Juste pour ecrire
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Re: Juste pour ecrire
Aussi loin que je sois de chez moi,
Chaque jour, chaque nuit, chaque fois,
Mes pensées vont vers les miens,
Frères, amis, camarades et concitoyens,
Croulant sous la misère dans mon pays,
Et dont, jusqu’ici, on peut en entendre les cris
Des cris de détresse, et des cris de souffrance
Nourrissant l’espoir, chaque jour, de voler vers la France
Un espoir vain et des rêves à priori inutiles,
Car où qu’on soit, être camerounais est toujours difficile
La misère sociale là-bas, et la misère mentale ici,
Etre camerounais semble être une malédiction qui nous poursuit,
Des ambassades à l’abandon, un gouvernement sans direction,
Que de problème sans solutions et de jeunes sans vocation
Ô Cameroun, et ses apôtres de la corruption et du vol
Dont les gouvernants et les dignitaires en sont les principaux cas d’école
Ô Cameroun, ce bateau qui avance maintenant sans gouvernail,
Un pays tout entier, par la faute de quelques uns est pris en tenaille
Un sommet totalement meurtri et une base visiblement inanimée,
Des adultes insouciants et des jeunes vraisemblablement contaminés,
Un pays au présent qui n’a certainement plus d’avenir,
Et où même l’avenir n’est plus présent dans nos souvenirs,
Tellement il est loin, le temps où routes et écoles se construisaient,
Tellement il est loin, le temps où nos dignitaires travaillaient.
Ô Cameroun ! Fier et courageux. Fort et valeureux. Où est tu ?
Reviens nous vite et redeviens tel que par le passé tu fus
Une terre où la nuit l’on n’aura plus peur de se faire agresser
Où enfin, l’on pourra revoir agréablement le temps passer
Une terre de dignité, de respect de l’autre et mais surtout de solidarité,
Où l’on en aura fini avec les plus basses, et les plus stupides incivilités
Une terre où les simples citoyens ne seront plus érigés en clowns,
Un Cameroun tel que l’on aura toujours voulu notre Cameroun.
===========================================================================================================================================================
Lue sur le blog d'un jeune camerounais NINO l'afique centrale une malédiction. Mawa plein.
Chaque jour, chaque nuit, chaque fois,
Mes pensées vont vers les miens,
Frères, amis, camarades et concitoyens,
Croulant sous la misère dans mon pays,
Et dont, jusqu’ici, on peut en entendre les cris
Des cris de détresse, et des cris de souffrance
Nourrissant l’espoir, chaque jour, de voler vers la France
Un espoir vain et des rêves à priori inutiles,
Car où qu’on soit, être camerounais est toujours difficile
La misère sociale là-bas, et la misère mentale ici,
Etre camerounais semble être une malédiction qui nous poursuit,
Des ambassades à l’abandon, un gouvernement sans direction,
Que de problème sans solutions et de jeunes sans vocation
Ô Cameroun, et ses apôtres de la corruption et du vol
Dont les gouvernants et les dignitaires en sont les principaux cas d’école
Ô Cameroun, ce bateau qui avance maintenant sans gouvernail,
Un pays tout entier, par la faute de quelques uns est pris en tenaille
Un sommet totalement meurtri et une base visiblement inanimée,
Des adultes insouciants et des jeunes vraisemblablement contaminés,
Un pays au présent qui n’a certainement plus d’avenir,
Et où même l’avenir n’est plus présent dans nos souvenirs,
Tellement il est loin, le temps où routes et écoles se construisaient,
Tellement il est loin, le temps où nos dignitaires travaillaient.
Ô Cameroun ! Fier et courageux. Fort et valeureux. Où est tu ?
Reviens nous vite et redeviens tel que par le passé tu fus
Une terre où la nuit l’on n’aura plus peur de se faire agresser
Où enfin, l’on pourra revoir agréablement le temps passer
Une terre de dignité, de respect de l’autre et mais surtout de solidarité,
Où l’on en aura fini avec les plus basses, et les plus stupides incivilités
Une terre où les simples citoyens ne seront plus érigés en clowns,
Un Cameroun tel que l’on aura toujours voulu notre Cameroun.
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Lue sur le blog d'un jeune camerounais NINO l'afique centrale une malédiction. Mawa plein.
mongo elombe
Re: Juste pour ecrire
Although you are with someone else,
I want to have my say
Without invading your domain
Or scaring you away.
