LES CINQ CHANTIERS DE LA RDC
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TO BOYI : LOKUTA, HYPOCRISIE, JALOUSIE, MOTENA LIKUNDU !
MBUJI-MAYI : 100 nouveaux Panneaux de Signalisation avec l'appui de la MONUC
Kasaï Oriental | Transport | Dimanche 17 Janvier 2010 à 10:49:38
"L’Unité de police de la Mission des Nations unies en RDC (Monuc) a mis à la disposition de la mairie de Mbuji-Mayi des moyens pour l’implantation de 100 panneaux de signalisation routière. Ils sont à placer à des endroits qui enregistrent plus d’accidents sur la ville. Une équipe d’experts a amorcé, depuis mercredi, le recensement des points d’implantation de ces panneaux, quasi inexistants sur la ville, a constaté radiookapi.net..."
http://www.radiookapi.net/index.php?i=53&l=0&c=0&a=26119&da=&hi=0&of=3&s=&m=2&k=0&r=all&sc=0&id_a=0&ar=0&br=qst
Kasaï Oriental | Transport | Dimanche 17 Janvier 2010 à 10:49:38
"L’Unité de police de la Mission des Nations unies en RDC (Monuc) a mis à la disposition de la mairie de Mbuji-Mayi des moyens pour l’implantation de 100 panneaux de signalisation routière. Ils sont à placer à des endroits qui enregistrent plus d’accidents sur la ville. Une équipe d’experts a amorcé, depuis mercredi, le recensement des points d’implantation de ces panneaux, quasi inexistants sur la ville, a constaté radiookapi.net..."
http://www.radiookapi.net/index.php?i=53&l=0&c=0&a=26119&da=&hi=0&of=3&s=&m=2&k=0&r=all&sc=0&id_a=0&ar=0&br=qst
*CNMM
Re: LES CINQ CHANTIERS DE LA RDC
"Assemblée nationale :
les députés rejettent les crédits provisoires
° http://www.radiookapi.net/index.php?i=53&l=0&c=0&a=26140&da=&hi=0&of=4&s=&m=2&k=0&r=all&sc=0&id_a=0&ar=0&br=qst
Le projet de loi portant ouverture des crédits provisoires proposé par le gouvernement a été rejeté, mardi, par la plénière de l’Assemblée nationale, à la suite d'une motion incidentielle d'un député de l’opposition. Ce dernier a soutenu que l’examen d'un tel projet de loi serait une violation de la Constitution, rapporte radiookapi.net..."
"La RDC plongée dans un « vide budgétaire »
Budget 2010 : les recettes additionnelles opposent
le Parlement au gouvernement"
° http://www.lepotentiel.com/afficher_article.php?id_article=91202&id_edition=4885
Compatriotiquement!
les députés rejettent les crédits provisoires
° http://www.radiookapi.net/index.php?i=53&l=0&c=0&a=26140&da=&hi=0&of=4&s=&m=2&k=0&r=all&sc=0&id_a=0&ar=0&br=qst
Le projet de loi portant ouverture des crédits provisoires proposé par le gouvernement a été rejeté, mardi, par la plénière de l’Assemblée nationale, à la suite d'une motion incidentielle d'un député de l’opposition. Ce dernier a soutenu que l’examen d'un tel projet de loi serait une violation de la Constitution, rapporte radiookapi.net..."
"La RDC plongée dans un « vide budgétaire »
Budget 2010 : les recettes additionnelles opposent
le Parlement au gouvernement"
° http://www.lepotentiel.com/afficher_article.php?id_article=91202&id_edition=4885
Compatriotiquement!
ndonzwau
Re: LES CINQ CHANTIERS DE LA RDC
C’est un tronçon de 250 mètres de longueur sur l’avenue Maniema, en plein centre ville de la capitale du cuivre. Jeudi dernier, le président de la République, Joseph Kabila en séjour à Lubumbashi, a été convié à inaugurer la fin des travaux de réhabilitation du tronçon. Dans les heures qui ont suivi, les passants n’en croyaient pas leurs yeux, le travail s’est avéré bâclé, rapporte radiookapi.net.
Kokamwa quand je lis certains se vanter des 5 chantiers.......... et depuis je ne vois aucune autoroute mais je lis souvent que les routes construites ne tiennent pas et 250 mètres à inaugurer quelque chose m'échappe.
Kokamwa quand je lis certains se vanter des 5 chantiers.......... et depuis je ne vois aucune autoroute mais je lis souvent que les routes construites ne tiennent pas et 250 mètres à inaugurer quelque chose m'échappe.
mongo elombe
Re: LES CINQ CHANTIERS DE LA RDC
"Lubumbashi : inauguré jeudi par le chef de l’Etat,
un tronçon d’une route endommagé juste
au premier passage d’un véhicule
° http://www.radiookapi.net/index.php?i=53&l=0&c=0&a=26189&da=&hi=0&of=0&s=&m=2&k=0&r=all&sc=0&id_a=0&ar=0&br=qst
C’est un tronçon de 250 mètres de longueur sur l’avenue Maniema, en plein centre ville de la capitale du cuivre. Jeudi dernier, le président de la République, Joseph Kabila en séjour à Lubumbashi, a été convié à inaugurer la fin des travaux de réhabilitation du tronçon. Dans les heures qui ont suivi, les passants n’en croyaient pas leurs yeux, le travail s’est avéré bâclé, rapporte radiookapi.net..."
"RDC : budget 2 010, le gouvernement avait trompé
le chef de l’Etat, selon le sénateur Lokondo
° http://www.radiookapi.net/index.php?i=53&l=0&c=0&a=26183&da=&hi=0&of=2&s=&m=2&k=0&r=all&sc=0&id_a=0&ar=0&br=qst
La chambre haute du Parlement a voté, samdi en plénière le projet du budget 2 010 que le chef de l’Etat avait soumis à une seconde lecture aux législateurs congolais. Les sénateurs ont exprimé leur satisfaction et l’un d’eux, Henri Thomas Lokondo, ne s’est pas privé de charger le gouvernement qui, d’après lui, a trompé le président de la République et le peuple congolais, rapporte radiookapi.net..."
"Budget 2010 : les députés renoncent aux augmentations
de leurs émoluments au profit de l’armée et de la police
° http://www.radiookapi.net/index.php?i=53&l=0&c=0&a=26164&da=&hi=0&of=24&s=&m=2&k=0&r=all&sc=0&id_a=0&ar=0&br=qst
"Conséquence de la relecture du budget 2010
Gouvernement-Parlement : méfiance totale "
° http://www.lepotentiel.com//afficher_article_archive.php?id_article=91378&id_edition=4888&yearID=2010&monthID=01&dayID=23
° http://www.lepotentiel.com//afficher_article_archive.php?id_article=91353&id_edition=4888&yearID=2010&monthID=01&dayID=23
"Parlement
Budget 2010 : réquisitoire contre le gouvernement
° http://www.lepotentiel.com/afficher_article.php?id_article=91416&id_edition=4889
Jamais les institutions nationales n’avaient atteint un niveau aussi pertinent de querelle. Le ping-pong indigeste que l’on assiste autour du Budget 2010 entre le gouvernement et le Parlement risque d’être lourd en conséquence. Il s’agit d’un jeu extrêmement dangereux aux incidences incalculables. Il faut agir vite et bien pour arrêter la dégradation de la situation..."
° http://www.radiookapi.net/index.php?i=53&l=0&c=0&a=26169&da=&hi=0&of=19&s=&m=2&k=0&r=all&sc=0&id_a=0&ar=0&br=qst
Compatriotiquement!
un tronçon d’une route endommagé juste
au premier passage d’un véhicule
° http://www.radiookapi.net/index.php?i=53&l=0&c=0&a=26189&da=&hi=0&of=0&s=&m=2&k=0&r=all&sc=0&id_a=0&ar=0&br=qst
C’est un tronçon de 250 mètres de longueur sur l’avenue Maniema, en plein centre ville de la capitale du cuivre. Jeudi dernier, le président de la République, Joseph Kabila en séjour à Lubumbashi, a été convié à inaugurer la fin des travaux de réhabilitation du tronçon. Dans les heures qui ont suivi, les passants n’en croyaient pas leurs yeux, le travail s’est avéré bâclé, rapporte radiookapi.net..."
"RDC : budget 2 010, le gouvernement avait trompé
le chef de l’Etat, selon le sénateur Lokondo
° http://www.radiookapi.net/index.php?i=53&l=0&c=0&a=26183&da=&hi=0&of=2&s=&m=2&k=0&r=all&sc=0&id_a=0&ar=0&br=qst
La chambre haute du Parlement a voté, samdi en plénière le projet du budget 2 010 que le chef de l’Etat avait soumis à une seconde lecture aux législateurs congolais. Les sénateurs ont exprimé leur satisfaction et l’un d’eux, Henri Thomas Lokondo, ne s’est pas privé de charger le gouvernement qui, d’après lui, a trompé le président de la République et le peuple congolais, rapporte radiookapi.net..."
"Budget 2010 : les députés renoncent aux augmentations
de leurs émoluments au profit de l’armée et de la police
° http://www.radiookapi.net/index.php?i=53&l=0&c=0&a=26164&da=&hi=0&of=24&s=&m=2&k=0&r=all&sc=0&id_a=0&ar=0&br=qst
"Conséquence de la relecture du budget 2010
Gouvernement-Parlement : méfiance totale "
° http://www.lepotentiel.com//afficher_article_archive.php?id_article=91378&id_edition=4888&yearID=2010&monthID=01&dayID=23
° http://www.lepotentiel.com//afficher_article_archive.php?id_article=91353&id_edition=4888&yearID=2010&monthID=01&dayID=23
"Parlement
Budget 2010 : réquisitoire contre le gouvernement
° http://www.lepotentiel.com/afficher_article.php?id_article=91416&id_edition=4889
Jamais les institutions nationales n’avaient atteint un niveau aussi pertinent de querelle. Le ping-pong indigeste que l’on assiste autour du Budget 2010 entre le gouvernement et le Parlement risque d’être lourd en conséquence. Il s’agit d’un jeu extrêmement dangereux aux incidences incalculables. Il faut agir vite et bien pour arrêter la dégradation de la situation..."
