LES CINQ CHANTIERS DE LA RDC
+41
henrija1
NgongaEbeti
César NGADI
voisin4
Ahriman
Djodjo B
brown-man
Tonton Ricos
zobattants
BUGATTI VEYRON
capavenir2011
Amara
Logique
Calcul
King David
link
Cavalier
joss0
piélé de dongo
StoopidBastard
KOTA
Orduna
BOSOLO
Mwana ya Congo
'
Admin
mabanlieue92
Satya
Mathilde
kinmasta
lino
Flick de Kolwezi
GHOST
Tsippora
mongo elombe
taty
Libre Examen
ndonzwau
Hiro-Hito
djino
*CNMM
45 participants
Page 21 sur 40
Page 21 sur 40 • 1 ... 12 ... 20, 21, 22 ... 30 ... 40
Re: LES CINQ CHANTIERS DE LA RDC
Ha ha ha sista Mathy, yo zo tumola na yo Lino, zela tangu akoyela yo ba photos ya ba autoroutes ya 12 bandes, na ba hotels 50 etoiles, kie, kie, kie Naleki na kongwenya hic , osekisi nga fortMathilde a écrit:
_________________
L'originalité est un des grands principes du romantisme.
ALPHA DOG
Cavalier
Re: LES CINQ CHANTIERS DE LA RDC
Cavalier a écrit:Ha ha ha sista Mathy, yo zo tumola na yo Lino, zela tangu akoyela yo ba photos ya ba autoroutes ya 12 bandes, na ba hotels 50 etoiles, kie, kie, kie Naleki na kongwenya hic , osekisi nga fortMathilde a écrit:
Cava,
Ha ha ha olingi kobuka ngai ba panzi ebeba depuis kala kieeeeeeeeeee autoroute ya 12 bandes, hotels ya 50 etoiles et ponts ya 2km...... ngai na Lino tosi tomesana na biso Loooooooool soki ye atieyi ya kitoko ngai na tieyi ya mabe .... !!
_________________
[b]“Le deuil, c’est pour la vie. Ca ne s’en va jamais, ça fait progressivement partie de vous, à chaque pas, à chaque souffle.”
Mathilde
Re: LES CINQ CHANTIERS DE LA RDC
5 chantiers en marche
Kabassele dors en paix Tu nous a laisse un fabuleux héritage qui doit inspirer les jeunes generations Tes traces resteront a jamais un modèle et une fierete pour tous ceux dont le cœur rejette la haine en prônant l amour par la musique
Kabassele dors en paix Tu nous a laisse un fabuleux héritage qui doit inspirer les jeunes generations Tes traces resteront a jamais un modèle et une fierete pour tous ceux dont le cœur rejette la haine en prônant l amour par la musique
Dernière édition par joss0 le 7/8/2011, 1:21 am, édité 1 fois
joss0
Re: LES CINQ CHANTIERS DE LA RDC
_________________
[b]“Le deuil, c’est pour la vie. Ca ne s’en va jamais, ça fait progressivement partie de vous, à chaque pas, à chaque souffle.”
Mathilde
Re: LES CINQ CHANTIERS DE LA RDC
sa montre que tout le Congo est à reconstruire vu le KO que les prédécesseurs ont laissé, le président s'attelle à tout reconstruire sans relâche et avec détermination en sachant ce qu'il a déjà fait et ce qui lui reste à faire.
le président de la république que vous dites proche de Zacharie bababaswe na jamais donné d'instruction à zacle de ne pas filmé la misère ou les lieux ou il n'y a pas eu de chantiers comme le fut à l’époque de Mobutu, au contraire tout le monde peux aller à Kinshasa et filmer la misère ou les chantiers fini ou en cour et même peux demandé au autorité de faire quelque chose pour changer cela comme le fait zacle et d'autre personne journaliste ou population.
Malgré qu'il y a toujours des lieux pénible à voir mai sa ne change pas que le Congo est en pleine reconstruction.
le président de la république que vous dites proche de Zacharie bababaswe na jamais donné d'instruction à zacle de ne pas filmé la misère ou les lieux ou il n'y a pas eu de chantiers comme le fut à l’époque de Mobutu, au contraire tout le monde peux aller à Kinshasa et filmer la misère ou les chantiers fini ou en cour et même peux demandé au autorité de faire quelque chose pour changer cela comme le fait zacle et d'autre personne journaliste ou population.
Malgré qu'il y a toujours des lieux pénible à voir mai sa ne change pas que le Congo est en pleine reconstruction.
joss0
Re: LES CINQ CHANTIERS DE LA RDC
J’ai comme vous tous attendu qu’une fois que le Congo se porte mieux aujourd’hui qu’il y a 15 ans. Je me demande si on ne voulait pas plutôt parler des dirigeants du Congo qui se portent mieux aujourd’hui qu’il y a 15 ans.
Tenez, il y a 15 ans Mobutu a laissé le carton de Mpiodi (chinchard) à 25 USD ; Mzee Laurent Désiré Kabila l’a laissé à 30 USD et aujourd’hui il est à 90 USD.
Il y a 15 ans, les restaurants de grandes universités et le système de transport des étudiants et des professeurs fonctionnaient.
Il y a 15 ans, il existait un réseau de transport en commun public (SOTRAZ, CITY TRAIN), aujourd’hui, rien de tel. Chaque soir, nous assistons à un spectacle désolant de nombreux compatriotes qui rentrent à pied de la Gombe à Masina par manque de transport approprié.
Il y a 15 ans, la société nationale aérienne des transports avec des pilotes bien formés et régulièrement soumis au training faisaient la fierté du grand Zaïre, aujourd’hui la RDC.
Il y a 15 ans, on pouvait de Kolwezi atteindre Lubumbashi en 3
heures de temps.
Il y a 15 ans, la poste, la caisse d’épargne (CADECO) fonctionnaient partout,
Il y a 15 ans il n’y avait pas des massacres, des viols et de déplacements massifs des populations à l’Est, Il y a 15 ans, non seulement les trains de la SNCC arrivaient à Ilebo deux fois par semaine, mais ne connaissaient pas des
déraillements intempestifs ;
Il y a 15 ans, les bateaux de l’ONATRA reliaient Kinshasa à Kisangani en 3 jours et de façon régulière et dans des bonnes conditions de voyage.
Il y a 15 ans, quand on payait les cadres et agents de la Gécamines, de la MIBA, de l’Okimo, de la SNCC, de l’Onatra… leurs familles pouvaient se procurer tous les biens nécessaires, subvenir aux autres besoins et épargner.
