LES CINQ CHANTIERS DE LA RDC
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Re: LES CINQ CHANTIERS DE LA RDC
mama eeeeeeeee, eske école oyo namoni wana ya ndako ya ndele eza kaka na NSELE oyo ya Kinshasa ooo to na Malemba Nkulu ??? C'est vraiment triste. Horriblement triste.
Rodney
Rodney
Mathilde a écrit:
taty
Les professeurs ont décidé d'engager une grève à la rentrée pour réclamer une augmentation des salaires. À l'approche de la présidentielle, la période est propice.
19/09/2010 à 11h:52 Par Marianne Meunier
Les professeurs ont décidé d'engager une grève à la rentrée pour réclamer une augmentation des salaires. À l'approche de la présidentielle, la période est propice.
Commencer l’année scolaire par une grève : c’est la méthode choisie par les professeurs du secteur public congolais pour dire leur ras-le-bol. Aussi, le 6 septembre, jour de rentrée, la plupart des élèves de Kinshasa, Gbadolite, Kananga ou Lubumbashi ont-ils dû rester à la maison. La Synergie des syndicats des enseignants avait décrété le boycott des classes le 31 août. « Nous revendiquons une majoration des salaires, explique son porte-parole, Jean-Bosco Puna. Ceux que nous touchons datent de 2005 ! »
Le moment est propice. L’État se renfloue, 90 % de la dette extérieure du pays (soit 12,3 milliards de dollars) ayant été annulés en juillet dernier. Et l’élection présidentielle est prévue pour novembre 2011. « Nous voulons profiter de ces opportunités », admet Puna.
Gratuité de l'enseignement primaire
Les mêmes calculs politiques avaient pourtant conduit le gouvernement à promettre aux enseignants une augmentation de 75 % de leur salaire mensuel – qui varie de 30 à 40 dollars – à partir de janvier 2011. Et même à consentir un effort particulier : alors que les professeurs attendent des semaines, voire des mois, avant de toucher leur rémunération – dans certains cas, en vain –, ils ont, dans leur grande majorité, été payés à temps en juillet et en août. Mais, habitués aux promesses non tenues, les grévistes entendent maintenir la pression. Leur mouvement devrait se prolonger jusqu’au 20 septembre.
Une partie de la profession nourrit une autre inquiétude. Le 30 août, le chef de l’État a décrété la mise en œuvre de la gratuité de l’enseignement primaire dès la rentrée (le principe figure dans la Constitution, mais n’a jamais été appliqué). Cette mesure devrait porter un coup fatal à un système de débrouille : le Fonds d’intervention ponctuelle (FIP), une caisse dans laquelle les parents versent chaque mois une participation aux frais de fonctionnement de l’école, ainsi que la « motivation des enseignants », qui constitue un complément de salaire – ou un salaire tout court – et qui varie de quelques dollars symboliques à une centaine. « Si la gratuité est appliquée, le FIP doit être supprimé », dit un parent d’élève. Pour Jean-Bosco Puna, le système FIP est « pervers », car « il transforme l’école en boutique ». Il juge donc « la gratuité salvatrice ». À condition que l’État joue son rôle.
http://www.jeuneafrique.com/Article/ARTJAJA2592p021.xml0/rd-congo-salaire-kinshasa-election-presidentiellegreve-calculs-et-tableau-noir.html
Les professeurs ont décidé d'engager une grève à la rentrée pour réclamer une augmentation des salaires. À l'approche de la présidentielle, la période est propice.
Commencer l’année scolaire par une grève : c’est la méthode choisie par les professeurs du secteur public congolais pour dire leur ras-le-bol. Aussi, le 6 septembre, jour de rentrée, la plupart des élèves de Kinshasa, Gbadolite, Kananga ou Lubumbashi ont-ils dû rester à la maison. La Synergie des syndicats des enseignants avait décrété le boycott des classes le 31 août. « Nous revendiquons une majoration des salaires, explique son porte-parole, Jean-Bosco Puna. Ceux que nous touchons datent de 2005 ! »
Le moment est propice. L’État se renfloue, 90 % de la dette extérieure du pays (soit 12,3 milliards de dollars) ayant été annulés en juillet dernier. Et l’élection présidentielle est prévue pour novembre 2011. « Nous voulons profiter de ces opportunités », admet Puna.
Gratuité de l'enseignement primaire
Les mêmes calculs politiques avaient pourtant conduit le gouvernement à promettre aux enseignants une augmentation de 75 % de leur salaire mensuel – qui varie de 30 à 40 dollars – à partir de janvier 2011. Et même à consentir un effort particulier : alors que les professeurs attendent des semaines, voire des mois, avant de toucher leur rémunération – dans certains cas, en vain –, ils ont, dans leur grande majorité, été payés à temps en juillet et en août. Mais, habitués aux promesses non tenues, les grévistes entendent maintenir la pression. Leur mouvement devrait se prolonger jusqu’au 20 septembre.
