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LA FIÈVRE DU LITHIUM AU CONGO, LE LITHIUM NOUVEL ESPOIR INDUSTRIEL DU PAYS ! PRENONS NÉANMOINS GARDE QU’ÂPRES LE CUIVRE, LE COBALT, LE COLTAN... IL NE DEVIENNE UNE NOUVELLE MALÉDICTION DE NOTRE FAMEUX SCANDALE GÉOLOGIQUE !

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LA FIÈVRE DU LITHIUM AU CONGO, LE LITHIUM NOUVEL ESPOIR INDUSTRIEL DU PAYS ! PRENONS NÉANMOINS GARDE QU’ÂPRES LE CUIVRE, LE COBALT, LE  COLTAN... IL NE DEVIENNE UNE NOUVELLE MALÉDICTION DE NOTRE FAMEUX SCANDALE GÉOLOGIQUE !  Empty LA FIÈVRE DU LITHIUM AU CONGO, LE LITHIUM NOUVEL ESPOIR INDUSTRIEL DU PAYS ! PRENONS NÉANMOINS GARDE QU’ÂPRES LE CUIVRE, LE COBALT, LE COLTAN... IL NE DEVIENNE UNE NOUVELLE MALÉDICTION DE NOTRE FAMEUX SCANDALE GÉOLOGIQUE !

Message  ndonzwau 3/1/2022, 7:23 pm

"C'est aujourd'hui la fièvre du lithium au Congo ; le lithium le nouvel espoir  du pays ! Prenons garde qu'après le cuivre, le cobalt, le coltan, l'or, le diamant... il ne devienne une nouvelle malédiction de notre fameux scandale géologique

Chat échaudé devrait craindre l'eau froide, nous en avons connu d'autres, notre Chef de l' État serait-il pas mieux avisé de s'en faire les gorges chaudes plutôt que se gargariser de tous les espoirs pour ce minerai devenu mondialement incontournable comme ingrédient essentiel des batteries électriques en pleine expansion et en pleine demande pour la transition énergétique qui s'annonce Les énergies renouvelables sont dans toutes le bouches et notre sous-sol est en effet l'un des plus dotés en lithium au monde, nous détiendrions les plus grandes réserves de lithium de roche dure inexploitées au monde. A Manono (Tanganyka) se trouve un grand gisement qui ce stade recèle une réserve de 132 millions de tonnes prouvées exploitables de manière rentable (et demain sans doute plus dépassant ainsi l'Australie, premier producteur mondial  qui dispose des cinquièmes plus grosses réserves mondiales connues).

Le chinois Suzhou CATL leader mondial de la fabrication de batteries a pris déjà place dans ce projet à hauteur de 24% (400 millions au total) via CATH  Enegy Tecnologies tandis que l'australien AVZ Minerals) prévoit d'y lancer aussi son l'exploitation. Le Président Tshisekedi émerveillé est déjà passé de la production à la mise en valeur, trop vite ? Il y fonde tous les espoirs de son bénéfice sans toujours trop mesurer les paramètres complexes qui entourent l'exploitation du lithium convoité par tous. Le voilà déjà en faire la promotion auprès de ses homologues africains, il nourrit  de folles ambitions d'en faire une richesse d'avenir et de notre pays un centre mondial pour son exploitation  : le Congo est appelé à devenir une place forte de la transition énergétique, selon lui, "la destination la plus compétitive au monde pour installer des usines de fabrication des batteries".

Chinois et Australiens en première ligne, il existe d'autres puissances occidentales sur la liste et d'autres projets de recherche de lithium au Congo mais on ne peut ignorer dans notre cas les nombreuses pesanteurs hélas sur le chemin : bonnes routes insuffisantes, électricité à pourvoir, manque de transparence et de traçabilité, souci de l'environnement..., elles risquent de limiter dans un premier temps l'exploitation du lithium au Congo à la seule exportation du minerai brut, moins rentable pour le pays? Et plus généralement notre expérience d'exploitations minières n'a pas toujours été très heureuse, les bénéfices des exploitations du cuivre, du cobalt, du coltan, de l'or, du diamant... ont été souvent vandalisés au profit des majors et particuliers étrangers en complicité avec nos dirigeants vautours au lieu de profiter à notre trésor public, au peuple et à ceux domiciliés dans ces carré miniers. Osons espérer que cette fois les projets seront mieux étudiés et encadrés et que les pouvoirs publics y placeront des hommes qu'il faut à la place qu'il faut, responsables et experts !



'Les folles ambitions de la RDC dans le lithium - 28 décembre 2021
= https://www.lemonde.fr/afrique/article/2021/12/28/les-folles-ambitions-de-la-rdc-dans-le-lithium_6107519_3212.html
Le gouvernement congolais veut faire du pays un centre mondial pour l’exploitation de ce métal essentiel à la fabrication de batteries électriques. Un projet semé d’obstacles.

LA FIÈVRE DU LITHIUM AU CONGO, LE LITHIUM NOUVEL ESPOIR INDUSTRIEL DU PAYS ! PRENONS NÉANMOINS GARDE QU’ÂPRES LE CUIVRE, LE COBALT, LE  COLTAN... IL NE DEVIENNE UNE NOUVELLE MALÉDICTION DE NOTRE FAMEUX SCANDALE GÉOLOGIQUE !  Svg%3E
Une usine de batteries de voiture au lithium à Nankin, dans la province chinoise du Jiangsu (est), en mars 2021. STR / AFP  

La République démocratique du Congo (RDC) sera-t-elle demain au cœur de la transition énergétique mondiale ? C’est en tout cas l’ambition des autorités congolaises qui mettent en valeur les ressources du pays en lithium, un minerai indispensable à la production de batteries pour véhicules électriques, et sa compétitivité pour qui voudrait y installer des usines de production.
Le pays a des arguments : il détiendrait les plus grandes réserves de lithium de roche dure inexploitées au monde. Seule une dizaine de kilomètres de son sous-sol a été étudiée sur la centaine qui regorgerait de ce minerai. Mais, d’ores et déjà, une réserve de 132 millions de tonnes prouvées et probables, c’est-à-dire exploitables de manière rentable, a été découverte.
Ceci en fait le pays au plus important potentiel du continent africain et laisse penser qu’il pourrait un jour passer devant l’Australie, qui dispose des cinquièmes plus grosses réserves mondiales et est le premier producteur de lithium de la planète.
La société australienne AVZ Minerals ne s’y est pas trompée : elle prévoit de lancer en 2023 l’exploitation du plus grand gisement de lithium de roche dure au monde. Celui-ci est situé dans la ville de Manono, dans la province du Tanganyika (sud-est), fief de la famille de l’ancien président Joseph Kabila. C’est notamment le frère de l’ancien chef d’Etat, Zoé, député de Manono puis gouverneur de la province jusqu’en mai 2021, qui a poussé au développement de la filière.

