LES CINQ CHANTIERS DE LA RDC
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Re: LES CINQ CHANTIERS DE LA RDC
Meme s'il arrivait a construire quelques batiments et infrastructures, ca n'effacera pas le sang des 6 millions de congolais qu'ils ont sur les mains. Il suffit que le peuple se reveille et realise que le pouvoir lui revient, et Joseph et sa clique pourront rentrer d'ou ils sont venus. Il faut vraiment que les congolais puissent rever d'un avenir meilleur, sans leurs bourreaux. Ce n'est pas un immeuble ni une autoroute qui vont rehabilite Joseph et sa bande. Le travail de l'opposition sera celui d'eduquer les masses avnt tout. La democratie, c'est le pouvoir par et pour le peuple. On ne l'a pas encore compris apparemment.
Tsippora
Re: LES CINQ CHANTIERS DE LA RDC
"L’ingérence sournoise du FMI au Congo
Renaud Vivien, Yvonne Ngoyi, Victor Nzuzi, Dani Ndombele, José Mukadi et Luc Mukendi, membres du rés
° http://www.lalibre.be/debats/opinions/article/533922/l-ingerence-sournoise-du-fmi-au-congo.html
La Banque mondiale et le FMI sont les instruments des pays du Nord à des fins géostratégiques et économiques.
Le FMI a remporté une nouvelle victoire au terme de sa dernière mission en République démocratique du Congo (RDC) en obtenant la révision du fameux contrat chinois conclu en 2007. La suppression dans ce contrat de la garantie de l’Etat congolais ramène ainsi le prêt controversé de la Chine de 9 à 6 milliards de dollars. Cette convention qualifiée à tort de "contrat du siècle" prévoyait au départ 6 milliards d’investissements dans le développement d’infrastructures (construction de routes, chemins de fer, hôpitaux, universités, logements sociaux) et 3 milliards de dollars pour le secteur minier.
Le FMI a donc gagné le bras de fer contre la Chine mais surtout gardé la mainmise sur la politique économique de la RDC. Cette nouvelle ingérence du FMI dans les affaires internes de la RDC démontre une fois de plus toute l’hypocrisie des puissances occidentales qui utilisent les institutions financières internationales (IFI) pour piller les ressources naturelles appartenant aux Congolais. En effet, au moment des négociations pour la révision du contrat chinois, la Banque mondiale, épaulée par l’ambassadrice du Canada et Hillary Clinton lors de leur passage à Kinshasa, faisait pression sur le gouvernement congolais pour qu’il revienne sur sa décision de résilier le "partenariat" KMT (Kingamyambo Musonoi Tailings) conclu illégalement entre l’entreprise canadienne First Quantum, l’Etat congolais, l’entreprise publique congolaise Gécamines, la sud-africaine Industrial Development Corporation et la SFI (Société financière internationale) qui n’est autre que la filiale de la Banque mondiale chargée d’appuyer le secteur privé
Force est donc de constater que les contrats léonins ne posent plus de problème aux IFI lorsque les intérêts des puissances occidentales sont en jeu ! Ces deux faits concomitants en RDC montrent bien que la Banque mondiale et le FMI sont les instruments dont se servent les pays du Nord à des fins géostratégiques et économiques.
Il ne fait aucun doute que le contrat chinois, pièce essentielle pour la réalisation des cinq chantiers du président Kabila, n’est pas un contrat "gagnant-gagnant" comme le prétend la Chine, mais plutôt une nouvelle offensive du géant asiatique pour accaparer les ressources minières du continent noir. Avec ce contrat, la Chine a accès à 10 millions de tonnes de cuivre, 620000 tonnes de cobalt et 300 tonnes d’or tandis que les Congolais devront rembourser la dette générée par ce contrat de prêt. Officiellement, c’est ce risque de surendettement qui a poussé le FMI à intervenir dans cette convention bilatérale. En brandissant l’étendard de la "bonne gouvernance" et en pratiquant un chantage inacceptable, le FMI est finalement parvenu à ses fins, maintenant ainsi sa tutelle sur la RDC.
Le chantage était double : sans révision du contrat, la RDC aurait pu faire une croix sur un nouvel accord triennal avec le FMI au titre de la Facilité pour la réduction de la pauvreté et pour la croissance (FRPC) ainsi que sur le point d’achèvement de l’initiative PPTE (Pays Pauvres Très Endettés) censé alléger sa dette extérieure qui atteint aujourd’hui 12,3 milliards de dollars. C’est à peu de choses près la même somme qui était déjà réclamée à la RDC à la mort de Laurent Désiré Kabila en 2001, juste avant que la Banque mondiale et le FMI se présentent sous la forme de chevaliers blancs pour organiser une grande opération d’allégement de dettes que le CADTM avait dénoncée comme une forfaiture.
Notons que les services du FMI doivent avant encore confirmer "que l’accord ainsi amendé est conforme à la viabilité de la dette" avant d’approuver le nouveau programme triennal (2009-2011) et que la RDC est l’otage de ce point d’achèvement depuis 2003 puisque ce dernier a déjà été reporté à trois reprises sur décision du FMI ! Or, cette dette que l’Etat congolais continue de rembourser malgré la crise économique mondiale est l’archétype d’une dette "odieuse", puisqu’une très large partie a été contractée par le dictateur Mobutu avec la complicité des créanciers occidentaux, notamment du FMI et de la Banque mondiale.
Cette dette n’a aucune valeur légale et devrait être déclarée nulle par le gouvernement congolais. Pour fonder la nullité de cette dette et son non-remboursement, les pouvoirs publics devraient, comme l’exige la Déclaration du huitième Sommet des peuples de la SADC réuni à Kinshasa du 5 au 6 septembre 2009, procéder immédiatement à l’audit de cette dette afin d’en révéler la part illégitime : celle qui n’a pas profité à la population. Chaque année, le service de la dette engloutit environ 500 millions de dollars, soit presque trois fois l’aide d’urgence accordée par le FMI en mars dernier.
La RDC n’est pas un cas isolé. Dans l’ensemble des pays en développement, le remboursement des dettes illégitimes assorti des conditions dictées par les bailleurs de fonds internationaux constitue un obstacle à la satisfaction des besoins humains fondamentaux ainsi qu’une violation manifeste du droit des peuples à disposer d’eux-mêmes, et notamment de leurs ressources naturelles. Dès lors, l’émancipation des populations du Sud passera nécessairement par l’annulation inconditionnelle de la dette du tiers-monde et la rupture nette des accords avec les IFI. En effet, les pays en développement n’ont rien à attendre de ces deux institutions incapables de s’affranchir du credo néolibéral connu sous le nom de Consensus de Washington, responsable de la paupérisation de milliards d’individus depuis la crise de la dette de 1982.
Rappelons également que ces institutions se sont rendues complices de graves violations de droit humain en soutenant financièrement des dictatures comme celles de Mobutu ou en finançant l’apartheid en Afrique du Sud. La Banque mondiale et le FMI doivent donc impérativement rendre des comptes devant la justice et être remplacées par de nouvelles organisations internationales démocratiques et respectueuses des droits humains fondamentaux."
Compatriotiquement!
Renaud Vivien, Yvonne Ngoyi, Victor Nzuzi, Dani Ndombele, José Mukadi et Luc Mukendi, membres du rés
° http://www.lalibre.be/debats/opinions/article/533922/l-ingerence-sournoise-du-fmi-au-congo.html
La Banque mondiale et le FMI sont les instruments des pays du Nord à des fins géostratégiques et économiques.
Le FMI a remporté une nouvelle victoire au terme de sa dernière mission en République démocratique du Congo (RDC) en obtenant la révision du fameux contrat chinois conclu en 2007. La suppression dans ce contrat de la garantie de l’Etat congolais ramène ainsi le prêt controversé de la Chine de 9 à 6 milliards de dollars. Cette convention qualifiée à tort de "contrat du siècle" prévoyait au départ 6 milliards d’investissements dans le développement d’infrastructures (construction de routes, chemins de fer, hôpitaux, universités, logements sociaux) et 3 milliards de dollars pour le secteur minier.
Le FMI a donc gagné le bras de fer contre la Chine mais surtout gardé la mainmise sur la politique économique de la RDC. Cette nouvelle ingérence du FMI dans les affaires internes de la RDC démontre une fois de plus toute l’hypocrisie des puissances occidentales qui utilisent les institutions financières internationales (IFI) pour piller les ressources naturelles appartenant aux Congolais. En effet, au moment des négociations pour la révision du contrat chinois, la Banque mondiale, épaulée par l’ambassadrice du Canada et Hillary Clinton lors de leur passage à Kinshasa, faisait pression sur le gouvernement congolais pour qu’il revienne sur sa décision de résilier le "partenariat" KMT (Kingamyambo Musonoi Tailings) conclu illégalement entre l’entreprise canadienne First Quantum, l’Etat congolais, l’entreprise publique congolaise Gécamines, la sud-africaine Industrial Development Corporation et la SFI (Société financière internationale) qui n’est autre que la filiale de la Banque mondiale chargée d’appuyer le secteur privé
Force est donc de constater que les contrats léonins ne posent plus de problème aux IFI lorsque les intérêts des puissances occidentales sont en jeu ! Ces deux faits concomitants en RDC montrent bien que la Banque mondiale et le FMI sont les instruments dont se servent les pays du Nord à des fins géostratégiques et économiques.
Il ne fait aucun doute que le contrat chinois, pièce essentielle pour la réalisation des cinq chantiers du président Kabila, n’est pas un contrat "gagnant-gagnant" comme le prétend la Chine, mais plutôt une nouvelle offensive du géant asiatique pour accaparer les ressources minières du continent noir. Avec ce contrat, la Chine a accès à 10 millions de tonnes de cuivre, 620000 tonnes de cobalt et 300 tonnes d’or tandis que les Congolais devront rembourser la dette générée par ce contrat de prêt. Officiellement, c’est ce risque de surendettement qui a poussé le FMI à intervenir dans cette convention bilatérale. En brandissant l’étendard de la "bonne gouvernance" et en pratiquant un chantage inacceptable, le FMI est finalement parvenu à ses fins, maintenant ainsi sa tutelle sur la RDC.
Le chantage était double : sans révision du contrat, la RDC aurait pu faire une croix sur un nouvel accord triennal avec le FMI au titre de la Facilité pour la réduction de la pauvreté et pour la croissance (FRPC) ainsi que sur le point d’achèvement de l’initiative PPTE (Pays Pauvres Très Endettés) censé alléger sa dette extérieure qui atteint aujourd’hui 12,3 milliards de dollars. C’est à peu de choses près la même somme qui était déjà réclamée à la RDC à la mort de Laurent Désiré Kabila en 2001, juste avant que la Banque mondiale et le FMI se présentent sous la forme de chevaliers blancs pour organiser une grande opération d’allégement de dettes que le CADTM avait dénoncée comme une forfaiture.
Notons que les services du FMI doivent avant encore confirmer "que l’accord ainsi amendé est conforme à la viabilité de la dette" avant d’approuver le nouveau programme triennal (2009-2011) et que la RDC est l’otage de ce point d’achèvement depuis 2003 puisque ce dernier a déjà été reporté à trois reprises sur décision du FMI ! Or, cette dette que l’Etat congolais continue de rembourser malgré la crise économique mondiale est l’archétype d’une dette "odieuse", puisqu’une très large partie a été contractée par le dictateur Mobutu avec la complicité des créanciers occidentaux, notamment du FMI et de la Banque mondiale.
Cette dette n’a aucune valeur légale et devrait être déclarée nulle par le gouvernement congolais. Pour fonder la nullité de cette dette et son non-remboursement, les pouvoirs publics devraient, comme l’exige la Déclaration du huitième Sommet des peuples de la SADC réuni à Kinshasa du 5 au 6 septembre 2009, procéder immédiatement à l’audit de cette dette afin d’en révéler la part illégitime : celle qui n’a pas profité à la population. Chaque année, le service de la dette engloutit environ 500 millions de dollars, soit presque trois fois l’aide d’urgence accordée par le FMI en mars dernier.
La RDC n’est pas un cas isolé. Dans l’ensemble des pays en développement, le remboursement des dettes illégitimes assorti des conditions dictées par les bailleurs de fonds internationaux constitue un obstacle à la satisfaction des besoins humains fondamentaux ainsi qu’une violation manifeste du droit des peuples à disposer d’eux-mêmes, et notamment de leurs ressources naturelles. Dès lors, l’émancipation des populations du Sud passera nécessairement par l’annulation inconditionnelle de la dette du tiers-monde et la rupture nette des accords avec les IFI. En effet, les pays en développement n’ont rien à attendre de ces deux institutions incapables de s’affranchir du credo néolibéral connu sous le nom de Consensus de Washington, responsable de la paupérisation de milliards d’individus depuis la crise de la dette de 1982.