Une partie de la profession nourrit une autre inquiétude. Le 30 août, le chef de l’État a décrété la mise en œuvre de la gratuité de l’enseignement primaire dès la rentrée (le principe figure dans la Constitution, mais n’a jamais été appliqué). Cette mesure devrait porter un coup fatal à un système de débrouille : le Fonds d’intervention ponctuelle (FIP), une caisse dans laquelle les parents versent chaque mois une participation aux frais de fonctionnement de l’école, ainsi que la « motivation des enseignants », qui constitue un complément de salaire – ou un salaire tout court – et qui varie de quelques dollars symboliques à une centaine. « Si la gratuité est appliquée, le FIP doit être supprimé », dit un parent d’élève. Pour Jean-Bosco Puna, le système FIP est « pervers », car « il transforme l’école en boutique ». Il juge donc « la gratuité salvatrice ». À condition que l’État joue son rôle.
http://www.jeuneafrique.com/Article/ARTJAJA2592p021.xml0/rd-congo-salaire-kinshasa-election-presidentiellegreve-calculs-et-tableau-noir.html
Mathilde
Re: LES CINQ CHANTIERS DE LA RDC
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Dernière édition par lino le 23/9/2010, 1:04 am, édité 2 fois
lino
Re: LES CINQ CHANTIERS DE LA RDC
Je me pose la question si le cinq chantiers est le projet du gouvernement ou un projet de chef de l´état.
Si c´est pour le chef d´état, avec quel bugdet peut un chef d´état se permettre un gigantesque chantier qui coûte des milliards ?
Au moins que ca soit un projet du gouvernement, là au moins y a un bugdet.
Et ce cinq chantiers, qui est el ministre resposable de ce projet ?
Qui finance alors ce projet ?
Si c´est pour le chef d´état, avec quel bugdet peut un chef d´état se permettre un gigantesque chantier qui coûte des milliards ?
Au moins que ca soit un projet du gouvernement, là au moins y a un bugdet.
Et ce cinq chantiers, qui est el ministre resposable de ce projet ?
Qui finance alors ce projet ?
Flick de Kolwezi
Re: LES CINQ CHANTIERS DE LA RDC
Flick,Flick de Kolwezi a écrit:Je me pose la question si le cinq chantiers est le projet du gouvernement ou un projet de chef de l´état.
Si c´est pour le chef d´état, avec quel bugdet peut un chef d´état se permettre un gigantesque chantier qui coûte des milliards ?
Au moins que ca soit un projet du gouvernement, là au moins y a un bugdet.
Et ce cinq chantiers, qui est el ministre resposable de ce projet ?
Qui finance alors ce projet ?
c'est le programme de chef de l'état qu'il a soumis au gouvernement ( de coalition ) et qui est executé par plusieurs ministères
lino
Re: LES CINQ CHANTIERS DE LA RDC
"Le Congo-Kinshasa inquiète les milieux d’affaires
° http://www.lalibre.be/economie/actualite/article/614262/le-congo-kinshasa-inquiete-les-milieux-d-affaires.html
Bras de fer entre Kinshasa et une minière indienne. Insécurité juridique en jeu.
Les perspectives ouvertes au Congo-Kinshasa par la reconstruction (voir LLB 25/9) et par l’annulation de l’essentiel de la dette, début juillet - ce qui libère 300 millions de dollars par an pour les dépenses sociales - sont considérablement assombries par l’aggravation de la crise entre Kinshasa, l’entreprise canadienne First Quantum et la Banque mondiale.
Le 4 août 2009, Kinshasa, évoquant "des irrégularités" , avait révoqué la licence d’exploitation minière (cuivre et cobalt) octroyée à First Quantum près de Kolwezi (Katanga), où l’entreprise affirme avoir déjà investi 750 millions de dollars. Le projet KMT (Kingamyambo Musonoi Tailings) était mené avec la sud-africaine IDC et la Société financière internationale (SFI, le bras "secteur privé" de la Banque mondiale) qui, de commun accord, ont porté l’affaire devant la cour d’arbitrage de Paris (ICC) en février 2010.
Kinshasa suscite particulièrement la méfiance des milieux industriels internationaux depuis qu’il est apparu qu’elle a cédé par contrat secret, en janvier 2010, la concession minière de First Quantum à une mystérieuse Highwind, société écran dissimulant Camrose Resources; ce consortium, qui appartient notamment à l’Israélien Dan Gertler (qui eut le monopole du diamant congolais sous Kabila père) est basé dans le paradis fiscal des îles Vierges britanniques. Au printemps dernier, l’affaire avait déjà retardé l’annulation de la dette congolaise avant que celle-ci ne soit finalement annoncée début juillet - une décision politique prise pour soulager les populations congolaises.