Je peux allonger la liste des difficultés auxquelles les Congolais sont confrontés tous les jours, mais je m’arrête là, l’essentiel était de démontrer que le Congolais d’il y a 15 ans vivait nettement mieux que celui d’aujourd’hui. Et j’invite chacun de nous à se remémorer de ses souvenirs d’il y a 15 ans. Et je n’ai pas voulu par
cet exercice faire de démagogie ni du populisme mais seulement rétablir la vérité.
Je vous fais grâce des autres chantiers notamment l’emploi, la santé et l’habitat dont les paramètres tous sont au rouge.
Mais je m’en voudrais de ne pas évoquer quelques promesses qui n’ont connu aucun début de réalisation à ce jour. Quand j’ouvre le contrat chinois, je me demande si je vis sur une autre planète mais j’ai cherché partout au Congo je n’ai pas vu le début des travaux de 1600 kilomètres de rails devant relier Ilebo à Kinshasa, je n’ai pas vu non plus le début de construction de 4 grandes universités, 150 écoles, 150 hôpitaux.
Tenez, il y a 15 ans Mobutu a laissé le carton de Mpiodi (chinchard) à 25 USD ; Mzee Laurent Désiré Kabila l’a laissé à 30 USD et aujourd’hui il est à 90 USD.
Il y a 15 ans, les restaurants de grandes universités et le système de transport des étudiants et des professeurs fonctionnaient.
Il y a 15 ans, il existait un réseau de transport en commun public (SOTRAZ, CITY TRAIN), aujourd’hui, rien de tel. Chaque soir, nous assistons à un spectacle désolant de nombreux compatriotes qui rentrent à pied de la Gombe à Masina par manque de transport approprié.
Il y a 15 ans, la société nationale aérienne des transports avec des pilotes bien formés et régulièrement soumis au training faisaient la fierté du grand Zaïre, aujourd’hui la RDC.
Il y a 15 ans, on pouvait de Kolwezi atteindre Lubumbashi en 3
heures de temps.
Il y a 15 ans, la poste, la caisse d’épargne (CADECO) fonctionnaient partout,
Il y a 15 ans il n’y avait pas des massacres, des viols et de déplacements massifs des populations à l’Est, Il y a 15 ans, non seulement les trains de la SNCC arrivaient à Ilebo deux fois par semaine, mais ne connaissaient pas des
déraillements intempestifs ;
Il y a 15 ans, les bateaux de l’ONATRA reliaient Kinshasa à Kisangani en 3 jours et de façon régulière et dans des bonnes conditions de voyage.
Il y a 15 ans, quand on payait les cadres et agents de la Gécamines, de la MIBA, de l’Okimo, de la SNCC, de l’Onatra… leurs familles pouvaient se procurer tous les biens nécessaires, subvenir aux autres besoins et épargner.
Je peux allonger la liste des difficultés auxquelles les Congolais sont confrontés tous les jours, mais je m’arrête là, l’essentiel était de démontrer que le Congolais d’il y a 15 ans vivait nettement mieux que celui d’aujourd’hui. Et j’invite chacun de nous à se remémorer de ses souvenirs d’il y a 15 ans. Et je n’ai pas voulu par
cet exercice faire de démagogie ni du populisme mais seulement rétablir la vérité.
Je vous fais grâce des autres chantiers notamment l’emploi, la santé et l’habitat dont les paramètres tous sont au rouge.
Mais je m’en voudrais de ne pas évoquer quelques promesses qui n’ont connu aucun début de réalisation à ce jour. Quand j’ouvre le contrat chinois, je me demande si je vis sur une autre planète mais j’ai cherché partout au Congo je n’ai pas vu le début des travaux de 1600 kilomètres de rails devant relier Ilebo à Kinshasa, je n’ai pas vu non plus le début de construction de 4 grandes universités, 150 écoles, 150 hôpitaux.
_________________
[b]“Le deuil, c’est pour la vie. Ca ne s’en va jamais, ça fait progressivement partie de vous, à chaque pas, à chaque souffle.”
Mathilde
Re: LES CINQ CHANTIERS DE LA RDC
joss0 a écrit:sa montre que tout le Congo est à reconstruire vu le KO que les prédécesseurs ont laissé, le président s'attelle à tout reconstruire sans relâche et avec détermination en sachant ce qu'il a déjà fait et ce qui lui reste à faire.
le président de la république que vous dites proche de Zacharie bababaswe na jamais donné d'instruction à zacle de ne pas filmé la misère ou les lieux ou il n'y a pas eu de chantiers comme le fut à l’époque de Mobutu, au contraire tout le monde peux aller à Kinshasa et filmer la misère ou les chantiers fini ou en cour et même peux demandé au autorité de faire quelque chose pour changer cela comme le fait zacle et d'autre personne journaliste ou population.
Malgré qu'il y a toujours des lieux pénible à voir mai sa ne change pas que le Congo est en pleine reconstruction.
les prédécesseur bien sur la bonne excuse les gens en arrive même regretter le temps de Mobutu
link
Re: LES CINQ CHANTIERS DE LA RDC
Mathilde a écrit:J’ai comme vous tous attendu qu’une fois que le Congo se porte mieux aujourd’hui qu’il y a 15 ans. Je me demande si on ne voulait pas plutôt parler des dirigeants du Congo qui se portent mieux aujourd’hui qu’il y a 15 ans.
Tenez, il y a 15 ans Mobutu a laissé le carton de Mpiodi (chinchard) à 25 USD ; Mzee Laurent Désiré Kabila l’a laissé à 30 USD et aujourd’hui il est à 90 USD.
Il y a 15 ans, les restaurants de grandes universités et le système de transport des étudiants et des professeurs fonctionnaient.
Il y a 15 ans, il existait un réseau de transport en commun public (SOTRAZ, CITY TRAIN), aujourd’hui, rien de tel. Chaque soir, nous assistons à un spectacle désolant de nombreux compatriotes qui rentrent à pied de la Gombe à Masina par manque de transport approprié.
Il y a 15 ans, la société nationale aérienne des transports avec des pilotes bien formés et régulièrement soumis au training faisaient la fierté du grand Zaïre, aujourd’hui la RDC.
Il y a 15 ans, on pouvait de Kolwezi atteindre Lubumbashi en 3
heures de temps.
