Lu pour vous.
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Re: Lu pour vous.
CONGO: DES LIBANAIS AVEC DES PASSEPORTS DIPLOMATIQUES CONGOLAIS
Le passeport diplomatique Congolais est devenu l’apanage des sujets Libanais, de la famille Talal en particulier, qui n’ont depuis des années ne cessent d’abuser de l’hospitalité congolaise. Si au Liban,le congolais et les Africains ne jouissent d’aucune considération, ici par contre ces mêmes Libanais qui maltraitent les Africains chez eux jouissent de tous les honneurs du monde et le plus souvent se font passer pour des blancs bien qu’arabes.
Tout congolais aurait souhaité que l’homme l’Africain bénéficient des mêmes avantages dont jouissent les Libanais au Congo, mais hélas semble mission impossible. Tenez par exemple, le Libanais Hodjei après avoir rendu inapte une congolaise, Flore Baros en l’agressant avec une arme électrique, illégalement introduite au Congo s’est déclaré insolvable après avoir été condamné à dédommager sa victime, et continue de vivre paisiblement à Pointe Noire alors que sa victime a toutes les peines du monde pour survivre. L’inverse aurait été impossible ! Congo Zoba, et toujours Congo Zoba…
Haidar Talal que certains musiciens se permettent de louer à déjà crée des problèmes au Congo à cause des passeports. Ce Libanais, anciennement chef d’Etat major du Liban est devenu ami personnel de notre chef de l’Etat dans un congo où il gère plusieurs hôtels de la famille présidentielle,L’ Olympic palace entre autre. Talal se vante d’une profession « insolite »lorsqu’on le lui demande : Ami personnel du président de la république !…Ce libanais serait un mercenaire d’origine chiite appartenant au Hezbollah,un mouvement terroriste reconnu comme tel par la communauté internationale dont Israël et les Usa redoutent la capacité nuisible.
Sur ces entrefaites, il n’y a pas si longtemps des Libanais suspects avaient été interpellés par les services de sécurité Israéliens en possession des passeports diplomatiques congolais. Acte qui aurait failli crée un incident diplomatique entre le Congo et l’Etat hébreux, et des sources bien introduites soutiennent qu’à son arrivée, le Président Chinois Xi Jinping devait être logé à l’Olympic Palace, mais les services de sécurité Chinois alertés l’ont hébergé finalement au Leger (ex méridien) à cause de Talal jugé « dangereux ». Aussi paradoxal que cela peut paraitre, c’est à ce même Talal et sa famille que le congo délivre des passeports diplomatiques !…
A l’époque un officier de la police, haut fonctionnaire au service d’immigration, nommé Baba mackaire n’aurait il pas été incarcéré pour s’être rendu au Liban avec du matériel nécessaire établir des passeports à la famille, aux amis et connaissances de Talal. On est en droit de s’interroger : Comment un simple étranger peut il avoir plus de pouvoirs que les congolais dans leur propre pays ?…Des chiites du Hezbollah auraient trouvé des accointances au Congo ? Tous ces libanais qui nous envahissent n’auraient ils pas un agenda caché ? Déjà, il n’est plus un secret de polichinelle que la plupart d’entre eux opèrent dans le trafic des minerais, et les commerces qu’ils ont ici et là ne sont qu’écrans…Le Congo Zoba doit finir et il est inconcevable qu’un Libanais menace un Congolais d’arrestation dans son propre pays en cas de différend !
http://paroledafrique.wordpress.com/2013/06/12/congo-des-libanais-avec-des-passeports-diplomatiques-congolais/
(Le glaive)
Un pays ou l'impossible devient possible.
Le passeport diplomatique Congolais est devenu l’apanage des sujets Libanais, de la famille Talal en particulier, qui n’ont depuis des années ne cessent d’abuser de l’hospitalité congolaise. Si au Liban,le congolais et les Africains ne jouissent d’aucune considération, ici par contre ces mêmes Libanais qui maltraitent les Africains chez eux jouissent de tous les honneurs du monde et le plus souvent se font passer pour des blancs bien qu’arabes.
Tout congolais aurait souhaité que l’homme l’Africain bénéficient des mêmes avantages dont jouissent les Libanais au Congo, mais hélas semble mission impossible. Tenez par exemple, le Libanais Hodjei après avoir rendu inapte une congolaise, Flore Baros en l’agressant avec une arme électrique, illégalement introduite au Congo s’est déclaré insolvable après avoir été condamné à dédommager sa victime, et continue de vivre paisiblement à Pointe Noire alors que sa victime a toutes les peines du monde pour survivre. L’inverse aurait été impossible ! Congo Zoba, et toujours Congo Zoba…
Haidar Talal que certains musiciens se permettent de louer à déjà crée des problèmes au Congo à cause des passeports. Ce Libanais, anciennement chef d’Etat major du Liban est devenu ami personnel de notre chef de l’Etat dans un congo où il gère plusieurs hôtels de la famille présidentielle,L’ Olympic palace entre autre. Talal se vante d’une profession « insolite »lorsqu’on le lui demande : Ami personnel du président de la république !…Ce libanais serait un mercenaire d’origine chiite appartenant au Hezbollah,un mouvement terroriste reconnu comme tel par la communauté internationale dont Israël et les Usa redoutent la capacité nuisible.
Sur ces entrefaites, il n’y a pas si longtemps des Libanais suspects avaient été interpellés par les services de sécurité Israéliens en possession des passeports diplomatiques congolais. Acte qui aurait failli crée un incident diplomatique entre le Congo et l’Etat hébreux, et des sources bien introduites soutiennent qu’à son arrivée, le Président Chinois Xi Jinping devait être logé à l’Olympic Palace, mais les services de sécurité Chinois alertés l’ont hébergé finalement au Leger (ex méridien) à cause de Talal jugé « dangereux ». Aussi paradoxal que cela peut paraitre, c’est à ce même Talal et sa famille que le congo délivre des passeports diplomatiques !…
A l’époque un officier de la police, haut fonctionnaire au service d’immigration, nommé Baba mackaire n’aurait il pas été incarcéré pour s’être rendu au Liban avec du matériel nécessaire établir des passeports à la famille, aux amis et connaissances de Talal. On est en droit de s’interroger : Comment un simple étranger peut il avoir plus de pouvoirs que les congolais dans leur propre pays ?…Des chiites du Hezbollah auraient trouvé des accointances au Congo ? Tous ces libanais qui nous envahissent n’auraient ils pas un agenda caché ? Déjà, il n’est plus un secret de polichinelle que la plupart d’entre eux opèrent dans le trafic des minerais, et les commerces qu’ils ont ici et là ne sont qu’écrans…Le Congo Zoba doit finir et il est inconcevable qu’un Libanais menace un Congolais d’arrestation dans son propre pays en cas de différend !
http://paroledafrique.wordpress.com/2013/06/12/congo-des-libanais-avec-des-passeports-diplomatiques-congolais/
(Le glaive)
Un pays ou l'impossible devient possible.
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[b]“Le deuil, c’est pour la vie. Ca ne s’en va jamais, ça fait progressivement partie de vous, à chaque pas, à chaque souffle.”
Mathilde
Re: Lu pour vous.
Et que dire de ceci?
http://7sur7.cd/index.php?option=com_content&view=article&id=47135:le-senateur-moise-nyarugabo-accuse-scandale-a-la-rva--&catid=11:forum-des-as
http://7sur7.cd/index.php?option=com_content&view=article&id=47127:a-la-rva-le-senat-fustige-la-signature-des-contrats-avec-beaucoup-de-legerete&catid=14:lavenir
http://7sur7.cd/index.php?option=com_content&view=article&id=47135:le-senateur-moise-nyarugabo-accuse-scandale-a-la-rva--&catid=11:forum-des-as
http://7sur7.cd/index.php?option=com_content&view=article&id=47127:a-la-rva-le-senat-fustige-la-signature-des-contrats-avec-beaucoup-de-legerete&catid=14:lavenir
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Cooperation only lasts as long as the status quo is unchanged (National Treasure)
I demand respect, if I can't get it, I'll take it
et que celui qui n'a pas d'épée vende son vêtement et achète une épée. Luc 22:36
Hiro-Hito- Admin
Re: Lu pour vous.
Mathilde,
Cet article du passeport Congolais utilise par les libanais, c'est le Congo Brazza ou la RDC?
Cet article du passeport Congolais utilise par les libanais, c'est le Congo Brazza ou la RDC?
_________________
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et que celui qui n'a pas d'épée vende son vêtement et achète une épée. Luc 22:36
Hiro-Hito- Admin
Re: Lu pour vous.
Hiro-Hito a écrit: Mathilde,
Cet article du passeport Congolais utilise par les libanais, c'est le Congo Brazza ou la RDC?
HH,
Ca se passe Congo Brazza.
http://www.dac-presse.com/actualites/a-la-une/societe/1251-l-la-vraie-diplomatie-congolaise-r-basile-ikouebe-et-madouka-dans-le-collimateur-un-reseau-mafieux-de-passeports-diplomatiques-au-ministere-des-affaires-etrangeres.html
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[b]“Le deuil, c’est pour la vie. Ca ne s’en va jamais, ça fait progressivement partie de vous, à chaque pas, à chaque souffle.”
Mathilde
Re: Lu pour vous.
BENSOUDA et LOUISE MUSHIKIWABO match eza woooo.
New York Forum Africa 2013: Louise Mushikiwabo, ministre rwandaise des Affaires étrangères, désavoue Fatou Bensouda « Il n’est pas honnête de dire que la CPI ne s’acharne pas contre l’Afrique »
Par IvoireBusiness - Louise Mushikiwabo, ministre rwandaise des Affaires étrangères, contredit publiquement Fatou Bensouda, au New York Forum Africa 2013.
PHOTO : La procureur général de la CPI, Fatou Bensouda (2e en partant de la gauche) et Louise Mushikiwabo, ministre rwandaise des Affaires étrangères (3e en partant de la gauche) débattent sur le rôle de la CPI au New York Forum Africa 2013 | Ph : Fouâd Harit pour Afrik.com ©
Selon notre confrère en ligne Afrik.com, à l’occasion d’un débat consacré à « l’indépendance » en Afrique, lors de la deuxième édition du New York Forum Africa 2013 à Libreville, au Gabon, le rôle joué par la Cour Pénale Internationale (CPI) a été remis en question par la ministre rwandaise des Affaires étrangères, Louise Mushikiwabo. Présente au débat, la procureur général de l’institution judiciaire, Fatou Bensouda, a tenté tant bien que mal de défendre l’institution judiciaire qu’elle dirige.
« La Cour Pénale Internationale a été créée par la communauté internationale qui n’est pas sous la houlette des grandes puissances ». Cette déclaration est celle de Fatou Bensouda, la procureur général de la CPI, lors du débat placé sous le thème de « La route vers une nouvelle indépendance », au New York Forum Africa 2013, à Libreville, au Gabon. L’évènement, fondé et dirigé par Richard Attias, a rassemblé pour cette deuxième session pas moins de 1500 personnes selon les organisateurs.
Présente au débat, la ministre rwandaise des Affaires étrangères, Louise Mushikiwabo, a accusé les dirigeants de la CPI d’être une organisation judiciaire créée spécialement pour traduire en justice les dirigeants et figures politiques africains. « Il n’est pas honnête de dire que la CPI ne s’acharne pas contre l’Afrique. Je ne suis pas d’accord avec ma sœur Fatou Bensouda, lance le chef de la diplomatie rwandaise. Un grand nombre d’Africains croient fortement à cette CPI mais il y a un vrai problème aujourd’hui. »
Un problème qui selon elle vient directement d’Europe. Elle accuse les Européens d’utiliser « cette CPI » pour manipuler la politique africaine. Elle regrette que la CPI « limite » son champ d’action en Afrique et affirme qu’en dehors des pays africains qui auraient fait appel à la CPI, seuls deux pays du continent sont visés directement par la CPI dont le Soudan.
DES CONCLUSIONS HÂTIVES ?
Fatou Bensouda reprend la parole après les applaudissements de la salle suite au discours de Mushikiwabo : « C’est malheureux qu’un grand nombre de conclusions aient été réduites à la manipulation politique. »
Selon la procureur général, des dirigeants africains, au Mali, en Côte d’Ivoire ou encore en République démocratique du Congo, auraient fait appel à la CPI pour intervenir dans leur pays. « Avec tout le respect que je dois à mon interlocutrice précédente (Louise Mushikiwabo, ndlr), nous savons que l’Afrique a poussé à la création de la CPI ! », a-t-elle lancé avant de rappeler que « le premier pays à avoir ratifié le traité de Rome est un pays africain et il s’agit du Sénégal ».
Pas question de baisser la garde. Après de telles affirmations, Mushikiwabo rebondit : « Ne dites pas que les Africains viennent vous voir (la CPI) pour être jugés. C’est faux car l’Afrique ne veut pas de colonialisme judiciaire ! », a-t-elle rétorqué sur un ton énervé. Suite à cette conclusion, Bensouda a démenti l’exercice d’un colonialisme judiciaire de la part de la CPI en Afrique.
Des personnalités de la société civile et politique en Afrique accusent l’Occident d’avoir créé la CPI dans l’unique but de traquer les bêtes noires de l’Afrique. Fatou Bensouda a au contraire assuré que la CPI a ouvert des dossiers dans d’autres pays hors du continent africain. Oui mais combien comparé aux nombreux dossiers judiciaires ouverts en Afrique par la CPI ?
Source : Afrik.com (Fouâd Harit)
http://www.afrik.com/new-york-forum-africa-2013-la-cpi-une-colonisation-judiciaire-en-afriquE;
New York Forum Africa 2013: Louise Mushikiwabo, ministre rwandaise des Affaires étrangères, désavoue Fatou Bensouda « Il n’est pas honnête de dire que la CPI ne s’acharne pas contre l’Afrique »
Par IvoireBusiness - Louise Mushikiwabo, ministre rwandaise des Affaires étrangères, contredit publiquement Fatou Bensouda, au New York Forum Africa 2013.