Vers la mi-août, cependant, on apprenait que Camrose vendait "ses mines congolaises pour 175 millions de dollars" à la compagnie kazakhe Eurasian Natural Resources Cy (ENRC). Au même moment, la cour d’arbitrage de Paris enjoignait à Kinshasa de surseoir à toute transaction sur le projet KMT et bloquait le jugement d’une cour congolaise réclamant à First Quantum 12 milliards de dollars de dommages. De son côté, la Banque mondiale suspendait un projet de 180 millions de dollars au Congo, Promines, en attendant le jugement de Paris.
Ces signaux d’alerte, toutefois, n’ont pas refroidi les esprits à Kinshasa, qui annonçait, fin août, la prochaine ouverture d’une enquête sur des allégations de "fraude fiscale" contre First Quantum, après avoir retiré le permis d’exploiter de deux autres entreprises de cette société à Sakania (Katanga), Frontier et Comisa. Frontier, qui fonctionnait, représente un investissement de 346 millions de dollars, tandis que Comisa n’était pas encore entrée en exploitation.
Les deux concessions étaient attribuées "sans appel d’offre préalable et dans des conditions peu transparentes", souligne l’Asadho-Katanga (une ONG spécialisée dans les droits de l’homme et la bonne gouvernance minière), à la Sodifor; celle-ci est formée de la société publique congolaise Sodimico et de l’entreprise China Fortune Holdings, n’ayant selon la publication "Africa Mining" qu’une seule autre mine dans son portefeuille, située dans le Hubei (Chine). Une véritable expropriation, clame First Quantum, destinée à "punir" le recours à la procédure d’arbitrage sur KMT.
Et la minière canadienne de répliquer en annonçant, à la mi-septembre, des poursuites aux îles Vierges contre les filiales d’ENRC impliquées dans l’affaire KMT, pour incitation à la rupture de contrat. First Quantum a annoncé, en outre, qu’elle envisageait de saisir le Cirdi (Centre international de règlement des différends relatifs aux investissements) à Washington.
L’humeur batailleuse de Kinshasa n’est cependant toujours pas calmée puisque, le 21 septembre, le ministre congolais des Mines, Martin Kabwelulu, cité par Bloomberg, annonçait que les représentants de la Banque mondiale ne seraient désormais plus acceptés dans certaines réunions consacrées aux mines congolaises.
Tandis qu’à Londres l’affaire a suscité une polémique contre ENRC, la bataille industrielle est suivie d’un œil inquiet par le monde des minières. Plusieurs entreprises ayant acheté des concessions au Congo et qui attendaient, pour investir massivement, d’être rassurées sur la sécurité juridique au Congo - toujours vacillante - ont aujourd’hui fait passer tous les voyants au rouge devant le sort réservé à la pionnière First Quantum."
Compatriotiquement!
° http://www.lalibre.be/economie/actualite/article/614262/le-congo-kinshasa-inquiete-les-milieux-d-affaires.html
Bras de fer entre Kinshasa et une minière indienne. Insécurité juridique en jeu.
Les perspectives ouvertes au Congo-Kinshasa par la reconstruction (voir LLB 25/9) et par l’annulation de l’essentiel de la dette, début juillet - ce qui libère 300 millions de dollars par an pour les dépenses sociales - sont considérablement assombries par l’aggravation de la crise entre Kinshasa, l’entreprise canadienne First Quantum et la Banque mondiale.
Le 4 août 2009, Kinshasa, évoquant "des irrégularités" , avait révoqué la licence d’exploitation minière (cuivre et cobalt) octroyée à First Quantum près de Kolwezi (Katanga), où l’entreprise affirme avoir déjà investi 750 millions de dollars. Le projet KMT (Kingamyambo Musonoi Tailings) était mené avec la sud-africaine IDC et la Société financière internationale (SFI, le bras "secteur privé" de la Banque mondiale) qui, de commun accord, ont porté l’affaire devant la cour d’arbitrage de Paris (ICC) en février 2010.
Kinshasa suscite particulièrement la méfiance des milieux industriels internationaux depuis qu’il est apparu qu’elle a cédé par contrat secret, en janvier 2010, la concession minière de First Quantum à une mystérieuse Highwind, société écran dissimulant Camrose Resources; ce consortium, qui appartient notamment à l’Israélien Dan Gertler (qui eut le monopole du diamant congolais sous Kabila père) est basé dans le paradis fiscal des îles Vierges britanniques. Au printemps dernier, l’affaire avait déjà retardé l’annulation de la dette congolaise avant que celle-ci ne soit finalement annoncée début juillet - une décision politique prise pour soulager les populations congolaises.
Vers la mi-août, cependant, on apprenait que Camrose vendait "ses mines congolaises pour 175 millions de dollars" à la compagnie kazakhe Eurasian Natural Resources Cy (ENRC). Au même moment, la cour d’arbitrage de Paris enjoignait à Kinshasa de surseoir à toute transaction sur le projet KMT et bloquait le jugement d’une cour congolaise réclamant à First Quantum 12 milliards de dollars de dommages. De son côté, la Banque mondiale suspendait un projet de 180 millions de dollars au Congo, Promines, en attendant le jugement de Paris.