Rappelons également que ces institutions se sont rendues complices de graves violations de droit humain en soutenant financièrement des dictatures comme celles de Mobutu ou en finançant l’apartheid en Afrique du Sud. La Banque mondiale et le FMI doivent donc impérativement rendre des comptes devant la justice et être remplacées par de nouvelles organisations internationales démocratiques et respectueuses des droits humains fondamentaux."
Compatriotiquement!
ndonzwau
Re: LES CINQ CHANTIERS DE LA RDC
Ingerence du FMI et des IFI en general oui, mais comment expliquer qu'on legue autant de ressources a la Chine (10 millions de tonnes de cuivre, 620 000 tonnes de cobalt et 300 tonnes d'or) et qu'on doive quand meme rembourser toute la dette contractee par nos autorites? Il nous faut arreter de diaboliser les bailleurs de fonds et prendre nos responsabilites car la dette exterieure du Congo aujourd'hui s'eleve a plus de 12 milliards, alors que le budget presente est d'autour de 3 milliards, pour un pays de 60 millions d'habitants. Nous savons pertinemment qu'il y a megestion au plus haut sommet. Allons-nous encore revenir dans 15 ans pour pretendre que la dette contractee par Joseph aujourd'hui aupres des chinois et celle que le FMI nous consentira sera elle aussi odieuse? Le respect se merite et si nous continuons a etre irresponsable dans la gestion des fonds publics, nous n'avons personne d'autre a blamer que nous-meme. Joseph engage la responsabilite de la nation entiere avec ces contrats chinois et on reste focalise sur les exces de Mobutu. Si on reclame l'effacement de cette dette parallelement au suivi des travaux effectues dans le cadre des contrats chinois, d'accord. Sinon, taisons-nous car nous n'avons pas encore compris que la meme cause aura les memes effets
Tsippora
Re: LES CINQ CHANTIERS DE LA RDC
Mme Tsippora,Tsippora a écrit:Ingerence du FMI et des IFI en general oui, mais comment expliquer qu'on legue autant de ressources a la Chine (10 millions de tonnes de cuivre, 620 000 tonnes de cobalt et 300 tonnes d'or) et qu'on doive quand meme rembourser toute la dette contractee par nos autorites? Il nous faut arreter de diaboliser les bailleurs de fonds et prendre nos responsabilites car la dette exterieure du Congo aujourd'hui s'eleve a plus de 12 milliards, alors que le budget presente est d'autour de 3 milliards, pour un pays de 60 millions d'habitants. Nous savons pertinemment qu'il y a megestion au plus haut sommet. Allons-nous encore revenir dans 15 ans pour pretendre que la dette contractee par Joseph aujourd'hui aupres des chinois et celle que le FMI nous consentira sera elle aussi odieuse? Le respect se merite et si nous continuons a etre irresponsable dans la gestion des fonds publics, nous n'avons personne d'autre a blamer que nous-meme. Joseph engage la responsabilite de la nation entiere avec ces contrats chinois et on reste focalise sur les exces de Mobutu. Si on reclame l'effacement de cette dette parallelement au suivi des travaux effectues dans le cadre des contrats chinois, d'accord. Sinon, taisons-nous car nous n'avons pas encore compris que la meme cause aura les memes effets
Je vous dois sans doute une explication : subrepticement le fameux contrat chinois a été en partie
débarassé de son caractère le plus idiot et le plus léonin, càd gager son prêt sur l'Etat qui devenait,
en raison d'abord de la cécité ou la complicité des Congolais, garant du prêt, garantie dont on sait
que c'est plus une passerrelle pour trouver indéfiniment des raisons pour plumer l'Etat !
C'est une des clauses que tout observateur sérieux et les députés de l'opposition et même ceux
de la majorité dont l'ancien Président Kamerhe avaient épinglée comme léonine sans être
écoutés par Lumbi le négociateur en chef et tout le clan de Kanambe ! Aujourd'hui les gens
de Bretton Wood ont réussi à l'abroger !
En affichant ces info, mon but était de rappeler ou informer certains de cette évolution car le pouvoir
continue à se gargariser du succès des infrastructures qui commencent(!) sans bien sûr avouer sa gestion
cahotique de ce contrat qui aurait plus rapidement demarer et mieux servir s'ils avaient mieux mener
la négociation ou même écouter ne fût-ce leur opposition !
Et non bien sûr de m'aligner sur Kanambe ou même exclusivement sur les institutions internationales
mais à montrer toutes les faces !
Quid des institutions de Bretton Wood ? Je persiste à croire que c'est en nous montrant plus experts,
plus orthodoxes et plus convaincus dans nos projets et leur exploitation que nous saurons encore mieux
coopérer avec eux et non en nous braquant idéologiquement : l'Argentine il y a quelques années,
le Brésil et tous les pays émergents ne font pas autre chose et pas plus loin de nous les Sudaf essaient
d'agir de la même sorte !
Notre malédiction c'est de nous être fait imposé un pouvoir incompétent et véreux sur une anarque,
sa grande capacité d'écoute qu'il n'a même pas respecté car il avait dans sa besace non un programme
bien ficellé mais une conduite du pays par procuration gageant tout sur ce fameux contrat chinois
qui allait construire ses non moins fameux cinq chantiers ! Le pouvoir n'a ni programme, ni
capacité d'expertise, ni moyens...; il bâtit son mandat sur l'argent, l'expertise, les équipements,
la main d'oeuvre chinois en bradant nos richesses et doit apprendre tout sur le tas, chercher
les moyens en route, s'enmêler les priorités... avant de savoir où aller, quoi faire...
Voilà où nous en sommes encore à tatonner après la moitié du mandat !
Autre catastrophe conséquence c'est son illégitimité car imposé frauduleusement qui le conduit
à cet autoritarisme, à cette opacité, à cette paranoîa meutrtrière où il est obligé de criminaliser
tous ses actes car craigant la transparence, la discussion nationale qui révelerait sa mégestion,
il est obligé à éliminer tous ceux qui se présentent comme interlocuteurs qui veulent le ramener
sur le chemin de la bonne gouvernance, du respect des droits et de libertés loin de la corruption
et l'impunité qui sont son mode normal de gestion !
Compatriotiquement!
ndonzwau
Re: LES CINQ CHANTIERS DE LA RDC
Bonjour M. Ndonzwau et merci pour ces eclaircissements. Je vous ai repondu longuement mais ma reponse s'est perdue dans les lymbes du cyberespace. Je faisais un calcul rapide concernant le prix de l'or. Le contrat initial prevoyait une remise de 300 tonnes d'or. L'once d'or se transige aujourd'hui a pres de 1000$ (certains specialistes prevoient que son prix pourrait augmenter a 2000$ d'ici l'annee prochaine). Si 300 tonnes d'or = 10 585 188 onces X 1000$, on aura rembourse la totalite de la dette chinoise. 300 tonnes d'or equivalent a 10.5 milliards de dollars. C'est tout simplement de l'irresponsabilite et de la cupidite. En manque de monnaie sonnante et trebuchante, nos cooperants (batu ya coop) au sommet de l'Etat on trouve un filon pour se remplir les poches. Aujourd'hui on va s'agenouiller aupres du FMI pour renflouer les coffres et laisser quelques vestiges, a temps pour la campagne electorale.
Tsippora
Re: LES CINQ CHANTIERS DE LA RDC
Pour ne pas me faire accuser de malhonnetete intellectuelle, je rectifie l'info sur le budget: Le projet du Budget 2010 est arrêté à 5,3 milliards USD dont 2.28 milliards USD de recettes propres contre 2,62 milliards des recettes extérieures.
Je ne sais pas si on peut vraiment parler de RECETTES, alors que nous nous endettons. Le Congo n'aura produit que 2.28 milliards en impots, taxes, redevances, etc. Regardons un peu le cours des matieres premieres, les redevances petrolieres, les exportations de bois rares, de cafe, de diamant, d'or, de cuivre, de bauxite et j'en passe. Regardons la quantite de marchandise qui a transite dans nos ports. regardons du cote de nos salaries et de nos politiciens, avec leurs salaires plus que genereux. N'y avait-il pas moyen de percevoir plus que ces maigres 2.28 milliards???
une motion contre Muzito devrait etre deposee au Parlement. J'espere que l'Opposition aura fait ses devoirs!
Je ne sais pas si on peut vraiment parler de RECETTES, alors que nous nous endettons. Le Congo n'aura produit que 2.28 milliards en impots, taxes, redevances, etc. Regardons un peu le cours des matieres premieres, les redevances petrolieres, les exportations de bois rares, de cafe, de diamant, d'or, de cuivre, de bauxite et j'en passe. Regardons la quantite de marchandise qui a transite dans nos ports. regardons du cote de nos salaries et de nos politiciens, avec leurs salaires plus que genereux. N'y avait-il pas moyen de percevoir plus que ces maigres 2.28 milliards???
une motion contre Muzito devrait etre deposee au Parlement. J'espere que l'Opposition aura fait ses devoirs!
Tsippora a écrit:Ingerence du FMI et des IFI en general oui, mais comment expliquer qu'on legue autant de ressources a la Chine (10 millions de tonnes de cuivre, 620 000 tonnes de cobalt et 300 tonnes d'or) et qu'on doive quand meme rembourser toute la dette contractee par nos autorites? Il nous faut arreter de diaboliser les bailleurs de fonds et prendre nos responsabilites car la dette exterieure du Congo aujourd'hui s'eleve a plus de 12 milliards, alors que le budget presente est d'autour de 3 milliards, pour un pays de 60 millions d'habitants. Nous savons pertinemment qu'il y a megestion au plus haut sommet. Allons-nous encore revenir dans 15 ans pour pretendre que la dette contractee par Joseph aujourd'hui aupres des chinois et celle que le FMI nous consentira sera elle aussi odieuse? Le respect se merite et si nous continuons a etre irresponsable dans la gestion des fonds publics, nous n'avons personne d'autre a blamer que nous-meme. Joseph engage la responsabilite de la nation entiere avec ces contrats chinois et on reste focalise sur les exces de Mobutu. Si on reclame l'effacement de cette dette parallelement au suivi des travaux effectues dans le cadre des contrats chinois, d'accord. Sinon, taisons-nous car nous n'avons pas encore compris que la meme cause aura les memes effets
Tsippora
Re: LES CINQ CHANTIERS DE LA RDC
DEC / Radio Okapi a écrit:
Dialogue Entre Congolais
Débat autour des Points Chaud de l'Actualité en RDC
L'émission du jeudi 22 octobre 2009
Bilan d’exécution du Document Stratégique pour la Croissance et la Réduction de la Pauvreté, DSCRP, près de trois ans après son lancement par le Gouvernement Central.
Le Document Stratégique pour la Sroissance et la RPduction de la pauvreté, DSCRP, décrit les objectifs et les orientations de politiques macroéconomiques et sectorielles à mettre en œuvre entre 2006 et 2008 pour promouvoir la Croissance, Réduire la Pauvreté et réaliser les Objectifs du Millénaire pour le Développement (ODM).
Ces objectifs énumérés au nombre de huit, consistent :
- à la réduction de l’extrême pauvreté et de la faim ;
- à assurer l’éducation primaire pour tous,
- à promouvoir l’égalité des sexes et l’autonomisation des femmes.
Ces objectifs du millénaire pour le développement visent aussi
- la réduction de la mortalité des enfants de moins de cinq ans,
- l’amélioration de la santé maternelle ;
- combattre le VIH / Sida, le paludisme et les autres maladies ;
- assurer un environnement durable et
- mettre en place un partenariat mondial pour le développement.
Le rapport 2009 nous renseigne que des progrès ont été réalisés entre 2005 et 2008 en matière de la scolarisation universitaire, la lutte contre la pauvreté et la lutte contre le VIH / SIDA.
- Où en est-on avec l’exécution de ce programme ?
Invités :
- Professeur André SHIKAYI, Coordonnateur National de l’Unité de Pilotage du DSCRP au Ministère du Plan.
- Professeur Matthieu KALELE, Professeur de sociologie à l’Université de Kinshasa et ancien Ministre des Mines.