PHOTO : La procureur général de la CPI, Fatou Bensouda (2e en partant de la gauche) et Louise Mushikiwabo, ministre rwandaise des Affaires étrangères (3e en partant de la gauche) débattent sur le rôle de la CPI au New York Forum Africa 2013 | Ph : Fouâd Harit pour Afrik.com ©
Selon notre confrère en ligne Afrik.com, à l’occasion d’un débat consacré à « l’indépendance » en Afrique, lors de la deuxième édition du New York Forum Africa 2013 à Libreville, au Gabon, le rôle joué par la Cour Pénale Internationale (CPI) a été remis en question par la ministre rwandaise des Affaires étrangères, Louise Mushikiwabo. Présente au débat, la procureur général de l’institution judiciaire, Fatou Bensouda, a tenté tant bien que mal de défendre l’institution judiciaire qu’elle dirige.
« La Cour Pénale Internationale a été créée par la communauté internationale qui n’est pas sous la houlette des grandes puissances ». Cette déclaration est celle de Fatou Bensouda, la procureur général de la CPI, lors du débat placé sous le thème de « La route vers une nouvelle indépendance », au New York Forum Africa 2013, à Libreville, au Gabon. L’évènement, fondé et dirigé par Richard Attias, a rassemblé pour cette deuxième session pas moins de 1500 personnes selon les organisateurs.
Présente au débat, la ministre rwandaise des Affaires étrangères, Louise Mushikiwabo, a accusé les dirigeants de la CPI d’être une organisation judiciaire créée spécialement pour traduire en justice les dirigeants et figures politiques africains. « Il n’est pas honnête de dire que la CPI ne s’acharne pas contre l’Afrique. Je ne suis pas d’accord avec ma sœur Fatou Bensouda, lance le chef de la diplomatie rwandaise. Un grand nombre d’Africains croient fortement à cette CPI mais il y a un vrai problème aujourd’hui. »
Un problème qui selon elle vient directement d’Europe. Elle accuse les Européens d’utiliser « cette CPI » pour manipuler la politique africaine. Elle regrette que la CPI « limite » son champ d’action en Afrique et affirme qu’en dehors des pays africains qui auraient fait appel à la CPI, seuls deux pays du continent sont visés directement par la CPI dont le Soudan.
DES CONCLUSIONS HÂTIVES ?
Fatou Bensouda reprend la parole après les applaudissements de la salle suite au discours de Mushikiwabo : « C’est malheureux qu’un grand nombre de conclusions aient été réduites à la manipulation politique. »
Selon la procureur général, des dirigeants africains, au Mali, en Côte d’Ivoire ou encore en République démocratique du Congo, auraient fait appel à la CPI pour intervenir dans leur pays. « Avec tout le respect que je dois à mon interlocutrice précédente (Louise Mushikiwabo, ndlr), nous savons que l’Afrique a poussé à la création de la CPI ! », a-t-elle lancé avant de rappeler que « le premier pays à avoir ratifié le traité de Rome est un pays africain et il s’agit du Sénégal ».
Pas question de baisser la garde. Après de telles affirmations, Mushikiwabo rebondit : « Ne dites pas que les Africains viennent vous voir (la CPI) pour être jugés. C’est faux car l’Afrique ne veut pas de colonialisme judiciaire ! », a-t-elle rétorqué sur un ton énervé. Suite à cette conclusion, Bensouda a démenti l’exercice d’un colonialisme judiciaire de la part de la CPI en Afrique.
Des personnalités de la société civile et politique en Afrique accusent l’Occident d’avoir créé la CPI dans l’unique but de traquer les bêtes noires de l’Afrique. Fatou Bensouda a au contraire assuré que la CPI a ouvert des dossiers dans d’autres pays hors du continent africain. Oui mais combien comparé aux nombreux dossiers judiciaires ouverts en Afrique par la CPI ?
Source : Afrik.com (Fouâd Harit)
http://www.afrik.com/new-york-forum-africa-2013-la-cpi-une-colonisation-judiciaire-en-afriquE;
mongo elombe
Re: Lu pour vous.
Lingala facile a-t-elle été sanctionnée par la direction de la RTNC par l’instruction de Lambert MENDE ?
Lingala facile a-t-elle été sanctionnée par la direction de la RTNC par l’instruction de Lambert MENDE ?
L’émission spectacle, un journal caricaturé par des cris aigus en passant leurs présentateurs comme des demeurés, et les téléspectateurs comme des sourds, aura t-elle, peut-être vécue, au regard des éléments qui nous sautent aux yeux ?
Depuis aujourd’hui, plus de sept jours ce journal qui retrace, la souffrance des congolais et l’incurie de la modernité kabilienne à travers la RDC, est en train de subir la loi de la démocratie à la sauce rwandaise tutsisane qui trône à la tête de la RDC ?
Toutes ces interrogations ont permis, l'afriqueredaction.com de commencer une investigation qui a aboutie à un chant de cygne...
Ce qui n’a pas été acceptable pour ceux qui privent "Lingala Facile" de passer sur la chaîne nationale, c’est de voir « l’image de la RTNC » soit écornée par les reportages tendant à discréditer leur clan. Et ne veulent plus voir, après l’échec cuisant de leurs cinq chantiers, et celui de leur nouveau slogan, mis sur la place publique par un pantin qu'on a placé là pour la bonne cause.
Lambert MENDE, d’après un journaliste qui requis l’anonymat nous dira, que ce journal fait " Lingala Facile ", ne plait plus, à ceux qui veulent qu'on les caressent dans le sens du poil de leurs « omnipotents omniscients patrons »…
Le fait que plusieurs webtélés de la diaspora reprennent l’actualité désastreuse du gouvernement, un bilan chaotique du régime, Lambert MENDE et les siens ont sanctionné la machine du député Zacharie BABABASWE, par un arrêt brusque de ses émissions que nous reconnaissons, avoir aidé nos rédactions à faire la cartographie sur cette incurie gouvernementale congolaise.
Zacharie BABABASWE, ne t-il pas victime de sa télé DIREK .TV qui dans son amateurisme ambiant apportait un semblant d’information sur les communes kinoises, accessoirement, pour faire sa pub, en vue des prochaines élections à la tête du gouvernorat à Kinshasa ?
Une boîte de résonance pour permettre celui qu’on appelle monsieur le députe, honorable à conquérir le cœur de Kinois pour devenir le gouverneur de la ville province de Kinshasa ?
Est-ce que Monsieur le Gouvernement André Kimbuta, fumeur du chanvre indien, n’a -t-il pas pesé sur la décision de la RTNC, de mettre hors jeu, l’organe qui lui fait de l’ombre ?
Une chose est cependant certaine, la mafia qui est organisée à la tête de ces institutions ne laisseront pas, un enfant d’un sergent à marcher sur leur plate-bande…
Zacharie BABABASWE contre mauvaise fortune bon cœur, accuse le coup et ne veut pas désarmer, attend les jours meilleurs pour le renouveau de sa télévision.
Espérons, tout de même de voir cet organe qui nous alimente en documents souvent exclusifs, de revenir incessamment sous peu au nom de la liberté de presse. Peut être, la semaine qui débute !
Affaire à suivre....
Roger BONGOS
L’émission spectacle, un journal caricaturé par des cris aigus en passant leurs présentateurs comme des demeurés, et les téléspectateurs comme des sourds, aura t-elle, peut-être vécue, au regard des éléments qui nous sautent aux yeux ?
Depuis aujourd’hui, plus de sept jours ce journal qui retrace, la souffrance des congolais et l’incurie de la modernité kabilienne à travers la RDC, est en train de subir la loi de la démocratie à la sauce rwandaise tutsisane qui trône à la tête de la RDC ?
Toutes ces interrogations ont permis, l'afriqueredaction.com de commencer une investigation qui a aboutie à un chant de cygne...
Ce qui n’a pas été acceptable pour ceux qui privent "Lingala Facile" de passer sur la chaîne nationale, c’est de voir « l’image de la RTNC » soit écornée par les reportages tendant à discréditer leur clan. Et ne veulent plus voir, après l’échec cuisant de leurs cinq chantiers, et celui de leur nouveau slogan, mis sur la place publique par un pantin qu'on a placé là pour la bonne cause.
Lambert MENDE, d’après un journaliste qui requis l’anonymat nous dira, que ce journal fait " Lingala Facile ", ne plait plus, à ceux qui veulent qu'on les caressent dans le sens du poil de leurs « omnipotents omniscients patrons »…
Le fait que plusieurs webtélés de la diaspora reprennent l’actualité désastreuse du gouvernement, un bilan chaotique du régime, Lambert MENDE et les siens ont sanctionné la machine du député Zacharie BABABASWE, par un arrêt brusque de ses émissions que nous reconnaissons, avoir aidé nos rédactions à faire la cartographie sur cette incurie gouvernementale congolaise.
Zacharie BABABASWE, ne t-il pas victime de sa télé DIREK .TV qui dans son amateurisme ambiant apportait un semblant d’information sur les communes kinoises, accessoirement, pour faire sa pub, en vue des prochaines élections à la tête du gouvernorat à Kinshasa ?
Une boîte de résonance pour permettre celui qu’on appelle monsieur le députe, honorable à conquérir le cœur de Kinois pour devenir le gouverneur de la ville province de Kinshasa ?
Est-ce que Monsieur le Gouvernement André Kimbuta, fumeur du chanvre indien, n’a -t-il pas pesé sur la décision de la RTNC, de mettre hors jeu, l’organe qui lui fait de l’ombre ?
Une chose est cependant certaine, la mafia qui est organisée à la tête de ces institutions ne laisseront pas, un enfant d’un sergent à marcher sur leur plate-bande…
Zacharie BABABASWE contre mauvaise fortune bon cœur, accuse le coup et ne veut pas désarmer, attend les jours meilleurs pour le renouveau de sa télévision.
Espérons, tout de même de voir cet organe qui nous alimente en documents souvent exclusifs, de revenir incessamment sous peu au nom de la liberté de presse. Peut être, la semaine qui débute !
Affaire à suivre....
Roger BONGOS
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[b]“Le deuil, c’est pour la vie. Ca ne s’en va jamais, ça fait progressivement partie de vous, à chaque pas, à chaque souffle.”
Mathilde
Re: Lu pour vous.
Sommet de Yaoundé. La leçon d'Obiang Nguema à ses pairs
Alors que Alassane Ouattara et Idriss Deby ont réclamé, d'entrée de jeu « un appui technique et financier» des occidentaux, Obiang Nguema répond : « Les Etats du golfe doivent d’abord compter sur eux pour garantir leur indépendance »
Le Messager
TEXTE TAILLE
Alors que Alassane Ouattara et Idriss Deby ont réclamé, d'entrée de jeu « un appui technique et financier» des occidentaux, Obiang Nguema répond : « Les Etats du golfe doivent d’abord compter sur eux pour garantir leur indépendance »
Quelques instants après la cérémonie d’ouverture du sommet, le président de la République de Guinée équatoriale a accepté d’échanger avec les journalistes dans un studio de circonstance aménagé par la chaîne de télévision Africa 24 ; une occasion au cour de laquelle « l’homme fort » de Malabo n’a pas caché la ferme détermination de ses pairs et lui, à prendre à bras le corps les menaces et à mettre en place une force de lutte collective.
Sur la position de la Guinée équatoriale par rapport à la mutualisation des efforts s’agissant de la lutte sans merci contre l’insécurité maritime, les pirates et la prise de conscience de tous.
D’entrée de jeu, je voudrais très sérieusement remercier les organisateurs de ce sommet. Parce que l’Afrique centrale et les autres pays du golfe de Guinée, sont régulièrement victimes des attaques des pirates en mer. C’est là, l’une des principales raisons qui ont poussé les Etats-membres à tenir ce sommet. Nous devons prendre conscience des graves dangers et des menaces afin d’élaborer des stratégies nous permettant de mieux nous défendre. Mais davantage il est question pour nous de trouver des stratégies et des solutions pour protéger notre espace maritime.
Nous pensons que les Etats-membres doivent clairement prendre en main leurs responsabilités. Il faut pour cela, une réelle volonté des Etats-membres concernés par le golfe de Guinée. Pour arrêter des solutions de lutte contre ces menaces, nous pensons que la bataille doit être collective, celle-ci doit connaître l’engagement ; c’est aussi pour cela, que nous tenons ce premier sommet du golfe de guinée. Dans le même ordre d’idées, nous avons crée la commission du golfe de Guinée. Aujourd’hui, le golfe est une haute zone de commercialisation regorgeant d’importantes ressources qui méritent d’être sécurisées. Ensemble nos Etats peuvent remédier à la situation. J’invite les Etats membres à prendre en main leur destin et leurs responsabilités afin que les recommandations et les résolutions qui vont être prises à ce sommet, soient mises en pratique.
Sur la densification des moyens de lutte
Nous avons pris bonne mesure de l’importance des menaces et les conséquences que cela provoque dans nos économies. Nous sommes aussi conscients qu’on ne doit pas laisser le soin aux autres d’organiser les choses, ni d’intervenir à notre place. Parmi les objectifs visés par notre sommet, il y a la nécessité de la création d’une force d’intervention rapide et efficace. Nous nous organisons comme on peut au niveau de l’Afrique centrale. La Guinée équatoriale ne ménage pas ses énergies et participe avec les bateaux en mer à cette tâche. Nous encourageons tous les Etats-membres à œuvrer dans ce travail de surveillance de notre espace maritime. Les Etats-membres de la Ceeac et de la Cedeao, nous sommes capables. Nous sommes des Etats responsables et avons la capacité de défendre l’espace du golfe de Guinée. Les Etats de cette région doivent d’abord compter sur eux-mêmes pour assurer la sécurité de leur espace maritime et garantir leur indépendance
Sur la géostratégie, de géoéconomique, lorsque 40% du pétrole européen qui provient du golfe de Guinée et la capacité des Etats africains qui n’ont pas des moyens de sûreté et de sécurité offensifs et compétitifs à se prendre en charge pour assurer la plénitude de leur agenda.
Avant de demander l’appui des occidentaux nous devons nous regrouper et mesurer nos forces. Pour assurer nous-mêmes la sécurité dans le golfe. Nous pensons qu’il y a lieu de se jeter à l’eau par des interventions à toutes les attaques dans nos pays. C’est aussi une manière de garantir notre indépendance. Nous espérons et pensons qu’à l’issue de ce sommet, nous serons capables de mobiliser nos forces pour réagir, d’une voix.
Il faut beaucoup d’argent pour réagir. Des pays suffisamment nanties comme la Guinée équatoriale pourront-ils mettre suffisamment d’argent pour lutter efficacement contre ces menaces ?