° http://www.radiookapi.net/index.php?i=53&l=0&c=0&a=26169&da=&hi=0&of=19&s=&m=2&k=0&r=all&sc=0&id_a=0&ar=0&br=qst
Compatriotiquement!
ndonzwau
Re: LES CINQ CHANTIERS DE LA RDC
PS
On en rirait, et pourquoi pas d'ailleurs : voici d'ailleurs en complément de mon lien
ci-dessus, la confirmation risible que nos cinq sentiers, on n'a pas fini de
les recommencer avant de les débuter et de les achever... Kiekiekieeee
Sauf les plus jeunes ou les tout optimistes et/ou les plus naïfs, nous savons tous
que les chantiers ne sont pas nouveaux dans notre cher pays mais non seulement
il faut les entreprendre lorsque nous les avons décidés mais il faut les mener à bout
et surtout il faut bien les accomplir et veiller à les entretenir...
Notre route était une réussite que notre président aux cinq chantiers devait célebrer !
Aussitôt fêtée, aussitôt elle nous a prouvé que nos dollars auraient trouvé meilleur
investissement...
A qui la faute ? A la "Haute Hiérachie" insigne initiatrice et "donnateur divin"
de notre bonheur infrastructural ou à ceux à qui elle a cédé les yeux fermés et
bien de dividendes communs avec la réalisation ? A chacun d'en juger !
Rions donc pendant que nous en avons encore le temps :
"Pavés rates
° http://www.lepotentiel.com/afficher_article.php?id_article=91457&id_edition=4890
Invité, le 21 janvier 2010, à inaugurer 250 mètres d’une avenue prétendument réhabilitée à Lubumbashi, le président de la République a découvert non sans colère la bêtise des ingénieurs de l’Office des voiries et drainage. Suivez plutôt le reportage. En différé.
Après le tralala qui entoure d’ordinaire les cérémonies d’inauguration de tel ou tel « chantier », le chef de l’Etat prend généralement congé de ses hôtes. C’est ce qui s’est passé ce jeudi là.
Dans les heures qui suivent, un premier véhicule tente de tester le sérieux des travaux du chantier. Plouc ! Plouc ! Les pavés craquent, cèdent. Plouc ! Les uns s’enfoncent dans la terre. Plouc ! Les autres se fracassent et s’éparpillent dans la nature. Les passants n’en croient pas leurs yeux. Rires, sourires et youyous de tout à l’heure capitulent dans l’humiliation pour laisser la place à la colère. Une colère sans visage.
La puissante radio trottoir reprend du service. De partout fusent des ragots, des commentaires aigres, des commérages distillant du venin. Dans les sphères officielles, on s’agite. On s’émeut. On voit la mort à sa porte. On s’arrache les cheveux. Mais depuis que les élites politiques se tondent, leur crâne luit comme une coquille d’escargot.
Comment sauver les meubles après un canular ? Oui, l’inauguration de 250 mètres de l’avenue Maniema est un canular. Une plaisanterie de mauvais goût. Au Moyen-âge, on décapiterait les plaisantins. Ils seraient accusés d’avoir attiré le chef dans un guet-apens.
Mais, à Lubumbashi, on peut encore se ressaisir. Des « explications » pleuvent. La plus plausible veut que l’opinion publique accepte sa version. D’après elle, l’ouvrage a été réalisé « au moyen d’une nouvelle technique, consistant dans la pose sur la voie, non pas du macadam, mais des pavés ». Vous savez quoi ? Comme le pays respire l’air des « Cinq chantiers », toutes les personnalités, nationales ou locales, de passage à Lubumbashi avaient été courtoisement invitées, avant le chef, à admirer le « chantier » de Maniema. Quitte à en faire une insistante publicité auprès de qui de droit.
La campagne « de sensibilisation» terminée, il était normal d’inviter le chef de l’Etat à inaugurer un bout de ses « Cinq chantiers ». Tout avait été prévu. Sauf le coté technique de l’affaire. Voilà, tout à coup patatras ! La chaussée en pavés s’est désagrégée au passage d’un camion.
C’est raté. Les Lushois en veulent à la route en pavés de l’OVD. Elle a ridiculisé le chef de l’Etat. Mais pompé de l’argent.
Droits de reproduction et de diffusion réservés Le Potentiel 2005
Usage strictement personnel.
L'utilisateur du site reconnaît avoir pris connaissance de la licence de droits d'usage, en accepter et en respecter les dispositions."
Compatriotiquement!
On en rirait, et pourquoi pas d'ailleurs : voici d'ailleurs en complément de mon lien
ci-dessus, la confirmation risible que nos cinq sentiers, on n'a pas fini de
les recommencer avant de les débuter et de les achever... Kiekiekieeee
Sauf les plus jeunes ou les tout optimistes et/ou les plus naïfs, nous savons tous
que les chantiers ne sont pas nouveaux dans notre cher pays mais non seulement
il faut les entreprendre lorsque nous les avons décidés mais il faut les mener à bout
et surtout il faut bien les accomplir et veiller à les entretenir...
Notre route était une réussite que notre président aux cinq chantiers devait célebrer !
Aussitôt fêtée, aussitôt elle nous a prouvé que nos dollars auraient trouvé meilleur
investissement...
A qui la faute ? A la "Haute Hiérachie" insigne initiatrice et "donnateur divin"
de notre bonheur infrastructural ou à ceux à qui elle a cédé les yeux fermés et
bien de dividendes communs avec la réalisation ? A chacun d'en juger !
Rions donc pendant que nous en avons encore le temps :
"Pavés rates
° http://www.lepotentiel.com/afficher_article.php?id_article=91457&id_edition=4890
Invité, le 21 janvier 2010, à inaugurer 250 mètres d’une avenue prétendument réhabilitée à Lubumbashi, le président de la République a découvert non sans colère la bêtise des ingénieurs de l’Office des voiries et drainage. Suivez plutôt le reportage. En différé.
Après le tralala qui entoure d’ordinaire les cérémonies d’inauguration de tel ou tel « chantier », le chef de l’Etat prend généralement congé de ses hôtes. C’est ce qui s’est passé ce jeudi là.
Dans les heures qui suivent, un premier véhicule tente de tester le sérieux des travaux du chantier. Plouc ! Plouc ! Les pavés craquent, cèdent. Plouc ! Les uns s’enfoncent dans la terre. Plouc ! Les autres se fracassent et s’éparpillent dans la nature. Les passants n’en croient pas leurs yeux. Rires, sourires et youyous de tout à l’heure capitulent dans l’humiliation pour laisser la place à la colère. Une colère sans visage.
La puissante radio trottoir reprend du service. De partout fusent des ragots, des commentaires aigres, des commérages distillant du venin. Dans les sphères officielles, on s’agite. On s’émeut. On voit la mort à sa porte. On s’arrache les cheveux. Mais depuis que les élites politiques se tondent, leur crâne luit comme une coquille d’escargot.
Comment sauver les meubles après un canular ? Oui, l’inauguration de 250 mètres de l’avenue Maniema est un canular. Une plaisanterie de mauvais goût. Au Moyen-âge, on décapiterait les plaisantins. Ils seraient accusés d’avoir attiré le chef dans un guet-apens.
Mais, à Lubumbashi, on peut encore se ressaisir. Des « explications » pleuvent. La plus plausible veut que l’opinion publique accepte sa version. D’après elle, l’ouvrage a été réalisé « au moyen d’une nouvelle technique, consistant dans la pose sur la voie, non pas du macadam, mais des pavés ». Vous savez quoi ? Comme le pays respire l’air des « Cinq chantiers », toutes les personnalités, nationales ou locales, de passage à Lubumbashi avaient été courtoisement invitées, avant le chef, à admirer le « chantier » de Maniema. Quitte à en faire une insistante publicité auprès de qui de droit.
La campagne « de sensibilisation» terminée, il était normal d’inviter le chef de l’Etat à inaugurer un bout de ses « Cinq chantiers ». Tout avait été prévu. Sauf le coté technique de l’affaire. Voilà, tout à coup patatras ! La chaussée en pavés s’est désagrégée au passage d’un camion.
C’est raté. Les Lushois en veulent à la route en pavés de l’OVD. Elle a ridiculisé le chef de l’Etat. Mais pompé de l’argent.
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ndonzwau
Re: LES CINQ CHANTIERS DE LA RDC
mongo elombe a écrit:C’est un tronçon de 250 mètres de longueur sur l’avenue Maniema, en plein centre ville de la capitale du cuivre. Jeudi dernier, le président de la République, Joseph Kabila en séjour à Lubumbashi, a été convié à inaugurer la fin des travaux de réhabilitation du tronçon. Dans les heures qui ont suivi, les passants n’en croyaient pas leurs yeux, le travail s’est avéré bâclé, rapporte radiookapi.net.
Kokamwa quand je lis certains se vanter des 5 chantiers.......... et depuis je ne vois aucune autoroute mais je lis souvent que les routes construites ne tiennent pas et 250 mètres à inaugurer quelque chose m'échappe.
C'est une route EXPÉRIMENTALE basées sur des techniques utilisées par des Belges et puis réadapté par un ingénieur congolais .
Normalement il aurais d'abord du faire des testes dans une "zone laboratoire" avant de l'appliquer au chantier.
Toute fois les chinois utilisent une autre méthodes et commencent à conquérir les kinois qui voient un changement sur le terrain.
.
lino
Re: LES CINQ CHANTIERS DE LA RDC
Lino, des routes pavées, il y en ici et trés solide donc soki eloko eza mabe ndima qu'on a fait n'importe quoi pour bouffer l'argent.