Pékin très intéressé

Le site détenu par AVZ Minerals depuis 2016 dispose d’une réserve exploitable de 132 millions de tonnes, ce qui ferait entrer cette mine dans le top 5 mondial. De quoi aiguiser les appétits : le groupe chinois Contemporary Amperex Technology Ltd (CATL), leader mondial de la fabrication de batteries, a décidé de prendre pied à Manono via une coentreprise appelée Suzhou CATH Energy Technologies. Celle-ci a prévu d’investir 240 millions de dollars pour une participation de 24 % dans le projet et pourrait dépenser jusqu’à 400 millions au total.
Le gisement d’AVZ Minerals et les autres permis de recherche de lithium autour de Manono intéressent grandement Pékin qui entend bien rester le leader de la production de batteries, dont la demande mondiale devrait être multipliée par quatorze d’ici à 2030 selon Statista, faisant dans le même temps plus que tripler les besoins en lithium.
Pour la RDC, le démarrage de la production sur la mine d’AVZ Minerals, la toute première de lithium dans le pays, constituerait un tournant en faisant de Kinshasa une place forte de la transition énergétique. Le pays est déjà le premier producteur mondial de cobalt, utilisé pour la fabrication des batteries et des éoliennes, et le quatrième producteur mondial de cuivre, qui entre dans le montage des voitures électriques et des infrastructures de la plupart des énergies renouvelables.
Les autorités voient cependant plus loin que la seule extraction de ces minerais. Lors du DRC-Africa Business Forum de Kinshasa fin novembre, qui rassemblait chefs d’Etat, banques et entreprises dans la capitale congolaise afin de déterminer comment « développer une chaîne de valeur autour de l’industrie des batteries, des véhicules électriques et des énergies propres » en Afrique, le gouvernement a annoncé vouloir participer à leur fabrication sur son territoire en transformant le lithium.

« 46 000 milliards de dollars d’ici à 2050 »

« La RDC est la destination la plus compétitive au monde pour installer des usines de fabrication de batteries », a plaidé le président congolais Félix Tshisekedi. L’enjeu : capter une partie des « 8 000 milliards de dollars » de revenus issus de la vente des véhicules électriques à l’échéance 2025, « 46 000 milliards d’ici à 2050 », a-t-il poursuivi. Un objectif conforté par une étude de Bloomberg qui affirme que construire ce type d’usine coûte moins cher en RDC qu’aux Etats-Unis ou en Chine.
Les ambitions nationales risquent toutefois de se heurter à de nombreux obstacles. Tout d’abord, en ce qui concerne le gisement de Manono : pour faire entrer sa mine en production, AVZ Minerals doit finaliser la transaction avec Suzhou CATH Energy Technologies, puis il lui restera encore quelques dizaines de millions de dollars à trouver pour disposer des 545 millions nécessaires au total.
Quant aux autres projets de recherche de lithium en RDC, ils sont bien moins avancés. Une seule entreprise, le canadien Tantalex Resources, semble réellement active sur le terrain. Ensuite, le mauvais état général des routes, notamment depuis Manono, va peser sur la logistique alors que le minerai extrait devra être transporté sur des centaines de kilomètres pour atteindre les grands ports africains et être exporté en Chine ou ailleurs.
Enfin, les usines de transformation en batteries sont gourmandes en électricité – dans un pays où le déficit énergétique est chronique – mais aussi coûteuses. Or, si les industriels chinois sont prêts à financer l’extraction du lithium, ils seront moins enclins à favoriser une filière locale de transformation. Ils ne souhaitent pas être concurrencés sur ce marché alors qu’ils ont consenti à d’importants investissements pour construire des usines dans leur pays.

Manque de transparence

Ce d’autant plus que des projets rivaux de construction d’usines de batteries au lithium émergent d’ores et déjà en Europe, au Canada et aux Etats-Unis. L’industrie congolaise du lithium devra sans doute, dans un premier temps, se cantonner à l’exportation du minerai brut, la partie la moins rentable de la filière.
Dans un rapport préliminaire publié le 13 décembre, et dont une nouvelle version plus complète devrait paraître début janvier, l’ONG Global Witness a de son côté mis en exergue les risques liés à l’exploitation de la filière lithium, en termes de gouvernance et d’environnement, si les règles nationales et internationales ne sont pas appliquées.
Lire aussi  Article réservé à nos abonnés « Il faut réévaluer le coût réel du basculement vers la voiture électrique »  
L’organisation, qui a enquêté sur cinquante et une concessions minières à proximité de la ville de Manono, notamment des permis de recherche et d’exploration pour le lithium, met en avant le manque de transparence sur les bénéficiaires finaux des permis et l’implication de personnalités politiquement exposées, comme le ministre de l’aménagement du territoire Guy Loando Mboyo, cité dans l’enquête « Congo hold-up ». Elle souligne aussi le flou qui demeure autour des conséquences de l’extraction de roche dure de lithium sur l’environnement.
Global Witness s’inquiète enfin du manque de traçabilité au sein de la filière, qui n’est pas soumise aux mêmes standards que d’autres minerais et métaux. Ceci augmente les risques de malversations financières et d’atteintes aux droits humains, déjà prégnantes dans le reste du secteur minier congolais.

Contrats miniers en RDC : « Les entreprises congolaises sont au cœur du problème »

Mines en République démocratique du Congo : « Un pillage qui réduit une partie de la population à une forme d’esclavage »

Accusé de corruption, Dan Gertler s’engage à « partager » avec ses « frères et sœurs » congolais



"Le lithium? une niche stratégique pour la RDC - 18 juin 2021
= https://www.jeuneafrique.com/1163411/economie/le-lithium-une-niche-strategique-pour-la-rdc/
Même s’il n’en produit pas encore, le pays pourrait devenir dès 2022 l’un des fournisseurs mondiaux de ce métal classé stratégique par les autorités congolaises en 2018.