Il y a 15 ans, la poste, la caisse d’épargne (CADECO) fonctionnaient partout,
Il y a 15 ans il n’y avait pas des massacres, des viols et de déplacements massifs des populations à l’Est, Il y a 15 ans, non seulement les trains de la SNCC arrivaient à Ilebo deux fois par semaine, mais ne connaissaient pas des
déraillements intempestifs ;
Il y a 15 ans, les bateaux de l’ONATRA reliaient Kinshasa à Kisangani en 3 jours et de façon régulière et dans des bonnes conditions de voyage.
Il y a 15 ans, quand on payait les cadres et agents de la Gécamines, de la MIBA, de l’Okimo, de la SNCC, de l’Onatra… leurs familles pouvaient se procurer tous les biens nécessaires, subvenir aux autres besoins et épargner.
Je peux allonger la liste des difficultés auxquelles les Congolais sont confrontés tous les jours, mais je m’arrête là, l’essentiel était de démontrer que le Congolais d’il y a 15 ans vivait nettement mieux que celui d’aujourd’hui. Et j’invite chacun de nous à se remémorer de ses souvenirs d’il y a 15 ans. Et je n’ai pas voulu par
cet exercice faire de démagogie ni du populisme mais seulement rétablir la vérité.
Je vous fais grâce des autres chantiers notamment l’emploi, la santé et l’habitat dont les paramètres tous sont au rouge.
Mais je m’en voudrais de ne pas évoquer quelques promesses qui n’ont connu aucun début de réalisation à ce jour. Quand j’ouvre le contrat chinois, je me demande si je vis sur une autre planète mais j’ai cherché partout au Congo je n’ai pas vu le début des travaux de 1600 kilomètres de rails devant relier Ilebo à Kinshasa, je n’ai pas vu non plus le début de construction de 4 grandes universités, 150 écoles, 150 hôpitaux.
Vous reprenez les paroles d'une personne que vous traitez de menteur, Rwandais, traite et collabo!!!
et maintenant quand il tien des paroles dans votre sens, vous l'affichez comme une gloire.
Je voudrais comprendre il est collabo ou pas?
Il est Rwandais ou pas?
est ce un traitre ou pas?
c'est triste pour vous.
Pour ma par j'ai beaucoup de respect pour Kamehre car lui fait un débat d’idée avec des questions pertinentes qui mérite des recherches pour voir le vrai du faux et non une confrontation avec insulte et provocation comme le fait votre mascotte national ya tshitshi.
joss0
Re: LES CINQ CHANTIERS DE LA RDC
Mathilde a écrit:J’ai comme vous tous attendu qu’une fois que le Congo se porte mieux aujourd’hui qu’il y a 15 ans. Je me demande si on ne voulait pas plutôt parler des dirigeants du Congo qui se portent mieux aujourd’hui qu’il y a 15 ans.
Tenez, il y a 15 ans Mobutu a laissé le carton de Mpiodi (chinchard) à 25 USD ; Mzee Laurent Désiré Kabila l’a laissé à 30 USD et aujourd’hui il est à 90 USD.
Il y a 15 ans, les restaurants de grandes universités et le système de transport des étudiants et des professeurs fonctionnaient.
Il y a 15 ans, il existait un réseau de transport en commun public (SOTRAZ, CITY TRAIN), aujourd’hui, rien de tel. Chaque soir, nous assistons à un spectacle désolant de nombreux compatriotes qui rentrent à pied de la Gombe à Masina par manque de transport approprié.
Il y a 15 ans, la société nationale aérienne des transports avec des pilotes bien formés et régulièrement soumis au training faisaient la fierté du grand Zaïre, aujourd’hui la RDC.
Il y a 15 ans, on pouvait de Kolwezi atteindre Lubumbashi en 3
heures de temps.
Il y a 15 ans, la poste, la caisse d’épargne (CADECO) fonctionnaient partout,
Il y a 15 ans il n’y avait pas des massacres, des viols et de déplacements massifs des populations à l’Est, Il y a 15 ans, non seulement les trains de la SNCC arrivaient à Ilebo deux fois par semaine, mais ne connaissaient pas des
déraillements intempestifs ;
Il y a 15 ans, les bateaux de l’ONATRA reliaient Kinshasa à Kisangani en 3 jours et de façon régulière et dans des bonnes conditions de voyage.
Il y a 15 ans, quand on payait les cadres et agents de la Gécamines, de la MIBA, de l’Okimo, de la SNCC, de l’Onatra… leurs familles pouvaient se procurer tous les biens nécessaires, subvenir aux autres besoins et épargner.
Je peux allonger la liste des difficultés auxquelles les Congolais sont confrontés tous les jours, mais je m’arrête là, l’essentiel était de démontrer que le Congolais d’il y a 15 ans vivait nettement mieux que celui d’aujourd’hui. Et j’invite chacun de nous à se remémorer de ses souvenirs d’il y a 15 ans. Et je n’ai pas voulu par
cet exercice faire de démagogie ni du populisme mais seulement rétablir la vérité.
Je vous fais grâce des autres chantiers notamment l’emploi, la santé et l’habitat dont les paramètres tous sont au rouge.
Mais je m’en voudrais de ne pas évoquer quelques promesses qui n’ont connu aucun début de réalisation à ce jour. Quand j’ouvre le contrat chinois, je me demande si je vis sur une autre planète mais j’ai cherché partout au Congo je n’ai pas vu le début des travaux de 1600 kilomètres de rails devant relier Ilebo à Kinshasa, je n’ai pas vu non plus le début de construction de 4 grandes universités, 150 écoles, 150 hôpitaux.
Vous reprenez les paroles d'une personne que vous traitez de menteur, Rwandais, traite et collabo!!!
et maintenant quand il tien des paroles dans votre sens, vous l'affichez comme une gloire.
Je voudrais comprendre il est collabo ou pas?
Il est Rwandais ou pas?
est ce un traitre ou pas?
c'est triste pour vous.
Pour ma par j'ai beaucoup de respect pour Kamehre car lui fait un débat d’idée avec des questions pertinentes qui mérite des recherches pour voir le vrai du faux et non une confrontation avec insulte et provocation comme le fait votre mascotte national ya tshitshi.
joss0
Re: LES CINQ CHANTIERS DE LA RDC
[quote="joss0"]
Mathilde a écrit:J’ai comme vous tous attendu qu’une fois que le Congo se porte mieux aujourd’hui qu’il y a 15 ans. Je me demande si on ne voulait pas plutôt parler des dirigeants du Congo qui se portent mieux aujourd’hui qu’il y a 15 ans.
