Que pense l´admn de Sindika Dokolo ?
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Admin
GHOST
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Que pense l´admn de Sindika Dokolo ?
¤ DOKOLO.. l´oligarque congolais..
Ce n´est pas l´histoire de DOKOLO, le premier africain a avoir fondé une banque..mais de son fils Sindika, metis de mère danoise**
Nous souhaitons partager avec les lecteurs ce qu´il est entrain de dire sur la RDC*
http://www.jeuneafrique.com/mag/392957/politique/interview-sindika-dokolo-prochains-oligarques-seront-africains/
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Ce n´est pas l´histoire de DOKOLO, le premier africain a avoir fondé une banque..mais de son fils Sindika, metis de mère danoise**
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http://www.jeuneafrique.com/mag/392957/politique/interview-sindika-dokolo-prochains-oligarques-seront-africains/
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GHOST
Re: Que pense l´admn de Sindika Dokolo ?
Troll,
Je dois t'avouer que j'ai acheté ce numéro la semaine passée pour ça.
Et puis, je suis un afro-optimiste sur le plan économique et financière, et S Dokolo se présente également de cette catégorie.
Mais 3 choses ont retenu mon attention.
D'abord il fait attention aux choix des mots, donc la portée de ses propos sont bien mesurée, selon ses propres déclarations.
1. Je retiens donc, qu’il serait sur le point de récupérer la banque de son père, donc jouer un rôle clé dans le secteur financier de la RDC.
2. Je retiens également ses révélations sur les liens qu’il a avec Olivier Kamitatu qu’il considère comme son grand frère et surtout les liens avec Moise Katumbi, qu’il encense carrément.
3. Je retiens enfin, je réalise plus précisément qu’il s’agit bien du bokilo de Dos Santos, du coup … Je me dis s’il n’est pas celui qui murmure à l’oreille de Dos Santos au point de l’emmener à lâcher Joseph?
Je dois t'avouer que j'ai acheté ce numéro la semaine passée pour ça.
Et puis, je suis un afro-optimiste sur le plan économique et financière, et S Dokolo se présente également de cette catégorie.
Mais 3 choses ont retenu mon attention.
D'abord il fait attention aux choix des mots, donc la portée de ses propos sont bien mesurée, selon ses propres déclarations.
1. Je retiens donc, qu’il serait sur le point de récupérer la banque de son père, donc jouer un rôle clé dans le secteur financier de la RDC.
2. Je retiens également ses révélations sur les liens qu’il a avec Olivier Kamitatu qu’il considère comme son grand frère et surtout les liens avec Moise Katumbi, qu’il encense carrément.
3. Je retiens enfin, je réalise plus précisément qu’il s’agit bien du bokilo de Dos Santos, du coup … Je me dis s’il n’est pas celui qui murmure à l’oreille de Dos Santos au point de l’emmener à lâcher Joseph?
Admin- Admin
Le choix des mots...
Malgre que la question a ete posee a Admin, je pense que je peut aussi intervenir.
Dokolo fils parle des Oligarques...Un mal,un danger et une catastrophe pour la Russie. Si ce modele arrive en Afrique,eh bien nous sommes perdus pour de bon.
Il parle de Moise,Olivier des metis comme lui...une caste qui tend vers le pouvoir politique en RDC(pardonnez mon tribalisme).
La Rdc et l'Angola ont plusieurs choses en commun mais surtout le fait d'etre de pays qui ne vivent que de "la chasse et de la ceuillette"...
Dokolo fils parle des Oligarques...Un mal,un danger et une catastrophe pour la Russie. Si ce modele arrive en Afrique,eh bien nous sommes perdus pour de bon.
Il parle de Moise,Olivier des metis comme lui...une caste qui tend vers le pouvoir politique en RDC(pardonnez mon tribalisme).
La Rdc et l'Angola ont plusieurs choses en commun mais surtout le fait d'etre de pays qui ne vivent que de "la chasse et de la ceuillette"...
Kakato
Re: Que pense l´admn de Sindika Dokolo ?
kakato oza racisteKakato a écrit:Malgre que la question a ete posee a Admin, je pense que je peut aussi intervenir.
Dokolo fils parle des Oligarques...Un mal,un danger et une catastrophe pour la Russie. Si ce modele arrive en Afrique,eh bien nous sommes perdus pour de bon.
Il parle de Moise,Olivier des metis comme lui...une caste qui tend vers le pouvoir politique en RDC(pardonnez mon tribalisme).
La Rdc et l'Angola ont plusieurs choses en commun mais surtout le fait d'etre de pays qui ne vivent que de "la chasse et de la ceuillette"...
Admin- Admin
Re: Que pense l´admn de Sindika Dokolo ?
C'est la S.be.ka (seti-beba et kengo) clan de metis qui sera de retour...Admin a écrit:kakato oza racisteKakato a écrit:Malgre que la question a ete posee a Admin, je pense que je peut aussi intervenir.
Dokolo fils parle des Oligarques...Un mal,un danger et une catastrophe pour la Russie. Si ce modele arrive en Afrique,eh bien nous sommes perdus pour de bon.
Il parle de Moise,Olivier des metis comme lui...une caste qui tend vers le pouvoir politique en RDC(pardonnez mon tribalisme).
La Rdc et l'Angola ont plusieurs choses en commun mais surtout le fait d'etre de pays qui ne vivent que de "la chasse et de la ceuillette"...
Imperium
Re: Que pense l´admn de Sindika Dokolo ?