I respect the choice you made
And all that you decide,
But I would just like you to know
I want you by my side.
As a lake deep in a wood
Awaits a cool, fresh breeze,
I will wait, a patient eye,
While you do as you please
I want to have my say
Without invading your domain
Or scaring you away.
I respect the choice you made
And all that you decide,
But I would just like you to know
I want you by my side.
As a lake deep in a wood
Awaits a cool, fresh breeze,
I will wait, a patient eye,
While you do as you please
Mathilde
Re: Juste pour ecrire
Guys are fools with too much pride
they play their games then run and hide
Do not give them your soul or heart
for it will break and fall apart
They feel only for themselves
Keeping their hearts locked in shelves
We talk freely of what we feel
They hold back. Whats the deal!
Men are puppets on a string
pulled on rightly they'll have no sting
Twist them around your little finger
Teased and taught and left to linger
They don't deserve a single thing
They'll cheat on you with their ditsy fling
and you will get thrown away
while they run off to go and play
So heed my words and don't delay
the men are for looks and only for play
You do your thing then move on
because men are nothing to prolong
they play their games then run and hide
Do not give them your soul or heart
for it will break and fall apart
They feel only for themselves
Keeping their hearts locked in shelves
We talk freely of what we feel
They hold back. Whats the deal!
Men are puppets on a string
pulled on rightly they'll have no sting
Twist them around your little finger
Teased and taught and left to linger
They don't deserve a single thing
They'll cheat on you with their ditsy fling
and you will get thrown away
while they run off to go and play
So heed my words and don't delay
the men are for looks and only for play
You do your thing then move on
because men are nothing to prolong
Mathilde
Re: Juste pour ecrire
You've Got A Little Bit Of Jealousy On Your Lip There
If amber is the color of your energy, Then what would be the color of your jealousy? Would it blind like your mind and the way that you think? Or would it be a subtle color, but made of strong ink. A color so greedy it surpasses needy, And narrows your eyes, both pupils now beady. Don’t tell me the things your lips never say, I’m done reading minds, just not how I play. You want to start over but there’s rust on your motor, Crumbling your engine and causing disorder. You think that restarting would help you to see, But the amber you feel is rusty energy Pouahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh |
Mathilde
Re: Juste pour ecrire
Mathilde a écrit:You've Got A Little Bit Of Jealousy On Your Lip There
If amber is the color of your
energy Vieux Bord,
Then what would be the color of your jealousy?
Would it blind like
your mind and the way that you think?
Or would it be a subtle color, but made
of strong ink.
A color so greedy it surpasses needy,
And narrows your
eyes, both pupils now beady.
Don’t tell me the things your lips never
say,
I’m done reading minds, just not how I play.
You want to start
over but there’s rust on your motor,
Crumbling your engine and causing
disorder.
You think that restarting would help you to see,
But the amber
you feel is rusty energy my VB
Pouahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh
Vieux Bord
Re: Juste pour ecrire
Regardes dans le sein d'une maman,
Tu verras un petit être calme et rassurant.
Ce petit être nommé enfant,
Et de sa gaieté et sa joie naîtra l'expression bon-enfant.
Sur sa maman il est couché,
Là il se sent sain et protégé.
Dans son regard, on lit la curiosité,
Et de sa bouche sortiront des perplexités.
Au sein de sa mère il mange et grandi,
Il apprendra à galoper comme un cabri
Dès qu'il sait le faire, rester chez sa mère, c'est fini.
Il veut voler, découvrir le monde comme une perdrix.
Il apprendra à gérer les gènes et peines,
Car vers lui accoureront les problèmes à la traîne.
Tôt déjà, il saura que sa maman n'est pas la seule reine,
Et que toutes les reines ne sont pas saines.
Je suis un enfant et toutes ces choses, je vois.
Ces choses me hantent et me détruisent comme un cheval de Troie
Et ceci provoque en moi des émois
Qui sont difficiles à gloser telles des flèches qui sortent de carquois.
Je me rappelle ma toute petite enfance,
Lors de laquelle toutes choses sont belles à voir
Et durant laquelle on apprend à l'école avec aisance
Comment à ses amis, leur dire "Au revoir".
Tu verras un petit être calme et rassurant.