Etre Ingénieur n'est pas une garantie de travail bien fait où d'idée exceptionnelle, la preuve..........
Etre Ingénieur n'est pas une garantie de travail bien fait où d'idée exceptionnelle, la preuve..........
mongo elombe
Re: LES CINQ CHANTIERS DE LA RDC
La circulation à Kinshasa est devenue un casse tête pour les automobilistes. En dehors des travaux qui se font sur le boulevard du 30 juin, il faut avoir en tête la carte géographique des trous sur les différentes chaussées de la capitale pour tenter de les éviter, ou plutôt de les choisir. Conséquence: des embouteillages monstres sont toujours visibles sur les grandes artères de la capitale tout au long de la journée.
Certaines entreprises ont gagné des marchés pour la construction et la réhabilitation de plusieurs avenues de la capitale congolaise. Pourtant, la situation sur le terrain est loin de s’améliorer. Si certaines routes tentent de tenir le coup, les autres sont devenues pires qu’avant. Pendant que certaines routes sont en construction, celles où peuvent encore circuler les automobilistes sans trop de peine, se comptent jusque là au bout des doigts. C’est ce qui explique, entre autres, des embouteillages sur les artères de la ville.
Ouest, des caniveaux bouchés
Dans la partie ouest de la capitale, un trou gêne la circulation sur l’avenue Shaumba, non loin de l’ISIPA ; de même que sur l’avenue OUA, devant le bâtiment du HCR. Un peu plus loin, à la hauteur de l’hôtel Diplomate, un trou s’élargit au jour le jour. Non loin de là, l’entrée du quartier GB est presque inexistante : de l’eau stagne dans des trous béants. L’avenue Bangala à Kitambo compte plusieurs trous et les caniveaux sont bourrés de sable non loin du stade Vélodrome. Ces rigoles ne sont plus curées depuis des mois. Au niveau de la jonction entre Bangala et Komoriko, trois trous embêtent la circulation.
Plus à l'ouest, l’avenue du Tourisme, qui va vers Pompage, est actuellement en réhabilitation, mais sa déviation complique la tâche aux automobilistes. L’avenue Mama Yemo au niveau de la DGC connaît encore quelques problèmes à sa sortie sur la route Matadi. La petitesse de celle-ci en allant vers l’UPN et ses différents trous mettent à mal les automobilistes. Par ailleurs, les travaux sur Lalu à Delvaux (Binza) se sont arrêtés, il y a près de deux ans. Vers le petit marché de l’UPN, la construction de la route et des caniveaux à cet endroit traîne. Pendant ce temps, la déviation est parsemée des dénivellations qui ralentissent la circulation. La réhabilitation de l’avenue 24 novembre, qui devrait désengorger UPN, se sont arrêtés brusquement. Et des effets sur la route sont visibles, avec des trous non loin de la prison de Makala et des caniveaux inachevés.
Au centre de Kinshasa, routes secondaires barrées
Les communes de Lingwala, Kinshasa, Kasa Vubu, Bandalungwa, Kalamu, Ngiri Ngiri et Bumbu ne sont pas épargnées. Si la grande partie de la voirie urbaine est en bon état dans la commune de Bandalungwa, d’autres communes cependant n’ont carrément plus des routes praticables. Certaines ne sont accessibles qu'aux piétons, et non aux automobilistes, au risque de se retrouver dans des bourbiers d'où l'on sort difficilement.
Le centre de la commune de Lingwala est en grande partie, lui aussi, inaccessible aux véhicules. Mushi, la grande avenue secondaire qui la traverse, n’est plus praticable. Inutile de parler de voies parallèles. Idem avec la commune voisine, la commune mère de Kinshasa. L’avenue Itaga, qui débouche sur l'avenue Kasa Vubu, vers le marché central, est en mauvais état. Croix-Rouge, Kato, Plateau… ne valent plus rien. L’avenue Kabasele Tshamala, ex-Bokasa, oubliée, compte des trous non loin des croisements avec Kabinda et Kabambare.
Dans la commune de Kasa Vubu, le spectacle est désolant sur Assossa entre le rond-point Kimpwanza et l’avenue Kasa vubu. L’avenue Force publique est paralysée par des grands trous près de la station service , en diagonale du lycée Motema Mpiko. L’avenue Victoire abrite une flaque d’eau à la hauteur de l’Athénée qui porte le même nom, de la victoire, et non loin de là, l'avenue Gambela qui la traverse, n'est qu' moitié réhabilitée.
Les plus plus mal loties de toutes les communes de la capitale, en infrastructures routières, sont certainement Ngiri Ngiri et Bumbu. Toutes les voies d’accès sont détériorées. Les travaux ne continuent plus sur l’avenue Gambela à Bumbu et toutes les eaux de pluie se déversent à Ngiri Ngiri.
A Kalamu, toutes les voies d’entrée au quartier Yolo sont en mauvais état. Un grand trou coupe l’avenue Université non loin de Yolo médical. Sur Kimwenza, la partie comprise entre Bongolo et Kapela est en piteux état avec de nombreux bourbiers pleins d’eau. Un grand trou d’ailleurs la coupe au niveau de l’école Laïque. Par ailleurs, des routes qui font jonction entre Limete en passant par Yolo, Ngiri Ngiri jusqu’à Bandalungwa ainsi que des lignes secondaires à Lingwala et Kinshasa existent, mais toutes sont impraticables. Conséquence, tout le monde se précipite vers le peu de routes restantes, occasionnant ainsi des embouteillages à longueur des journées.
Kinshasa Est, inaccessible
Les grandes artères qui mènent vers les communes de Lemba, Matete, Masina, N’djili, Kinsenso et Kimbaseke offrent également un spectacle désolant. Plusieurs quartiers de ces communes sont inaccessibles par véhicules. A certains endroits, les avenues sont devenues des dépotoirs des immondices. Une situation qui, apparemment, ne semble préoccuper personne. Par ailleurs, plusieurs autres quartiers ont des routes coupées, des caniveaux bouchés et les eaux de pluie se frayent seules le chemin, créant ainsi des ravins.
Il y a deux routes principales pour quitter Gombe en partance vers l’est de la capitale. La première, c'est l’avenue du Flambeau. Un grand trou creusé par des agents de la Regideso (Régie de distribution d'eau) au niveau d'une société brassicole de la place, complique jusqu’à ce jour la circulation. La seconde, c’est la route des Poids lourd. Là, la chaussée n’a plus de goudron devant Sokin, Ex-Bata. Et dans cette partie de la ville, plusieurs quartiers sont difficilement accessibles. A Limete, toutes les voies qui mènent dans le quartier Kingabwa sont difficilement praticables. La 7e rue, réhabilitée récemment, n’est plus que l’ombre d’elle-même, à la hauteur de la place commerciale : boue, flaques d’eaux…
A Lemba, le tronçon compris entre Lemba foire et Terminus en passant par Super est parsemés des trous, des monticules et des ravins. L’unique route qui relie les communes de Matete et Kinseso est difficilement praticable. A N’djili, l’entrée N’djili-Brasserie est coupée par trois "lacs". Seul les gros véhicules peuvent s'y risquer. Le chantier de la route trompe l’œil, entre le quartier I et II, en allant vers la place Sainte Thérèse, s’est brusquement arrêté à moins d’une centaine de mètres, le temps de chercher comment construire le caniveau pour faire une jonction de deux quartiers. Donc, elle ne sert pas à grand-chose. Ainsi, tenter d’aller au-delà des quartier 5 et 6 à N’djili, constitue une gageure. A gauche du boulevard Lumumba, seules les avenues Abattoir et BKTF permettent l’entrée dans la commune de Masina. Les autres n’existent que de nom. La route de Siforco au fin fond de la commune est parsemée des trous.
Ainsi, la voirie urbaine de Kinshasa dans son ensemble est dans une situation qui demande des grands travaux sur l’ensemble de la ville.
Copyright Radio Okapi
Lino, cnmm vive les 5 sentiers, il existe même place akendeke na plateau de bateke nzela teooooo chinois asalelaka ye semblant, j'ai vue la vidéo mais je ne la retrouve plus.
Certaines entreprises ont gagné des marchés pour la construction et la réhabilitation de plusieurs avenues de la capitale congolaise. Pourtant, la situation sur le terrain est loin de s’améliorer. Si certaines routes tentent de tenir le coup, les autres sont devenues pires qu’avant. Pendant que certaines routes sont en construction, celles où peuvent encore circuler les automobilistes sans trop de peine, se comptent jusque là au bout des doigts. C’est ce qui explique, entre autres, des embouteillages sur les artères de la ville.
Ouest, des caniveaux bouchés
Dans la partie ouest de la capitale, un trou gêne la circulation sur l’avenue Shaumba, non loin de l’ISIPA ; de même que sur l’avenue OUA, devant le bâtiment du HCR. Un peu plus loin, à la hauteur de l’hôtel Diplomate, un trou s’élargit au jour le jour. Non loin de là, l’entrée du quartier GB est presque inexistante : de l’eau stagne dans des trous béants. L’avenue Bangala à Kitambo compte plusieurs trous et les caniveaux sont bourrés de sable non loin du stade Vélodrome. Ces rigoles ne sont plus curées depuis des mois. Au niveau de la jonction entre Bangala et Komoriko, trois trous embêtent la circulation.
Plus à l'ouest, l’avenue du Tourisme, qui va vers Pompage, est actuellement en réhabilitation, mais sa déviation complique la tâche aux automobilistes. L’avenue Mama Yemo au niveau de la DGC connaît encore quelques problèmes à sa sortie sur la route Matadi. La petitesse de celle-ci en allant vers l’UPN et ses différents trous mettent à mal les automobilistes. Par ailleurs, les travaux sur Lalu à Delvaux (Binza) se sont arrêtés, il y a près de deux ans. Vers le petit marché de l’UPN, la construction de la route et des caniveaux à cet endroit traîne. Pendant ce temps, la déviation est parsemée des dénivellations qui ralentissent la circulation. La réhabilitation de l’avenue 24 novembre, qui devrait désengorger UPN, se sont arrêtés brusquement. Et des effets sur la route sont visibles, avec des trous non loin de la prison de Makala et des caniveaux inachevés.