Ces signaux d’alerte, toutefois, n’ont pas refroidi les esprits à Kinshasa, qui annonçait, fin août, la prochaine ouverture d’une enquête sur des allégations de "fraude fiscale" contre First Quantum, après avoir retiré le permis d’exploiter de deux autres entreprises de cette société à Sakania (Katanga), Frontier et Comisa. Frontier, qui fonctionnait, représente un investissement de 346 millions de dollars, tandis que Comisa n’était pas encore entrée en exploitation.
Les deux concessions étaient attribuées "sans appel d’offre préalable et dans des conditions peu transparentes", souligne l’Asadho-Katanga (une ONG spécialisée dans les droits de l’homme et la bonne gouvernance minière), à la Sodifor; celle-ci est formée de la société publique congolaise Sodimico et de l’entreprise China Fortune Holdings, n’ayant selon la publication "Africa Mining" qu’une seule autre mine dans son portefeuille, située dans le Hubei (Chine). Une véritable expropriation, clame First Quantum, destinée à "punir" le recours à la procédure d’arbitrage sur KMT.
Et la minière canadienne de répliquer en annonçant, à la mi-septembre, des poursuites aux îles Vierges contre les filiales d’ENRC impliquées dans l’affaire KMT, pour incitation à la rupture de contrat. First Quantum a annoncé, en outre, qu’elle envisageait de saisir le Cirdi (Centre international de règlement des différends relatifs aux investissements) à Washington.
L’humeur batailleuse de Kinshasa n’est cependant toujours pas calmée puisque, le 21 septembre, le ministre congolais des Mines, Martin Kabwelulu, cité par Bloomberg, annonçait que les représentants de la Banque mondiale ne seraient désormais plus acceptés dans certaines réunions consacrées aux mines congolaises.
Tandis qu’à Londres l’affaire a suscité une polémique contre ENRC, la bataille industrielle est suivie d’un œil inquiet par le monde des minières. Plusieurs entreprises ayant acheté des concessions au Congo et qui attendaient, pour investir massivement, d’être rassurées sur la sécurité juridique au Congo - toujours vacillante - ont aujourd’hui fait passer tous les voyants au rouge devant le sort réservé à la pionnière First Quantum."
Compatriotiquement!
ndonzwau
Re: LES CINQ CHANTIERS DE LA RDC
Plus des photos du jardin botanique de Kinshasa sur la page:
https://congodiaspora.forumdediscussions.com/actualites-en-image-f22/pic-nic-ambiance-a-kinkole-village-de-pecheurs-t2849-15.htm
Dernière édition par lino le 6/10/2010, 8:04 pm, édité 1 fois
lino
Re: LES CINQ CHANTIERS DE LA RDC
Plus des photos du Grand Hotel Karavia sur la page:
https://congodiaspora.forumdediscussions.com/actualites-en-image-f22/pic-nic-ambiance-a-kinkole-village-de-pecheurs-t2849-15.htm
lino
Re: LES CINQ CHANTIERS DE LA RDC
"Appuis budgétaires : les conditions de la Banque mondiale
° http://www.lepotentiel.com//afficher_article.php?id_article=101954&id_edition=6007
Kinshasa y tient énormément. Mais la Banque mondiale conditionne ses appuis budgétaires, soit près de 100 millions USD, à la preuve de bonne gouvernance dans les secteurs des ressources naturelles (mines et pétrole). Exercice difficile pour le gouvernement de la RDC au regard de l’opacité dans laquelle se concluent certains contrats.
La Banque mondiale multiplie des préalables avant de rouvrir ses vannes en faveur de la République démocratique du Congo. En effet, de la Banque mondiale, le gouvernement s’attendait à près de 100 millions USD au titre d’appuis budgétaires pour combler le gap de son plan de trésorerie pour l’exercice 2011..."
"La RDC recalée
° http://www.lepotentiel.com//afficher_article.php?id_article=101982&id_edition=6007
Des péchés mignons, le Congo-qui-se-veut-démocratique en compte. Et, plus leur nombre augmente, plus il s’en régale, estimant qu’ils ne sont pas mortels. A-t-il conscience des effets secondaires de la désinvolture en matière de péchés véniels? C’est la question que pose mon voisin de gauche qui croit qu’au rythme observé, la RDC va se casser le nez sur le plan international ou, dans le cas contraire, plonge dans une autarcie suicidaire.
Quid ? Un homme averti en vaut deux. Mais Kinshasa en fait peu de cas et s’accorde souvent un auto-satisfécit. Du fait d’une interprétation sélective du langage des institutions de Bretton Woods. Bien plus, Il se complait dans la compassion qu’on lui exprime et croit qu’il pourrait obtenir des dons, prêts et legs en toute aise. Mon œil ! A-t-il oublié ce principe sacro-saint des relations internationales qui met les intérêts au-dessus des sentiments..."
