de Lucha et Filimbi"
° http://www.voaafrique.com/a/kinshasa-libere-les-deux-militants-de-lucha/3472045.html
° http://www.voaafrique.com/a/des-jeunes-de-la-lucha-disent-lors-d-une-rencontre-a-kabila-de-ne-pas-se-representer-pour-un-3e-mandat/3471035.html
° http://www.lalibre.be/actu/international/kabila-rencontre-des-militants-opposes-a-la-prolongation-de-son-mandat-57b693ce35709a3105621b7b
° http://www.congoindependant.com/article.php?articleid=11055
"« Non, Filimbi ne rencontrera jamais Kabila », affirme Ben Carbone!"
° http://www.politico.cd/actualite/la-une/2016/08/18/non-filimbi-ne-rencontrera-jamais-kabila-affirme-ben-carbone.html
"Goma : Ce que se sont dits Kabila et les 47 jeunes de la LUCHA – Exclusivité"
° https://actualite.cd/2016/08/18/goma-se-dits-kabila-47-jeunes-de-lucha-exclusivite/
"URGENT ! KABILA reçoit les jeunes de la LUCHA pour parler notamment élection"
° https://actualite.cd/2016/08/18/urgent-kabila-recoit-jeunes-de-lucha-parler-notamment-election/
"Kabila pose avec les jeunes de la LUCHA à Goma"
° https://actualite.cd/2016/08/18/kabila-pose-jeunes-de-lucha-a-goma/
"Paulette Kimuntu : « La réouverture des médias fermés permettra sans doute de décrisper la tension politique »"
° https://actualite.cd/2016/08/18/paulette-kimuntu-reouverture-medias-fermes-permettra-doute-de-decrisper-tension-politique/
Edem Kodjo a reçu ce mercredi 17 aout 2016 les responsables des organisations professionnelles des médias. Ces derniers lui ont notamment signifié leur souci de voir les médias de l’opposition fermés reprendre à émettre. Paulette Kimuntu, Présidente de l’Association Journaliste en Action, estime que cette mesure permettra de décrisper la tension politique actuelle.
« La réouverture des médias de l’opposition fermés permettra sans doute de décrisper la tension politique en RDC. Elle permettra également d’avoir plusieurs sons de cloche sur la vie politique du pays. Egalement en tant présidente de l’association Journaliste en Action, je suis impatiente de voir mes amis journalistes retrouver leur travail, » a dit Paulette Kimuntu.
Lancée en 2016, Journaliste en Action (J.A) est une ONG regroupe des journalistes des plusieurs médias."
"RDC: Edem Kodjo annonce le début du dialogue pour la semaine prochaine
° http://www.radiookapi.net/2016/08/19/actualite/politique/rdc-edem-kodjo-annonce-le-debut-du-dialogue-pour-la-semaine-prochaine
Edem Kodjo annonce le début du dialogue national à partir de la semaine prochaine. Le facilitateur de ce forum politique l’a annoncé, vendredi 19 août à Kinshasa, après que le ministre de la Justice a annoncé la libération de vingt-quatre prisonniers politiques. Le gouvernement a ainsi pris cette mesure pour décrisper le climat politique à l’approche du dialogue national.L’ex-Premier ministre togolais a annoncé ce dialogue près de trois semaines après avoir été récusé par le Rassemblement de l’opposition qui l’accuse d’être à la solde de la Majorité présidentielle.«Je suis heureux de constater qu’un effort extrêmement substantiel a été fourni. Je vous prie Monsieur le ministre [de la Justice] de pouvoir accepter mes sincères remerciements. Je voudrai que ces remerciements aillent aussi au chef de l’Etat qui a reçu, il y a 48 heures, les jeunes de la LUCHA et a promis que ces jeunes seront libérés. Je vois dans la liste que tous ceux qui concernés sont libérés. Il est d’ores et déjà clair que ces préalables-ci ayant été levés, le dialogue commencera dès la semaine prochaine».
Il lui est reproché notamment de n’avoir pas respecté le consensus selon lequel le groupe de soutien au facilitateur devrait se transformer en groupe de facilitation du dialogueTOP CONGO FM @TopCongo
[ltr]PAS de dialogue pour @rassopp sans libération tous prisonniers politiques @EdemKodjoRDC @uncrdc @MLCRDC #RDC#DRC http://mobile.topcongo.fm/article/pas-de-dialogue-sans-la-liberation-de-tous-les-prisonniers-politiques-rassemblement-1826 …[/ltr]
20:41 - 19 Août 2016
PAS de dialogue sans la libération de tous les prisonniers politiques (Rassemblement)
Le Rassemblement rappelle qu'il ne participera pas au dialogue tant que tous les prisonniers politiques ne seront pas libérés.Sur la liste des 25 prisonniers libérés ce vendredi, le rassemblement...
mobile.topcongo.fm
Le coordonnateur de cette plate-forme de l’opposition, Etienne Tshisekedi avait, lors du meeting du 31 juillet dernier, réitéré son appel à la libération des prisonniers politiques avant d'aller au dialogue et la dépolitisation de la chaine nationale (RTNC).
Le chef de l’Etat Joseph Kabila avait convoqué le dialogue en novembre dernier pour baliser le chemin des élections apaisées."
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Redaction TOP CONGO @LFUTCFM
[ltr]Le facilitateur invite politiques dépassement & donner chance recherche solution consensuelle à situation actuelle[/ltr]
19:59 - 19 Août 2016
"Bras de fer :
"Dialogue": Edem Kodjo optimiste pour la semaine prochaine
° http://www.congoindependant.com/article.php?articleid=11057
Dans un communiqué daté du 19 août 2016, le facilitateur Edem Kodjo se réjouit de la décision du gouvernement congolais portant libération de "24 personnes sur 26" et de la réouverture de deux médias proches de l’opposition sur trois. Patatras! La liste des prisonniers à libérer publiée par le ministre de la Justice Alexis Thambwe Mwamba fait l’objet d’une vive contestation. Avocat-conseil du président de l’UDPS, Papis Tshimpangila a réaffirmé la récusation de l’ancien Premier ministre togolaise "pour partialité".
L’annonce faite, vendredi 19 août, par le ministre de la Justice Alexis Thambwe Mwamba a provoqué une sorte de "béatitude" chez le facilitateur Edem Kodjo. Celui-ci y a vu le début de la fin de son "chemin de croix". Un chemin de croix qui dure depuis bientôt six mois.
Dans un texte intitulé "communiqué du facilitateur", il dit avoir pris acte "de la décision du gouvernement portant libération de 24 personnes sur 26 et de la réouverture de deux chaines de télévision sur trois, figurant sur la liste officielle transmise par l’Opposition".
Pour lui, c’est le lieu de féliciter "les hautes autorités congolaises". Aussi, leur adresse-t-il "ses vifs remerciements" pour avoir posé un geste qui est de nature à contribuer à la "décrispation du climat politique" et à créer des "conditions propices au lancement du processus du dialogue national inclusif".
Selon lui, plus rien ne s’oppose "en conséquence" à ce que l’ensemble des représentants des forces politiques puissent "faire preuve de dépassement". Il s’agit, note-t-il, de "donner une chance" à la recherche d’une "solution consensuelle" à la crise que traverse le Congo-Kinshasa. Kodjo qui semble avoir pris la mesure des critiques formulées à son encontre fait désormais référence au respect de la Constitution. Sans omettre la Résolution 2277 et les attentes du peuple congolais en particulier et de la communauté internationale dans son ensemble.