Au centre de Kinshasa, routes secondaires barrées
Les communes de Lingwala, Kinshasa, Kasa Vubu, Bandalungwa, Kalamu, Ngiri Ngiri et Bumbu ne sont pas épargnées. Si la grande partie de la voirie urbaine est en bon état dans la commune de Bandalungwa, d’autres communes cependant n’ont carrément plus des routes praticables. Certaines ne sont accessibles qu'aux piétons, et non aux automobilistes, au risque de se retrouver dans des bourbiers d'où l'on sort difficilement.
Le centre de la commune de Lingwala est en grande partie, lui aussi, inaccessible aux véhicules. Mushi, la grande avenue secondaire qui la traverse, n’est plus praticable. Inutile de parler de voies parallèles. Idem avec la commune voisine, la commune mère de Kinshasa. L’avenue Itaga, qui débouche sur l'avenue Kasa Vubu, vers le marché central, est en mauvais état. Croix-Rouge, Kato, Plateau… ne valent plus rien. L’avenue Kabasele Tshamala, ex-Bokasa, oubliée, compte des trous non loin des croisements avec Kabinda et Kabambare.
Dans la commune de Kasa Vubu, le spectacle est désolant sur Assossa entre le rond-point Kimpwanza et l’avenue Kasa vubu. L’avenue Force publique est paralysée par des grands trous près de la station service , en diagonale du lycée Motema Mpiko. L’avenue Victoire abrite une flaque d’eau à la hauteur de l’Athénée qui porte le même nom, de la victoire, et non loin de là, l'avenue Gambela qui la traverse, n'est qu' moitié réhabilitée.
Les plus plus mal loties de toutes les communes de la capitale, en infrastructures routières, sont certainement Ngiri Ngiri et Bumbu. Toutes les voies d’accès sont détériorées. Les travaux ne continuent plus sur l’avenue Gambela à Bumbu et toutes les eaux de pluie se déversent à Ngiri Ngiri.
A Kalamu, toutes les voies d’entrée au quartier Yolo sont en mauvais état. Un grand trou coupe l’avenue Université non loin de Yolo médical. Sur Kimwenza, la partie comprise entre Bongolo et Kapela est en piteux état avec de nombreux bourbiers pleins d’eau. Un grand trou d’ailleurs la coupe au niveau de l’école Laïque. Par ailleurs, des routes qui font jonction entre Limete en passant par Yolo, Ngiri Ngiri jusqu’à Bandalungwa ainsi que des lignes secondaires à Lingwala et Kinshasa existent, mais toutes sont impraticables. Conséquence, tout le monde se précipite vers le peu de routes restantes, occasionnant ainsi des embouteillages à longueur des journées.
Kinshasa Est, inaccessible
Les grandes artères qui mènent vers les communes de Lemba, Matete, Masina, N’djili, Kinsenso et Kimbaseke offrent également un spectacle désolant. Plusieurs quartiers de ces communes sont inaccessibles par véhicules. A certains endroits, les avenues sont devenues des dépotoirs des immondices. Une situation qui, apparemment, ne semble préoccuper personne. Par ailleurs, plusieurs autres quartiers ont des routes coupées, des caniveaux bouchés et les eaux de pluie se frayent seules le chemin, créant ainsi des ravins.
Il y a deux routes principales pour quitter Gombe en partance vers l’est de la capitale. La première, c'est l’avenue du Flambeau. Un grand trou creusé par des agents de la Regideso (Régie de distribution d'eau) au niveau d'une société brassicole de la place, complique jusqu’à ce jour la circulation. La seconde, c’est la route des Poids lourd. Là, la chaussée n’a plus de goudron devant Sokin, Ex-Bata. Et dans cette partie de la ville, plusieurs quartiers sont difficilement accessibles. A Limete, toutes les voies qui mènent dans le quartier Kingabwa sont difficilement praticables. La 7e rue, réhabilitée récemment, n’est plus que l’ombre d’elle-même, à la hauteur de la place commerciale : boue, flaques d’eaux…
A Lemba, le tronçon compris entre Lemba foire et Terminus en passant par Super est parsemés des trous, des monticules et des ravins. L’unique route qui relie les communes de Matete et Kinseso est difficilement praticable. A N’djili, l’entrée N’djili-Brasserie est coupée par trois "lacs". Seul les gros véhicules peuvent s'y risquer. Le chantier de la route trompe l’œil, entre le quartier I et II, en allant vers la place Sainte Thérèse, s’est brusquement arrêté à moins d’une centaine de mètres, le temps de chercher comment construire le caniveau pour faire une jonction de deux quartiers. Donc, elle ne sert pas à grand-chose. Ainsi, tenter d’aller au-delà des quartier 5 et 6 à N’djili, constitue une gageure. A gauche du boulevard Lumumba, seules les avenues Abattoir et BKTF permettent l’entrée dans la commune de Masina. Les autres n’existent que de nom. La route de Siforco au fin fond de la commune est parsemée des trous.
Ainsi, la voirie urbaine de Kinshasa dans son ensemble est dans une situation qui demande des grands travaux sur l’ensemble de la ville.
Copyright Radio Okapi
Lino, cnmm vive les 5 sentiers, il existe même place akendeke na plateau de bateke nzela teooooo chinois asalelaka ye semblant, j'ai vue la vidéo mais je ne la retrouve plus.
mongo elombe
Re: LES CINQ CHANTIERS DE LA RDC
Ainsi, Sonades (Société nationale des services) devait s’occuper de l’éclairage public de 10 avenues, Malta Forrest au moins 6, tandis que Parisi devrait éclairer toute l’avenue Kasa Vubu qui traverse pratiquement 5 communes de la capitale.
Sur près de 130 poteaux installés sur l'avenue des Huileries, au moins 18 ne s’allument plus. Si sur l'avenue Victoire, l’éclairage public ne souffre pas encore des failles, sur l'avenue Sefu, entre Lemba Foire et Lemba Terminus, ce n’ est pas le cas. Les réverbères (Ndlr : grandes ampoules qui servent à l’éclairage public ) ne s’allument pas régulièrement à cause du délestage. Quand aux autres avenues, les travaux n’ont pas encore débuté,. Les avenues Sendwe et Triomphal, par exemple, sont toujours dans le noir. A ce niveau, l’entreprise Sonades procède encore au démontage des anciens poteaux. Il en est de même de la deuxième entrée de Ndjili. Par ailleurs, les travaux effectués par Malta Forrest ne sont plus visibles. Aucun poteau ne s’allume depuis des mois sur la route des Poids lourds, au quartier Kingabwa, dans la commune de Limete . Tous les câbles d’alimentation ont été volés. Sur la grande avenue By Pass e, jusqu'au rond point Ngaba, 20 poteaux seulement s'allument sur les 90 implantés.
L’avenue Université, dans sa boucle Rond point Ngaba et boulevard Sendwe, sont, elles aussi, quasiment dans le noir. Sur 118 poteaux, 30 seulement sont allumés avec un intervalle parfois de plus de 20 poteaux. De son côté, l’avenue Kasa Kubu subit des délestages.
Les poteaux compris entre les quartiers Kintambo magasin et la station Ma campagne ainsi que ceux qui sont placés entre Bayaka et Bongolo ne s’allument presque plus. Une situation qui prouve à suffisance que la maintenance de l’éclairage public dans la ville province de Kinshasa bat de l’aile.
Sur près de 130 poteaux installés sur l'avenue des Huileries, au moins 18 ne s’allument plus. Si sur l'avenue Victoire, l’éclairage public ne souffre pas encore des failles, sur l'avenue Sefu, entre Lemba Foire et Lemba Terminus, ce n’ est pas le cas. Les réverbères (Ndlr : grandes ampoules qui servent à l’éclairage public ) ne s’allument pas régulièrement à cause du délestage. Quand aux autres avenues, les travaux n’ont pas encore débuté,. Les avenues Sendwe et Triomphal, par exemple, sont toujours dans le noir. A ce niveau, l’entreprise Sonades procède encore au démontage des anciens poteaux. Il en est de même de la deuxième entrée de Ndjili. Par ailleurs, les travaux effectués par Malta Forrest ne sont plus visibles. Aucun poteau ne s’allume depuis des mois sur la route des Poids lourds, au quartier Kingabwa, dans la commune de Limete . Tous les câbles d’alimentation ont été volés. Sur la grande avenue By Pass e, jusqu'au rond point Ngaba, 20 poteaux seulement s'allument sur les 90 implantés.
L’avenue Université, dans sa boucle Rond point Ngaba et boulevard Sendwe, sont, elles aussi, quasiment dans le noir. Sur 118 poteaux, 30 seulement sont allumés avec un intervalle parfois de plus de 20 poteaux. De son côté, l’avenue Kasa Kubu subit des délestages.
Les poteaux compris entre les quartiers Kintambo magasin et la station Ma campagne ainsi que ceux qui sont placés entre Bayaka et Bongolo ne s’allument presque plus. Une situation qui prouve à suffisance que la maintenance de l’éclairage public dans la ville province de Kinshasa bat de l’aile.
mongo elombe
Re: LES CINQ CHANTIERS DE LA RDC
Le Document de stratégie pour la croissance et la réduction de la pauvreté (DSCRP) reconnaît les contraintes économiques et sociales résultant des défaillances du secteur de l'électricité et le rôle important qu'un secteur de l'électricité performant peut jouer dans la réduction de la pauvreté.