- Michel SOMWE, Doctorant en sciences économiques.
messages['invited1'] = "André Shikay - Coordonnateur national de l’Unité de pilotage du Dscrp au Ministère du plan"
messages['invited2'] = "Michel Nsomwe - Doctorant en sciences économiques";
Ecouter (Durée : 45 min.) :
http://www.radiookapi.net/index.php?i=63&hi=16
*CNMM
Re: LES CINQ CHANTIERS DE LA RDC
Mensonges d’Etat
«La première de toutes les forces qui mènent le monde est le mensonge», a pu écrire le philosophe français Jean-François Revel dans son ouvrage «La Connaissance inutile». Lundi 26 octobre, le vice-premier ministre congolais chargé de la Reconstruction, le PPRD Emile Bongeli, s’est rendu dans la Province Orientale afin de représenter Joseph Kabila à l’inauguration du «Pont Ituri II». Pour la petite histoire, cet ouvrage a été réhabilité grâce à un financement britannique via l’Agence de développement International.
En dépit de cette évidence, le gouverneur de la Province Orientale Médard Autsai Asenga s’est fendu d’un discours flagorneur à l’endroit du «raïs» qui, selon lui, a tenu la «promesse» faite aux habitants de son entité lors d’une visite de la route nationale n° 4 reliant Kisangani – Kasindi-via-Komanda–Beni. «Nous voudrions d’abord remercier très sincèrement son excellence Monsieur le président de la République et chef de l’Etat (…) pour avoir honoré sa promesse faite le 03 mars 2009 (… )», a-t-il déclaré en liminaire.
Lors d’un séjour dans cette Région, Kabila avait reçu un rapport sur l’état désastreux de ce pont. «Il avait promis de trouver une solution urgente» a souligné Autsai qui a témoigné néanmoins sa «reconnaissance» au gouvernement du Royaume-Uni «pour le financement du présent ouvrage.» Concluant son adresse, le gouverneur a invité ses administrés à continuer toujours à se «ranger derrière le président de la République, chef de l’Etat pour la réalisation des Cinq chantiers de la République». On peut admirer l’évolution du thème. On ne parle plus de cinq chantiers «du chef de l’Etat» mais «de la République».
«Don présidentiel»
Dans son édition datée 28 octobre, le site Digitalcongo.net (MMC) vient enfoncer le clou en titrant : «Don de Joseph Kabila à la Province Orientale : le pont Ituri II inauguré par le gouverneur Médard Autsai.» Pour ce journal en ligne, le pont réfectionné est un «don du chef de l’Etat» en dépit du fait que la réalisation n’a été rendue possible que grâce à un financement d’un pays tiers en l’occurrence le Royaume-Uni.
Le même lundi 26 octobre, Joseph Kabila s’est rendu dans la commune kinoise de Masina où il a procédé à l’inauguration d’un Centre ophtalmologique. Il s’agit d’un projet initié par une organisation non gouvernementale dénommée «Action Vision». Et ce dans le cadre d’un partenariat avec la coopération allemande d’une part, «Christian Blind Mission» et le Lion’s Club International d’autre part. Dans une brève allocution de «bienvenu», le gouverneur de la ville de Kinshasa, André Kimbuta Yango, a estimé que cette réalisation «répond à la volonté du chef de l’Etat de moderniser davantage le pays.» Ici aussi, le gouverneur n’a pas vu éviter de rendre à César ce qui est à César en remerciant «l’initiateur principal» en l’occurrence l’association «Action Vision» et ses partenaires cités précédemment. «Le volet santé des cinq chantiers initiés par le Président de la République enrichi d’un nouvel et éclatant jalon avec l’inauguration d’un centre médical spécialisé de plus», notait le lendemain, Digitalcongo.net (MMC).
Inutile de rappeler que lors de l’inauguration de l’hôpital « Marie Biamba Mutombo», financé par le basketteur Mutombo Dikembe, en 2007, le ministre de la Santé d’alors, Victor Makwenge Kaput, déclarait sans rire que cette réalisation entrait dans le cadre des «Cinq chantiers du chef de l’Etat».
"Les libérateurs"
Depuis la prise du pouvoir par les «libérateurs» du 17 mai 1997, l’ex-Zaïre, rebaptisé République démocratique Congo, est «gouvernée» à coup de mensonges d’Etat. Tout n’est que faux-semblant. Rien de bien étonnant quand on sait que cette «révolution» a eu comme point de départ un gros mensonge selon lequel la guerre déclenchée fin septembre 1996 à l’Est était l’œuvre des «Banyamulenge», décidés à reconquérir leur citoyenneté zaïroise. Que sont-ils devenus ? Plus personne n’en parle. Etrange n’est-il pas ?
Il faut recourir à une loupe à infrarouge pour découvrir les réformes et surtout les réalisations à impact socio-économique à mettre à l’actif de «Joseph». Le 26 janvier 2010, l’homme aura accompli un total de neuf ans à la tête de l’Etat congolais. Qu’a-t-il fait au cours de ce laps de temps représentant plus que deux mandats présidentiels aux Etats-Unis ?
On ne peut, dès lors, que comprendre certains observateurs qui suspectent le locataire du Palais de nation d’être investi d’une mission occulte consistant à maintenir le Congo-Kinshasa dans son état d’atonie généralisée. Et ce, pour le grand bien de certains pays voisins. C’est le cas du Rwanda et de l’Ouganda. La «convention secrète» signée entre Joseph Kabila et Paul Kagame en décembre dernier constitue, sans conteste, un des indices quand on sait qu’il y a à peine une année le Rwanda de Paul Kagame était présenté dans les discours officiels comme un «pays agresseur». Lors d’une allocution devant le Parlement congolais, Kabila parlait de «la guerre qu’on nous a imposé» à propos de la situation dans les provinces du Kivu. C’était le 15 décembre 2008.
«Pièce de théâtre»
En novembre 2006, Joseph Kabila a été «élu» président de la République sans qu’il n’ait pu dire un mot sur son programme politique. Sa vision de la société congolaise. Un simple slogan tenait lieu de projet de société : «Joseph Kabila, l’artisan de la paix». En peu de temps, l’artisan de la paix autoproclamé s’est révélé très friand de la violence. Pour combler cette lacune assimilable à une escroquerie, des officines politiques ont conseillé au «raïs» de lancer, plusieurs mois plus tard, le fameux thème de «Cinq chantiers du chef de l’Etat». Histoire d’éblouir les «naïfs». L’eau et l’électricité, la santé, l’éducation, les infrastructures et l’habitant sont repris comme étant les priorités du quinquennat. Seulement voilà, aucune étude de faisabilité n’a été menée pour connaître le coût de ces réalisations mais surtout la provenance de moyens financiers.
Depuis le lancement de ce slogan, Kabila et ses zélateurs ont inauguré des chantiers un peu partout à travers le pays. Les boulevards du 30 juin et Lumumba devraient être transformés en autoroutes. Des priorités pour le moins discutables pendant que la grande majorité de la population attend désespérément d’être approvisionnée régulièrement en eau et en électricité.
Les voyageurs en provenance de la RD Congo ont compris l’astuce. Certains parlent de «pièce de théâtre» pour qualifier les «Cinq chantiers». En tous cas, nombreux sont aujourd’hui les citoyens congolais qui soutiennent qu’à travers ses «Cinq chantiers», Joseph Kabila a trouvé un prétexte inespéré pour demander au corps électoral de lui accorder un nouveau bail afin «d’achever ce qu’il a commencé». Une grande mystification.
«La première de toutes les forces qui mènent le monde est le mensonge», a pu écrire le philosophe français Jean-François Revel dans son ouvrage «La Connaissance inutile». Lundi 26 octobre, le vice-premier ministre congolais chargé de la Reconstruction, le PPRD Emile Bongeli, s’est rendu dans la Province Orientale afin de représenter Joseph Kabila à l’inauguration du «Pont Ituri II». Pour la petite histoire, cet ouvrage a été réhabilité grâce à un financement britannique via l’Agence de développement International.
En dépit de cette évidence, le gouverneur de la Province Orientale Médard Autsai Asenga s’est fendu d’un discours flagorneur à l’endroit du «raïs» qui, selon lui, a tenu la «promesse» faite aux habitants de son entité lors d’une visite de la route nationale n° 4 reliant Kisangani – Kasindi-via-Komanda–Beni. «Nous voudrions d’abord remercier très sincèrement son excellence Monsieur le président de la République et chef de l’Etat (…) pour avoir honoré sa promesse faite le 03 mars 2009 (… )», a-t-il déclaré en liminaire.
Lors d’un séjour dans cette Région, Kabila avait reçu un rapport sur l’état désastreux de ce pont. «Il avait promis de trouver une solution urgente» a souligné Autsai qui a témoigné néanmoins sa «reconnaissance» au gouvernement du Royaume-Uni «pour le financement du présent ouvrage.» Concluant son adresse, le gouverneur a invité ses administrés à continuer toujours à se «ranger derrière le président de la République, chef de l’Etat pour la réalisation des Cinq chantiers de la République». On peut admirer l’évolution du thème. On ne parle plus de cinq chantiers «du chef de l’Etat» mais «de la République».
«Don présidentiel»
Dans son édition datée 28 octobre, le site Digitalcongo.net (MMC) vient enfoncer le clou en titrant : «Don de Joseph Kabila à la Province Orientale : le pont Ituri II inauguré par le gouverneur Médard Autsai.» Pour ce journal en ligne, le pont réfectionné est un «don du chef de l’Etat» en dépit du fait que la réalisation n’a été rendue possible que grâce à un financement d’un pays tiers en l’occurrence le Royaume-Uni.
Le même lundi 26 octobre, Joseph Kabila s’est rendu dans la commune kinoise de Masina où il a procédé à l’inauguration d’un Centre ophtalmologique. Il s’agit d’un projet initié par une organisation non gouvernementale dénommée «Action Vision». Et ce dans le cadre d’un partenariat avec la coopération allemande d’une part, «Christian Blind Mission» et le Lion’s Club International d’autre part. Dans une brève allocution de «bienvenu», le gouverneur de la ville de Kinshasa, André Kimbuta Yango, a estimé que cette réalisation «répond à la volonté du chef de l’Etat de moderniser davantage le pays.» Ici aussi, le gouverneur n’a pas vu éviter de rendre à César ce qui est à César en remerciant «l’initiateur principal» en l’occurrence l’association «Action Vision» et ses partenaires cités précédemment. «Le volet santé des cinq chantiers initiés par le Président de la République enrichi d’un nouvel et éclatant jalon avec l’inauguration d’un centre médical spécialisé de plus», notait le lendemain, Digitalcongo.net (MMC).
Inutile de rappeler que lors de l’inauguration de l’hôpital « Marie Biamba Mutombo», financé par le basketteur Mutombo Dikembe, en 2007, le ministre de la Santé d’alors, Victor Makwenge Kaput, déclarait sans rire que cette réalisation entrait dans le cadre des «Cinq chantiers du chef de l’Etat».
"Les libérateurs"
Depuis la prise du pouvoir par les «libérateurs» du 17 mai 1997, l’ex-Zaïre, rebaptisé République démocratique Congo, est «gouvernée» à coup de mensonges d’Etat. Tout n’est que faux-semblant. Rien de bien étonnant quand on sait que cette «révolution» a eu comme point de départ un gros mensonge selon lequel la guerre déclenchée fin septembre 1996 à l’Est était l’œuvre des «Banyamulenge», décidés à reconquérir leur citoyenneté zaïroise. Que sont-ils devenus ? Plus personne n’en parle. Etrange n’est-il pas ?
Il faut recourir à une loupe à infrarouge pour découvrir les réformes et surtout les réalisations à impact socio-économique à mettre à l’actif de «Joseph». Le 26 janvier 2010, l’homme aura accompli un total de neuf ans à la tête de l’Etat congolais. Qu’a-t-il fait au cours de ce laps de temps représentant plus que deux mandats présidentiels aux Etats-Unis ?
On ne peut, dès lors, que comprendre certains observateurs qui suspectent le locataire du Palais de nation d’être investi d’une mission occulte consistant à maintenir le Congo-Kinshasa dans son état d’atonie généralisée. Et ce, pour le grand bien de certains pays voisins. C’est le cas du Rwanda et de l’Ouganda. La «convention secrète» signée entre Joseph Kabila et Paul Kagame en décembre dernier constitue, sans conteste, un des indices quand on sait qu’il y a à peine une année le Rwanda de Paul Kagame était présenté dans les discours officiels comme un «pays agresseur». Lors d’une allocution devant le Parlement congolais, Kabila parlait de «la guerre qu’on nous a imposé» à propos de la situation dans les provinces du Kivu. C’était le 15 décembre 2008.