Dans une déclaration faite vendredi 19 août sur les ondes de radio Okapi, Edem Kodjo s’est voulu plus précis en annonçant que "le dialogue commencera dès la semaine prochaine". Un enthousiasme que Félix Tshisekedi Tshilombo est loin de partager. Sur son compte Twitter @Ftshisekedi, le secrétaire national de l’UDPS en charge des Relations extérieures de s’interroger : "Est-ce une liste à jour ou le ministre de la Justice ignore l’identité de la population carcérale?"
Il semble que vingt des 24 personnes dont les noms sont repris dans la liste publiée par le ministre Thambwe, ont été libérées depuis plusieurs mois. Seuls Fred Bauma, Yves Makwambala, Christopher Ngoy Mutamba et Jean-Marie Kalonji sont encore en détention. On imagine la déception de ceux espéraient la REMISE en liberté des personnalités telles que Jean-Claude Muyambo et Eugène Diomi Ndongala.(...)"
Le train va quitter la gare : Kodjo annonce le début imminent du Dialogue en RDC!
° http://www.laprosperiteonline.net/affi_article.php?id=11003&rubrique=POLITIQUE
*Une fois de plus, l’ex-premier togolais prend rendez-vous avec les congolais. Le Facilitateur Edem Kodjo annonce le début du dialogue politique national inclusif en République Démocratique du Congo. Date ? Il ne l’a point donnée. Seulement, au cours de son point de presse du vendredi 19 août dernier, en la salle Massala du Pullman Grand Hôtel de Kinshasa, Kodjo Edem a affirmé que c’est durant cette nouvelle semaine que le go devra être donné à ces assises. Quid des préalables de l’Opposition, dont ceux de Genval portés par Etienne Tshisekedi ? Kodjo confie avoir travaillé, toutes ces dernières semaines, à la résolution de ces exigences. Et, les plus importants d’entre eux, ont, à son avis, trouvé des réponses. En effet, sur les 26 personnes figurant sur la liste de prisonniers et détenus politiques ou d’opinions présentée par le Rassemblement au Groupe de soutien, 24 ont été libérés, martèle-t-il. Et, en plus, deux chaînes de télévision dont la paternité est attribuée à quelques leaders de l’Opposition, ont été rouvertes. D’où, pour lui, il y a lieu de lancer au plus tôt, le dialogue. Réponse partielle, certes. Mais, quelle position va adopter le lider maximo et le Rassemblement des forces acquises au changement face à cette annonce ? Vont-ils embarquer avec le facilitateur qu’ils ont récusé ? Si le Rassemblement est non partant, Kodjo va-t-il foncer sans Tshisekedi et consorts ? Ces questions demeurent. Décryptage !(...)"
"RDC – Théodore Mugalu : « Si Kabila se prononce sur sa candidature, cela va susciter d’autres problèmes inextricables »
° http://www.jeuneafrique.com/349840/politique/rdc-theodore-mugalu-kabila-se-prononce-candidature-va-susciter-dautres-problemes-inextricables/
De passage à Paris, Théodore Mugalu, directeur de la Maison civile du chef de l’État congolais, est revenu pour Jeune Afrique sur le dialogue politique convoqué par le président Joseph Kabila, mais dont le début se fait toujours attendre.
Partira, partira pas ? À quatre mois de la fin de son second et dernier mandat constitutionnel, Joseph Kabila entretient le suspense autour de son avenir politique. Le chef de l’État congolais répète toutefois qu’il passera les rênes du pays au prochain président élu. Problème : la date de la tenue du scrutin présidentiel – initialement prévue le 27 novembre – constitue aujourd’hui un grand mystère.
En attendant, Joseph Kabila appelle au dialogue. Mais ses principaux opposants, Étienne Tshisekedi et Moïse Katumbi en tête, boudent. Comment décrisper le climat politique et conduire le pays vers des élections apaisées dans les délais constitutionnels ? Pour le pasteur Théodore Mugalu, directeur de la Maison civile du chef de l’État congolais et ancien ambassadeur de la RD Congo en Tanzanie, les acteurs politiques doivent avant tout privilégier l’intérêt général. Joseph Kabila compris ? Entretien.
Jeune Afrique : Près d’une année après sa convocation par le chef de l’État, le « dialogue politique national inclusif » n’a toujours pas démarré. Peut-on dire que Joseph Kabila ne parvient pas à convaincre la classe politique congolaise ?
Théodore Mugalu : Le président Kabila n’arrive pas à convaincre l’espace politique, mais il a convaincu le peuple congolais. Nuance. Parmi les opposants qui ne veulent pas écouter le chef de l’État, il y a trop de vieillards. Mais l’alternance qu’ils ne cessent de réclamer ne se fera pas des jeunes aux vieux, mais des jeunes aux jeunes. Tel est le vœu des pères de l’indépendance qui, à travers la dernière strophe de notre hymne national, nous demandent de léguer le serment de liberté à la postérité.
La maladie de cet espace politique remonte en fait à l’indépendance même du pays, le 30 juin 1960. Le Congo est né infirme constitutionnellement. Il n’y a jamais eu de table ronde constitutionnelle. C’est pourquoi le règlement de cette crise nécessite que l’on se mette ensemble, que chacun sacrifie ses intérêts personnels pour ne considérer que ceux de la nation.Même l’opposant historique Étienne Tshisekedi, avec qui le pouvoir a eu des négociations préliminaires, rejette finalement les pourparlers tels que convoqués par le président Kabila…"C’est Tshisekedi qui aurait dû appeler au dialogue, pas son petit-fils Joseph Kabila
La question de sa participation à ces pourparlers ne mérite même pas de se poser. Étienne Tshisekedi a l’obligation d’y prendre part. D’autant qu’il est du devoir de nos leaders politiques de donner la paix au peuple. Or pour qu’il y ait la paix, il faut dialoguer. Ayant connu la table ronde et fort de sa grande expérience politique, c’est Tshisekedi qui aurait dû appeler au dialogue, pas son petit-fils Joseph Kabila.
Pour l’instant, l’opposition récuse Edem Kodjo, facilitateur de l’Union africaine, et exige la libération des prisonniers politiques et l’arrêt des poursuites contre des opposants. Qu’en pensez-vous ?
Le dialogue est la respiration même de la démocratie. Il est inconditionnel. Il ne peut pas y avoir des conditions pour dialoguer. Libération des prisonniers politiques ? Le président Kabila en a déjà libéré à plusieurs reprises.
Quelqu’un qui a violé, incendié des maisons ou commis des crimes contre l’humanité doit-il être libéré pour participer au dialogue ? Nous devons lire la Constitution et les lois du pays. Mais si pendant le dialogue, nous constatons qu’il faut libérer telle ou telle autre personne – comme on avait libéré Lumumba à Kisangani pour qu’il puisse participer à la table ronde de Bruxelles en 1960 -, pourquoi le président refuserait-t-il de gracier ?
À mon avis, ce dialogue doit également avoir comme participants de base les serviteurs de Dieu, les sacrificateurs, pour nettoyer les cœurs de nos politiques. C’est désormais un dialogue pour que la Constitution puisse retrouver son autorité morale, sans laquelle il est impossible d’accorder nos violons. Nous devons élever le débat afin d’appeler le Congolais à aimer son pays avant son époux, ses enfants, sa famille.