FIER DE SON PERE*
Nous decouvrons un "congolais" qui parle avec respect et même très fier d´avoir eu un "père " qui est son idol, un père qui se levait á 4 h pour contrôler ses chantiers..
Nous decouvrons aussi un "congolais" qui fait l´honneur de son pays en Angola car membre de la famille de Dos Santos où il a été accepté et travaille dans l´ombre du pouvoir
Sindika est plus que congolais quand il explique les "injustices" qui font reculer le Congo et sa vision d´un Congo plus performant ayant des entrepreneurs, des jeunes acteurs d´une nouvelle génération capables de créer quelque chose de bien pour le pays
Ceux qui n´ont pas des enfants "metis" ne peuvent sans doute pas comprendre pourquoi un "metis" comme Obama a fait l´honneur des pendant 8 ans..quand Trump qui a pris sa place enfonce les USA (dèjà) dans des crises diplomatiques
Obama a toujours été traité d´africain et pas de "metis"
Nous decouvrons un "congolais" qui parle avec respect et même très fier d´avoir eu un "père " qui est son idol, un père qui se levait á 4 h pour contrôler ses chantiers..
Nous decouvrons aussi un "congolais" qui fait l´honneur de son pays en Angola car membre de la famille de Dos Santos où il a été accepté et travaille dans l´ombre du pouvoir
Sindika est plus que congolais quand il explique les "injustices" qui font reculer le Congo et sa vision d´un Congo plus performant ayant des entrepreneurs, des jeunes acteurs d´une nouvelle génération capables de créer quelque chose de bien pour le pays
Ceux qui n´ont pas des enfants "metis" ne peuvent sans doute pas comprendre pourquoi un "metis" comme Obama a fait l´honneur des pendant 8 ans..quand Trump qui a pris sa place enfonce les USA (dèjà) dans des crises diplomatiques
Obama a toujours été traité d´africain et pas de "metis"
GHOST
Re: Que pense l´admn de Sindika Dokolo ?
Troll a écrit: FIER DE SON PERE*
Nous decouvrons un "congolais" qui parle avec respect et même très fier d´avoir eu un "père " qui est son idol, un père qui se levait á 4 h pour contrôler ses chantiers..
Nous decouvrons aussi un "congolais" qui fait l´honneur de son pays en Angola car membre de la famille de Dos Santos où il a été accepté et travaille dans l´ombre du pouvoir
Sindika est plus que congolais quand il explique les "injustices" qui font reculer le Congo et sa vision d´un Congo plus performant ayant des entrepreneurs, des jeunes acteurs d´une nouvelle génération capables de créer quelque chose de bien pour le pays
Ceux qui n´ont pas des enfants "metis" ne peuvent sans doute pas comprendre pourquoi un "metis" comme Obama a fait l´honneur des pendant 8 ans..quand Trump qui a pris sa place enfonce les USA (dèjà) dans des crises diplomatiques
Obama a toujours été traité d´africain et pas de "metis"
Voila!!!
Troll commence a nous faire les eloges de son autre idole...
Qu'il commence d'abord a justifier les milliards qu'ils ont gagne grace au petrol. Il commence a parler au moment ou son beau-pere decide de ne plus se representer a la presidentielle prochainement...coincidence?
Don't get me wrong, j'aime Dos Santos...
zobattants
Re: Que pense l´admn de Sindika Dokolo ?
Admin a écrit:kakato oza racisteKakato a écrit:Malgre que la question a ete posee a Admin, je pense que je peut aussi intervenir.
Dokolo fils parle des Oligarques...Un mal,un danger et une catastrophe pour la Russie. Si ce modele arrive en Afrique,eh bien nous sommes perdus pour de bon.
Il parle de Moise,Olivier des metis comme lui...une caste qui tend vers le pouvoir politique en RDC(pardonnez mon tribalisme).
La Rdc et l'Angola ont plusieurs choses en commun mais surtout le fait d'etre de pays qui ne vivent que de "la chasse et de la ceuillette"...
Admin,eza racisme te)))suis moi meme pere de quelques Obama. Eza makambu.
Kakato
Re: Que pense l´admn de Sindika Dokolo ?
zobattants a écrit:Troll a écrit: FIER DE SON PERE*
Nous decouvrons un "congolais" qui parle avec respect et même très fier d´avoir eu un "père " qui est son idol, un père qui se levait á 4 h pour contrôler ses chantiers..
Nous decouvrons aussi un "congolais" qui fait l´honneur de son pays en Angola car membre de la famille de Dos Santos où il a été accepté et travaille dans l´ombre du pouvoir
Sindika est plus que congolais quand il explique les "injustices" qui font reculer le Congo et sa vision d´un Congo plus performant ayant des entrepreneurs, des jeunes acteurs d´une nouvelle génération capables de créer quelque chose de bien pour le pays
Ceux qui n´ont pas des enfants "metis" ne peuvent sans doute pas comprendre pourquoi un "metis" comme Obama a fait l´honneur des pendant 8 ans..quand Trump qui a pris sa place enfonce les USA (dèjà) dans des crises diplomatiques
Obama a toujours été traité d´africain et pas de "metis"
Voila!!!
Troll commence a nous faire les eloges de son autre idole...
Qu'il commence d'abord a justifier les milliards qu'ils ont gagne grace au petrol. Il commence a parler au moment ou son beau-pere decide de ne plus se representer a la presidentielle prochainement...coincidence?
Don't get me wrong, j'aime Dos Santos...