"Après Paris, First Quantum poursuit la RDC à Washington
° http://www.lepotentiel.com//afficher_article_archive.php?id_article=101887&id_edition=6005&yearID=2010&monthID=10&dayID=08
Un nouvel épisode du feuilleton RDC-First Quantum minerals vient de commencer. Après Paris, c’est à Washington que la firme canadienne est allée cette fois porter plainte contre la RDC pour retrait irrégulier de ses permis d’exploitation minière..."
"Pétrole et gaz : opacité totale
° http://www.lepotentiel.com//afficher_article_archive.php?id_article=101915&id_edition=6006&yearID=2010&monthID=10&dayID=09
Exploitation du pétrole et du gaz : la RDC n’a pas pris rendez-vous, demain, avec la transparence. Elle n’est pas pressée de forcer la délimitation de la frontière maritime avec l’Angola sur le plateau pétrolier de l’Atlantique. Elle entretient un mystère sur le gaz méthane du Lac Kivu, qu’exploite déjà le Rwanda. La voici entraînée dans un contentieux avec des investisseurs autour du gisement pétrolier du lac Albert, commun avec l’Ouganda. Plus inquiétant, son Code sur les hydrocarbures peine à prendre corps à l’Assemblée nationale !..."
° http://www.lepotentiel.com//afficher_article_archive.php?id_article=101888&id_edition=6006&yearID=2010&monthID=10&dayID=09
Compatriotiquement!
° http://www.lepotentiel.com//afficher_article.php?id_article=101954&id_edition=6007
Kinshasa y tient énormément. Mais la Banque mondiale conditionne ses appuis budgétaires, soit près de 100 millions USD, à la preuve de bonne gouvernance dans les secteurs des ressources naturelles (mines et pétrole). Exercice difficile pour le gouvernement de la RDC au regard de l’opacité dans laquelle se concluent certains contrats.
La Banque mondiale multiplie des préalables avant de rouvrir ses vannes en faveur de la République démocratique du Congo. En effet, de la Banque mondiale, le gouvernement s’attendait à près de 100 millions USD au titre d’appuis budgétaires pour combler le gap de son plan de trésorerie pour l’exercice 2011..."
"La RDC recalée
° http://www.lepotentiel.com//afficher_article.php?id_article=101982&id_edition=6007
Des péchés mignons, le Congo-qui-se-veut-démocratique en compte. Et, plus leur nombre augmente, plus il s’en régale, estimant qu’ils ne sont pas mortels. A-t-il conscience des effets secondaires de la désinvolture en matière de péchés véniels? C’est la question que pose mon voisin de gauche qui croit qu’au rythme observé, la RDC va se casser le nez sur le plan international ou, dans le cas contraire, plonge dans une autarcie suicidaire.
Quid ? Un homme averti en vaut deux. Mais Kinshasa en fait peu de cas et s’accorde souvent un auto-satisfécit. Du fait d’une interprétation sélective du langage des institutions de Bretton Woods. Bien plus, Il se complait dans la compassion qu’on lui exprime et croit qu’il pourrait obtenir des dons, prêts et legs en toute aise. Mon œil ! A-t-il oublié ce principe sacro-saint des relations internationales qui met les intérêts au-dessus des sentiments..."
"Après Paris, First Quantum poursuit la RDC à Washington
° http://www.lepotentiel.com//afficher_article_archive.php?id_article=101887&id_edition=6005&yearID=2010&monthID=10&dayID=08
Un nouvel épisode du feuilleton RDC-First Quantum minerals vient de commencer. Après Paris, c’est à Washington que la firme canadienne est allée cette fois porter plainte contre la RDC pour retrait irrégulier de ses permis d’exploitation minière..."
"Pétrole et gaz : opacité totale
° http://www.lepotentiel.com//afficher_article_archive.php?id_article=101915&id_edition=6006&yearID=2010&monthID=10&dayID=09
Exploitation du pétrole et du gaz : la RDC n’a pas pris rendez-vous, demain, avec la transparence. Elle n’est pas pressée de forcer la délimitation de la frontière maritime avec l’Angola sur le plateau pétrolier de l’Atlantique. Elle entretient un mystère sur le gaz méthane du Lac Kivu, qu’exploite déjà le Rwanda. La voici entraînée dans un contentieux avec des investisseurs autour du gisement pétrolier du lac Albert, commun avec l’Ouganda. Plus inquiétant, son Code sur les hydrocarbures peine à prendre corps à l’Assemblée nationale !..."
° http://www.lepotentiel.com//afficher_article_archive.php?id_article=101888&id_edition=6006&yearID=2010&monthID=10&dayID=09
Compatriotiquement!
ndonzwau
LA TRAGIQUE VERITE, AU DELA DES AFFABULATIONS DE PROPAGANDA
LA FAIM EN RDC A ATTEINT DES NIVEAUX ALARMANTS
Posted in POLITIQUE,Rdc by dc on the October 11th, 2010 Edit This
La faim prend des proportions inquiétantes dans 29 pays
(20 minutes 11/10/2010)
La faim touche un milliard de personnes dans le monde et prend des proportions inquiétantes dans près d’une trentaine de pays, en raison de la pauvreté, des conflits et de l’instabilité politique, selon un rapport publié lundi.