Disponibles et disposer à débloquer tous les financements nécessaires pour défendre notre espace maritime du golfe de Guinée. Nous devons déployer des stratégies énormes à différents niveaux à l’échelle des institutions régionales ; sous régionales et nationales. Pour cela il nous faut débloquer des moyens. C’est vrai aussi qu’au cours de ce sommet nous devons rechercher des voies et moyens, pour mettre en place une force unique qui évite de disperser les énergies et les moyens de lutte. Nous devons adopter des politiques communes et concertées de lutte contre les menaces ; accélérer les méthodes de vigilance interne des services de sécurité des Etats, ceci pour nous permettre d’être à l’abri d’autres dangers.
Propos recueillis par Souley ONOHIOLO
Note. Le chapeau est de la rédaction de cameroonvoice.
Alors que Alassane Ouattara et Idriss Deby ont réclamé, d'entrée de jeu « un appui technique et financier» des occidentaux, Obiang Nguema répond : « Les Etats du golfe doivent d’abord compter sur eux pour garantir leur indépendance »
Le Messager
TEXTE TAILLE
Alors que Alassane Ouattara et Idriss Deby ont réclamé, d'entrée de jeu « un appui technique et financier» des occidentaux, Obiang Nguema répond : « Les Etats du golfe doivent d’abord compter sur eux pour garantir leur indépendance »
Quelques instants après la cérémonie d’ouverture du sommet, le président de la République de Guinée équatoriale a accepté d’échanger avec les journalistes dans un studio de circonstance aménagé par la chaîne de télévision Africa 24 ; une occasion au cour de laquelle « l’homme fort » de Malabo n’a pas caché la ferme détermination de ses pairs et lui, à prendre à bras le corps les menaces et à mettre en place une force de lutte collective.
Sur la position de la Guinée équatoriale par rapport à la mutualisation des efforts s’agissant de la lutte sans merci contre l’insécurité maritime, les pirates et la prise de conscience de tous.
D’entrée de jeu, je voudrais très sérieusement remercier les organisateurs de ce sommet. Parce que l’Afrique centrale et les autres pays du golfe de Guinée, sont régulièrement victimes des attaques des pirates en mer. C’est là, l’une des principales raisons qui ont poussé les Etats-membres à tenir ce sommet. Nous devons prendre conscience des graves dangers et des menaces afin d’élaborer des stratégies nous permettant de mieux nous défendre. Mais davantage il est question pour nous de trouver des stratégies et des solutions pour protéger notre espace maritime.
Nous pensons que les Etats-membres doivent clairement prendre en main leurs responsabilités. Il faut pour cela, une réelle volonté des Etats-membres concernés par le golfe de Guinée. Pour arrêter des solutions de lutte contre ces menaces, nous pensons que la bataille doit être collective, celle-ci doit connaître l’engagement ; c’est aussi pour cela, que nous tenons ce premier sommet du golfe de guinée. Dans le même ordre d’idées, nous avons crée la commission du golfe de Guinée. Aujourd’hui, le golfe est une haute zone de commercialisation regorgeant d’importantes ressources qui méritent d’être sécurisées. Ensemble nos Etats peuvent remédier à la situation. J’invite les Etats membres à prendre en main leur destin et leurs responsabilités afin que les recommandations et les résolutions qui vont être prises à ce sommet, soient mises en pratique.
Sur la densification des moyens de lutte
Nous avons pris bonne mesure de l’importance des menaces et les conséquences que cela provoque dans nos économies. Nous sommes aussi conscients qu’on ne doit pas laisser le soin aux autres d’organiser les choses, ni d’intervenir à notre place. Parmi les objectifs visés par notre sommet, il y a la nécessité de la création d’une force d’intervention rapide et efficace. Nous nous organisons comme on peut au niveau de l’Afrique centrale. La Guinée équatoriale ne ménage pas ses énergies et participe avec les bateaux en mer à cette tâche. Nous encourageons tous les Etats-membres à œuvrer dans ce travail de surveillance de notre espace maritime. Les Etats-membres de la Ceeac et de la Cedeao, nous sommes capables. Nous sommes des Etats responsables et avons la capacité de défendre l’espace du golfe de Guinée. Les Etats de cette région doivent d’abord compter sur eux-mêmes pour assurer la sécurité de leur espace maritime et garantir leur indépendance
Sur la géostratégie, de géoéconomique, lorsque 40% du pétrole européen qui provient du golfe de Guinée et la capacité des Etats africains qui n’ont pas des moyens de sûreté et de sécurité offensifs et compétitifs à se prendre en charge pour assurer la plénitude de leur agenda.
Avant de demander l’appui des occidentaux nous devons nous regrouper et mesurer nos forces. Pour assurer nous-mêmes la sécurité dans le golfe. Nous pensons qu’il y a lieu de se jeter à l’eau par des interventions à toutes les attaques dans nos pays. C’est aussi une manière de garantir notre indépendance. Nous espérons et pensons qu’à l’issue de ce sommet, nous serons capables de mobiliser nos forces pour réagir, d’une voix.
Il faut beaucoup d’argent pour réagir. Des pays suffisamment nanties comme la Guinée équatoriale pourront-ils mettre suffisamment d’argent pour lutter efficacement contre ces menaces ?
Disponibles et disposer à débloquer tous les financements nécessaires pour défendre notre espace maritime du golfe de Guinée. Nous devons déployer des stratégies énormes à différents niveaux à l’échelle des institutions régionales ; sous régionales et nationales. Pour cela il nous faut débloquer des moyens. C’est vrai aussi qu’au cours de ce sommet nous devons rechercher des voies et moyens, pour mettre en place une force unique qui évite de disperser les énergies et les moyens de lutte. Nous devons adopter des politiques communes et concertées de lutte contre les menaces ; accélérer les méthodes de vigilance interne des services de sécurité des Etats, ceci pour nous permettre d’être à l’abri d’autres dangers.
Propos recueillis par Souley ONOHIOLO
Note. Le chapeau est de la rédaction de cameroonvoice.
mongo elombe
Re: Lu pour vous.
L’opposant Gabriel Mokia libéré après 42 mois de prison
http://radiookapi.net/actualite/2013/06/30/rdc-lopposant-gabriel-mokia-libere-apres-42-mois-de-prison/
L’opposant Gabriel Mokia a été libéré, samedi 29 juin, après 42 mois à la Prison centrale de Makala. Dans un entretien dimanche 30 juin à Radio Okapi, le président du Mouvement des démocrates congolais (MDC) affirme avoir été maltraité tout au long de sa détention.
«J’étais un homme malade et malmené sur tous les plans. On a fait des mécanismes pour que je sois humilié en me jetant au pavillon V, réservé pourtant aux criminels. Toute fois, je pardonne tout le monde», a déclaré Gabriel Mokia.
Il affirme avoir été soutenu financièrement par des hommes et femmes de bonne volonté.
«Du 1er au 30, les gens venaient me voir et me laisser de l’argent et ils me donnaient des chances de réussite», a jouté Gabriel Mokia.
Le président du MDC a indiqué que sa famille biologique l’a aidé à surmonter les maladies en lui apportant des médicaments à chaque fois qu’il était souffrant.
Il demande par ailleurs au gouvernement d’améliorer les conditions de détention à la Prison centrale de Makala où, selon lui, les détenus ne mangent que quelques graines de haricots et celles de maïs par journée.
Gabriel Mokia avait été appréhendé en janvier 2010 à son domicile par la police qui l’accusait de coups et blessures volontaires sur Benoit Yolama, un membre de la Majorité présidentielle (MP) avec lequel il a eu à en découdre sur un plateau de télévision au cours d’une émission de débat politique.
L’arrestation de Mokia avait été confirmée à Radio Okapi par Christian Badibangi, membre de l’opposition qui se trouvait aussi sur le même plateau de télévision, et par Jean Baptiste Bomanza, ancien de l’UDPS et membre de l’UN (Union pour la nation), également de l’opposition.
http://radiookapi.net/actualite/2013/06/30/rdc-lopposant-gabriel-mokia-libere-apres-42-mois-de-prison/
L’opposant Gabriel Mokia a été libéré, samedi 29 juin, après 42 mois à la Prison centrale de Makala. Dans un entretien dimanche 30 juin à Radio Okapi, le président du Mouvement des démocrates congolais (MDC) affirme avoir été maltraité tout au long de sa détention.
«J’étais un homme malade et malmené sur tous les plans. On a fait des mécanismes pour que je sois humilié en me jetant au pavillon V, réservé pourtant aux criminels. Toute fois, je pardonne tout le monde», a déclaré Gabriel Mokia.
Il affirme avoir été soutenu financièrement par des hommes et femmes de bonne volonté.
«Du 1er au 30, les gens venaient me voir et me laisser de l’argent et ils me donnaient des chances de réussite», a jouté Gabriel Mokia.
Le président du MDC a indiqué que sa famille biologique l’a aidé à surmonter les maladies en lui apportant des médicaments à chaque fois qu’il était souffrant.
Il demande par ailleurs au gouvernement d’améliorer les conditions de détention à la Prison centrale de Makala où, selon lui, les détenus ne mangent que quelques graines de haricots et celles de maïs par journée.
Gabriel Mokia avait été appréhendé en janvier 2010 à son domicile par la police qui l’accusait de coups et blessures volontaires sur Benoit Yolama, un membre de la Majorité présidentielle (MP) avec lequel il a eu à en découdre sur un plateau de télévision au cours d’une émission de débat politique.
L’arrestation de Mokia avait été confirmée à Radio Okapi par Christian Badibangi, membre de l’opposition qui se trouvait aussi sur le même plateau de télévision, et par Jean Baptiste Bomanza, ancien de l’UDPS et membre de l’UN (Union pour la nation), également de l’opposition.
Jim KK
Re: Lu pour vous.
Les nouveaux barbares : comment les USA et la France pillent l’Afrique
Guerre civile en RDC Des enfants jettent des pierres à des casques bleus dans la région de Goma au Congo Kinshasa.
Au moment où Obama fait la tournée des popotes en Afrique pour promouvoir les intérêts des multinationales états-uniennes, il est temps d'évoquer l'envers du décor, la finalité des politiques étrangères africaines de la France et des Etats-Unis mais surtout les méthodes utilisées par ces deux grandes puissances. Leurs stratégies géopolitiques, parfois en synergie ou parfois antagonistes, consistent à assurer la prédation des richesses des pays africains afin de garantir leur propre indépendance énergétique pour le XXIème siècle et conforter leurs positions de grandes puissances pour ce nouveau siècle. Les moyens utilisés ne sont plus limités à de simples réseaux (françafricains...) - l'ont-ils jamais été ? - mais sont militaires, offensifs et guerriers dans la droite ligne de la stratégie coloniale en ce qui concerne la France et impérialiste en ce qui concerne les USA. L'armée française est devenue le nouveau fer de lance des stratégies atlantistes en Afrique mais l'Etat français compte aussi tirer son épingle du jeu de massacre.
En effet la France est dépendante énergétiquement de nombreux pays africains notamment pour le pétrole (Gabon, Congo-Brazzaville, Libye, Côte d'Ivoire...) et surtout pour son énergie électrique qui provient à 75 % du nucléaire dont la majeure partie du combustible - l'uranium - provient des mines africaines (Niger et Centrafrique).
L'Etat français a donc multiplié ses invasions barbares pour placer, suite à de nouvelles (re)conquêtes militaires, des régimes qui lui sont favorables à la tête de ses ex-colonies (ou néocolonie). Ce fut le cas en Côte d'Ivoire (en 2010) où le socialiste panafricain Gbagbo gênait les manoeuvres franco-états-uniennes dans la région pour l'accaparement des richesses (pétrole [1. Nouvelle découverte de pétrole (pour Total) en Côte d'Ivoire], gaz, cacao...), en Libye (2011) où le leader panafricain Kadhafi était un obstacle majeur à l'impérialisme atlantiste en Afrique ([2. Pétrole : l’accord secret entre le CNT et la France] ; [3. Total compte investir près de 100 millions d'euros en Libye] et enfin au Mali (en 2013) afin de contrôler les richesses (or, uranium), sécuriser la frontière du Niger et isoler l'Algérie [4. Le saccage impérialiste des richesses de l'Afrique]. Depuis quelques années, on assiste donc à une multiplication des bases militaires françaises dans de nombreux pays du pré-carré francophone d'Afrique renforçant ainsi les positions et implantations stratégiques. Ces implantations assurant une domination militaire permettent de s'approvisionner à bon compte en richesses minières (or, pétrole, uranium, gaz, cacao, ...) via des kleptocrates affidés à l'Etat français, de contrer militairement l'expansion économique chinoise en Afrique mais aussi de conforter la chasse-gardée française face à l'appétit grandissant de l'oncle Sam en Afrique. Ainsi le Livre blanc sur la défense et la sécurité (PDF), rendu public à Paris le 29 avril dernier, porte la marque de l'opération guerrière française au Mali où le gouvernement et "le chef de guerre" Hollande (expression de l'AFP, ndlr [5. Le "chef de guerre" Hollande va de Mali en pis...en Centrafrique]) ont érigé la zone sahélo-saharienne, le golfe de Guinée et la Corne de l’Afrique en « zones proches d’intérêt prioritaire ». ([6. Bases françaises en Afrique : on rouvre !] ).
Voici une liste non exhaustive des bases militaires françaises sur le continent africain :
- Mali
- Côte d'Ivoire
- Centrafrique
- Gabon
- Djibouti
- Tchad
- Sénégal...