Ce petit être nommé enfant,
Et de sa gaieté et sa joie naîtra l'expression bon-enfant.
Sur sa maman il est couché,
Là il se sent sain et protégé.
Dans son regard, on lit la curiosité,
Et de sa bouche sortiront des perplexités.
Au sein de sa mère il mange et grandi,
Il apprendra à galoper comme un cabri
Dès qu'il sait le faire, rester chez sa mère, c'est fini.
Il veut voler, découvrir le monde comme une perdrix.
Il apprendra à gérer les gènes et peines,
Car vers lui accoureront les problèmes à la traîne.
Tôt déjà, il saura que sa maman n'est pas la seule reine,
Et que toutes les reines ne sont pas saines.
Je suis un enfant et toutes ces choses, je vois.
Ces choses me hantent et me détruisent comme un cheval de Troie
Et ceci provoque en moi des émois
Qui sont difficiles à gloser telles des flèches qui sortent de carquois.
Je me rappelle ma toute petite enfance,
Lors de laquelle toutes choses sont belles à voir
Et durant laquelle on apprend à l'école avec aisance
Comment à ses amis, leur dire "Au revoir".
mongo elombe
Re: Juste pour ecrire
mongo elombe a écrit:Vieux Bord, regardes dans le sein d'une maman,
Tu verras un petit être calme et rassurant.
Ce petit être nommé enfant,
Et de sa gaieté et sa joie naîtra l'expression bon-enfant.
Sur sa maman il est couché,
Là il se sent sain et protégé.
Dans son regard, on lit la curiosité,
Et de sa bouche sortiront des perplexités.
Au sein de sa mère il mange et grandi,
Il apprendra à galoper comme un cabri
Dès qu'il sait le faire, rester chez sa mère, c'est fini.
Il veut voler, découvrir le monde comme une perdrix.
Il apprendra à gérer les gènes et peines,
Car vers lui accoureront les problèmes à la traîne.
Tôt déjà, il saura que sa maman n'est pas la seule reine,
Et que toutes les reines ne sont pas saines.
Je suis un enfant et toutes ces choses, je vois.
Ces choses me hantent et me détruisent comme un cheval de Troie
Et ceci provoque en moi des émois
Qui sont difficiles à gloser telles des flèches qui sortent de carquois.
Je me rappelle ma toute petite enfance,
Lors de laquelle toutes choses sont belles à voir
Et durant laquelle on apprend à l'école avec aisance
Comment à ses amis, leur dire "Au revoir".
Vieux Bord
Re: Juste pour ecrire
natiki diambamongo elombe a écrit:Tika diamba epesaka mba delires kie kie kie.
Vieux Bord
Re: Juste pour ecrire
L'amour n'a pas de meilleur ministre que l'occasion.
Miguel de Cervantes.
Miguel de Cervantes.
Invité- Invité
Re: Juste pour ecrire
La liberté de penser.
Libre de penser, de rire et d'aimer
Profiter des secondes de bonheur,
De paix, de joie et savoir décider,
Sans aucune crainte ni peur.
Savoir dire non, oser, choisir,
Construire, entreprendre, bâtir.
Il suffit de peu de chose,
Un peu de courage si j'ose.
La vie n'est pas toujours facile,
Mais il suffit de redresser la tête,
D'affronter certaines adversités,
Avec beaucoup de sincérité.
Suivre son coeur, ses pensées,
Ses choix, ses propres idées.
C'est alors et seulement ainsi,
Que l'on devient acteur de sa vie.
Il faut dans la vie savoir aussi,
Tendre la main à celui qui en a besoin,
Sans espérer un retour... rien,
Juste se dire que c'était bien.
Alors s'installe l'harmonie avec soi-même,
Et ainsi le monde parait presque parfait !
Mathilde
Re: Juste pour ecrire
A
cinq ans je croyais que l'on devenait vieux
Sitôt qu 'on atteignait la
dizaine d'années
Mais quand mes dix printemps sonnèrent glorieux
Je remis
à quinze ans mes caduques données.
Lorsque longtemps après, j'attrapai
mes quinze ans,
Je fixai à vingt ans ma future vieillesse.
Or, mes vingt
ans passés, j'ajoutai dix printemps,
Pensant bien qu'à trente ans
j'obtiendrais la sagesse.
Arrivèrent ces trente et là je me disais:
On
doit devenir vieux seulement à quarante.