C’est dans les provinces du Tanganyika et du Haut-Lomami, dans le sud-est de la RDC, que l’on trouve des « roches de type pegmatite riches en spodumène » : c’est-à-dire un minéral de lithium associé au minerai stannocoltanifère. Pourtant, à l’époque coloniale et jusqu’en 1982, seul l’étain est extrait. Il faut attendre les années 2010 pour que la RDC s’intéresse au lithium et octroie à des sociétés minières les premiers blocs contenant des indices de ce métal, désormais classé parmi les minerais stratégiques.
Le nouveau code minier promulgué par l’État congolais en 2018 identifie en effet quatre « métaux stratégiques » : le cobalt, le coltan, le germanium et le lithium, sur lesquels il instaure notamment une hausse de la redevance, qui passe de 2 % à 10 %.
Dopée par l’augmentation de la demande mondiale en lithium (utilisé, entre autres, pour la fabrication de piles et de batteries rechargeables), la filière mobilise plusieurs compagnies, dont deux – en coentreprise avec la Congolaise d’exploitation minière (Cominière) – sont en phase de développement avancé.

Australiens et Chinois unis en première ligne

Dans le Tanganyika, Dathcom Mining – partenariat entre l’australien AVZ Minerals (75 %) et la Cominière – développe le projet Manono (lithium et étain). Outre la richesse en métal de celui-ci, soit 44,6 millions de tonnes  de réserves prouvées de lithium et 48,5 millions de tonnes (t) de réserves probables, la future mine devrait avoir l’une des plus faibles empreintes carbone au monde, comparé aux projets similaires de lithium, grâce à l’énergie de la centrale hydroélectrique de Mpiana-Mwanga.
Fort de ces atouts, AVZ Minerals – qui compte dans son actionnariat les chinois Huayou Cobalt Company et Yibin Tianyi Lithium – a conclu plusieurs accords d’enlèvement de minerais avec des groupes chinois : fin décembre 2020, avec GFL International (filiale de Ganfeng Lithium) et, en mars dernier, avec Shenzhen Chengxin Lithium et Yibin Tianyi Lithium Industry Co.
Le site de Dathcom Mining pourrait entrer en production début 2023, avec un volume annuel attendu de 700 000 t de concentré de spodumène (SC6, pour la production d’hydroxyde et de carbonate de lithium) et de plus de 45 000 t de sulfates de lithium primaire.

Partenariat de la Cominière avec, cette fois-ci, Mining Mineral Resources (filiale du groupe indien Vinmart) et l’État congolais, la Société d’exploitation des gisements de Malemba-Nkulu (Segmal) opère quant à elle dans le territoire de Kabongo (Haut-Lomami), où elle est titulaire de trois permis d’exploitation.
Enfin, le canadien Tantalex Resources développe un projet sur les terrils de lithium, étain et tantale de Manono-Kitotolo, qu’il a acquis en 2018. Outre l’évaluation des ressources, il prévoit la construction d’une usine en 2022, pour une entrée en production en 2023.
Quant à la junior australienne Force Commodities, détentrice des permis pour les projets Kanuka Lithium et Kitotolo Lithium, elle est pour l’heure peu active sur le terrain.


"RDC : Auprès de ses homologues africains, Félix Tshisekedi fait la promotion des batteries électriques
=  https://www.politico.cd/la-rdc-a-la-une/2021/11/25/rdc-aupres-de-ses-homologues-africains-felix-tshisekedi-fait-la-promotion-de-production-des-batteries-electriques.html/98241/
Le Président de la République, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, a invité ses homologues africains à s’approprier le projet de production des batteries électriques, et à insérer l’Afrique dans le vaste marché des véhicules électriques et des énergies propres, dans son discours à la cérémonie d’ouverture des travaux de « DRC-Africa Business Forum », qu’il a présidée mercredi, au palais du Peuple, à Kinshasa.
...
« DRC-Africa Business Forum » doit changer le continent africain, selon le Président zambien
...
Le Premier ministre Sama Lukonde signe l’Acte d’engagement du gouvernement
...
La RDC se positionne de plus en plus comme un pays solution dans la transition écologique et énergétique
..
L’exploitation des ressources minières en RDC obéit aux principes de traçabilité et de certification
...
Le ministre des Finances relève l’impact macroéconomique de la nouvelle industrie des batteries électriques en RDC
...
Albert Yuma : le secteur privé congolais et africain prêt à accompagner la transition énergétique



"RDC  : la Chine investit 240 millions $ pour participer à l'exploitation du lithium de Manono - 27 septembre 2021
= https://www.agenceecofin.com/investissement/2709-91852-rdc-la-chine-investit-240-millions-pour-participer-a-l-exploitation-du-lithium-de-manono
(Agence Ecofin) - Avec le cuivre et le cobalt, le lithium est l’une des ressources dont dispose la RDC pour jouer un rôle d’importance dans la transition énergétique en cours. Conscients de ce potentiel, les investisseurs chinois sécurisent son approvisionnement.
En RDC, AVZ Minerals vient de conclure un accord d’au moins 240 millions $ pour la construction du projet de lithium Manono. C’est l’annonce faite le 27 septembre par la compagnie minière australienne, qui précise que le nouvel investisseur est Suzhou CATH Energy Technologies, une entité chinoise détenue par le milliardaire Pei Zhenhua et sa compagnie Contemporary Amperex (CATL).

AVZ Minerals Limited
@AvzMinerals

@AvzMinerals secures cornerstone investor for development of #ManonoLithiumandTinProject. Read the full announcement @ https://bit.ly/2XTZtYB $AVZ #lithium #tin
4:14 AM · 27 sept. 2021

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Selon les termes de l’accord, CATH prendra un intérêt de 24 % dans le projet Manono en échange de son investissement initial, ce qui laisse AVZ Minerals comme actionnaire majoritaire avec 51 %, le reste des intérêts étant détenu par l’Etat congolais, via la société Cominiere. Par ailleurs, en tant que partenaire du projet, CATH apportera sa quote-part du reste du capital initial nécessaire à la construction de la mine de lithium Manono, et des dépenses supplémentaires pour agrandir le projet.
]« Nous sommes ravis de conclure cet accord avec quelqu’un du calibre de M. Pei et de CATL qui ont tous deux la capacité financière, l’expertise technique et la crédibilité au sein de l’industrie de la conversion du lithium et des batteries lithium-ion pour compléter le projet de classe mondiale Manono », a commenté Nigel Ferguson, DG d’AVZ.