Pour décrisper le climat politique, le président Kabila ne devrait-il pas annoncer qu’il ne compte pas briguer un nouveau mandat à l’issue de son dernier quinquennat constitutionnel ?La Constitution ne l’oblige pas à le faire. Même en France, rien n’oblige le président François Hollande à dire s’il sera, ou pas, candidat en 2017. Ce débat est donc un faux fuyant. La Constitution dit que le président actuel reste en place jusqu’à ce qu’un nouveau soit élu. Elle ne dit pas que le président « glisse » : glisser, c’est anticonstitutionnel, mais rester est constitutionnel."Glisser, c’est anticonstitutionnel, mais rester est constitutionnel.
Léon Kengo wa Dondo par exemple est resté [à la tête du Sénat] au-delà de son mandat. Il n’a pas glissé, il est resté dans la Constitution. Il en sera de même du président de la République. La Constitution, c’est la fille aînée du chef de l’État. Il la respectera : il n’y aura pas de troisième mandat. Mais si le président Kabila se prononce sur sa candidature, cela ne va susciter que d’autres problèmes inextricables dans tous les camps. Même au sein de la majorité, les gens – surtout ceux qui veulent être dauphins – risquent de s’entre-tuer.
Que pensez-vous de récents propos de certains responsables du PPRD, principale formation de la coalition au pouvoir, qui ont évoqué l’hypothèse d’un référendum pour modifier ou changer la Constitution ?
Nous sommes en démocratie. Chacun est libre de dire ce qu’il veut tant que cela reste conforme à l’absolu qui est la Constitution. Joseph Kabila, lui, n’a jamais dit qu’il était candidat pour un troisième mandat. Il n’a pas non plus appelé à un référendum. Ce dernier n’est pas une question individuelle mais nationale. Il faudra suivre la procédure édictée par la Constitution."
"Actu Expliquée : Kabila maintient E. Diomi et JC Muyambo en prison"
"Actu Expliquée : Kabila libère des prisonniers, Diomi manque à l'appel"
Compatriotiquement!
# Si haut que l'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul #
# Que faisait Dieu avant la création ? De toute éternité, il préparait d'épouvantables supplices pour celui qui poserait cette question. #
Dernière édition par ndonzwau le 21/8/2016, 12:18 am, édité 1 fois
ndonzwau
Re: ++ CHRISTOPHER NGOY EST LIBRE ++
Le Facilitateur récusé du Dialogue participe -comme si rien était - à la conférence de presse du Ministre congolais de la Justice le 19/08/19 annonçant la fausse liste de libération des prisonniers politiques qui d ailleurs ne libère que 4 personnes de la société civile et aucun leader de l opposition.
QQ devrait suggérer à Kodjo qu il n est pas membre du gouvernement congolais....
KOTA
Re: ++ CHRISTOPHER NGOY EST LIBRE ++
PS
On en rirait de notre théâtre politique si il ne concernait la survie de notre pays entre le radicalisme insistant d’une aile de l’opposition qui ne veut ni d’une libération partielle des prisonniers ni de Kodjo (voir Diongo) et le pas de deux mi-tempérant mi-ferme d’une autre (voir l'Unc de Kamerhe et le Mlc de Bazaïba), entre un Facilitateur atteint et celui qui se veut debout jusqu'à se prétendre à même de piloter incessamment le dialogue, entre d’un côté un pouvoir qui l’assiste jusqu’à faire tribune commune et de l’autre une opposition qui continue à l’avoir en horreur comme la peste, entre le sérieux qui sied ici et le quasi-humour de certains comme Sesanga qui se hasarde à la comparaison avec le cas d’Evoloko…...........
Du coup j’ai honte d’évoquer une autre comparaison bien plus osée que j’avais hésité d’étaler mais comme tout le monde sait que comparaison n’est pas raison, je m’y mets à mon tour : notre Ministre de la Justice qui fait preuve flagrante de son incompétence, qu’il ne connait rien à ses dossiers (ailleurs il n’aurait été passible de rien d’autre sinon d’une démission en règle) connait-il au moins mieux l’histoire de ce pays que la burundaise( !) ?
Il se serait en effet évité une lamentable justification : encore une fois comparaison n’est pas raison surtout à un événement aussi historique que notre Table Ronde, est-il que début 1960 tous les congolais y compris ses acharnés adversaires politiques réclamèrent pour la débuter la présence de PE Lumumba à la Table Ronde alors qu’il croupissait dans les geôles coloniales à Stanleyville (Kisangani) pour un délit avéré de droit commun ?
Passons…
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"RDC: l’annonce de la libération de prisonniers politiques continue de faire parler
° http://www.rfi.fr/afrique/20160820-rdc-liberation-prisonniers-politiques-reactions-radek-supreme
En RDC, la vague d’amnistie annoncée, le vendredi 19 août, par le ministre de la Justice, Alexis Thambwe Mwamba, reste largement commentée. Elle est supposée avoir permis la libération de 24 personnes détenues sur une liste de 26 prisonniers politiques ou d’opinion. L’opposition s’insurge en soutenant que c’est faux et qu’il s’agit d’un effet d’annonce.
Ce geste du gouvernement congolais qu'il a présenté comme un geste d’apaisement avancé en vue du dialogue politique, a d’ores et déjà suscité de nombreux commentaires. Plusieurs voix s'élèvent, en effet, au sein de l'opposition et de la société civile pour dénoncer « un effet d'annonce au lieu d'être un réel geste politique » des autorités.
Ainsi, l'avocat de plusieurs personnalités concernées affirme que sur les 24 personnes de la liste, seuls quatre prisonniers sont réellement concernés par la mesure du ministre de la Justice congolais, car les 20 autres avaient déjà quitté la prison ou étaient en liberté provisoire.
« Libérer des fantômes »
C'est le cas de Mapeki Labu Junior, mieux connu sous le nom de Radek Suprême. Ce rappeur congolais a été arrêté, par l’Agence nationale de renseignements (ANR), en mai 2015 et libéré en décembre 2015 après avoir purgé 210 jours de prison. Pourtant, son nom se trouve bel et bien sur la liste des personnes à libérer. Joint par RFI, Radek Supreme qualifie la situation d’aberrante.
« Je suis surpris de voir mon nom repris dans la liste puisque j’ai été libéré le 14 décembre 2015 à 14h00. Le 18 décembre je suis même allé déposer une plainte chez le procureur général de la République. Curieusement, je suis en train de voir une note circuler sur les réseaux sociaux comme quoi je viens d’être libéré », s’est-t-il insurgé avant d’ajouter que sur la liste, « on n’y voit que des fantômes ».
« Je ne sais pas si on va libérer des fantômes ou bien des gens puisque si vous répertoriez la liste, il y a au moins une quinzaine de personnes qui sont déjà dehors. Par ailleurs, ce sont des gens qui ont purgé arbitrairement et globalement leur peine. Il n’y a eu aucun traitement de faveur », affirme-t-il.
« On ne m’a pas libéré sous une grâce présidentielle et c’est aujourd’hui que la grâce tombe ? Mais je suis déjà sorti il y a neuf mois ! C’est absurde, c’est mensonger tout ça »,souligne le rapeur Radek Suprême.
Liste à jour ?