La quarantaine vint:j'étais robuste
et frais.
Alors, me suis-je dit, ce doit être à cinquante.
Cinquante
tôt venu, vite je m'aperçus
Qu'on reste jeune encore tant qu'on n'a pas
soixante.
Je les ai dépassés de seize ans révolus
Et je me trouve aussi
neuf que lorsque j'avais trente.
Mes cheveux sont, bien sûr, devenus
grisonnants
Mais je conserve encore un peu de ma crinière;
Je marche sans
bâton, mais j'ai perdu mes dents;
Les jeunes pourraient bien me prendre pour
grand-père.
Malgré tout, je me sens presque aussi bien portant
Qu'en
ces jours si actifs de ma plus tendre enfance;
Plus modéré, bien sûr, sans
crouler cependant.
Mes rêves envolés, je garde l'espérance.
Parfois je
me demande:" A quel âge est-on vieux?"
Il me semble que moi, je suis toujours
le même;
Je me tiens occupé, je ne me sens que mieux.
J'ignore la
question, ça règle le problème.
Quand j'aurai mes cent ans, je dirai: "Ô
Seigneur
A quel âge est-on vieux?"....Mais à cent ans, quoi faire
Si la
neige des ans m'interdit tout labeur ?
mieux vaut le ciel alors...quand il
plaira au Père...
Mathilde
Re: Juste pour ecrire
Dark Sanctuary
Take my shell
I give you my flesh
Take my soul
I give you my
life
A human being without complex
Desire is arising within
me
Brought by your hand
Which is the only one to understand me
I'm
fond of your caresses
The ones which make me pretty
The ones which guide
my feet
To this place so dark
Teach me love
With your long and
slender fingers
I'd like to taste
Your forbidden fruit
Without
being involved
Pleasure is arising inside me
Death is coming
But I'm still
breathing
You awaked
So many mysteries inside myself
That I can't
stay here
Without tasting your flesh
So take me
To this cave of
life
Where nobody
Is real
Take my shell
I give you my flesh
Take my soul
I give you my
life
A human being without complex
Desire is arising within
me
Brought by your hand
Which is the only one to understand me
I'm
fond of your caresses
The ones which make me pretty
The ones which guide
my feet
To this place so dark
Teach me love
With your long and
slender fingers
I'd like to taste
Your forbidden fruit
Without
being involved
Pleasure is arising inside me
Death is coming
But I'm still
breathing
You awaked
So many mysteries inside myself
That I can't
stay here
Without tasting your flesh
So take me
To this cave of
life
Where nobody
Is real
Mathilde
Re: Juste pour ecrire
Que tu es affreuse,
Laide et sans pitié !
Avec tes pleureuses,
Sous ton
autorité.
Tu frappes sans remord,
Te moquant bien de l’age ;
Les
faibles et les forts,
Tu en fais tes otages.
Je ne peux accepter,
Autant d’arrogance !
Laide et sans pitié !
Avec tes pleureuses,
Sous ton
autorité.
Tu frappes sans remord,
Te moquant bien de l’age ;
Les
faibles et les forts,
Tu en fais tes otages.
Je ne peux accepter,
Autant d’arrogance !
Mathilde
Re: Juste pour ecrire
It's hard to accept, but you can't change the past. You can't go
back and manipulate things to the way you wanted them to happen. Because life'd
be meaningless and boring and just not worth living. But you can change the
future and that's a beautiful thing about life. Yes, you will make mistakes. And
yes, you will have bad days - but as long as you let the past go, you'll have
such a gorgeous and bright future ahead of you. Knowing that things were meant
to happen. Knowing that each day you will learn something so that you keep
growing to be a better person. Life is like a rope, twined in all its
complexities and yet weaved into one marvelous stream that you have the chance
you use something amazing from. So grab hold of it.......
Mathilde
Re: Juste pour ecrire
On dit bien que le temps efface
Les plaies profondes du bonheur,
Mais nous reste t-il une place,
Lorsqu’il nous faut vivre sans cœur ?
Á quoi peut servir de savoir,
Pourquoi faut-il ouvrir les yeux,
Si la vie devient un mouroir,
Lorsque l’on cesse d’être deux ?
Mais qui un jour pourra me dire,
Où est le bien où est le mal,
Discerner le meilleur du pire,
Dans cette vie de carnaval ?