Ayant ainsi compris, la Banque mondiale (BM) s'est résolument engagé, à travers un financement additionnel qu'elle vient d'octroyer au gouvernement congolais, à financer le Projet de Marché d'électricité de la Région d'Afrique australe, connu sous le nom de SAPMP. La cérémonie de signature de cet Accord de ce don additionnel d'un montant de 116,7 millions de DTS, soit 180,6 millions de dollars américains, s'est déroulée hier jeudi 18 février 2010, entre le ministre des Finances, Athanase Matenda Kyelu et Marie Françoise Marie-Nelly, directrice des opérations de la BM pour la RDC.
========================================================================
Je n'ai pas tout recopier mais c'est sur le site médiacongo.
Depuis que KABILA gère la RDC tout vette argent qu'on donne sert à qui à quoi?
Pourquoi continue t'on a donner de l'argent quand aucun projet n'ait réalisé eza kolekela nga ce n'est pas 1$ mais des millions elekaka wapiiiiiiiiii?
Ayant ainsi compris, la Banque mondiale (BM) s'est résolument engagé, à travers un financement additionnel qu'elle vient d'octroyer au gouvernement congolais, à financer le Projet de Marché d'électricité de la Région d'Afrique australe, connu sous le nom de SAPMP. La cérémonie de signature de cet Accord de ce don additionnel d'un montant de 116,7 millions de DTS, soit 180,6 millions de dollars américains, s'est déroulée hier jeudi 18 février 2010, entre le ministre des Finances, Athanase Matenda Kyelu et Marie Françoise Marie-Nelly, directrice des opérations de la BM pour la RDC.
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Je n'ai pas tout recopier mais c'est sur le site médiacongo.
Depuis que KABILA gère la RDC tout vette argent qu'on donne sert à qui à quoi?
Pourquoi continue t'on a donner de l'argent quand aucun projet n'ait réalisé eza kolekela nga ce n'est pas 1$ mais des millions elekaka wapiiiiiiiiii?
mongo elombe
Re: LES CINQ CHANTIERS DE LA RDC
Cette région génère beaucoup d'argent, vente des minerais, taxex diverses etc en 13 ans on peut faire quelque chose si on le veut.
Quid des 5 sentiers??????? kabidolatre s'abstenirde déterrer MOBUTU. Natongi monto te, nafingi monto tse.......
Arafat tu es vivant?? comprends mon émotion, tu es comme absent ton kikongo vicieux me manque.
[url]
https://www.dailymotion.com/video/x85t25 ... -13_travel[/url]
Quid des 5 sentiers??????? kabidolatre s'abstenirde déterrer MOBUTU. Natongi monto te, nafingi monto tse.......
Arafat tu es vivant?? comprends mon émotion, tu es comme absent ton kikongo vicieux me manque.
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https://www.dailymotion.com/video/x85t25 ... -13_travel[/url]
mongo elombe
Re: LES CINQ CHANTIERS DE LA RDC
mongo elombe a écrit:Cette région génère beaucoup d'argent, vente des minerais, taxex diverses etc en 13 ans on peut faire quelque chose si on le veut.
Quid des 5 sentiers??????? kabidolatre s'abstenirde déterrer MOBUTU. Natongi monto te, nafingi monto tse.......
Arafat tu es vivant?? comprends mon émotion, tu es comme absent ton kikongo vicieux me manque.
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https://www.dailymotion.com/video/x85t25 ... -13_travel[/url]
Et tout ça c'est la faute à kanambe???il doit être un super man pour résoudre tous les maux de la RDC en 3 ans à peine.
Relis ta vidéo à partir du 9 minutes 47:je cite"...tout ça peut paraitre incroyable,il y a 40 ans Cette route était asphalté et le gouvernement ne l'a jamais entretenus...."
Alors tu comprend bien de QUI viennent nos problèmes,heureusement qu'il s'est fait enterré loin du pays.
lino
Re: LES CINQ CHANTIERS DE LA RDC
A son arrivée à la tête du Ministère des Infrastructures en mai 2007, le Ministre Pierre Lumbi avait constaté que le volet infrastructures des cinq chantiers dont le Chef de l’Etat lui avait confié la lourde charge manquait cruellement de ressources.
En effet, en dehors des projets lancés par les bailleurs des fonds pendant la transition, presque aucun projet n’était en cours de réalisation sur ressources propres. Son action à la tête du Ministère des ITPR pendant trois ans de sa gestion s’est concentrée sur le montage d’un programme cohérent de réhabilitation et de modernisation des infrastructures ainsi que la mise en place et le renforcement des mécanismes de financement et de gestion des projets.
C’est dans ce cadre qu’il a, tour à tour : - Renforcé le partenariat avec les partenaires traditionnels au développement, notamment la Banque Mondiale, l’Union Européenne, la Banque Africaine de Développement, les Coopération Britannique, Belge, Japonaise,…en vue de la poursuite de financement des projets d’infrastructures ; - Recherché le maximum de ressources du Trésor Public au profit des projets d’infrastructures ; car, le financement des cinq chantiers devait aussi provenir du gouvernement ; - Mis en place le Fonds National d’entretien Routier destiné à récolter les ressources pour le financement de la maintenance de nos routes et voiries réhabilitées ; une estimation des recettes de l’ordre de 10.000.000$ US par mois ;
- Encouragé divers partenaires avec des entreprises privées nationales et étrangères pour le financement de divers projets. A ce titre, l’on peut citer le montage des contrats de concession sur les axes Lubumbashi-Kasumbalesa et Kinshasa-Matadi, ce qui a permis au passage l’augmentation des recettes de péage de 1 à 2,5 millions de dollars pour le premier axe et de 400.000 à 1.600.000$ US pour le second. - L’une des grandes actions de recherche de financement fût le montage du partenariat avec le groupement d’entreprises chinoises qui a mis en place un financement des projets d’infrastructures pour un montant record de 3 milliards de dollars US ainsi que de l’exploitation minière pour un investissement de 3 milliards de dollars US.
La gestion de ce vaste projet a nécessité la création de l’Agence Congolaise des Grands Travaux, du Bureau de Coordination et de Suivi du Programme Sino-Congolais et de la Sicomines. Le résultat de cette action sans relâche de Pierre Lumbi à la tête du Ministère-clé des 5 chantiers semble difficile à égaler. En effet, au bout de 3 ans sous sa direction, le bilan suivant peut être dressé : - Plusieurs projets d’infrastructures ont été achevés.
Nous pouvons citer notamment : dans le secteur des routes, la modernisation de la route Lubumbashi-Kasumbalesa, la réhabilitation des routes Boma-Moanda, Beni-Kisangani, Kisangani-Lubutu, Bukavu-Kamituka, Lufumi-Kwango et dans le secteur des voiries, la réhabilitation de plusieurs avenues à Kinshasa : Kimbondo, Inga, Lubumbashi, Laurent Désiré Kabila, des avenues des Cliniques, des Ambassadeurs, Batetela, Komoriko, Lukengo, etc. - Plusieurs chantiers sont lancés et se poursuivent à travers l’ensemble du pays.
Dans le secteur des routes, nous pouvons citer, la mise en concession de la route Kinshasa- Matadi, le bitumage des routes Bukavu- Kavumu, Beni- Niania, Lubumbashi- Kasomeno- Kasenga, Nsele- Lufumi, Kwango- Kenge, Boma-Matadi, la réhabilitation des routes Kisantu-Ngidinga, Kamituka-Kasongo, Kisangani-Buta-Bunduki, Uvira-Fizi, etc.
Dans le secteur des voiries, plusieurs projets sont en train de changer l’image de la ville de Kinshasa et de désenclaver de nombreux quartiers périphériques, notamment sur le boulevard du 30 juin et le boulevard Lumumba, les avenues Liberté, Tourisme, Lutendele, Gambela.
Dans le secteur des bâtiments, on retient la construction de l’Hôpital du cinquantenaire de 450 lits à Kinshasa, d’un hôtel 5 étoiles et de l’aménagement de l’esplanade du Palais du Peuple et de la Place de la Gare ainsi que de nombreux autres projets.
- D’autres projets sont sur le point de démarrer. Dans le secteur des routes, il s’agit des travaux sur les axes Tshikapa-Kananga-Mbuji-Mayi, Mbuji-Kabinda, Ilebo-Kananga, Kasongo-Kindu, Benadibela-Lodja-Ikela, Niania-Isero, Komanda-Bunia-Aru-Ariwara-Kengezi, etc. Dans le secteur des voiries, on peut citer les avenues de la Paix, Ndjoku, Mokali, Nzolana, Assossa, Shaba, Ngiri-Ngiri, travaux des voiries dans les chefs lieux des provinces.
Dans le secteur des bâtiments, il est prévu la construction des centres de 50 lits à l’intérieur, la réhabilitation des centres de formation ainsi que la réhabilitation des hôpitaux généraux et de nombreux édifices publics. -
Dans le volet de renforcement des capacités, l’Office des Routes a été doté de 11 nouvelles brigades des travaux publics qui sont déjà sur les chantiers à travers le pays. Un autre lot important de matériel varié comportant notamment des bacs, des ponts flottants, du matériel de génie civil est en cours de réception et sera mis à la disposition des services techniques et des entités décentralisées Bref, le programme mis en place porte sur environ 14.000 kilomètres de routes à travers tout le pays, qui permettra d’atteindre le taux de 40 % des routes du réseau prioritaire en bon état et environ 300 kilomètres de voiries dans la ville de Kinshasa et de 200 kilomètres dans les autres villes, la construction et l’équipement de nombreux hôpitaux et l’aménagement des espaces publics.
Ainsi, près d’une centaine de projets, financements confondus, sont soit achevés, soit en cours d’exécution ou en voie de démarrage.