Selon l'opposition, la liste publiée n'est pas à jour et ne correspond pas à la dernière version soumise au groupe de soutien au dialogue début août. Alexis Thambwe Mwamba, le ministre de la Justice, contredit et affirme n'avoir reçu qu'une seule liste et s'être basé sur celle d'août. « La liste que j’ai est signée par l’ambassadeur de l’Union européenne pour le compte du groupe de soutien. C’est une liste qui a été présentée début août et qui reprend exactement 26 noms et trois chaînes de télévision. Je n’ai pas reçu d’autre liste. »
Le ministre de la Justice assure qu'en ce qui concerne ceux qui sont encore en détention, ils seront vite libérés. « Les 24 personnes qui sont reprises sur la liste que j’ai donné, vont sortir. Pour celles qui sont encore en prison. Elles vont sortir. Maintenant, le parquet, pour chaque cas, doit pouvoir émettre un document permettant au directeur de prison de les faire sortir effectivement. C’est une question technique qui va se régler dans les deux-trois-quatre jours qui viennent. Bien sûr, j’en entends dire "il n’y a que quatre noms". Oui, peut-être il n’y a que quatre noms emblématiques. Emblématiques. Mais tous les autres figurent bel et bien sur la liste. Je n’ai pas inventé cette liste-là. La liste telle qu’elle m’a été déposée. »"
"Convocation du comité préparatoire du "dialogue national" en RDC
° http://www.voaafrique.com/a/convocation-du-comite-preparatoire-du-dialogue-national-en-rdc/3473275.html
Le facilitateur de l'Union africaine (UA) pour le "dialogue national" en vue d'"élections apaisées" en République démocratique du Congo (RDC) a annoncé avoir convoqué pour mardi le comité préparatoire chargé d'en déterminer les contours.
Le facilitateur, l'ex-Premier ministre togolais Edem Kodjo, "convie" les délégués mandatés par les organisations politiques et de la société civile, "parties prenantes au dialogue" à prendre part aux travaux du comité préparatoire du "dialogue national" le mardi 23 août, selon un communiqué transmis à l'AFP.(...)"
"Libération de prisonniers politiques : voici ceux qui restent en prison!"
° http://www.politico.cd/encontinu/2016/08/19/liberation-de-prisonniers-politiques-voici-restent-prison.html
"Participation de Vital Kamerhe au Dialogue: la mise au point Bertrand Ewanga
° http://www.politico.cd/encontinu/2016/08/20/participation-de-vital-kamerhe-dialogue-mise-point-bertrand-ewanga.html
L’Union pour la Nation Congolaise (UNC) de Vital Kamerhe a annoncé sa participation aux travaux du comité préparatoire pour le Dialogue que convoque le Facilitateur de l’Union Africaine (UA), Edem Kojdo, ce mardi 23 août.
Pour Jean-Bertrand Ewanga, le Secrétaire général de l’UNC, son parti y va pour « combattre, aux noms de tous les opposants« .
« Nous avons décidé d’y aller pour ne pas laisser un vide. Nous allons y soumettre tous les préalables de l’opposition, notamment la libération de Diomi Ndongala et Jean Claude Muyambo, le retour de Katumbi et en plus celles d’autres opposants« , a déclaré M. Ewanga.
Pour lui, il s’agit de « prendre Kabila à son propre jeu« , prévenant que son parti et ses alliés seront « prêts à claquer la porte à n’importe quel moment si tous les préalables ne sont pas respectés ».
Pour l’UNC, trois sujets doivent être débattus au Dialogue:
- La libération des tous les prisonniers politiques, telle que l’exige « tous les opposants«
- La publication d’un calendrier électoral « clair«
- Le départ de Joseph Kabila, « qui est à son deuxième et dernier mandat« .
Et d’ajouter: « Nous sommes solidaires de nos amis de l’opposition, y compris le Rassemblement, même si nos approches diffèrent« .
Ecouter Jean-Bertrand Ewanga.
° https://soundcloud.com/directrdc/participation-de-vital-kamerhe-au-dialogue-la-mise-au-point-bertrand-ewanga
"Décrispation du climat politique : L’UNC met à jour sa liste et demande la libération de Diomi
° https://actualite.cd/2016/08/20/decrispation-climat-politique-lunc-met-a-jour-liste-demande-liberation-de-diomi/
L’UNC et les associations et autres partis qui soutiennent Vital Kamerhe ont présenté ce samedi 20 août 2016 une liste actualisée des prisonniers dits politiques ou d’opinion.La liste du parti de Vital Kamerhe et ses alliés comprend 39 personnes et 7 médias fermés."« L’UNC et alliés estiment que cette mesure va dans la bonne direction, car elle est de nature à permettre aux acteurs politiques de se mettre dans les bonnes dispositions dans la perspective du dialogue que recommande la résolution 2277 (…) L’UNC et alliés demandent de corriger cette mesure en remplaçant les personnes déjà en liberté par d’autres personnes mais encore détenus en prison. »
"Le Rassemblement va refuser de participer au Dialogue!
° http://www.politico.cd/en-off/2016/08/20/rassemblement-va-refuser-de-participer-dialogue.html
Le conseil des sages du Rassemblement, qui est en réunion en ce moment autour d’Etienne Tshisekedi à Kinshasa, va annoncer qu’il « ne participera pas au Dialogue » convoqué par le président Joseph Kabila, rapporte une source proche de l’UDPS à Politico.cd
Ce haut cadre de l’UDPS, qui a requis l’anonymat, confirme à Politico.cd que le Rassemblement va décider « de ne pas participer au Dialogue » dont le Facilitateur de l’Union Africaine (UA) a lancé l’invitation « aux acteurs politiques » pour le début des travaux du comité préparatoire ce mardi 23 août.
« Les sages du Rassemblement ont décidé de ne pas participer au Dialogue et discutent en ce moment des actions à prendre en conséquence« , a-t-il fait savoir à Politico.cd, via SMS.
Ce matin déjà, le député Jean-Pierre Lisanga Bonganga, coordonnateur et porte-parole de la plateforme «Front du peuple», proche allié d’Etienne Tshisekedi et membre du Rassemblement, fustigeait annonçait une décision à l’issue de cette réunion, qualifiant la libération des prisonniers de « la poudre aux yeux »."Hier, Edem Kodjo avait annoncé le début du dialogue national à partir de la semaine prochaine. Le facilitateur de ce forum politique l’a annoncé, vendredi 19 août à Kinshasa, après que le ministre de la Justice a annoncé la libération de vingt-quatre prisonniers politiques."