Les plaies profondes du bonheur,
Mais nous reste t-il une place,
Lorsqu’il nous faut vivre sans cœur ?
Á quoi peut servir de savoir,
Pourquoi faut-il ouvrir les yeux,
Si la vie devient un mouroir,
Lorsque l’on cesse d’être deux ?
Mais qui un jour pourra me dire,
Où est le bien où est le mal,
Discerner le meilleur du pire,
Dans cette vie de carnaval ?
Mathilde
Re: Juste pour ecrire
"Mets-moi maintenant comme un sceau sur ton cœur, comme un anneau sur ton bras, car l’amour est fort comme la mort ; la passion est inflexible comme l’enfer", la Sulamite dans Cantique des Cantiques.
Tsippora
Re: Juste pour ecrire
N'est-ce pas beau l'amour? Même la Bible consacre des pages à la passion amoureuse...c'est pour dire qu'on ne peut vivre sans
’’Cantique des cantiques, de Salomon.’’
Qu’il me baise des baisers de sa bouche !
Car ton amour vaut mieux que le vin,
tes parfums ont une odeur suave ;
ton nom est un parfum qui se répand ;
c’est pourquoi les jeunes filles t’aiment.
Entraîne-moi après toi !
Nous courrons !
Le roi m’introduit dans ses appartements...
Nous nous égaierons, nous nous réjouirons à cause de toi ;
nous célébrerons ton amour plus que le vin.
C’est avec raison que l’on t’aime.
Je suis noire, mais je suis belle, filles de Jérusalem,
comme les tentes de Kédar, comme les pavillons de Salomon.
Ne prenez pas garde à mon teint noir :
C’est le soleil qui m’a brûlée.
Les fils de ma mère se sont irrités contre moi,
ils m’ont faite gardienne des vignes.
Ma vigne, à moi, je ne l’ai pas gardée.
Dis-moi, ô toi que mon cœur aime,
où tu fais paître tes brebis,
où tu les fais reposer à midi ;
car pourquoi serais-je comme une égarée
près des troupeaux de tes compagnons ?
Si tu ne le sais pas, ô la plus belle des femmes,
sors sur les traces des brebis,
et fais paître tes chevreaux
près des demeures des bergers.
À ma jument qu’on attelle aux chars de Pharaon
je te compare, ô mon amie.
Tes joues sont belles au milieu des colliers,
ton cou est beau au milieu des rangées de perles.
Nous te ferons des colliers d’or,
avec des points d’argent.
- Tandis que le roi est dans son entourage,
mon nard exhale son parfum.
Mon bien-aimé est pour moi un bouquet de myrrhe,
qui repose entre mes seins.
Mon bien-aimé est pour moi une grappe de troëne
des vignes d’En-Guédi.
- Que tu es belle, mon amie, que tu es belle !
Tes yeux sont des colombes.
- Que tu es beau, mon bien-aimé, que tu es aimable !
Notre lit, c’est la verdure.
- Les solives de nos maisons sont des cèdres,
nos lambris sont des cyprès.
Cantique des Cantiques...
’’Cantique des cantiques, de Salomon.’’
Qu’il me baise des baisers de sa bouche !
Car ton amour vaut mieux que le vin,
tes parfums ont une odeur suave ;
ton nom est un parfum qui se répand ;
c’est pourquoi les jeunes filles t’aiment.
Entraîne-moi après toi !
Nous courrons !
Le roi m’introduit dans ses appartements...
Nous nous égaierons, nous nous réjouirons à cause de toi ;
nous célébrerons ton amour plus que le vin.
C’est avec raison que l’on t’aime.
Je suis noire, mais je suis belle, filles de Jérusalem,
comme les tentes de Kédar, comme les pavillons de Salomon.
Ne prenez pas garde à mon teint noir :
C’est le soleil qui m’a brûlée.
Les fils de ma mère se sont irrités contre moi,
ils m’ont faite gardienne des vignes.
Ma vigne, à moi, je ne l’ai pas gardée.
Dis-moi, ô toi que mon cœur aime,
où tu fais paître tes brebis,
où tu les fais reposer à midi ;
car pourquoi serais-je comme une égarée
près des troupeaux de tes compagnons ?
Si tu ne le sais pas, ô la plus belle des femmes,
sors sur les traces des brebis,
et fais paître tes chevreaux
près des demeures des bergers.