«Pièce de théâtre»
En novembre 2006, Joseph Kabila a été «élu» président de la République sans qu’il n’ait pu dire un mot sur son programme politique. Sa vision de la société congolaise. Un simple slogan tenait lieu de projet de société : «Joseph Kabila, l’artisan de la paix». En peu de temps, l’artisan de la paix autoproclamé s’est révélé très friand de la violence. Pour combler cette lacune assimilable à une escroquerie, des officines politiques ont conseillé au «raïs» de lancer, plusieurs mois plus tard, le fameux thème de «Cinq chantiers du chef de l’Etat». Histoire d’éblouir les «naïfs». L’eau et l’électricité, la santé, l’éducation, les infrastructures et l’habitant sont repris comme étant les priorités du quinquennat. Seulement voilà, aucune étude de faisabilité n’a été menée pour connaître le coût de ces réalisations mais surtout la provenance de moyens financiers.
Depuis le lancement de ce slogan, Kabila et ses zélateurs ont inauguré des chantiers un peu partout à travers le pays. Les boulevards du 30 juin et Lumumba devraient être transformés en autoroutes. Des priorités pour le moins discutables pendant que la grande majorité de la population attend désespérément d’être approvisionnée régulièrement en eau et en électricité.
Les voyageurs en provenance de la RD Congo ont compris l’astuce. Certains parlent de «pièce de théâtre» pour qualifier les «Cinq chantiers». En tous cas, nombreux sont aujourd’hui les citoyens congolais qui soutiennent qu’à travers ses «Cinq chantiers», Joseph Kabila a trouvé un prétexte inespéré pour demander au corps électoral de lui accorder un nouveau bail afin «d’achever ce qu’il a commencé». Une grande mystification.
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mongo elombe
Re: LES CINQ CHANTIERS DE LA RDC
"Les Cinq chantiers de Joseph Kabila :
La grande mystification "
°http://www.congoindependant.com/article.php?articleid=5091
Trois années après l’élection présidentielle de 2006, Joseph Kabila paraît incapable de présenter le moindre «pré-bilan» de son action à la tête de l’Etat. Sous d’autres cieux, le chef de l’Etat aurait convoqué la presse pour s’expliquer devant l’opinion sur le chemin parcouru. Pour dire ce qui a été fait et ce qui ne l’a pas été au regard des promesses. Le «raïs», lui, se tait. Il n’a manifestement pas de comptes à rendre. En revanche, il consacre son temps à couper les rubans à l’occasion de l’inauguration d’un hôpital par-ci, d’un centre ophtalmologique par-là. Des projets initiés et financés par des tiers et que les zélateurs du kabilisme s’empressent de mettre dans le crédit des fameux «Cinq chantiers» lesquels ressemblent plus que jamais à une vaste duperie. Un grand bluff..."
"La RDC, vers une perspective d’entrée en programme formel avec le FMI
° http://www.congoindependant.com/article.php?articleid=5090
Le Premier ministre Adolphe Muzito a fait part mardi 3 octobre d’une perspective pour la République démocratique du Congo (RDC) de pouvoir entrer en programme formel avec le FMI, lors d’une rencontre avec les ambassadeurs de l’UE et des chefs de mission de la Banque mondiale et du Fonds monétaire internationale (FMI)..."
Compatriotiquement!
La grande mystification "
°http://www.congoindependant.com/article.php?articleid=5091
Trois années après l’élection présidentielle de 2006, Joseph Kabila paraît incapable de présenter le moindre «pré-bilan» de son action à la tête de l’Etat. Sous d’autres cieux, le chef de l’Etat aurait convoqué la presse pour s’expliquer devant l’opinion sur le chemin parcouru. Pour dire ce qui a été fait et ce qui ne l’a pas été au regard des promesses. Le «raïs», lui, se tait. Il n’a manifestement pas de comptes à rendre. En revanche, il consacre son temps à couper les rubans à l’occasion de l’inauguration d’un hôpital par-ci, d’un centre ophtalmologique par-là. Des projets initiés et financés par des tiers et que les zélateurs du kabilisme s’empressent de mettre dans le crédit des fameux «Cinq chantiers» lesquels ressemblent plus que jamais à une vaste duperie. Un grand bluff..."
"La RDC, vers une perspective d’entrée en programme formel avec le FMI
° http://www.congoindependant.com/article.php?articleid=5090
Le Premier ministre Adolphe Muzito a fait part mardi 3 octobre d’une perspective pour la République démocratique du Congo (RDC) de pouvoir entrer en programme formel avec le FMI, lors d’une rencontre avec les ambassadeurs de l’UE et des chefs de mission de la Banque mondiale et du Fonds monétaire internationale (FMI)..."
Compatriotiquement!
ndonzwau
Re: LES CINQ CHANTIERS DE LA RDC
"Charm el-Cheik : ouverture du 4ème forum
sur la coopération entre la Chine et l'Afrique
° http://www.radiookapi.net/index.php?i=53&l=0&c=0&a=25386&da=&hi=0&of=3&s=&m=2&k=0&r=all&sc=0&id_a=0&ar=0&br=qst
Le 4ème forum de la coopération sino-africaine a ouvert ses portes, dimanche Charm el-Cheik en Egypte. Il réunit des chefs d’Etat et de gouvernement ainsi que des ministres des Affaires étrangères et d’Economie d’une cinquantaine de pays. Ces derniers doivent élaborer une feuille de route en vue de renforcer et diversifier les relations entre la Chine et le continent africain sur la période de 2010 à 2012. C’est pour la première fois que la RDC participe à ces assises, rapporte radiookapi.net
La délégation de la RDC au 4ème forum de la coopération sino-africaine est conduite par le Premier ministre Adolphe Muzito. Ce dernier devrait s’exprimer, dimanche, à la tribune de ce forum. A la tête d’une délégation d’une dizaine de personnes, M. Muzito aura également, en marge de cette rencontre, des entretiens officiels avec le premier ministre chinois, Wen Jiabao. Ils vont évaluer l’état de la coopération bilatérale entre la Chine et la RDC.
En 2007 et 2008, la RDC avait conclu avec un groupement d'entreprises chinoises une convention de collaboration de plus de 6 milliards de dollars américains. La moitié de ce fonds est affectée au financement des infrastructures de base, telles que les routes, les hôpitaux, les chemins de fer, les barrages hydroélectriques, les ponts et les aéroports. Tandis que 3,2 milliards de dollars américains sont destinés aux investissements dans le domaine de l’exploitation des ressources minières.
La RDC n’a pas participé aux trois premières éditions, tenues respectivement en 2000 à Pékin, 2003 à Addis-Abeba et en 2006 à Pékin. Selon le programme, la clôture du 4ème forum de la coopération entre la Chine et le continent africain est prévue pour lundi en début d’après-midi."
"La Chine promet 10 milliards de dollars de prêts à l'Afrique
° http://www.tv5.org/cms/chaine-francophone/info/p-1911-La_Chine_promet_10_milliards_de_dollars_de_prets_a_l_Afrique.htm?&rub=6&xml=newsmlmmd.72ef3ba0e005ddcea3bc6bd6a08500d2.521.xml
La Chine va accorder 10 milliards de dollars en prêts bonifiés aux pays africains, a annoncé dimanche le Premier ministre chinois Wen Jiabao à l'ouverture du Forum Chine-Afrique de Charm el-Cheikh (Egypte).
La Chine a renforcé dimanche sa stratégie africaine en annonçant qu'elle allait accorder 10 mds USD de prêts bonifiés aux pays d'Afrique, mais aussi en se disant prête à jouer un rôle pour "la paix et la sécurité" sur le continent.
"Nous allons aider l'Afrique à développer ses capacités financières (...). Nous allons fournir dix milliards de dollars à l'Afrique en prêts bonifiés", a déclaré le Premier ministre chinois, Wen Jiabao, à l'ouverture du Forum Chine-Afrique de Charm el-Cheikh (Egypte).
M. Wen a précisé que ces prêts faisaient partie d'une série de mesures qui seraient prises sur les trois années à venir pour renforcer la coopération sino-africaine, évacuant les critiques selon lesquelles le géant asiatique serait uniquement intéressé par l'Afrique pour nourrir les besoins de son économie en pleine croissance.
"Quels que soient les changements sur la scène internationale, notre amitié avec le peuple africain ne changera pas (...), notre politique de soutien à la croissance économique et sociale en Afrique ne changera pas", a promis M. Wen.
Le dirigeant chinois a annoncé que Pékin exempterait de droits de douane 95% des produits "des pays africains les moins développés ayant des relations diplomatiques avec la Chine, en commençant avec 60% des produits dès 2010".
En outre, la Chine "appuiera les institutions financières chinoises pour la mise en place d'un prêt spécial d'un milliard USD pour les petites et moyennes entreprises africaines".
Une cinquantaine de pays participent jusqu'a lundi à la "quatrième conférence ministérielle du Forum de coopération sino-africain" (FCSA, FOCAC en anglais), destinée à développer des relations économiques en plein essor.
Lors de la précédente édition en 2006 à Pékin de cette manifestation triennale, la Chine avait promis d'apporter 5 milliards de dollars d'aide financière à l'Afrique. Pékin a aussi conclu des accords de réduction ou d'annulation de dette avec 31 pays de ce continent.
La Chine s'est de nouveau engagée dimanche à alléger le fardeau de la dette de certains pays africains.
"La Chine est prête à approfondir sa coopération concrète avec l'Afrique", a dit M. Wen, en ajoutant que Pékin était aussi prêt à jouer un rôle "dans le règlement des questions relatives à la paix et à la sécurité".
Il a aussi évoqué le renforcement des relations dans plusieurs autres domaines, comme l'environnement (mise en place de 100 projets liés aux énergies propres, aide à la lutte contre le changement climatique), l'éducation (formation d'enseignants et construction de 50 écoles) et la science.
Selon les statistiques officielles chinoises, les investissements directs chinois sur le continent africain sont passés de 491 millions de dollars en 2003 à 7,8 milliards fin 2008. Les échanges commerciaux entre la Chine et l'Afrique ont quant à eux décuplé depuis le début de la décennie pour atteindre 106,8 mds USD en 2008.
Mais le rôle croissant de la Chine en Afrique fait aussi l'objet de vives critiques. Pékin est régulièrement taxé de "néo-colonialisme", ou accusé de cautionner à coups de milliards des régimes foulant au pied les droits de l'Homme.
La Chine est l'un des principaux alliés et partenaires économiques du Soudan, dont le président Omar el-Béchir est sous le coup d'un mandat d'arrêt international pour crimes de guerre et contre l'humanité au Darfour.
Présent au Forum, M. Béchir a exprimé son "extrême appréciation" à la Chine pour son soutien face aux conflits intérieurs soudanais.
La Chine dit s'en tenir à une stratégie de non-ingérence dans les pays où elle investit.
"L'aide chinoise à l'Afrique n'a pas été et ne sera pas liée à des conditions politiques", a affirmé M. Wen, ajoutant que "l'Afrique est capable de faire face à ses problèmes par elle-même"."
° http://www.rfi.fr/contenu/20091108-chine-lafrique-sapprete-renforcer-leur-cooperation
Compatriotiquement!
sur la coopération entre la Chine et l'Afrique
° http://www.radiookapi.net/index.php?i=53&l=0&c=0&a=25386&da=&hi=0&of=3&s=&m=2&k=0&r=all&sc=0&id_a=0&ar=0&br=qst
Le 4ème forum de la coopération sino-africaine a ouvert ses portes, dimanche Charm el-Cheik en Egypte. Il réunit des chefs d’Etat et de gouvernement ainsi que des ministres des Affaires étrangères et d’Economie d’une cinquantaine de pays. Ces derniers doivent élaborer une feuille de route en vue de renforcer et diversifier les relations entre la Chine et le continent africain sur la période de 2010 à 2012. C’est pour la première fois que la RDC participe à ces assises, rapporte radiookapi.net
La délégation de la RDC au 4ème forum de la coopération sino-africaine est conduite par le Premier ministre Adolphe Muzito. Ce dernier devrait s’exprimer, dimanche, à la tribune de ce forum. A la tête d’une délégation d’une dizaine de personnes, M. Muzito aura également, en marge de cette rencontre, des entretiens officiels avec le premier ministre chinois, Wen Jiabao. Ils vont évaluer l’état de la coopération bilatérale entre la Chine et la RDC.