Tenez, il y a 15 ans Mobutu a laissé le carton de Mpiodi (chinchard) à 25 USD ; Mzee Laurent Désiré Kabila l’a laissé à 30 USD et aujourd’hui il est à 90 USD.
Il y a 15 ans, les restaurants de grandes universités et le système de transport des étudiants et des professeurs fonctionnaient.
Il y a 15 ans, il existait un réseau de transport en commun public (SOTRAZ, CITY TRAIN), aujourd’hui, rien de tel. Chaque soir, nous assistons à un spectacle désolant de nombreux compatriotes qui rentrent à pied de la Gombe à Masina par manque de transport approprié.
Il y a 15 ans, la société nationale aérienne des transports avec des pilotes bien formés et régulièrement soumis au training faisaient la fierté du grand Zaïre, aujourd’hui la RDC.
Il y a 15 ans, on pouvait de Kolwezi atteindre Lubumbashi en 3
heures de temps.
Il y a 15 ans, la poste, la caisse d’épargne (CADECO) fonctionnaient partout,
Il y a 15 ans il n’y avait pas des massacres, des viols et de déplacements massifs des populations à l’Est, Il y a 15 ans, non seulement les trains de la SNCC arrivaient à Ilebo deux fois par semaine, mais ne connaissaient pas des
déraillements intempestifs ;
Il y a 15 ans, les bateaux de l’ONATRA reliaient Kinshasa à Kisangani en 3 jours et de façon régulière et dans des bonnes conditions de voyage.
Il y a 15 ans, quand on payait les cadres et agents de la Gécamines, de la MIBA, de l’Okimo, de la SNCC, de l’Onatra… leurs familles pouvaient se procurer tous les biens nécessaires, subvenir aux autres besoins et épargner.
Je peux allonger la liste des difficultés auxquelles les Congolais sont confrontés tous les jours, mais je m’arrête là, l’essentiel était de démontrer que le Congolais d’il y a 15 ans vivait nettement mieux que celui d’aujourd’hui. Et j’invite chacun de nous à se remémorer de ses souvenirs d’il y a 15 ans. Et je n’ai pas voulu par
cet exercice faire de démagogie ni du populisme mais seulement rétablir la vérité.
Je vous fais grâce des autres chantiers notamment l’emploi, la santé et l’habitat dont les paramètres tous sont au rouge.
Mais je m’en voudrais de ne pas évoquer quelques promesses qui n’ont connu aucun début de réalisation à ce jour. Quand j’ouvre le contrat chinois, je me demande si je vis sur une autre planète mais j’ai cherché partout au Congo je n’ai pas vu le début des travaux de 1600 kilomètres de rails devant relier Ilebo à Kinshasa, je n’ai pas vu non plus le début de construction de 4 grandes universités, 150 écoles, 150 hôpitaux.
_________________
[b]“Le deuil, c’est pour la vie. Ca ne s’en va jamais, ça fait progressivement partie de vous, à chaque pas, à chaque souffle.”
Mathilde
Re: LES CINQ CHANTIERS DE LA RDC
Kie, kie, kie wana ba oeuvres ya Lino, Mister 5 chantiers, ponts ya 2km ha ha ha Il est trop fort Lino...Mathilde a écrit:
Cava,
Ha ha ha olingi kobuka ngai ba panzi ebeba depuis kala kieeeeeeeeeee autoroute ya 12 bandes, hotels ya 50 etoiles et ponts ya 2km...... ngai na Lino tosi tomesana na biso Loooooooool soki ye atieyi ya kitoko ngai na tieyi ya mabe .... !!
_________________
L'originalité est un des grands principes du romantisme.
ALPHA DOG
Cavalier
Re: LES CINQ CHANTIERS DE LA RDC
http://radiookapi.net/actualite/2011/08/08/rdc-les-coupures-d%e2%80%99electricite-deteriorent-la-vie-des-kinois-selon-la-nscc/
Joss le grand prêtre kabidôlatre mba maquettes bebo, ton RAIS confond priorité et futilité, l'eau et l'éléctricité sas oublier, l'éducation et la santé plus important que ses millions dépensés pour des soi disant peages;
Kinshasa manque d’eau : la Régideso interpellée !
Kinshasa, 08/08/2011 / Société
L’accès à l’eau potable est particulièrement pénible ces derniers mois. Des millions de kinoises et Kinois sont écoeurés par le spectacle macabre que fait subir la Régideso aux femmes, filles et garçons à la recherche du précieux liquide.
Dans un communiqué remis dimanche 07 août 2011, la Nouvelle Société Civile congolaise (NSCC) interpellé la Régideso au sujet des pénuries sèches et prolongées d’eau potable qui frappent des résidents de nombreux quartiers de la ville de Kinshasa. L’accès à l’eau potable est particulièrement pénible ces deux derniers mois. Des millions de Kinoises et Kinois sont écoeurés, à cet effet, par le spectacle des femmes, filles et garçons allant dans tous les sens, armés de bidons vides, à la recherche du précieux liquide.
De messieurs respectables n’hésitent plus à mettre leurs véhicules à contribution pour le transport, au quotidien, des bidons d’eau du centre-ville vers leurs communes de résidence. La location des pousse-pousse, pour servir la même cause, est devenue monnaie courante. Quant aux familles modestes, elles n’ont d’autre alternative que de se rabattre sur l’eau des puits et sources pollués de la périphérie de la ville, s’exposant ainsi à chaque seconde aux maladies d’origine hydrique (diarrhées, cholera) ainsi qu’à celles des mains sales (cholera, fièvre typhoïde).
Les abonnés de la Regideso aimeraient connaître le pourquoi de ces graves perturbations de la desserte en eau potable en cette période où les rivières qui traversent la ville paraissent ne pas souffrir, comme le fleuve Congo de la baisse niveau de leurs eaux. On se souvient qu’il y a trois mois, une réunion d’urgence avait été convoquée par le Premier ministre au sujet des « délestages » en eau potable et électricité ayant atteint la cote d’alerte à Kinshasa. Depuis l’adoption des plans d’urgence en vue de remédier à la situation, le sentiment du moment est que des millions de consommateurs d’eau potable vivent le pire.
Kimp/Le Phare
Joss le grand prêtre kabidôlatre mba maquettes bebo, ton RAIS confond priorité et futilité, l'eau et l'éléctricité sas oublier, l'éducation et la santé plus important que ses millions dépensés pour des soi disant peages;
Kinshasa manque d’eau : la Régideso interpellée !