Pour abattre ce travail de titan, Pierre Lumbi s’est entouré d’une équipe d’experts aguerris et pluridisciplinaires, issus de toutes les Provinces du pays sans distinction, qui ont travaillé d’arrache-pied pour conception et le montage des programmes, la mise en œuvre des projets et leur monitoring. Ainsi, le Ministre Lumbi aura-t-il su concrétiser le volet infrastructures des 5 chantiers et jeter les bases d’une action continue de réhabilitation et de modernisation des infrastructures vitales à la relance économique de tout le pays.
Lue sur le site la prospérité donc les 5 chantiers sont en marche BRAVO 14.000 km pour un pays colle la RDC c'est beaucoup n'est ce pas. la prospérité ferait mieux d'étoffer au lieu de mettre tout en vrac, difficile à lire.
A vos claviers ceux qui sont à Kin ailleurs pour nous exprimer votre contentement et félicitations au minstre batisseur et modernisteur des infrastuctures de la RDC.
En effet, en dehors des projets lancés par les bailleurs des fonds pendant la transition, presque aucun projet n’était en cours de réalisation sur ressources propres. Son action à la tête du Ministère des ITPR pendant trois ans de sa gestion s’est concentrée sur le montage d’un programme cohérent de réhabilitation et de modernisation des infrastructures ainsi que la mise en place et le renforcement des mécanismes de financement et de gestion des projets.
C’est dans ce cadre qu’il a, tour à tour : - Renforcé le partenariat avec les partenaires traditionnels au développement, notamment la Banque Mondiale, l’Union Européenne, la Banque Africaine de Développement, les Coopération Britannique, Belge, Japonaise,…en vue de la poursuite de financement des projets d’infrastructures ; - Recherché le maximum de ressources du Trésor Public au profit des projets d’infrastructures ; car, le financement des cinq chantiers devait aussi provenir du gouvernement ; - Mis en place le Fonds National d’entretien Routier destiné à récolter les ressources pour le financement de la maintenance de nos routes et voiries réhabilitées ; une estimation des recettes de l’ordre de 10.000.000$ US par mois ;
- Encouragé divers partenaires avec des entreprises privées nationales et étrangères pour le financement de divers projets. A ce titre, l’on peut citer le montage des contrats de concession sur les axes Lubumbashi-Kasumbalesa et Kinshasa-Matadi, ce qui a permis au passage l’augmentation des recettes de péage de 1 à 2,5 millions de dollars pour le premier axe et de 400.000 à 1.600.000$ US pour le second. - L’une des grandes actions de recherche de financement fût le montage du partenariat avec le groupement d’entreprises chinoises qui a mis en place un financement des projets d’infrastructures pour un montant record de 3 milliards de dollars US ainsi que de l’exploitation minière pour un investissement de 3 milliards de dollars US.
La gestion de ce vaste projet a nécessité la création de l’Agence Congolaise des Grands Travaux, du Bureau de Coordination et de Suivi du Programme Sino-Congolais et de la Sicomines. Le résultat de cette action sans relâche de Pierre Lumbi à la tête du Ministère-clé des 5 chantiers semble difficile à égaler. En effet, au bout de 3 ans sous sa direction, le bilan suivant peut être dressé : - Plusieurs projets d’infrastructures ont été achevés.
Nous pouvons citer notamment : dans le secteur des routes, la modernisation de la route Lubumbashi-Kasumbalesa, la réhabilitation des routes Boma-Moanda, Beni-Kisangani, Kisangani-Lubutu, Bukavu-Kamituka, Lufumi-Kwango et dans le secteur des voiries, la réhabilitation de plusieurs avenues à Kinshasa : Kimbondo, Inga, Lubumbashi, Laurent Désiré Kabila, des avenues des Cliniques, des Ambassadeurs, Batetela, Komoriko, Lukengo, etc. - Plusieurs chantiers sont lancés et se poursuivent à travers l’ensemble du pays.
Dans le secteur des routes, nous pouvons citer, la mise en concession de la route Kinshasa- Matadi, le bitumage des routes Bukavu- Kavumu, Beni- Niania, Lubumbashi- Kasomeno- Kasenga, Nsele- Lufumi, Kwango- Kenge, Boma-Matadi, la réhabilitation des routes Kisantu-Ngidinga, Kamituka-Kasongo, Kisangani-Buta-Bunduki, Uvira-Fizi, etc.
Dans le secteur des voiries, plusieurs projets sont en train de changer l’image de la ville de Kinshasa et de désenclaver de nombreux quartiers périphériques, notamment sur le boulevard du 30 juin et le boulevard Lumumba, les avenues Liberté, Tourisme, Lutendele, Gambela.
Dans le secteur des bâtiments, on retient la construction de l’Hôpital du cinquantenaire de 450 lits à Kinshasa, d’un hôtel 5 étoiles et de l’aménagement de l’esplanade du Palais du Peuple et de la Place de la Gare ainsi que de nombreux autres projets.
- D’autres projets sont sur le point de démarrer. Dans le secteur des routes, il s’agit des travaux sur les axes Tshikapa-Kananga-Mbuji-Mayi, Mbuji-Kabinda, Ilebo-Kananga, Kasongo-Kindu, Benadibela-Lodja-Ikela, Niania-Isero, Komanda-Bunia-Aru-Ariwara-Kengezi, etc. Dans le secteur des voiries, on peut citer les avenues de la Paix, Ndjoku, Mokali, Nzolana, Assossa, Shaba, Ngiri-Ngiri, travaux des voiries dans les chefs lieux des provinces.
Dans le secteur des bâtiments, il est prévu la construction des centres de 50 lits à l’intérieur, la réhabilitation des centres de formation ainsi que la réhabilitation des hôpitaux généraux et de nombreux édifices publics. -
Dans le volet de renforcement des capacités, l’Office des Routes a été doté de 11 nouvelles brigades des travaux publics qui sont déjà sur les chantiers à travers le pays. Un autre lot important de matériel varié comportant notamment des bacs, des ponts flottants, du matériel de génie civil est en cours de réception et sera mis à la disposition des services techniques et des entités décentralisées Bref, le programme mis en place porte sur environ 14.000 kilomètres de routes à travers tout le pays, qui permettra d’atteindre le taux de 40 % des routes du réseau prioritaire en bon état et environ 300 kilomètres de voiries dans la ville de Kinshasa et de 200 kilomètres dans les autres villes, la construction et l’équipement de nombreux hôpitaux et l’aménagement des espaces publics.
Ainsi, près d’une centaine de projets, financements confondus, sont soit achevés, soit en cours d’exécution ou en voie de démarrage.
Pour abattre ce travail de titan, Pierre Lumbi s’est entouré d’une équipe d’experts aguerris et pluridisciplinaires, issus de toutes les Provinces du pays sans distinction, qui ont travaillé d’arrache-pied pour conception et le montage des programmes, la mise en œuvre des projets et leur monitoring. Ainsi, le Ministre Lumbi aura-t-il su concrétiser le volet infrastructures des 5 chantiers et jeter les bases d’une action continue de réhabilitation et de modernisation des infrastructures vitales à la relance économique de tout le pays.
Lue sur le site la prospérité donc les 5 chantiers sont en marche BRAVO 14.000 km pour un pays colle la RDC c'est beaucoup n'est ce pas. la prospérité ferait mieux d'étoffer au lieu de mettre tout en vrac, difficile à lire.
A vos claviers ceux qui sont à Kin ailleurs pour nous exprimer votre contentement et félicitations au minstre batisseur et modernisteur des infrastuctures de la RDC.
mongo elombe
Re: LES CINQ CHANTIERS DE LA RDC
Malgré tout ça, il y a toujours des gens pour dire qu'en RDC il n y a pas d' hommes valables...tant des projets en moins de 3 ans.
Au moins J .kabila a trouvé 1 homme sur les 15 qu'il cherche.
Au moins J .kabila a trouvé 1 homme sur les 15 qu'il cherche.
lino
Re: LES CINQ CHANTIERS DE LA RDC
Kieeeee sur internet on peux écrire tout et n'importe quoi si c'était réellement vrai on l'aurait sù, détends toi Lino ce n'est que du vent.
Si tu as le temps va sur congoforum et lis le compte rendu sur KAMHERE et les questions du journaliste canadien et dis moi ce que tu en penses.
Lino blague à part tu as été en RDC en quel année? Si ça fait longtemps que tu y a été vas y et n'oublie pas de prendre des photos de toutes ces belles routes.
L
Si tu as le temps va sur congoforum et lis le compte rendu sur KAMHERE et les questions du journaliste canadien et dis moi ce que tu en penses.
Lino blague à part tu as été en RDC en quel année? Si ça fait longtemps que tu y a été vas y et n'oublie pas de prendre des photos de toutes ces belles routes.
L
mongo elombe
Re: LES CINQ CHANTIERS DE LA RDC
M.E
Le mieux à faire ,c'est de te jeter toi même dans l'arène politique congolaise,puisque tu es si sceptique.
Ici on parle surtout des routes nationales(intérieures du pays) qui étaient complètement délabrées(cas route kin- matadi) et que le gouvernement réhabilite.
Le mieux à faire ,c'est de te jeter toi même dans l'arène politique congolaise,puisque tu es si sceptique.
Ici on parle surtout des routes nationales(intérieures du pays) qui étaient complètement délabrées(cas route kin- matadi) et que le gouvernement réhabilite.
lino
Re: LES CINQ CHANTIERS DE LA RDC
Lino,
Moi j'aime les preuves concrètes pas les bla bla quand tu lis tu as l'impression que.........pas besoin de faire de la politique pour aider son pays.
Les politicaillons qui sont a la tête de la RDC tout intellectuels qu'ils sont m'ont dégoutées par leurs je m'enfoutisme et opportunisme.
Je préfère de loin les catholiques, les protestants, les kimbanguistes qui font des choses concrètes, construire des universités, des écoles, hôpitaux qui fonctionnent et qui sont entretenus ça c'est du concret.
Je ne supporte pas l'incontinence verbale sans preuve visuel, les mirages c'est bon quand on est dans le désert.