Je ne suis pas Sindika Dokolo,mais je peux dire que ce nom est une marque connue des RDcongolais ayant vecu dans les annees 60jusque vers le milieu des annes 80. La fortune de Dokolo etait connue de tous et il ne faisait pas de politique,cela est une des cause ses deboires. Les milliards de Sindinka s'il y'en a n'ont pas etre justifies,mais par contre ceux de Miko,Rwema...etc..
Kakato
Re: Que pense l´admn de Sindika Dokolo ?
Kakato a écrit:
Je ne suis pas Sindika Dokolo,mais je peux dire que ce nom est une marque connue des RDcongolais ayant vecu dans les annees 60jusque vers le milieu des annes 80. La fortune de Dokolo etait connue de tous et il ne faisait pas de politique,cela est une des cause ses deboires. Les milliards de Sindinka s'il y'en a n'ont pas etre justifies,mais par contre ceux de Miko,Rwema...etc..
KAKATO
Parfois on se demande comment certains intervenants sont des "congolais" sans connaitre l´histoire du Congo DOKOLO n´a jamais été cacique du MPR, et n´a jamais eu des activités "politiques" Sa fortune comme son fils l´explique si bien est le fruit d´un travail Si son fils est "riche", cela n´est pas une surprise, il "travaille" comme son père et merite sa richesse
Nous devons encourager ceux des congolais qui sont l´espoir d´un Congo meilleur dans un futur proche
L´admnistrateur de ce site et ses amis sont certainement sur la liste de ceux congolais qui peuvent transformer notre pays dans l´avenir
GHOST
Re: Que pense l´admn de Sindika Dokolo ?
Malheureusement en RDC depuis quelque temps on croit que la richesse ne vient qu'en faisant la politique
Quand quelqu'un sort du lot on spolie,soi disant "les cadeaux de la 2eme republique". Ceux qui ont arrache les biens de Dokolo sont encore la...des eternels improductifs ...totika kaka
Quand quelqu'un sort du lot on spolie,soi disant "les cadeaux de la 2eme republique". Ceux qui ont arrache les biens de Dokolo sont encore la...des eternels improductifs ...totika kaka
Kakato
Re: Que pense l´admn de Sindika Dokolo ?
Vraiment!Kakato a écrit:Malheureusement en RDC depuis quelque temps on croit que la richesse ne vient qu'en faisant la politique
Quand quelqu'un sort du lot on spolie,soi disant "les cadeaux de la 2eme republique". Ceux qui ont arrache les biens de Dokolo sont encore la...des eternels improductifs ...totika kaka
Admin- Admin
Re: Que pense l´admn de Sindika Dokolo ?
Admin a écrit:Vraiment!Kakato a écrit:Malheureusement en RDC depuis quelque temps on croit que la richesse ne vient qu'en faisant la politique
Quand quelqu'un sort du lot on spolie,soi disant "les cadeaux de la 2eme republique". Ceux qui ont arrache les biens de Dokolo sont encore la...des eternels improductifs ...totika kaka
C' est pas vrai...
ce n'est pas depuis quelque temps... Cette histoire de detournements a commence depuis 1965 sous mobutu. ne changez pas l'histoire.
les valeurs actuelles sont les resultats de nos vieux politiciens.
Pour ce qui concerne Dokolo,il appartient aussi a la famille Dos Santos. Elle devenue milliardaire en dollars par voie de business n'est ce pas?...Bravo
zobattants
Re: Que pense l´admn de Sindika Dokolo ?
HOW LONG DOES IT TAKE FOR BLACK MONEY TO GO WHITE?
But who is Sindika Dokolo? An internet search turns up few references, the most informative being a 1999 Common Ground radio interview about the economic situation in the Congo, in which Dokolo is cited as representing Congolese business interests (“dressed impeccably in a double-breasted suit”) blaming the collapse of the country’s banking system on then-leader Laurent Kabila, who had recently toppled the 32-year regime of Joseph Mobutu-Sese Seko.
Further research reveals an alternative story, however. A July 2006 article in the French-language newspaper La Conscience titled “The Dokolo Affair” alleges that under the Mobutu regime, Sindika Dokolo’s father, Sanu, created the Bank of Kinshasa, which channeled money to members of his own family — including his son Sindika, then still a minor — bilking the state and normal depositors of more than $80 million dollars when it imploded in 1986. Given the scope of the economic devastation left behind by the Bank of Kinshasa, the issue is apparently still very much alive — the article cites Mupepe Lebo, an independent auditor investigating the Dokolos’ legal maneuverings to keep the money, who accuses Sanu Dokolo’s heirs of “mafia-like” activity.
In 2002, in what might be called a classic marriage of state, Sindika Dokolo married Isabel dos Santos, the daughter of José Eduardo dos Santos, who has ruled neighboring Angola since his disputed 1979 election sparked the bloody Angolan civil war (a long-awaited new round of elections was once again postponed this year). Noted for her lavish lifestyle, Isabel is often described as a shrewd businesswoman with controlling interests in dozens of prominent companies — though news articles in the Lisbon newspaper Expresso and the Africa Monitor suggest that her endeavors have been heavily backed and subsidized by the state. One of the richest people in Angola, Isabel dos Santos is identified as a prominent member of Futungo, a patronage network of about 200 well-placed individuals and families close to President dos Santos, supposedly responsible for siphoning off some $2 billion in state revenues for personal gain (Angola became the second African member of OPEC this year), in what the U.K. group Global Witness has described as “wholesale state robbery.”
The lavish lifestyle of Angola’s ruling elite contrasts dramatically with the living conditions of most of Angola’s 13 million people. “A typical Angolan has slim hopes of getting a job, an education or even staying alive for very long,” wrote Declan Walsh in the Independent in 2002. “Average life expectancy is 45, unemployment is 80 per cent and three out of 10 children do not even see their fifth birthday.” The state of affairs is much the same today, with a tiny Angolan elite segregated from their countrymen, often literally, by armed guards and fences.