En 2007 et 2008, la RDC avait conclu avec un groupement d'entreprises chinoises une convention de collaboration de plus de 6 milliards de dollars américains. La moitié de ce fonds est affectée au financement des infrastructures de base, telles que les routes, les hôpitaux, les chemins de fer, les barrages hydroélectriques, les ponts et les aéroports. Tandis que 3,2 milliards de dollars américains sont destinés aux investissements dans le domaine de l’exploitation des ressources minières.
La RDC n’a pas participé aux trois premières éditions, tenues respectivement en 2000 à Pékin, 2003 à Addis-Abeba et en 2006 à Pékin. Selon le programme, la clôture du 4ème forum de la coopération entre la Chine et le continent africain est prévue pour lundi en début d’après-midi."
"La Chine promet 10 milliards de dollars de prêts à l'Afrique
° http://www.tv5.org/cms/chaine-francophone/info/p-1911-La_Chine_promet_10_milliards_de_dollars_de_prets_a_l_Afrique.htm?&rub=6&xml=newsmlmmd.72ef3ba0e005ddcea3bc6bd6a08500d2.521.xml
La Chine va accorder 10 milliards de dollars en prêts bonifiés aux pays africains, a annoncé dimanche le Premier ministre chinois Wen Jiabao à l'ouverture du Forum Chine-Afrique de Charm el-Cheikh (Egypte).
La Chine a renforcé dimanche sa stratégie africaine en annonçant qu'elle allait accorder 10 mds USD de prêts bonifiés aux pays d'Afrique, mais aussi en se disant prête à jouer un rôle pour "la paix et la sécurité" sur le continent.
"Nous allons aider l'Afrique à développer ses capacités financières (...). Nous allons fournir dix milliards de dollars à l'Afrique en prêts bonifiés", a déclaré le Premier ministre chinois, Wen Jiabao, à l'ouverture du Forum Chine-Afrique de Charm el-Cheikh (Egypte).
M. Wen a précisé que ces prêts faisaient partie d'une série de mesures qui seraient prises sur les trois années à venir pour renforcer la coopération sino-africaine, évacuant les critiques selon lesquelles le géant asiatique serait uniquement intéressé par l'Afrique pour nourrir les besoins de son économie en pleine croissance.
"Quels que soient les changements sur la scène internationale, notre amitié avec le peuple africain ne changera pas (...), notre politique de soutien à la croissance économique et sociale en Afrique ne changera pas", a promis M. Wen.
Le dirigeant chinois a annoncé que Pékin exempterait de droits de douane 95% des produits "des pays africains les moins développés ayant des relations diplomatiques avec la Chine, en commençant avec 60% des produits dès 2010".
En outre, la Chine "appuiera les institutions financières chinoises pour la mise en place d'un prêt spécial d'un milliard USD pour les petites et moyennes entreprises africaines".
Une cinquantaine de pays participent jusqu'a lundi à la "quatrième conférence ministérielle du Forum de coopération sino-africain" (FCSA, FOCAC en anglais), destinée à développer des relations économiques en plein essor.
Lors de la précédente édition en 2006 à Pékin de cette manifestation triennale, la Chine avait promis d'apporter 5 milliards de dollars d'aide financière à l'Afrique. Pékin a aussi conclu des accords de réduction ou d'annulation de dette avec 31 pays de ce continent.
La Chine s'est de nouveau engagée dimanche à alléger le fardeau de la dette de certains pays africains.
"La Chine est prête à approfondir sa coopération concrète avec l'Afrique", a dit M. Wen, en ajoutant que Pékin était aussi prêt à jouer un rôle "dans le règlement des questions relatives à la paix et à la sécurité".
Il a aussi évoqué le renforcement des relations dans plusieurs autres domaines, comme l'environnement (mise en place de 100 projets liés aux énergies propres, aide à la lutte contre le changement climatique), l'éducation (formation d'enseignants et construction de 50 écoles) et la science.
Selon les statistiques officielles chinoises, les investissements directs chinois sur le continent africain sont passés de 491 millions de dollars en 2003 à 7,8 milliards fin 2008. Les échanges commerciaux entre la Chine et l'Afrique ont quant à eux décuplé depuis le début de la décennie pour atteindre 106,8 mds USD en 2008.
Mais le rôle croissant de la Chine en Afrique fait aussi l'objet de vives critiques. Pékin est régulièrement taxé de "néo-colonialisme", ou accusé de cautionner à coups de milliards des régimes foulant au pied les droits de l'Homme.
La Chine est l'un des principaux alliés et partenaires économiques du Soudan, dont le président Omar el-Béchir est sous le coup d'un mandat d'arrêt international pour crimes de guerre et contre l'humanité au Darfour.
Présent au Forum, M. Béchir a exprimé son "extrême appréciation" à la Chine pour son soutien face aux conflits intérieurs soudanais.
La Chine dit s'en tenir à une stratégie de non-ingérence dans les pays où elle investit.
"L'aide chinoise à l'Afrique n'a pas été et ne sera pas liée à des conditions politiques", a affirmé M. Wen, ajoutant que "l'Afrique est capable de faire face à ses problèmes par elle-même"."
° http://www.rfi.fr/contenu/20091108-chine-lafrique-sapprete-renforcer-leur-cooperation
Compatriotiquement!
ndonzwau
Re: LES CINQ CHANTIERS DE LA RDC
"La Chine confirme son intérêt pour l'Afrique
° http://www.lemonde.fr/asie-pacifique/article/2009/11/10/la-chine-confirme-son-interet-pour-l-afrique_1265218_3216.html#ens_id=1251236
Dix milliards de dollars (6,66 milliards d'euros) de prêts pour l'Afrique : en promettant, au cours des trois prochaines années, une telle somme aux Africains à l'issue du Forum de coopération sino-africaine (Focac) qui vient de se tenir dans la station balnéaire égyptienne de Charm el-Cheikh, le gouvernement chinois a démontré une fois de plus l'importance économique et stratégique qu'il attache au continent noir.
Dix milliards de dollars (6,66 milliards d'euros) de prêts pour l'Afrique : en promettant, au cours des trois prochaines années, une telle somme aux Africains à l'issue du Forum de coopération sino-africaine (Focac) qui vient de se tenir dans la station balnéaire égyptienne de Charm el-Cheikh, le gouvernement chinois a démontré une fois de plus l'importance économique et stratégique qu'il attache au continent noir...
...Tout au long de ces deux jours de conférence, les responsables chinois ont répété que ces aides à l'Afrique étaient faites "de tout coeur", démontrant le souci de Pékin de contrer l'image d'une Chine cynique et quasi néocoloniale investissant dans les pays africains en raison de la richesse de leur sous-sol...
...L'éditorial publié la semaine dernière par le quotidien chinois anglophone Global Times à la veille du sommet remarquait qu'il était temps pour l'opinion publique chinoise de prendre en compte les impératifs de sa position d'" acteur responsable". Il soulignait ainsi à propos des prêts à l'Afrique que, même si une partie de la population chinoise vit encore dans la pauvreté, la Chine doit accepter de "donner plus et prendre moins"."
"En marge de la conférence de Charm El-Cheikh
Adolphe Muzito : «La RDC souhaite maintenir
des échanges de haut niveau avec la Chine»"
° http://www.lepotentiel.com/afficher_article.php?id_article=88693&id_edition=4832
Compatriotiquement!
° http://www.lemonde.fr/asie-pacifique/article/2009/11/10/la-chine-confirme-son-interet-pour-l-afrique_1265218_3216.html#ens_id=1251236
Dix milliards de dollars (6,66 milliards d'euros) de prêts pour l'Afrique : en promettant, au cours des trois prochaines années, une telle somme aux Africains à l'issue du Forum de coopération sino-africaine (Focac) qui vient de se tenir dans la station balnéaire égyptienne de Charm el-Cheikh, le gouvernement chinois a démontré une fois de plus l'importance économique et stratégique qu'il attache au continent noir.
Dix milliards de dollars (6,66 milliards d'euros) de prêts pour l'Afrique : en promettant, au cours des trois prochaines années, une telle somme aux Africains à l'issue du Forum de coopération sino-africaine (Focac) qui vient de se tenir dans la station balnéaire égyptienne de Charm el-Cheikh, le gouvernement chinois a démontré une fois de plus l'importance économique et stratégique qu'il attache au continent noir...
...Tout au long de ces deux jours de conférence, les responsables chinois ont répété que ces aides à l'Afrique étaient faites "de tout coeur", démontrant le souci de Pékin de contrer l'image d'une Chine cynique et quasi néocoloniale investissant dans les pays africains en raison de la richesse de leur sous-sol...
...L'éditorial publié la semaine dernière par le quotidien chinois anglophone Global Times à la veille du sommet remarquait qu'il était temps pour l'opinion publique chinoise de prendre en compte les impératifs de sa position d'" acteur responsable". Il soulignait ainsi à propos des prêts à l'Afrique que, même si une partie de la population chinoise vit encore dans la pauvreté, la Chine doit accepter de "donner plus et prendre moins"."
"En marge de la conférence de Charm El-Cheikh
Adolphe Muzito : «La RDC souhaite maintenir
des échanges de haut niveau avec la Chine»"
° http://www.lepotentiel.com/afficher_article.php?id_article=88693&id_edition=4832
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ndonzwau
Re: LES CINQ CHANTIERS DE LA RDC
"Après la signature des avenants chinois
RDC – FMI : le flou persiste !"
° http://www.lepotentiel.com//afficher_article_archive.php?id_article=88752&id_edition=4833&yearID=2009&monthID=11&dayID=12
"Les exportations congolaises vers la Chine ont
atteint 1,58 milliard de dollars US !"
° http://www.congoindependant.com/article.php?articleid=5114
"RDC - FMI : chemin enfin balisé vers
l'effacement de la dette extérieure !"
° http://www.radiookapi.net/index.php?i=53&l=0&c=0&a=25418&da=&hi=0&of=20&s=&m=2&k=0&r=all&sc=0&id_a=0&ar=0&br=qst
° http://www.radiookapi.net/index.php?i=53&l=0&c=0&a=25433&da=&hi=0&of=10&s=&m=2&k=0&r=all&sc=0&id_a=0&ar=0&br=qst
"Accord FMI-RDC : l’heure de vérité
° http://www.lepotentiel.com//afficher_article.php?id_article=88817&id_edition=4834
Entre la RDC et le FMI, l’on s’approche vers l’étape décisive : celle de la conclusion du second programme économique du gouvernement (PEG 2). Bientôt, le gouvernement aura rendez-vous le 18 novembre avec le Club de Paris. Quant à la transmission du dossier RDC au Conseil d’administration du FMI, début décembre, seul le FMI en connaît l’issue. Ses experts n’en ont pas évoqué les causes. Ils ont toutefois effleuré le problème, reconnaissant que les causes des déséquilibres du cadre macro-économique ne proviennent pas de dérapages budgétaires. Ce qui disculpe le gouvernement, donc le Premier ministre, de tout soupçon. Mais que dire si le nouveau programme n’était pas signé ? Il faudra certainement en chercher les raisons bien au-delà du gouvernement..."
Compatriotiquement!
RDC – FMI : le flou persiste !"
° http://www.lepotentiel.com//afficher_article_archive.php?id_article=88752&id_edition=4833&yearID=2009&monthID=11&dayID=12
"Les exportations congolaises vers la Chine ont
atteint 1,58 milliard de dollars US !"
° http://www.congoindependant.com/article.php?articleid=5114
"RDC - FMI : chemin enfin balisé vers
l'effacement de la dette extérieure !"
° http://www.radiookapi.net/index.php?i=53&l=0&c=0&a=25418&da=&hi=0&of=20&s=&m=2&k=0&r=all&sc=0&id_a=0&ar=0&br=qst
° http://www.radiookapi.net/index.php?i=53&l=0&c=0&a=25433&da=&hi=0&of=10&s=&m=2&k=0&r=all&sc=0&id_a=0&ar=0&br=qst
"Accord FMI-RDC : l’heure de vérité
° http://www.lepotentiel.com//afficher_article.php?id_article=88817&id_edition=4834
Entre la RDC et le FMI, l’on s’approche vers l’étape décisive : celle de la conclusion du second programme économique du gouvernement (PEG 2). Bientôt, le gouvernement aura rendez-vous le 18 novembre avec le Club de Paris. Quant à la transmission du dossier RDC au Conseil d’administration du FMI, début décembre, seul le FMI en connaît l’issue. Ses experts n’en ont pas évoqué les causes. Ils ont toutefois effleuré le problème, reconnaissant que les causes des déséquilibres du cadre macro-économique ne proviennent pas de dérapages budgétaires. Ce qui disculpe le gouvernement, donc le Premier ministre, de tout soupçon. Mais que dire si le nouveau programme n’était pas signé ? Il faudra certainement en chercher les raisons bien au-delà du gouvernement..."