Caveman #Ipwrcaveman
@ChristopherRB19

$AVZ.ax Congratulations @AvzMinerals for establishing the financial frame work and securing a bedrock investor for the building of "The Monster Of Manono" Always knew you guys could do it LA FIÈVRE DU LITHIUM AU CONGO, LE LITHIUM NOUVEL ESPOIR INDUSTRIEL DU PAYS ! PRENONS NÉANMOINS GARDE QU’ÂPRES LE CUIVRE, LE COBALT, LE  COLTAN... IL NE DEVIENNE UNE NOUVELLE MALÉDICTION DE NOTRE FAMEUX SCANDALE GÉOLOGIQUE !  1f38aLA FIÈVRE DU LITHIUM AU CONGO, LE LITHIUM NOUVEL ESPOIR INDUSTRIEL DU PAYS ! PRENONS NÉANMOINS GARDE QU’ÂPRES LE CUIVRE, LE COBALT, LE  COLTAN... IL NE DEVIENNE UNE NOUVELLE MALÉDICTION DE NOTRE FAMEUX SCANDALE GÉOLOGIQUE !  1f3c5LA FIÈVRE DU LITHIUM AU CONGO, LE LITHIUM NOUVEL ESPOIR INDUSTRIEL DU PAYS ! PRENONS NÉANMOINS GARDE QU’ÂPRES LE CUIVRE, LE COBALT, LE  COLTAN... IL NE DEVIENNE UNE NOUVELLE MALÉDICTION DE NOTRE FAMEUX SCANDALE GÉOLOGIQUE !  1f389 #TheEscondidaOfLithium Is go! Huge achievement Manono Lithium and Tin Project = no1!

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12:53 AM · 27 sept. 2021 depuis Victor Harbor - Goolwa, South Australia


"Avec le projet Manono, la RDC séduit le monde entier par la qualité de son lithium - 09 avril 2021
= https://www.agenceecofin.com/dossier/0904-87035-avec-le-projet-manono-la-rdc-seduit-le-monde-entier-par-la-qualite-de-son-lithium
"Alors que les gisements de lithium en RDC suscitent un intérêt mondial   - 13 déc 2021
= https://www.globalwitness.org/fr/press-releases-fr/as-global-interest-in-dr-congos-lithium-deposits-soars-the-industry-could-be-seriously-undermined-by-governance-environmental-and-social-risks-investigation-fr/
Alors que les gisements de lithium en RDC suscitent un intérêt mondial croissant, le secteur pourrait être « gravement compromis » par des risques environnementaux, sociaux et de gouvernance – Enquête. ... La demande mondiale de lithium pourrait être multipliée par 40 d'ici 2040 [1].13 déc. 2021
"Les énergies renouvelables, quoi qu’il en coûte ? Plongée dans le secteur émergent du lithium congolais - 13 Décembre 2021
= https://www.globalwitness.org/fr/renewable-energy-at-what-cost-a-closer-look-at-drcs-nascent-lithium-sector-fr/

"Afrique économie
La RDC veut transformer davantage ses minerais - 27/10/2021

= https://www.rfi.fr/fr/podcasts/afrique-%C3%A9conomie/20211026-la-rdc-veut-davantage-transformer-ses-minerais
= https://www.vivafrik.com/2021/12/02/la-rdc-reitere-son-intention-de-fabriquer-les-batteries-au-lithium-au-drc-africa-business-forum-a43493.html
"Un énorme gisement de lithium bientôt exploité en Répuiblique Démocratique du Congo - 30 avril 2020
= https://greenwashingeconomy.com/un-enorme-gisement-de-lithium-bientot-exploite-en-republique-democratique-du-congo/
= https://www.aa.com.tr/fr/afrique/la-rdc-vise-le-leadership-mondial-dans-la-production-de-batteries-pour-voitures-%C3%A9lectriques-/2429835
= https://insideevs.fr/news/550347/congo-accueil-production-batterie-%C3%A9lectrique/


"RDC : Lithium, le métal "du climat" - 29 mai 2019
= https://www.makanisi.org/rdc-lithium-le-metal-du-climat/

"L e coût d'implantation d'une usine des batteries à lithiumé estimé à 39 millions  USD en RDC contre 112 millions USD en Chine - 25 Nov 2021
= https://deskeco.com/2021/11/29/le-cout-dimplantation-dune-usine-des-batteries-lithium-ion-estime-39-millions-usd-en-rdc-contre-112


"Kinshasa : les députés de Tnganyika contre l'exploitation du lithium sans les fils de cette province - 29/11/2021
= https://www.radiookapi.net/2021/11/29/actualite/economie/kinshasa-les-deputes-du-tanganyika-contre-lexploitation-du-lithium

"Manono l'exploitation du lithium pourrait débuter en 2023 - 2 janvier 2022
= https://www.congoindependant.com/manono-lexploitation-du-lithium-pourrait-debuter-en-2023/


"Kolwezi capitale du cobalt ou l’autre face de la transition énergétique - 2 janvier 2022
= https://colettebraeckman.lesoir.be/2022/01/02/kolwezi-capitale-du-cobalt-ou-lautre-face-de-la-transition-energetique/


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Compatriotiquement!


# Si haut que l'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul # # Que faisait Dieu avant la création ? De toute éternité, il préparait d'épouvantables supplices pour celui qui poserait cette question. #

ndonzwau


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Message  ndonzwau 21/1/2022, 7:41 pm

CHINOIS ET AUSTRALIENS AUTOUR DU LITHIUM DE MANONO. QUELLE PART POUR L'ETAT CONGOLAIS ET LES POPULATIONS LOCALES ?

Rappelons qu'avec le cuivre et le cobalt, le lithium est l’une des matières stratégiques dans les politiques de transition énergétique engagées par les États. Bonne nouvelle : notre sous-sol est abondamment doté de ces minerais, saurons-nous enfin en tirer de précieux bénéfices ?



" Afrique économie
RDC: à Manono, l'exploitation prochaine du lithium suscite à la fois espoirs et inquiétudes - 21/01/2022

= https://www.rfi.fr/fr/podcasts/afrique-%C3%A9conomie/20220120-rdc-%C3%A0-manono-l-exploitation-prochaine-du-lithium-suscite-%C3%A0-la-fois-espoirs-et-inqui%C3%A9tudes
AVZ Minerals Limited, la société australienne à la tête du projet d’exploitation du Lithium et de l’étain de Manono a annoncé fin 2021 le lancement de la production en 2023. La production annuelle du concentré du lithium pourrait atteindre 500 000 tonnes. La population de Manono, une ville située à l’est de la RDC, est partagée entre espoir et scepticisme quant à la mise en œuvre de ce projet minier.
De notre correspondante à Lubumbashi,Denise Maheho
 