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Christophe Lutundula @ChristopheLutu2
[ltr]E.Kodjo n'a tjrs pas compris ce qu'on attend de lui. Au lieu du profil bas, il s'empresse à faire des déclarations et annonces inopportunes.[/ltr]
01:37 - 20 Août 2016
"Caricature : « La Lucha et la parole d’officier »
° https://actualite.cd/2016/08/20/caricature-lucha-parole-dofficier/
"Exclusivité- Christopher Ngoy : « Je ne savais même pas si je sortirai vivant de la Prison Makala »" (AUDIO)
° https://actualite.cd/2016/08/20/exclusivite-christopher-ngoy-ne-savais-sortirai-vivant-de-prison-makala-audio/
° https://soundcloud.com/actualitecd/christopher-ngoy-je-ne-savais-si-je-sortirai-vivant-de-la-prison-makala
"L’ACAJ demande à Joseph Kabila de révoquer Alexis THAMBWE pour « faute grave »"
° https://actualite.cd/2016/08/21/lacaj-demande-a-joseph-kabila-de-revoquer-alexis-thambwe-faute-grave/
° http://www.lalibre.be/actu/international/rdc-didier-reynders-qualifie-la-liberation-de-prisonniers-politiques-de-pas-important-57b8876c35704fe6c1dc91e3
"Entretien – Delly Sesanga : Si on est capable de libérer Evoloko pourquoi ne libère t-on pas Diomi ?" (AUDIO)
° https://actualite.cd/2016/08/20/entretien-delly-sesanga-on-capable-de-liberer-evoloko-ne-libere-t-on-diomi-audio/
"Actu Expliquée du 21 août 2016 : Libération des prisonniers ou Arnaque gouvernementale? "[/] size]
On en rirait de notre théâtre politique si il ne concernait la survie de notre pays entre le radicalisme insistant d’une aile de l’opposition qui ne veut ni d’une libération partielle des prisonniers ni de Kodjo (voir Diongo) et le pas de deux mi-tempérant mi-ferme d’une autre (voir l'Unc de Kamerhe et le Mlc de Bazaïba), entre un Facilitateur atteint et celui qui se veut debout jusqu'à se prétendre à même de piloter incessamment le dialogue, entre d’un côté un pouvoir qui l’assiste jusqu’à faire tribune commune et de l’autre une opposition qui continue à l’avoir en horreur comme la peste, entre le sérieux qui sied ici et le quasi-humour de certains comme Sesanga qui se hasarde à la comparaison avec le cas d’Evoloko…...........
Du coup j’ai honte d’évoquer une autre comparaison bien plus osée que j’avais hésité d’étaler mais comme tout le monde sait que comparaison n’est pas raison, je m’y mets à mon tour : notre Ministre de la Justice qui fait preuve flagrante de son incompétence, qu’il ne connait rien à ses dossiers (ailleurs il n’aurait été passible de rien d’autre sinon d’une démission en règle) connait-il au moins mieux l’histoire de ce pays que la burundaise( !) ?
Il se serait en effet évité une lamentable justification : encore une fois comparaison n’est pas raison surtout à un événement aussi historique que notre Table Ronde, est-il que début 1960 tous les congolais y compris ses acharnés adversaires politiques réclamèrent pour la débuter la présence de PE Lumumba à la Table Ronde alors qu’il croupissait dans les geôles coloniales à Stanleyville (Kisangani) pour un délit avéré de droit commun ?
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Re: ++ CHRISTOPHER NGOY EST LIBRE ++
"tokomi wapi? radek supreme asilikeli alexis tambwe mwamba?"
"tokomi wapi? Ndeko eliezer abimisi lokuta ya gouvernement?"
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Re: ++ CHRISTOPHER NGOY EST LIBRE ++
"Les ambassadeurs accrédités en RDC saluent la libération des prisonniers politiques
° http://www.radiookapi.net/2016/08/22/actualite/politique/les-ambassadeurs-accredites-en-rdc-saluent-la-liberation-des
Les ambassadeurs accrédités en République démocratique du Congo (RDC) ont salué la mesure prise par le gouvernement congolais de libérer les prisonniers politiques, sur demande de des opposants. A l’issue de leur rencontre, lundi 22 août avec le facilitateur du dialogue Edem Kodjo, ils ont indiqué qu’ils lui réitèrent leur soutien.
« Nous avons seulement pris acte que les acteurs politiques congolais avaient demandé dans le cadre de leurs discussions et de la préparation du dialogue que le gouvernement prenne des mesures d’apaisements, parmi lesquels une demande de libération des prisonniers d’opinion », a affirmé le représentant spécial adjoint du Secrétaire général des Nations unies en RDC, Mamadou Diallo.
Il dit avoir compris que les acteurs politiques congolais « ont communiqué avec le gouvernement pour passer cette information et que le gouvernement a pris des décisions concomitamment ».(...)"
"Libération de prisonniers politiques: HRW appelle Kinshasa à faire plus
° http://www.latempete.info/15512-2/
L’Ongdh internationale regrette que d’autres leaders politiques et non de moindres soient toujours en détention
annoncé vendredi dernier, au cours d’une conférence de presse, que quelques prisonniers politiques seront libérés. Il a également annoncé la levée de l’interdiction de deux médias proches de l’opposition, dans le cadre de la décrispation voulue du climat politique, afin de donner des chances de réussite au dialogue politique.
Parmi les prisonniers bénéficiaires de cette mesure figurent les activistes Christopher Ngoyi, Fred Bauma, Yves Makwambala et Jean-Marie Kalonji, ainsi qu’une vingtaine d’autres remis en liberté des semaines voire des mois auparavant. Mais, sur cette liste on ne retrouve pas les noms des opposants Jean-Claude Muyambo, Eugène Diomi Ndongala, Jean de Dieu Kilima, et d’autres qui continuent à croupir en prison depuis plusieurs mois et dont le Rassemblement de l’Opposition continue à réclamer à cor et à cri la libération.
Face à cette situation pour le moins discriminatoire, l’ONGDH Human Rigth Watch exhorte les dirigeants actuels de la RDC à faire plus en libérant les autres prisonniers politiques et d’opinion/ Depuis janvier 2015, le gouvernement a arrêté des dizaines d’activistes, ainsi que des dirigeants et des partisans de partis d’opposition, après leur opposition aux tentatives de prolonger la présidence de Joseph Kabila au-delà de la limite constitutionnelle de deux mandats, dont le second et dernier prend fin le 19 décembre 2016. D’autres ont été arrêtés après avoir participé à des manifestations pacifiques ou d’autres activités politiques.(...)"
"Dialogue: JED demande la réouverture de sept médias de l’opposition fermés
° http://www.radiookapi.net/2016/08/23/actualite/politique/dialogue-jed-demande-la-reouverture-de-sept-medias-de-lopposition
L'ONG Journaliste en danger (JED) demande la réouverture de sept médias de l’opposition fermés depuis quelques années. Dans un communiqué publié lundi 22 août, cette ONG de défense des droits des journalistes dit prendre acte de la décision du gouvernement congolais de rouvrir deux médias, proches de l’opposition, interdits arbitrairement de fonctionner depuis quelques années.
(...)
JED note qu’au moins sept autres médias proches de l’opposition, n’ont pas bénéficié de cette mesure politique pour des raisons inconnues. Cette association cite:
- Radio Lisanga Télévision (RLTV), de Roger Lumbala, interdite de fonctionner depuis le 6 septembre 2012.
- Radio Liberté Beni, appartenant à l’opposant Jean-Pierre Bemba et émettant à Beni, dans la province du Nord-Kivu, fermée depuis le 14 novembre 2014.
- Radiotélévision Lubumbashi JUA (RTLJ), dans la province du Haut-Katanga, une chaîne de Jean-Claude Muyambo, ancien cadre de la mouvance présidentielle, passé dans l’opposition, fermée depuis le lundi 24 novembre 2014.
- Nyota TV et la Radiotélévision Mapendo, deux médias appartenant à monsieur Moïse Katumbi, ancien Gouverneur de l’ex province du Katanga, et candidat déclaré de l’opposition au poste de Président de la République, dont les signaux d’émission ont été brusquement coupés le 28 janvier 2016.
- « La Voix du Katanga », propriété de M. Gabriel Kyungu wa Kumwanza, ancien collaborateur du Président Kabila et du G7. Son média a été fermé depuis le vendredi 11 mars 2016.