Lisez la suite sur ce lien:
http://powermoneysex.org.za/how-long...ey-to-go-good/
But who is Sindika Dokolo? An internet search turns up few references, the most informative being a 1999 Common Ground radio interview about the economic situation in the Congo, in which Dokolo is cited as representing Congolese business interests (“dressed impeccably in a double-breasted suit”) blaming the collapse of the country’s banking system on then-leader Laurent Kabila, who had recently toppled the 32-year regime of Joseph Mobutu-Sese Seko.
Further research reveals an alternative story, however. A July 2006 article in the French-language newspaper La Conscience titled “The Dokolo Affair” alleges that under the Mobutu regime, Sindika Dokolo’s father, Sanu, created the Bank of Kinshasa, which channeled money to members of his own family — including his son Sindika, then still a minor — bilking the state and normal depositors of more than $80 million dollars when it imploded in 1986. Given the scope of the economic devastation left behind by the Bank of Kinshasa, the issue is apparently still very much alive — the article cites Mupepe Lebo, an independent auditor investigating the Dokolos’ legal maneuverings to keep the money, who accuses Sanu Dokolo’s heirs of “mafia-like” activity.
In 2002, in what might be called a classic marriage of state, Sindika Dokolo married Isabel dos Santos, the daughter of José Eduardo dos Santos, who has ruled neighboring Angola since his disputed 1979 election sparked the bloody Angolan civil war (a long-awaited new round of elections was once again postponed this year). Noted for her lavish lifestyle, Isabel is often described as a shrewd businesswoman with controlling interests in dozens of prominent companies — though news articles in the Lisbon newspaper Expresso and the Africa Monitor suggest that her endeavors have been heavily backed and subsidized by the state. One of the richest people in Angola, Isabel dos Santos is identified as a prominent member of Futungo, a patronage network of about 200 well-placed individuals and families close to President dos Santos, supposedly responsible for siphoning off some $2 billion in state revenues for personal gain (Angola became the second African member of OPEC this year), in what the U.K. group Global Witness has described as “wholesale state robbery.”
The lavish lifestyle of Angola’s ruling elite contrasts dramatically with the living conditions of most of Angola’s 13 million people. “A typical Angolan has slim hopes of getting a job, an education or even staying alive for very long,” wrote Declan Walsh in the Independent in 2002. “Average life expectancy is 45, unemployment is 80 per cent and three out of 10 children do not even see their fifth birthday.” The state of affairs is much the same today, with a tiny Angolan elite segregated from their countrymen, often literally, by armed guards and fences.
Lisez la suite sur ce lien:
http://powermoneysex.org.za/how-long...ey-to-go-good/
Imperium
Re: Que pense l´admn de Sindika Dokolo ?
VOICI L'IDOLE DE TROLL....
Ce sont les années fric qui ont fait l’arrivée des patrons type Dokolo. À une période des années Maréchal, alors que la Gécamines faisait du milliard de dollars/an en exportant aux usines belges d’Hobokken 450.000 tonnes de cuivre, le fric était pris à la pelle à Kinshasa et dans les principales villes du pays. Des candidats patrons parfumés en bonne compagnie ont surgi du néant pour faire des sous. Dokolo en fait partie. Modèle de réussite à l’ouest quand d’autres faisaient du commerce du manioc, lui, étincelant, brillant de mille feux, a voulu voir loin, très loin. Il a bâti la BK pour pomper du fric en direction d’une multitude de sociétés de son holding n’ayant que ses enfants... mineurs comme... associés. L’incroyable toile démontée.
MISE EN LIGNE LE 22 MAI 2006 | ÉDITION «LE SOFT INTERNATIONAL2» N°860 DATÉ 24 MAI.
Et... c’est la suite. Augustin Dokolo Sanu, le patron doré des années Mobutu, celui-là qui eut l’ingénieuse idée de se jeter dans l’aventure de la banque sans y avoir au préalable ni les qualifications techniques, ni l’éthique requises, mais a réalisé tout de même le miracle de faire de la BK, la Banque de Kinshasa, comme il l’écrit lui-même dans une lettre confession datant du 27 juillet 1972, un établissement bancaire suscitant «admiration et envie» à l’étranger avant d’avaler son pain blanc - il l’avoue dans la même lettre - «la banque a cessé d’être crédible à l’intérieur comme à l’extérieur du pays», «les lignes de crédit dont bénéficiait la banque sont devenues inutilisables», du fait de l’existence des engagements non honorés», «sur le plan interne et externe, la banque se trouve dans une situation de blocage total» - doit aujourd’hui faire face à une situation de liquidation forcée commandée par les mesures d’assainissement du secteur financier national autant que par les bailleurs des fonds, Banque Mondiale et Fmi en tête.
Des années après sa disparition, on en sait plus sur une gestion de l’ex-Zaïre de l’époque des années de vache grasse mais aussi de banditisme financier.
Certes, la zaïrianisation a pu alourdir l’ardoise de la BK. Mais les états financiers que dresse désormais le liquidateur indépendant Mupepe Lebo laissent peu de place au doute. Les mots sont lâchés: bradage, pillage, etc. L’épargne populaire en a souffert, lors de ces années, et les tragédies dans les modestes familles sont légion.
FRAUDE AVÉRÉE.