Compatriotiquement!
ndonzwau
Re: LES CINQ CHANTIERS DE LA RDC
"Tourbillon sur le PEG 2 :
KMT et TFM plombent les négociations du Club de Paris
° http://www.lepotentiel.com/afficher_article.php?id_article=89094&id_edition=4841
Le Club de Paris maintient le suspense sur les assurances financières lui exigées par le FMI avant tout nouveau programme avec la RDC. Mercredi 18 novembre, les créanciers bilatéraux de la RDC ont créé la surprise, souhaitant voir préalablement clair dans des contentieux miniers de ses membres les plus influents. Le Canada avec KMT, et les Etats-Unis avec TFM sont de ceux-là. Le Club de Paris a promis, avant tout, de déléguer à Kinshasa ses experts pour en discuter au plus haut niveau de l’Etat..."
"Renégociation des contrats miniers :
la Société civile veut des enquêtes sérieuses"
° http://www.lepotentiel.com/afficher_article.php?id_article=89095&id_edition=4841
Compatriotiquement!
KMT et TFM plombent les négociations du Club de Paris
° http://www.lepotentiel.com/afficher_article.php?id_article=89094&id_edition=4841
Le Club de Paris maintient le suspense sur les assurances financières lui exigées par le FMI avant tout nouveau programme avec la RDC. Mercredi 18 novembre, les créanciers bilatéraux de la RDC ont créé la surprise, souhaitant voir préalablement clair dans des contentieux miniers de ses membres les plus influents. Le Canada avec KMT, et les Etats-Unis avec TFM sont de ceux-là. Le Club de Paris a promis, avant tout, de déléguer à Kinshasa ses experts pour en discuter au plus haut niveau de l’Etat..."
"Renégociation des contrats miniers :
la Société civile veut des enquêtes sérieuses"
° http://www.lepotentiel.com/afficher_article.php?id_article=89095&id_edition=4841
Compatriotiquement!
ndonzwau
Re: LES CINQ CHANTIERS DE LA RDC
"Club de Paris/RDC : les Etats-Unis nient avoir bloqué
la réunion du 18 novembre !
° http://www.radiookapi.net/index.php?i=53&a=25593
«Le gouvernement des Etats-Unis a donné, lors de la réunion du Club de Paris du 18 novembre 2009, des assurances financières sans aucune condition. Toute information affirmant le contraire est fautive», a écrit, lundi, sur son site Internet, l’ambassade américaine à Kinshasa, rapporte radiookapi.net..."
Compatriotiquement!
la réunion du 18 novembre !
° http://www.radiookapi.net/index.php?i=53&a=25593
«Le gouvernement des Etats-Unis a donné, lors de la réunion du Club de Paris du 18 novembre 2009, des assurances financières sans aucune condition. Toute information affirmant le contraire est fautive», a écrit, lundi, sur son site Internet, l’ambassade américaine à Kinshasa, rapporte radiookapi.net..."
Compatriotiquement!
ndonzwau
Re: LES CINQ CHANTIERS DE LA RDC
"Club de Paris: Enfin, le Canada «libère» la RDC
° http://www.lepharerdc.com/www/index_view.php?storyID=11322&rubriqueID=9
Alors qu’il tardait, depuis le 18 novembre 2009, à donner ses assurances de financement en vue des allègements de la dette publique de la République Démocratique du Congo par ses créanciers regroupés au sein du Club de Paris, le Canada a finalement accepté, hier au cours d’une énième réunion tenue dans la capitale française, de lever son veto. Ainsi, depuis hier, tous les membres permanents de cette structure, à savoir l’Allemagne, l’Australie, l’Autriche, la Belgique, le Danemark, l’Espagne, les USA, la Finlande, la France, l’Irlande, l’Italie, le Japon, la Norvège, les Pays-Bas, le Royaume Uni, la Russie, la Suède, la Suisse et le Canada…parlent d’une seule voix, en faveur de Kinshasa. A proprement parler, l’évolution ultra-rapide de la position d’Ottawa n’a pas surpris les observateurs. En lisant entre les lignes le message que l’Ambassadeur du Canada en RDC a transmis mardi au Premier ministre Adolphe Muzito, il était facile de déceler des indices d’un déblocage imminent de la situation. Mme Sigrid Anna Johnson a en effet souligné que ce qui préoccupait au plus haut point son pays ainsi que les autres affiliés du Club de Paris, c’était l’engagement des autorités congolaises à améliorer le climat des affaires, de manière à favoriser les investissements étrangers. C’est le lieu de saluer ici l’attitude du gouvernement canadien de cesser de s’accrocher au contentieux opposant l’Etat congolais à quelques entreprises privées canadiennes « recalées » dans le processus de revisitation des contrats miniers, même si, pendant un certain temps, il a bloqué l’ensemble du Club de Paris par son refus de donner une réponse claire à la requête congolaise. Ottawa a certainement saisi la portée de la lourde responsabilité qui risquait d’être la sienne si, à travers son veto prolongé, tout un pays perdait le bénéfice d’une bouffée d’oxygène qui ferait tant de bien à ses institutions, à leurs animateurs et à ses habitants.
Le consensus ayant été obtenu, la voie est largement ouverte à la conclusion, dans quelques jours, d’un programme triennal de collaboration entre la RDC et le Conseil d’Administration du Fonds Monétaire International, dans le cadre de la Facilité pour la Réduction de la Pauvreté et la Croissance (FRPC). Un fois cette étape franchie – des sources proches de la Primature la situe au 4 décembre 2009 au plus tôt – notre pays serait bien parti pour le processus devant conduire à l’annulation d’une part substantielle de sa dette extérieure d’Etat à Etat, à l’accès aux financements extérieurs additionnels. Et, comme annoncé par le chef du gouvernement congolais depuis plusieurs mois et rappelé le 03 novembre dernier, à la lumière de la réponse du FMI et de la Banque Mondiale à sa lettre du 24 octobre 2009, l’atteinte du Point d’Achèvement de l’initiative PPTE (Pays Pauvres Très Endettés) dans la foulée de la célébration du cinquantième anniversaire de l’indépendance nationale, n’est plus une vue de l’esprit. Et, comme souhaité par ses créanciers, la RDC devrait maintenir l’effort d’assainissement de son cadre macro-économique et s’en tenir à la disciplinaire budgétaire qui lui vaut aujourd’hui de rentrer dans les bonnes grâces de ses bailleurs traditionnels. Dans plus ou moins six mois, le peuple congolais devrait logiquement savourer le fruit d’une longue bataille de redressement de la situation économique et monétaire du pays, amorcée par le cabinet du patriarche Antoine Gizenga Fundji et relayée par celui d’Adolphe Muzito, sous la haute surveillance du Chef de l’Etat, Joseph Kabila. L’année prochaine, le Congo démocratique serait en droit de fêter une victoire qui revêt tous les contours d’une œuvre collective. "
Mines : le gouvernement congolais dos au mur !
(7sur7.cd 26/11/2009)
° http://www.africatime.com/rdc/popup.asp?no_nouvelle=492931
Compatriotiquement!
° http://www.lepharerdc.com/www/index_view.php?storyID=11322&rubriqueID=9
Alors qu’il tardait, depuis le 18 novembre 2009, à donner ses assurances de financement en vue des allègements de la dette publique de la République Démocratique du Congo par ses créanciers regroupés au sein du Club de Paris, le Canada a finalement accepté, hier au cours d’une énième réunion tenue dans la capitale française, de lever son veto. Ainsi, depuis hier, tous les membres permanents de cette structure, à savoir l’Allemagne, l’Australie, l’Autriche, la Belgique, le Danemark, l’Espagne, les USA, la Finlande, la France, l’Irlande, l’Italie, le Japon, la Norvège, les Pays-Bas, le Royaume Uni, la Russie, la Suède, la Suisse et le Canada…parlent d’une seule voix, en faveur de Kinshasa. A proprement parler, l’évolution ultra-rapide de la position d’Ottawa n’a pas surpris les observateurs. En lisant entre les lignes le message que l’Ambassadeur du Canada en RDC a transmis mardi au Premier ministre Adolphe Muzito, il était facile de déceler des indices d’un déblocage imminent de la situation. Mme Sigrid Anna Johnson a en effet souligné que ce qui préoccupait au plus haut point son pays ainsi que les autres affiliés du Club de Paris, c’était l’engagement des autorités congolaises à améliorer le climat des affaires, de manière à favoriser les investissements étrangers. C’est le lieu de saluer ici l’attitude du gouvernement canadien de cesser de s’accrocher au contentieux opposant l’Etat congolais à quelques entreprises privées canadiennes « recalées » dans le processus de revisitation des contrats miniers, même si, pendant un certain temps, il a bloqué l’ensemble du Club de Paris par son refus de donner une réponse claire à la requête congolaise. Ottawa a certainement saisi la portée de la lourde responsabilité qui risquait d’être la sienne si, à travers son veto prolongé, tout un pays perdait le bénéfice d’une bouffée d’oxygène qui ferait tant de bien à ses institutions, à leurs animateurs et à ses habitants.
Le consensus ayant été obtenu, la voie est largement ouverte à la conclusion, dans quelques jours, d’un programme triennal de collaboration entre la RDC et le Conseil d’Administration du Fonds Monétaire International, dans le cadre de la Facilité pour la Réduction de la Pauvreté et la Croissance (FRPC). Un fois cette étape franchie – des sources proches de la Primature la situe au 4 décembre 2009 au plus tôt – notre pays serait bien parti pour le processus devant conduire à l’annulation d’une part substantielle de sa dette extérieure d’Etat à Etat, à l’accès aux financements extérieurs additionnels. Et, comme annoncé par le chef du gouvernement congolais depuis plusieurs mois et rappelé le 03 novembre dernier, à la lumière de la réponse du FMI et de la Banque Mondiale à sa lettre du 24 octobre 2009, l’atteinte du Point d’Achèvement de l’initiative PPTE (Pays Pauvres Très Endettés) dans la foulée de la célébration du cinquantième anniversaire de l’indépendance nationale, n’est plus une vue de l’esprit. Et, comme souhaité par ses créanciers, la RDC devrait maintenir l’effort d’assainissement de son cadre macro-économique et s’en tenir à la disciplinaire budgétaire qui lui vaut aujourd’hui de rentrer dans les bonnes grâces de ses bailleurs traditionnels. Dans plus ou moins six mois, le peuple congolais devrait logiquement savourer le fruit d’une longue bataille de redressement de la situation économique et monétaire du pays, amorcée par le cabinet du patriarche Antoine Gizenga Fundji et relayée par celui d’Adolphe Muzito, sous la haute surveillance du Chef de l’Etat, Joseph Kabila. L’année prochaine, le Congo démocratique serait en droit de fêter une victoire qui revêt tous les contours d’une œuvre collective. "
Mines : le gouvernement congolais dos au mur !
(7sur7.cd 26/11/2009)
° http://www.africatime.com/rdc/popup.asp?no_nouvelle=492931
Compatriotiquement!
ndonzwau
Re: LES CINQ CHANTIERS DE LA RDC
RDC-FMI : les assurances du Club de Paris
° http://www.radiookapi.net/index.php?i=53&l=0&c=0&a=25625&da=&hi=0&of=2&s=&m=2&k=0&r=all&sc=0&id_a=0&ar=0&br=qst
Le Fonds monétaire international (FMI) adoptera au plus tard le 11 décembre 2009 un programme de 3 ans avec la République Démocratique du Congo. Cette perspective fait suite aux assurances de financement du Club de Paris en faveur de la RDC, assurances données mercredi dernier dans la capitale française. La primature (Hôtel du Premier ministre) confirme l’information dans un communiqué de presse diffusé jeudi, rapporte radiookapi.net..."
Compatriotiquement!