À Manono, environ 12 000 personnes vivent de l’agriculture et de l’exploitation artisanale de l’étain et de la cassitérite. L’annonce du lancement de la production du lithium en 2023 suscite l’espoir des populations, selon l’Abbé Moise Kiluba, responsable de la société civile de Manono.
« En arrivant et construisant son usine ici à Manono, il y aura la création d’emplois. Et les habitants de Manono doivent être les premiers bénéficiaires. Ensuite, il y a la construction de la route qui rendrait Manono accessible au monde entier », détaille-t-il. Un sentiment partagé par le gouvernement provincial du Tanganyika. Cette province ne compte à ce jour aucune industrie minière malgré ses gisements riches en coltan, étain et or.
John Mbangu, ministre des Mines de la province du Tanganyika pense déjà aux recettes qui proviendraient de cette exploitation. « Le paiement des taxes comme la redevance minière avec une bonne clé de répartition entre toutes les entités décentralisées va également contribuer au développement du pays en général et du territoire de Manono en particulier. »

Le défi de l’approvisionnement en électricité

Mais parmi les habitants de Manono, certains ont des réserves quant au démarrage du projet minier d’ici un an. Parmi les défis à relever, il y a l’approvisionnement en électricité. En effet, la cité n’est alimentée que par une centrale photovoltaïque de 2 mégawatts.
Pour Dieu Merci Kabila, un habitant de Manono, la réhabilitation de la centrale hydroélectrique de Mpyana Mwanga de 33 mégawatts est une priorité. « Ce qui ne rassure pas la communauté c’est qu’aujourd’hui, ni les travaux du barrage ni la construction de l’usine, rien n’a été réalisé. L’entreprise a juste construit quelques maisons des travailleurs. »

Des accords déjà conclus

Mais l’entreprise AVZ se veut rassurante. Le dossier pour l’acquisition du permis d’exploitation a été déposé au ministère des Mines à Kinshasa depuis mai 2021, de même que celui concernant la réhabilitation de la centrale de Mpyana Mwanga.
« La loi dispose que nous ne pouvons commencer le développement du projet que quand nous avons le permis d’exploitation et aussi la certification. C’est seulement après que nous pouvons démarrer la construction de l’usine. Mais, bon, nous attendons », dit Baltazar Tshiseke, représentant de AVZ Minerals en RDC.
En attendant, l’entreprise AVZ Minerals a déjà conclu trois accords d’achat de la production. Parmi les clients, figure le Chinois Yibin Tianyi Lithium Industry, l’un des principaux producteurs mondiaux de matériaux pour les batteries.


"Afrique : La Chine continue sa mainmise sur le lithium africain - 06/01/2022
= https://ecomnewsafrique.com/2022/01/06/afrique-la-chine-continue-sa-mainmise-sur-le-lithium-africain/
Goulamina au Mali, Manono en RDC et maintenant Arcadia au Zimbabwe. Cette année, les entreprises chinoises ont sécurisé des millions de tonnes d’approvisionnement en lithium sur plusieurs années grâce au rachat ou à la prise d’intérêts dans des projets phares du continent.

Au Zimbabwe, le projet de lithium Arcadia passe sous pavillon chinois. C’est ce qu’a annoncé jeudi 23 décembre son actuel propriétaire, l’australien Prospect Resources, qui a conclu un accord contraignant avec le chinois Zhejiang Huayou Cobalt, pour lui céder l’actif en échange de 377,8 millions $.
Cette acquisition est le fruit d’un processus lancé en août 2021 et conduit par les sociétés de conseil Azure Capital et Vermilion Partners, afin de trouver des investisseurs capables de financer la construction de la mine. Cela aurait pu se traduire par la formation d’une coentreprise ou la signature d’accords d’approvisionnement en échange des fonds, deux méthodes de financement en vogue pour des métaux stratégiques comme le cobalt ou le lithium. Prospect a finalement opté pour une troisième voie.
« La conclusion de cette évaluation est que la proposition de Huayou offre une proposition ajustée au risque très attrayante pour les actionnaires de Prospect, en particulier lorsqu’elle est considérée par rapport aux risques de calendrier et d’exécution liés au développement et à l’exploitation du projet Arcadia, que ce soit sous la propriété de Prospect ou en coentreprise », explique son DG Sam Hosack.

Mainmise progressive de la Chine sur le lithium africain

Si cette transaction, soumise encore aux approbations réglementaires, notamment celles des autorités chinoises et zimbabwéennes, aboutit, il s’agira du troisième projet majeur de lithium sur le continent dans lequel les entreprises chinoises ont pris des intérêts au cours des derniers mois.
Plus tôt cette année, c’est CATH Energy Technologies qui a conclu un accord avec une autre société australienne, AVZ Minerals, afin d’acquérir 24 % d’intérêts dans Manono, le projet phare de lithium en RDC. Avant cela, une autre compagnie chinoise, Ganfeng Lithium, s’est déjà signalée en juin dans le cadre d’un partenariat avec l’australien Firefinch pour développer la future mine de lithium Goulamina au Mali. La même société avait déjà conclu l’année dernière un accord avec AVZ pour lui acheter du lithium…
Ces projets de « classe mondiale » peuvent soutenir une production de lithium sur 20 ans au moins (à Manono et Goulamina) ou sur plus de 18 ans (à Arcadia). Seul le projet ghanéen Ewoyaa (qui a une durée de vie de 11 ans selon l’étude exploratoire publiée début décembre) a échappé à l’appétit chinois, car entré dans le giron de l’américain Piedmont Lithium.

En dépit des tensions qui affectent les relations commerciales et diplomatiques entre la Chine et l’Australie depuis trois ans, ces divers accords sont le signe que les partenariats fleurissent plutôt entre les sociétés des deux pays. Un pragmatisme qui s’explique du côté chinois par une volonté de sécuriser l’approvisionnement pour le lithium, un métal indispensable aux batteries des véhicules électriques que la Chine produit énormément.
Alors que pays et sociétés étrangères achètent à l’avance ces millions de tonnes de matières premières pour alimenter leurs industries, on peut s’interroger sur la viabilité des projets de création de chaines locales d’approvisionnement pour les batteries et véhicules électriques, portés par plusieurs pays africains, dont la RDC, et basés sur ces métaux stratégiques dont regorge le sous-sol du continent.