La balkanisation de l’Afrique par la guerre Bombes et canons à Syrte en 2011 (Libye)
Les Etats-Unis quant à eux s'implantent en Afrique au travers de la constitution de l'Africom (Commandement des États-Unis pour l'Afrique ou en anglais United States Africa Command ou AFRICOM)." Ce commandement unifié fut préconisée par un think tank israélo-américain, l’Institute for Advanced Strategic and Political Studies (IASPS). Annoncé par l'administration Bush le 6 février 2007, il a commencé à fonctionner le 1er octobre 2008 et fut placé sous le commandement du général afro-américain William E. Ward, ancien coordinateur de la sécurité entre Israël et l’Autorité palestinienne" [7. Commandement des États-Unis pour l'Afrique]. Faute de prétendants africains, son QG actuel se situe à Stuttgart en Allemagne. Cette force qui est constituée de militaires états-uniens et de tirailleurs africains issus d'Ethiopie, d'Ouganda, du Rwanda,...est répartie dans de nombreux pays africains francophones et anglophones. Pour bien illustrer les influences militaires US il faut noter que la nouvelle mission de l’ONU au Mali qui se met en place à compter du mois de juillet comportera douze mille hommes et que les deux plus gros contingents seront fournis par le Rwanda et le Nigeria deux armées sous étroite influence US. Du fait de l'absence d'histoire coloniale en Afrique, les bases militaires US en Afrique sont plus limitées que leurs homologues françaises mais un certain nombre se lovent dans les zones d'influence francophones. Ainsi la plus grosse base militaire US se situe à Djibouti qui est encore sous influence française. D'autres, plus limitées, profitent des liens étroits franco-états-uniens (atlantistes) pour s'installer notamment au Niger, au Mali, en RCA [8. Le festin de l’araignée : Africom tisse sa toile]. Elles prennent un nouvel essor dans le cadre du nouveau jeu de synergie atlantiste qui s'est accentué depuis l'arrivée au pouvoir de présidents français adoubés par les think-tanks états-uniens et proches des milieux atlantistes (Sarkozy, Hollande). Bien sûr, il existe aussi quelques bases US en zone anglophone "Au Kenya à Garissa, Manda Baya et Mombasa Louma point de départ de ses interventions dans la Somalie voisine où elle apporte un soutien logistique permanent aux forces de l’Amisom de l’Union Africaine, au Sud Soudan pour bien montrer que la toute nouvelle l’indépendance de ce pays est un nouvel asservissement, en Ethiopie à l’aéroport d’Arba Minch, en Ouganda à Entebbe" [8. Ibid].
Contrairement à ce que les communiquants des nouveaux barbares font gober aux opinions publiques sous couvert de message paternalo-racialiste, il ne s'agit pas d'apporter la civilisation (ou "la démocratie" dans la version moderne du message colonisateur Jules Ferryen) ni de lutter contre le terrorisme - on sait à présent que les USA, la France, Israël et la Grande-Bretagne soutiennent Al-Qaïda en Syrie pour se frayer un passage vers l'Iran, il en a été de même pour les djihadistes islamistes en Libye qui se retrouvent actuellement au Mali ou en Syrie - mais d'assurer la main mise sur les richesses de ces pays en y installant des dirigeants favorables à leurs intérêts soit par des coups d'Etat organisés en haut lieu dans les sphères franco-états-uniennes (au Burkina Faso [9-13], au Congo-Brazzaville [14-17]...), soit par des guerres d'invasion ( le Mali en 2013, la Libye en 2011, la Côte d'Ivoire en 2010) ou/et par l'organisation du chaos et de guerres civiles (comme au Libéria de 1989 à 1995 [18-20], comme au Congo-Brazzaville en 1997 [14-16], ou en RDC de 1996 à 2013 [21-23] ...). Il va s'en dire qu'une dictature servile soumise aux intérêts des puissances dominantes permet à celles-ci de bénéficier des richesses à bon compte mais que l'absence de gouvernement avec le chaos organisé au travers de guerres civiles comme c'est actuellement le cas en RDC [23. BLOOD MINERALS:The Criminalization of the Mining Industry in Eastern DRC (PDF)] permet aux multinationales de ces puissances de piller les richesses en traitant directement avec des milices ou rebelles qui bradent les ressources nationales. C'est une évolution à craindre qui s'avère beaucoup plus juteuse pour les nouveaux barbares qui nous gouvernent pétris de convoitise et de cupidité en ces temps de crise économique. Les nouveaux barbares et leurs multinationales sont prêts à sacrifier des millions d'Africains [24.Le conflit au Congo a fait plus de six millions de morts] sur l'autel du dieu fric. Un nouvel "holocauste" ?
Guerre civile en RDC Des enfants jettent des pierres à des casques bleus dans la région de Goma au Congo Kinshasa.
Au moment où Obama fait la tournée des popotes en Afrique pour promouvoir les intérêts des multinationales états-uniennes, il est temps d'évoquer l'envers du décor, la finalité des politiques étrangères africaines de la France et des Etats-Unis mais surtout les méthodes utilisées par ces deux grandes puissances. Leurs stratégies géopolitiques, parfois en synergie ou parfois antagonistes, consistent à assurer la prédation des richesses des pays africains afin de garantir leur propre indépendance énergétique pour le XXIème siècle et conforter leurs positions de grandes puissances pour ce nouveau siècle. Les moyens utilisés ne sont plus limités à de simples réseaux (françafricains...) - l'ont-ils jamais été ? - mais sont militaires, offensifs et guerriers dans la droite ligne de la stratégie coloniale en ce qui concerne la France et impérialiste en ce qui concerne les USA. L'armée française est devenue le nouveau fer de lance des stratégies atlantistes en Afrique mais l'Etat français compte aussi tirer son épingle du jeu de massacre.
En effet la France est dépendante énergétiquement de nombreux pays africains notamment pour le pétrole (Gabon, Congo-Brazzaville, Libye, Côte d'Ivoire...) et surtout pour son énergie électrique qui provient à 75 % du nucléaire dont la majeure partie du combustible - l'uranium - provient des mines africaines (Niger et Centrafrique).
L'Etat français a donc multiplié ses invasions barbares pour placer, suite à de nouvelles (re)conquêtes militaires, des régimes qui lui sont favorables à la tête de ses ex-colonies (ou néocolonie). Ce fut le cas en Côte d'Ivoire (en 2010) où le socialiste panafricain Gbagbo gênait les manoeuvres franco-états-uniennes dans la région pour l'accaparement des richesses (pétrole [1. Nouvelle découverte de pétrole (pour Total) en Côte d'Ivoire], gaz, cacao...), en Libye (2011) où le leader panafricain Kadhafi était un obstacle majeur à l'impérialisme atlantiste en Afrique ([2. Pétrole : l’accord secret entre le CNT et la France] ; [3. Total compte investir près de 100 millions d'euros en Libye] et enfin au Mali (en 2013) afin de contrôler les richesses (or, uranium), sécuriser la frontière du Niger et isoler l'Algérie [4. Le saccage impérialiste des richesses de l'Afrique]. Depuis quelques années, on assiste donc à une multiplication des bases militaires françaises dans de nombreux pays du pré-carré francophone d'Afrique renforçant ainsi les positions et implantations stratégiques. Ces implantations assurant une domination militaire permettent de s'approvisionner à bon compte en richesses minières (or, pétrole, uranium, gaz, cacao, ...) via des kleptocrates affidés à l'Etat français, de contrer militairement l'expansion économique chinoise en Afrique mais aussi de conforter la chasse-gardée française face à l'appétit grandissant de l'oncle Sam en Afrique. Ainsi le Livre blanc sur la défense et la sécurité (PDF), rendu public à Paris le 29 avril dernier, porte la marque de l'opération guerrière française au Mali où le gouvernement et "le chef de guerre" Hollande (expression de l'AFP, ndlr [5. Le "chef de guerre" Hollande va de Mali en pis...en Centrafrique]) ont érigé la zone sahélo-saharienne, le golfe de Guinée et la Corne de l’Afrique en « zones proches d’intérêt prioritaire ». ([6. Bases françaises en Afrique : on rouvre !] ).
Voici une liste non exhaustive des bases militaires françaises sur le continent africain :
- Mali
- Côte d'Ivoire
- Centrafrique
- Gabon
- Djibouti
- Tchad
- Sénégal...
La balkanisation de l’Afrique par la guerre Bombes et canons à Syrte en 2011 (Libye)
Les Etats-Unis quant à eux s'implantent en Afrique au travers de la constitution de l'Africom (Commandement des États-Unis pour l'Afrique ou en anglais United States Africa Command ou AFRICOM)." Ce commandement unifié fut préconisée par un think tank israélo-américain, l’Institute for Advanced Strategic and Political Studies (IASPS). Annoncé par l'administration Bush le 6 février 2007, il a commencé à fonctionner le 1er octobre 2008 et fut placé sous le commandement du général afro-américain William E. Ward, ancien coordinateur de la sécurité entre Israël et l’Autorité palestinienne" [7. Commandement des États-Unis pour l'Afrique]. Faute de prétendants africains, son QG actuel se situe à Stuttgart en Allemagne. Cette force qui est constituée de militaires états-uniens et de tirailleurs africains issus d'Ethiopie, d'Ouganda, du Rwanda,...est répartie dans de nombreux pays africains francophones et anglophones. Pour bien illustrer les influences militaires US il faut noter que la nouvelle mission de l’ONU au Mali qui se met en place à compter du mois de juillet comportera douze mille hommes et que les deux plus gros contingents seront fournis par le Rwanda et le Nigeria deux armées sous étroite influence US. Du fait de l'absence d'histoire coloniale en Afrique, les bases militaires US en Afrique sont plus limitées que leurs homologues françaises mais un certain nombre se lovent dans les zones d'influence francophones. Ainsi la plus grosse base militaire US se situe à Djibouti qui est encore sous influence française. D'autres, plus limitées, profitent des liens étroits franco-états-uniens (atlantistes) pour s'installer notamment au Niger, au Mali, en RCA [8. Le festin de l’araignée : Africom tisse sa toile]. Elles prennent un nouvel essor dans le cadre du nouveau jeu de synergie atlantiste qui s'est accentué depuis l'arrivée au pouvoir de présidents français adoubés par les think-tanks états-uniens et proches des milieux atlantistes (Sarkozy, Hollande). Bien sûr, il existe aussi quelques bases US en zone anglophone "Au Kenya à Garissa, Manda Baya et Mombasa Louma point de départ de ses interventions dans la Somalie voisine où elle apporte un soutien logistique permanent aux forces de l’Amisom de l’Union Africaine, au Sud Soudan pour bien montrer que la toute nouvelle l’indépendance de ce pays est un nouvel asservissement, en Ethiopie à l’aéroport d’Arba Minch, en Ouganda à Entebbe" [8. Ibid].
Contrairement à ce que les communiquants des nouveaux barbares font gober aux opinions publiques sous couvert de message paternalo-racialiste, il ne s'agit pas d'apporter la civilisation (ou "la démocratie" dans la version moderne du message colonisateur Jules Ferryen) ni de lutter contre le terrorisme - on sait à présent que les USA, la France, Israël et la Grande-Bretagne soutiennent Al-Qaïda en Syrie pour se frayer un passage vers l'Iran, il en a été de même pour les djihadistes islamistes en Libye qui se retrouvent actuellement au Mali ou en Syrie - mais d'assurer la main mise sur les richesses de ces pays en y installant des dirigeants favorables à leurs intérêts soit par des coups d'Etat organisés en haut lieu dans les sphères franco-états-uniennes (au Burkina Faso [9-13], au Congo-Brazzaville [14-17]...), soit par des guerres d'invasion ( le Mali en 2013, la Libye en 2011, la Côte d'Ivoire en 2010) ou/et par l'organisation du chaos et de guerres civiles (comme au Libéria de 1989 à 1995 [18-20], comme au Congo-Brazzaville en 1997 [14-16], ou en RDC de 1996 à 2013 [21-23] ...). Il va s'en dire qu'une dictature servile soumise aux intérêts des puissances dominantes permet à celles-ci de bénéficier des richesses à bon compte mais que l'absence de gouvernement avec le chaos organisé au travers de guerres civiles comme c'est actuellement le cas en RDC [23. BLOOD MINERALS:The Criminalization of the Mining Industry in Eastern DRC (PDF)] permet aux multinationales de ces puissances de piller les richesses en traitant directement avec des milices ou rebelles qui bradent les ressources nationales. C'est une évolution à craindre qui s'avère beaucoup plus juteuse pour les nouveaux barbares qui nous gouvernent pétris de convoitise et de cupidité en ces temps de crise économique. Les nouveaux barbares et leurs multinationales sont prêts à sacrifier des millions d'Africains [24.Le conflit au Congo a fait plus de six millions de morts] sur l'autel du dieu fric. Un nouvel "holocauste" ?
mongo elombe
Re: Lu pour vous.
RÉPUBLIQUE NORD CORÉENNE DE KINGAKATI...
Augustin Bitangilayi Bantu !!!
Pour ceux qui ne le savent pas encore, les assistants et chefs des travaux sont en grève sur toute l'étendue de la RDC juste au moment où les étudiants attendaient commencer leur session et clôturer l'année.
Ceux de l'ISC/Gombe, en ordre avec leurs frais académiques, refusent d'être des victimes innocentes et ont décidé de descendre au ministère de l'ESU pour demander au gouvernement de payer le corps scientifique.
égal à lui-même, l'imposteur n'a pas d'état d'âme! Il a administré aux étudiants une correction digne d'un autocrate qui se veut l'alpha et l’oméga de la RDC.
A partir de 1.50 minutes
Augustin Bitangilayi Bantu !!!
Pour ceux qui ne le savent pas encore, les assistants et chefs des travaux sont en grève sur toute l'étendue de la RDC juste au moment où les étudiants attendaient commencer leur session et clôturer l'année.
Ceux de l'ISC/Gombe, en ordre avec leurs frais académiques, refusent d'être des victimes innocentes et ont décidé de descendre au ministère de l'ESU pour demander au gouvernement de payer le corps scientifique.
égal à lui-même, l'imposteur n'a pas d'état d'âme! Il a administré aux étudiants une correction digne d'un autocrate qui se veut l'alpha et l’oméga de la RDC.
A partir de 1.50 minutes
_________________
[b]“Le deuil, c’est pour la vie. Ca ne s’en va jamais, ça fait progressivement partie de vous, à chaque pas, à chaque souffle.”
Mathilde
Re: Lu pour vous.
ONU-Genève: Wivine Mumba Matipa étale ses insuffisances et sa médiocrité sur les questions des droits de femmes en République démocratique du Congo !