Sur 122 pays en développement étudiés, la faim atteint des niveaux «alarmants» dans 25 pays et «extrêmement préoccupants» dans 4 pays d’Afrique sub-saharienne (la République démocratique du Congo, le Burundi, le Tchad et l’Erythrée) précise ce rapport annuel «l’indice de la faim dans le monde 2010» réalisé par l’Institut international de recherche sur les politiques alimentaires.
Cet indice de la faim dans le monde est calculé à partir de trois indicateurs: la proportion de la population sous-alimentée, l’insuffisance pondérale infantile et le taux de mortalité infantile.
AFP
http://dc-kin.net/info/2010/10/11/la-faim-en-rdc-a-atteint-des-niveaux-alarmants/[b]
Posted in POLITIQUE,Rdc by dc on the October 11th, 2010 Edit This
La faim prend des proportions inquiétantes dans 29 pays
(20 minutes 11/10/2010)
La faim touche un milliard de personnes dans le monde et prend des proportions inquiétantes dans près d’une trentaine de pays, en raison de la pauvreté, des conflits et de l’instabilité politique, selon un rapport publié lundi.
Sur 122 pays en développement étudiés, la faim atteint des niveaux «alarmants» dans 25 pays et «extrêmement préoccupants» dans 4 pays d’Afrique sub-saharienne (la République démocratique du Congo, le Burundi, le Tchad et l’Erythrée) précise ce rapport annuel «l’indice de la faim dans le monde 2010» réalisé par l’Institut international de recherche sur les politiques alimentaires.
Cet indice de la faim dans le monde est calculé à partir de trois indicateurs: la proportion de la population sous-alimentée, l’insuffisance pondérale infantile et le taux de mortalité infantile.
AFP
http://dc-kin.net/info/2010/10/11/la-faim-en-rdc-a-atteint-des-niveaux-alarmants/[b]
KOTA
Re: LES CINQ CHANTIERS DE LA RDC
5 CHANTIERS:LANCEMENT DES TRAVAUX DE LA ROUTE DES POIDS LOURDS (15.10.2010)
lino
Re: LES CINQ CHANTIERS DE LA RDC
A PROPOS DU JARDIN BOTANIQUE DE KISANTU, CE SONT LES FONDS DE L UNION EUROPEENNE QUI L ON REMIS EN ETAT....
ENCORE UNE AFFABULATION...
ENCORE UNE AFFABULATION...
KOTA
Re: LES CINQ CHANTIERS DE LA RDC
Ce n'est pas gratuit...l'union européenne sait toujours comment tirer profit de toutes les opérations de séduction en RDC ,surtout depuis qu'il y a la présence des chinois.KOTA a écrit:A PROPOS DU JARDIN BOTANIQUE DE KISANTU,(kinshasa) CE SONT LES FONDS DE L UNION EUROPEENNE QUI L ON REMIS EN ETAT....
ENCORE UNE AFFABULATION...
lino
Re: LES CINQ CHANTIERS DE LA RDC
Flick de Kolwezi a écrit:1 Chantier à Brazza
Bravo à nos frères congolais d'en face et leur Président !
Chez nous en RDC, comme le Président est un "être sacré", il a fallu qu'on construise une KANAMBIGARE rien que pour lui, sa famille et ses courtisans. Ce joujou a coûté à lui seul plus de 25 millions de dollars. Et les congolais/RDC ont applaudi sans comprendre qu'eux vont continuer à voyager par la vieille et puante aérogare construite depuis l'époque coloniale. Pour s'y soulager, il faut monter sur la cuvette ; à tes risques et périls. Ou soit aller de l'autre côté dans la brousse près du camp CETA.
Bah ! Nzambe akosala .
Rodney
taty
Re: LES CINQ CHANTIERS DE LA RDC
Il ne faut pas oublier que le Congo Brazza a un budget supérieur a celui de la grande RDC !!!Rody Branco a écrit:
Bravo à nos frères congolais d'en face et leur Président !
Chez nous en RDC, comme le Président est un "être sacré", il a fallu qu'on construise une KANAMBIGARE rien que pour lui, sa famille et ses courtisans. Ce joujou a coûté à lui seul plus de 25 millions de dollars. Et les congolais/RDC ont applaudi sans comprendre qu'eux vont continuer à voyager par la vieille et puante aérogare construite depuis l'époque coloniale. Pour s'y soulager, il faut monter sur la cuvette ; à tes risques et périls. Ou soit aller de l'autre côté dans la brousse près du camp CETA.
Bah ! Nzambe akosala .
Rodney
Mobutu avec 20 milliards des dollars puisé à la caisse de l'état fut l'un des... ou le principal fossoyeur de la RDC.