° http://www.radiookapi.net/index.php?i=53&l=0&c=0&a=25625&da=&hi=0&of=2&s=&m=2&k=0&r=all&sc=0&id_a=0&ar=0&br=qst
Le Fonds monétaire international (FMI) adoptera au plus tard le 11 décembre 2009 un programme de 3 ans avec la République Démocratique du Congo. Cette perspective fait suite aux assurances de financement du Club de Paris en faveur de la RDC, assurances données mercredi dernier dans la capitale française. La primature (Hôtel du Premier ministre) confirme l’information dans un communiqué de presse diffusé jeudi, rapporte radiookapi.net..."
Compatriotiquement!
ndonzwau
Re: LES CINQ CHANTIERS DE LA RDC
Il y avait longtemps que le Congo n'avait pas une si bonne nouvelle !
Bravo au Gouvernement et toute l'équipe qui a travaillé autour des négociations
avec Bretton Woods et surtout à tout l'Etat qui avait enfin compris que le fameux
contrat chinois n'était pas l'alpha et l'oméga de notre salut !
"RDCongo : le FMI ouvre la voie à une remise de dette
de 9 milliards de dollars
° http://www.jeuneafrique.com/Article/DEPAFP20091211T232618Z/-FMI-RDC-dette-PPTE-RDCongo-le-FMI-ouvre-la-voie-a-une-remise-de-dette-de-9-milliards-de-dollars.html
La dette publique extérieure de la RDC s'élève actuellement à 13,1 milliards de dollars
Le Fonds monétaire international (FMI) a annoncé vendredi avoir accordé à la République démocratique du Congo (RDC) un prêt de 551,45 millions de dollars sur trois ans permettant au pays d'espérer une remise de dette de 9 milliards de dollars d'ici à la mi-2010...".
Compatriotiquement!
Bravo au Gouvernement et toute l'équipe qui a travaillé autour des négociations
avec Bretton Woods et surtout à tout l'Etat qui avait enfin compris que le fameux
contrat chinois n'était pas l'alpha et l'oméga de notre salut !
"RDCongo : le FMI ouvre la voie à une remise de dette
de 9 milliards de dollars
° http://www.jeuneafrique.com/Article/DEPAFP20091211T232618Z/-FMI-RDC-dette-PPTE-RDCongo-le-FMI-ouvre-la-voie-a-une-remise-de-dette-de-9-milliards-de-dollars.html
La dette publique extérieure de la RDC s'élève actuellement à 13,1 milliards de dollars
Le Fonds monétaire international (FMI) a annoncé vendredi avoir accordé à la République démocratique du Congo (RDC) un prêt de 551,45 millions de dollars sur trois ans permettant au pays d'espérer une remise de dette de 9 milliards de dollars d'ici à la mi-2010...".
Compatriotiquement!
ndonzwau
Re: LES CINQ CHANTIERS DE LA RDC
5 CHANTIER..ET "PRÊT DE 600 MILLIONS DE DOLLARS DE LA PART DU FMI
Comment "concilier" les deux faits: un programme politik que devait financer la RDC directement á travers un contrat avec la Chine..et cette "dette" qui augmente..car le mot "prêt" signifie tout simplement DETTE
Dans le discours á la Nation, le Président de la RDC a tout simplement "oublié" d´informer les électeurs congolais cette histoire de la "dette" qui augmente explicitement et la position de la Chine qui n´a toujours pas eu les mines du contrat ..
Comment concilier..l´annulation de la dette avec le "prêt" de 600 millions qui devrait certainement augmenter la dette d´un milliard ou plus s´il faut se réferer aux deux interventions du FMI pendant l´an 2009..á cause de la "crise financière" ..
"BONNE NOUVELLE..ET EXIGEANCES"
Quand le Canada..et les USA retardaient la signature de cet accord, les congolais avaient oubliés une chose capitale: la bonne gouvernance..
En effet, Joseph a tout simplement depensé la première intervention du FMI du début de l´année en organisant un sommet de la SADC..alors que l´argent apporté par le FMI devait servir á "relancer" la production du pays..
Ainsi, nous avons un gouvernement capable de faire la "fête" avec l´argent de la dette au lieu de presenter un certain sens de responsabilité á travers un plan de relance économique comme on peut le voir dans presque tous les pays frappés par la crise financière
..ET LES "50 ANS"..REPETITA...
Si Joseph n´a pas hésité á financer un sommet de la SADC avec des millions qui devaient apporter plus de travail aux électeurs congolais, maintenant on annonce 600 millions qui risquent de financer une autre fête..
C´est vrai qu´au Congo, même l´opposition ne pose jamais les bonnes questions..
Mais comment la RDC compte-t-elle faire une grande fête pour les 50 ans d´independance..sans que le gouvernement puisse expliquer aux gens d´où viendra l´argent et combien va coûter la "fête"
Bonne nouvelle et feliciation aux membres du gouvernement ne soyons pas si pressés de "feliciter" ceux qui gerent la RDC sans se soucier de présenter une "bonne gouvernance" ni surtout d´apporter des explications sur la gestion de l argent qu´ils recoivent
Comment "concilier" les deux faits: un programme politik que devait financer la RDC directement á travers un contrat avec la Chine..et cette "dette" qui augmente..car le mot "prêt" signifie tout simplement DETTE
Dans le discours á la Nation, le Président de la RDC a tout simplement "oublié" d´informer les électeurs congolais cette histoire de la "dette" qui augmente explicitement et la position de la Chine qui n´a toujours pas eu les mines du contrat ..
Comment concilier..l´annulation de la dette avec le "prêt" de 600 millions qui devrait certainement augmenter la dette d´un milliard ou plus s´il faut se réferer aux deux interventions du FMI pendant l´an 2009..á cause de la "crise financière" ..
"BONNE NOUVELLE..ET EXIGEANCES"
Quand le Canada..et les USA retardaient la signature de cet accord, les congolais avaient oubliés une chose capitale: la bonne gouvernance..
En effet, Joseph a tout simplement depensé la première intervention du FMI du début de l´année en organisant un sommet de la SADC..alors que l´argent apporté par le FMI devait servir á "relancer" la production du pays..
Ainsi, nous avons un gouvernement capable de faire la "fête" avec l´argent de la dette au lieu de presenter un certain sens de responsabilité á travers un plan de relance économique comme on peut le voir dans presque tous les pays frappés par la crise financière
..ET LES "50 ANS"..REPETITA...
Si Joseph n´a pas hésité á financer un sommet de la SADC avec des millions qui devaient apporter plus de travail aux électeurs congolais, maintenant on annonce 600 millions qui risquent de financer une autre fête..
C´est vrai qu´au Congo, même l´opposition ne pose jamais les bonnes questions..
Mais comment la RDC compte-t-elle faire une grande fête pour les 50 ans d´independance..sans que le gouvernement puisse expliquer aux gens d´où viendra l´argent et combien va coûter la "fête"
Bonne nouvelle et feliciation aux membres du gouvernement ne soyons pas si pressés de "feliciter" ceux qui gerent la RDC sans se soucier de présenter une "bonne gouvernance" ni surtout d´apporter des explications sur la gestion de l argent qu´ils recoivent
GHOST
Re: LES CINQ CHANTIERS DE LA RDC
"Le FMI tient sa promesse
° http://www.jeuneafrique.com/Article/ARTJAWEB20091213095316/-Chine-RD-Congo-FMI-Joseph-Kabila-Le-FMI-tient-sa-promesse.html
L'accord intervenu le 11 décembre entre la RD Congo et le FMI ouvre la voie à la réduction progressive de l'immense dette congolaise. Retour sur une mésentente de deux ans entre le pays de Joseph Kabila et son principal bailleur international.
Le bras de fer entre la RD Congo et le Fonds monétaire international (FMI) a nettement perdu de son intensité. L’institution a débloqué, le 11 décembre, 551, 4 millions de dollars au titre de la Facilité pour la réduction de la pauvreté et pour la croissance (FRPC) et 72, 6 millions de dollars dans le cadre de l’Initiative en faveur des pays pauvres très endettés (PPTE).
Dette monstrueuse
En ligne de mire, désormais: une annulation progressive de la monstrueuse dette extérieure congolaise estimée à 13,1 milliards de dollars, soit 93 % du PIB, 150 % des exportations et 502 % des recettes publiques !
Les discussions étaient engagées depuis 2007 mais un accord intervenu avec la Chine, annoncé en 2008, avait singulièrement agacé le Fonds qui dénonçait un réendettement du pays. Le contrat sino-congolais prévoyait en effet l’octroi par Pékin d’un prêt d’environ 9 milliards de dollars à la RD Congo : six milliards pour financer, en deux phases, la réalisation d’infrastructures et trois milliards pour relancer le secteur minier. « On ne peut effacer une ardoise et permettre à Kinshasa d’emprunter ailleurs. Et qui plus est, dans des conditions floues », s'indignait un fonctionnaire international.
Des ambitions revues à la baisse
Il aura fallu plusieurs missions du FMI et une visite du directeur du FMI en personne, Dominique Strauss-Kahn, en mai dernier, pour parvenir à de meilleurs sentiments mutuels. Les autorités congolaises ont revu à la baisse leurs ambitions avec l’Empire du Milieu puisque l’enveloppe globale a été ramenée à 6 milliards de dollars. Et les Chinois ont accepté une levée de la garantie de l’Etat congolais sur cet emprunt. Le FMI n’avait donc plus d’arguments pour refuser cette aide."
" ...« On ne peut effacer une ardoise et permettre à Kinshasa d’emprunter ailleurs. Et qui plus est, dans des conditions floues »..."
"...Et les Chinois ont accepté une levée de la garantie de l’Etat congolais sur cet emprunt..."
Le pouvoir et ses adorateurs aveugles même ici se souviennent-ils que lors de la discussion
sur le fameux contrat chinois maints pariotes lucides dont dans l'opposition Kiakwama et d'autres,
et ici sur le forum dont moi avions dénoncé la dangérosité de cette clause diabolique de la garantie
déguisée mais bien réelle par l'Etat de l'emprunt !
Quelques mois plus tard on y est revenu et accepté de lever cette garantie : des mois de retatds
inutiles; ainsi fonctionne ce pouvoir par essais et erreurs et par procuration à des étrangers alors
qu'il dispose en son sol bien de nationaux prêts à l'aider à mieux gérer le pays si il les associait
dans le cadre d'une conduite davantage démocratique !
On peut penser tout le bien de notre coopération avec les Chinois, n'empêche que point de bien
sans un bon contrat, fallait-il attendre que les institutions de Bretton Woods viennent nous l'apprendre ?
Dommage !
Compatriotiquement!
PS
"Accord FMI-RDC : le plus dur est à venir
° http://www.lepotentiel.com/afficher_article.php?id_article=90000&id_edition=4860
La RDC vient de renouer formellement avec le FMI. Elle peut exécuter jusqu’en 2012, sous couverture du FMI, son second programme économique du gouvernement (PEG 2). Mais, le nouvel accord formel dûment approuvé vendredi 11 décembre 2009 par le Conseil d’administration du FMI ne résout pas tout. Il n’est qu’une étape qui, à terme, devait amener à l’atteinte du point d’achèvement de l’initiative PPTE. La route est donc parsemée d’embûches. Car, pour prétendre à un allégement d’environ 90% de sa dette au premier semestre 2010, la RDC doit demeurer dans la voie tracée dans le programme. Le PEG 2 est donc assorti des contraintes auxquelles Kinshasa doit inévitablement se plier en vue d’en tirer tous les bénéfices. Un véritable « diktat », dirait-on.
En mars 2010, les experts du FMI feront le déplacement de Kinshasa pour la première revue du programme. De ces résultats dépendra la sentence de fin juin pour l’atteinte du point d’achèvement. Autant dire qu’avec le PEG 2, le plus dur est à venir..."
° http://www.lepotentiel.com/afficher_article.php?id_article=90001&id_edition=4860
° http://www.lepotentiel.com/afficher_article.php?id_article=90032&id_edition=4860
° http://www.jeuneafrique.com/Article/ARTJAWEB20091213095316/-Chine-RD-Congo-FMI-Joseph-Kabila-Le-FMI-tient-sa-promesse.html
L'accord intervenu le 11 décembre entre la RD Congo et le FMI ouvre la voie à la réduction progressive de l'immense dette congolaise. Retour sur une mésentente de deux ans entre le pays de Joseph Kabila et son principal bailleur international.
Le bras de fer entre la RD Congo et le Fonds monétaire international (FMI) a nettement perdu de son intensité. L’institution a débloqué, le 11 décembre, 551, 4 millions de dollars au titre de la Facilité pour la réduction de la pauvreté et pour la croissance (FRPC) et 72, 6 millions de dollars dans le cadre de l’Initiative en faveur des pays pauvres très endettés (PPTE).