JED rappelle également le cas de «Congo News», un journal proche de l’opposition paraissant à Kinshasa, qui a été assiégé, lundi 15 septembre 2014, par un groupe d’agents des services de sécurité. Ces services ont scellé les portes de ce journal jusqu’à ce jour. (...)"
"Un avocat congolais dénonce une liste incomplète annonçant la libération de 24 prisonniers en RDC"
° http://www.voaafrique.com/a/congolais-avocat-denonce-liste-non-complete-annoncant-liberation-24-prisonniers-en-rdc/3475165.html
"Le PLD recommande l’abandon des poursuites contre Moïse Katumbi
° http://www.radiookapi.net/2016/08/22/actualite/en-bref/le-pld-recommande-labandon-des-poursuites-contre-moise-katumbi
Le président du Parti libéral pour le développement (PLD) recommande au gouvernement d’arrêter les poursuites déclenchées contre Moïse Katumbi.
«Le PLD voudrait que toutes les poursuites déclenchées contre Moïse Katumbi soient définitivement abandonnées, si l’objectif du Gouvernement c’est de décrisper le climat politique », propose Jean-Paul Lumbumbu, président de ce parti politique de l’opposition.
Il réagissait, dimanche 21 août à la décision du ministre de la Justice qui avait annoncé vendredi 19 août la libération de 24 prisonniers dits «politiques et d’opinion». Le président du PLD estime que sur cette liste, trois personnes seulement se trouvent en prison. Il s’agit de Fred Bauma de LUCHA, Yves Makwambala de Filimbi et Christopher Ngoy de la société civile, précise-t-il.
«Toutes les vingt et une autres personnes avaient déjà recouvré la liberté. C’est le cas de Juvin Kombi et Pascal Biumanine du mouvement LUCHA et ont quitté la prison depuis le 10 mars 2016 », indique-t-il."
Compatriotiquement!
# Si haut que l'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul #
# Que faisait Dieu avant la création ? De toute éternité, il préparait d'épouvantables supplices pour celui qui poserait cette question. #
ndonzwau
Re: ++ CHRISTOPHER NGOY EST LIBRE ++
"La RDC annonce la libération de cinq nouveaux militants pro-démocratie
° http://www.radiookapi.net/2016/08/26/actualite/justice/la-rdc-annonce-la-liberation-de-cinq-nouveaux-militants-pro-democratie
Une semaine après l'annonce de la libération de 24 "prisonniers politiques et d'opinion", les autorités congolaises ont communiqué celle de cinq militants pro-démocratie en détention à Kinshasa depuis plusieurs mois, afin de décrisper le climat politique en RDC.
J'ai écrit ce jour au procureur général de la République pour procéder aux formalités en vue de libérer quatre activistes de Lucha: Bienvenu Matumo, Victor Tesongo, Héritier Kapitene, Godefroy Mwanabwato ainsi qu'un activiste du mouvement Filimbi: Jean de Dieu Kilima", a déclaré à la presse le ministre congolais de la Justice, Alexis Thambwe Mwamba.
Les cinq hommes "vont devoir quitter la prison de Makala dans les deux, trois jours", a précisé le ministre.
La Lucha (Lutte pour le changement) est un mouvement congolais des jeunes indignés, basé à Goma, dans la province du Nord-Kivu, décidé à demander des comptes aux gouvernants. Le mouvement Filimbi ("coup de sifflet" en swahili) se présente quant à lui comme un collectif de mouvements d'éducation à la citoyenneté.
Le 19 août, le gouvernement avait déjà annoncé la libération de 24 prisonniers, dont Fred Bauma (Lucha) et Yves Makwambala (Filimbi), qui étaient poursuivis par la justice congolaise pour complot contre le président Kabila. Les deux hommes sont encore en détention.
Contacté par l'AFP, la Lucha s'est abstenu de commenter cette nouvelle décision, "en attendant la libération effective" de ses membres.
Ces libérations entrent "dans le cadre des mesures de décrispation politique" alors que se tiennent les travaux préparatoires à des discussions entre la majorité, l'opposition et la société civile, a indiqué M. Thambwe.
Mardi à Kinshasa, l'ex-Premier ministre togolais, Edem Kodjo, facilitateur désigné de l'Union africaine pour ce dialogue, a ouvert les travaux du comité préparatoire.
Convoqué fin novembre 2015 par le président congolais Joseph Kabila, ce dialogue est censé conduire à la tenue d'"élections apaisées" en RDC.
L'opposition dans son ensemble avait d'abord boudé ce dialogue avant de donner son accord moyennant des préalables, notamment la libération de prisonniers politiques et d'opinion.
Mardi, une partie de l'opposition a pris part au lancement des travaux préparatoires du dialogue, alors qu'une autre frange, rassemblée autour de l'opposant historique Étienne Tshisekedi et qui récuse M. Kodjo, a boycotté la rencontre.
Le climat politique est tendu en RDC à mesure qu'approche la fin du mandat de M. Kabila, le 20 décembre.
M. Kabila est au pouvoir depuis 2001, la Constitution lui interdit de se représenter, mais l'opposition soupçonne le chef de l’État de manœuvrer pour s'accrocher à son poste, quitte à reporter la présidentielle censée avoir lieu avant la fin de l'année. La tenue de ce scrutin dans les temps est aujourd'hui hautement improbable.
AFP.
Thambwe Mwamba, ministre de la justice, a annoncé la libération de quatre membres de la LUCHA et un de Filimbi. Il a également signifié que les prisonniers annoncés libres la semaine dernière devront sortir à partir de ce weekend.[size=11]Ecoutez Thambwe Mwamba.« Le ministère a fini l’exemple d’autres dossiers qui concernent cinq personnes. J’ai écrit ce jour au Procureur Général de la République pour procéder aux formalités en vue de libérer quatre activistes de LUCHA : Bienvenu Matumo, Victor Tesongo, Marc-Héritier Kapitene, Godefroid Mwanabwato ainsi que filimbi Jean De Dieu Kilima. Les formalités vont se faire à partir de ce jour. Ils devront quitter la prison de Makala dans les deux ou trois jours qui viennent. Les personnes pour que lesquelles j’ai annoncé la libération le vendredi dernier vont commencer à sortir à partir de ce weekend, » dit le ministre.
° https://soundcloud.com/actualitecd/urgent-thambwe-mwamba-annonce-la-liberation-de-cinq-autres-prisonniers° https://actualite.cd/2016/08/26/urgent-thambwe-mwamba-annonce-liberation-de-cinq-autres-prisonniers-document/[/size]
"Des prisonniers libérés toujours en prison!
° http://www.politico.cd/actualite/la-une/2016/08/26/prisonniers-liberes-toujours-prison.html
Le gouvernement a annoncé ce matin la libération de cinq activistes politiques, alors que ceux déjà libérés sont toujours en prison, dans l'attente de "l'effectivité de leur bon de sortie".
(…)
Cette mesure, qui intervient quelques jours après le début des travaux du comité préparatoire du Dialogue politique en République démocratique du Congo, ne libère pour autant pas immédiatement les activistes Marcel-Héritier Kapitene, Victor Tesongo, Bienvenu Matumo, Godefroy Mwanabwato et Jean de Dieu Kilimu. Ils doivent attendre l’effectivité de leur libération, à l’issue des démarches administratives qui risquent de prendre plusieurs jours.