Natioli Bonne nuit mon lit m'appele
Moi j'aime les preuves concrètes pas les bla bla quand tu lis tu as l'impression que.........pas besoin de faire de la politique pour aider son pays.
Les politicaillons qui sont a la tête de la RDC tout intellectuels qu'ils sont m'ont dégoutées par leurs je m'enfoutisme et opportunisme.
Je préfère de loin les catholiques, les protestants, les kimbanguistes qui font des choses concrètes, construire des universités, des écoles, hôpitaux qui fonctionnent et qui sont entretenus ça c'est du concret.
Je ne supporte pas l'incontinence verbale sans preuve visuel, les mirages c'est bon quand on est dans le désert.
Natioli Bonne nuit mon lit m'appele
mongo elombe
Re: LES CINQ CHANTIERS DE LA RDC
Les Chinois Ont fait de la construction des routes Une de Leurs spécialités en RD Congo, désenclavant Peu à peu des Régions isolées. Les habitants de zones CES se réjouissent du Redémarrage économique Qu'elles Sont rendent possible et peu regardants sur la qualité du travail Effectué et fils Coût final pour le paie.
Les entreprises chinoises Qui construisent des routes Sont Présentes partout en RD Congo, en ville Comme dans les campagnes. C'est le cas au Sud-Kivu ou, aidés par un matériel imposant, Elles Sont en train de REMETTRE en état des kilomètres de routes asphaltées ou en terre.
À la sortie de Bukavu, les Chinois réhabilitent actuellement les 35 km de la MENANT route de la ville à l'aéroport de Kavumu. Aujourd'hui, alors que les travaux menes par la Compagnie nationale chinoise des Ponts et Chaussées (CNCPC) ne Sont Pas encore finis, faut il ne plus QU'UNE heure au lieu de deux heures et demie pour les parcourir. Mais beaucoup de Gens Pensent que cette route se dégradera vite. Julio Bisimwa, habitant de Kabare Où elle passe, est dépité: «C'est du saupoudrage. Il n'ya que de la latérite et Une couche d'un centimètre de goudron. Sur N'y roulera que Le temps de la vie d 'une fleur. La faute N'EST PAS aux Chinois. C'est nous et nos Décideurs Qui ne voyons pas que c'est de la terre Qu'on nous a rencontré sur la chaussée? ". Mais selon un analyste, les clauses du contrat Sont respectées: "Le Chinois est pragmatique. Il vous Construit votre route au prorata de l'argent que vous lui donnez. Vous voulez un kilomètre à un million de dollars, il vous l'offre. À moins dix fois, il vous la Construit gentiment Tout en vous laissant vous en supporter-Mêmes Conséquences Les ". La CNCPC réhabilite aussi des voies urbaines Dans certaines communes de Bukavu Comme à Bagira Ainsi que 125 km de route entre Uvira et Fizi, Baraka via.
En RDC, vaste Comme l'Europe occidentale, le chantier est immense: la plupart des routes carrossables Sont nec plus ou très Difficilement Ce qui bloque les échanges et empêche la commercialisation des produits agricoles. Au Sud-Kivu, ceux-ci sont le plus Souvent acheminés au marché sur le dos de pauvres femmes croulant sous des charges plus Qu'elles Lourdes. Quand la chaussée en terre battue N'EST PAS glissante, des vélos PEUVENT Parfois Dans les transporteurs des marchés lointains. "ON PEUT Produire plus de manioc, de fruits, d'arachide, de maïs, d'assurer le chef de village de Ngolole Mango Dans le Groupement Basitabyale. Mais N'y IL a pas de routes pour acheminer notre production Et dans l'autre sens Restons nous des mois et des mois sans recevoir de produits de première nécessité ».
Les entreprises chinoises Qui construisent des routes Sont Présentes partout en RD Congo, en ville Comme dans les campagnes. C'est le cas au Sud-Kivu ou, aidés par un matériel imposant, Elles Sont en train de REMETTRE en état des kilomètres de routes asphaltées ou en terre.
À la sortie de Bukavu, les Chinois réhabilitent actuellement les 35 km de la MENANT route de la ville à l'aéroport de Kavumu. Aujourd'hui, alors que les travaux menes par la Compagnie nationale chinoise des Ponts et Chaussées (CNCPC) ne Sont Pas encore finis, faut il ne plus QU'UNE heure au lieu de deux heures et demie pour les parcourir. Mais beaucoup de Gens Pensent que cette route se dégradera vite. Julio Bisimwa, habitant de Kabare Où elle passe, est dépité: «C'est du saupoudrage. Il n'ya que de la latérite et Une couche d'un centimètre de goudron. Sur N'y roulera que Le temps de la vie d 'une fleur. La faute N'EST PAS aux Chinois. C'est nous et nos Décideurs Qui ne voyons pas que c'est de la terre Qu'on nous a rencontré sur la chaussée? ". Mais selon un analyste, les clauses du contrat Sont respectées: "Le Chinois est pragmatique. Il vous Construit votre route au prorata de l'argent que vous lui donnez. Vous voulez un kilomètre à un million de dollars, il vous l'offre. À moins dix fois, il vous la Construit gentiment Tout en vous laissant vous en supporter-Mêmes Conséquences Les ". La CNCPC réhabilite aussi des voies urbaines Dans certaines communes de Bukavu Comme à Bagira Ainsi que 125 km de route entre Uvira et Fizi, Baraka via.
En RDC, vaste Comme l'Europe occidentale, le chantier est immense: la plupart des routes carrossables Sont nec plus ou très Difficilement Ce qui bloque les échanges et empêche la commercialisation des produits agricoles. Au Sud-Kivu, ceux-ci sont le plus Souvent acheminés au marché sur le dos de pauvres femmes croulant sous des charges plus Qu'elles Lourdes. Quand la chaussée en terre battue N'EST PAS glissante, des vélos PEUVENT Parfois Dans les transporteurs des marchés lointains. "ON PEUT Produire plus de manioc, de fruits, d'arachide, de maïs, d'assurer le chef de village de Ngolole Mango Dans le Groupement Basitabyale. Mais N'y IL a pas de routes pour acheminer notre production Et dans l'autre sens Restons nous des mois et des mois sans recevoir de produits de première nécessité ».
mongo elombe
LES GRANDS TRAVAUX DE JOSEPH...
http://photos.cinqchantiers-rdc.com/cache.photos/nsele_lufimi_kwango/slides/DSC_0043.html
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lino
Re: LES CINQ CHANTIERS DE LA RDC
Emmanuel Chaco
PLATEAU DES BATEKE, RD Congo, 10 mars (IPS) - Etalé sur 331 hectares, un projet chinois lancé dans la province du Bandundu, dans l’ouest de la République démocratique du Congo (RDC), est en mesure de fournir, tous les trois mois, environ 4.000 tonnes de maïs à la population congolaise, affirme Samuel Hsieh, un haut responsable chinois du projet.
«Pourtant, cela fait deux ans que le projet a été mis en place» sur le Plateau des Batéké, déclare Guy Matondo, habitant de cette région, mais qui voudrait savoir «où passent les 4.000 tonnes produites tous les trois mois». Selon lui, un simple calcul permet de déduire que «le maïs produit à ce jour pourrait atteindre plus ou moins 30.000 tonnes».
Quant à la réalité sur le marché, «depuis deux ans, le prix du maïs n’a pas baissé», affirme Francine Matondo, une ménagère vivant à Kinshasa, la capitale de la RDC, indiquant : «Il y a deux ans, un 'ekolo' (un vase équivalent à un kilogramme) de maïs valait 600 francs congolais (FC, environ 0,6 dollar US)». Pour elle, «la grande production du maïs par le projet chinois devait influencer les prix sur le marché. Ce qui n’est pas le cas, puisque le prix de l’ekolo est entre-temps passé à 1.200 FC (environ 1,20 dollar)».
Vendeuse de maïs au petit marché de Kingasani, à Kinshasa, Emérence Banzuzi avoue s’être «déjà rendue sur le Plateau des Bateke pour y acheter 200 kilos de maïs à revendre à Kinshasa». Elle a «acheté quatre sacs de 50 kilos à l’équivalent de 25 dollars par sac; ce qui ramène le kilo à environ 0,5 dollar».
Banzuzi a indiqué à IPS qu'il «est impossible que le prix du maïs baisse puisqu’au prix d’achat, il faut ajouter tous les frais de manutention et de transport jusqu’à Kinshasa», qu’elle évalue à environ 10 dollars pour 200 kilos et auxquels elle ajoute sa «marge bénéficiaire».
Le gouvernement croit pourtant que «le projet chinois a été agréé puisqu’il présente plusieurs atouts pour la population congolaise et qu’il a été conçu pour contribuer à la lutte contre l’insécurité alimentaire et à renforcer l’autosuffisance alimentaire au sein des ménages», déclare à IPS, Marcel Kabambwe, un conseiller technique au ministère de l’Agriculture, Pêche et Elevage.
«Comment le gouvernement peut-il affirmer que le projet agricole chinois contribuera à lutter contre l’insécurité alimentaire lorsque son maïs est déjà vendu plus cher que le maïs importé et qui semble de meilleure qualité?», demande l’activiste Patrice Musoko, coordonnateur de l’Association congolaise des consommateurs des produits vivriers, basée à Kinshasa.
Musoko ajoute à IPS : «Contrairement aux allégations du gouvernement, le projet chinois ne semble pas avoir été conçu pour lutter contre l’insécurité alimentaire». Il en donne pour preuve «cette montée de prix de maïs depuis deux ans» et le fait qu’il «n’existe aucun mécanisme gouvernemental pour encadrer cette production et en contrôler la destination».
Les activistes s’interrogent donc sur la destination réelle de la production du maïs chinois qui, selon eux, ne parvient pas encore aux consommateurs congolais. Ils se demandent également si des agences des Nations Unies achètent ce maïs pour le distribuer aux populations nécessiteuses ailleurs.