À ma jument qu’on attelle aux chars de Pharaon
je te compare, ô mon amie.
Tes joues sont belles au milieu des colliers,
ton cou est beau au milieu des rangées de perles.
Nous te ferons des colliers d’or,
avec des points d’argent.
- Tandis que le roi est dans son entourage,
mon nard exhale son parfum.
Mon bien-aimé est pour moi un bouquet de myrrhe,
qui repose entre mes seins.
Mon bien-aimé est pour moi une grappe de troëne
des vignes d’En-Guédi.
- Que tu es belle, mon amie, que tu es belle !
Tes yeux sont des colombes.
- Que tu es beau, mon bien-aimé, que tu es aimable !
Notre lit, c’est la verdure.
- Les solives de nos maisons sont des cèdres,
nos lambris sont des cyprès.
Cantique des Cantiques...
Tsippora
Re: Juste pour ecrire
Ma Tsippo,
Tres beau..... j'aime beaucoup, tres profond!
Tres beau..... j'aime beaucoup, tres profond!
Tsippora a écrit:N'est-ce pas beau l'amour? Même la Bible consacre des pages à la passion amoureuse...c'est pour dire qu'on ne peut vivre sans
’’Cantique des cantiques, de Salomon.’’
Qu’il me baise des baisers de sa bouche !
Car ton amour vaut mieux que le vin,
tes parfums ont une odeur suave ;
ton nom est un parfum qui se répand ;
c’est pourquoi les jeunes filles t’aiment.
Entraîne-moi après toi !
Nous courrons !
Le roi m’introduit dans ses appartements...
Nous nous égaierons, nous nous réjouirons à cause de toi ;
nous célébrerons ton amour plus que le vin.
C’est avec raison que l’on t’aime.
Je suis noire, mais je suis belle, filles de Jérusalem,
comme les tentes de Kédar, comme les pavillons de Salomon.
Ne prenez pas garde à mon teint noir :
C’est le soleil qui m’a brûlée.
Les fils de ma mère se sont irrités contre moi,
ils m’ont faite gardienne des vignes.
Ma vigne, à moi, je ne l’ai pas gardée.
Dis-moi, ô toi que mon cœur aime,
où tu fais paître tes brebis,
où tu les fais reposer à midi ;
car pourquoi serais-je comme une égarée
près des troupeaux de tes compagnons ?
Si tu ne le sais pas, ô la plus belle des femmes,
sors sur les traces des brebis,
et fais paître tes chevreaux
près des demeures des bergers.
À ma jument qu’on attelle aux chars de Pharaon
je te compare, ô mon amie.
Tes joues sont belles au milieu des colliers,
ton cou est beau au milieu des rangées de perles.
Nous te ferons des colliers d’or,
avec des points d’argent.
- Tandis que le roi est dans son entourage,
mon nard exhale son parfum.
Mon bien-aimé est pour moi un bouquet de myrrhe,
qui repose entre mes seins.
Mon bien-aimé est pour moi une grappe de troëne
des vignes d’En-Guédi.
- Que tu es belle, mon amie, que tu es belle !
Tes yeux sont des colombes.
- Que tu es beau, mon bien-aimé, que tu es aimable !
Notre lit, c’est la verdure.
- Les solives de nos maisons sont des cèdres,
nos lambris sont des cyprès.
Cantique des Cantiques...
Mathilde
Re: Juste pour ecrire
Mathilde a écrit:Ma Tsippo,
Tres beau..... j'aime beaucoup, tres profond!
C'est maginifique, n'est-ce pas? En voici un autre extrait, Cantique 2:
- Je suis un narcisse de Saron,
un lis des vallées.
- Comme un lis au milieu des épines,
telle est mon amie parmi les jeunes filles.
- Comme un pommier au milieu des arbres de la forêt,
tel est mon bien-aimé parmi les jeunes hommes.
J’ai désiré m’asseoir à son ombre,
et son fruit est doux à mon palais.
Il m’a fait entrer dans la maison du vin ;
et la bannière qu’il déploie sur moi, c’est l’amour.
Soutenez-moi avec des gâteaux de raisins,
fortifiez-moi avec des pommes ;
car je suis malade d’amour.
Que sa main gauche soit sous ma tête,
et que sa droite m’embrasse !