Par Freddy Mulongo, dimanche 14 juillet 2013 à 07:19
On nous avait prévenu, le gouvernement Matata Pognon est constitué des technocrates. Mais ce que nous avons vécu le jeudi 11 juillet au Palais des Nations à Genève, salle XVI est ahurissant ! Au Comité pour l'élimination de la discrimination à l'égard des femmes (CEDAW), 55ème session, Wivine Mumba, Ministre de la justice et droits humains de la République démocratique du Congo a étalé au grand jour ses insuffisances et sa médiocrité face aux experts de l'ONU. On sait maintenant entre méritocratie et médiocratie, le gouvernement Matata Pognon sait parfaitement où il veut aller, dans le bas fond ! La ministre Wivine Mumba et ses conseillers étaient-ils venus en promenade de santé à l'ONU-Genève ? A Réveil-FM International, nous n'avons pas pour habitude de tirer sur une ambulance. Mais lorsque la ministre de Jo Ka affirme que l'école primaire est gratuite et oublie de signifier aux experts Onusiens que les écoliers sont chassés de l'école puisque les parents n'ont pas payé les frais de minerval, s'agit-il d'une ignorance, de mauvaise foi ou d'un mensonge d'Etat ? Sait-elle que les diplômes de RDC ne sont pas reconnus par l'Unesco ? Wivine Mumba affirme même qu'il n' y a pas autant de viols de femmes congolaises, le chiffre de femmes violées en RDC est gonflé par les Ongs pour leur financement. A-t-elle eu l'occasion d'aller à l’hôpital Panzi et de parler avec le Dr. Denis Mukwege qui répare les femmes congolaises victimes de viols ? La République démocratique du Congo est contre l'avortement puisqu'elle doit peupler ses 2 345 000 km2 de superficie ! N'est-ce pas une réponse alambiquée ? Le poids de la religion dans la société congolaise serait déjà une ébauche: 58 % de Congolais sont catholiques, 35 % de congolais sont protestants, évangéliques et appartenant aux églises de Réveil, 10 % sont des Kimbaguistes...Toutes les Eglises sont contre l'avortement !
http://reveil-fm.com/index.php/2013/07/14/3777-onu-geneve-wivine-mumba-matipa-etale-ses-insuffisances-et-sa-mediocrite-sur-les-questions-des-droits-de-femmes-en-republique-democratique-du-congo
Par Freddy Mulongo, dimanche 14 juillet 2013 à 07:19
On nous avait prévenu, le gouvernement Matata Pognon est constitué des technocrates. Mais ce que nous avons vécu le jeudi 11 juillet au Palais des Nations à Genève, salle XVI est ahurissant ! Au Comité pour l'élimination de la discrimination à l'égard des femmes (CEDAW), 55ème session, Wivine Mumba, Ministre de la justice et droits humains de la République démocratique du Congo a étalé au grand jour ses insuffisances et sa médiocrité face aux experts de l'ONU. On sait maintenant entre méritocratie et médiocratie, le gouvernement Matata Pognon sait parfaitement où il veut aller, dans le bas fond ! La ministre Wivine Mumba et ses conseillers étaient-ils venus en promenade de santé à l'ONU-Genève ? A Réveil-FM International, nous n'avons pas pour habitude de tirer sur une ambulance. Mais lorsque la ministre de Jo Ka affirme que l'école primaire est gratuite et oublie de signifier aux experts Onusiens que les écoliers sont chassés de l'école puisque les parents n'ont pas payé les frais de minerval, s'agit-il d'une ignorance, de mauvaise foi ou d'un mensonge d'Etat ? Sait-elle que les diplômes de RDC ne sont pas reconnus par l'Unesco ? Wivine Mumba affirme même qu'il n' y a pas autant de viols de femmes congolaises, le chiffre de femmes violées en RDC est gonflé par les Ongs pour leur financement. A-t-elle eu l'occasion d'aller à l’hôpital Panzi et de parler avec le Dr. Denis Mukwege qui répare les femmes congolaises victimes de viols ? La République démocratique du Congo est contre l'avortement puisqu'elle doit peupler ses 2 345 000 km2 de superficie ! N'est-ce pas une réponse alambiquée ? Le poids de la religion dans la société congolaise serait déjà une ébauche: 58 % de Congolais sont catholiques, 35 % de congolais sont protestants, évangéliques et appartenant aux églises de Réveil, 10 % sont des Kimbaguistes...Toutes les Eglises sont contre l'avortement !
http://reveil-fm.com/index.php/2013/07/14/3777-onu-geneve-wivine-mumba-matipa-etale-ses-insuffisances-et-sa-mediocrite-sur-les-questions-des-droits-de-femmes-en-republique-democratique-du-congo
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[b]“Le deuil, c’est pour la vie. Ca ne s’en va jamais, ça fait progressivement partie de vous, à chaque pas, à chaque souffle.”
Mathilde
Re: Lu pour vous.
RDC : L'ASADHO rend Hommage à TSHISEKEDI et invite l'Opposition à prendre ses responsabilités
Dans une lettre datée du lundi 15 juillet 2013, adressée aux responsables de l'opposition congolaise dont, l'Association Africaine de Défense des droits de l'homme (ASADHO) invite les partis politiques de l'opposition à prendre ses responsabilités, pour sortir le pays de cette situation actuelle caractérisée par la guerre à l'Est, les entraves à l'exercice de la liberté d'expression et de manifestation de l'opposition, l'entrave au dialogue politique, l'éventuelle révision de la constitution, les tergiversations sur l'organisation des élections provinciales, les élections législatives et présidentielle de 2016….
" La présente lettre que l'ASADHO vous adresse est fondée sur notre conviction que sans une opposition politique engagée, effective et responsable, le processus de démocratisation de notre pays ne peut aboutir qu'à l'instauration, par la majorité présidentielle, d'une démocratie de façade dont notre peuple n'a pas besoin ",a écrit Me Jean-Claude Katende, président de l'ASADHO.
Ce dernier souhaite que l'opposition congolaise joue le rôle de contrepoids politique et soit une alternative crédible dans ce moment de l'histoire du pays.
http://afrique.kongotimes.info/rdc/politique/6141-congo-asadho-rend-hommage-tshisekedi-invite-opposition-prendre-responsabilites-appelle-face-guerre-dechirant-pays-tentative-revision-constitutionnelle.html
Dans une lettre datée du lundi 15 juillet 2013, adressée aux responsables de l'opposition congolaise dont, l'Association Africaine de Défense des droits de l'homme (ASADHO) invite les partis politiques de l'opposition à prendre ses responsabilités, pour sortir le pays de cette situation actuelle caractérisée par la guerre à l'Est, les entraves à l'exercice de la liberté d'expression et de manifestation de l'opposition, l'entrave au dialogue politique, l'éventuelle révision de la constitution, les tergiversations sur l'organisation des élections provinciales, les élections législatives et présidentielle de 2016….
" La présente lettre que l'ASADHO vous adresse est fondée sur notre conviction que sans une opposition politique engagée, effective et responsable, le processus de démocratisation de notre pays ne peut aboutir qu'à l'instauration, par la majorité présidentielle, d'une démocratie de façade dont notre peuple n'a pas besoin ",a écrit Me Jean-Claude Katende, président de l'ASADHO.
Ce dernier souhaite que l'opposition congolaise joue le rôle de contrepoids politique et soit une alternative crédible dans ce moment de l'histoire du pays.
http://afrique.kongotimes.info/rdc/politique/6141-congo-asadho-rend-hommage-tshisekedi-invite-opposition-prendre-responsabilites-appelle-face-guerre-dechirant-pays-tentative-revision-constitutionnelle.html
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[b]“Le deuil, c’est pour la vie. Ca ne s’en va jamais, ça fait progressivement partie de vous, à chaque pas, à chaque souffle.”
Mathilde
Re: Lu pour vous.
Effrayant : Le général Ndenguet du Congo-Brazza appelle à tuer les Congolais de Kinshasa.
http://www.teletshangu.com/Le-general-Ndenguet-du-Congo-Brazza-appelle-a-tuer-les-Congolais-de-Kinshasa_a166.html
INCITATION A LA HAINE D'UN OFFICIER DE POLICE BRAZZAVILLOIS CONTRE LES CONGOLAIS DE LA RDC...QUI FAIT L'AMALGAME ENTRE LES KULUNAS ET LES "ZAÏROIS" ET LES GENS APPLAUDISSENT!
LES CONGOLAIS DE LA RDC SONT VRAIMENT PERSECUTES PARTOUT C'EST FOU! ATA KO TOZALAKA MABE ANGO PAS JUSQUE LA QUAND MÊME! Pffffffff
http://www.afriqueredaction.com/article-video-le-criminel-general-jean-fran-ois-ndenguet-le-protege-de-sassou-fait-des-siennes-en-appel-119263568.html
http://www.teletshangu.com/Le-general-Ndenguet-du-Congo-Brazza-appelle-a-tuer-les-Congolais-de-Kinshasa_a166.html
INCITATION A LA HAINE D'UN OFFICIER DE POLICE BRAZZAVILLOIS CONTRE LES CONGOLAIS DE LA RDC...QUI FAIT L'AMALGAME ENTRE LES KULUNAS ET LES "ZAÏROIS" ET LES GENS APPLAUDISSENT!
LES CONGOLAIS DE LA RDC SONT VRAIMENT PERSECUTES PARTOUT C'EST FOU! ATA KO TOZALAKA MABE ANGO PAS JUSQUE LA QUAND MÊME! Pffffffff
http://www.afriqueredaction.com/article-video-le-criminel-general-jean-fran-ois-ndenguet-le-protege-de-sassou-fait-des-siennes-en-appel-119263568.html
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Mathilde
Re: Lu pour vous.
BILL CLINTON À LA RESCOUSSE DE KAGAME
Grands Lacs
Malgré tous les crimes commis par le président rwandais en RDC, l’ancien président américain, Bill Clinton, a juré de protéger Paul Kagame jusqu’au bout. Il cherche par tous les moyens de faire échouer la Brigade d’intervention des Nations unies en dissuadant certains pays africains (Malawi) d’envoyer leurs contingents en RDC. Parallèlement, Tony Blair, l’ancien Premier ministre Britannique, s’active, via son mentor, Mary Robinson, à disculper Kagame sur le plan diplomatique.
La responsabilité de Paul Kagame, dans la tragédie qui a élu domicile dans l’Est de la RDC est avérée. Des réprobations ont fusé de partout pour condamner ce comportement d’un autre siècle. Curieusement, il se trouve encore en ce vingtième siècle des personnalités pour justifier les forfaits du président rwandais. C’est le cas de Bill Clinton, ex-locataire de la Maison Blanche, et de Tony Blair, l’ancien Premier ministre britannique.
A l’échelle internationale, ces deux personnalités abattent un travail de fond, sans doute pour leur honte, dans le but avoué de décourager toute tentative visant à neutraliser leur filleul rwandais. Bill Clinton et Tony Blair sont pour beaucoup dans les pesanteurs qui plombent le mécanisme de mise en œuvre de l’accord-cadre pour la paix et la sécurité dans la région des Grands Lacs, signé le 24 février 2013 à Addis-Abeba (Ethiopie).
Ragaillardi par ce soutien, le président rwandais ne cesse de manifester son arrogance et surtout son mépris pour la RDC et le peuple congolais dont les 6 millions de morts ne l’émeuvent nullement. C’est ce même mépris qui fait courir le tandem Blair-Clinton. Attitude qui, en principe, devrait révolter la communauté internationale et la pousser à interpeller ce duo de mauvais augure et qui se trompe d’époque.
La vérité c’est que Paul Kagame et ses parrains se sont mis en branle pour faire échouer toute initiative tendant à la stabilisation de la région des Grands Lacs. Ils se révèlent ainsi au grand jour comme des fauteurs des troubles, mieux des pêcheurs en eaux troubles qui font fi des instruments internationaux auxquels leurs pays respectifs ont librement souscrit. Il y a de quoi reconnaître qu’elle est vraiment loin cette époque où le nègre était condamné à être au service de l’homme blanc, prétendu civilisé !
Pour arriver à leurs fins, les deux nègres à la peau blanche, se sont répartis les rôles. La première étape est l’affaiblissement de la Brigade spéciale d’intervention, adoptée suivant la Résolution 2098 du Conseil de sécurité des Nations unies.
Bill Clinton s’est chargé de visiter quelques pays africains pour les dissuader d’envoyer leurs contingents à la Brigade. On l’a vu faire son lobbying de malheur au Malawi. Son stratagème consiste à obtenir, à défaut du refus, du moins que le contingent envoyé accepte de jouer la figuration au sein des troupes onusiennes en RDC.
Parallèlement au travail de sape qu’entreprend Bill Clinton, Tony Blair, conseiller spécial de Paul Kagame depuis sa mise au chômage dans son pays, a incarné l’envoyée spéciale du secrétaire général des Nations unies dans les Grands Lacs, Mary Robinson. Celle-ci s’active sur le terrain diplomatique pour décourager toute tentative visant à isoler l’homme fort de Kigali. Depuis sa prise des fonctions, elle insiste sur une solution politique à la crise des Grands Lacs ; allusion faite aux pourparlers de Kampala.
Raison pour laquelle Mary Robinson feint toujours d’ignorer l’implication du Rwanda dans cette crise. Elle tente de convaincre l’opinion, mais sans succès, que la crise de l’Est de la RDC serait un problème totalement congolais qui ne met en œuvre aucune complicité extérieure. Là, il n’y a que des naïfs qui peuvent croire qu’elle travaille pour aider la RDC à recouvrer la paix.
Leur jeu a fini par influencer le travail qui se fait sur le terrain. La mission onusienne se distingue par des tergiversations et autres contradictions qui ont exaspéré la population de Goma.
OBAMA INVITE A S’EMANCIPER DU CLAN CLINTON
L’opinion congolaise sait que le président américain est acculé par les « amis » de Kagame, parmi lesquels l’on compte Bill Clinton, Susan Rice et Samantha Powell. Va-t-il céder et défendre des intérêts obscurs ou sauver le peuple congolais en danger ? D’aucuns estiment que Barack Obama est obligé de s’émanciper des caciques de son parti et faire honneur à son pays dans le concert des Nations.
Jusqu’à ce jour, l’Afrique continue d’attendre que le président américain matérialise ses promesses faites à Accra (Ghana) en 2009. Il a donc l’obligation de mettre fin à cette Afrique des « hommes forts » où des gens de la trempe de Kagame trouvent l’occasion de semer la mort à tout vent, rassurés de la protection de certains Occidentaux.