Mais, aucune confirmation n’a été obtenue du bureau de l’Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) à Kinshasa, alors que Hsieh, le responsable chinois du projet, affirmait à IPS, le 26 février, qu’une «partie de la production pourrait être achetée par la FAO, venue, quelques jours plus tôt, demander le prix et les conditions d’achat».
Selon Hsieh, «le maïs pourrait être acheté par cette organisation pour, peut-être, être distribuée dans des camps de réfugiés au Congo Brazzaville», ajoutant: «En tout cas, les ventes en détail ont été stoppées».
Pour sa part, Damas Balinga, expert au ministère du Plan qui centralise le processus de mise en œuvre des Objectifs du millénaire pour le développement, voudrait bien croire qu’un «tel projet pourrait effectivement lutter contre l’insécurité alimentaire», mais il se ravise : «Ces Chinois sont des hommes d’affaires; tous font partie du personnel de l’entreprise ZTE». (C’est une entreprise chinoise basée en RDC dont une branche des activités dans l’agrobusiness).
«C’est leur bénéfice qui les intéresse en premier lieu. Le gouvernement devrait mettre en place une politique d’encadrement et de financement des Congolais qui désirent investir dans l’agriculture pour que des problèmes congolais soient résolus par des Congolais», ajoute-t-il à IPS.
«Heureusement que cet encadrement existe déjà et qu’il est assuré à des exploitants qui le désirent», affirme à IPS, Juvénal Bahune, un conseiller technique au ministère de l’Agriculture, Pêche et Elevage.
Mais, «il reste un problème auquel le gouvernement devrait réfléchir, puisque des Congolais désireux d’investir dans le domaine agroalimentaire n’ont généralement pas de capitaux pendant que le pays ne dispose d’aucune politique de crédits», indique Patrick Mushagalusa, ingénieur chercheur en agriculture, à Kinshasa. (FIN/2010)
PLATEAU DES BATEKE, RD Congo, 10 mars (IPS) - Etalé sur 331 hectares, un projet chinois lancé dans la province du Bandundu, dans l’ouest de la République démocratique du Congo (RDC), est en mesure de fournir, tous les trois mois, environ 4.000 tonnes de maïs à la population congolaise, affirme Samuel Hsieh, un haut responsable chinois du projet.
«Pourtant, cela fait deux ans que le projet a été mis en place» sur le Plateau des Batéké, déclare Guy Matondo, habitant de cette région, mais qui voudrait savoir «où passent les 4.000 tonnes produites tous les trois mois». Selon lui, un simple calcul permet de déduire que «le maïs produit à ce jour pourrait atteindre plus ou moins 30.000 tonnes».
Quant à la réalité sur le marché, «depuis deux ans, le prix du maïs n’a pas baissé», affirme Francine Matondo, une ménagère vivant à Kinshasa, la capitale de la RDC, indiquant : «Il y a deux ans, un 'ekolo' (un vase équivalent à un kilogramme) de maïs valait 600 francs congolais (FC, environ 0,6 dollar US)». Pour elle, «la grande production du maïs par le projet chinois devait influencer les prix sur le marché. Ce qui n’est pas le cas, puisque le prix de l’ekolo est entre-temps passé à 1.200 FC (environ 1,20 dollar)».
Vendeuse de maïs au petit marché de Kingasani, à Kinshasa, Emérence Banzuzi avoue s’être «déjà rendue sur le Plateau des Bateke pour y acheter 200 kilos de maïs à revendre à Kinshasa». Elle a «acheté quatre sacs de 50 kilos à l’équivalent de 25 dollars par sac; ce qui ramène le kilo à environ 0,5 dollar».
Banzuzi a indiqué à IPS qu'il «est impossible que le prix du maïs baisse puisqu’au prix d’achat, il faut ajouter tous les frais de manutention et de transport jusqu’à Kinshasa», qu’elle évalue à environ 10 dollars pour 200 kilos et auxquels elle ajoute sa «marge bénéficiaire».
Le gouvernement croit pourtant que «le projet chinois a été agréé puisqu’il présente plusieurs atouts pour la population congolaise et qu’il a été conçu pour contribuer à la lutte contre l’insécurité alimentaire et à renforcer l’autosuffisance alimentaire au sein des ménages», déclare à IPS, Marcel Kabambwe, un conseiller technique au ministère de l’Agriculture, Pêche et Elevage.
«Comment le gouvernement peut-il affirmer que le projet agricole chinois contribuera à lutter contre l’insécurité alimentaire lorsque son maïs est déjà vendu plus cher que le maïs importé et qui semble de meilleure qualité?», demande l’activiste Patrice Musoko, coordonnateur de l’Association congolaise des consommateurs des produits vivriers, basée à Kinshasa.
Musoko ajoute à IPS : «Contrairement aux allégations du gouvernement, le projet chinois ne semble pas avoir été conçu pour lutter contre l’insécurité alimentaire». Il en donne pour preuve «cette montée de prix de maïs depuis deux ans» et le fait qu’il «n’existe aucun mécanisme gouvernemental pour encadrer cette production et en contrôler la destination».
Les activistes s’interrogent donc sur la destination réelle de la production du maïs chinois qui, selon eux, ne parvient pas encore aux consommateurs congolais. Ils se demandent également si des agences des Nations Unies achètent ce maïs pour le distribuer aux populations nécessiteuses ailleurs.
Mais, aucune confirmation n’a été obtenue du bureau de l’Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) à Kinshasa, alors que Hsieh, le responsable chinois du projet, affirmait à IPS, le 26 février, qu’une «partie de la production pourrait être achetée par la FAO, venue, quelques jours plus tôt, demander le prix et les conditions d’achat».
Selon Hsieh, «le maïs pourrait être acheté par cette organisation pour, peut-être, être distribuée dans des camps de réfugiés au Congo Brazzaville», ajoutant: «En tout cas, les ventes en détail ont été stoppées».
Pour sa part, Damas Balinga, expert au ministère du Plan qui centralise le processus de mise en œuvre des Objectifs du millénaire pour le développement, voudrait bien croire qu’un «tel projet pourrait effectivement lutter contre l’insécurité alimentaire», mais il se ravise : «Ces Chinois sont des hommes d’affaires; tous font partie du personnel de l’entreprise ZTE». (C’est une entreprise chinoise basée en RDC dont une branche des activités dans l’agrobusiness).
«C’est leur bénéfice qui les intéresse en premier lieu. Le gouvernement devrait mettre en place une politique d’encadrement et de financement des Congolais qui désirent investir dans l’agriculture pour que des problèmes congolais soient résolus par des Congolais», ajoute-t-il à IPS.
«Heureusement que cet encadrement existe déjà et qu’il est assuré à des exploitants qui le désirent», affirme à IPS, Juvénal Bahune, un conseiller technique au ministère de l’Agriculture, Pêche et Elevage.
Mais, «il reste un problème auquel le gouvernement devrait réfléchir, puisque des Congolais désireux d’investir dans le domaine agroalimentaire n’ont généralement pas de capitaux pendant que le pays ne dispose d’aucune politique de crédits», indique Patrick Mushagalusa, ingénieur chercheur en agriculture, à Kinshasa. (FIN/2010)
mongo elombe
TO BOYI LOKUTA, MANIPULATIONS, INTOX, MALHONNÊTETÉ INTELLECTUELLE, JALOUSIE, MOTEMA LIKUNDU !
Le Potentiel / Angelo MOBATELI a écrit:
Présidents de la RDC et de la Turquie
Joseph KABILA et Abdullah GÜL décident de développer
les relations bilatérales dans tous les domaines
Par Angelo MOBATELI
http://www.lepotentiel.com//afficher_article.php?id_edition=&id_article=93470
*CNMM
Re: LES CINQ CHANTIERS DE LA RDC
Egunduka oyo edali kolongwa LUBUMBASHI- MWENEDITU -TSHIMBULU - KANANGA TI NA ILEBO.
Edali mawa mingi komona makambo ya motindo oyo.
Wa bino koko mokrekese.
Edali mawa mingi komona makambo ya motindo oyo.
Wa bino koko mokrekese.
taty
Re: LES CINQ CHANTIERS DE LA RDC
Eh oui mon vieux ,c'est la maladie des pays surpeuplés.L'inde,même les Japonnais n'ont pas encore trouvé de remède, pourtant 2è puissance économique du monde.vieux mokrekese a écrit:Egunduka oyo edali kolongwa LUBUMBASHI- MWENEDITU -TSHIMBULU - KANANGA TI NA ILEBO.
Edali mawa mingi komona makambo ya motindo oyo.
Wa bino koko mokrekese.
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lino
Re: LES CINQ CHANTIERS DE LA RDC
Lino mwana na nga, bideo otie wana ya ba daponé edali tango mosala esilaka nde oko mona bato ebele badali kowelela engunduka po na bodongi na ndako. Edali ata ndenge moko na oyo ya biso te. Oyo edali koleka epa na biso, edali ndenge mosusu.
Engunduka wana elekaka mbala moko sanda mobimba. Soko moto adangi yango akodela ti sanda oyo ekoya ; tango mosusu pe ekoya te. Edali likambo na bato baleki ebele te na mboka. Namoni yo olapa tsheleka po na ko kotela Kanambe na miyibi oyo badali ko gbolo mbongo ya mboka na biso !!! Edali mawa mingi.
Wa yo koko mokrekese.
Engunduka wana elekaka mbala moko sanda mobimba. Soko moto adangi yango akodela ti sanda oyo ekoya ; tango mosusu pe ekoya te. Edali likambo na bato baleki ebele te na mboka. Namoni yo olapa tsheleka po na ko kotela Kanambe na miyibi oyo badali ko gbolo mbongo ya mboka na biso !!! Edali mawa mingi.
Wa yo koko mokrekese.
taty
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