Kinshasa, 08/08/2011 / Société
L’accès à l’eau potable est particulièrement pénible ces derniers mois. Des millions de kinoises et Kinois sont écoeurés par le spectacle macabre que fait subir la Régideso aux femmes, filles et garçons à la recherche du précieux liquide.
Dans un communiqué remis dimanche 07 août 2011, la Nouvelle Société Civile congolaise (NSCC) interpellé la Régideso au sujet des pénuries sèches et prolongées d’eau potable qui frappent des résidents de nombreux quartiers de la ville de Kinshasa. L’accès à l’eau potable est particulièrement pénible ces deux derniers mois. Des millions de Kinoises et Kinois sont écoeurés, à cet effet, par le spectacle des femmes, filles et garçons allant dans tous les sens, armés de bidons vides, à la recherche du précieux liquide.
De messieurs respectables n’hésitent plus à mettre leurs véhicules à contribution pour le transport, au quotidien, des bidons d’eau du centre-ville vers leurs communes de résidence. La location des pousse-pousse, pour servir la même cause, est devenue monnaie courante. Quant aux familles modestes, elles n’ont d’autre alternative que de se rabattre sur l’eau des puits et sources pollués de la périphérie de la ville, s’exposant ainsi à chaque seconde aux maladies d’origine hydrique (diarrhées, cholera) ainsi qu’à celles des mains sales (cholera, fièvre typhoïde).
Les abonnés de la Regideso aimeraient connaître le pourquoi de ces graves perturbations de la desserte en eau potable en cette période où les rivières qui traversent la ville paraissent ne pas souffrir, comme le fleuve Congo de la baisse niveau de leurs eaux. On se souvient qu’il y a trois mois, une réunion d’urgence avait été convoquée par le Premier ministre au sujet des « délestages » en eau potable et électricité ayant atteint la cote d’alerte à Kinshasa. Depuis l’adoption des plans d’urgence en vue de remédier à la situation, le sentiment du moment est que des millions de consommateurs d’eau potable vivent le pire.
Kimp/Le Phare
mongo elombe
Re: LES CINQ CHANTIERS DE LA RDC
http://www.congoindependant.com/article.php?articleid=6711
BLA BLA BLA
BLA BLA BLA
mongo elombe
Re: LES CINQ CHANTIERS DE LA RDC
Bandal Synkin et le quartier GB bientôt reliés
Dernière édition par lino le 12/8/2011, 7:31 pm, édité 2 fois
lino
Re: LES CINQ CHANTIERS DE LA RDC
http://radiookapi.net/actualite/2011/08/10/kinshasa-l%e2%80%99oms-deplore-l%e2%80%99evolution-rapide-du-cholera/
Lino nini yango lisusu??????????????? FAUTE YA mobutu KAKA OU BIEN?????????
Lino nini yango lisusu??????????????? FAUTE YA mobutu KAKA OU BIEN?????????
mongo elombe
Re: LES CINQ CHANTIERS DE LA RDC
M.E.mongo elombe a écrit:http://radiookapi.net/actualite/2011/08/10/kinshasa-l%e2%80%99oms-deplore-l%e2%80%99evolution-rapide-du-cholera/
Lino nini yango lisusu??????????????? FAUTE YA mobutu KAKA OU BIEN?????????
Bongo faute ya nani lisusu.
Qui nous a pillé et laissé dans cette misère bien organisée???
"Après moi c'est le chaos a- t- il promis avant de faire venir +1 millions de rwandais y compris les génocidaires en RDC"
lino
Re: LES CINQ CHANTIERS DE LA RDC
_________________
[b]“Le deuil, c’est pour la vie. Ca ne s’en va jamais, ça fait progressivement partie de vous, à chaque pas, à chaque souffle.”
Mathilde
Re: LES CINQ CHANTIERS DE LA RDC
RDC : Le taux de scolarité a augmenté de 90,3% à 90,75%, au niveau primaire, selon les statistiques 2009/2010
(Xinhuanet 13/08/2011)
KINSHASA -- Le taux de scolarité a évolué en République démocratique du Congo (RDC) passant de 90,3% à 90,75%, suite à la gratuité des frais scolaires décidés par le gouvernement, indique le bilan statistique 2009/2010 de l'éducation nationale, publié en marge de l'atelier de « validation de données statistiques 2009/2010 » tenu jeudi à Kinshasa.
Élaboré par le Système d'information pour la gestion de l' éducation (SIGE), ce rapport, transmis vendredi à l'Agence Chine Nouvelle, souligne que le taux de scolarisation au niveau du secteur maternel a baissé de 3,8 % à 3,2% à cause du caractère non obligatoire et de la prise en charge des frais scolaires élevés par les parents, ce secteur étant en majorité organisé par les privés.
L'étude relève pour l'enseignement supérieur et universitaire que le taux brut de scolarisation a baissé de 11% à cause de la fermeture de plusieurs établissements pour raison de non viabilité.
En outre, les établissements publics sont surpeuplés contrairement aux privés.
La RDC compte près de 15 millions d'élèves, apprenants et étudiants et le taux de couverture du recensement scolaire pour la période 2009/2010 est de 81,4% pour tous les niveaux d' enseignements confondus. Ce taux est plus élevé au primaire soit 84,3% et plus bas au secondaire soit 75,3%.
Quant au nombre d'écoles sur toute l'étendue du territoire national, il y en a 3048 pour la maternelle, 285160 pour le primaire et 218320 pour le secondaire avec au total 8656 classes.
http://www.africatime.com/rdc/nouvelle.asp?no_nouvelle=616930&no_categorie=
(Xinhuanet 13/08/2011)
KINSHASA -- Le taux de scolarité a évolué en République démocratique du Congo (RDC) passant de 90,3% à 90,75%, suite à la gratuité des frais scolaires décidés par le gouvernement, indique le bilan statistique 2009/2010 de l'éducation nationale, publié en marge de l'atelier de « validation de données statistiques 2009/2010 » tenu jeudi à Kinshasa.
Élaboré par le Système d'information pour la gestion de l' éducation (SIGE), ce rapport, transmis vendredi à l'Agence Chine Nouvelle, souligne que le taux de scolarisation au niveau du secteur maternel a baissé de 3,8 % à 3,2% à cause du caractère non obligatoire et de la prise en charge des frais scolaires élevés par les parents, ce secteur étant en majorité organisé par les privés.
L'étude relève pour l'enseignement supérieur et universitaire que le taux brut de scolarisation a baissé de 11% à cause de la fermeture de plusieurs établissements pour raison de non viabilité.