Bill Clinton et Tony Blair déshonorent l’engagement démocratique de leurs pays respectifs en s’obstinant à couvrir les forfaits commis par Paul Kagame en RDC.
http://lepotentielonline.com/site2/index.php?option=com_content&view=article&id=1798%3Abill-clinton-a-la-rescousse-de-kagame&catid=85%3Aa-la-une&Itemid=472&lang=en
Grands Lacs
Malgré tous les crimes commis par le président rwandais en RDC, l’ancien président américain, Bill Clinton, a juré de protéger Paul Kagame jusqu’au bout. Il cherche par tous les moyens de faire échouer la Brigade d’intervention des Nations unies en dissuadant certains pays africains (Malawi) d’envoyer leurs contingents en RDC. Parallèlement, Tony Blair, l’ancien Premier ministre Britannique, s’active, via son mentor, Mary Robinson, à disculper Kagame sur le plan diplomatique.
La responsabilité de Paul Kagame, dans la tragédie qui a élu domicile dans l’Est de la RDC est avérée. Des réprobations ont fusé de partout pour condamner ce comportement d’un autre siècle. Curieusement, il se trouve encore en ce vingtième siècle des personnalités pour justifier les forfaits du président rwandais. C’est le cas de Bill Clinton, ex-locataire de la Maison Blanche, et de Tony Blair, l’ancien Premier ministre britannique.
A l’échelle internationale, ces deux personnalités abattent un travail de fond, sans doute pour leur honte, dans le but avoué de décourager toute tentative visant à neutraliser leur filleul rwandais. Bill Clinton et Tony Blair sont pour beaucoup dans les pesanteurs qui plombent le mécanisme de mise en œuvre de l’accord-cadre pour la paix et la sécurité dans la région des Grands Lacs, signé le 24 février 2013 à Addis-Abeba (Ethiopie).
Ragaillardi par ce soutien, le président rwandais ne cesse de manifester son arrogance et surtout son mépris pour la RDC et le peuple congolais dont les 6 millions de morts ne l’émeuvent nullement. C’est ce même mépris qui fait courir le tandem Blair-Clinton. Attitude qui, en principe, devrait révolter la communauté internationale et la pousser à interpeller ce duo de mauvais augure et qui se trompe d’époque.
La vérité c’est que Paul Kagame et ses parrains se sont mis en branle pour faire échouer toute initiative tendant à la stabilisation de la région des Grands Lacs. Ils se révèlent ainsi au grand jour comme des fauteurs des troubles, mieux des pêcheurs en eaux troubles qui font fi des instruments internationaux auxquels leurs pays respectifs ont librement souscrit. Il y a de quoi reconnaître qu’elle est vraiment loin cette époque où le nègre était condamné à être au service de l’homme blanc, prétendu civilisé !
Pour arriver à leurs fins, les deux nègres à la peau blanche, se sont répartis les rôles. La première étape est l’affaiblissement de la Brigade spéciale d’intervention, adoptée suivant la Résolution 2098 du Conseil de sécurité des Nations unies.
Bill Clinton s’est chargé de visiter quelques pays africains pour les dissuader d’envoyer leurs contingents à la Brigade. On l’a vu faire son lobbying de malheur au Malawi. Son stratagème consiste à obtenir, à défaut du refus, du moins que le contingent envoyé accepte de jouer la figuration au sein des troupes onusiennes en RDC.
Parallèlement au travail de sape qu’entreprend Bill Clinton, Tony Blair, conseiller spécial de Paul Kagame depuis sa mise au chômage dans son pays, a incarné l’envoyée spéciale du secrétaire général des Nations unies dans les Grands Lacs, Mary Robinson. Celle-ci s’active sur le terrain diplomatique pour décourager toute tentative visant à isoler l’homme fort de Kigali. Depuis sa prise des fonctions, elle insiste sur une solution politique à la crise des Grands Lacs ; allusion faite aux pourparlers de Kampala.
Raison pour laquelle Mary Robinson feint toujours d’ignorer l’implication du Rwanda dans cette crise. Elle tente de convaincre l’opinion, mais sans succès, que la crise de l’Est de la RDC serait un problème totalement congolais qui ne met en œuvre aucune complicité extérieure. Là, il n’y a que des naïfs qui peuvent croire qu’elle travaille pour aider la RDC à recouvrer la paix.
Leur jeu a fini par influencer le travail qui se fait sur le terrain. La mission onusienne se distingue par des tergiversations et autres contradictions qui ont exaspéré la population de Goma.
OBAMA INVITE A S’EMANCIPER DU CLAN CLINTON
L’opinion congolaise sait que le président américain est acculé par les « amis » de Kagame, parmi lesquels l’on compte Bill Clinton, Susan Rice et Samantha Powell. Va-t-il céder et défendre des intérêts obscurs ou sauver le peuple congolais en danger ? D’aucuns estiment que Barack Obama est obligé de s’émanciper des caciques de son parti et faire honneur à son pays dans le concert des Nations.
Jusqu’à ce jour, l’Afrique continue d’attendre que le président américain matérialise ses promesses faites à Accra (Ghana) en 2009. Il a donc l’obligation de mettre fin à cette Afrique des « hommes forts » où des gens de la trempe de Kagame trouvent l’occasion de semer la mort à tout vent, rassurés de la protection de certains Occidentaux.
Bill Clinton et Tony Blair déshonorent l’engagement démocratique de leurs pays respectifs en s’obstinant à couvrir les forfaits commis par Paul Kagame en RDC.
http://lepotentielonline.com/site2/index.php?option=com_content&view=article&id=1798%3Abill-clinton-a-la-rescousse-de-kagame&catid=85%3Aa-la-une&Itemid=472&lang=en
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Mathilde
Re: Lu pour vous.
RDC: l’appel des 52 pour un TPI au Congo -Courrier International
52 personnalités féminines viennent de signer un appel demandant la création d’un Tribunal pénal international pour la République démocratique du Congo. Ce Tribunal est présenté comme “une solution incontournable pour la paix et la justice dans la région des Grands Lacs“. Parmi les signataires on retrouve Françoise Héritier, Rama Yade, Roselyne Bachelot, Ingrid Betancourt ou Gisèle Halimi.
52 marraines ont signé une déclaration “sur les viols comme arme de guerre et l’instauration d’un Tribunal pénal international pour la République démocratique du Congo“. Selon Maître Hamuly Réty, l’un des Congolais à l’initiative de cet appel, “la création du Tribunal pénal international pour la RDC est l’un des facteurs crédibles de paix dans la région“. Cette initiative est soutenue par le Réseau des Ong des droits de l’Homme en RDC (RENADHOC) ainsi que par le docteur Denis Mukwege. Nous publions ici le texte intégral de cet appel :
“- A M. François HOLLANDE, président de la République française
- A M. Barack OBAMA, président des États-Unis d’Amérique
- Au Conseil de sécurité des Nation unies (présidence en exercice)
- A M. BAN-KI-MOON, secrétaire général des Nations unies
- A M. VAN RUMPOY, président de l’Union européenne
- A Mme Nkosazana DLAMINI-ZUMA, présidente de la commission de l’Union africaine
- A M. ABDOU DIOUF, secrétaire général de l’Organisation Internationale de la Francophonie
- A Mme ROBINSON, envoyée spéciale des Nations unie dans la région des Grands lacs
Mesdames, Messieurs,
D’indescriptibles horreurs, répertoriées dans le rapport dit « mapping » des Nations unies, se déroulent sans désemparer, à l’est de la République Démocratique du Congo depuis 1994.
Marraines de cet appel, nous ne pouvons penser aux maux que souffrent les femmes à l’est de ce pays sans avoir le cœur pénétré de la plus vive douleur, en nous représentant nos semblables, unies à nous par le triple lien d’humanité, des droits et de la francophonie, être traitées plus durement que ne le sont les bêtes de somme ;
Nous ne pouvons nous persuader qu’on puisse sans se gêner, faire usage de ressources stratégiques de la République Démocratique du Congo, si l’on faisait réflexion qu’elles ont été arrosées du sang et de la dignité de nos semblables, traitées comme si elles étaient quelque « chose » qui ressemble à des humains ;
Craignons avec raison que les générations futures, plus éclairées et plus philosophes, n’accusent les Français, les Européens et les Américains de ce siécle, d’avoir été complices de barbarie, ce qui contraste avec les valeurs universelles sur lesquelles nous avons voulu fonder notre humanité.
Notre conscience nous dicte par conséquent
De supplier toute conscience humaine, qui réprouve le traitement que subissent ces femmes du Congo, leurs familles et leur peuple, de signer cet appel en cliquant sur ce lien, pour que, de ces victimes, soient restaurés les droits à la vie, à la dignité et à la justice, et que, de leurs bourreaux, soit mis fin à l’impunité et les sanctionner de la manière la plus exemplaire mais aussi, de la manière aussi juste qu’équitable.
Au moment où le Conseil de sécurité ferme les portes du Tribunal pénal international pour le Rwanda (TPIR) et celui d’exYougoslavie (TPIY), qui ont considéré dans la jurisprudence Akayezu, ce type de viol, arme de guerre comme constitutif de crime contre l’humanité ou de génocide,
nous demandons:
1) au Conseil de sécurité des Nations unies, ainsi qu’au secrétaire général, M. Ban Ki-moon, de mettre en place, sans atermoiement, un Tribunal pénal international pour la ROC, chargé de poursuivre tous les crimes répertoriés dans le « rapport mapping » des Nations unies, en succession du TPIR à Arusha en République unies de Tanzanie.
2) à M. le président Obama, d’honorer son « prix Nobel » en adoptant dans la région, une politique qui prend en compte la dignité et l’humanité de ces femmes,
3) à M. le secrétaire général Abdou Diouf, d’actionner les valeurs de la francophonie que nous avons en partage pour que dans toutes les instances, les francophones défendent en bloc ces victimes en soutenant le présent appel,
4) à Mme la présidente Zuma, de puiser dans la sagesse et l’humanisme africains, la force nécessaire pour condamner et faire condamner l’humiliation et la douleur infligée à ces femmes de l’est du Congo et d’appuyer fortement cette exigence de justice au Conseil de sécurité.
5) à M. le président Van Rumpoy, de recentrer la diplomatie européenne sur les valeurs qui fondent l’Europe – convaincre les États membres de s’abstenir de tout soutien sous quelque forme que ce soit, visant à couvrir ou garantir l’impunité aux bourreaux – et d’inviter les États membres à soutenir le présent appel.
6) à Mme Robinson et M. Ban Ki-moon, d’inscrire parmi les pistes prioritaires de recherche de solution de paix durable dans la région, la succession du TPIR / Arusha par le TPI pour la ROC.
7) aux dirigeantes et dirigeants du monde, quels que soient leur pays et l’institution qu’ils servent, d’arrêter tout encouragement et supprimer tous les avantages, privilèges et immunités consentis aux bourreaux.
à M. le président Hollande ainsi qu’aux chefs des États membres du Conseil de sécurité des Nations unies, d’instruire leurs ambassadeurs siégeant au Conseil de sécurité, de porter à l’ordre du jour et de rappeler, semaine après semaine, la question de l’instauration d’un Tribunal pénal international pour la ROC en succession du TPIR/Arusha.
Ne pas le faire, serait une discrimination à l’égard de la femme congolaise, un déni de justice internationale ainsi qu’un encouragement à commettre le «gynocide » ou « fémicide». Car en effet, après publication du «rapport mapping» et la multitude de rapports sur la situation de ces femmes, nul n’est plus fondé à prétendre n’avoir rien vu, rien su, ni rien entendu“.
http://radiookapi.net/lu-sur-le-web/rdc-lappel-des-52-pour-tpi-au-congo-courrier-international/
52 personnalités féminines viennent de signer un appel demandant la création d’un Tribunal pénal international pour la République démocratique du Congo. Ce Tribunal est présenté comme “une solution incontournable pour la paix et la justice dans la région des Grands Lacs“. Parmi les signataires on retrouve Françoise Héritier, Rama Yade, Roselyne Bachelot, Ingrid Betancourt ou Gisèle Halimi.
52 marraines ont signé une déclaration “sur les viols comme arme de guerre et l’instauration d’un Tribunal pénal international pour la République démocratique du Congo“. Selon Maître Hamuly Réty, l’un des Congolais à l’initiative de cet appel, “la création du Tribunal pénal international pour la RDC est l’un des facteurs crédibles de paix dans la région“. Cette initiative est soutenue par le Réseau des Ong des droits de l’Homme en RDC (RENADHOC) ainsi que par le docteur Denis Mukwege. Nous publions ici le texte intégral de cet appel :
“- A M. François HOLLANDE, président de la République française
- A M. Barack OBAMA, président des États-Unis d’Amérique
- Au Conseil de sécurité des Nation unies (présidence en exercice)
- A M. BAN-KI-MOON, secrétaire général des Nations unies
- A M. VAN RUMPOY, président de l’Union européenne
- A Mme Nkosazana DLAMINI-ZUMA, présidente de la commission de l’Union africaine
- A M. ABDOU DIOUF, secrétaire général de l’Organisation Internationale de la Francophonie
- A Mme ROBINSON, envoyée spéciale des Nations unie dans la région des Grands lacs
Mesdames, Messieurs,
D’indescriptibles horreurs, répertoriées dans le rapport dit « mapping » des Nations unies, se déroulent sans désemparer, à l’est de la République Démocratique du Congo depuis 1994.
Marraines de cet appel, nous ne pouvons penser aux maux que souffrent les femmes à l’est de ce pays sans avoir le cœur pénétré de la plus vive douleur, en nous représentant nos semblables, unies à nous par le triple lien d’humanité, des droits et de la francophonie, être traitées plus durement que ne le sont les bêtes de somme ;
Nous ne pouvons nous persuader qu’on puisse sans se gêner, faire usage de ressources stratégiques de la République Démocratique du Congo, si l’on faisait réflexion qu’elles ont été arrosées du sang et de la dignité de nos semblables, traitées comme si elles étaient quelque « chose » qui ressemble à des humains ;
Craignons avec raison que les générations futures, plus éclairées et plus philosophes, n’accusent les Français, les Européens et les Américains de ce siécle, d’avoir été complices de barbarie, ce qui contraste avec les valeurs universelles sur lesquelles nous avons voulu fonder notre humanité.