Pour le Ministre de la Justice, Alexis Thambwe Mwambwa, les cinq activistes sortiront dans « les deux ou trois jours. »
Une situation qui inquiète notamment l’Association congolaise pour l’Accès à la Justice (ACAJ). Pour son président, Georges Kapiamba: « même si l’annonce de leur libération est à saluer, il faut continuer à combattre« .
« Nous prenons acte de cette annonce, nous restons mobilisés pour que ça se traduise en acte concret (…) depuis le 19 du mois en cours, la même annonce était faite (…) mais jusqu’à ce jour, ils sont toujours en détention« , réagi le président de l’ACAJ sur Politico.cd
De son côté, le ministère de la justice affirme que « tous les prisonniers seront effectivement libérés »
« Ils seront libérés, c’est juste une question de procédure administratives qu’il faut suivre« , réagi une source proche du Ministre Thambwe Mwamba.
Par ailleurs, Georges Kapiamba fait savoir qu’il y a plusieurs autres prisonniers politiques toujours en détention.
« Il s’agit notamment de Diomi Ndongala et Jean-Claude Muyambo« , ajoute-t-il.
Ecoutez l’entretien avec Georges Kapiamba sur Politico.cd"
° https://soundcloud.com/politicordc/des-prisonniers-liberes-toujours-en-prison
"Libération des prisonniers politiques: deux ONG dénoncent la discrimination
° http://www.radiookapi.net/2016/08/24/actualite/societe/liberation-des-prisonniers-politiques-deux-ong-denoncent-la
Basées à Bunia (Ituri), les ONG des droits de l’Homme «Collectif sauvons le Congo» et «Justice Plus» accusent le chef de l’Etat Joseph Kabila de grâcier les prisonniers politiques et d’opinion de manière discriminatoire. Elles ont exprimé leurs indignations dans un communiqué de presse publié, mardi 23 août, soit cinq jours après que le ministre de la Justice a annoncé la libération de 24 prisonniers.
Selon ces ONG, les prisonniers de l’ex-Province Orientale ne figurent pas sur les listes des prisonniers grâciés par le chef de l’Etat, ni sur celles du ministre de la Justice.
Le coordonnateur de l’ONG «Sauvons le Congo», Me David Mokili, demande au gouvernement de libérer les prisonniers politiques de cette partie du pays pour une bonne tenue du dialogue politique national. Il cite notamment:
- Firmin Yangambi
- Godefroid Mwanabwato
- Floribert Njabu
- Pitchou Iribi
- Germain Katanga
- Cherif Manda
- Koliba.
«Le chef de l’Etat est en train de pratiquer une discrimination à l’égard de certaines provinces, dont nous sommes victimes. Il faudrait que l’Ituri aussi bénéficie parce que nous sommes tous concernés par cette situation de dialogue national», a souligné Me David Mokili.
Pour l’ONG Justice Plus, la mesure de grâce présidentielle n’a pas tenu compte de la géopolitique de la RDC.
Le parti politique de la Majorité Front des nationalistes et intégrationistes (FNI) déplore, de son côté, que son leader, Floribert Njabu croupit depuis 11 ans à la prison centrale de Makala sans jugement pendant que «certains groupes armés du Nord-Kivu tels que le M23 sont amnistiés plusieurs fois.»
«Nous demandons à l’autorité suprême de ce pays de veiller à ce que la justice soit rendue à notre leader et à tous les cadres arrêtés. Il a signé des amnisties pour les éléments du M23, qui continuent à endeuiller cette partie [Est de la RDC]», a indiqué Ngabu Kpari, cadre du FNI.
Radio Okapi a tenté sans succès d’avoir la réaction du ministre de la Justice sur les revendications de ces organisations"
"Prisonniers politiques et d’opinion en RD Congo : finalement qui sort, qui reste ?
° http://www.jeuneafrique.com/351350/politique/rd-congo-prisonniers-politiques-dopinion-finalement-sort-reste/
Le 19 août, le gouvernement congolais a ordonné la libération de 24 prisonniers politiques et d'opinion. Problème : certains détenus sont déjà dehors tandis que d'autres n'ont pas vu leur nom inscrit sur la liste des personnes à libérer. Et ceux qui ont bénéficié de la mesure n'ont toujours pas été libérés. Jeune Afrique fait le point.
Libres mais (encore) en prison
À quelle date seront-ils libérés ? Christopher Ngoie Mutamba, Fred Bauma, Yves Makwambala et Jean-Marie Kalonji, quatre militants de la société civile dont les noms ont été repris sur la liste des 24 personnes concernées par la « mesure de décrispation politique » en RD Congo, croupissent encore dans les cellules du Centre pénitentiaire et de rééducation de Kinshasa (CPRK), connue sous le nom de la prison de Makala.
« Près d’une semaine après l’annonce du gouvernement [le 19 août], ces prisonniers d’opinion ne sont toujours pas informés des modalités pratiques de leur libération », s’inquiète Me George Kapiamba. Contacté par Jeune Afrique le 24 août, l’avocat et président de l’Association congolaise pour l’accès à la Justice (ACAJ) confie qu’il a adressé lundi une correspondance à Alexis Thambwe-Mwamba, ministre de la Justice, demandant à ce dernier d’« intervenir de manière à ce que les précités recouvrent leur liberté ».
D’après nos informations, le directeur de la prison de Makala et les parquets se renvoient la balle. « Le premier dit attendre un document du second pour procéder à la libération des personnes bénéficiaires de la mesure gouvernementale alors que les procureurs, eux, considèrent qu’ils ne leur appartient pas de prendre une quelconque décision dans ce sens », indique une source proche du dossier. Mais au ministère de la Justice, on se veut rassurant. « Nous y travaillons et les quatre militants seront bientôt libérés », assure un conseiller du ministre, sans donner d’amples précisions.Voir l'image sur Twitter
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Jean-Marie KALONJI @JeanMarieKALON1
MESURE DE DÉCRISPATION#Jusque là pas de libération effective#en plus il s'agit d'une liberté conditionnelle#honte.
11:39 - 23 Août 2016
Déjà libres mais… sur la liste des personnes à libérer
En attendant, la polémique enfle autour de la liste même des personnes à libérer. Vingt détenus sur les 24 cités sont déjà dehors depuis plusieurs semaines, voire depuis quelques mois. « Certains ont soit été acquittés (c’est le cas de trois étudiants : Giresse Bongomisa Nzinga, Joël Namulinda Bokuru et Léon Nguwa), soit ont bénéficié de la liberté provisoire (Jerry Olenga et Paulin Lody), soit ont purgé leur peine (Narcisse Kombi, Pascal Byumanine et sept manifestants arrêtés en novembre 2015 à Goma, ainsi que Paul Kikuma), soit ont été libérés par l’Agence nationale de renseignement sans aucune explication (comme le rappeur Radek Junior Mapeke N’landu) », commente Me Kapiamba, dont l’ONG exige la révocation du garde des Sceaux congolais pour « faute lourde ».
Il va sans dire que beaucoup reste à faire, selon le facilitateur Edem Kodjo
Alexis Thambwe-Mwamba serait-il le seul responsable de cet imbroglio judiciaire ? Du côté des autorités congolaises, on se défend en brandissant sa bonne foi. « C’est depuis le 4 août qu’une délégation de l’Union européenne a transmis aux institutions de la République la liste de ces personnes à libérer telle qu’établie par les membres du ‘Rassemblement’ de l’opposition lors de leur rencontre début juin à Genval autour d’Étienne Tshisekedi », avance une source gouvernementale.