"Lithium : La Chine pose ses pions en RDC - 27 septembre 2021  
= https://afrimag.net/lithium-la-chine-pose-ses-pions-en-rdc/

LA FIÈVRE DU LITHIUM AU CONGO, LE LITHIUM NOUVEL ESPOIR INDUSTRIEL DU PAYS ! PRENONS NÉANMOINS GARDE QU’ÂPRES LE CUIVRE, LE COBALT, LE  COLTAN... IL NE DEVIENNE UNE NOUVELLE MALÉDICTION DE NOTRE FAMEUX SCANDALE GÉOLOGIQUE !  Le-projet-de-lithium-Manono-en-RDC-702x336]
Le projet de lithium Manono en RDC

Avec le cuivre et le cobalt, le lithium est l’une des matières stratégiques dans les politiques de transition énergétique engagées par les Etats.
Pour l’industrie automobile, c’est un minerai crucial car c’est la matière cruciale pour les batteries des véhicules électriques. La Chine continue de positionner ses opérateurs afin de sécuriser son approvisionnement. C’est dans ce sens que AVZ Minerals vient de conclure un accord d’au moins 240 millions de dollars pour la construction du projet de lithium Manono en République démocratique du Congo. C’est le groupe minier australien, exploitant actuel du gisement, qui a annoncé l’information dans un communiqué en précisant que le nouvel investisseur est la société chinoise Suzhou CATH Energy Technologies.
Selon les termes de l’accord, CATH prendra une participation de 24 % dans le projet Manono en échange de son investissement initial, AVZ Minerals gardant la majorité avec 51 %. Le reste du capital est détenu par l’Etat congolais, via la société Cominiere. Par ailleurs, en tant que partenaire du projet, CATH apportera sa quote-part du reste du capital initial nécessaire à la construction de la mine de lithium Manono, et des financements supplémentaires pour agrandir le projet.


"RDC : AVZ Minerals lève 75 millions $ pour développer le projet lithium de Manono  - 13 décembre 2021
= https://www.afrikintelligentsia.com/2021/12/13/rdc-avz-minerals-leve-75-millions-pour-developper-le-projet-lithium-de-manono/
AVZ Minerals a mobilisé 75 millions $ lors d’une levée de fonds qui a été « considérablement sursouscrite ». Les fonds permettront à la compagnie minière de commencer les travaux de développement de la mine de lithium de Manono en République démocratique du Congo. La réussite de l’opération de levée de fonds traduit le « niveau d’intérêt important des investisseurs internationaux pour ce projet de classe mondiale » a déclaré AVZ Minerals.

La compagnie australienne attend actuellement une licence d’exploitation pour la mine de Manono. Elle détient déjà des permis d’exploration du gisement. Les réserves de ce dernier sont estimées à 130 millions de tonnes de lithium. « Nous sommes en étroite consultation avec les autorités gouvernementales de la RDC. (…) Nous sommes convaincus de fournir une réponse favorable à toutes nos parties prenantes, dont les actionnaires et particulièrement la population congolaise » a déclaré Nigel Ferguson, DG d’AVZ Minerals.
Pour rappel, le lithium fait partie des minerais dont les besoins vont exploser d’ici 2030 à cause de la transition énergétique. D’après les Nations Unies, la demande du lithium, du cobalt, du cuivre et du nickel va quadrupler au cours des années à venir. Leurs prix vont aussi bondir sur la même période. Ces métaux interviennent en effet dans la fabrication des batteries et des matériaux nécessaires pour produire et stocker l’énergie renouvelable.


"RDC : la firme australienne AVZ Minérals mobilise 54 millions $ pour le développement du projet de lithium Manono malgré son manque de permis d'exploitation minière - 14/12/2021
= https://deskeco.com/index.php/2021/12/14/rdc-la-firme-australienne-avz-minerals-mobilise-54-millions-pour-le-developpement-du-projet-de
"RDC : 54 millions USD mobilisés par AVZ Minerals pour la poursuite du projet Lithium Manono - 13 décembre 2021
= https://zoom-eco.net/developpement/rdc-54-millions-usd-mobilises-par-avz-minerals-pour-la-poursuite-du-projet-lithium-manono/


"RDC : Vers l’octroi d’une licence d’exploitation minière au projet de lithium et d’étain Manono - 17/05/2021  -
= https://businessnewsafrica.net/rdc-vers-loctroi-dune-licence-dexploitation-miniere-au-projet-de-lithium-et-detain-manono/


"Les énergies renouvelables, quoi qu’il en coûte ? Plongée dans le secteur émergent du lithium congolais - 13 Décembre 2021
= https://www.globalwitness.org/fr/renewable-energy-at-what-cost-a-closer-look-at-drcs-nascent-lithium-sector-fr/
"RDC /Lithium – Manono : « Des  liens commerciaux de longue date entre Cong Mao Huai,  un proche de Joseph Kabila et le ministre Guy Loando Mboyo » (Global Witness) - 14 décembre 2021
= https://congovirtuel.com/information/rdc-lithium-manono-des-liens-commerciaux-de-longue-date-entre-cong-mao-huai-un-proche-de-joseph-kabila-et-le-ministre-guy-loando-mboyo-global-witness/
Une nouvelle enquête menée par Global Witness sur le secteur naissant du lithium en République démocratique du Congo tire la sonnette d’alarme sur une série de risques potentiels pour la chaîne d’approvisionnement.

Pour créer le rapport , l’ONG basée à Londres et à Washington a examiné un échantillon de 51 concessions minières concentrées autour de la ville de Manono dans le sud de la RDC et où des gisements de lithium en roche dure ont été découverts. Trois sociétés – AVZ Minerals , Critical Resources et Tantalex Resources – ont annoncé publiquement leur intention de mener des activités d’exploration ou de production de lithium dans des concessions minières de la région.
« En levant le rideau sur les entreprises et les personnes impliquées dans cette nouvelle industrie du lithium potentiellement importante à l’échelle mondiale, l’enquête a révélé que des concessions sur et autour des gisements de lithium de la RDC sont ou étaient détenues par ou impliquaient un petit nombre de personnes ayant des relations commerciales étroites – y compris un fonctionnaire actuel du gouvernement – ​​avec l’ancien président Kabila », lit-on dans le dossier.
Selon le groupe, Cong Mao Huai, qui serait un conseiller de l’ancien président de la RDC, Joseph Kabila, est ou était associé à des sociétés ayant des liens de propriété dans six concessions étudiées par Global Witness.

L’ONG affirme avoir vu des documents qui semblent montrer qu’il existe des liens commerciaux de longue date entre Cong et le ministre en exercice Guy Loando Mboyo. Le rapport cite également des données de Congo Hold Up – la plus grande fuite d’informations financières en provenance d’Afrique à ce jour -, qui soutiennent les allégations des liens commerciaux entre les deux.
« Notre enquête montre que les investisseurs doivent réfléchir de manière critique avant d’approuver le secteur du lithium en RDC », a déclaré Paul Donowitz, responsable des campagnes de gouvernance des ressources naturelles chez Global Witness, dans un communiqué. « Les contrats de la société, les paiements et les bénéficiaires effectifs dans les transactions clés ne sont pas entièrement divulgués, bien que cela soit requis par la loi congolaise. Les entreprises doivent également s’assurer qu’elles respectent pleinement l’environnement et les communautés dans les zones minières.