En moins de 6 ans le budget est passé de1,5miilliards $ à 7 milliards $ aujourd'hui.Du jamais vu depuis les années Mobutu.Lamentable.
lino
Re: LES CINQ CHANTIERS DE LA RDC
"PRINCE" YA BUMBU EKENZOLAMI PAR 5 CHANTIERS
5 CHANTIERS MODERNISATION YA ROUTE YA POIDS LOURDS
5 CHANTIERS MODERNISATION YA ROUTE YA POIDS LOURDS
lino
Re: LES CINQ CHANTIERS DE LA RDC
Lino, que vient faire MOBUTU dans ta réplique ???
Si pour toi, Mobutu fut un DICTATEUR et que maintenant nous avons un président démocrate, tant mieux. Cependant, moi qui ai combattu Mobutu et sa dictature, je continuerai à lutter contre toute tentative d'instaurer une autre.
Réveille le divin latent en toi, ca t'évitera d'être "malhonnête" envers toi-même.
Rodney
Si pour toi, Mobutu fut un DICTATEUR et que maintenant nous avons un président démocrate, tant mieux. Cependant, moi qui ai combattu Mobutu et sa dictature, je continuerai à lutter contre toute tentative d'instaurer une autre.
Réveille le divin latent en toi, ca t'évitera d'être "malhonnête" envers toi-même.
Rodney
lino a écrit:Il ne faut pas oublier que le Congo Brazza a un budget supérieur a celui de la grande RDC !!!Rody Branco a écrit:
Bravo à nos frères congolais d'en face et leur Président !
Chez nous en RDC, comme le Président est un "être sacré", il a fallu qu'on construise une KANAMBIGARE rien que pour lui, sa famille et ses courtisans. Ce joujou a coûté à lui seul plus de 25 millions de dollars. Et les congolais/RDC ont applaudi sans comprendre qu'eux vont continuer à voyager par la vieille et puante aérogare construite depuis l'époque coloniale. Pour s'y soulager, il faut monter sur la cuvette ; à tes risques et périls. Ou soit aller de l'autre côté dans la brousse près du camp CETA.
Bah ! Nzambe akosala .
Rodney
Mobutu avec 20 milliards des dollars puisé à la caisse de l'état fut l'un des... ou le principal fossoyeur de la RDC.
En moins de 6 ans le budget est passé de1,5miilliards $ à 7 milliards $ aujourd'hui.Du jamais vu depuis les années Mobutu.Lamentable.
taty
Re: LES CINQ CHANTIERS DE LA RDC
Lui au moins n'avait pas gardé ses yeux dans sa poche :
Rodney
Avant son départ volontaire en Europe (Belgique), Justin MAYIMBA, diplômé de l'IFASIC, était journaliste à LA REFERENCE de Kinshasa. 15 ans après, il rentre au pays. Voici ses premières impressions:
RD Congo
Retour d'un Congolais au pays : Kinshasa : "Ma première nuit je la passe dans le noir"
(Syfia Grands Lacs/Rd Congo) J'ai retrouvé Kinshasa 15 ans après l'avoir quitté. Ma première nuit, je la passe dans le noir. Les lampes halogènes chinoises prévues pour me dépanner en cas de défaillance de la Société nationale d'électricité, ne me sont d'aucun secours…
"C'est vrai, tu rentres au pays ?". C'est un aîné, à qui j'annonçais la nouvelle de mon prochain séjour au pays qui s'étonnait ainsi. Il venait de rentrer en Belgique après un séjour de deux mois en Rd Congo. On est le 22 septembre. Il avait du mal à cacher l'anxiété qui se lisait sur son visage. "Tu rentres pour de bon ou pour un séjour temporaire ?". Je rentre pour un à deux mois. "Sois prudent dans tout ce que tu auras à faire et surtout à dire…" Devant mon regard interrogateur, il change de sujet. "Deux choses m'ont impressionné à Kinshasa, dit-il : d'abord la foule, dense, toujours en mouvement. Car les gens doivent trouver leur pitance quotidienne dans un environnement devenu impitoyable pour les pauvres..." Aussi, poursuit-il, "le nombre scandaleux de limousines et de jeeps de toutes marques. Un luxe insolent dans un océan de misère ambiante. Cela fait peine à voir…"
Kinshasa a complètement changé de visage. Ce n'est plus Kin-la-belle d'il y a 15 ans, au moment où je m'envolais pour l'Europe. J'étais prévenu. Une chance, cette rencontre avec un aîné que je connais depuis l'époque où, jeunes diplômés en journalisme, nous combattions avec fougue la dictature mobutiste. Depuis, les époques ont changé. Mobutu a été chassé du pouvoir par Laurent-Désiré Kabila et son Alliance des forces démocratiques pour la libération du Congo, lui-même assassiné en janvier 2001. La Rd Congo a désormais son "raïs", Joseph Kabila Kabange, le fils.