Pourtant, Dokolo Sanu le reconnaît dans cette lettre au commissaire d’État (ministre) de l’époque en charge du Portefeuille de l’État, Edouard Mambu ma Khenzu Makulu.
«Une banque, c’est avant tout l’argent des déposants. Cet argent a été distribué sans discernement aux tiers sous forme de crédits aux clients et même au personnel de la banque», reconnaît-il (lettre cit KM/BD/1006588 du 27 juillet 1976).
Puis: «Cette situation a engerdré de très graves difficultés de trésorerie qui placent en fait la banque en position de cessation de payements» (lettre op. cit.).
Dans une «note de presse» publiée à Kinshasa en date du 20 mai 2006, le liquidateur indépendant de la NBK/BCA resitue «la situation de l’endettement de M. Dokolo envers la Banque Centrale et des sociétés de son groupe envers la Banque de Kinshasa «BK sarl».
Les éléments constitutifs de fraude sont avérés dans le contentieux Dokolo envers sa propre banque, à savoir la Banque de Kinshasa, dont il fut l’actionnaire majoritaire et envers la Banque Centrale.
Des éléments savamment mis en place qui tissent la toile de la fraude à large échelle, du bradage et du pillage de l’épargne publique. But ultime: pomper et détourner le fric des épargnants que l’on est supposé servir.
Le liquidateur indépendant fait plus fort: il fait état de «violation de la Constitution de la part de tous les décideurs et exécutants de la décision de la restitution des biens de la NBK à la Succession Dokolo», à savoir, la Commission spéciale de l’Assemblée nationale, l’ex-président de l’Assemblée nationale, le ministre en charge des Titres fonciers.
Sur les éléments constitutifs de fraude qui émaillent de bout en bout ce dossier, le premier concerne la confusion dans la personne de Dokolo Sanu lui-même agissant en triple qualité dans cette affaire. À savoir, Dokolo, président-directeur général de la Banque de Kinshasa sarl (la BK sarl dont il était actionnaire majoritaire s’est retrouvée au cours de l’année 1985 débitrice vis-à-vis de la Banque Centrale d’un montant de 32 millions de dollars américains, soit 1.600.000.000 de zaïres).
Dokolo, responsable non statutaire des sociétés de son Groupe, à savoir le Groupe Dokolo (les quinze sociétés de son Groupe principalement financées par la BK sarl se sont retrouvées débitrices vis-à-vis de cette même Banque d’un montant de plus de 33 millions de dollars (USD 33.202.748,39, soit 1.670.137.419,45 zaïres).
SEUL MAITRE A BORD.
Enfin, Dokolo, agissant en lieu et place de ses propres enfants dont certains mineurs d’âge et associés des sociétés de son groupe. Augustin Dokolo Sanu était animé par la volonté farouche de «rester seul maître à bord en vue de manipuler à sa guise l’argent de l’épargne publique», accuse le liquidateur indépendant. Ce comportement a conduit le pimpant patron à la situation suivante: «la compromission du capital de la Banque de Kinshasa (BK sarl); la conduite de manière illicite et imprudente des opérations de BK sarl préjudiciable aux intérêts des déposants; enfin, la commission des infractions répétées par BK sarl aux dispositions légales et réglementaires».
Autre élément constitutif de fraude: la surévaluation des immeubles donnés en dation de paiement de l’endettement vis-à-vis de BK sarl.
Étant à la fois représentant de la partie débitrice (quinze sociétés de son Groupe) et de la partie créancière (BK sarl), l’homme se trouvait dans une confortable position de juge et partie au point où il a effectivement pris partie pour ses sociétés contre les intérêts de la BK sarl et donc des déposants en recourant à la surévaluation des immeubles présentés en dation de paiement.
Cette fraude a été facilitée par la désignation de la COFIKI, une des sociétés de son Groupe Dokolo, pour effectuer l’expertise des immeubles cédés en dation de paiement.
Le but poursuivi par cette technique frauduleuse de surévaluation était de niveler le montant global de l’endettement.
Malgré cela, l’endettement de Dokolo Sana n’a pu être totalement éteint.
En outre, la contre-expertise a alourdi la hauteur de son endettement.
Par ailleurs, le nivellement du débit de BK sarl à la Banque Centrale s’est effectué par la cession des actions BK sarl de Dokolo à la Banque Centrale en date du 3 juin 1986. En conséquence, Dokolo était sorti de l’actionnariat de la BK sarl.
Troisième élément de la fraude: la cession d’un immeuble, l’immeuble dit Dungu, en situation d’hypothèque à la SOFIDE, la Société Financière de Développement.
Cet immeuble n’aurait jamais pu faire partie des immeubles cédés par Dokolo pour tenter d’éponger sa dette contre BK Sarl, étant donné que le certificat d’enregistrement se trouvait entre les mains de la SOFIDE en vue de garantir le remboursement d’une dette d’une de ses sociétés.
Cette hypothèque a été levée par la SOZABANQUE qui a payé en lieu et place de Dokolo.
RISQUE DE BRADAGE? La fraude étant établie, la succession Dokolo (femmes, enfants et neveux) ne cherche aujourd’hui rien moins qu’à se voir restituer des immeubles pourtant déjà sortis de la masse successorale.
Les juristes commis au service de la liquidation font état d’un nouveau paquet d’éléments constitutifs de violation de la Constitution du pays notamment en rapport avec la décision de la Commission Spéciale de l’Assemblée Nationale et son exécution par le Ministre des Titres Fonciers et par les Conservateurs.
À entendre ces juristes - et on leur en fait gage - la Commission Spéciale a statué en violation flagrante de la Constitution nouvellement promulguée «et dont l’encré n’avait pas été encore séché».