De l’avis de Donowitz, il existe une petite fenêtre d’opportunité pour faire face aux risques potentiels de la chaîne d’approvisionnement dans le secteur du lithium de la RDC, avant le début de la production.
« Les entreprises, les investisseurs et les gouvernements – à la fois de la RDC et des États d’origine des entreprises – doivent agir maintenant, sinon l’ensemble du secteur risque d’être sérieusement compromis par les risques de gouvernance et les dommages causés aux personnes et à la planète », a déclaré le militant.
Le rapport se termine par un certain nombre de recommandations, demandant aux entreprises finançant, produisant, utilisant ou commercialisant le lithium de la RDC de s’assurer que leurs investissements et opérations, ainsi que ceux de leurs filiales et fournisseurs, respectent les normes internationales de gouvernance, d’environnement et de droits humains, et toutes les lois congolaises existantes, selon la plus forte.

Il demande également à ces entreprises d’assumer la responsabilité de mener, de divulguer et de mettre en œuvre des politiques et procédures de diligence raisonnable solides pour prévenir, identifier, atténuer et tenir compte des risques liés aux droits de l’homme, à l’environnement et à la gouvernance dans leurs opérations, y compris les chaînes d’approvisionnement et les relations commerciales.
Enfin, il demande au gouvernement congolais de garantir la divulgation de tous les bénéficiaires effectifs des sociétés minières, des contrats miniers et des rapports de paiement publics au niveau du projet pour tous les contrats miniers du Congo, conformément aux normes de déclaration et aux meilleures pratiques de l’Initiative pour la transparence des industries extractives.


"L’exploitation du lithium à Manono conditionnée par la participation des autochtones - December 1, 2021 -
= https://cfinances.info/lexploitation-du-lithium-a-manono-conditionnee-par-la-participation-des-autochtones/


"RDC: Polémique autour d’un pactole de 9 milliards de dollars - 21 juin 2020
= https://afrique.lalibre.be/51614/rdcongo-or-polemique-autour-dun-pactole-de-9-milliards-de-dollars/
Une société « junior » canadienne intègre dans son capital les parts d’une société congolaise d’État dans des mines d’or, la Sokimo (Ituri), représentant une ressource de 9 milliards de dollars. La société civile crie au bradage.

Ces dernières semaines, la société civile congolaise a dénoncé un protocole d’accord signé le 18 janvier 2020 par une société « junior », cotée aux bourses de Francfort et de Vancouver. En vertu de ce contrat, AJN intégrera dans son capital les parts de la “Société Minière de Kilo-Moto” (SOKIMO), propriété de l’État congolais, dans plusieurs mines d’or de la province de l’Ituri. Une ressource estimée à 6 millions d’onces, soit 9,6 milliards de dollars.
Le PDG d’AJN, le géologue allemand Klaus Peter Eckhof, « star » des milieux boursiers, revendique une expérience de 20 ans dans les mines du Congo. Il se targue d’avoir levé des fonds pour financer divers projets, dont Moto Goldmines, Alphamin et Amani Gold. Il a aussi développé, à la tête d’une « junior company » australienne, AVZ Minerals, le vaste gisement de lithium de Manono, dans la province du Tanganyika, qui pourrait faire de la RDC « l’Arabie saoudite du lithium », avec une ressource équivalant à 15 % des réserves mondiales de ce métal, recherché pour les batteries de véhicules électriques.

Mauvais précédents

L’hostilité à cet accord de la société civile et des syndicats de travailleurs de la Sokimo s’explique par le fait que celle-ci a déjà conclu quantité de partenariats avec des sociétés étrangères sans que ne s’améliore sa situation financière catastrophique. Le 27 février dernier, les travailleurs ont défilé à Kinshasa pour réclamer le paiement de 80 mois d’arriérés de salaire.
La veille, la “Coalition pour la Gouvernance des Entreprises Publiques du secteur extractif (COGEP)”, rassemblant des ONG travaillant sur les resources naturelles, avait demandé au Premier ministre Sylvestre Ilunga d’annuler le protocole d’accord avec AJN. La Cogep estime la transaction « très défavorable » à la Sokimo, qui aurait cédé ses parts dans ces gisements pour 17 millions de dollars; « un véritable bradage », dit-elle.

Pas d’appel d’offres

Selon la Cogep, le protocole d’accord violerait le code minier révisé qui impose, avant tout octroi de concession minière, la publication d’un appel d’offres. S’exprimant au nom de la coalition « Le Congo n’est pas à vendre », l’avocat Jimmy Munguriek estime le partenariat déséquilibré car la Sokimo, bien que détenant 60 % des parts dans AJN, n’aura que deux membres sur cinq au conseil d’administration, ce qui réduit son droit de contrôle. En outre, prévient l’avocat, la Sokimo n’est pas à l’abri d’un élargissement du capital d’AJN qui verrait diluer ses parts.
La Cogep et les syndicats de la Sokimo réclament aussi des sanctions contre la présidente de cette société, Annie Kithima Nzuzi, fille de l’apparatchik mobutiste Kithima Bin Ramazani. Son limogeage est réclamé par les députés et sénateurs de l’Ituri, qui l’accusent d’avoir vendu illégalement à la société Pianeta Mining, inconnue de la profession, des parts de la Sokimo dans une société dénommée Nzani-Kodo.

Appui des kabilistes

Politiquement, toutefois, la position de Eckhof est solide, compte tenu du rapport de forces entre le camp du président Félix Tshiskedi et celui de son prédécesseur, Joseph Kabila, dont les partisans détiennent une majorité écrasante au parlement et au gouvernement. Les acteurs principaux de l’entrée de la Sokimo dans le capital d’AJN sont en effet des gens de Kabila, à commencer par Annie Kithima, qui ne peut s’engager sans l’aval des ministres des Mines et du Portefeuille, Willy Kitobo et Wiwine Mamba, également kabilistes.
Klaus Ekhof lui-même a cultivé des relations étroites avec le camp Kabila. L’attribution du permis de lithium à sa société AVZ Minerals en 2016 fut arrangée par Thomas Mahuku, un homme d’affaires proche du frère cadet du président, Zoé Kabila (actuellement gouverneur de la province du Tanganyika). L’actionnaire principal d’AVZ Minerals, Cong Mao Huai, a été surnommé le « Dan Gertler chinois », allusion au businessman israélien longtemps partenaire en affaires de l’ex-Président.
Une société contrôlée par Zoe Kabila, la Générale industrielle et commerciale au Congo (GICC), aurait presté des services à une autre compagnie d’Eckhof, Moto Goldmines. Lorsque, plus tard, Randgold Resources racheta l’actif de Moto, GICC aurait encaissé un bénéfice de 4.4 millions de dollars, de quoi consolider « l’amitié ».