Notre conscience nous dicte par conséquent
De supplier toute conscience humaine, qui réprouve le traitement que subissent ces femmes du Congo, leurs familles et leur peuple, de signer cet appel en cliquant sur ce lien, pour que, de ces victimes, soient restaurés les droits à la vie, à la dignité et à la justice, et que, de leurs bourreaux, soit mis fin à l’impunité et les sanctionner de la manière la plus exemplaire mais aussi, de la manière aussi juste qu’équitable.
Au moment où le Conseil de sécurité ferme les portes du Tribunal pénal international pour le Rwanda (TPIR) et celui d’exYougoslavie (TPIY), qui ont considéré dans la jurisprudence Akayezu, ce type de viol, arme de guerre comme constitutif de crime contre l’humanité ou de génocide,
nous demandons:
1) au Conseil de sécurité des Nations unies, ainsi qu’au secrétaire général, M. Ban Ki-moon, de mettre en place, sans atermoiement, un Tribunal pénal international pour la ROC, chargé de poursuivre tous les crimes répertoriés dans le « rapport mapping » des Nations unies, en succession du TPIR à Arusha en République unies de Tanzanie.
2) à M. le président Obama, d’honorer son « prix Nobel » en adoptant dans la région, une politique qui prend en compte la dignité et l’humanité de ces femmes,
3) à M. le secrétaire général Abdou Diouf, d’actionner les valeurs de la francophonie que nous avons en partage pour que dans toutes les instances, les francophones défendent en bloc ces victimes en soutenant le présent appel,
4) à Mme la présidente Zuma, de puiser dans la sagesse et l’humanisme africains, la force nécessaire pour condamner et faire condamner l’humiliation et la douleur infligée à ces femmes de l’est du Congo et d’appuyer fortement cette exigence de justice au Conseil de sécurité.
5) à M. le président Van Rumpoy, de recentrer la diplomatie européenne sur les valeurs qui fondent l’Europe – convaincre les États membres de s’abstenir de tout soutien sous quelque forme que ce soit, visant à couvrir ou garantir l’impunité aux bourreaux – et d’inviter les États membres à soutenir le présent appel.
6) à Mme Robinson et M. Ban Ki-moon, d’inscrire parmi les pistes prioritaires de recherche de solution de paix durable dans la région, la succession du TPIR / Arusha par le TPI pour la ROC.
7) aux dirigeantes et dirigeants du monde, quels que soient leur pays et l’institution qu’ils servent, d’arrêter tout encouragement et supprimer tous les avantages, privilèges et immunités consentis aux bourreaux.
à M. le président Hollande ainsi qu’aux chefs des États membres du Conseil de sécurité des Nations unies, d’instruire leurs ambassadeurs siégeant au Conseil de sécurité, de porter à l’ordre du jour et de rappeler, semaine après semaine, la question de l’instauration d’un Tribunal pénal international pour la ROC en succession du TPIR/Arusha.
Ne pas le faire, serait une discrimination à l’égard de la femme congolaise, un déni de justice internationale ainsi qu’un encouragement à commettre le «gynocide » ou « fémicide». Car en effet, après publication du «rapport mapping» et la multitude de rapports sur la situation de ces femmes, nul n’est plus fondé à prétendre n’avoir rien vu, rien su, ni rien entendu“.
http://radiookapi.net/lu-sur-le-web/rdc-lappel-des-52-pour-tpi-au-congo-courrier-international/
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[b]“Le deuil, c’est pour la vie. Ca ne s’en va jamais, ça fait progressivement partie de vous, à chaque pas, à chaque souffle.”
Mathilde
Re: Lu pour vous.
Maboma ebandi :
KINSHASA, 14 août 2013 (AFP) - Un journaliste a été arrêté mercredi matin par la police de Shabunda, dans l'est de la République démocratique du Congo (RDC), après la diffusion jugée "tardive" d'un message officiel, a dénoncé l'ONG congolaise Journaliste en Danger (JED). "François Kiyana, journaliste de la Radio Communautaire Mutanga, station émettant à Shabunda, a été arrêté, mercredi 14 août 2013 vers 07h00 (05h00 GMT), par un groupe d'agents de la police. Le journaliste a été conduit manu militari au cachot de la police où il est encore détenu", précise JED dans un communiqué. "Cette arrestation est consécutive à la diffusion +tardive+, mardi 13 août 2013 vers 21h00, d'un communiqué signé par l'administrateur du territoire de Shabunda invitant la société civile et le conseil de sécurité local à une réunion qu'il devrait présider mercredi 14 août 2013 à 09h00 locales", est-il ajouté.
Le motif de l'arrestation a été avancé par Pius Mukenenge, directeur de la radio. Il a expliqué à JED qu'il y avait eu des impératifs de diffusion expliquant le retard mais que le "message de l'administrateur du territoire était bel et bien passé puisque ladite réunion a eu lieu à l'heure indiquée".
JED exige la "libération immédiate et sans condition du journaliste" et demande à l'administrateur du territoire de ne plus "nuire à l'exercice de la liberté de la presse". L'ONG rappelle qu'en juillet l'administrateur avait suspendu cinq jours en juillet deux émissions politiques de la même radio.
- See more at: http://fr.africatime.com/republique_democratique_du_congo/articles/rdc-un-journaliste-arrete-dans-lest-pour-diffusion-tardive-dun-message-officiel#sthash.QhRb8UqH.dpuf
KINSHASA, 14 août 2013 (AFP) - Un journaliste a été arrêté mercredi matin par la police de Shabunda, dans l'est de la République démocratique du Congo (RDC), après la diffusion jugée "tardive" d'un message officiel, a dénoncé l'ONG congolaise Journaliste en Danger (JED). "François Kiyana, journaliste de la Radio Communautaire Mutanga, station émettant à Shabunda, a été arrêté, mercredi 14 août 2013 vers 07h00 (05h00 GMT), par un groupe d'agents de la police. Le journaliste a été conduit manu militari au cachot de la police où il est encore détenu", précise JED dans un communiqué. "Cette arrestation est consécutive à la diffusion +tardive+, mardi 13 août 2013 vers 21h00, d'un communiqué signé par l'administrateur du territoire de Shabunda invitant la société civile et le conseil de sécurité local à une réunion qu'il devrait présider mercredi 14 août 2013 à 09h00 locales", est-il ajouté.
Le motif de l'arrestation a été avancé par Pius Mukenenge, directeur de la radio. Il a expliqué à JED qu'il y avait eu des impératifs de diffusion expliquant le retard mais que le "message de l'administrateur du territoire était bel et bien passé puisque ladite réunion a eu lieu à l'heure indiquée".
JED exige la "libération immédiate et sans condition du journaliste" et demande à l'administrateur du territoire de ne plus "nuire à l'exercice de la liberté de la presse". L'ONG rappelle qu'en juillet l'administrateur avait suspendu cinq jours en juillet deux émissions politiques de la même radio.
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mongo elombe
Re: Lu pour vous.
Maboma ebandi :
KINSHASA, 14 août 2013 (AFP) - Un journaliste a été arrêté mercredi matin par la police de Shabunda, dans l'est de la République démocratique du Congo (RDC), après la diffusion jugée "tardive" d'un message officiel, a dénoncé l'ONG congolaise Journaliste en Danger (JED). "François Kiyana, journaliste de la Radio Communautaire Mutanga, station émettant à Shabunda, a été arrêté, mercredi 14 août 2013 vers 07h00 (05h00 GMT), par un groupe d'agents de la police. Le journaliste a été conduit manu militari au cachot de la police où il est encore détenu", précise JED dans un communiqué. "Cette arrestation est consécutive à la diffusion +tardive+, mardi 13 août 2013 vers 21h00, d'un communiqué signé par l'administrateur du territoire de Shabunda invitant la société civile et le conseil de sécurité local à une réunion qu'il devrait présider mercredi 14 août 2013 à 09h00 locales", est-il ajouté.
Le motif de l'arrestation a été avancé par Pius Mukenenge, directeur de la radio. Il a expliqué à JED qu'il y avait eu des impératifs de diffusion expliquant le retard mais que le "message de l'administrateur du territoire était bel et bien passé puisque ladite réunion a eu lieu à l'heure indiquée".
JED exige la "libération immédiate et sans condition du journaliste" et demande à l'administrateur du territoire de ne plus "nuire à l'exercice de la liberté de la presse". L'ONG rappelle qu'en juillet l'administrateur avait suspendu cinq jours en juillet deux émissions politiques de la même radio.
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KINSHASA, 14 août 2013 (AFP) - Un journaliste a été arrêté mercredi matin par la police de Shabunda, dans l'est de la République démocratique du Congo (RDC), après la diffusion jugée "tardive" d'un message officiel, a dénoncé l'ONG congolaise Journaliste en Danger (JED). "François Kiyana, journaliste de la Radio Communautaire Mutanga, station émettant à Shabunda, a été arrêté, mercredi 14 août 2013 vers 07h00 (05h00 GMT), par un groupe d'agents de la police. Le journaliste a été conduit manu militari au cachot de la police où il est encore détenu", précise JED dans un communiqué. "Cette arrestation est consécutive à la diffusion +tardive+, mardi 13 août 2013 vers 21h00, d'un communiqué signé par l'administrateur du territoire de Shabunda invitant la société civile et le conseil de sécurité local à une réunion qu'il devrait présider mercredi 14 août 2013 à 09h00 locales", est-il ajouté.
Le motif de l'arrestation a été avancé par Pius Mukenenge, directeur de la radio. Il a expliqué à JED qu'il y avait eu des impératifs de diffusion expliquant le retard mais que le "message de l'administrateur du territoire était bel et bien passé puisque ladite réunion a eu lieu à l'heure indiquée".
JED exige la "libération immédiate et sans condition du journaliste" et demande à l'administrateur du territoire de ne plus "nuire à l'exercice de la liberté de la presse". L'ONG rappelle qu'en juillet l'administrateur avait suspendu cinq jours en juillet deux émissions politiques de la même radio.
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mongo elombe
Re: Lu pour vous.
Freddy Mulongo
http://reveil-fm.com/index.php/2013/08/16/3874-l-avocat-jacques-verges-s-est-eteint
L'avocat Jacques Vergès s'est éteint - Réveil-FM
reveil-fm.com
L'avocat français Jacques Vergès, l'un des plus controversés et redoutés du barreau parisien, est mort jeudi à Paris à l'âge de 88 ans, a-t-on appris auprès du Conseil national des barreaux (CNB) et de son éditeur. Il avait notamment défendu le criminel de guerre nazi Klaus Barbie.
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L'avocat Jacques Vergès s'est éteint - Réveil-FM
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L'avocat français Jacques Vergès, l'un des plus controversés et redoutés du barreau parisien, est mort jeudi à Paris à l'âge de 88 ans, a-t-on appris auprès du Conseil national des barreaux (CNB) et de son éditeur. Il avait notamment défendu le criminel de guerre nazi Klaus Barbie.
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[b]“Le deuil, c’est pour la vie. Ca ne s’en va jamais, ça fait progressivement partie de vous, à chaque pas, à chaque souffle.”
Mathilde
Re: Lu pour vous.
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Justine Masika : « La RDC est en train de devenir comme la Somalie »
Pour mettre un terme aux crimes de guerre perpétrés par des groupes armés dans l’Est de la République Démocratique du Congo (RDC), 52 personnalités ont réclamé la création d’un tribunal pénal spécial pour juger les responsables. Justine Masika Bahimba, présidente de l’ONG "Synergie des Femmes", qui prête main forte aux victimes de violences sexuelles dans le Kivu, apporte son regard sur ce projet. Entretien.
Afrik.com : Comment avez-vous accueilli le projet de création d’un tribunal pénal spécial pour juger les crimes de guerre en République démocratique du Congo ?
Justine Masika : Je crois que c’est une bonne chose que des personnalités puissent s’intéresser à ce que vivent les populations dans l’est de la République démocratique du Congo. Mais en ce qui concerne la création d’un tribunal spécial, j’émets des réserves. Je me pose des questions concernant la coordination des énergies. Je parle notamment de nous, les acteurs de la société civile qui sommes sur le terrain, pour que le projet aboutisse. Je pense, pour que nous puissions atteindre notre objectif, nous devons impérativement mieux coordonner nos actions et nous réunir régulièrement pour essayer de trouver des solutions.
Afrik.com :Vous êtes quotidiennement sur le terrain auprès des victimes des milices armées qui sévissent dans l’est du pays. Qu’attendez-vous de ce tribunal ?
Justine Masika : Nous voulons une justice internationale avec des magistrats dignes de confiance. Nous voulons que ce tribunal soit mis sur pied en RDC. Nous demandons que tous les crimes graves commis au quotidien dans la région du Kivu soient jugés. Nous réclamons que tous les éléments du M23 soient traqués un à un. Aujourd’hui, les acteurs de la société civile qui œuvrent auprès des populations ne peuvent pas communiquer correctement d’un endroit à un autre à cause des milices armées qui peuvent surgir à tout moment. Je ne communique que par SMS avec une partie de mon équipe, ce qui n’est pas normal ! Nous ne pouvons pas nous voir pour faire nos compte-rendus, de peur d’avoir affaire aux rebelles.
Afrik.com :Qui selon vous est responsable de l’impunité des rebelles dans la région ?
Justine Masika : Le gouvernement congolais a la responsabilité de protéger les populations, mais il ne le fait pas. Quand l’armée congolaise avance et marque des points contre les rebelles, Kinshasa lui demande de s’arrêter. C’est à croire que les autorités congolaises ne veulent pas que l’armée avance et qu’elle viennent à bout de ces groupes armés ! C’est de la mauvaise volonté de la part de Kinshasa qui ne voit pas la souffrance des populations dans l’est du pays !
Afrik.com : Les combat entre l’armée congolaise et les rebelles du M23 ont repris le 14 juillet dernier. Actuellement quelle est l’urgence à gérer pour protéger les populations du conflit ?
Justine Masika : On parle souvent de la sécurisation de la ville de Goma. Mais je pense que Goma est suffisamment protégée par l’armée congolaise ou encore l’Onu. Désormais, il faut absolument sécuriser les autres localités aux alentours de Goma, car les rebelles y terrorisent la population, sachant que personne ne viendra les confronter. La population est fatiguée ! On n’en peut plus de vivre dans ces conditions. Il y a un vrai risque que la RDC devienne comme la Somalie. Oui, on en est arrivé à ce stade-là. La population se sent démunie, livrée à elle-même, impuissante. D’ailleurs, pour crier son ras-le-bol, elle a attaqué la Monusco il y a sept jours, dénonçant son inefficacité. La population reste incontrôlée. Je craint que la situation ne dégénère.