En effet, en statuant sur un conflit successoral de la compétence légale judiciaire, la commission parlementaire a violé l’article 151 alinéa 2 de la Constitution: «Le pouvoir législatif ne peut ...statuer sur les différents juridictionnels».
«En donnant un ordre illégal au Ministre des Affaires Foncières, l’ex-Président du Parlement a cautionné cette illégalité en violant le principe constitutionnel de la séparation des pouvoirs». Et d’invoquer l’article 68 de la Constitution du pays.
Outre cela, le ministre Venant Tshipasa, qui a exécuté «l’ordre anticonstitutionnel et illégal de l’ancien Président de l’Assemblée Nationale, intimant l’ordre aux Conservateurs de procéder aux mutations sans jugement successoral, a violé l’article 28 alinéa 1 de la Constitution pour qui «nul n’est tenu d’exécuter un ordre manifestement illégal». «Tout individu, tout agent de l’État est délié du devoir d’obéissance lorsque l’ordre reçu est une atteinte manifeste...»
Reste que le liquidateur, même affublé du titre indépendant, ne peut tout se permettre. Malgré des larges pouvoirs qui lui sont conférés par la loi, il travaille sous le contrôle du propriétaire de l’entreprise dissoute, en l’espèce l’État et les bailleurs de fonds.
En l’espèce, la succession Dokolo, si elle soit formellement en légalisée, devrait trouver portes ouvertes auprès de la liquidation en vue éventuellement de créer les conditions requises de négociation ainsi que les prévoient les règles d’usage.
Trop de créanciers et des petits déposants vivent dans la misère inqualifiable et le dénuement total.
Poussés à la misère par le système érigé par l’impénitent patron Augustin Dokolo Sanu, ils ont cessé de faire confiance au système bancaire depuis qu’ils ont placé leur argent à la BK. Ils ont désormais les yeux braqués vers l’État et vers la liquidation et espèrent se voir reconnaître des droits et - surtout - rentrer un jour dans ceux-ci.
Ce sont les années fric qui ont fait l’arrivée des patrons type Dokolo. À une période des années Maréchal, alors que la Gécamines faisait du milliard de dollars/an en exportant aux usines belges d’Hobokken 450.000 tonnes de cuivre, le fric était pris à la pelle à Kinshasa et dans les principales villes du pays. Des candidats patrons parfumés en bonne compagnie ont surgi du néant pour faire des sous. Dokolo en fait partie. Modèle de réussite à l’ouest quand d’autres faisaient du commerce du manioc, lui, étincelant, brillant de mille feux, a voulu voir loin, très loin. Il a bâti la BK pour pomper du fric en direction d’une multitude de sociétés de son holding n’ayant que ses enfants... mineurs comme... associés. L’incroyable toile démontée.
MISE EN LIGNE LE 22 MAI 2006 | ÉDITION «LE SOFT INTERNATIONAL2» N°860 DATÉ 24 MAI.
Et... c’est la suite. Augustin Dokolo Sanu, le patron doré des années Mobutu, celui-là qui eut l’ingénieuse idée de se jeter dans l’aventure de la banque sans y avoir au préalable ni les qualifications techniques, ni l’éthique requises, mais a réalisé tout de même le miracle de faire de la BK, la Banque de Kinshasa, comme il l’écrit lui-même dans une lettre confession datant du 27 juillet 1972, un établissement bancaire suscitant «admiration et envie» à l’étranger avant d’avaler son pain blanc - il l’avoue dans la même lettre - «la banque a cessé d’être crédible à l’intérieur comme à l’extérieur du pays», «les lignes de crédit dont bénéficiait la banque sont devenues inutilisables», du fait de l’existence des engagements non honorés», «sur le plan interne et externe, la banque se trouve dans une situation de blocage total» - doit aujourd’hui faire face à une situation de liquidation forcée commandée par les mesures d’assainissement du secteur financier national autant que par les bailleurs des fonds, Banque Mondiale et Fmi en tête.
Des années après sa disparition, on en sait plus sur une gestion de l’ex-Zaïre de l’époque des années de vache grasse mais aussi de banditisme financier.
Certes, la zaïrianisation a pu alourdir l’ardoise de la BK. Mais les états financiers que dresse désormais le liquidateur indépendant Mupepe Lebo laissent peu de place au doute. Les mots sont lâchés: bradage, pillage, etc. L’épargne populaire en a souffert, lors de ces années, et les tragédies dans les modestes familles sont légion.
FRAUDE AVÉRÉE.
Pourtant, Dokolo Sanu le reconnaît dans cette lettre au commissaire d’État (ministre) de l’époque en charge du Portefeuille de l’État, Edouard Mambu ma Khenzu Makulu.
«Une banque, c’est avant tout l’argent des déposants. Cet argent a été distribué sans discernement aux tiers sous forme de crédits aux clients et même au personnel de la banque», reconnaît-il (lettre cit KM/BD/1006588 du 27 juillet 1976).
Puis: «Cette situation a engerdré de très graves difficultés de trésorerie qui placent en fait la banque en position de cessation de payements» (lettre op. cit.).
Dans une «note de presse» publiée à Kinshasa en date du 20 mai 2006, le liquidateur indépendant de la NBK/BCA resitue «la situation de l’endettement de M. Dokolo envers la Banque Centrale et des sociétés de son groupe envers la Banque de Kinshasa «BK sarl».
Les éléments constitutifs de fraude sont avérés dans le contentieux Dokolo envers sa propre banque, à savoir la Banque de Kinshasa, dont il fut l’actionnaire majoritaire et envers la Banque Centrale.