Ambiance cocasse à Ndjili
Samedi 25 septembre, aéroport de Zaventem à Bruxelles. Décollage à 11 h 15.Dans l'avion, des Congolais habitués du pays parlaient de Kinshasa, des nouveautés architecturales qui font désormais la fierté de la ville : la Place du 30 juin à la Gare centrale et celle du cinquantenaire, l'agrandissement et la modernisation des boulevards Triomphal et du 30 juin, etc. "Kabila akweyisi poto na Kinshasa (Kabila a transformé Kinshasa en Europe, Ndlr)", clament certains Kinois euphoriques. A voir !
19h30'. L'airbus 320 de Brussels Airlines amorce la manœuvre d'atterrissage. L'œil collé au hublot, la plupart des passagers, congolais comme étrangers, scrutent l'extérieur. L'ambiance n'est pas celle d'autres aéroports. Dans la pénombre, on distingue des hommes en uniformes bleu marine de la police, vert tacheté de l'armée, jaune, rouge… au bas de la passerelle et un peu partout sur le tarmac. Un minibus fait la navette entre l'avion et le salon d'arrivée. On s'entasse comme on peut dans une chaleur suffocante.
Dans le salon d'arrivée, l'ambiance est cocasse : le contrôle des papiers se fait dans une sorte d'anarchie qu'on ne voit nulle part ailleurs en raison d'une multitude de services. La récupération des bagages, un autre parcours de combattant. Sur un rouleau d'un autre âge, une foule de gens s'agglutine qui n'ont rien à y faire. Tout ce monde propose ses services moyennant rémunération. "N'aie pas peur, tout ira pour le mieux. On te sortira tes bagages", me répètent inlassablement deux bagagistes. Il m'a fallu me délester de 80 $ et attendre plus d'une heure pour les récupérer. "Nous devons une part au colonel et au capitaine…", ne cessaient-ils de me rappeler.
Des quartiers "bombardés"
Les formalités terminées, sur le chemin qui mène à la ville, l'obscurité est à couper au couteau. Le boulevard Lumumba jadis éclairé n'est plus qu'un sombre tunnel. "Depuis quelques années, c'est cela le nouveau Kinshasa, celui du délestage. Dans notre quartier nous n'avons plus eu le courant depuis 6 mois", susurre ma sœur venue m'accueillir avec mon grand-frère. Ma première nuit, je la passe dans le noir. Les lampes halogènes chinoises prévues pour me dépanner en cas de défaillance de la Société nationale d'électricité, ne me sont d'aucun secours. Car, paradoxe de la situation, il faut d'abord les recharger… "Tu finiras par t'habituer. Nous avons aussi eu du mal au début de ce phénomène. Je suis née Kinshasa, mais je n'ai jamais vécu ça", m'encourage en permanence ma bailleresse.
Les rues sont dans un tel état qu'on croirait que certains quartiers de Kinshasa ont subi des semaines de bombardement. "Tu as remarqué une chose qu'on ne connaissait pas non plus : les immondices et la crasse partout. C'est invivable", gémit la bailleresse. D'un ton optimiste, elle essaie de me rassurer : "Le Chef de l'Etat est décidé à arranger tout ça. Mais ses collaborateurs ne l'aident pas. Ils s'occupent plus à s'en mettre plein les poches…, à ce que l'on nous dit."
Pays de paradoxes
La visite de l'ancienne Place de la gare devenue la Place du 30 juin, tant vantée par certains Kinois m'a laissé dubitatif. Rien qui justifie le flot d'éloges entendus, sinon juste une certaine amélioration urbanistique. A leur finition, les boulevards Triomphal et du 30 juin seront, on l'espère, des œuvres architecturales d'envergure. Avec, malheureusement, les arbres qui faisaient le charme du célèbre boulevard du 30 juin en moins !
En attendant mieux, le flot de limousines et de jeeps continue de sillonner les rues retapées et défoncées de Kinshasa, narguant les marées humaines désemparées à la recherche d'un moyen de transport hypothétique. "C'est un pays de paradoxes, me répète un ami. Une minorité se tape une fortune en un temps record, roule carrosse alors que l'écrasante majorité ploie dans une misère sans nom." A quoi je lui rétorque que c'est un problème de culture, de mentalités. Comment, en effet, peut-on célébrer des richesses dans un champ de ruines et de misère ? "Pourtant l'hymne national dit que [nous peuplerons ton sol et nous assurerons ta grandeur]" me rappelle l'ami. "Nous avons peuplé le sol, c'est vrai, mais la grandeur, nous l'avons ensevelie…"
Rodney
taty
Re: LES CINQ CHANTIERS DE LA RDC
mongo elombe a écrit:Sista ndimela kabila abongisi mboka yo mpe kio kio
Sis, kasi na ndimeli momemi maki omoni te ke na tie meme video ndenge ako bongisa mboka ..ndimela ngai sista ...kio kio
Dernière édition par Mathilde le 25/10/2010, 9:52 pm, édité 1 fois
Mathilde
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