En outre, les établissements publics sont surpeuplés contrairement aux privés.
La RDC compte près de 15 millions d'élèves, apprenants et étudiants et le taux de couverture du recensement scolaire pour la période 2009/2010 est de 81,4% pour tous les niveaux d' enseignements confondus. Ce taux est plus élevé au primaire soit 84,3% et plus bas au secondaire soit 75,3%.
Quant au nombre d'écoles sur toute l'étendue du territoire national, il y en a 3048 pour la maternelle, 285160 pour le primaire et 218320 pour le secondaire avec au total 8656 classes.
http://www.africatime.com/rdc/nouvelle.asp?no_nouvelle=616930&no_categorie=
joss0
Re: LES CINQ CHANTIERS DE LA RDC
_________________
[b]“Le deuil, c’est pour la vie. Ca ne s’en va jamais, ça fait progressivement partie de vous, à chaque pas, à chaque souffle.”
Mathilde
Re: LES CINQ CHANTIERS DE LA RDC
Electricité : spectre d’une coupure généralisée sur Kinshasa
À quoi bon nous abreuver de maquettes d'immeubles de 65 étages, des hôpitaux modernes, de nouvelles villes construites dans le cadre des 5 chantiers ( Lino et Joss0 peuvent motiver ) si on est pas capable d'assurer en eau et électricité?
Les occupants vont grimper les 65 étages par des escaliers faute d'électricité?
Les toilettes, cuisines, et consort, sans eau, comment vont-elles fonctionner?
De nouvelles en provenance d’Inga ne sont guère rassurantes : un étiage sévère se constate sur le site. Le fleuve n’est plus qu’un filet d’eau qui coule. Or, les turboalternateurs du site d’Inga ne peuvent produire de l’énergie électrique qu’avec une quantité suffisante d’eau sur le fleuve. Des machines en bon état de fonctionnement sont mises volontairement à l’arrêt. Une véritable calamité risque de se produire, si dans les tout prochains jours, le cycle des précipitations ne s’enclenche pas. «Pas de panique», rassure la Snel.
Les efforts fournis par la Snel, pour «gérer» cette véritable «bombe» sont certes louables et à encourager. Mais, face à ce caprice de la nature, l’humain est totalement désarmé. Faute d’eau, le barrage hydroélectrique d’Inga ne vaut pas un seul franc congolais. Sur place, les roches, recouvertes traditionnellement d’eau du fleuve, s’offrent gracieusement en spectacle aux visiteurs. L’eau s’est sensiblement retirée sur une distance estimée à deux kilomètres de part et d’autre des rives, à en croire le directeur du site d’Inga.
L’ingénieur Mbuyi s’est évertué à démontrer à une forte délégation des professionnels de médias que l’étiage actuel est très sévère. «Pareille situation remonte à 1905», a-t-il souligné.
Gestion prudentielle
«La situation de la production hydroélectrique du site d’Inga est caractérisée par une baisse de production limitée à +/-350 MW suite à la calamité naturelle qui frappe le site par l’étiage sévère du fleuve Congo et, par conséquent, la diminution très sensible du plan d’eau dans le canal d’amenée d’eau aux deux centrales», précise le directeur Mbuyi Tshimpanga. Tout a commencé le 30 avril, lorsqu’il a été constaté sur le site d’Inga que le niveau d’eau avait atteint le seuil de 151,61 mètres sur le canal d’amenée et 150,70 mètres sur le fleuve. Depuis, la courbe ne s’est plus relevée. Une pénurie sévère devant les barrages d’Inga I et II a induit une réadaptation à la situation provoquée par cette calamité naturelle. Les trois groupes disponibles à Inga I ne tournent plus que pour produire 4 MW chacune au lieu de 58 MW traditionnellement produits par ces machines en temps normal. Un véritable gâchis !
De même, le constat sur Inga II n’est guère différent : des trois machines en état de fonctionnement, les responsables du site, en accord avec la direction de la Snel, ont décidé de mettre volontairement à l’arrêt le G23 afin de permettre une reconstitution du niveau d’eau sur le canal d’amenée. La G23, l’unique turboalternateur en parfait état, puisqu’ayant subi une opération de fiabilisation, est régulièrement mise hors réseau à la suite du manque d’eau suffisante.
Au lieu de cracher une puissance de plus de 500 MW, les trois machines d’Inga II produisent largement en deçà de leur capacité. L’autre caractéristique de la situation à Inga c’est la sédimentation du canal d’amenée. Il entre dans ce canal «257,4 tonnes de sédiments par heure, soit 6.177,6 tonnes par jour». Avec cette indication, «seuls 50% sont sucés par les machines et/ou évacués par les digues deversantes, les autres sont déposés dans le canal», indique le directeur Mbuyi. Présentement, la capacité d’évacuation solide de la Snel est de 230m3 par heure. Conséquence, il subsiste toujours des dépôts importants qui obstruent le passage des eaux vers les turbines particulièrement celles d’Inga I.
Face à cette situation pour le moins préoccupante, la Snel a opté pour une gestion prudentielle afin de ne pas s’exposer à un black-out faute d’eau pour alimenter les turboalternateurs. Le groupe 3 d’Inga II, ainsi que deux autres en état de fonctionnement sont contraints à l’arrêt volontaire.
Manque d’anticipation
Les graphiques produites par les services du site d’Inga démontrent la situation que rien n’était rassurant. En effet, déjà au mois de janvier 2011, la courbe était anormalement en deçà de la moyenne. Personne à la Snel n’a vu venir cette calamité. Incompétence ou manque de vision ? Rien n’est moins sûr. Et pourtant, à en croire une source de la Snel, sous le couvert de l’anonymat, «l’alarme était donnée déjà au mois de novembre 2010».
Si cette allégation s’avérait vraie, la responsabilité des gestionnaires de la Snel est engagée. S’il s’avérait tout aussi vrai que cette information avait été répercutée auprès du gouvernement, il serait dès lors judicieux de considérer que les autorités, à tous les niveaux, ont brillé par un manque d’esprit d’anticipation. La deuxième drague, acquise pourtant en 2007, n’est pas toujours opérationnelle. Mbuyi Tshimpanga le reconnaît : «la deuxième drague, d’une capacité d’évacuation solide de 600 m3 par seconde, acquise en 2007 sera opérationnelle incessamment». Qu’est-ce qui peut justifier une telle période d’attente pour la mise en service d’une drague livrée à destination depuis des lustres ? Il est vrai que « la situation actuelle de la production hydroélectrique du site d’Inga est essentiellement liée à l’étiage sévère du fleuve Congo et non à la sédimentation du canal d’amenée et encore moins à l’état des machines productrices d’électricité».