Des éléments savamment mis en place qui tissent la toile de la fraude à large échelle, du bradage et du pillage de l’épargne publique. But ultime: pomper et détourner le fric des épargnants que l’on est supposé servir.
Le liquidateur indépendant fait plus fort: il fait état de «violation de la Constitution de la part de tous les décideurs et exécutants de la décision de la restitution des biens de la NBK à la Succession Dokolo», à savoir, la Commission spéciale de l’Assemblée nationale, l’ex-président de l’Assemblée nationale, le ministre en charge des Titres fonciers.
Sur les éléments constitutifs de fraude qui émaillent de bout en bout ce dossier, le premier concerne la confusion dans la personne de Dokolo Sanu lui-même agissant en triple qualité dans cette affaire. À savoir, Dokolo, président-directeur général de la Banque de Kinshasa sarl (la BK sarl dont il était actionnaire majoritaire s’est retrouvée au cours de l’année 1985 débitrice vis-à-vis de la Banque Centrale d’un montant de 32 millions de dollars américains, soit 1.600.000.000 de zaïres).
Dokolo, responsable non statutaire des sociétés de son Groupe, à savoir le Groupe Dokolo (les quinze sociétés de son Groupe principalement financées par la BK sarl se sont retrouvées débitrices vis-à-vis de cette même Banque d’un montant de plus de 33 millions de dollars (USD 33.202.748,39, soit 1.670.137.419,45 zaïres).
SEUL MAITRE A BORD.
Enfin, Dokolo, agissant en lieu et place de ses propres enfants dont certains mineurs d’âge et associés des sociétés de son groupe. Augustin Dokolo Sanu était animé par la volonté farouche de «rester seul maître à bord en vue de manipuler à sa guise l’argent de l’épargne publique», accuse le liquidateur indépendant. Ce comportement a conduit le pimpant patron à la situation suivante: «la compromission du capital de la Banque de Kinshasa (BK sarl); la conduite de manière illicite et imprudente des opérations de BK sarl préjudiciable aux intérêts des déposants; enfin, la commission des infractions répétées par BK sarl aux dispositions légales et réglementaires».
Autre élément constitutif de fraude: la surévaluation des immeubles donnés en dation de paiement de l’endettement vis-à-vis de BK sarl.
Étant à la fois représentant de la partie débitrice (quinze sociétés de son Groupe) et de la partie créancière (BK sarl), l’homme se trouvait dans une confortable position de juge et partie au point où il a effectivement pris partie pour ses sociétés contre les intérêts de la BK sarl et donc des déposants en recourant à la surévaluation des immeubles présentés en dation de paiement.
Cette fraude a été facilitée par la désignation de la COFIKI, une des sociétés de son Groupe Dokolo, pour effectuer l’expertise des immeubles cédés en dation de paiement.
Le but poursuivi par cette technique frauduleuse de surévaluation était de niveler le montant global de l’endettement.
Malgré cela, l’endettement de Dokolo Sana n’a pu être totalement éteint.
En outre, la contre-expertise a alourdi la hauteur de son endettement.
Par ailleurs, le nivellement du débit de BK sarl à la Banque Centrale s’est effectué par la cession des actions BK sarl de Dokolo à la Banque Centrale en date du 3 juin 1986. En conséquence, Dokolo était sorti de l’actionnariat de la BK sarl.
Troisième élément de la fraude: la cession d’un immeuble, l’immeuble dit Dungu, en situation d’hypothèque à la SOFIDE, la Société Financière de Développement.
Cet immeuble n’aurait jamais pu faire partie des immeubles cédés par Dokolo pour tenter d’éponger sa dette contre BK Sarl, étant donné que le certificat d’enregistrement se trouvait entre les mains de la SOFIDE en vue de garantir le remboursement d’une dette d’une de ses sociétés.
Cette hypothèque a été levée par la SOZABANQUE qui a payé en lieu et place de Dokolo.
RISQUE DE BRADAGE? La fraude étant établie, la succession Dokolo (femmes, enfants et neveux) ne cherche aujourd’hui rien moins qu’à se voir restituer des immeubles pourtant déjà sortis de la masse successorale.
Les juristes commis au service de la liquidation font état d’un nouveau paquet d’éléments constitutifs de violation de la Constitution du pays notamment en rapport avec la décision de la Commission Spéciale de l’Assemblée Nationale et son exécution par le Ministre des Titres Fonciers et par les Conservateurs.
À entendre ces juristes - et on leur en fait gage - la Commission Spéciale a statué en violation flagrante de la Constitution nouvellement promulguée «et dont l’encré n’avait pas été encore séché».
En effet, en statuant sur un conflit successoral de la compétence légale judiciaire, la commission parlementaire a violé l’article 151 alinéa 2 de la Constitution: «Le pouvoir législatif ne peut ...statuer sur les différents juridictionnels».
«En donnant un ordre illégal au Ministre des Affaires Foncières, l’ex-Président du Parlement a cautionné cette illégalité en violant le principe constitutionnel de la séparation des pouvoirs». Et d’invoquer l’article 68 de la Constitution du pays.
Outre cela, le ministre Venant Tshipasa, qui a exécuté «l’ordre anticonstitutionnel et illégal de l’ancien Président de l’Assemblée Nationale, intimant l’ordre aux Conservateurs de procéder aux mutations sans jugement successoral, a violé l’article 28 alinéa 1 de la Constitution pour qui «nul n’est tenu d’exécuter un ordre manifestement illégal». «Tout individu, tout agent de l’État est délié du devoir d’obéissance lorsque l’ordre reçu est une atteinte manifeste...»