Dette monstrueuse
En ligne de mire, désormais: une annulation progressive de la monstrueuse dette extérieure congolaise estimée à 13,1 milliards de dollars, soit 93 % du PIB, 150 % des exportations et 502 % des recettes publiques !
Les discussions étaient engagées depuis 2007 mais un accord intervenu avec la Chine, annoncé en 2008, avait singulièrement agacé le Fonds qui dénonçait un réendettement du pays. Le contrat sino-congolais prévoyait en effet l’octroi par Pékin d’un prêt d’environ 9 milliards de dollars à la RD Congo : six milliards pour financer, en deux phases, la réalisation d’infrastructures et trois milliards pour relancer le secteur minier. « On ne peut effacer une ardoise et permettre à Kinshasa d’emprunter ailleurs. Et qui plus est, dans des conditions floues », s'indignait un fonctionnaire international.
Des ambitions revues à la baisse
Il aura fallu plusieurs missions du FMI et une visite du directeur du FMI en personne, Dominique Strauss-Kahn, en mai dernier, pour parvenir à de meilleurs sentiments mutuels. Les autorités congolaises ont revu à la baisse leurs ambitions avec l’Empire du Milieu puisque l’enveloppe globale a été ramenée à 6 milliards de dollars. Et les Chinois ont accepté une levée de la garantie de l’Etat congolais sur cet emprunt. Le FMI n’avait donc plus d’arguments pour refuser cette aide."
" ...« On ne peut effacer une ardoise et permettre à Kinshasa d’emprunter ailleurs. Et qui plus est, dans des conditions floues »..."
"...Et les Chinois ont accepté une levée de la garantie de l’Etat congolais sur cet emprunt..."
Le pouvoir et ses adorateurs aveugles même ici se souviennent-ils que lors de la discussion
sur le fameux contrat chinois maints pariotes lucides dont dans l'opposition Kiakwama et d'autres,
et ici sur le forum dont moi avions dénoncé la dangérosité de cette clause diabolique de la garantie
déguisée mais bien réelle par l'Etat de l'emprunt !
Quelques mois plus tard on y est revenu et accepté de lever cette garantie : des mois de retatds
inutiles; ainsi fonctionne ce pouvoir par essais et erreurs et par procuration à des étrangers alors
qu'il dispose en son sol bien de nationaux prêts à l'aider à mieux gérer le pays si il les associait
dans le cadre d'une conduite davantage démocratique !
On peut penser tout le bien de notre coopération avec les Chinois, n'empêche que point de bien
sans un bon contrat, fallait-il attendre que les institutions de Bretton Woods viennent nous l'apprendre ?
Dommage !
Compatriotiquement!
PS
"Accord FMI-RDC : le plus dur est à venir
° http://www.lepotentiel.com/afficher_article.php?id_article=90000&id_edition=4860
La RDC vient de renouer formellement avec le FMI. Elle peut exécuter jusqu’en 2012, sous couverture du FMI, son second programme économique du gouvernement (PEG 2). Mais, le nouvel accord formel dûment approuvé vendredi 11 décembre 2009 par le Conseil d’administration du FMI ne résout pas tout. Il n’est qu’une étape qui, à terme, devait amener à l’atteinte du point d’achèvement de l’initiative PPTE. La route est donc parsemée d’embûches. Car, pour prétendre à un allégement d’environ 90% de sa dette au premier semestre 2010, la RDC doit demeurer dans la voie tracée dans le programme. Le PEG 2 est donc assorti des contraintes auxquelles Kinshasa doit inévitablement se plier en vue d’en tirer tous les bénéfices. Un véritable « diktat », dirait-on.
En mars 2010, les experts du FMI feront le déplacement de Kinshasa pour la première revue du programme. De ces résultats dépendra la sentence de fin juin pour l’atteinte du point d’achèvement. Autant dire qu’avec le PEG 2, le plus dur est à venir..."
° http://www.lepotentiel.com/afficher_article.php?id_article=90001&id_edition=4860
° http://www.lepotentiel.com/afficher_article.php?id_article=90032&id_edition=4860
ndonzwau
Re: LES CINQ CHANTIERS DE LA RDC
"«Cinq chantiers» : reconstruction ou diversion ?
° http://www.congoindependant.com/article.php?articleid=5221
Le ministre congolais des Infrastructures, travaux publics et reconstruction a lancé vendredi 11 décembre les travaux «de réhabilitation et de modernisation» de boulevards Jason Sendwe et Triomphal. Durée des travaux : 18 mois. Rendez-vous est pris au mois de juillet 2011. Est-il besoin de souligner que l’année 2011 marque la fin de la législature en cours? C’est l’année de toutes les élections.
Directeur général de l’Agence congolaise des grands travaux (ACGT), Roger Busima Katala, a expliqué que les travaux qui démarrent «constituent une réponse du chef de l’Etat (…) aux préoccupations quotidiennes des usagers de la route face aux désagréments récurrents consécutifs aux embouteillages.»
On le sait, les travaux précités seront exécutés par l’entreprise chinoise CREC 8 dans le cadre des très controversés «contrats chinois» conclus entre la Présidence de la République et des entreprises chinoises. Des contrats qui ont fait couler pas mal de salive et d’encre du fait de l’absence de transparence ayant entouré leur conclusion.
Qui est ce Congolais qui oserait cracher sur les infrastructures de base? On ne peut qu’applaudir ce souci apparent de moderniser les grandes voies de communication de la capitale et du reste du pays.
Force est cependant de relever l’improvisation qui entoure la mise en route de ces ouvrages. Comment peut-on expliquer qu’un projet important comme la réfection des boulevards Sendwe et Triomphal intervienne à la fin d’un exercice budgétaire? D’où proviendra le financement? Ces dépenses ont-elles été prévues dans le Budget 2010?............"
Compatriotiquement!
° http://www.congoindependant.com/article.php?articleid=5221
Le ministre congolais des Infrastructures, travaux publics et reconstruction a lancé vendredi 11 décembre les travaux «de réhabilitation et de modernisation» de boulevards Jason Sendwe et Triomphal. Durée des travaux : 18 mois. Rendez-vous est pris au mois de juillet 2011. Est-il besoin de souligner que l’année 2011 marque la fin de la législature en cours? C’est l’année de toutes les élections.
Directeur général de l’Agence congolaise des grands travaux (ACGT), Roger Busima Katala, a expliqué que les travaux qui démarrent «constituent une réponse du chef de l’Etat (…) aux préoccupations quotidiennes des usagers de la route face aux désagréments récurrents consécutifs aux embouteillages.»
On le sait, les travaux précités seront exécutés par l’entreprise chinoise CREC 8 dans le cadre des très controversés «contrats chinois» conclus entre la Présidence de la République et des entreprises chinoises. Des contrats qui ont fait couler pas mal de salive et d’encre du fait de l’absence de transparence ayant entouré leur conclusion.
Qui est ce Congolais qui oserait cracher sur les infrastructures de base? On ne peut qu’applaudir ce souci apparent de moderniser les grandes voies de communication de la capitale et du reste du pays.
Force est cependant de relever l’improvisation qui entoure la mise en route de ces ouvrages. Comment peut-on expliquer qu’un projet important comme la réfection des boulevards Sendwe et Triomphal intervienne à la fin d’un exercice budgétaire? D’où proviendra le financement? Ces dépenses ont-elles été prévues dans le Budget 2010?............"
Compatriotiquement!
ndonzwau
Re: LES CINQ CHANTIERS DE LA RDC
"RDC : Joseph Kabila,
le « service après-vente » laisserait à désirer
° http://www.afriquechos.ch/spip.php?article4460
Joseph Kabila, entouré de quelques-uns de ses collaborateurs (photo d’archives).Dans notre dernier « Franc Jeu » intitulé « RDC : Pas mal le petit Joseph », nous avions relevé un bilan à mi-mandat encourageant de Joseph Kabila. Dans le lot des réussites « mesurables, quantifiables et donc vérifiables », nous avions relevé notamment la réhabilitation de la Route nationale 4 Kisangani-Beni dont l’impact socio-économique est palpable. Un de nos lecteurs a réagi à cet article en nous faisant remarquer la dégradation (déjà) galopante de cette route et sa gestion à multiples têtes..."
Compatriotiquement!
le « service après-vente » laisserait à désirer
° http://www.afriquechos.ch/spip.php?article4460
Joseph Kabila, entouré de quelques-uns de ses collaborateurs (photo d’archives).Dans notre dernier « Franc Jeu » intitulé « RDC : Pas mal le petit Joseph », nous avions relevé un bilan à mi-mandat encourageant de Joseph Kabila. Dans le lot des réussites « mesurables, quantifiables et donc vérifiables », nous avions relevé notamment la réhabilitation de la Route nationale 4 Kisangani-Beni dont l’impact socio-économique est palpable. Un de nos lecteurs a réagi à cet article en nous faisant remarquer la dégradation (déjà) galopante de cette route et sa gestion à multiples têtes..."
Compatriotiquement!
ndonzwau
Re: LES CINQ CHANTIERS DE LA RDC
"Premier couac sur le PEG 2 :
le gouvernement calme le jeu
° http://www.lepotentiel.com/afficher_article.php?id_article=90851&id_edition=4877
En l’absence d’un budget de l’Etat pour l’exercice 2010, le gouvernement a décidé d’enclencher le mécanisme exceptionnel de gestion des finances publiques par voie des crédits provisoires. Tout doit se faire à la session extraordinaire du 15 janvier au 15 février 2010. Or, en mars 2010, la RDC a rendez-vous avec les services du FMI pour la première revue du nouveau programme économique du gouvernement (PEG 2). L’étape est cruciale et déterminante dans l’atteinte au premier semestre de la même année du point d’achèvement de l’initiative PPTE. Au ministère du Budget, l’on tente de calmer le jeu. Une note du ministre du Budget décrit les prochaines étapes pour éviter que le pays ne se retrouve dans un vide budgétaire..."
Compatriotiquement!
le gouvernement calme le jeu
° http://www.lepotentiel.com/afficher_article.php?id_article=90851&id_edition=4877
En l’absence d’un budget de l’Etat pour l’exercice 2010, le gouvernement a décidé d’enclencher le mécanisme exceptionnel de gestion des finances publiques par voie des crédits provisoires. Tout doit se faire à la session extraordinaire du 15 janvier au 15 février 2010. Or, en mars 2010, la RDC a rendez-vous avec les services du FMI pour la première revue du nouveau programme économique du gouvernement (PEG 2). L’étape est cruciale et déterminante dans l’atteinte au premier semestre de la même année du point d’achèvement de l’initiative PPTE. Au ministère du Budget, l’on tente de calmer le jeu. Une note du ministre du Budget décrit les prochaines étapes pour éviter que le pays ne se retrouve dans un vide budgétaire..."
Compatriotiquement!
ndonzwau
Re: LES CINQ CHANTIERS DE LA RDC
*CNMM a écrit:
Emaxon-Miba : le dossier qui pourrait faire des émules à l’Assemblée nationale
Kinshasa | Economie | Politique et Citoyen | Vendredi 15 Janvier 2010 à 12:29:42
Le dossier Emaxon-Miba devra retenir l’attention de l’Assemblée nationale au cours de sa session extraordinaire qui s’ouvre ce vendredi. Etant donné que le gouvernement congolais doit libérer 25 millions de dollars en faveur d’Emaxon dont le contrat aux contours flous avec la Miba a été pourtant résilié en 2008. Le député Bahati Lukwebo souhaite que le rapport de la mission de contrôle diligentée à cet effet, soit au centre du débat lors de cette session extraordinaire, rapporte radiookapi.net
ttp://www.radiookapi.net/index.php?i=53&l=0&c=0&a=26104&da=&hi=0&of=2&s=&m=2&k=0&r=all&sc=0&id_a=0&ar=0&br=qst
*CNMM
*CNMM
Re: LES CINQ CHANTIERS DE LA RDC
match eza dejà biennnnnnnnnnnnnn pe woooooooooooooooo mbala moko oyo balobaka baloba le congo tjrs liboso
Invité- Invité
Re: LES CINQ CHANTIERS DE LA RDC
Yo osi olie ba francs Congolais yango wana o changer côté.Bluedann a écrit:match eza dejà biennnnnnnnnnnnnn pe woooooooooooooooo mbala moko oyo balobaka baloba le congo tjrs liboso
Kiadi kibeni beno bantekolo ya Kasavubu.
Flick de Kolwezi
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