- Je vous en conjure, filles de Jérusalem,
par les gazelles et les biches des champs,
ne réveillez pas, ne réveillez pas l’amour,
avant qu’elle le veuille.
C’est la voix de mon bien-aimé !
Le voici, il vient,
sautant sur les montagnes,
bondissant sur les collines.
Mon bien-aimé est semblable à la gazelle
ou au faon des biches.
Le voici, il est derrière notre mur,
il regarde par la fenêtre,
il regarde par le treillis.
Mon bien-aimé parle et me dit :
Lève-toi, mon amie, ma belle, et viens !
Car voici, l’hiver est passé ;
la pluie a cessé, elle s’en est allée.
Les fleurs paraissent sur la terre,
le temps de chanter est arrivé,
et la voix de la tourterelle se fait entendre dans nos campagnes.
Le figuier embaume ses fruits,
et les vignes en fleur exhalent leur parfum.
Lève-toi, mon amie, ma belle, et viens !
Ma colombe, qui te tiens dans les fentes du rocher,
qui te caches dans les parois escarpées,
fais-moi voir ta figure,
fais-moi entendre ta voix ;
car ta voix est douce, et ta figure est agréable.
Prenez-nous les renards,
les petits renards qui ravagent les vignes ;
car nos vignes sont en fleur.
Mon bien-aimé est à moi, et je suis à lui ;
il fait paître son troupeau parmi les lis.
Avant que le jour se rafraîchisse,
et que les ombres fuient,
reviens !... sois semblable, mon bien-aimé,
à la gazelle ou au faon des biches,
sur les montagnes qui nous séparent.
Tsippora
Re: Juste pour ecrire
Tres... thanks.
Tsippora a écrit:Mathilde a écrit:Ma Tsippo,
Tres beau..... j'aime beaucoup, tres profond!
C'est maginifique, n'est-ce pas? En voici un autre extrait, Cantique 2:
- Je suis un narcisse de Saron,
un lis des vallées.
- Comme un lis au milieu des épines,
telle est mon amie parmi les jeunes filles.
- Comme un pommier au milieu des arbres de la forêt,
tel est mon bien-aimé parmi les jeunes hommes.
J’ai désiré m’asseoir à son ombre,
et son fruit est doux à mon palais.
Il m’a fait entrer dans la maison du vin ;
et la bannière qu’il déploie sur moi, c’est l’amour.
Soutenez-moi avec des gâteaux de raisins,
fortifiez-moi avec des pommes ;
car je suis malade d’amour.
Que sa main gauche soit sous ma tête,
et que sa droite m’embrasse !
- Je vous en conjure, filles de Jérusalem,
par les gazelles et les biches des champs,
ne réveillez pas, ne réveillez pas l’amour,
avant qu’elle le veuille.
C’est la voix de mon bien-aimé !
Le voici, il vient,
sautant sur les montagnes,
bondissant sur les collines.
Mon bien-aimé est semblable à la gazelle
ou au faon des biches.
Le voici, il est derrière notre mur,
il regarde par la fenêtre,
il regarde par le treillis.
Mon bien-aimé parle et me dit :
Lève-toi, mon amie, ma belle, et viens !
Car voici, l’hiver est passé ;
la pluie a cessé, elle s’en est allée.
Les fleurs paraissent sur la terre,
le temps de chanter est arrivé,
et la voix de la tourterelle se fait entendre dans nos campagnes.
Le figuier embaume ses fruits,
et les vignes en fleur exhalent leur parfum.
Lève-toi, mon amie, ma belle, et viens !
Ma colombe, qui te tiens dans les fentes du rocher,
qui te caches dans les parois escarpées,
fais-moi voir ta figure,
fais-moi entendre ta voix ;
car ta voix est douce, et ta figure est agréable.
Prenez-nous les renards,
les petits renards qui ravagent les vignes ;
car nos vignes sont en fleur.
Mon bien-aimé est à moi, et je suis à lui ;
il fait paître son troupeau parmi les lis.
Avant que le jour se rafraîchisse,
et que les ombres fuient,
reviens !... sois semblable, mon bien-aimé,
à la gazelle ou au faon des biches,
sur les montagnes qui nous séparent.
Mathilde
Re: Juste pour ecrire
Moi a une époque je me servais du cantique des cantiques pour ma correspondance amoureuse
mongo elombe
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