Reste que le liquidateur, même affublé du titre indépendant, ne peut tout se permettre. Malgré des larges pouvoirs qui lui sont conférés par la loi, il travaille sous le contrôle du propriétaire de l’entreprise dissoute, en l’espèce l’État et les bailleurs de fonds.
En l’espèce, la succession Dokolo, si elle soit formellement en légalisée, devrait trouver portes ouvertes auprès de la liquidation en vue éventuellement de créer les conditions requises de négociation ainsi que les prévoient les règles d’usage.
Trop de créanciers et des petits déposants vivent dans la misère inqualifiable et le dénuement total.
Poussés à la misère par le système érigé par l’impénitent patron Augustin Dokolo Sanu, ils ont cessé de faire confiance au système bancaire depuis qu’ils ont placé leur argent à la BK. Ils ont désormais les yeux braqués vers l’État et vers la liquidation et espèrent se voir reconnaître des droits et - surtout - rentrer un jour dans ceux-ci.
Imperium
Re: Que pense l´admn de Sindika Dokolo ?
C'est vrai puisque en RDC il n'existe pas de politiciens riches, Un Vrai Riche Contribue a la prosperite de son entourage, car une classe politique riche enrichit La Societe...Une Elite Politique Riche est comme Le Soleil qui illumine et donne La Vie Abondante aux autres Planetes autour de lui...Un Pays doit etre gouverne comme Le Systeme Solaire...Le President ou Roi Represente Le Soleil autour de son Peuple, Le Premier Ministre represente le soleil autour de son gournement, Le PDG d'une Societe quelconque doit representer le soleil autour de ses employers, L'Enseignant, Le Professeur devraient luire a travers Leurs enseignements Autour de leurs ecoliers, eleves, etudiants, Les Parents, Papa & Mama doivent projeter de La Lumiere vers Leurs Enfants. L'HARMONIE SOLAIRE PLANETAIRE. c'est Toute une PYRAMIDE.Kakato a écrit:Malheureusement en RDC depuis quelque temps on croit que la richesse ne vient qu'en faisant la politique
Quand quelqu'un sort du lot on spolie,soi disant "les cadeaux de la 2eme republique". Ceux qui ont arrache les biens de Dokolo sont encore la...des eternels improductifs ...totika kaka
Prenez Le temps d'observer Les Societes Occidentales...Les Societes Orientales surtout le cas du JAPON, de La CHINE & des deux KOREES. Les Ministres dans ces Pays ne sont pas de super riches, mais ils sont socialement bien cases. Ils sont payes pour faire fonctionner La Machine Nationale, mais ce sont LES INSTITUTIONS QUI CONTROLENT L'ECONOMIE, DES INSTITUTIONS QUI DATENT DES SIECLES...
EST-CE QU'ON A DES INSTUTIONS POLITIQUES EN RDC? ?? NOPE AUCUNE...EZA TE...UNE REPUBLIQUE BANANIERE...
_________________
L'originalité est un des grands principes du romantisme.
ALPHA DOG
Cavalier
Re: Que pense l´admn de Sindika Dokolo ?
IMPERIUM
Le journal LE SOFT c´est "Kabila désir" dans ses oeuvres..Il a commencé sa "danse" envers la dictature bien longtemps avant que quelqu´un comme IMPERIUM commence á écrire et lire
Kabila désir n´a jamais fondé une seule entreprise et il parle de la Banque de Kinshasa..
Le journal LE SOFT c´est "Kabila désir" dans ses oeuvres..Il a commencé sa "danse" envers la dictature bien longtemps avant que quelqu´un comme IMPERIUM commence á écrire et lire
Kabila désir n´a jamais fondé une seule entreprise et il parle de la Banque de Kinshasa..
GHOST
Re: Que pense l´admn de Sindika Dokolo ?
SANS COMMENTAIRES ?
http://www.forbesafrique.com/Raphael-Soriano-Katebe-Katoto-le-puissant-homme-d-affaires-congolais-qui-garde-un-oeil-sur-la-politique_a5042.html
Toujours le travail... un contrat pour la construction des infrastructures de la police et de l´armée en Angola Quand au Congo, toutes les bases militaires vetustes sont un héritage de la Force Publique
Decidement, le fils de DOKOLO a raison..
http://www.forbesafrique.com/Raphael-Soriano-Katebe-Katoto-le-puissant-homme-d-affaires-congolais-qui-garde-un-oeil-sur-la-politique_a5042.html
Toujours le travail... un contrat pour la construction des infrastructures de la police et de l´armée en Angola Quand au Congo, toutes les bases militaires vetustes sont un héritage de la Force Publique
Decidement, le fils de DOKOLO a raison..
GHOST
Re: Que pense l´admn de Sindika Dokolo ?
"KABILA DESIR ET CIE"
http://www.lemonde.fr/afrique/article/2017/02/13/en-rdc-l-industrialisation--freinee-par-la-corruption_5078790_3212.html
REGLEMENT DES COMPTES ENTRE LES "DAUPHINS" En tout cas, ils n´ont pas eu l´idée d´investir au Congo...au contraire..
http://www.lemonde.fr/afrique/article/2017/02/13/en-rdc-l-industrialisation--freinee-par-la-corruption_5078790_3212.html
REGLEMENT DES COMPTES ENTRE LES "DAUPHINS" En tout cas, ils n´ont pas eu l´idée d´investir au Congo...au contraire..
GHOST
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