Afrik.com :Vous avez visité cet après-midi un camp de réfugiés à Boulengo. Comment vivent-ils depuis qu’ils ont fui la reprise des combats entre le M23 et l’armée congolaise ?
Justine Masika : J’ai pour le moment rencontré 116 personnes dans ces camps de réfugiés situés à 15 kilomètres de Goma. Ils comptent au moins 900 personnes. Les déplacés sont là depuis un mois. Ils vivent dans des conditions inhumaines ! Ils manquent de tout. Les ONG sur place font ce qu’elles peuvent pour leur venir en aide, mais elles sont débordées, car elles prêtent main forte à une multitude de réfugiés. Encore une fois, je le redis : la population est lasse de cette situation dont elle ne comprend même pas qui en est à l’origine. Une pétition circule actuellement à Goma pour demander à Kabila de mettre fin aux négociations de Kampala. Elles ne servent à rien ! A Kampala, tout le monde cherche uniquement des grades. Cette situation nous est devenue insupportable ! Plus les rebelles violent leurs sœurs, mères et filles, plus on cherche à les rencontrer pour négocier avec eux ! Mais pourquoi faire ? J’aimerai qu’on me dise ce qu’ils négocient tous comme ça à Kampala ? Qu’est-ce qu’ils négocient réellement, alors que nous vivons dans la souffrance ?
Assanatou Baldé
Kinshasa, 17/08/2013 (Afrik.com / MCN, via mediacongo.net)
Justine Masika : « La RDC est en train de devenir comme la Somalie »
Pour mettre un terme aux crimes de guerre perpétrés par des groupes armés dans l’Est de la République Démocratique du Congo (RDC), 52 personnalités ont réclamé la création d’un tribunal pénal spécial pour juger les responsables. Justine Masika Bahimba, présidente de l’ONG "Synergie des Femmes", qui prête main forte aux victimes de violences sexuelles dans le Kivu, apporte son regard sur ce projet. Entretien.
Afrik.com : Comment avez-vous accueilli le projet de création d’un tribunal pénal spécial pour juger les crimes de guerre en République démocratique du Congo ?
Justine Masika : Je crois que c’est une bonne chose que des personnalités puissent s’intéresser à ce que vivent les populations dans l’est de la République démocratique du Congo. Mais en ce qui concerne la création d’un tribunal spécial, j’émets des réserves. Je me pose des questions concernant la coordination des énergies. Je parle notamment de nous, les acteurs de la société civile qui sommes sur le terrain, pour que le projet aboutisse. Je pense, pour que nous puissions atteindre notre objectif, nous devons impérativement mieux coordonner nos actions et nous réunir régulièrement pour essayer de trouver des solutions.
Afrik.com :Vous êtes quotidiennement sur le terrain auprès des victimes des milices armées qui sévissent dans l’est du pays. Qu’attendez-vous de ce tribunal ?
Justine Masika : Nous voulons une justice internationale avec des magistrats dignes de confiance. Nous voulons que ce tribunal soit mis sur pied en RDC. Nous demandons que tous les crimes graves commis au quotidien dans la région du Kivu soient jugés. Nous réclamons que tous les éléments du M23 soient traqués un à un. Aujourd’hui, les acteurs de la société civile qui œuvrent auprès des populations ne peuvent pas communiquer correctement d’un endroit à un autre à cause des milices armées qui peuvent surgir à tout moment. Je ne communique que par SMS avec une partie de mon équipe, ce qui n’est pas normal ! Nous ne pouvons pas nous voir pour faire nos compte-rendus, de peur d’avoir affaire aux rebelles.
Afrik.com :Qui selon vous est responsable de l’impunité des rebelles dans la région ?
Justine Masika : Le gouvernement congolais a la responsabilité de protéger les populations, mais il ne le fait pas. Quand l’armée congolaise avance et marque des points contre les rebelles, Kinshasa lui demande de s’arrêter. C’est à croire que les autorités congolaises ne veulent pas que l’armée avance et qu’elle viennent à bout de ces groupes armés ! C’est de la mauvaise volonté de la part de Kinshasa qui ne voit pas la souffrance des populations dans l’est du pays !
Afrik.com : Les combat entre l’armée congolaise et les rebelles du M23 ont repris le 14 juillet dernier. Actuellement quelle est l’urgence à gérer pour protéger les populations du conflit ?
Justine Masika : On parle souvent de la sécurisation de la ville de Goma. Mais je pense que Goma est suffisamment protégée par l’armée congolaise ou encore l’Onu. Désormais, il faut absolument sécuriser les autres localités aux alentours de Goma, car les rebelles y terrorisent la population, sachant que personne ne viendra les confronter. La population est fatiguée ! On n’en peut plus de vivre dans ces conditions. Il y a un vrai risque que la RDC devienne comme la Somalie. Oui, on en est arrivé à ce stade-là. La population se sent démunie, livrée à elle-même, impuissante. D’ailleurs, pour crier son ras-le-bol, elle a attaqué la Monusco il y a sept jours, dénonçant son inefficacité. La population reste incontrôlée. Je craint que la situation ne dégénère.
Afrik.com :Vous avez visité cet après-midi un camp de réfugiés à Boulengo. Comment vivent-ils depuis qu’ils ont fui la reprise des combats entre le M23 et l’armée congolaise ?
Justine Masika : J’ai pour le moment rencontré 116 personnes dans ces camps de réfugiés situés à 15 kilomètres de Goma. Ils comptent au moins 900 personnes. Les déplacés sont là depuis un mois. Ils vivent dans des conditions inhumaines ! Ils manquent de tout. Les ONG sur place font ce qu’elles peuvent pour leur venir en aide, mais elles sont débordées, car elles prêtent main forte à une multitude de réfugiés. Encore une fois, je le redis : la population est lasse de cette situation dont elle ne comprend même pas qui en est à l’origine. Une pétition circule actuellement à Goma pour demander à Kabila de mettre fin aux négociations de Kampala. Elles ne servent à rien ! A Kampala, tout le monde cherche uniquement des grades. Cette situation nous est devenue insupportable ! Plus les rebelles violent leurs sœurs, mères et filles, plus on cherche à les rencontrer pour négocier avec eux ! Mais pourquoi faire ? J’aimerai qu’on me dise ce qu’ils négocient tous comme ça à Kampala ? Qu’est-ce qu’ils négocient réellement, alors que nous vivons dans la souffrance ?
Assanatou Baldé
Kinshasa, 17/08/2013 (Afrik.com / MCN, via mediacongo.net)
mongo elombe
Re: Lu pour vous.
Ray Lema : « Le conflit dans l’Est du Congo est voulu et entretenu: les multinationales sont au cœur de ce conflit » - See more at: http://fr.africatime.com/articles/ray-lema-le-conflit-dans-lest-du-congo-est-voulu-et-entretenu-les-multinationales-sont-au#sthash.mwJgdfm1.dpuf
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Mathilde
Re: Lu pour vous.
43
mongo elombe
Nombre de messages: 11137
Date d'inscription: 27/05/2008
Le président congolais Denis Sassou Nguesso est généreux en vacances. Il a fait don de 10.000 euros «à la population» du village de Carratraca, une petite station thermale du Sud de l'Espagne où il venait de passer quatre jours avec sa famille, a révélé une habitante de ce chanceux village.
Le président congolais, qui résidait dans un hôtel 5 étoiles de cette localité d'Andalousie d'un peu plus de 800 habitants connue pour ses sources chaudes d'eau thermale, a rencontré un groupe d'habitants avant son départ, dimanche dernier. A cette occasion, son épouse a remis une enveloppe contenant 10 000 euros à l'un des doyens du village, Francisco Florido, 84 ans, a raconté sa fille Cristina.
«Mon père a dit que la femme du président lui avait donné l'enveloppe en disant que c'était pour inviter les gens du village à boire un verre», a précisé Cristina Florido. L'octogénaire a alors voulu donner l'enveloppe à la mairie «mais les gens s'y sont opposés, ils voulaient que l'argent soit distribué», a-t-elle expliqué.
Cristina Florido et son mari ont alors dressé une table devant chez eux pour faire la distribution, à raison de 12 euros par habitant. «Ca a été tout un bazar !», a commenté Cristina Florido, qui y consacre ses journées depuis lors. Déjà, 70% des habitants du village sont venus recueillir leur pécule.
Le président congolais, qui résidait dans un hôtel 5 étoiles de cette localité d'Andalousie d'un peu plus de 800 habitants connue pour ses sources chaudes d'eau thermale, a rencontré un groupe d'habitants avant son départ, dimanche dernier. A cette occasion, son épouse a remis une enveloppe contenant 10 000 euros à l'un des doyens du village, Francisco Florido, 84 ans, a raconté sa fille Cristina.
«Mon père a dit que la femme du président lui avait donné l'enveloppe en disant que c'était pour inviter les gens du village à boire un verre», a précisé Cristina Florido. L'octogénaire a alors voulu donner l'enveloppe à la mairie «mais les gens s'y sont opposés, ils voulaient que l'argent soit distribué», a-t-elle expliqué.
Cristina Florido et son mari ont alors dressé une table devant chez eux pour faire la distribution, à raison de 12 euros par habitant. «Ca a été tout un bazar !», a commenté Cristina Florido, qui y consacre ses journées depuis lors. Déjà, 70% des habitants du village sont venus recueillir leur pécule.
mongo elombe
Nombre de messages: 11137
Date d'inscription: 27/05/2008
mongo elombe
Re: Lu pour vous.
Congo-Brazzaville : incursion de militaires angolais en territoire congolais
La police angolaise monte la garde devant le village olympique où est logée l'équipe du Togo, à Cabinda, le 9 janvier 2010.
Reuters / Amr Abdallah Dalsh
Par RFI
Pour la première fois, sans y être invités, des militaires angolais conduisent une opération au Congo-Brazzaville. Ce mercredi 16 octobre, on s’interroge sur les raisons qui ont poussé l’armée angolaise à mener cette action. Les soldats pourchassaient-ils des rebelles cabindais qui se seraient repliés en territoire congolais ou s'agit-il d'une simple provocation de Luanda ? Depuis le 14 octobre, ces derniers occupent cinq localités en territoire congolais. A Brazzaville, c’est le mutisme total.
L’affaire a commencé lundi dernier lorsqu’un bataillon de militaires angolais pénètre en territoire congolais, par l’enclave de Cabinda. Les deux pays ont chacun un poste avancé à la frontière. Celui de l’Angola se situe à Mickonge et celui du Congo-Brazzaville à Pangui.
Face à la supériorité militaire déployée par Luanda – on parle d’environ 500 hommes - et face à ce rapport de force, la vingtaine de soldats congolais se replie et rend immédiatement compte à sa hiérarchie, à savoir le commandement de la zone militaire de Dolisie.
Brazzaville est aussitôt informée mais préfère jouer la carte de l'apaisement. Elle envoie sur place un petit détachement militaire en renfort aux soldats sur le terrain et délègue surtout le commandant Christian Loubaki, natif de la région, pour négocier un compromis.
Sur place, la réaction des militaires angolais est surprenante. Ils prennent en otages non seulement le commandant Loubaki et ses 46 hommes mais se déploient avec leurs engins blindés dans les localités de Kimongo, Pangui, Iloupaga, Yanza et Ngandambinda.
Dans l’enclave de Cabinda, Luanda maintient un fort contingent de forces de sécurité dont les effectifs se montent à environ 4 000 hommes pour une population d'à peine 40 000 personnes, soit un soldat pour dix civils. Une force qui, d’habitude, est accusée de violations de droits de l’homme par les organisations internationales mais cette incursion en territoire étranger est une première.
TAGS: ANGOLA - CONGO-BRAZZAVILLE
La police angolaise monte la garde devant le village olympique où est logée l'équipe du Togo, à Cabinda, le 9 janvier 2010.
Reuters / Amr Abdallah Dalsh
Par RFI
Pour la première fois, sans y être invités, des militaires angolais conduisent une opération au Congo-Brazzaville. Ce mercredi 16 octobre, on s’interroge sur les raisons qui ont poussé l’armée angolaise à mener cette action. Les soldats pourchassaient-ils des rebelles cabindais qui se seraient repliés en territoire congolais ou s'agit-il d'une simple provocation de Luanda ? Depuis le 14 octobre, ces derniers occupent cinq localités en territoire congolais. A Brazzaville, c’est le mutisme total.
L’affaire a commencé lundi dernier lorsqu’un bataillon de militaires angolais pénètre en territoire congolais, par l’enclave de Cabinda. Les deux pays ont chacun un poste avancé à la frontière. Celui de l’Angola se situe à Mickonge et celui du Congo-Brazzaville à Pangui.
Face à la supériorité militaire déployée par Luanda – on parle d’environ 500 hommes - et face à ce rapport de force, la vingtaine de soldats congolais se replie et rend immédiatement compte à sa hiérarchie, à savoir le commandement de la zone militaire de Dolisie.
Brazzaville est aussitôt informée mais préfère jouer la carte de l'apaisement. Elle envoie sur place un petit détachement militaire en renfort aux soldats sur le terrain et délègue surtout le commandant Christian Loubaki, natif de la région, pour négocier un compromis.
Sur place, la réaction des militaires angolais est surprenante. Ils prennent en otages non seulement le commandant Loubaki et ses 46 hommes mais se déploient avec leurs engins blindés dans les localités de Kimongo, Pangui, Iloupaga, Yanza et Ngandambinda.
Dans l’enclave de Cabinda, Luanda maintient un fort contingent de forces de sécurité dont les effectifs se montent à environ 4 000 hommes pour une population d'à peine 40 000 personnes, soit un soldat pour dix civils. Une force qui, d’habitude, est accusée de violations de droits de l’homme par les organisations internationales mais cette incursion en territoire étranger est une première.
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[b]“Le deuil, c’est pour la vie. Ca ne s’en va jamais, ça fait progressivement partie de vous, à chaque pas, à chaque souffle.”
Mathilde
Re: Lu pour vous.
http://www.cameroonvoice.com/news/article-news-13415.html
ZUMA a raison de ne pas répondre à la convocation de kapita Hollande
mongo elombe
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