Il demeure cependant constant et vrai que l’étiage, à lui seul, ne peut justifier le caractère sévère du délestage en cette période. Rien d’autre ! L’état préoccupant des turbines à Inga n’a pas changé d’un iota. En dehors du G23 à Inga 2, les autres groupes ne répondent pas aux standards. Des pistes de solutions allant dans le sens d’amener davantage d’eau dans le canal pouvait être envisagée et proposée au gouvernement. Personne n’en parle comme s’il existerait une certitude que dans les années à venir, pareil étiage ne se ferait pas signaler.
A partir du 30 avril 2011, tous se sont résignés attendant que le ciel fasse un geste. Or, les calamités naturelles, il faut savoir les dompter ou en limiter les conséquences au strict minimum. Pour le cas de l’actuel étiage, si l’esprit d’anticipation habitait les managers, dès que la moyenne de 41.520 m3 par seconde était franchie, une alerte devrait être donnée et des mesures conséquentes envisagées.
Tout Kinshasa dans le noir
Au 13 aout 2011, le niveau relevé était de 148,74 m3 par seconde. Il faut remonter à 1905 pour retrouver un tel niveau sur le site d’Inga. Ce niveau le plus bas était atteint au milieu du mois de juillet 1905 et la courbe a retrouvé aussitôt sa marche ascendante. Dès lors, les précipitations pourraient-elles revenir dans les tout prochains jours ? Ce n’est pas certain avec le changement climatique qui se fait sentir. L’ADT de la SNEL indique que le retour à la normale pourrait intervenir vers la fin du mois de septembre. Si les précipitations ne reviennent pas rapidement estime un observateur, «Kinshasa sera dans le noir d’ici septembre 2011, parce que les premières pluies sont attendues au début du mois de septembre». Pour Daniel Yengo Masampu, Administrateur directeur général de la Société nationale d’électricité, SNEL, il est plutôt rassurant : «il y aura toujours un minimum d’énergie électrique produit. Ce n’est pas un optimisme dans le vide».
Un black-out intégral sur Kinshasa serait pratiquement l’explosion d’une bombe atomique dans le secteur. L’économie en subirait un sérieux coup. L’entrée en ébullition du front social provoquerait des remous difficilement maîtrisables. Le pays n’en a pas besoin en cette période de reconstruction. Sans être prophète de malheurs, Le Potentiel se veut responsable face à une situation qui ne devrait plus se reproduire, si les autorités avaient précédé les événements au lieu de toujours les subir.
Les conséquences d’une coupure généralisée du courant électrique sur Kinshasa, en attendant les pluies, devraient être «gérées».
http://lejalonducongo.unblog.fr/2011/08/17/electricite-spectre-dune-coupure-generalisee-sur-kinshasa/
Les efforts fournis par la Snel, pour «gérer» cette véritable «bombe» sont certes louables et à encourager. Mais, face à ce caprice de la nature, l’humain est totalement désarmé. Faute d’eau, le barrage hydroélectrique d’Inga ne vaut pas un seul franc congolais. Sur place, les roches, recouvertes traditionnellement d’eau du fleuve, s’offrent gracieusement en spectacle aux visiteurs. L’eau s’est sensiblement retirée sur une distance estimée à deux kilomètres de part et d’autre des rives, à en croire le directeur du site d’Inga.
L’ingénieur Mbuyi s’est évertué à démontrer à une forte délégation des professionnels de médias que l’étiage actuel est très sévère. «Pareille situation remonte à 1905», a-t-il souligné.
Gestion prudentielle
«La situation de la production hydroélectrique du site d’Inga est caractérisée par une baisse de production limitée à +/-350 MW suite à la calamité naturelle qui frappe le site par l’étiage sévère du fleuve Congo et, par conséquent, la diminution très sensible du plan d’eau dans le canal d’amenée d’eau aux deux centrales», précise le directeur Mbuyi Tshimpanga. Tout a commencé le 30 avril, lorsqu’il a été constaté sur le site d’Inga que le niveau d’eau avait atteint le seuil de 151,61 mètres sur le canal d’amenée et 150,70 mètres sur le fleuve. Depuis, la courbe ne s’est plus relevée. Une pénurie sévère devant les barrages d’Inga I et II a induit une réadaptation à la situation provoquée par cette calamité naturelle. Les trois groupes disponibles à Inga I ne tournent plus que pour produire 4 MW chacune au lieu de 58 MW traditionnellement produits par ces machines en temps normal. Un véritable gâchis !
De même, le constat sur Inga II n’est guère différent : des trois machines en état de fonctionnement, les responsables du site, en accord avec la direction de la Snel, ont décidé de mettre volontairement à l’arrêt le G23 afin de permettre une reconstitution du niveau d’eau sur le canal d’amenée. La G23, l’unique turboalternateur en parfait état, puisqu’ayant subi une opération de fiabilisation, est régulièrement mise hors réseau à la suite du manque d’eau suffisante.
Au lieu de cracher une puissance de plus de 500 MW, les trois machines d’Inga II produisent largement en deçà de leur capacité. L’autre caractéristique de la situation à Inga c’est la sédimentation du canal d’amenée. Il entre dans ce canal «257,4 tonnes de sédiments par heure, soit 6.177,6 tonnes par jour». Avec cette indication, «seuls 50% sont sucés par les machines et/ou évacués par les digues deversantes, les autres sont déposés dans le canal», indique le directeur Mbuyi. Présentement, la capacité d’évacuation solide de la Snel est de 230m3 par heure. Conséquence, il subsiste toujours des dépôts importants qui obstruent le passage des eaux vers les turbines particulièrement celles d’Inga I.
Face à cette situation pour le moins préoccupante, la Snel a opté pour une gestion prudentielle afin de ne pas s’exposer à un black-out faute d’eau pour alimenter les turboalternateurs. Le groupe 3 d’Inga II, ainsi que deux autres en état de fonctionnement sont contraints à l’arrêt volontaire.
Manque d’anticipation
Les graphiques produites par les services du site d’Inga démontrent la situation que rien n’était rassurant. En effet, déjà au mois de janvier 2011, la courbe était anormalement en deçà de la moyenne. Personne à la Snel n’a vu venir cette calamité. Incompétence ou manque de vision ? Rien n’est moins sûr. Et pourtant, à en croire une source de la Snel, sous le couvert de l’anonymat, «l’alarme était donnée déjà au mois de novembre 2010».