Meilleure réputation

Interrogé par La Libre Afrique.be, Eckhof rétorque que Moto Goldmines était alors une société par actions et que tous les contrats qu’elle a passés ont été annoncés correctement. Pour lui, les accusations de la Cogep relèvent d’un malentendu. La Sokimo ne vendra aucun de ses actifs. La transaction entre la compagnie congolaise et AJN permettra à la Sokimo d’accéder aux marchés internationaux, de créer de la valeur monétaire pour ses actifs, de rembourser ses dettes et de payer ses employés. Le géologue allemand justifie la majorité de membres d’AJN au conseil d’administration de la société par le fait qu’ils ont meilleure réputation que ceux de la Sokimo et que cela compte pour lever de l’argent. A terme, il n’exclut pas d’y faire entrer plus de représentants de la Sokimo.
Interpellé sur cette affaire par la société civile, le président Tshisekedi, reste muré dans le silence.


"« Stratégies d’infuences autour des ressources minières -Cuivre, Cobalt, Coltan- dans l’Est de la République Démocratique du Congo» - décembre 2014
= https://www.ege.fr/sites/ege.fr/files/downloads/etude_minier_RDC_ege2015.pdf?hc_location=ufi


"L'industrie minière et métallurgique au Congo belge - PAR A. MARTHOZ, - I N G É N I E U R C I V I L A . I . G., A D M I N I S T R A T E U R - D É L É G U É DE L ' U N I O N M I N I È R E D U H A U T - K A T A N G A  - 1955
= http://www.kaowarsom.be/documents/MEMOIRES_VERHANDELINGEN/Sciences_techniques/Tec.Sc.(NS)_T.I,1_MARTHOZ,%20A._L%27industrie%20mini%C3%A8re%20et%20m%C3%A9tallurgique%20au%20Congo%20belge_1955.PDF


"RDC-Chine : comment ça va ? Po na GEC - 10/09/2021
= https://podcast.ausha.co/po-na-gec/rdc-chine-comment-ca-va
Cette semaine, un documentaire intitulé “En finir avec la traite négrière en Afrique'' a suscité un vif débat sur les réseaux sociaux en RDC. Alain Foka, journaliste africain chevronné, a affirmé que l'esclavage était bien présent, aujourd’hui encore sur le continent africain : En effet, Des entreprises chinoises font travailler des Congolais dans des conditions inhumaines pour exploiter des mines d'or et d'étain dans l'est du Congo. Un tollé s'en est suivi, et les activités de 6 entreprises chinoises ont été suspendues.
Que dit cet incident sur l'état général des relations entre le Congo et la Chine ?


Bonjour, je suis Jason Stearns, directeur du Groupe d'étude sur le Congo, centre de recherche de l'Université de New York. Vous écoutez le 30ème numéro de Po Na GEC. Nous sommes le vendredi 10 septembre 2021.

Aujourd’hui, je me penche sur cette affaire dans le contexte géopolitique plus large de la région. Ces dernières années, le Congo a accueilli des dizaines de sociétés minières chinoises, petites et grandes. Si le documentaire d’Alain Foka se concentre sur l'exploitation minière semi-artisanale, les entreprises chinoises dominent désormais aussi l'exploitation minière industrielle dans le pays. Sept des dix plus grandes entreprises en termes d'exportations de cuivre et de cobalt sont détenues en majorité par des sociétés chinoises. Ce phénomène est particulièrement important à l'heure où le monde passe des combustibles fossiles aux énergies renouvelables. Le cobalt est un ingrédient clé des batteries utilisées dans la plupart des voitures électriques. Il en est de même du lithium, également présent en RDC. Manono Lithium, une multinationale basée en Australie, dont la production devrait démarrer dans le courant de l'année, pourrait devenir l'un des plus grands producteurs de ce minerai au monde. Et l'on craint de plus en plus qu'une nouvelle guerre froide entre la Chine et les États-Unis ne débouche sur une guerre pour les chaînes d'approvisionnement en minéraux critiques, les entreprises chinoises contrôlant déjà la majorité de la production de lithium et de cobalt dans le monde.

En d'autres termes, des scandales comme les mauvais traitements infligés aux travailleurs congolais par leurs dirigeants chinois au Sud Kivu, peuvent rapidement devenir des incidents géopolitiques. L'ambassadeur de Chine en RDC a rapidement réagi, condamnant toute exploitation illégale des ressources naturelles dans le pays, mais mettant également en garde contre la diffamation et la xénophobie.

Cet incident survient alors que les relations entre les deux pays ne sont pas aussi étroites que sous Kabila. Félix Tshisekedi voudrait, lui, reconstruire les relations du Congo avec les États-Unis et les pays occidentaux. Son premier voyage hors d'Afrique a été effectué à Washington, et il entretient une relation étroite avec l'ambassadeur des États-Unis. Son gouvernement a reçu des milliards de dollars de soutien de la part de la Banque mondiale et du FMI, des décaissements qui ont été soutenus par les États-Unis. Cela s'est-il fait au détriment des relations congolaises avec la Chine ? En tout cas, Tshisekedi n’a pas encore fait de visite officielle dans ce pays, pourtant premier partenaire commercial du Congo et l'un de ses plus gros investisseurs. Et cette année, le Premier ministre Sama Lukonde s'est affairé à revoir des contrats clés avec des entreprises étrangères : des blocs pétroliers appartenant à Dan Gertler, l'homme d'affaires israélien historiquement proche de Kabila, en Ituri, ainsi que des contrats miniers dans la ceinture de cuivre. Les plus importants d'entre eux appartiennent à des sociétés chinoises : Tenke Fungurume et Sicomines.
On peut espérer que le but de cette politique n'est pas de marquer des points géopolitiques mais de s'assurer que les travailleurs congolais sont traités dignement et que le pays reçoit sa juste part des profits miniers.

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Passez un excellent week-end. Au revoir.


Compatriotiquement!


# Si haut que l'on soit placé, on n'est jamais assis que sur son cul # # Que faisait Dieu avant la création ? De toute éternité, il préparait d'épouvantables supplices pour celui qui poserait cette question. #

ndonzwau


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