La Lutte pour le changement (Lucha), mouvement citoyen très actif dans l’est de la RDC et dont des membres sont encore en détention (Bienvenu Matumo, Héritier Marcel Kapiteni et Victor Tesongo), parle de « négligence » et n’épargne personne : « Nous reprochons d’abord au ‘Rassemblement’ de l’opposition de n’avoir pas transmis une liste à jour à la délégation de l’UE, puis au ministère de la Justice de n’avoir pas vérifié, par le canal de ses services au parquet et à la prison, qui était vraiment en état de détention, mais aussi au facilitateur Edem Kodjo qui s’est précipité de confirmer la libération des 24 détenus alors que seules quatre personnes sont réellement concernées », déplore l’un des militants.
« Il n’y aucun quiproquo, a rétorqué le ministre Alexis Thambwe-Mwamba. La liste remise au ministère comportait 26 noms et pas un de plus. Elle a été jointe à une lettre signée par l’ambassadeur de l’UE (…). Le ministère a donné son feu vert pour libérer 24 des 26 personnes reprises sur la liste, en précisant, par écrit, aux procureurs généraux concernés, à savoir ceux des parquets généraux de Kinshasa/Gombe, Kinshasa/Matete et Goma, qu’ils devaient prendre les mesures pour libérer celles des personnes encore détenues figurant sur la liste ».
« Il va sans dire que beaucoup reste à faire », a reconnu mardi Edem Kodjo lors du lancement des travaux du comité préparatoires du dialogue politique en RDC. « Nous remettrons cent fois, mille fois, sur le métier, l’ouvrage essentiel, jusqu’à ce qu’il n’y ait plus un seul détenu politique dans les prisons (…) », a promis l’ancien Premier ministre togolais, encourageant le gouvernement à prendre d’autres mesures de décrispation politique.
En attente de libération ou d’abandon des poursuites
À en croire plusieurs sources concordantes, plus de 80 prisonniers politiques et d’opinion déjà amnistiés n’ont toujours pas quitté les différentes geôles où ils sont enfermés à travers le pays. Leurs noms ont été transmis le 10 août à Edem Kodjo, au gouvernement congolais et à ses partenaires internationaux par l’ACAJ.
Selon cette ONG qui suit de près le dossier, outre les quatre militants de la société civile bénéficiaires de la « mesure de décrispation » – mais qui attendent encore leur libération -, la RDC compte aujourd’hui quelque 111 détenus politiques ou d’opinion, les amnistiés non libérés compris.
Le pouvoir de Kabila a l’opportunité de se ressaisir, estime un proche de Katumbi
Dans le lot, on trouve entre autres les opposants Jean-Claude Muyambo, président de la Solidarité congolaise pour la démocratie et le développement (Scode) et Eugène Diomi Ndongala, leader de la Démocratie chrétienne (DC), poursuivi dans une affaire de spoliation pour le premier et de viol pour le second. Des « procès politiques », selon leurs proches.
Plusieurs proches de Moïse Katumbi, incarcérés à Lubumbashi et à Kinshasa, font également partie du décompte. Le dernier gouverneur du Katanga, condamné à trois ans de prison dans un litige immobilier et inculpé d’atteinte à la sûreté de l’État, ne cesse de dénoncer une « machination politique » ayant pour but de l’empêcher de se présenter à la présidentielle.
« Aujourd’hui, au nom du dialogue inclusif, le pouvoir de Kabila a l’opportunité de se ressaisir en abandonnant toutes les condamnation et poursuites bidons engagées » contre le candidat déclaré à la présidentielle, explique l’un de ses proches. « D’autant que dans l’affaire du mercenariat, l’Américain que la justice avait présenté comme le principal suspect a été relâché et la juge principale dans l’affaire immobilière a expliqué récemment comment elle a été contrainte à condamner Moïse Katumbi », ajoute-t-il. "
"Thambwe Mwamba : «Je n’ai pas inventé la liste des prisonniers politiques»
° http://www.radiookapi.net/2016/08/23/actualite/politique/thambwe-mwamba-je-nai-pas-invente-la-liste-des-prisonniers-politiques
Appelé à démissionner et accusé d’avoir trafiqué la liste des prisonniers politiques de l’opposition, le ministre de la Justice et Droits humains, Alexis Thambwe Mwamba, fustige ses détracteurs de la plate-forme Rassemblement et de quelques ONG de défense des droits de l’homme.
« Je n’ai pas inventé cette liste. Elle m’a été remise de manière officielle avec copie au président de l’Assemblée [nationale]. Et nous n’avons traité que cette liste là. Elle a été remise de manière officielle », a affirmé Alexis Thambwe Mwamba, dans une interview accordée mardi 23 août Radio Okapi.
Il a indiqué qu’il n’a traité que la liste officiellement établie par l’opposition.
« S’ils ont ajouté d’autres choses, c’est après. Toutes les personnes qui sont sur la liste officielle qui a été déposée sont désormais libres. J’ai reçu une liste supplémentaire de 4 noms mais ça ne pose pas de problèmes parce que ces noms sont éligibles aux grâces présidentielles », martèle le ministre.
Quant à savoir pourquoi les prisonniers passés pour libres immédiatement croupissent toujours en prison, Alexis Thambwe Mwamba indique qu’une commission judiciaire travaille pour que tous les bénéficiaires de la grâce présidentielle soient libres.
L'opposition accuse le ministre de n'avoir pas répondu à leurs conditions avant de prendre part au dialogue politique. Le G7 par exemple avait estimé que ces libérations jugées non exhaustives étaient un trompe-l'oeil. Dans sa lettre du 20 août, le Rassemblement a indiqué que sur les 112 prisonniers politiques, seuls 4 ont bénéficié de la mesure de libération provisoire."
Compatriotiquement!
# Si haut que l'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul #
# Que faisait Dieu avant la création ? De toute éternité, il préparait d'épouvantables supplices pour celui qui poserait cette question. #
ndonzwau
Re: ++ CHRISTOPHER NGOY EST LIBRE ++
Yannick Pyren's Luntadila
URGENT ! Nos camarades de lutte Fred Bauma et Yves Makwambala viennent d'être libérés, sur decision de la Cour Suprême de Justice. Ils bénéficient d'une "liberté provisoire", après 18 mois et 15 jours de detention sans procès. Le défenseur des droits de l'homme, le camarade Christopher Mutamba NGOY, également détenu avec eux, est quand à lui libéré et les poursuites contre lui levées.
Merci au Président élu, Président du rassemblement, le Docteur Etienne TSHISEKEDI pour son implication et ceux des membres du rassemblement. La lutte continue pour obtenir la libération des camarades DIOMI, MUYAMBO, ...... SEULE LA LUTTE LIBERE.
URGENT ! Nos camarades de lutte Fred Bauma et Yves Makwambala viennent d'être libérés, sur decision de la Cour Suprême de Justice. Ils bénéficient d'une "liberté provisoire", après 18 mois et 15 jours de detention sans procès. Le défenseur des droits de l'homme, le camarade Christopher Mutamba NGOY, également détenu avec eux, est quand à lui libéré et les poursuites contre lui levées.
Merci au Président élu, Président du rassemblement, le Docteur Etienne TSHISEKEDI pour son implication et ceux des membres du rassemblement. La lutte continue pour obtenir la libération des camarades DIOMI, MUYAMBO, ...... SEULE LA LUTTE LIBERE.
Mathilde
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