Si cette allégation s’avérait vraie, la responsabilité des gestionnaires de la Snel est engagée. S’il s’avérait tout aussi vrai que cette information avait été répercutée auprès du gouvernement, il serait dès lors judicieux de considérer que les autorités, à tous les niveaux, ont brillé par un manque d’esprit d’anticipation. La deuxième drague, acquise pourtant en 2007, n’est pas toujours opérationnelle. Mbuyi Tshimpanga le reconnaît : «la deuxième drague, d’une capacité d’évacuation solide de 600 m3 par seconde, acquise en 2007 sera opérationnelle incessamment». Qu’est-ce qui peut justifier une telle période d’attente pour la mise en service d’une drague livrée à destination depuis des lustres ? Il est vrai que « la situation actuelle de la production hydroélectrique du site d’Inga est essentiellement liée à l’étiage sévère du fleuve Congo et non à la sédimentation du canal d’amenée et encore moins à l’état des machines productrices d’électricité».
Il demeure cependant constant et vrai que l’étiage, à lui seul, ne peut justifier le caractère sévère du délestage en cette période. Rien d’autre ! L’état préoccupant des turbines à Inga n’a pas changé d’un iota. En dehors du G23 à Inga 2, les autres groupes ne répondent pas aux standards. Des pistes de solutions allant dans le sens d’amener davantage d’eau dans le canal pouvait être envisagée et proposée au gouvernement. Personne n’en parle comme s’il existerait une certitude que dans les années à venir, pareil étiage ne se ferait pas signaler.
A partir du 30 avril 2011, tous se sont résignés attendant que le ciel fasse un geste. Or, les calamités naturelles, il faut savoir les dompter ou en limiter les conséquences au strict minimum. Pour le cas de l’actuel étiage, si l’esprit d’anticipation habitait les managers, dès que la moyenne de 41.520 m3 par seconde était franchie, une alerte devrait être donnée et des mesures conséquentes envisagées.
Tout Kinshasa dans le noir
Au 13 aout 2011, le niveau relevé était de 148,74 m3 par seconde. Il faut remonter à 1905 pour retrouver un tel niveau sur le site d’Inga. Ce niveau le plus bas était atteint au milieu du mois de juillet 1905 et la courbe a retrouvé aussitôt sa marche ascendante. Dès lors, les précipitations pourraient-elles revenir dans les tout prochains jours ? Ce n’est pas certain avec le changement climatique qui se fait sentir. L’ADT de la SNEL indique que le retour à la normale pourrait intervenir vers la fin du mois de septembre. Si les précipitations ne reviennent pas rapidement estime un observateur, «Kinshasa sera dans le noir d’ici septembre 2011, parce que les premières pluies sont attendues au début du mois de septembre». Pour Daniel Yengo Masampu, Administrateur directeur général de la Société nationale d’électricité, SNEL, il est plutôt rassurant : «il y aura toujours un minimum d’énergie électrique produit. Ce n’est pas un optimisme dans le vide».
Un black-out intégral sur Kinshasa serait pratiquement l’explosion d’une bombe atomique dans le secteur. L’économie en subirait un sérieux coup. L’entrée en ébullition du front social provoquerait des remous difficilement maîtrisables. Le pays n’en a pas besoin en cette période de reconstruction. Sans être prophète de malheurs, Le Potentiel se veut responsable face à une situation qui ne devrait plus se reproduire, si les autorités avaient précédé les événements au lieu de toujours les subir.
Les conséquences d’une coupure généralisée du courant électrique sur Kinshasa, en attendant les pluies, devraient être «gérées».
http://lejalonducongo.unblog.fr/2011/08/17/electricite-spectre-dune-coupure-generalisee-sur-kinshasa/
À quoi bon nous abreuver de maquettes d'immeubles de 65 étages, des hôpitaux modernes, de nouvelles villes construites dans le cadre des 5 chantiers ( Lino et Joss0 peuvent motiver ) si on est pas capable d'assurer en eau et électricité?
Les occupants vont grimper les 65 étages par des escaliers faute d'électricité?
Les toilettes, cuisines, et consort, sans eau, comment vont-elles fonctionner?
King David
Re: LES CINQ CHANTIERS DE LA RDC
[quote="joss0"]RDC : Le taux de scolarité a augmenté de 90,3% à 90,75%, au niveau primaire, selon les statistiques 2009/2010
(Xinhuanet 13/08/2011)
KINSHASA -- Le taux de scolarité a évolué en République démocratique du Congo (RDC) passant de 90,3% à 90,75%, suite à la gratuité des frais scolaires décidés par le gouvernement, indique le bilan statistique 2009/2010 de l'éducation nationale, publié en marge de l'atelier de « validation de données statistiques 2009/2010 » tenu jeudi à Kinshasa.
LE BUDGET DE L´EDUCATION AU CONGO
Avec un peu de bon sens, celui qui poste ce genre d´idiotie devrait sans doute commencer par publier le budget de l´éducation du Congo pendant les 5 ans de la mauvaise gouvernance de Joé le taximan importé de la Tanzanie..
En effet, une petite observation fait voir que l´actuel PM, alors ministre du budget du gouvernement Gizenga avait tout simplement fait baisser le budget de l´éducation..
Un peu de bon sens..comment dans un pays où le gouvernement ne construit pas des écoles..et continue á utiliser des infrastructures héritées de la dictature de Mobutu,,, infrastructures delabrées où les enfants suivent les cours sans bancs, tout simplement assis par terre, où l´état des écoles est si horribles peut.."augmenter le niveau de scolarité"
Avec un peu de bon sens BO ZONGA NA RWANDA
GHOST
Page 21 sur 40 • 1 ... 12 ... 20, 21, 22 ... 30 ... 40
Sujets similaires
» LES CINQ CHANTIERS DE LA RDC
» CD, MEME CINQ SEGONDE DE SILENCE A LA MEMOIRE DE P. LUMUMBA
» l’Angola et c'est cinq chantier ou la vrai révolution de la modernité
» Cinq grands pays décident de ne plus utiliser le dollar
» L´opposition et le livre des Cinq Roues !
» CD, MEME CINQ SEGONDE DE SILENCE A LA MEMOIRE DE P. LUMUMBA
» l’Angola et c'est cinq chantier ou la vrai révolution de la modernité
» Cinq grands pays décident de ne plus utiliser le dollar
» L´opposition et le livre des Cinq Roues !
Page 21 sur 40
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum